U Q W Pv m P v m. Wfluide amont m Pext Vext. Wfluide aval m Pext Vext

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "U Q W Pv m P v m. Wfluide amont m Pext Vext. Wfluide aval m Pext Vext"

Transcription

1 Etude d une achine frigorifique à évaporation. Diagrae (T, s). 1. Preier principe de la therodynaique pour un écouleent peranent. Le fluide qui s'écoule à travers les organes d'une achine reçoit deux sortes de travail : Le travail utile Wutile cédé par les parois obiles d'une turbine ou d'un piston. Le travail des forces de pressions exercées par les fluides situés en aont et en aval. Bilan énergétique pour un organe ouvert. Exainons un organe en régie peranent. On dessine une surface de contrôle virtuelle Σ ferée qui deeure fixe pendant l'enseble de la déonstration et qui sépare l'intérieur de l'organe de l'extérieur. En aont de cette surface, le fluide est hoogène et présente une pression P1 et des grandeurs assiques v1, u1, hl unifores. En aval, le fluide est égaleent hoogène et ses grandeurs sont affectées de l'indice 2. On envisage, à l'instant t, une asse de fluide située en aont de l'organe, à la frontière de la surface Σ. Pendant la durée Δt, cette asse pénètre entièreent dans la surface de contrôle, tandis qu'une quantité équivalente ressort en aval. Coe l'écouleent du fluide est peranent, la asse totale de fluide contenue dans la surface de contrôle ne varie pas et le débit entrant en aont est égal au débit sortant en aval. On évalue le travail reçu par la asse totale de fluide pendant la durée Δt. Trois contributions doivent être prises en copte : En preier lieu, le travail des parois obiles (piston et turbine), ou travail utile Wutile transféré par l'organe au fluide qui le traverse. En second lieu, un travail oteur fourni par le fluide situé en aont. La asse de fluide Δ qui entre pendant Δt est en effet souise à la pression P1 du fluide situé derrière elle et bénéficie ainsi d'un apport de travail. Le fluide situé en aont gagne le volue v1δ, où v1, désigne le volue assique en aont. Le travail fourni par le fluide aont s'écrit : Wfluide aont Pext Vext P1 v1 0 Pv 1 1 Rearque : on utilise la forule générale du travail des forces de pression, qui fait apparaître la variation de volue ΔVext du ilieu extérieur. Il est reçu par le fluide entrant, donc positif. En troisièe lieu, un travail résistant cédé au fluide situé en aval. La asse de fluide Δ qui sort de la surface de contrôle pendant Δt doit en effet refouler le fluide situé en aval, dont la pression est P2 Cette asse vient occuper un volue v2δ, de sorte que le volue du fluide situé en aval est réduit de cette quantité : Wfluide aval Pext Vext P2 0 v2 P2 v2 Ce travail est négatif, ce qui est logique puisque refouler le fluide en aval coûte de l'énergie au systèe. Le systèe cède une quantité positive P2V2 au fluide aval. Associée au transfert therique Q, ces trois contributions s'ajoutent à l'énergie interne de la asse totale, pour laquelle le preier principe s'écrit : U Q W Pv P v utile

2 La variation d'énergie interne du fluide peut se siplifier : la asse contenue dans la surface de contrôle ne varie pas et ses paraètres therodynaiques, en particulier son énergie interne, restent constants. Seule l'énergie interne de la asse Δ traversant la surface de contrôle varie. En utilisant les énergies internes assiques u1 et u2 en aont et en aval, on obtient : U 0 U U U avec soit u2 u1 Q Wutile Pv 1 1 P2 v2 U u2 u1 On divise cette relation par la asse Δ ; on voit apparaitre la chaleur q et le travail utile wutile assiques. Q Wutile u 2 u1 Pv 1 1 P2 v2 u2 P2 v2 u1 Pv 1 1 q wutile On identifie la variation d'enthalpie assique de la asse de fluide Δ qui a traversé l'organe (plus exacteent, entre la asse Δ qui est sortie de Σ en aval pendant Δt et celle, équivalente, qui est entrée en aont pendant la êe durée) : h q wutile C'est la forulation qui est utilisée pour foruler le travail utile cédé par un organe de achine en écouleent peranent. Enoncé du preier principe pour un organe de achine therique Pour un fluide s'écoulant en régie peranent à travers l'organe d'une achine therique, le bilan énergétique assique distingue le travail utile du travail total et s'écrit : h q w utile Rearque : La relation u q w est toujours valable pour cet organe, ais la quantité w désigne le travail total reçu à la traversée de l'organe, qui inclut les contributions aont et aval liées à l'écouleent du fluide. Le bilan enthalpique h q wutile donne donc accès à la grandeur wutile représentative du travail réelleent disponible sur l'arbre de la turbine. 2. Nature de la détente 3-4. La vanne ne fournit ni travail ni transfert therique au fréon. En appliquant la relation précédente avec 3. Représentation d une isobare. Quand le liquide et la vapeur coexistent, la tepérature et la pression sont liées à l'équilibre,. Donc une évolution isobare quasi stationnaire est aussi isothere sous la courbe de saturation. Une isobare (et isothere) quasi stationnaire est donc une droite horizontale dans le diagrae (T, s) sous la courbe de saturation (région liq vap). 4. Cycle. Pour construire le cycle, on résue les inforations données dans un diagrae.

3 Le tracé du cycle est le suivant : 5. Tepérature en sortie. Si l'évolution du fréon dans le copresseur était adiabatique irréversible, l'entropie assique du fréon augenterait en vertu du deuxièe principe (appliqué à une unité de asse de fréon, systèe feré), Le segent serait donc replacé par une portion de courbe oblique (pente positive pour respecter la croissance de s) et le point 2 serait situé plus à droite sur la courbe isobare p = 15 bars. Graphiqueent, on voit que la tepérature en fin de copression serait donc supérieure à t2.

4 6. Enthalpie assique de vaporisation. Par définition de l'enthalpie assique de vaporisation,, donc se lit graphiqueent coe l'écart entre deux courbes isenthalpes passant par les extréités d'un palier horizontal de vaporisation. Par ailleurs, le deuxièe principe appliqué à une asse donnée de fréon (systèe feré) pour une évolution onothere réversible s'écrit. Dans le cas où cette évolution est de plus isobare (cas d'un changeent d'état quasi stationnaire isothere),, donc. En divisant ebre à ebre cette égalité par la asse du systèe, on obtient : Attention, dans cette dernière relation, la tepérature est expriée en kelvins. C'est pour cela qu'elle est écrite avec un T ajuscule. Graphiqueent, la différence se lit coe la différence des abscisses des extréités du palier de liquéfaction (les extréités sont sur la courbe de saturation) à la tepérature To. 7. Application nuérique. Pour p = 3,0 bars, le diagrae indique que la tepérature du palier est t = 0 C, soit T = 273 K. Graphiqueent, on esure la longueur du palier et la relation précédentes donne, aux incertitudes de lecture graphique près, 8. Point critique. Le point critique est le soet de la courbe de saturation. On lit sur le diagrae : Le palier de vaporisation est de oins en oins large lorsque la tepérature augente vers tc. Le liquide et la vapeur se «resseblent» de plus en plus (entropies assiques presque égales). Il suffit donc de fournir peu d énergie pour effectuer la transition liquide vapeur. 9. Fraction assique. La pression étant fixée, la tepérature l'est aussi, car ces deux grandeurs sont liées lors d'un équilibre liquide-vapeur de corps pur. Pour une tepérature t donnée, l'entropie du systèe {liquide + vapeur = asse de fréon} s'écrit coe la soe des entropies de chaque phase (extensivité de l'entropie). En divisant tout par, on construit l'entropie assique du fréon qui donne : Le nuérateur et le dénoinateur s'interprètent bien coe des longueurs. Si L et V désignent les extréités (liquide et vapeur saturants respectiveent) du palier et si M désigne un point du palier, le titre en vapeur au point M s'écrit : (règle des oents) 10. Titre en vapeur à la sortie de la vanne de détente. Sur le diagrae, pour le point 4, on lit x4 = 0,43. Cela est cohérent, car le point 4 est entre les courbes isotitre en vapeur x = 0,4 et x = 0,5.

5 11. Transfert therique avec la source chaude. Le condenseur ne fournit pas de travail au fréon (parois indéforables, pas de dispositif oteur ou de piston). L'expression du preier principe appliquée avec w = 0 donne qc dont on déterine graphiqueent la valeur nuérique : La valeur de qc est négative, ce qui signifie que le fréon cède de l'énergie therique au ilieu chaud. C'est pour cela que la grille située à l'arrière des réfrigérateurs doestiques est toujours un peu tiède. De plus, il est noral que le fréon libère de l'énergie lorsqu'il se condense (son enthalpie assique diinue). 12. Transfert therique avec la source froide. En faisant le êe raisonneent pour l'évolution : La valeur de qf est positive, ce qui est noral pour une vaporisation (consoation d'énergie therique). Le fréon prélève donc de l'énergie au ilieu froid, ce qui est bien le rôle d'une achine réfrigérante. 13. Travail reçu de la part du copresseur. On peut calculer de deux façons. La plus siple consiste à appliquer l'expression du preier principe avec q = 0 (évolution adiabatique), ce qui donne : La seconde façon utilise le fait que l'enthalpie est une fonction d'état. Par conséquent, pour un cycle (états de départ et d'arrivée identiques), la variation d'enthalpie d'un systèe feré est nulle. En écrivant cela pour les grandeurs assiques du fréon, Le travail assique est positif, ce qui est noral car le copresseur doit fournir du travail au fréon pour faire augenter sa pression. C'est pour pouvoir fournir ce travail au fréon qu'un réfrigérateur doit consoer de l'énergie électrique. 14. Efficacité e. On définit l'efficacité du réfrigérateur par : Cela signifie que, pour un joule de travail dépensé dans le copresseur, la achine prélève 2,75 joules sous fore therique au ilieu froid. 15. Machine de Carnot. Adiabatique réversible signifie isentropique. Le fonctionneent d'une achine de Carnot, représenté par deux isotheres et deux isentropiques, est donc un rectangle dans le diagrae (t-s). Le point C correspond au point 3 de l'étude précédente. Le point B correspond à l'extréité droite du palier de vaporisation à t = +60 C. Le cycle de Carnot est construit de la façon suivante. A B : copression isentropique (échauffeent). B C : liquéfaction qui donne de l'énergie therique à la source chaude. C D: détente isentropique (contraireent à une détente de type Joule-Thoson qui crée de l'entropie). D A: vaporisation avec prélèveent d'énergie therique à la source froide.

6 L'efficacité de la achine de Carnot est définie par, avec : Nuériqueent, l'efficacité de la achine de Carnot est. L'efficacité de la achine de Carnot (cycle réversible) est donc supérieure à celle de la achine réelle (cycle irréversible). Coe pour toutes les achines theriques, l'irréversibilité est une cause de dégradation de l'efficacité énergétique. 16. Capacité therique assique à pression constante. Le deuxièe principe appliqué à une asse donnée de fréon (systèe feré) s'écrit, pour une évolution réversible onothere,. Par ailleurs, lors de l'échauffeent quasi stationnaire isobare d'un systèe hoogène de capacité therique assique isobare Cp, la variation de tepérature du systèe est liée à la quantité d'énergie therique reçue par. Pour une évolution où la tepérature varie peu (presque onothere), on peut cobiner ces deux relations, ce qui donne. En divisant par la asse du systèe, on fait apparaître les grandeurs assiques, notées cp et s, Cette relation est vraie pour une évolution isobare et sur un faible intervalle de tepérature autour de T. Dans ce cas, est liée, dans le diagrae (T, s), à la pente d une courbe isobare (cette pente est la différence des ordonnées sur la différence des abscisses). Donc cp se déterine coe le produit de la tepérature en kelvins par l inverse de la pente locale d une courbe isobare. Au voisinage du point I : La tepérature est de 263 K La pente de la courbe isobare peut se déteriner de façon approxiative graphiqueent, par exeple en approchant la courbe par une droite entre deux points éloignés de 10 C. Cela donne une pente. Avec ces valeurs :

Mécanique : Cinématique du point. Chapitre 1 : Position. Vitesse. Accélération

Mécanique : Cinématique du point. Chapitre 1 : Position. Vitesse. Accélération 2 e B et C 1 Position. Vitesse. Accélération 1 Mécanique : Cinéatique du point La écanique est le doaine de tout ce qui produit ou transet un ouveent, une force, une déforation : achines, oteurs, véhicules,

Plus en détail

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.alternativesjournal.ca/people-and-profiles/web-exclusive-ela-alumni-make-splash

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.alternativesjournal.ca/people-and-profiles/web-exclusive-ela-alumni-make-splash Une personne de 60 kg est à gauche d un canoë de 5 de long et ayant une asse de 90 kg. Il se déplace ensuite pour aller à droite du canoë. Dans les deux cas, il est à 60 c de l extréité du canoë. De cobien

Plus en détail

EXERCICE II : LE TELEPHONE "POT DE YAOURT" (5 points)

EXERCICE II : LE TELEPHONE POT DE YAOURT (5 points) USA 2005 EXERCICE II : LE TELEPHONE "POT DE YAOURT" (5 points) A l'ère du téléphone portable, il est encore possible de couniquer avec un systèe bien plus archaïque L'onde sonore produite par le preier

Plus en détail

Premier principe : bilans d énergie

Premier principe : bilans d énergie MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie

Plus en détail

MASSE, VOLUME ET QUANTITE DE MATIERE

MASSE, VOLUME ET QUANTITE DE MATIERE MASSE, OLUME ET QUANTITE DE MATIERE Exercices du Livre Microega Hatier (004 Correction L acide sulfurique 1. Calculons la asse olaire de l acide sulfurique : M(H SO 4 xm(h + M(S + 4xM(O M(H SO 4 x1,00

Plus en détail

Arrondissage des résultats de mesure. Nombre de chiffres significatifs

Arrondissage des résultats de mesure. Nombre de chiffres significatifs BUREAU NATIONAL DE MÉTROLOGIE COMMISSARIAT À L'ÉNERGIE ATOMIQUE LABORATOIRE NATIONAL HENRI BECQUEREL Note technique LNHB/04-13 Arrondissage des résultats de esure Nobre de chiffres significatifs M.M. Bé,

Plus en détail

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

Équations générales des milieux continus

Équations générales des milieux continus Équations générales des ilieux continus Jean Garrigues 1 ai 212 ii Avant-propos L objectif de ce cours est d établir les équations générales régissant tous les ilieux continus, qu ils soient solides ou

Plus en détail

Cours de turbomachine à fluide compressible

Cours de turbomachine à fluide compressible Cours de turbomachine à fluide compressible Xavier OAVY CNRS UMR 5509 Laboratoire de Mécanique des Fluides et d Acoustique à l École Centrale de Lyon Plan du cours Cours de turbomachine Xavier Ottavy (CNRS

Plus en détail

THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ

THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ B. AMANA et J.-L. LEMAIRE 2 LIQUEFACTION D'UN GAZ Cette expérience permet d'étudier la compressibilité et la liquéfaction d'un fluide en fonction des variables P,

Plus en détail

COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES

COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES I.U.. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie hermique et énergie COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES Olivier ERRO 200-20 2 Avertissement : Ce cours de machines frigorifiques propose d aborder le principe

Plus en détail

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf

Plus en détail

Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique

Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique 43 4.1. Evolutions réversibles et irréversibles 4.1.1. Exemples 4.1.1.1. Exemple 1 Reprenons l exemple 1 du chapitre précédent. Une masse est placée

Plus en détail

Chapitre 5: Oscillations d un pendule élastique horizontal

Chapitre 5: Oscillations d un pendule élastique horizontal 1 re B et C 5 Oscillations d'un pendule élastique horizontal 40 Chapitre 5: Oscillations d un pendule élastique horizontal 1. Définitions a) Oscillateur écanique * Un systèe écanique qui effectue un ouveent

Plus en détail

COURS DE THERMODYNAMIQUE

COURS DE THERMODYNAMIQUE I.U.T. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie Thermique et énergie COURS DE THERMODYNAMIQUE eme Semestre Olivier PERROT 010-011 1 Avertissement : Ce cours de thermodynamique présente quelques applications

Plus en détail

OBJECTIFS. I. A quoi sert un oscilloscope?

OBJECTIFS. I. A quoi sert un oscilloscope? OBJECTIFS Oscilloscope et générateur basse fréquence (G.B.F.) Siuler le fonctionneent et les réglages d'un oscilloscope Utiliser l oscilloscope pour esurer des tensions continues et alternatives Utiliser

Plus en détail

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie

Plus en détail

Physique : Thermodynamique

Physique : Thermodynamique Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une

Plus en détail

Variantes du cycle à compression de vapeur

Variantes du cycle à compression de vapeur Variantes du cycle à compression de vapeur Froid indirect : circuit à frigoporteur Cycle mono étagé et alimentation par regorgement Cycle bi-étagé en cascade Froid direct et froid indirect Froid direct

Plus en détail

Simulation numérique de la réponse d un pieu en cours de battage

Simulation numérique de la réponse d un pieu en cours de battage Siulation nuérique e la réponse un pieu en cours e battage Philippe LEPERT Ingenieur Division Géotechnique et Mécanique es Chaussées Laboratoire Central es Ponts et Chaussées Daniel MEIGNEN Technicien

Plus en détail

1 Thermodynamique: première loi

1 Thermodynamique: première loi 1 hermodynamique: première loi 1.1 Énoncé L énergie d un système isolé est constante, L énergie de l univers est constante, de univers = de syst + de env. = 0 1 L énergie d un système est une fonction

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

L indice des prix à la consommation

L indice des prix à la consommation L indice des prix à la consoation Base 2004 Direction générale Statistique et Inforation éconoique 2007 L indice des prix à la consoation Base 2004 = 100 La Direction générale Statistique et Inforation

Plus en détail

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université

Plus en détail

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir? COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,

Plus en détail

Exercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique

Exercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction

Plus en détail

Mesures calorimétriques

Mesures calorimétriques TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

FICHE INFORMATION. Le Comptage comptage individuel. Votre partenaire en économie d énergie

FICHE INFORMATION. Le Comptage comptage individuel. Votre partenaire en économie d énergie FICHE INFORMATION Le Comptage comptage individuel de du l eau chauffage Votre partenaire en économie d énergie Le répartiteur de frais de chauffage Le répartiteur est un appareil de mesure du chauffage

Plus en détail

La mémoire C HAPITRE S EPT. 7.1 Qu est-ce que la mémoire? 166. 7.2 L utilisation de la mémoire à court terme 169

La mémoire C HAPITRE S EPT. 7.1 Qu est-ce que la mémoire? 166. 7.2 L utilisation de la mémoire à court terme 169 La éoire C HAPITRE S EPT 7.1 Qu est-ce que la éoire? 166 Les types de éoires 166 Vue d enseble des processus éoriels 168 7.2 L utilisation de la éoire à court tere 169 La éoire iconique 169 La éoire à

Plus en détail

ÉTUDE BDC LES CINQ FACTEURS CLÉS ET LES CINQ PIÈGES À ÉVITER POUR RÉUSSIR EN AFFAIRES

ÉTUDE BDC LES CINQ FACTEURS CLÉS ET LES CINQ PIÈGES À ÉVITER POUR RÉUSSIR EN AFFAIRES ÉTUDE BDC LES CINQ FACTEURS CLÉS ET LES CINQ PIÈGES À ÉVITER POUR RÉUSSIR EN AFFAIRES Seaine de la PME BDC 2014 Résué --------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

SNC du Chemin de Paris Création d un bâtiment d activité industrielle et de stockage ZAC du Chemin de Paris 60440 Nanteuil le Haudouin

SNC du Chemin de Paris Création d un bâtiment d activité industrielle et de stockage ZAC du Chemin de Paris 60440 Nanteuil le Haudouin DOSSIER DE DEMANDE D ENREGISTREMENT D UNE INSTALLATION CLASSEE POUR LA PROTECTION DE L ENVIRONNEMENT Code de l Environneent Livre V Titre I SNC du Chein de Paris Création d un bâtient d activité industrielle

Plus en détail

PHANTOM 3. Guide de démarrage rapide PROFESSIONAL V1.0

PHANTOM 3. Guide de démarrage rapide PROFESSIONAL V1.0 PHANTOM 3 PROFESSIONAL Guide de déarrage rapide V.0 Phanto 3 Professional Découvrez votre Phanto 3 Professional. La caéra du Phanto 3 Professional vous peret d'enregistrer des vidéos en 4K et de prendre

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

2.1 Comment fonctionne un site?

2.1 Comment fonctionne un site? Coent fonctionne un site? Dans ce chapitre, nous allons étudier la liste des logiciels nécessaires à la création d un site ainsi que les principes de base indispensables à son bon fonctionneent. 2.1 Coent

Plus en détail

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les

Plus en détail

Tolérance aux fautes-2 Serveurs à haute disponibilité

Tolérance aux fautes-2 Serveurs à haute disponibilité École Doctorale de Grenoble Master 2 Recherche Systèes et Logiciel Disponibilité des s Tolérance aux fautes-2 Serveurs à haute disponibilité Sacha Krakowiak Université Joseph Fourier Projet Sardes (INRIA

Plus en détail

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance. 9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation

Plus en détail

Fonctions de deux variables. Mai 2011

Fonctions de deux variables. Mai 2011 Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs

Plus en détail

Thermodynamique (Échange thermique)

Thermodynamique (Échange thermique) Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication

Plus en détail

6 CYCLES DE PRODUCTION D'ÉLECTRICITÉ À VAPEUR

6 CYCLES DE PRODUCTION D'ÉLECTRICITÉ À VAPEUR 6 CYCLES DE PRODUCTION D'ÉLECTRICITÉ À VAPEUR Nous présentons dans ce chapitre les principaux cycles utilisés dans les installations motrices à vapeur, qui servent aujourd'hui essentiellement à la production

Plus en détail

Aide à l'application Preuve du besoin de réfrigération et/ou d humidification de l air Edition mai 2003

Aide à l'application Preuve du besoin de réfrigération et/ou d humidification de l air Edition mai 2003 CONFERENCE DES SERVICES CANTONAUX DE L'ENERGIE KONFERENZ KANTONALER ENERGIEFACHSTELLEN Aide à l'application Preuve du besoin de réfrigération et/ou d humidification de l air 1. Contexte Une série d'aides

Plus en détail

Bien lire l énoncé 2 fois avant de continuer - Méthodes et/ou Explications Réponses. Antécédents d un nombre par une fonction

Bien lire l énoncé 2 fois avant de continuer - Méthodes et/ou Explications Réponses. Antécédents d un nombre par une fonction Antécédents d un nombre par une fonction 1) Par lecture graphique Méthode / Explications : Pour déterminer le ou les antécédents d un nombre a donné, on trace la droite (d) d équation. On lit les abscisses

Plus en détail

DOSSIER SUR LE SECTEUR DES NOMS DE DOMAINE VOLUME 11 - NUMÉRO 4 - JANVIER 2015

DOSSIER SUR LE SECTEUR DES NOMS DE DOMAINE VOLUME 11 - NUMÉRO 4 - JANVIER 2015 DOSSIER SUR LE SECTEUR DES NOMS DE DOMAINE VOLUME 11 - NUMÉRO - JANVIER 2015 RAPPORT DE VERISIGN SUR LES NOMS DE DOMAINE LEADER MONDIAL DU SECTEUR DES NOMS DE DOMAINE ET DE LA SÉCURITÉ D'INTERNET, VERISIGN

Plus en détail

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce

Plus en détail

Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante

Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Les bases de données. Historique

Les bases de données. Historique 1 Les bases de données Aujourd hui indispensables dans tous les systèes de gestion de l inforation, les bases de données sont une évolution logique de l augentation de la deande de stockage de données.

Plus en détail

Autour des nombres et des polynômes de Bernoulli

Autour des nombres et des polynômes de Bernoulli Autour des nobres et des polynôes de Bernoulli Gaëtan Bisson d après un cours de Don Zagier Résué En athéatiques, les nobres de Bernoulli ont d abord été étudiés en cherchant à calculer les soes du type

Plus en détail

mesure des débits et des volumes dérivés par les canaux gravitaires

mesure des débits et des volumes dérivés par les canaux gravitaires mesures limnimétriques 2009 Depuis la loi sur l Eau de 1992, précisée par celle de 2006, tous les volumes d eau prélevés dans le milieu naturel doivent être mesurés, et ce, pour permettre une meilleure

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

L étalonnage par traceur Compton, une nouvelle méthode de mesure primaire d activité en scintillation liquide

L étalonnage par traceur Compton, une nouvelle méthode de mesure primaire d activité en scintillation liquide PH. CASSEE L étalonnage par traceur Copton, une nouvelle éthode de esure priaire d activité en scintillation liquide he Copton source efficiency tracing ethod, a new standardization ethod in liquid scintillation

Plus en détail

Échafaudage de façade UNI 70/100

Échafaudage de façade UNI 70/100 Stark gerüstet. Échafaudage de façade 70/100 Français valable à partir du 15.04.2013 Table des atières Montage du systèe / Avantages du systèe 2-3 Châssis 4-5 Planchers 6 Escaliers «intérieurs» 7 Escaliers

Plus en détail

3008 HYbrid4 13B PEUGEOT. TARIFS, ÉQUIPEMENTS ET CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES APPLICABLES AU 4 mars 2013

3008 HYbrid4 13B PEUGEOT. TARIFS, ÉQUIPEMENTS ET CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES APPLICABLES AU 4 mars 2013 Peugeot a édité ce guide pour vous aider à configurer votre 3008 selon vos désirs.vous y trouverez aussi toutes les caractéristiques techniques qui distinguent votre 3008, et toutes les inforations dont

Plus en détail

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides

Plus en détail

LA MESURE DE MASSE POUR LA DÉTERMINATION DE PÉRIODES RADIOACTIVES

LA MESURE DE MASSE POUR LA DÉTERMINATION DE PÉRIODES RADIOACTIVES LA EURE DE AE POUR LA DÉTERINATION DE PÉRIODE RADIOACTIVE CEA ACLAY, DEN/DAN/DPC ervice d Études Analytiques et de Réactivité des urfaces Laboratoire de développement Analytique Nucléaire Isotopique et

Plus en détail

Fête de la science Initiation au traitement des images

Fête de la science Initiation au traitement des images Fête de la science Initiation au traitement des images Détection automatique de plaques minéralogiques à partir d'un téléphone portable et atelier propose de créer un programme informatique pour un téléphone

Plus en détail

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)

Plus en détail

Lecture graphique. Table des matières

Lecture graphique. Table des matières Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................

Plus en détail

Gamme et conseils de mise en œuvre

Gamme et conseils de mise en œuvre ENVELOPPE DU BÂTIMENT Gae et conseils de ise en œuvre BATIROC COMPLÉMENT DE GAMME, nous consulter PROFILS DE BARDAGE BATIBAC 4-25BV BATIBAC 6-25BH BATIBAC 5-35BH 25 267,5 FACE B (extérieur) 25 80,8 FACE

Plus en détail

Energie et conversions d énergie

Energie et conversions d énergie Chapitre 6 et conversions d énergie I) NOTIONS GENERALES Les différentes formes d énergie : électrique (liée aux courants et tensions) lumineuse (liée à un mouvement ou à l altitude) thermique (liée à

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique

Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Fiche d application : Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Date Modification Version 01 décembre 2013 Précisions sur les CET grand volume et sur les CET sur air extrait 2.0

Plus en détail

Le Centre de Tri. Projet d espace de coworking à Bègles 21 janvier 2011

Le Centre de Tri. Projet d espace de coworking à Bègles 21 janvier 2011 Le Centre de Tri Projet d espace de coworking à Bègles 21 janvier 2011 Contexte 2 Objectifs 4 Projet 6 Lieu 8 Équipe projet 11 S o a i r Équipe d aniation Prograation Modèle éconoique Budget prévisionnel

Plus en détail

MESURE DE L'INFORMATION

MESURE DE L'INFORMATION MESURE DE L'INFORMATION Marc URO TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 INCERTITUDE D'UN ÉVÉNEMENT (OU SELF-INFORMATION)... 7 INFORMATION MUTUELLE DE DEUX ÉVÉNEMENTS... 9 ENTROPIE D'UNE VARIABLE ALÉATOIRE

Plus en détail

PLAQUES DE PLÂTRE CLOISONS - DOUBLAGES

PLAQUES DE PLÂTRE CLOISONS - DOUBLAGES CONSEILS ILLUSTRÉS D'ISOLAVA PLAQUES DE PLÂTRE CLOISONS - DOUBLAGES GUIDE DE MISE EN OEUVRE VITE et BIEN FAIT SOMMAIRE 1. Cloison de séparation sur ossature p 3 étallique -Matériaux nécessaires par 2 de

Plus en détail

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian 1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul

Plus en détail

Abstract. Key-words: The flowshop problem, Heuristics, Job scheduling, Total flowtime.

Abstract. Key-words: The flowshop problem, Heuristics, Job scheduling, Total flowtime. Abstract Since the flowshop scheduling proble has found to be an NP-coplete proble, the developent of heuristic algoriths that give better solutions becoe necessary. In this paper we discuss how to resolve

Plus en détail

PROPRIETES ELASTIQUES DU PLI UNIDIRECTIONNEL APPROCHE MICROMECANIQUE

PROPRIETES ELASTIQUES DU PLI UNIDIRECTIONNEL APPROCHE MICROMECANIQUE Cours Matériau Coposites Fiche 2 PROPRITS LASTIQUS DU PLI UNIDIRCTIONNL APPROCH MICROMCANIQU A. Chateauinois RSUM : Cette iche présente des approches sipliiées perettant d'éaluer le odule longitudinal

Plus en détail

Utiliser Internet Explorer

Utiliser Internet Explorer 5 Utiliser Internet Explorer 5 Utiliser Internet Explorer Internet Explorer est le plus utilisé et le plus répandu des navigateurs web. En effet, Internet Explorer, couraent appelé IE, est le navigateur

Plus en détail

L énergie sous toutes ses formes : définitions

L énergie sous toutes ses formes : définitions L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,

Plus en détail

THESE. Applications des algorithmes d'auto-organisation à la classification et à la prévision

THESE. Applications des algorithmes d'auto-organisation à la classification et à la prévision UNIVERSITE PARIS I PANTHEON SORBONNE U.F.R. DE MATHEMATIQUES et INFORMATIQUE Année 999 THESE Pour obtenir le rade de DOCTEUR DE L'UNIVERSITE PARIS I Discipline : Mathéatiques Présentée et soutenue publiqueent

Plus en détail

Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES

Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES Entropie de mélange. - Evolution adiabatique. - Autres évolutions réversibles et irréversibles. L ensemble de ce chapitre

Plus en détail

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................

Plus en détail

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire

Plus en détail

Corps de palier. Aperçu des produits Corps de palier... 1322 Caractéristiques Matières du corps de palier et surfaces extérieures...

Corps de palier. Aperçu des produits Corps de palier... 1322 Caractéristiques Matières du corps de palier et surfaces extérieures... Corps Corps Pae Aperçu des produits Corps... 3 Caractéristiques Matières du corps et surfaces extérieures... 34 Paliers fixes et paliers libres... 34... 34 Corps à seelle onoblocs et en deux parties Corps

Plus en détail

Systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage

Systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage Systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage Les objectifs d'apprentissage: Cet exposé vous informera au sujet des systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage (SRCED) et: Comment

Plus en détail

Autoconsommation d énergie photovoltaïque

Autoconsommation d énergie photovoltaïque Autoconsommation d énergie photovoltaïque Principe et intérêt de l autoconsommation de l électricité photovoltaïque Atelier technique PV-NET Mardi 3 décembre 2013 Marc Niell Ingénieur chargé d affaires

Plus en détail

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet

Plus en détail

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be

Plus en détail

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer

Plus en détail

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

Soumise à l effet du vent, à la différence

Soumise à l effet du vent, à la différence CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux

Plus en détail

I- Définitions des signaux.

I- Définitions des signaux. 101011011100 010110101010 101110101101 100101010101 Du compact-disc, au DVD, en passant par l appareil photo numérique, le scanner, et télévision numérique, le numérique a fait une entrée progressive mais

Plus en détail

CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques

CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques VIII. 1 Ce chapitre porte sur les courants et les différences de potentiel dans les circuits. VIII.1 : Les résistances en série et en parallèle On

Plus en détail

EES : Engineering Equation Solver Fiche récapitulative - Marie-Sophie Cabot

EES : Engineering Equation Solver Fiche récapitulative - Marie-Sophie Cabot EES : Engineering Equation Solver Fiche récapitulative - Marie-Sophie Cabot Permet la résolution de systèmes d équations algébriques, non linéaires Contient différentes bases de données thermodynamiques.

Plus en détail

CREDIT D IMPOT TRANSITION ENERGETIQUE ET QUALIFICATION RGE DE L ENTREPRISE : COMMENTAIRES DE L ADMINISTRATION FISCALE

CREDIT D IMPOT TRANSITION ENERGETIQUE ET QUALIFICATION RGE DE L ENTREPRISE : COMMENTAIRES DE L ADMINISTRATION FISCALE CHAMBRE SYNDICALE DES INDUSTRIES DU BOIS DU BAS-RHIN BP 68055 3, rue Jean Monnet ECKBOLSHEIM 67038 STRASBOURG Cedex Tel: 03.88.10.28.00 - Fax:03.88.77.80.02 CREDIT D IMPOT TRANSITION ENERGETIQUE ET QUALIFICATION

Plus en détail

Quantité de mouvement et moment cinétique

Quantité de mouvement et moment cinétique 6 Quantité de mouvement et moment cinétique v7 p = mv L = r p 1 Impulsion et quantité de mouvement Une force F agit sur un corps de masse m, pendant un temps Δt. La vitesse du corps varie de Δv = v f -

Plus en détail

ÉQUILIBRES LIQUIDE-VAPEUR DANGERS LIÉS AU COMPORTEMENT DES FLUIDES

ÉQUILIBRES LIQUIDE-VAPEUR DANGERS LIÉS AU COMPORTEMENT DES FLUIDES Ingénieurs en Sécurité Industrielle Connaissance et Maîtrise des Phénomènes Physiques et Chimiques ÉQUILIBRES LIQUIDE-VAPEUR DANGERS LIÉS AU COMPORTEMENT DES FLUIDES I - PRESSION RÉGNANT DANS UNE CAPACITÉ...

Plus en détail

Logique binaire. Aujourd'hui, l'algèbre de Boole trouve de nombreuses applications en informatique et dans la conception des circuits électroniques.

Logique binaire. Aujourd'hui, l'algèbre de Boole trouve de nombreuses applications en informatique et dans la conception des circuits électroniques. Logique binaire I. L'algèbre de Boole L'algèbre de Boole est la partie des mathématiques, de la logique et de l'électronique qui s'intéresse aux opérations et aux fonctions sur les variables logiques.

Plus en détail

REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE :

REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : RECONNU GARANT DE L ENVIRONNEMENT Date de mise en application : 20/02/2014 QUALIFELEC RE/0010 indice A 1 SOMMAIRE 1. DOMAINE D APPLICATION... 4 1.1 Objet...

Plus en détail

CONCEPTION - MISE EN SERVICE - MAINTENANCE - DÉPANNAGE

CONCEPTION - MISE EN SERVICE - MAINTENANCE - DÉPANNAGE u n i v e r s a l c o m f o r t CONCEPTION - MISE EN SERVICE - MAINTENANCE - DÉPANNAGE Climatisation Réfrigération Géothermie Aérothermie Traitement de l air Gestion des régulations N 07.94 B Le Centre

Plus en détail

Systèmes R-22 : à quels fluides frigorigènes les convertir? Serge FRANÇOIS*

Systèmes R-22 : à quels fluides frigorigènes les convertir? Serge FRANÇOIS* TE HNIQUE Systèmes R-22 : à quels fluides frigorigènes les convertir? Serge FRANÇOIS* Le R-22, fluide frigorigène de type HCFC, sera interdit dans les installations neuves dès 2010. Dans l'existant, les

Plus en détail

Estimations d erreur a priori de la méthode de Lagrange Galerkin pour les équations de type Kazhikhov Smagulov

Estimations d erreur a priori de la méthode de Lagrange Galerkin pour les équations de type Kazhikhov Smagulov Estiations d erreur a priori de la étode de Lagrange Galerkin pour les équations de type Kazikov Sagulov Jocelyn Étienne b,a Pierre Saraito a a LMC-IMAG, BP 53, 3841 Grenoble cedex b Adresse actuelle:

Plus en détail

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer

Plus en détail

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre

Plus en détail

Optimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique

Optimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique Optimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique Année 2009-2010 2008-09 Stéphane LE PERSON Maître de Conférences Université Joseph Fourier Jean-Paul THIBAULT LEGI UMR

Plus en détail

1 Savoirs fondamentaux

1 Savoirs fondamentaux Révisions sur l oscillogramme, la puissance et l énergie électrique 1 Savoirs fondamentaux Exercice 1 : choix multiples 1. Quelle est l unité de la puissance dans le système international? Volt Watt Ampère

Plus en détail