Infection ostéoarticulaire de l enfant (92a) Docteur Bernardo VARGAS BARRETO Avril 2005
|
|
- Yvonne Malo
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Infection ostéoarticulaire de l enfant (92a) Docteur Bernardo VARGAS BARRETO Avril 2005 Pré-requis : Résumé : Cartilages de croissance : principes anatomiques Antibiotiques : principes généraux L infection osteoarticulaire hématogène est une cause fréquente de consultation en urgence pédiatrique. La prise en charge précoce associe les antibiotiques, une immobilisation du membre et si nécessaire, une intervention chirurgicale de drainage. Le diagnostic est suspecté devant une symptomatologie de douleur, œdème, fièvre élevée et limitation fonctionnelle. Un bilan biologique inflammatoire anormal, en particulier la protéine C réactive, associé à des anomalies scintigraphiques permettent de confirmer le diagnostic. La radiographie simple est souvent normale au début de la maladie. La résonance magnétique nucléaire, l échographie et le scanner peuvent permettre d affiner le diagnostic ou dépister un abcès éventuellement chirurgical. Le germe le plus fréquent est le staphylocoque doré. Les tumeurs peuvent donner, dans certains cas, une symptomatologie similaire à une infection. Les séquelles sont les troubles de croissance si l infection détruit les cartilages actifs ou la chronicité en cas de prise en charge tardive. Un traitement antibiotique prolongé est nécessaire pour éradiquer l infection osseuse ou articulaire. Les séquelles sont rares si la prise en charge est précoce et le traitement antibiotique adapté. Mots-clés : Ostéomyélite aiguë, infection osseuse, antibiotiques, enfant. Références : Liens : Coudane H, Gerard A : Ostéites. Encycl Méd Chir (Elsevier, Paris), App Locomoteur, A - 10, 1996, 8p. Damsin J.-P. Techniques et indications des désépiphysiodèses chez l'enfant. Conférences d'enseignement de la Sofcot 1994 ; Expansion Scientifique 1994 King S. Osteomyelitis. (site de la emedicine Clinical knowledge Base USA). El Maghraoui A., Abouzahir A. Le Syndrome SAPHO. (site de formation continue sur les pathologies de l appareil locomoteur). Site de la emedicine Clinical knowledge Base (USA) : King S. Osteomyelitis. Site de formation continue sur les pathologies de l appareil locomoteur : El Maghraoui A., Abouzahir A. Le Syndrome SAPHO. 1. Généralités L ostéomyélite hématogène et l arthrite infectieuse sont des infections consécutives à l envahissement respectif d un os et d une articulation par une bactérie pyogène. L ostéomyélite peut se localiser dans le périoste, le cortex, la moelle osseuse ou se propager entre ces différentes structures osseuses. Chez le nourrisson, elle peut s associer à une arthrite
2 infectieuse. L agent pathogène varie en fonction de l age et des pathologies associées. Chez l'enfant, les conditions qui prédisposent à l infection osseuse sont : l anémie falciforme, le diabète insulino-dépendant, les traitements immunosuppresseurs, les hospitalisations en réanimation néonatale, et toute maladie qui affecte le système de défense immunitaire (comme le SIDA ou les leucémies). Le pronostic est lié à la précocité du diagnostic et du traitement. Il s agit donc d une urgence diagnostique et thérapeutique. 2. Physiopathologie de l ostéomyélite hématogène La pénétration du germe dans l organisme se fait souvent par une porte d entrée cutanée. Les bactéries vont coloniser de préférence la région métaphysaire des os longs. Les sites anatomiques le plus souvent atteints sont le genou, la cheville et l épaule. Suite à un ralentissement de la circulation sanguine et grâce à la richesse vasculaire de ces zones de croissance, les bactéries trouvent les conditions idéales pour se développer. Ces bactéries sont responsables de la formation de thromboses artérielles et veineuses. Ainsi, l infection, si elle n est pas maîtrisée par l organisme, peut évoluer vers la formation d un abcès sous-periosté ou d un abcès intra-osseux, voire une pandiaphysite en absence de traitement. 3. Etiologie 3.1. Généralités Chez le nouveau-né de moins de 4 mois les germes les plus souvent rencontrés sont le staphylocoque doré, les entérobacteries, l escherichia coli, et le streptocoque de groupe A et B. L haemophilus influenzae type b et kingella kingae sont des germes fréquents chez les enfants entre 4 mois et deux ans. Le staphylocoque doré est le germe le plus souvent associé aux infections ostéoarticulaires chez l enfant de plus de deux ans (80%). Les autres germes rencontrés dans cette tranche d age sont l hémophilus influenzae, le streptocoque du groupe A et le pneumocoque. Chez le patient porteur de drépanocytose, la salmonella est le germe à considérer en priorité Kingella Kingae Depuis une quinzaine d années, le kingella kingae, coccobacille gram-négatif est cité comme un responsable fréquent des infections osseuses ou articulaires chez l enfant, surtout avant deux ans. Cette bactérie se loge dans les voies respiratoires des enfants et peut être incriminée dans les bactériémies et infections ostéoarticulaires. Les flacons d hémoculture semblent être les mieux adaptés au diagnostic bactériologique de cet agent pathogène. 4. Clinique Deux tableaux cliniques doivent être différenciés dans l ostéomyelite hématogène de l enfant : 4.1. Tableau aigu 2/9
3 Les enfants sont vus avec fièvre élevée, malaise, irritabilité et limitation fonctionnelle. Une boiterie ou un refus d appui chez le nourrisson révèle une infection ostéoarticulaire aiguë. La douleur métaphysaire associé à une tuméfaction, rougeur et augmentation de la température locale est très spécifique d infection Tableau frustre La symptomatologie classique peut être diminuée par un traitement antibiotique préalable. La fièvre est peu élevée ou absente. Les douleurs peu intenses et non accompagnées de signes locaux. L infection ostéoarticulaire néonatale est parfois trompeuse. En effet, 50 % des nouveau-nés n ont pas de fièvre au début et ce n est que la pseudo paralysie d un membre qui doit attirer l attention du personnel soignant. 5. Bilan para clinique 5.1. Examens de laboratoire Numération formule sanguine et vitesse de sédimentation (VS): La numération formule sanguine peut être normale au début de l infection. Cet examen n est pas spécifique. La VS augmente dans les premières 24 heures (90%) mais sa normalisation, après un traitement efficace, n est obtenue qu après 6 à 8 jours, ce qui limite son utilisation pour le suivi du traitement La protéine C-réactive La protéine C-réactive ou CRP est le meilleur indicateur d infection. L augmentation de la CRP commence environ 8 heures après le début de l infection et sa valeur diminue rapidement en cas de bonne réponse aux antibiotiques. La sensibilité de ce test est supérieure à celui de la VS et de la numération formule pour le diagnostic et le suivi de l infection Hémocultures et ponction à visée diagnostique Dans 40 à 60 % des cas, l identification du germe peut s obtenir par les hémocultures, surtout si la température dépasse 38.5 C. En l absence d abcès sous periosté, une ponction de la métaphyse, réalisée sous anesthésie générale et sous contrôle de l'amplificateur de brillance, permettra d isoler le germe (plus de 80 % des cas) Imagerie radiologique Echographie Cet examen très fiable permet le diagnostic d abcès sous-périosté ou des parties molles. Une ponction guidée par l échographie peut être réalisée. Pour les arthrites infectieuses, elle 3/9
4 confirme le diagnostic d épanchement surtout pour l épaule et la hanche. Néanmoins, elle ne permet pas de différencier les étiologies infectieuses et inflammatoires. Elle n évalue pas l état osseux Radiographies L apparition de signes radiologiques d infection sur l os est retardée par rapport à la symptomatologie clinique. Seul un œdème de parties molles apparaissant 4-6 jours après le début de symptômes peut faire évoquer le diagnostic. Une réaction périostée et une ostéolyse radiologique apparaissent 7 à 15 jours après le début de l infection (Figure 1 et 2). En cas d arthrite infectieuse de la hanche, la radiographie peut montrer une excentration de la tête fémorale sur le cliche de face. Photo (figure 1) : radio : ostéomyélite de l extrémité inférieure du fémur. Noter l aspect lytique sans réaction périostée (B. Vargas Barreto) 4/9
5 Photo (figure 2) : radio : même patient de la figure 1 après 6 mois de l infection. Migration de la cavité. Ces lésions sont souvent visibles après plusieurs mois malgré un traitement efficace (B. Vargas Barreto) Scintigraphie osseuse Cet examen permet de confirmer le diagnostic devant un tableau clinique évocateur et un bilan biologique perturbé (CRP et vitesse de sédimentation élevées). Dans les processus infectieux, la scintigraphie montre une hyper fixation aux phases vasculaire et osseuse. Elle ne différencie pas les infections de processus tumoraux. L isotope le plus souvent utilisé est le technétium 99. Pour certains cas cliniques à diagnostic douteux, une scintigraphie osseuse avec leucocytes marqués avec gallium 67 ou indium 111 permettra de confirmer l infection Imagerie par résonance magnétique (IRM) Cet examen permet une détection précoce de l infection osseuse et facilite l abord chirurgical si cela s avère nécessaire (Figure 3). La sensibilité de cet examen est supérieure aux autres examens complémentaires, dépassent 90 % de vrais positifs. De plus, l IRM permet aussi la vérification de lésions cartilagineuses chez l enfant. 5/9
6 Photo (figure 3) : IRM : ostéomyélite du calcanéum : Lésion lytique de la face interne du calcanéum d origine infectieuse. Destruction de la corticale externe avec un abcès qui se draine vers les parties molles (B. Vargas Barreto) Scanner Le scanner est utile dans le bilan de localisations profondes comme le pelvis, le calcanéum ou la colonne vertébrale. L IRM, grâce à sa capacité d évaluer la dynamique osseuse par les injections de gadolinium, a remplacé cette méthode. Le scanner a néanmoins sa place dans le bilan des infections chroniques pour l évaluation du séquestre et de la nécrose osseuse La tomographie par émission de positons Cette technique prometteuse pour le diagnostic des infections osseuses est basée sur la consommation intensive de glucose par les cellules et les granulocytes mononucléaires lors d une infection. Le traceur utilisé est la 18F-FDG (fluorine-18 fluorodesoxyglucose), molécule biologique analogue au sucre, présente dans l organisme, dont un atome est remplacé par un isotope émetteur de positons. Elle n est pas spécifique car une fracture augmente aussi la consommation de glucose donnant des faux positifs et cela diminue la spécificité de la méthode. Néanmoins, la sensibilité de cette technique semble être supérieure à la scintigraphie osseuse. Son utilisation est pour l instant restreinte. 6. Diagnostic différentiel 6.1. Syndrome SAPHO (Association de : Synovite, Acné, Pustulose, Hyperostose et Ostéite) Cette affection rare et de pronostic bénin concerne les os longs et parfois la colonne vertébrale. Connue aussi comme ostéomyélite multifocale chronique récidivante, elle associe 6/9
7 des lésions cutanées d acné et pustules, avec des lésions articulaires et osseuses. Le diagnostic n est pas toujours aisé devant une lésion radiologique qui associe sclérose, nécrose et hyperostose. Ceci est très évocateur d une pathologie maligne. Ces lésions osseuses peuvent être symétriques et une lésion claviculaire oriente le diagnostic. L IRM et la scintigraphie osseuse guident le diagnostic mais une biopsie doit être réalisée pour éliminer une tumeur maligne. L étiologie n est pas connue. Il s agit probablement de l association d un agent infectieux et d une prédisposition auto-immune. Le traitement est controversé. Les biphosphonates de deuxième génération, les corticostéroïdes, la colchicine, le méthotrexate, et les anti inflammatoires non-steroidiens sont proposés. Le pamidronate, biphosphonate de deuxième génération semble donner des résultats satisfaisants sur la douleur pendant les crises aiguës. L évolution prolongée est caractérisée par des épisodes récurrents de douleur se produisant sur plusieurs années Les Tumeurs osseuses Le diagnostic différentiel de l ostéomyélite inclut aussi les tumeurs. Le tableau clinique peut être une symptomatologie subaiguë ou chronique. Ces lésions peuvent être osseuses primitives comme l ostéosarcome, le sarcome d Ewing, le granulome éosinophile et plus rarement secondaires à une tumeur du système hématopoïétique comme le lymphome osseux. Une biopsie est indispensable pour pouvoir diagnostiquer ces pathologies malignes. 7. Séquelles des infections ostéoarticulaires 7.1. Les épiphysiodèses post infectieuses Les infections proches d un cartilage de croissance peuvent l endommager ce qui conduit à une épiphysiodèse partielle ou totale de la plaque de croissance. La surveillance après une infection osseuse doit se faire pendant l année qui suit l épisode aigu avec des radiographies centrées sur le cartilage atteint. Les lignes radiologiques de Harris, bandes métaphysaires denses, appelées aussi stries d'arrêt de croissance, sont normalement parallèles à la physe (figure 4). Ce parallélisme permet de juger de la qualité de fonctionnement du cartilage de croissance. Si la lésion du cartilage est centrale, l'aspect sera caractéristique avec une image en dôme. Lorsqu elle est plus limitée, l aspect radiologique sera en forme de chapeau chinois. Les atteintes centrales étendues des cartilages de croissance sont responsables d un arrêt total de la croissance ce qui au membre inférieur conduit à une inégalité de longueur. Une atteinte partielle qui concerne la partie périphérique du cartilage de croissance ou la virole périchondrale sera à l origine d'une déviation axiale isolée. 7/9
8 Photo (figure 4) : radio : lignes de Harris : le parallélisme entre ces lignes et le cartilage confirme l absence de lésion du cartilage de croissance (B. Vargas Barreto) 7.2. Ostéomyélite chronique Cette évolution est désormais très rare en France grâce à une prise en charge précoce et adaptée. La symptomatologie est variable, allant du membre peu symptomatique au membre tuméfié, avec un ou plusieurs trajets fistuleux. Les radiographies et le scanner révèlent une alternance de zones lytiques et ostéo-condensantes avec une réaction cortico-périostée épaisse, ce qui peut faire soupçonner une lésion maligne. La scintigraphie aux leucocytes marqués permet de dépister les zones d infection active. La biopsie chirurgicale à ciel ouvert confirme le diagnostic et surtout élimine une tumeur maligne. Le traitement chirurgical est très difficile. Il cherche à éliminer la nécrose osseuse, les séquestres et les foyers d'infection résiduels. 8. Traitement Le traitement associe une prise en charge en milieu médico-chirurgical, des antibiotiques et une immobilisation osseuse et articulaire. La chirurgie peut être évitée si la prise en charge est précoce. La seule indication formelle de chirurgie est l existence d un abcès sous periosté. Les antibiotiques sont administrés par voie intraveineuse au début du traitement en bi thérapie. Ils sont suivis d un relais per os qui sera entrepris après 8 à 15 jours selon la gravité et la localisation de l'infection. Le choix thérapeutique initial est empirique. Il est basé sur l'âge du patient et le germe le plus probable. Le traitement primaire peut associer une combinaison de pénicilline pénicillinase -résistante et d'une céphalosporine de troisième génération. Une thérapie alternative est l association vancomycine, fosfomycine rifampicine ou clindamycine avec une céphalosporine de troisième génération. Les antibiotiques seront toujours adaptés aux résultats de cultures après 48 heures de traitement. Le traitement antibiotique doit aboutir à l obtention d une bonne réponse clinique et biologique (disparition de la température, évolution décroissante des marqueurs de l inflammation). Le relais antibiotique oral se poursuit pendant une durée de 6 à 12 semaines en fonction de la gravité de la lésion et de la 8/9
9 réponse au traitement. Cette réponse est jugée sur l évolution de la protéine C réactive (CRP) prescrite 48 heures et 10 jours après le début du traitement. Ce marqueur biologique décroît très rapidement en cas de bonne réponse aux antibiotiques et au traitement chirurgical. L absence de diminution de ce marqueur doit faire craindre une résistance aux antibiotiques ou une deuxième localisation infectieuse. Une immobilisation plâtrée est souhaitable car, en théorie, le ralentissement de la circulation sanguine augmenterait la bio disponibilité des antibiotiques. Cette immobilisation plâtrée a surtout un effet antalgique très bénéfique pour le patient. 9. Arthrites bactériennes Les articulations le plus souvent touchées par les infections sont la hanche, le genou, la cheville et l épaule. L épanchement est de règle. Il est plus facilement palpable au genou et à la cheville. Au niveau de l épaule ou de la hanche, l épanchement est évoqué par la limitation fonctionnelle puis confirmée par l échographie. L arthrite infectieuse peut être secondaire à une ponction surtout en milieu de réanimation néonatale. Le traitement des arthrites infectieuses comporte un lavage articulaire avec drainage post opératoire et antibiotiques adaptés au germe étiologique. L immobilisation plâtrée est aussi conseillée. 10. Ostéoarthrite du nourrisson A la différence de l adulte, la circulation sanguine des régions épiphysaires et métaphysaires du nourrisson communique par des vaisseaux qui traversent le cartilage de croissance, ce qui a été démontré par Trueta. Cette particularité explique la fréquence des infections mixtes osseuses et articulaires chez le nourrisson. Les articulations les plus touchées par ces ostéoarthrites du nourrisson sont la hanche et l épaule. Les séquelles de l infection sur les cartilages de croissance de la hanche peuvent aboutir à une luxation de la tête fémorale et une inégalité sévère de longueur de membres inférieurs (entre 5 à 10 cm) si le cartilage de croissance de la hanche est complètement détruit. 9/9
Leucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailLe syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique
Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailTraumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara
Traumatologie de l enfant Joël Lechevallier Saad Abu Amara Plan Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas particuliers Traitement Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas pa Physiologie
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailGénéralités sur fractures, luxation et entorses
Généralités sur fractures, luxation et entorses JP. MARCHALAND HIA Bégin Saint-Mandé I- Définitions PLAN II- Consolidation des fractures III- Etiologie IV- Etude anatomique V- Signes cliniques et radiographiques
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailDiagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires
Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires Emmanuelle Vignot Hôpital Edouard Herriot, Lyon Unité Inserm UMR1033 Lyon emmanuelle.vignot@chu-lyon.fr Arthrite septique (1) 1/ Monoarthrite :
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailQuand penser à une pathologie inflammatoire osseuse ou articulaire
Quand penser à une pathologie inflammatoire osseuse ou articulaire en orthopédie pédiatrique p? Mathie LORROT, Chantal JOB-DESLANDRE Hôpital Robert Debré, Faculté de Médecine Paris 7 Cours DESC chirurgie
Plus en détailLa santé bucco-dentaire au cabinet OMS. Problèmes majeurs. Santé bucco-dentaire et santé générale. Santé. Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire
La santé bucco-dentaire au cabinet Santé OMS Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire Colloque MPr 14 septembre 2011 Dr J-P Carrel Division de stomatologie, chirurgie orale et radiologie dento-maxillo-faciale
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailINFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE
Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLes luxations et instabilités de l'épaule Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Les luxations et instabilités de l'épaule Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 anatomie descriptive et fonctionnelle de la scapulo-humérale
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailItem 288 : Troubles des phanères : Onyxis
Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailL INSUFFISANCE CARDIAQUE
L INSUFFISANCE CARDIAQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance cardiaque n ait encore
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailGuide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille
Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailGenou non traumatique
Epidémiologie Genou non traumatique Laure Brulhart (Paola Chevallier) 25 37% des patients >50 ans souffrent de gonalgie 50% restriction dans les AVQ 33% consultent leur généraliste Facteurs associés avec
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailCommuniqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailLES ONYCHOPATHIES. Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE
LES ONYCHOPATHIES Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE Ä Examen clinique des ongles : DIAGNOSTIC POSITIF Ä analyse par le dermatologue des lésions élémentaires unguéales ; Ä iconographie
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailLa maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes
Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est
Plus en détail