SYNTHÈSE DES QUESTIONNAIRES D ÉVALUATION
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- Élodie Marois
- il y a 7 ans
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1 THÉMATIQUE DOULEUR SYNTHÈSE DES QUESTIONNAIRES D ÉVALUATION ÉVALUATION INTERNE 2013 Une évaluation interne visant à apprécier l utilisation des contenus des mallettes mises à disposition des professionnels de santé a été conduite fin 2012/début Sur une période de 2 mois, 643 questionnaires d évaluation relatifs à la thématique de la douleur chez la personne âgée ont été adressés à l équipe de coordination du programme MobiQual. Les réponses ont été apportées par les professionnels référents des structures engagées dans la démarche. Ce document présente la synthèse des réponses aux questions portant sur : l impact des actions conduites en termes de repérage, prise en charge et suivi de la douleur : o attention systématique portée à la douleur (question 1) o attention portée aux douleurs induites (question 2) o outils de liaison (question 3) o utilisation d outils d évaluation de la douleur (question 4) o utilisation des traitements antalgiques (question 5) la participation des personnels et l impact en termes de réflexion et d organisation o nombre de professionnels mobilisés (question 6) o impact des sessions de sensibilisation/formation (question 7) o principaux freins à l amélioration de la prise en charge de la douleur (question 8) o existence d un référent douleur (question 9) l utilisation du contenu de l outil o professionnels utilisant l outil o améliorations souhaitées o prochaines actions prévues pour poursuivre la réflexion sur cette thématique
2 PRINCIPAUX RÉSULTATS 643 QUESTIONNAIRES D ÉVALUATION ANALYSÉS, REPRÉSENTANT PLUS DE 650 STRUCTURES PROFIL DES STRUCTURES DE L ÉCHANTILLON : o EHPAD : PRÈS DES 2/3 DES RÉPONDANTS, SOIT 420 ÉTABLISSEMENTS o STRUCTURES SANITAIRES : 16,1 %, SOIT PLUS DE 100 STRUCTURES o SERVICES INTERVENANTS AUX DOMICILES : 12,1 % PROFIL DES PROFESSIONNELS RÉFÉRENTS : o PLUS DE 200 MÉDECINS, DONT 167 MÉDECINS COORDONNATEURS o 180 INFIRMIÈRES, DONT 2/3 SONT COORDONNATRICES o PLUS DE 100 CADRES DE SANTÉ IMPACT DES ACTIONS CONDUITES EN TERMES DE REPÉRAGE, PRISE EN CHARGE ET SUIVI DE LA DOULEUR : o UNE ATTENTION QUASI SYSTÉMATIQUE PORTÉE À LA DOULEUR, ET EN PARTICULIER AUX DOULEURS INDUITES o UNE UTILISATION SYSTÉMATIQUE D OUTILS DE LIAISON PERMETTANT DE TRANSMETTRE LES OBSERVATIONS o DES OUTILS D ÉVALUATION VALIDÉS UTILISÉS PAR LES SOIGNANTS : EVS EN TÊTE POUR L AUTO ÉVALUATION, ET ALGOPLUS ET DOLOPLUS POUR L HÉTÉRO ÉVALUATION o UNE RÉFLEXION IMPORTANTE SUR LES PALIERS THÉRAPEUTIQUES ET UNE POSSIBILITÉ D UTILISER LES OPIOÏDES DANS PLUS DE 9 STRUCTURES SUR 10 o UNE APPROCHE NON MÉDICAMENTEUSE ASSOCIÉE AU TRAITEMENT MÉDICAMENTEUX DANS PRÈS DES TROIS QUARTS DES CAS IMPACT MAJEUR DES ACTIONS DE SENSIBILISATION/FORMATION, EN TERMES DE : o RÉFLEXION DES PERSONNELS SOIGNANTS SUR LEUR TRAVAIL o REPÉRAGE ET PRÉVENTION DES SITUATIONS À RISQUE o QUALITÉ DE VIE DES RÉSIDENTS/PATIENTS o VALORISATION DES SOINS RELATIONNELS o RÉFÉRENT DOULEUR : 33 % AVANT LES ACTIONS, 82,1 % APRÈS, SOIT UNE AUGMENTATION DE 150 % PRINCIPAUX FREINS À L AMÉLIORATION DE LA PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR o LE MANQUE D IMPLICATION DES MÉDECINS TRAITANTS o LES TEMPS DÉDIÉS À LA FORMATION, DIFFICILES À DÉGAGER, DE MÊME QUE LE MANQUE DE PERSONNEL ET LA CHARGE DE TRAVAIL IMPORTANTE o LE TURN OVER DES PERSONNELS o L ABSENCE DE MÉDECIN COORDONNATEUR OU SON TEMPS DE PRÉSENCE RELATIVEMENT FAIBLE PROCHAINES ACTIONS PRÉVUES POUR POURSUIVRE LA RÉFLEXION o SURTOUT IMPLIQUER DAVANTAGE LES ÉQUIPES EN RENFORÇANT LA DIFFUSION DE L INFORMATION ET LA FORMATION, DE MANIÈRE CONTINUE ET POUR TOUS LES PROFESSIONNELS o POURSUIVRE LES RÉUNIONS PLURIPROFESSIONNELLES RÉUNIONS D ÉQUIPE OU GROUPES DE TRAVAIL SUR CETTE THÉMATIQUE o ÉVALUER LES PRATIQUES, AVEC LA MISE EN PLACE D INDICATEURS OU DE PROGRAMMES D EPP/DPC - 2 -
3 PROFIL DES STRUCTURES ET PROFESSIONNELS RÉFÉRENTS Les structures ayant renvoyé les questionnaires d évaluation sont : en majorité des EHPAD (63,9 %) ; des centres hospitaliers et cliniques (16,1 %, dont des ex hôpitaux locaux, services de soins de suite et réadaptation (SSR), et unités de soins de longue durée (USLD)) ; des services intervenant aux domiciles (12,1%) ; d autres structures et organismes : centres de soins, organismes de formation, structures Douleur/Soins palliatifs, structures handicap. Graphique 1 Profil des structures ayant renvoyé le questionnaire d évaluation Les professionnels référents déclarés au sein de ces structures sont : des médecins (31,9 %), dont : o des médecins coordonnateurs (26 % du total des professionnels référents) o des médecins et/ou gériatres (5,9 %) des personnels infirmiers (28%), dont : o des infirmières coordonnatrices (17,7 %) ; o des infirmières (10,3 %) ; des cadres de santé (16,1 %) ; - 3 -
4 des personnels de direction (7,6 %) d autres professionnels (15,4 %), dont des responsables qualité (2,5 %), psychologues (1,9 %), responsables formation (2,2%) ainsi que des professionnels n ayant pas communiqué leur fonction (8,8 %). Graphique 2 Profil des professionnels référents pour le programme MobiQual mallette Nutrition - 4 -
5 I IMPACT DES ACTIONS CONDUITES EN TERMES DE REPÉRAGE, PRISE EN CHARGE ET SUIVI DE LA DOULEUR QUESTIONS 1 ET 2 : UNE ATTENTION QUASI SYSTÉMATIQUE PORTÉE À LA DOULEUR ET EN PARTICULIER AUX DOULEURS INDUITES Les répondants au questionnaire estiment que les professionnels portent attention : à la douleur de manière systématique dans 98,7 % des cas ; à la douleur induite lors des soins, lors des toilettes ou lors de la simple mobilisation, de manière quasi systématique également (respectivement 99 %, 100 % et 97,5 % de réponses positives). Graphique 3 Attention portée à la douleur Nombre de réponses exprimées : 100 % - 5 -
6 QUESTION 3 UNE UTILISATION SYSTÉMATIQUE D OUTILS DE LIAISON PERMETTANT DE TRANSMETTRE LES OBSERVATIONS Presque tous les répondants (99,4 %) indiquent que des outils de liaison permettent de transmettre les observations afin qu elles soient prises en compte et débouchent sur une prise en charge de la douleur. Ces outils de liaison sont en majorité des outils informatiques (71,1%), des cahiers de liaison (42,5%) ou le téléphone (31,4 %). Le fax reste peu utilisé (5,1 %). D autres outils de liaison sont cités : échelles ou fiches d évaluation de la douleur (23 % des autres outils cités), transmissions orales (19 %), dossier du résident ou dossier de soins (19 %), réunions/staffs (13 %), cahiers ou fiches de transmission (9 %), transmissions ciblées (9 %), mails (3 %), échanges avec les familles (1 %). Graphique 4 Nature des outils de liaison utilisés Nombre de réponses exprimées : 100 % - 6 -
7 QUESTION 4 OUTILS D ÉVALUATION VALIDÉS UTILISÉS PAR LES SOIGNANTS : L EVS EN TÊTE POUR L AUTO ÉVALUATION ET ALGOPLUS ET DOLOPLUS POUR L HÉTÉRO ÉVALUATION Pour ce qui concerne l auto évaluation : près des deux tiers des répondants indiquent que l Échelle Verbale Simple EVS (63,1 %) est utilisée, et un peu plus d un sur deux l Échelle Numérique EN (51,7 %). D autres échelles sont utilisées dans un quart des cas, et en particulier l Échelle Verbale Analogique EVA (citée 6 fois sur dix, soit par 15 % du total des répondants), alors même que cette échelle n est pas adaptée à l évaluation de la douleur chez la personne âgée. Pour ce qui concerne l hétéro évaluation : un répondant sur deux a fait part d une utilisation des échelles Algoplus et Doloplus. (respectivement 51,8 % et 47,7 %). L échelle ECPA est mentionnée par trois répondants sur dix (31,5 %). D autres échelles d hétéro évaluation sont citées : échelle de François Boureau, échelle des visages (comme celle vue dans l une des vidéos),ou encore des échelles internes aux établissements. Par ailleurs, le questionnaire DN4 visant à détecter une douleur neuropathique est moins utilisé: seuls 11 % des répondent déclarent que les soignants s en servent. Graphique 5 outils d évaluation de la douleur validés utilisés par les soignants Nombre de réponses exprimées : 100 % - 7 -
8 QUESTIONS 5 ET 6 À PROPOS DES TRAITEMENTS ANTALGIQUES Une réflexion est conduite sur les paliers thérapeutiques trois fois sur quatre (74,9 %) et l usage des opioïdes est possible dans plus de neuf cas sur dix (91,5 %). En revanche, l utilisation du MEOPA afin de prévenir les soins douloureux n est envisageable que dans moins de trois structures sur dix (27,2 %). Par ailleurs, une approche non médicamenteuse est associée au traitement médicamenteux dans près des trois quarts des structures ou services. Cette approche se traduit pour l essentiel par des actions de toucher massage (23 % des actions citées), de soins relationnels (22,4 %) et de positionnement adapté (12,9 %). Par ailleurs, la réévaluation de la douleur après traitement est systématique près de trois fois sur quatre. Graphique 6 Traitements antalgiques Nombre de réponses exprimées : 98,4 % - 8 -
9 Tableau 1 Approches non médicamenteuses associées aux traitements médicamenteux TYPES D APPROCHE tels que cités par les répondants % Toucher massage 23% Soins relationnels / de confort / écoute Dont psychologue 22,4% 11% Positionnement / Adaptation du matériel et des soins / Ergothérapie 12,9% Kinésithérapie 7,7% Relaxation 4,6% TENS, électrostimulation 2,9% Balnéothérapie 2,7% Musique/Musicothérapie 2,5% Snoezelen 2,3% Sophrologie 2,3% Cryothérapie, chaud/froid 2,3% Aromathérapie 2,1% Psychomotricité 2,1% Hypnose 2,1% Physiothérapie 1,6% Autres réflexologie, adaptation de l'espace de vie, humanitude, art thérapie, soins esthétique, respiration, atelier mémoire, crèmes/gels, zoothérapie,... 6 % Graphique 7 Approches non médicamenteuses associées aux traitements médicamenteux - 9 -
10 II PARTICIPATION DES PERSONNELS ET IMPACT EN TERMES DE RÉFLEXION ET D ORGANISATION QUESTION 7 PROFESSIONNELS MOBILISÉS PAR L ACTION CONDUITE Plus de professionnels ont participé à des actions de sensibilisation/formation sur la thématique du repérage, de la prise en charge et du suivi de la douleur chez la personne âgée. Cela représente en moyenne 24 personnes par établissement (397 établissements répondants 62,9 % de réponses exprimées). Les professionnels les plus représentés lors de ces actions sont les aides soignantes (89,3 %), infirmières (86,5 %), infirmières coordinatrices (71,7 %). Viennent ensuite les médecins coordonnateurs (55,7 %), les psychologues (52,6 %), les personnels de direction (41,2 %).ainsi que d autres professionnels (33,2 %) : ASH ou agents de service hôtelier (26,9 %), kinésithérapeutes (11,5 %), AMP (10,6 %), ergothérapeutes (10,3 %), cadres de santé (9 %), animateurs (5 %), auxiliaires de vie sociale (4 %), responsables Qualité (3 %), psychomotriciennes (3,7 %), diététiciennes ou personnels de cuisine (2 %), pharmaciens (2 %), professionnels des structures de soins palliatifs (1,4 %), familles (1 %), référents Douleur (0,6 %) et d autres professionnels (9 % : Autres : stagiaires et étudiants, personnels des structures handicap, réflexologues, orthophonistes, secrétaires, ASG, personnels CLUD, manipulateurs radio, personnel administratif, ) Graphique 8 Professionnels mobilisés par l action conduite Nombre de réponses exprimées : 62,9 %
11 Graphique 9 Autres professionnels mobilisés par l action conduite catégorie Autres Nombre de réponses exprimées : 62,9 % QUESTION 8 IMPACT POSITIF DES ACTIONS DE SENSIBILISATION/FORMATION Les répondants au questionnaire ont déclaré que l action conduite a eu un impact majeur en termes de réflexion des personnels soignants sur leur travail (96,5 %), repérage des situations à risque (94,7 %), qualité de vie des patients (94,7 %), valorisation des soins relationnels (89,4 %) et prévention des situations à risque (83 %). L impact est relativement moins marqué pour ce qui concerne la qualité de vie des personnels soignants (70,3 %), la valorisation des soins techniques (62,7 %) ainsi que les réflexions en termes d organisation du travail (62 %)
12 Graphique 10 Impact positif des actions de sensibilisation/formation Nombre de réponses exprimées : 89,7 % QUESTION 9 PRINCIPAUX FREINS À L AMÉLIORATION DE LA PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR Les principaux freins à l amélioration de la prise en charge de la douleur sont : en premier lieu les médecins traitants, mentionnés dans plus du quart des réponses (26,3 % exactement) : implication, attention, réactivité parfois manquantes, ce qui influe sur les délais de prise en compte médicale ainsi que la qualité de la réponse thérapeutique. La méconnaissance des paliers thérapeutiques est citée par certains répondants, et la nécessité de liens entre soignants et prescripteurs et de formation souvent évoquée ; ensuite les temps dédiés à la formation des soignants, difficiles à dégager (14,8 %). D autres difficultés sont évoqués, mais dans une moindre mesure : le manque de personnel et la charge de travail importante, impliquant parfois un manque de motivation des soignants et un investissement faible sur cette thématique (5,3 %) ; le turn over du personnel, avec pour corollaire une mobilisation difficile des équipes sur le long terme (moins de 5 %) ;
13 l absence d infirmière coordinatrice et/ou de médecin coordonnateur et son temps de présence relativement faible eu égard à ses missions (moins de 5 %) ; une évaluation difficile pour les résidents/patients ayant des troubles cognitifs, des troubles du comportement, et pauci relationnels, avec une différenciation des types de douleur peu évidente une discontinuité des soins, avec pour les EHPAD peu de présence infirmière la nuit, et des prises en charge de la douleur parfois difficile en EHPAD (seringue poussoir, titration, ), et pour le domicile une gestion aléatoire des prises médicamenteuses ; le manque de constance dans l attention portée à la douleur, se traduisant parfois par un remplissage aléatoire des grilles d évaluation ; une traçabilité imparfaite ; le manque de suivi dans la réévaluation de la douleur ; l habitude d entendre les personnes se plaindre ; la méconnaissance de certains outils, et en particulier l échelle DN4 ; les peurs encore présentes liées à l administration de morphiniques ; le manque de réflexion sur l organisation globale du travail ; le coût du MEOPA. QUESTION 10 UN RÉFÉRENT DOULEUR DANS PRÈS DE LA MOITIÉ DES STRUCTURES DEPUIS L ACTION Plus de 80 % des répondants indiquent que leur structure dispose d un référent Douleur. Un tiers des structures disposait d un tel référent avant d entreprendre une action de sensibilisation/formation. Près d un répondant sur deux déclare qu un référent existe depuis la conduite de l action au sein de sa structure (49,1 % exactement). L organisation d actions de sensibilisation/formation a donc eu pour conséquence de multiplier par presque trois le nombre de référents Douleur (passage de 33 % à 82,1 %). À noter : plusieurs structures mentionnent avoir choisi de ne pas avoir de référent douleur en leur sein afin de responsabiliser chaque professionnel sur le sujet. En cas de souci, la structure peut recourir à une expertise externe, et en particulier : en premier lieu aux équipes et unités mobiles de soins palliatifs pour la gestion des douleurs en fin de vie (40 % des réponses) ; aux centres de lutte contre la douleur, unités douleur, consultations douleur ou médecins algologues de centres hospitaliers (26 %)
14 III UTILISATION DU CONTENU DE L OUTIL QUESTION 11 UNE MALLETTE PRINCIPALEMENT UTILISÉE PAR LES INFIRMIÈRES COORDINATRICES, INFIRMIÈRES, MÉDECINS COORDONNATEURS ET AIDES SOIGNANTES La mallette Douleur est en majorité utilisée par les infirmières coordinatrices (60,4 %), les infirmières (55,9 %), les médecins coordonnateurs (47,1 %) ainsi que les aides soignantes (37,8 %). Les psychologues et directeurs d institutions l utilisent dans une moindre mesure (respectivement 19,1 % et 8,1 %). Les médecins et aides à domicile l utilisent très peu (respectivement 3,1 % et 1,8 %). D autres professionnels utilisent également la mallette (13,1 % voir tableau ci après pour détails). Graphique 11 Professionnels utilisant la mallette Nombre de réponses exprimées : 88,1 %
15 Tableau 2 Professionnels utilisant la mallette, catégorie Autres CATÉGORIE DE PROFESSIONNELS % ASH ou Agents de service hôtelier 27% Ergothérapeutes 10% Kinésithérapeutes 11% AMP 11% CS 9% Animateur 5% Psychomotriciennes 4% Auxiliaires de vie 4% Responsables Qualité 3% Diététiciennes ou personnels de cuisine 2% Familles 1% Pharmaciens 2% Professionnels des structures Soins palliatifs 1% Autres Personnels des secteurs du domicile et du handicap 10% QUESTION 12 AMÉLIORATIONS SOUHAITÉES De nombreuses améliorations souhaitées ont été formulées par des professionnels ne disposant pas de la dernière version de l outil Douleur (septembre 2012), et en particulier : la mise à jour des contenus ; des supports PowerPoint et vidéo pour animer des formations ; des fiches pratiques ; des informations sur les méthodes de prise en charge non médicamenteuse et sur les douleurs neuropathiques. Les améliorations souhaitées pour les deux outils formulées par les professionnels disposant de la dernière version sont les suivantes : Améliorer l accessibilité sur informatique, afin de pouvoir coter la douleur et archiver en ligne Fiche à destination des résidents/patients et familles expliquant les bénéfices et inconvénients de la prescription de morphiniques (car certains pensent seulement à la mort, au cancer, à la toxicomanie
16 Vidéos pour l utilisation des échelles d évaluation Ajouter des témoignages de personnes âgées sur la douleur Documents de sensibilisation pour les médecins traitants Améliorations souhaitées pour l outil Douleur Bientraitance Domicile : ajouter une fiche technique concernant le délai et la durée d action des antalgiques ajouter une fiche sur les thérapeutiques Fiche de liaison à envoyer au médecin prescripteur Améliorations souhaitées pour l outil Douleur : Fiche Sédation Davantage de cas cliniques Partie sur la thématique «Plaies et cicatrisations» Plus de détail sur la prescription des morphiniques Ajouter le QDSA (Questionnaire Douleur de Saint Antoine) QUESTION 13 PROCHAINES ACTIONS PRÉVUES POUR POURSUIVRE LA RÉFLEXION Afin de poursuivre la réflexion engagée autour de la thématique de la douleur chez la personne âgée, il est prévu les actions suivantes (mentionnées par ordre décroissant d importance) : 1/ pour l essentiel impliquer davantage les équipes dans le repérage, la prise en charge et le suivi de la douleur en renforçant la diffusion de l information et la formation : o à tous les professionnels, lorsque la formation initiale n a concerné qu une partie d entre eux ; o o en les inscrivant dans une démarche continue (sensibilisations/formations annuelles, semestrielles ou trimestrielles) ; afin d acquérir de nouvelles connaissances et techniques, en particulier sur les douleurs neuropathiques, les douleurs induites par les soins, le toucher massage, o en améliorant la transmission des informations et l organisation du travail ; 2/ sensibiliser/former en interne (sans plus de précisions dans les questionnaires), notamment les nouveaux professionnels ;
17 3/ poursuivre les réunions pluriprofessionnelles internes et les groupes de travail sur cette thématique ; 4/ évaluer les pratiques, avec la mise en place d indicateurs ou de programmes d EPP/DPC ; 5/ élaborer/réviser et répéter les protocoles relatifs à la douleur ; 6/ mobiliser et si possible coordonner le travail avec les médecins libéraux ; 7/ former et/ou nommer des référents Douleur ; 8/ s ouvrir vers l extérieur (partenariat CLUD, structures de soins palliatifs, ) 9/ réaliser des formations avec un intervenant externe (algologue, CLUD, structures de soins palliatifs, IFSI, ou formateur externe) ; 10/introduire le et formation à l utilisation du MEOPA ; 11/ réaliser des audits internes ; 12/ utiliser le questionnaire DN4 ; 13/ proposer aux professionnels des formations externes. Graphique 12 Prochaines actions prévues Nombre de réponses exprimées : 88,1 %
18 UTILISATION DE L OUTIL DOULEUR NOM DE LA STRUCTURE ADRESSE TEL FAX NOM DU DIRECTEUR NOM DU PROFESSIONNEL REFERENT POUR L OUTIL : Fonction : E mail de liaison : I IMPACT DES ACTIONS CONDUITES EN TERMES DE REPÉRAGE, PRISE EN CHARGE ET SUIVI DE LA DOULEUR 1 Une attention est elle systématiquement portée à la douleur? Oui Non 2 Une attention est elle portée à la douleur induite? Lors des soins Oui Non Lors des toilettes Oui Non Lors de la simple mobilisation Oui Non 3 Des outils de liaison permettent ils de transmettre les observations afin qu elles soient prises en compte et débouchent sur une prise en charge de la douleur? Oui Non Si oui, précisez la nature de ces outils de liaison : o Outil informatique o Cahier de liaison o Téléphone o Fax o Autres (Précisez) 4 Quels outils d évaluation de la douleur validés sont utilisés par les soignants? Pas d outil utilisé Auto évaluation o o o Échelle Verbale Simple (EVS) Échelle Numérique (EN) Autres (Précisez)
19 Hétéro évaluation o Échelle DOLOPLUS o Échelle ECPA o Échelle ALGOPLUS o Autres (Précisez) Questionnaire DN4 5 Concernant les traitements antalgiques : une réflexion est elle conduite sur les paliers thérapeutiques? Oui Non l usage des opioïdes est il possible? Oui Non l usage du MEOPA est il possible afin de prévenir les soins douloureux? Oui Non une approche non médicamenteuse est elle associée au traitement médicamenteux? Oui Non Précisez 6 La réévaluation de la douleur est elles systématique après traitement antalgique? Oui Non II PARTICIPATION DES PERSONNELS ET IMPACT EN TERMES DE RÉFLEXION ET D ORGANISATION 7 Combien de professionnels ont été mobilisés par l action conduite? 8 La session de Directeur de la structure Médecin(s) Médecin coordonnateur (HAD) Infirmiers(ères) coordonnateurs(rices) Personnels infirmiers Psychologue Aides soignant(e)s Autres Précisez. sensibilisation/formation a t elle eu un impact positif en termes de
20 Réflexion des personnels soignants sur leur travail? Oui Non D organisation du travail? Oui Non Repérage des situations à risque? Oui Non Prévention des situations à risque? Oui Non Valorisation des soins techniques? Oui Non Valorisation des soins relationnels? Oui Non Qualité de vie des patients? Oui Non Commentaires Qualité de vie des personnels soignants? Oui Non 9 Quels sont les principaux freins à l amélioration de la prise en charge de la douleur? 10 Dorénavant, le service dispose t il d un «référent Douleur»? Si non, est il possible de faire appel à un tel référent? Si tel est le cas, précisez la nature du service ou de l institution : Oui Non Existait avant Oui Non
21 III UTILISATION DU CONTENU DE L OUTIL 11 Par qui cette mallette est elle principalement utilisée? Directeur Médecin coordonnateur (HAD) Infirmiers(ères) cordonnateurs(rices) Personnels infirmiers Psychologue Aides soignant(e)s Aide(s) à Domicile Autres Précisez : 12 Quelles améliorations souhaiteriez vous voir apporter à cet outil? 13 Quelles sont les prochaines actions prévues pour poursuivre la réflexion sur cette thématique? 16 Utilisez vous d autres outils du programme MobiQual? Douleur Oui Non Douleur Bientraitance Domicile Oui Non Soins palliatifs Oui Non Bientraitance Oui Non Dépression Oui Non Nutrition Oui Non Risques infectieux Oui Non Questionnaire à renvoyer de préférence par mail, sinon par courrier ou fax. Mail : Cliquez ici pour l envoi par mail Adresse postale : Délégation générale de la SFGG Suivi du programme MobiQual Outils Douleur 60, rue des Cherchevets SURESNES Fax :
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