Innovations techniques dans l élevage de bovins allaitants à l île de la Réunion : Modification des pratiques et adaptation à l environnement

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1 Innovations techniques dans l élevage de bovins allaitants à l île de la Réunion : Modification des pratiques et adaptation à l environnement D. Niobé,, J-P. J Choisis, E. Chia Les éleveurs du Sud face aux changements Journée e EPE, Montpellier, 1 er septembre 2006

2 Sommaire I- Contexte général II- Problématique III- Corpus théorique IV- Méthodologie V- Cas d un engraisseur VI- Innovation technique et flexibilité VII-Conclusion

3 I-Contexte général A-Un secteur agricole en mutation Part de la production agricole dans le PIB réunionnais : Années 50 : 90% 2000 : 7% Population agricole réunionnaise: r 1981 : : Productivité accrue : une politique d innovationd Un secteur dynamique, en particulier avec de nouvelles filières

4 B-L élevage bovin: une filière jeune et dynamique Une activité très récente (mise en place dans les années 70) Une coopérative, la SicaRévia : modèle organisationnel * Naisseurs dans les Hauts * Engraisseurs dans les Bas *.- 80% des abattages de gros bovins 30% de parts de marché Soutenue par les pouvoirs publics (aides)

5 C-Des contraintes spécifiques Importations en viande: 70% de la consommation locale Objectif de la SicaRévia: 30 % du marché des GMS Petites exploitations en grande majorité Application stricte de la réglementation européenne. Limites : exiguïté du territoire, concurrence sur l espace coûts de production moyens : 2 X plus élevés qu en Métropole (import de tous les intrants et équipements) Mesures financières spécifiques (POSEIDOM, etc.) pour compenser les handicaps structurels.

6 D-La production bovine allaitante Evolution de la production bovine à la Réunion Tonnes équivalent carcasses Nombre d'éleveurs Production hors Sica Part SicaRevia Eleveurs SicaRevia Une augmentation constante qui stagne depuis 2003

7 II-Problématique A-Enjeux Inquiétudes des éleveurs : évolution du contexte (métier et aides publiques PAC en POSEIDOM en 2007) malgré l efficacité du système coopératif à garantir la valorisation et l écoulement des produits (marché sécurisé) Réflexion des professionnels sur de nouveaux modèles d exploitation à promouvoir auprès des éleveurs (accroître la productivité versus maintenir un «modèle social») Nécessité des éleveurs de s adapter tout en maintenant les objectifs et la cohérence dans le fonctionnement de leur exploitation.

8 B-Problématique d étude Analyser et appréhender le comportement de l éleveur vis à vis de l adoption de nouvelles techniques Apprécier sa capacité à conduire des changements Evaluer comment il intègre les incertitudes de son environnement dans la gestion de son exploitation

9 III-Corpus théorique mobilisé Théorie du comportement adaptatif des agriculteurs Postulat de cohérence, projet de l éleveur, ses objectifs Plus que la situation, la perception de la situation Comprendre l adoption d innovations techniques Concept de Flexibilité ( éco. industrielle, sc. de gestion) Stratégique-opérationnelle / réactive-proactive Spécifier la «capacité d adaptation» des organisations /aléas et la nature des variables explicatives de ce concept Capacité à adopter des innovations faisant face aux évolutions de l environnement

10 IV-Méthodologie valeur en Euros Exemple : Analyse de la trésorerie de M. X Démarche monographique (étude de cas) (Niobé, 2003) Entretiens compréhensifs et semi-directifs identifier les projets, le fonctionnement des élevages Analyse des flux et des pratiques de trésorerie (E. Chia) Les décisions prises à la suite d innovations Un «objet intermédiaire» pour discuter des raisons qui ont amenées à la prise de décision Janv Févr Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Mois

11 Pratiques liées aux besoins du cycle de production, de la famille et à son environnement Crédit à CT OCCC (découvert) prêt embouche emprunt à CT Prélèvements privés utilisation de l épargne Décalage des paiements Choix du mois de paiement des annuités Période de vente Les supports relevés bancaires factures cahier d enregistrement documents comptables talons du chéquier

12 V- Cas d un engraisseur A-Présentation générale de l exploitation 7Ha de SAU 2,5 UTA 5 ateliers : Végétal : canne à sucre, foin Animal: génisses, vaches réforme, veaux de boucherie Quotas pour l atelier engraissement : 30 génisses, 40 veaux de boucherie. Prestations de service (transport) Son épouse, une activité salariée : secrétaire de direction

13 B - Son projet, ses objectifs, sa situation Engraisser 70 génisses (pour un quota de 30) Organisation de sa production modifiée : Un nouveau bâtiment aux normes, mécanisation des tâches (coupe, récolte, nourriture des animaux) coûts élevés d investissement à MT Diversité des lots d animaux entrants (peu d exigence sur leur qualité) Articulation entre rentabilité des investissements et conduite technique des lots d animaux

14 C- Adoption d innovations : conséquence sur les pratiques gestionnaires Écart entre la trésorerie prévue et celle réalisée : rend compte de l écart entre sa perception de la situation et sa situation réelle Mortalité d animaux Trésorerie prévue Trésorerie réelle Début de la coupe Mise aux normes Janv Févr Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Réparation du tracteur

15 B - Son projet, ses objectifs, sa situation L adoption d innovations techniques a provoqué: Un accroissement de la productivité technique: Poids carcasse vendu (kg) Mais des difficultés économiques Montant des annuités ( ) Intérêt de notre démarche méthodologique : révéler les pratiques de gestionnaires mises en œuvre pour y faire face

16 VI- Innovation technique et flexibilité Les stratégies d innovation obligent les éleveurs à modifier leurs «pratiques de trésorerie», en jouant sur les flux entrant et sortant au cours de la campagne, pour accroître/maintenir leur flexibilité opérationnelle : montants et dates des prélèvements privés (arbitrage entre les besoins de la famille et de l exploitation) choix des dates de remboursement des prêts / vente des animaux (disposition de trésorerie à échéance de la dette) ouverture de crédits en compte courant (disponibilité monétaire pour faire face à des dépenses de campagne) Certaines pratiques sont très liées au «capital social» de l éleveur qui lui permet de négocier avec son environnement (Banque / prêts; Fournisseurs / dates de paiement).

17 VII-Conclusion Les stratégies d innovation technique ont pour but d accroître la capacité des élevages à s adapter aux évolutions de leur contexte de production Une étude monographique révèle que leur mise en oeuvre engendre, en même temps, une modification des pratiques gestionnaires des éleveurs à court terme De nombreux travaux montrent que les agriculteurs raisonnent leurs choix sur le court-moyen terme. A partir d un objet intermédiaire tel que la courbe de trésorerie, il est possible d appréhender les causes pouvant freiner les agriculteurs dans l adoption d une innovation préconisée

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