Mesure d'une grandeur physique Détermination de l'incertitude
|
|
- Renée Falardeau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 I) Mesure d'une grandeur : Scences Physques Mesure d'une grandeur physque Détermnaton de l'ncerttude De nombreux phénomènes physques dont la compréhenson est ntutve sont susceptbles d'une représentaton mathématque. On assoce alors à ces phénomènes des grandeurs physques dont la représentaton mathématque dffère selon les caractérstques physques de la grandeur. ) Grandeurs mesurables : On consdère, par exemple, la résstance d'un résstor. On sat réalser la somme de deux résstances (par mse en sére des résstors) et la multplcaton d'une résstance par un scalare (à l'ade d'un rhéostat, par exemple). On dt qu'une résstance est une grandeur mesurable. Mathématquement, une telle grandeur est un élément d'un espace vectorel. Dans cet espace vectorel (à une dmenson), on chost une base e, toute résstance s'écrt alors R = R. e où R est un réel, R est la mesure de la résstance dans la base e. Ic, e est l'unté de résstance, donc l'ohm. Dans la pratque, on confond la résstance R, élément d'un espace vectorel à une dmenson que l'on note R, avec sa mesure R dans une base donnée. On écrt R = 3 Ω, par exemple. L'ntensté du courant, le traval d'une force, le pods d'un corps, la vtesse d'un pont sont des exemples de grandeurs mesurables. ) Grandeurs repérables et grandeurs mesurables : Une date d'un nstant, un potentel, une alttude, une température sont des grandeurs physques d'une nature tout à fat dfférente des précédentes. On ne peut pas défnr la somme de deux dates ou leur multplcaton par un scalare : de telles grandeurs ne sont donc pas mesurables au sens précédent. On dt qu'un nstant τ est repérable par un pont sur une drote. Mathématquement, un tel être est un élément d'un espace affne. Par contre, s on consdère deux nstants τ et τ on peut construre le vecteur durée D = τ τ qu est un élément de l'espace vectorel des durées, à une dmenson, assocé à l'espace affne des nstants. La somme de deux durées et la multplcaton d'une durée par un scalare ont un sens. On peut chosr un nstant partculer τ 0 (dans l'espace affne des nstants) comme orgne des nstants et une durée e comme unté (dans l'espace vectorel des durées). A un nstant quelconque τ, on fat correspondre la durée D 0 = τ0 τ = t. e. t est la date de l'nstant τ. On pourra défnr l'ntervalle de temps t = t' t comme la dfférence entre deux dates. De même, la dfférence d'alttude ou hauteur, la dfférence de potentel ou tenson sont des grandeurs mesurables. On parle souvent, à tort, de temps, d'alttude ou de potentel. La température est, de la même façon, une grandeur repérable seulement, mas, dès que l'on chost une orgne (température de la glace fondante sous atmosphère) et une unté ( C), on appelle encore à tort température ce qu est en réalté un ntervalle de température, grandeur mesurable. Page
2 II) Précson, erreur et ncerttude : ) Précson d'une mesure : Scences Physques Le mot précson mplque habtuellement l'exacttude. Dans le domane de la mesure, pourtant, le mot précson est assocé à nexacttude. Lorsqu'une grandeur physque est décrte au moyen d'une valeur numérque et de certanes untés, la valeur numérque dépend d'un certan nombre de facteurs, tels que le type partculer d'apparel utlsé pour fare la mesure, le genre et le nombre de mesures fates, et la méthode utlsée par l'expérmentateur pour extrare le nombre de l'apparel. A mons que la valeur numérque ne sot accompagnée d'une autre valeur qu donne la précson de la mesure, le nombre ans noté est auss bon qu'l est nutle. La précson sur la mesure d'une grandeur physque, nous permet de défnr le nombre de chffres sgnfcatfs assocés à la mesure de cette grandeur. Par exemple, s une mesure donne une valeur 64,54389 à % près, cec sgnfe que l'ncerttude est aux envrons de 6,4. On ne devra donc conserver dans le nombre exprmant la mesure de la grandeur que les chffres vrament sgnfcatfs. Dans le cas précédent, on ndquera 64 à % près ou encore : 64 ± 6 D'une façon générale pour exprmer un résultat, quand on effectue une sére d'opératons mathématques en utlsant des nombres d'une précson donnée, le procédé le plus smple est de fare les opératons une à une sans se préoccuper du problème des chffres sgnfcatfs jusqu'à la fn de l'opératon. On ramène alors le résultat fnal à un nombre ayant le même nombre de chffres sgnfcatf (c'est-à-dre la même précson) que le mons précs des nombres de départ. ) Erreur et ncerttude : Sot g v la valeur vrae de la grandeur G à mesurer et g m la valeur trouvée au cours d'une mesure. On appelle erreur absolue la dfférence δg = g m g v (δg R). La valeur exacte de δg n'est pas plus connue que celle de g v, snon le problème de la mesure n'exsterat pas. Tout ce que l'expérmentateur peut évaluer, c'est la lmte supéreure de δg dont on gnore également le sgne. L'ncerttude absolue est un majorant de δ g : g = δ g g s'exprme avec la même unté max que g m. La détermnaton de l'ncerttude absolue g lors de la mesure g d'une grandeur G dépend de pluseurs facteurs qu, sans entrer dans les détals et à travers quelques exemples, peuvent se résumer à : - l'mperfecton de la défnton même de la grandeur à mesurer (type de relaton entre la température et longueur d'une colonne de mercure...). - l'apparel de mesure utlsé (voltmètre électromécanque ou électronque et calbres...). - l'expérence de l'opérateur et la méthode utlsée (montage "amont" ou "aval"...). 3) Incerttude relatve : L'ncerttude relatve est le rapport g g m de l'ncerttude absolue à la valeur mesurée. C'est un nombre ndépendant des untés choses, ce qu lu confère un caractère plus général et une sgnfcaton plus profonde que g. L'ncerttude relatve est donnée sous la forme d'un rapport ou sous la forme d'un pourcentage. L'ncerttude relatve exprmée en pourcentage est auss appelée précson. Page
3 Scences Physques III) Détermnaton de l'ncerttude sur la mesure d'une grandeur : On consdère une grandeur G qu dépend de tros autres grandeurs X, Y et Z (la généralsaton à plus de tros varables se fat sans autres complcatons) par une relaton de la forme G = f(x, Y, Z) qu peut être une lo physque à vérfer ou tout autre relaton (P.V = n.r.t, U = R.I, ou même ΣF = m. a...). Sot x, y et z les mesures de X, Y et Z au cours de l'expérence et x, y et z les ncerttudes absolues, supposées détermnées, sur ces mesures. g = f(x,y,z) est alors une valeur calculée de la mesure de G. Suvant la méthode expérmentale utlsée l exste dfférentes façons de détermner la précson sur la mesure de G : ) Calcul d'ncerttude : On peut consdérer que les erreurs absolues sont des nombres petts devant les valeurs des grandeurs, on peut donc assmler l'erreur absolue à une pette varaton de la grandeur. Mathématquement on posera : δg = dg, ans que δx = dx, δy = dy et δz = dz. a) Dérvée partelle : On consdère une pette varaton de g dont la valeur est détermnée en dfférencant la f(x,y,z) f(x,y,z) f(x,y,z) foncton g = f(x,y,z), on obtent : dg =.dx +.dy +.dz où f(x,y,z) est la dérvée partelle de f(x,y,z) par rapport à x de même pour y et z. dg est la dfférentelle de f(x,y,z). Un majorant de dg est obtenu en majorant chaque terme de la somme, en partculer en prenant les valeurs absolues des dfférentes valeurs des dérvées partelles, d'où : g = f(x,y,z). x + f(x,y,z). y + f(x,y,z). z Après avor détermné numérquement l'ncerttude absolue g, on peut calculer l'ncerttude relatve. b) Dérvée logarthmque : Une autre façon de procéder est d'exprmer ln(g) = ln(f(x,y,z)) et de prendre la dfférentelle des deux membres de l'équaton en remarquant que ln(g) est une foncton de foncton. dg d(ln(g)) = = d[ln(f(x,y,z))] =.dx +.dy +.dz g dg sot =.dx +.dy +.dz g On arrête c le calcul théorque. L'ncerttude relatve s'obtent en majorant l'expresson. g = g. x +. y +. z S on poursut le calcul dfférentel, en remarquant que ln(f(x,y,z)) est auss une foncton de foncton, on a : dg f(x,y,z) f(x,y,z) f(x,y,z) =..dx +..dy +..dz g f(x,y,z) f(x,y,z) f(x,y,z) Page 3
4 Scences Physques et en remplaçant f(x,y,z) par g on obtent : f(x,y,z) f(x,y,z) f(x,y,z).dg =. g.dx +.dy +.dz g ce qu montre, en smplfant par g (g 0), l'équvalence avec la méthode défne au a). c) Exemple théorque : Afn d'envsager tous les cas possbles de relaton (produt, rapport, somme, dfférence et varable apparassant pluseurs fos), on consdère la grandeur fctve G qu dépend des grandeurs X, Y et Z par la relaton (tout auss fctves) : (Y X).(Z + X) G = f(x,y,z) = (Z X) G, X, Y et Z sont, dans ce cas, des grandeurs de même nature. Une expérence a donné les résultats suvants : x = 500 u, y = 600 u, z = 650 u exprmés en une certane unté u commune. Les ncerttudes absolues sont x = y = z = 0, u = n (y x).(z + x) La mesure de G est obtenue par un calcul : g = f(x,y,z) = = 766,7 u. (z x) On veut détermner l'ncerttude (absolue ou relatve sur) g. - méthode des dérvées partelles : f(x,y,z).z.(y x) (z x ) 45 = = < 0 (z x) 5 f(x,y,z) (z x ) 5 = = > 0 (z x) 5 f(x,y,z).x.(y x) 000 = = < 0 (z x) 5 Etant donnés les sgnes des dérvées partelles, on dot prendre : (.z.(y x) + (z x )) + (z x ) +.x.(y x) g =. n (z x) z + x y x g =.. n z x z x Sot, tous calculs fats : g =,4 u - méthode de la dérvée logarthmque : (y x).(z + x) On prend la dfférentelle de ln(g) = ln = ln(y x + ln(z + x) ln(z x) (z x) dg dy dx dz dx dz dx Sot = g y x y x z + x z + x z x z x dg et = + +.dx +.dy + +.dz g y x z + x z x y x z + x z x On vérfe par un calcul numérque que les coeffcents de dx et dz sont négatfs et que celu de dy est postf. En passant aux ncerttudes, on a : g =. x +. y +. z g y x z + x z x y x z x z + x Page 4
5 Scences Physques g On obtent =, , % g d'où l'on tre g =, ,4 % Les deux méthodes aboutssent au même résultat. On emploe plutôt la méthode des "dérvées partelles" pour détermner l'ncerttude absolue et la méthode de la "dérvée logarthmque" pour détermner drectement l'ncerttude relatve. ) Calcul statstque : On peut être amené à consdérer un grand nombre de résultats g de la mesure d'une grandeur G effectuée dans des condtons données d'expérence. a) Exemple : Prenons un exemple concret : on détermne la concentraton c en une espèce chmque X dans une soluton donnée. N = 50 mesures ont été effectuées dans les mêmes condtons d'expérence, et ont donné les résultats c suvants exprmés en 0 3 mol.l : 3, 3,8 3,5 3,3 3,3 3,6 3,33 3,30 3,4 3,7 3,33 3,8 3,5 3, 3,0 3,7 3,8 3,0 3,8,98 3,7 3,5 3,35 3,33 3,38 3,58 3,0 3,00 3,3 3,08 3,7 3,35 3,63 3,5 3,38 3,00 3,5 3,7,90 3,7,97 3,8 3,8 3,8 3,37 3,8 3,45 3,8 3,7 3,0 D'après le tableau, l n'exste aucune concentraton en l'espèce X défne pour la soluton. On peut prendre pour mesure de la concentraton la valeur moyenne des 50 c détermnés : c = c = = N c = 3,5.0 3 mol.l N = Pour détermner l'ncerttude absolue c sur ce résultat on pourrat, a pror, calculer pour chaque résultat l'écart à la moyenne c c et en calculer la valeur moyenne sur tous les résultats. Certans écarts peuvent être postfs d'autres négatfs, l faut donc prendre la moyenne de la valeur absolue des écarts : c = c c = = N c c = 0,.0 3 mol.l N = Nous allons vor qu'l serat plus logque de prendre pour ncerttude absolue c sur la mesure de c la valeur de l'écart quadratque moyen sur les c. On peut construre, à partr des c, un hstogramme où l'on porte la dstrbuton des fréquences des dfférentes valeurs de c trouvées (exprmées en 0 3 mol.l ). En fat dans cet exemple d'échantllonnage, on suppose que la varable mesurée est une varable dscrète. En réalté le résultat de la mesure d'une concentraton est plutôt une varable contnue : nous devons donc "regrouper" les dfférentes valeurs en classe (par exemple toutes les valeurs c telles que 3,0 < c < 3,4). Page 5
6 Scences Physques Il y a un désordre apparent dans le nombre de fos où une valeur se reprodut. Cependant s on fat de plus en plus de mesures, une fgure défne commence à prendre forme, ndquant que la fréquence avec laquelle une valeur donnée apparaît, est d'autant plus fable que son écart avec la valeur moyen est plus grand. L'analyse montre que la courbe dans laquelle s'nscrt de meux en meux l'hstogramme, au fur et à mesure que croît le nombre de mesures, a la forme analytque appelée dstrbuton de Gauss et représente la lo normale de probablté. Une conséquence de cec est qu'une autre façon d'exprmer la précson de la mesure consste à utlser l'écart type ou écart quadratque moyen : c = ( c c) = = N (c c) = 0,5.0 3 mol.l N = En supposant que la dsperson qu apparaît dans la sére de mesures provent unquement des fluctuatons normales, l'écart quadratque moyen ndque que /3 des mesures envron se trouvent dans ce domane d'écart autour de la valeur moyenne. b) Conclusons : Il exste un certan nombre de los de dstrbuton classques : lo bnomale, lo de Posson, lo normale... La lo normale est celle que l'on rencontre dans la plupart des stuatons de mesure d'une grandeur physque. Le calcul statstque est un calcul à posteror qu permet de trer proft des nformatons contenues dans une sére de mesures ndépendantes d'une même grandeur. Nous retendrons que : - la melleure estmaton de la valeur x d'une grandeur X effectuée par échantllonnage de N mesures x est : x = x = = N x N = - la melleure estmaton de l'ncerttude absolue x sur cette valeur est : x = ( x x) = = N (x x) N = 3) Détermnaton graphque : On consdère mantenant une expérence dans laquelle on se propose de vérfer une lo physque ou de détermner la mesure d'une grandeur physque en analysant graphquement les résultats de l'expérence dans laquelle on fat varer une grandeur et on observe les varatons concomtantes d'une autre. a) Exemples : On prépare dfférentes solutons contenant les deux partenares d'un couple acde-base A/B. Pour chaque soluton on détermne, par un calcul, les concentratons [A] et [B] et on mesure le ph. On cherche à vsualser la relaton qu exste entre le ph d'une soluton et le rapport [B] /[A]. S on trace le graphe de la relaton ph = f([b]/[a]) on obtent une courbe dont l est mpossble, a pror, de précser la nature. On sat que la relaton devrat être de la forme : ph = ln([b]/[a]) + pk a. Page 6
7 Scences Physques On dot donc tracer le graphe de la relaton ph = f(ln([b]/[a])) et s la lo est vrae on dot trouver une drote. D'une façon générale : Graphquement on ne peut démontrer que la lnéarté d'une relaton entre deux grandeurs b) Détermnaton graphque d'une mesure et de l'ncerttude : On envsage 3 expérences qu vsent à vérfer la lnéarté de la relaton entre deux grandeurs et à mesurer graphquement la "pente" de la drote représentatve de cette relaton : F = k.(l l 0 ) pour un ressort, U = R.I pour un résstor et ph = ln([b]/[a]) + pk a pour le mélange de deux solutons acde-base conjuguée. On consdère une grandeur X dont on détermne pluseurs valeurs x, sot en les mesurant (allongement d'un ressort l l 0 ) sot en les mposant dans un montage expérmental (ntensté du courant I, mélange de solutons dont on mpose la valeur de ln([b] /[A] )) et une grandeur Y dont on détermne les valeurs correspondantes dans l'expérence, sot en les mposant dans le montage expérmental (mesure de la tenson du ressort F ), sot en les mesurant (tenson aux bornes du résstor U, ph du mélange). On obtent un tableau de résultats. A chaque valeur x de la grandeur X on peut assocer une ncerttude absolue x qu peut être la même pour tous les x, ou varer d'un x à un autre (changement de calbre sur un apparel de mesure électromécanque); de même, à chaque valeur y de la grandeur Y on peut assocer une ncerttude absolue y. On peut alors placer dans un système d'axes les ponts représentatfs des dfférentes mesures. Le pont M aura pour coordonnées x et y. On peut "entourer" ce pont d'un cadre de largeur. x et de hauteur. y dont l'ntéreur représente en fat la zone d'ncerttude où peut se trouver le pont expérmental. Pour que la lo sot vérfée, les ponts expérmentaux dovent être sensblement algnés. On peut donc tracer la drote moyenne. Le tracé rgoureux de cette drote fat ntervenr des consdératons mathématques que nous ne développerons pas (drote des carrés moyens); nous retendrons que cette drote dot lasser des ponts au-dessus et audessous d'elle. Pour détermner la mesure de la pente de la drote, on utlse des ponts stués sur la drote en "oublant" les ponts expérmentaux. Les cadres d'ncerttude servent à tracer de la même façon les drotes extrêmes et d'en dédure les lmtes du coeffcent drecteur. a On alors amax amn =. a et a = max amn Page 7
8 Scences Physques IV) Exemples de détermnaton de l'ncerttude, en guse de concluson : ) Mesure d'un volume prélevé : - Lorsqu'on prélève 0 ml de lqude à l'ade d'une ppette jaugée, la précson est de l'ordre du volume d'une goutte ( 0,05 ml) : on prendra V = 0,05 ml. - lors de la mesure d'un volume à l'ade d'une fole jaugée on estme que V = 0,5 ml, les volumes mesurés étant plus grands qu'avec une ppette jaugée on à la même précson. - avec une éprouvette graduée l'ncerttude est plus grande : V ml. - la détermnaton de la précson d'un volume à "l'équvalence" dépend de la méthode utlsée. La "zone de vrage" peut être plus ou mons précse, en général V 0,5 ml. ) Mesure d'une surface : On consdère le calcul de la surface S d'une plaque par détermnaton de la mesure de sa longueur L et de sa largeur l. Sot une plaque presque carrée avec L = 0 cm et l = 9,6 cm mesurés avec un double décmètre à mm près ( L = l = mm). On trouve : S = 96 cm. S L, 0, + = ll 0 0 Or = + 0,0 sot S = 96x0,0 cm d'où S = 96 ± cm S L 9, 6 Sot mantenant une plaque très rectangulare avec L = 64 cm et l =,5 cm mesurés avec un double décmètre à mm près ( L = l = mm). On trouve : S = 96 cm. S L,, + = ll Or = + 0,07 sot S = 96x0,07 6,7 cm d'où S = 96 ± 6,7 cm S L, 5 Dans ce deuxème cas on vot que c'est la mesure de la largeur qu fat perdre de la précson : on aura ntérêt dans ce cas à changer d'nstrument de mesure. Avec un ped-à-coulsse pour mesurer l à 0,3 mm près, on aura : L = mm et l = 0,3 mm. S L, 0,03 + = ll 64 Sot S = L 0 +, 5 0,0 sot S = 96x0,0 cm d'où S = 96 ± cm 3) Mesure de l'ndce de réfracton d'un prsme : Le calcul de l'ndce n d'un prsme au "mnmum de dévaton" est donné par sn ((D + A)/ ) n = en foncton de l'angle A au sommet du prsme et de l'angle de dévaton sn( A / ) D, tous deux détermnés expérmentalement. La méthode des dérvées partelles donne : A D + A dd + da D + A A da D + A D sn.cos. sn.cos. cos sn dn = = dd da.. A A A sn sn sn Les deux erreurs da et dd étant ndépendantes, on obtent comme ncerttude : n = D + A D cos sn D. + A sn A sn A.!!! Page 8
Grandeur physique, chiffres significatifs
Grandeur physque, chffres sgnfcatfs I) Donner le résultat d une mesure en correspondance avec l nstrument utlsé : S avec un nstrument, ren n est ndqué sur l ncerttude absolue X d une mesure X, on consdère
Plus en détailMesure avec une règle
Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système
Plus en détailRemboursement d un emprunt par annuités constantes
Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)
Plus en détailExercices d Électrocinétique
ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton
Plus en détailMontage émetteur commun
tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.
Plus en détail1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h.
A2 Analyser le système Converson statque de l énerge Date : Nom : Cours 2 h 1 Introducton Un ConVertsseur Statque d énerge (CVS) est un montage utlsant des nterrupteurs à semconducteurs permettant par
Plus en détailGénéralités sur les fonctions 1ES
Généraltés sur les fonctons ES GENERALITES SUR LES FNCTINS I. RAPPELS a. Vocabulare Défnton Une foncton est un procédé qu permet d assocer à un nombre x appartenant à un ensemble D un nombre y n note :
Plus en détailTD 1. Statistiques à une variable.
Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane
Plus en détailFiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage
Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.
Plus en détailPlan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks
Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare
Plus en détailLE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF
1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs
Plus en détailSTATISTIQUE AVEC EXCEL
STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments
Plus en détailAssurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire
Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats
Plus en détailQ x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2
Exo7 Nombres complexes Vdéo parte. Les nombres complexes, défntons et opératons Vdéo parte. Racnes carrées, équaton du second degré Vdéo parte 3. Argument et trgonométre Vdéo parte 4. Nombres complexes
Plus en détailÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS.
ÉLÉMETS DE THÉORIE DE L IFORMATIO POUR LES COMMUICATIOS. L a théore de l nformaton est une dscplne qu s appue non seulement sur les (télé-) communcatons, mas auss sur l nformatque, la statstque, la physque
Plus en détailLes jeunes économistes
Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque
Plus en détailGENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation)
GENESS - Generalzed System for mputaton Smulatons (Système généralsé pour smuler l mputaton) GENESS est un système qu permet d exécuter des smulatons en présence d mputaton. L utlsateur fournt un ensemble
Plus en détailMÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES
MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de
Plus en détailDirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social
Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme
Plus en détailDES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS
DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent
Plus en détail1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2
- robabltés - haptre : Introducton à la théore des probabltés.0 robablté vs statstque.... Expérence aléatore et espace échantllonnal.... Événement.... xomes défnton de probablté..... Quelques théorèmes
Plus en détailIDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures
IDEI Report # 18 Transport December 2010 Elastctés de la demande de transport ferrovare: défntons et mesures Elastctés de la demande de transport ferrovare : Défntons et mesures Marc Ivald Toulouse School
Plus en détailChapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique
Spécale PSI - Cours "Electromagnétsme" 1 Inducton électromagnétque Chaptre IV : Inductance propre, nductance mutuelle. Energe électromagnétque Objectfs: Coecents d nductance propre L et mutuelle M Blan
Plus en détailContrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations
Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus
Plus en détailGEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau
GEA I Mathématques nancères Poly de révson Lonel Darondeau Intérêts smples et composés Voc la lste des exercces à révser, corrgés en cours : Exercce 2 Exercce 3 Exercce 5 Exercce 6 Exercce 7 Exercce 8
Plus en détailREPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE. MEMOIRE Présentée à
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE MEMOIRE Présentée à L Unversté de Batna Faculté des Scences Département de Physque
Plus en détailCREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?
CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43
Plus en détailBTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES
MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec
Plus en détailCorrigé du problème de Mathématiques générales 2010. - Partie I - 0 0 0. 0.
Corrgé du problème de Mathématques générales 2010 - Parte I - 1(a. Sot X S A. La matrce A est un polynôme en X donc commute avec X. 1(b. On a : 0 = m A (A = m A (X n ; le polynôme m A (x n est annulateur
Plus en détailThermodynamique statistique Master Chimie Université d Aix-Marseille. Bogdan Kuchta
hermodynamque statstque Master Chme Unversté d Ax-Marselle Bogdan Kuchta Plan: Rappel: thermodynamque phénoménologque (dscuter l entrope, l évoluton de gaz parfat,) Premer prncpe Deuxème prncpe (transformaton
Plus en détailChapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.
Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs
Plus en détailÉconométrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University
Économétre 5 e édton Annexes : exercces et corrgés Wllam Greene New York Unversty Édton françase drgée par Dder Schlacther, IEP Pars, unversté Pars II Traducton : Stéphane Monjon, unversté Pars I Panthéon-Sorbonne
Plus en détailI. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»
Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton
Plus en détailRéseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance.
Réseau RRFR pour la survellance dynamue : applcaton en e-mantenance. RYAD ZEMOURI, DANIEL RACOCEANU, NOUREDDINE ZERHOUNI Laboratore Unverstare de Recherche en Producton Automatsée (LURPA) 6, avenue du
Plus en détailVIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4
GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature
Plus en détailLa théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov.
La théore classque de l nformaton. ère parte : le pont de vue de Kolmogorov. La sute de caractères comme outl de descrpton des systèmes. La scence peut être vue comme l art de compresser les données quelles
Plus en détailImpôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD
Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du
Plus en détailUNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS
BRUSSELS ECONOMIC REVIEW - CAHIERS ECONOMIQUES DE BRUXELLES VOL. 49 - N 2 SUMMER 2006 UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS DANS LE SECTEUR DE L ASSURANCE AUTOMOBILE* MARÍA DEL CARMEN MELGAR**
Plus en détailBUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES
BUREAU DAPPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton à l analyse des données Samuel AMBAPOUR BAMSSI I BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton
Plus en détailDynamique du point matériel
Chaptre III Dynaqe d pont atérel I Généraltés La cnéatqe a por objet l étde des oveents des corps en foncton d teps, sans tenr copte des cases q les provoqent La dynaqe est la scence q étde (o déterne)
Plus en détailPage 5 TABLE DES MATIÈRES
Page 5 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I LES POURCENTAGES 1. LES OBJECTIFS 12 2. LES DÉFINITIONS 14 1. La varaton absolue d'une grandeur 2. La varaton moyenne d'une grandeur (par unté de temps) 3. Le coeffcent
Plus en détailAVERTISSEMENT. Contact SCD INPL: mailto:scdinpl@inpl-nancy.fr LIENS
AVERTISSEMENT Ce document est le frut d un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de
Plus en détailGATE Groupe d Analyse et de Théorie Économique DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24. Préférences temporelles et recherche d emploi
GATE Groupe d Analyse et de Théore Économque UMR 5824 du CNRS DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24 Préférences temporelles et recherche d emplo «Applcatons économétrques sur le panel Européen
Plus en détailCalcul de tableaux d amortissement
Calcul de tableaux d amortssement 1 Tableau d amortssement Un emprunt est caractérsé par : une somme empruntée notée ; un taux annuel, en %, noté ; une pérodcté qu correspond à la fréquence de remboursement,
Plus en détailINTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central
Etude numérque de la consoldaton undmensonnelle en tenant compte des varatons de la perméablté et de la compressblté du sol, du fluage et de la non-saturaton Jean-Perre MAGNAN Chef de la secton des ouvrages
Plus en détailCOMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION
COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION DE LA NON-RÉPONSE TOTALE : MÉTHODE DES SCORES ET SEGMENTATION Émle Dequdt, Benoît Busson 2 & Ncolas Sgler 3 Insee, Drecton régonale des Pays de la Lore, Servce
Plus en détailsanté Les arrêts de travail des séniors en emploi
soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N 2 2007 Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d
Plus en détailEditions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait
Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf
Plus en détailLICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50. Année 2004-2005 MODÉLISATION. Recherche des paramètres d'une représentation analytique J.P.
LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50 Année 004-005 MODÉLISATION Recherche des paramètres d'une représentaton analytque JP DUBÈS 3 MODÉLISATION Recherche des paramètres d'une représentaton analytque
Plus en détailLes déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises
Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune a, Marc Bourreau a,b et Abel Franços a,c a Télécom ParsTech, Département
Plus en détailTerminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33
Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue
Plus en détailMODÈLE D ISING À UNE ET DEUX DIMENSIONS.
Chapter MODÈLE DISIG À UE ET DEUX DIMESIOS.. ITRODUCTIO. ous commençons, dans ce chaptre, létude dun problème de mécanque statstque de la matère condensée où leffet des nteractons est mportant. Le modèle
Plus en détailTHESE. Khalid LEKOUCH
N d ordre : /2012 THESE Présentée à la FACULTE DES SCIENCES D AGADIR En vue de l obtenton du GRADE DE DOCTEUR EN PHYSIQUE (Spécalté : Energétque, Thermque et Métrologe) Par Khald LEKOUCH MODELISATION ET
Plus en détailCONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS
ONSEVAOIE NAIONAL DES AS E MEIES ELEONIQUE ANALOGIQUE PH / ELE 4 / DU GEII ere année ------------------------- ------------------------- Dder LE UYE / Perre POVEN Janer ABLE DES MAIEES APPELS D ELEOINEIQUE...5.
Plus en détailEH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes
EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare
Plus en détailLes prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe
Méthodologe CDC Clmat Recherche puble chaque mos, en collaboraton avec Clmpact Metnext, Tendances Carbone, le bulletn mensuel d nformaton sur le marché européen du carbone (EU ETS). L obectf de cette publcaton
Plus en détailLes déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises
Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune Marc Bourreau Abel Franços Jun 2006 Département Scences Economques et
Plus en détailCHAPITRE DEUX : FORMALISME GEOMETRIQUE
CHPITRE DEUX FORMLISME GEOMETRIQUE. CHPITRE DEUX : FORMLISME GEOMETRIQUE verson.3, -8 I. GEOMETRIE DNS L ESPCE-TEMPS ) Prncpe de relatvté Le prncpe de relatvté peut s exprmer ans : toutes les los physques
Plus en détailII - Notions de probabilité. 19/10/2007 PHYS-F-301 G. Wilquet 1
II - Notos de probablté 9/0/007 PHYS-F-30 G. Wlquet Ue varable aléatore est ue varable dot la valeur e peut être prédte avec certtude mas dot la probablté d occurrece d ue valeur (varable dscrète) ou d
Plus en détailLa Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires
HEC Montréal Afflée à l Unversté de Montréal La Quantfcaton du Rsque Opératonnel des Insttutons Bancares par Hela Dahen Département Fnance Thèse présentée à la Faculté des études supéreures en vue d obtenton
Plus en détailRAPPORT DE STAGE. Approcher la frontière d'une sous-partie de l'espace ainsi que la distance à cette frontière. Sujet : Master II : SIAD
UFR SCIENCES ET TECHNOLOGIES DEPARTEMENT DE MATHEMATIQUES ET INFORMATIQUE 63 177 AUBIERE CEDEX Année 2008-2009 Master II : SIAD RAPPORT DE STAGE Sujet : Approcher la frontère d'une sous-parte de l'espace
Plus en détailL enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir
L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de
Plus en détailPrêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine
Prêt de roupe et sancton socale Group lendn and socal fne Davd Alary Résumé Dans cet artcle, nous présentons un modèle d antsélecton sur un marché concurrentel du crédt. Nous consdérons l ntroducton de
Plus en détailMEMOIRE. Présenté au département des sciences de la matière Faculté des sciences
REPUBLIQUE LERIEN DEMOCRTIQUE ET POPULIRE Mnstère de l ensegnement supéreur et de la recherche scentfque Unversté El-Hadj Lakhdar-BTN- MEMOIRE Présenté au département des scences de la matère Faculté des
Plus en détailCHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE
HAITRE 4 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE... 2 INTRODUTION... 22 RAELS... 22 alcul de la valeur ntale de la répone à un échelon... 22 alcul du gan tatque... 22
Plus en détailUne analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit
Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt Sameh Borg To cte ths verson: Sameh Borg. Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt. Economes
Plus en détailPREMIERS PAS en REGRESSION LINEAIRE avec SAS. Josiane Confais (UPMC-ISUP) - Monique Le Guen (CNRS-CES-MATISSE- UMR8174)
PREMIERS PAS en REGRESSION LINEAIRE avec SAS Josane Confas (UPMC-ISUP) - Monque Le Guen (CNRS-CES-MATISSE- UMR874) e-mal : confas@ccr.jusseu.fr e-mal : monque.leguen@unv-pars.fr Résumé Ce tutorel accessble
Plus en détail- Acquisition de signaux en sismologie large bande. - Acquisition de signaux lents, magnétisme, MT.
87 DUCAPTEURAUXEANQUESDEDONNEES. TECHNQUES D'NSTRUMENTATON EN GEOPEY8QUE. J:M. CANTN Unversté Lous Pasteur (Strasbourg 1) nsttut de Physque du Globe de Strasbourg Ecole et Observatore de Physque du Globe.
Plus en détailCalculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.
1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle
Plus en détailCorrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio
Correctons adabatques et nonadabatques dans les systèmes datomques par calculs ab-nto Compte rendu du traval réalsé dans le cadre d un stage de quatre mos au sen du Groupe de Spectroscope Moléculare et
Plus en détailMESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .
MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision
Plus en détailLe Prêt Efficience Fioul
Le Prêt Effcence Foul EMPRUNTEUR M. Mme CO-EMPRUNTEUR M. Mlle Mme Mlle (CONJOINT, PACSÉ, CONCUBIN ) Départ. de nass. Nature de la pèce d dentté : Natonalté : CNI Passeport Ttre de séjour N : Salaré Stuaton
Plus en détailPro2030 GUIDE D UTILISATION. Français
Pro2030 GUIDE D UTILISATION Franças Contents Garante... Introducton... 1 Artcle nº 605056 Rév C Schéma nº A605056 Novembre 2010 2010 YSI Incorporated. Le logo YSI est une marque déposée de YSI Incorporated.
Plus en détailSystème solaire combiné Estimation des besoins énergétiques
Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables
Plus en détailPour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr.
Régulaton Sondes & Capteurs Détente frgo électronque Supervson & GTC Humdfcaton & Déshu. Vannes & Servomoteurs Comptage eau, elec., énerge Ancens artcles Cette documentaton provent du ste www.arclm.eu
Plus en détailUNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE
UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER
Plus en détailhal-00409942, version 1-14 Aug 2009
Manuscrt auteur, publé dans "MOSIM' 008, Pars : France (008)" 7 e Conférence Francophone de MOdélsaton et SIMulaton - MOSIM 08 - du mars au avrl 008 - Pars - France «Modélsaton, Optmsaton et Smulaton des
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUES SPECTRO- COLORIMETRIE
UNIVERSITE MONTPELLIER 2 Département de Physque TRAVAUX PRATIQUES DE SPECTRO- COLORIMETRIE F. GENIET 2 INTRODUCTION Cet ensegnement de travaux pratques de seconde année se propose de revor rapdement l'aspect
Plus en détailPratique de la statistique avec SPSS
Pratque de la statstque avec SPSS SUPPORT Transparents ultéreurement amélorés et ms à jour sur le ste du SMCS LIENS UTILES Ste du SMCS (Support en Méthodologe et Calcul Statstque) : http://www.stat.ucl.ac.be/smcs/
Plus en détailClemenceau. Régime sinusoïdal forcé. Impédances Lois fondamentales - Puissance. Lycée. PCSI 1 - Physique. Lycée Clemenceau. PCSI 1 (O.
ycé Clnca PCS - Physq ycé Clnca PCS (O.Granr) ég snsoïdal forcé pédancs os fondantals - Pssanc ycé Clnca PCS - Physq ntérêt ds corants snsoïdax : Expl d tnsons snsoïdals : tnson d sctr (50 H 0 V) s lgns
Plus en détail22 environnement technico-professionnel
22 envronnement technco-professonnel CYRIL SABATIÉ Drecteur du servce jurdque FNAIM Ouverture du ma IMMOBILIER, OÙ 1 Artcle paru également dans la Revue des Loyers, jullet à septembre 2007, n 879, p. 314
Plus en détailAVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale. LIENS
AVETISSEMENT Ce docuent est le frut d'un long traval approuvé par le jury de soutenance et s à dsposton de l'enseble de la counauté unverstare élarge. Il est sous à la proprété ntellectuelle de l'auteur.
Plus en détailIntegral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation
Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement
Plus en détailStéganographie Adaptative par Oracle (ASO)
Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech To cte ths verson: Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech. Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO. CORESA 12: COmpresson
Plus en détailEn vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009
THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par Insttut Natonal Polytechnque de Toulouse (INPT) Dscplne ou spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Elayeb Blel Le
Plus en détailPaquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11
Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr
Plus en détailEn vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008
THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre
Plus en détailP R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D
P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D Sommare 1 2 2.1 2.2 2.3 3 3.1 3.2 3.3 4 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 5 6 7 7.1 7.2 7.3 8 8.1 8.2 8.3 8.4 8.5 8.6 Contenu du carton... 4 Paramétrage... 4 Connexon
Plus en détailCalculs des convertisseurs en l'electronique de Puissance
Calculs des conertsseurs en l'electronque de Pussance Projet : PROGRAMMAON ate : 14 arl Auteur : herry EQUEU. EQUEU 1, rue Jules Massenet 37 OURS el 47 5 93 64 herry EQUEU Jun [V37] Fcher : ESGN.OC Calculs
Plus en détailÉtranglement du crédit, prêts bancaires et politique monétaire : un modèle d intermédiation financière à projets hétérogènes
Étranglement du crédt, prêts bancares et poltque monétare : un modèle d ntermédaton fnancère à projets hétérogènes Mngwe Yuan et Chrstan Zmmermann Introducton et objet de l étude Par étranglement du crédt
Plus en détailMots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle
Mots-clés : xgences système d'une nouvelle fonctonnalté dans l'habtat ndvduel : cas de la survellance Système multcapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervson, Domotque. des personnes âgées et
Plus en détailDocuments de travail. «La taxe Tobin : une synthèse des travaux basés sur la théorie des jeux et l économétrie» Auteurs
Documents de traval «La taxe Tobn : une synthèse des travaux basés sur la théore des jeux et l économétre» Auteurs Francs Bsmans, Olver Damette Document de Traval n 2012-09 Jullet 2012 Faculté des scences
Plus en détailSciences Industrielles Précision des systèmes asservis Papanicola Robert Lycée Jacques Amyot
Scence Indutrelle Précon de ytème erv Pncol Robert Lycée Jcque Amyot I - PRECISION DES SYSTEMES ASSERVIS A. Poton du roblème 1. Préentton On vu que le rôle d un ytème erv et de fre uvre à l orte (t) une
Plus en détailLE PRINCIPE DU RAISONNEMENT PAR RÉCURRENCE
LE PRINCIPE DU RAISONNEMENT PAR RÉCURRENCE. Exemple troductf (Les élèves qu coasset déà be le prcpe peuvet sauter ce paragraphe) Cosdéros la sute (u ), défe pour tout, par : u u u 0 0 Cette sute est défe
Plus en détailCHAPITRE 1 : Distribution statistique à une dimension
Chatre1 : Dstrbuton Statstque à une dmenson I.H.E.T de Sd Dhr CHAPITRE 1 : Dstrbuton statstque à une dmenson Secton 1 : Vocabulare élémentare de la statstque descrtve 1. Poulaton et ndvdu Dénton On aelle
Plus en détailEvaluation de performances d'ethernet commuté pour des applications temps réel
Evaluaton de performances d'ethernet commuté pour des applcatons temps réel Ans Koubâa, Ye-Qong Song LORIA-INRIA-INPL, Avenue de la Forêt de Haye - 5456 Vandoeuvre - France Emal : akoubaa@lorafr, song@lorafr
Plus en détailNotes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Fausto Errico Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2012 Table des matières
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailOM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables
Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables PCSI 2013 2014 Certaines partie de ce chapitre ne seront utiles qu à partir de l année prochaine, mais une grande partie nous servira dès cette année.
Plus en détailMesures et incertitudes
En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire
Plus en détail