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1 MARDI 27 novembre programme scientifique Sauf mention spécifique, la participation aux séances est incluse dans le droit d inscription général. A1 Conférence Gérer les échecs en endodontie et retraiter par voie coronaire F. Perez (UFR de Rennes) Succès et échec : facteurs prédictifs du résultat des traitements endodontiques B. Enkel (UFR de Nantes) Comment déposer les obstacles coronaires et corono-radiculaires? C. Couvrechel (Paris) Comment accéder au tiers apical? Les étapes-clés d un retraitement réussi F. Bukiet (UFR de Marseille) Évaluer la pérennité des traitements endodontiques et connaître les facteurs prédictifs d un succès thérapeutique Connaître et savoir mettre en œuvre les méthodes d accès au tiers apical en éliminant les obstacles corono-radiculaires et en traitant les erreurs iatrogènes canalaires Échec endodontique, retraitement orthograde Si les succès des traitements endodontiques sont une réalité clinique avec des pourcentages conséquents, il n en demeure pas moins que les praticiens sont aussi confrontés à des échecs parfois peu expliqués. Cette séance a pour but de vous permettre de connaître les facteurs prédictifs qui peuvent influencer le pronostic d'un traitement endodontique (état pulpaire initial, présence ou non de lésion apicale, type de préparation ou d'obturation, influence de la restauration coronaire...) et d'expliquer quels sont les meilleurs protocoles à mettre en œuvre afin d optimiser ce pronostic. Cependant, si l échec est établi, il convient de mettre en œuvre un retraitement endodontique qui doit se faire par voie coronaire en première intention. Cette phase est souvent complexe car la présence de matériaux hétérogènes limite l accès à la zone apicale, souvent à l origine de l échec. Pour appréhender plus sereinement les différentes étapes du retraitement par voie coronaire, nous verrons comment déposer les obstacles coronaires et corono-radiculaires, puis comment accéder au tiers apical par l élimination des différents matériaux. Ces étapes réalisées, nous aborderons les phases essentielles de la renégociation du trajet canalaire et de l antisepsie qui permettront d améliorer le pronostic du retraitement. A2 Conférence La salive ou l eau à la bouche J.-O. Pers (UFR de Brest) La salive, aspects biologiques et modifications avec l âge B. Pellat (Université Paris-Descartes) La salive comme marqueur de la santé générale F. Chaubron (Saint-Beauzire) Aspects cliniques de l hyposialie. Prise en charge et mesures préventives S. Boisramé-Gastrin (UFR de Brest) Connaître les effets de l âge et des maladies systémiques sur la salive Savoir organiser la prise en charge et les mesures préventives dans les cas d hyposialie Salive, diagnostic, prévention Plus que l eau à la bouche, la salive, par sa composition, est impliquée dans de nombreuses fonctions physiologiques. On lui décrit ainsi des propriétés digestives, lubrifiantes, minéralisatrices, mais également un pouvoir tampon et des actions anti-bactériennes, anti-fongiques et anti-virales essentielles. Au cours de cet exposé, B. Pellat abordera les aspects biologiques de la salive et leurs modifications avec l âge. Cette approche fondamentale est indispensable pour comprendre les stratégies thérapeutiques actuelles visant à élaborer une salive de substitution ou à moduler la colonisation bactérienne. Dans un deuxième temps, F. Chaubron nous montrera que la salive peut être le reflet de la santé générale. Il nous présentera les biomarqueurs salivaires utilisés aujourd hui en médecine et leurs développements dans le diagnostic des cancers oraux et des VADS. Enfin, forte de son expérience comme responsable de la consultation odontologique au sein de la consultation multidisciplinaire dédiée au syndrome de Gougerot-Sjögren à Brest, S. Boisramé-Gastrin abordera les aspects cliniques de l hyposialie et de sa prise en charge. A3 Conférence NOUVEAUTÉ En relation avec la B37 et la D100 Lutter contre les idées reçues : ne pas toujours associer usures dentaires et bruxisme C. Knellesen (Paris) Les différents aspects des usures dentaires P. Colon (Université Paris-Diderot), K. Semennikova (Paris) Que penser des bruxismes? B. Fleiter (Université Paris-Descartes) Usures dentaires et bruxisme : relation ou absence de relation? E. d Incau (UFR de Bordeaux) Reconnaître et diagnostiquer les différents aspects des lésions d usure dentaire (abrasion, érosion, attrition) Déterminer si les usures dentaires sont en relation ou non avec le bruxisme et les parafonctions Usures dentaires, bruxismes De nombreux praticiens associent le bruxisme à une usure dentaire importante. Le lien de cause à effet paraît évident et l établissement du diagnostic repose souvent sur ce seul signe clinique sans réelle connaissance des mécanismes d usure et des modifications oro-faciales provoquées par le bruxisme. L objectif de cette séance est d effectuer l analyse critique d une telle approche. Tout d abord, le rappel des différentes expressions de l usure dentaire (attrition, abrasion, érosion) sera détaillé afin de faciliter leur diagnostic différentiel et d évaluer leur éventuelle pathogénicité. Dans un deuxième temps, les données les plus actuelles des différentes formes de bruxisme (éveil et sommeil) seront expliquées afin de mieux comprendre les relations potentielles entre ces deux manifestations. Enfin, ce lien sera argumenté pour apporter une réponse validée par la recherche clinique. Le but de ces trois conférences est d apporter éclairage et réflexion sur les différents types d usures dentaires, de faciliter leur diagnostic clinique et d évaluer la correspondance entre le bruxisme et certaines de ses expressions. Programme scientifique définitif 2O12 15

2 mardi 27 novembre mardi 27 novembre A4 Conférence La planification pré-implantaire : les clés du succès en omnipratique Y. Charbit (UFR de Nice-Sophia-Antipolis) Aspects prothétiques et implications chirurgicales H. Buatois (Grenoble) Préparation des tissus mous S. Duffort (Lyon) Préparation parodontale. Gestion pré-implantaire des alvéoles d extraction J. Surménian (Nice) Avoir accès à l acte implantaire dans le cadre d actes simples Planification implantaire, tissus mous, tissus durs Cette séance a pour objectif d aider et de guider l omnipraticien dans la planification pré-implantaire. Il s agit de mettre en place les facteurs décisifs nécessaires au succès de l acte implantaire simple. La première partie de cette séance décrira les étapes indispensables à la conception implantaire sur le plan prothétique et les conséquences qui en découlent sur le positionnement tridimensionnel de l implant. Les contraintes anatomiques, mécaniques et prothétiques seront listées pour fournir un arbre décisionnel simple et efficace. Dans un deuxième temps, la gestion pré-implantaire des tissus mous mettra en lumière son impact sur la pérennité de la santé implantaire. Le succès implantaire impose non seulement un volume osseux suffisant mais aussi une muqueuse péri-implantaire de qualité et de hauteur adéquates. Enfin, l importance de l assainissement parodontal pré-implantaire et une gestion moderne des alvéoles d extraction seront décrites pour permettre de réaliser l acte implantaire dans des conditions de sécurité et de fiabilité maximales. A5 Conférence NOUVEAUTÉ Les clés de la réussite Garder le sourire avec une prothèse amovible esthétique et confortable O. Fromentin (Université Paris-Diderot) Rationalisation du projet prothétique et choix de la situation des piliers dentaires et implantaires en prothèse amovible partielle S. Escure (Université Paris-Diderot) Quels attachements utiliser en prothèse amovible supra-implantaire? A. Leterme (UFR de Lyon) CFAO en prothèse amovible partielle et en prothèse combinée : intérêts et limites S. Baixe, C Taddei (UFR de Strasbourg) Forme, teinte, matériau : toutes les dents prothétiques se valent-elles en prothèse amovible? X. Ravalec (UFR de Rennes) Se familiariser avec les évolutions modernes de la réalisation des traitements par prothèse amovible partielle ou totale Identifier les matériaux ou dispositifs nécessaires pour réaliser ces traitements Prothèse amovible, implants, prothèse mixte, dents prothétiques, fausse gencive La prothèse amovible n a pas disparu de notre arsenal thérapeutique! Elle a évolué dans ses concepts de réalisation, notamment pour intégrer l utilisation de piliers implantaires ou l association de piliers naturels et artificiels afin de faciliter l intégration esthétique et d améliorer l équilibre prothétique. En prothèse amovible partielle ou complète à complément de rétention, le choix judicieux d un système d attachement, des dents artificielles, ainsi que leurs positions, permettent de donner satisfaction à nos patients en réponse à leurs demandes de confort et d absence de visibilité des artifices prothétiques employés. Enfin, les matériaux et les techniques actuelles de réalisation par CFAO contribuent à l amélioration de la qualité du traitement des édentements par prothèses combinées associant prothèses fixées et amovibles. L objectif de cette séance est de montrer l intérêt de ces évolutions en prothèse amovible pour tous nos patients qui ne souhaitent pas de prothèses fixées de grande étendue, supra dentaires ou implantaires, souvent d un coût et d une durée de traitement beaucoup plus importants. A6 Rencontre avec Jean-Pierre Attal (Université Paris-Descartes) L adhésion de l apex à la couronne A. Atlan (Paris) Être maître de l adhésion des restaurations corono-radiculaires à l assemblage des couronnes, en passant par le collage des composites Être maître des traitements de surface en fonction des différents biomatériaux et des protocoles de collage Collage, composite, adhésion, biomatériaux 9h00-15h00 A7 Cycle monodisciplinaire Intérêts des aides optiques en omnipratique J.-P. Mallet (Paris) Conférenciers M. Ardouin (Poitiers), F. Decup (Université Paris-Descartes), F. Diemer (UFR de Toulouse), P. Perrin (Suisse), T. Roussel (Paris), F. Boussetta (UFR de Lyon), M.A. Garboua (Neuilly-sur-Seine), N. Gardon (Les Pennes-Mirabeau), A. Sancier (Toulouse) Savoir choisir l aide optique la plus appropriée à son exercice Savoir appréhender les techniques de base de microdentisterie en omnipratique Vision binoculaire, microdentisterie, ergonomie L art dentaire ne peut plus se contenter d une vision à l œil nu de son champ opératoire. Depuis plus d une décennie, se sont développées des approches technologiques sous aides optiques de grossissement qui permettent l obtention de la qualité que requiert l exigence de l exercice odontologique. La partie cours introduira la description des différentes aides optiques disponibles sur le marché (loupes et microscopes opératoires), expliquera les limites de chaque aide optique et démontrera les applications cliniques pour chaque discipline odontologique. Elle sera conclue par une approche ergonomique de leur utilisation. Les travaux pratiques, dédiés à l apprentissage dans chaque discipline odontologique pour une application en omnipratique, permettront à chaque participant de se familiariser avec ce type d exercice et de communiquer largement sur les techniques opératoires développées. Le plateau technique réunira les industriels qui commercialisent tant les loupes ou microscopes opératoires que l instrumentation propre dédiée à la microdentisterie. Ils offriront à chacun l occasion de s exercer dans les principales disciplines : endodontie : ouvertures de cavités d accès, lectures de la cartographie des teintes dentinaires, recherche des entrées canalaires et maîtrise de la préparation endodontique ; dentisterie restauratrice : des préparations non invasives aux restaurations coronaires esthétiques et fonctionnelles ; endodontie chirurgicale : préparation aux ultra-sons et obturation de cavités à rétro à l aide d une instrumentation et de matériaux spécifiques ; parodontologie : de la préparation initiale à la chirurgie muco-gingivale (travaux pratiques sur mâchoires de porc). Le cycle est composé d une conférence et d un atelier de travaux de pratiques. Droit d inscription complémentaire de 170 euros Le déjeuner est inclus dans le droit d inscription. 9h00-18h00 A8 Cycle monodisciplinaire La chirurgie parodontale régénératrice : quand la mettre en œuvre et comment l optimiser? J. Ménard (Rezé) Conférenciers A. Blanc, C. Lallam-Laroye (Boulogne-Billancourt), O. Reboul (UFR de Nantes), Y. Estrabaud (Angers), H. Bigeard-Jouffroy (Hérimoncourt), E. Bragard (Saint-Genest-Lerpt), B. Lefevre (Rézé), J. Lethuillier (Saint-Clément-de-Rivière), B. Mertens (UFR de Montpellier) Poser les indications de la chirurgie parodontale et maîtriser les gestes opératoires Connaître les différentes techniques de régénération pour les mettre en pratique Chirurgie parodontale, régénération Les conférences du matin permettront de définir les indications de la chirurgie parodontale régénératrice, les critères de décision et les techniques opératoires. Ensuite, le principe de régénération sera expliqué et les différents matériaux à la disposition des praticiens seront analysés. Enfin, les recherches en cours et les thérapeutiques d avenir seront évoquées. Lors de l atelier de travaux pratiques sur modèle animal, les techniques chirurgicales seront mises en application et les praticiens pourront s initier à plusieurs techniques de régénération en manipulant différents matériaux. Quelques cas cliniques pourront être analysés et discutés pendant la séance interactive. Le cycle est composé d une conférence, d un atelier de travaux pratiques «Mise en application sur tête animale des techniques de chirurgie parodontale régénératrice et manipulation de différents matériaux de régénération» et d une séance interactive. Matériel à apporter par le congressiste Une trousse de chirurgie parodontale comprenant : 1 porte-lame 1 décolleur (type Molt) 1 sonde parodontale curettes 5/6 (ou 1/2), 11/12, 13/14 précelles à gencive pinces porte-aiguille (à suturer) ciseaux Droit d inscription complémentaire de 240 euros Le déjeuner est inclus dans le droit d inscription. 16 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 17

3 mardi 27 novembre mardi 27 novembre A9 Conférence Quel substitut dentinaire choisir sous nos restaurations directes et indirectes? R. Serfaty (UFR de Strasbourg) Les CVIMAR M. Minoux (UFR de Strasbourg) Les silicates tricalciques (Biodentine) J. Dejou (UFR de Marseille) Les composites fluides et les composites Bulk (à faible retrait) D. Gerdolle (Montreux, Suisse) Apprécier les avantages et les inconvénients de chacun des substituts dentinaires afin de répondre aux différents cas cliniques rencontrés quotidiennement Substitut dentinaire, CVIMAR, silicate tricalcique, composite Les techniques dites «sandwich» ont été proposées afin de remplacer une partie de la dentine perdue aussi bien dans les techniques de restaurations directes qu indirectes. Les rôles des substituts dentinaires sont : d assurer une protection dentino-pulpaire ; de combler des contre-dépouilles afin d éviter des préparations trop invasives ; de permettre une épaisseur constante du matériau de restauration ; de déplacer coronairement la marge cervicale. Différents matériaux peuvent être utilisés à cet effet, tels que des CVIMAR, des silicates tricalciques (biodentine) ou certains types de composite. A10 Séance interactive Les traumatismes dentaires : avoir les bons réflexes! M.-C. Goldsmith-Alric (UFR de Montpellier) Traumatismes des dents permanentes : les bons gestes d urgence au bon moment C. Ifi-Naulin (Université Paris-Diderot) Traumatismes des dents temporaires : extraction, abstention... ou encore? E. Noirrit-Esclassan (UFR de Toulouse) Un traumatisme bucco-dentaire et après? J. Nancy (UFR de Bordeaux) Diagnostiquer un traumatisme dentaire et appliquer une prise en charge adaptée Traumatisme dentaire, cas clinique Les traumatismes dentaires sont un motif fréquent de consultation en odontologie et leur prise en charge est souvent une source d interrogations. Lors de cette séance, nous nous attacherons aux aspects importants des traumatismes : le diagnostic qui doit prendre en compte différents facteurs, les solutions thérapeutiques de choix simples et rapides concernant les dents temporaires, les risques de séquelles sur le germe successionnel, la rédaction du certificat médical initial, le diagnostic de l importance et de la sévérité du traumatisme, les bons gestes d urgence à avoir sur les traumas des dents permanentes et le suivi à long terme. Toutes ces questions seront abordées et commentées lors de cas cliniques interactifs dans lesquels les praticiens présents seront amenés à se prononcer à l aide de boîtiers. 12h30-18h00 A11 Point sur Le point sur la douleur J.-M. Marteau (Bordeaux) La douleur : comment ça marche! V. Dousset (Talence) L anesthésie locale en chirurgie orale : une prouesse technique G. Bader (UFR de Rennes) MEOPA et sédation intraveineuse : deux alternatives à l anesthésie générale? D. Anastasio (Thionville) Algies oro-faciales chroniques : une approche synthétique A. Woda (Clermont-Ferrand) Quel médicament pour quelle douleur? C. Mauprivez (Université Paris-Diderot) Prise en charge des patients algiques chroniques : cas cliniques A. De Laat (Université Catholique de Louvain, Belgique) Connaître les mécanismes physio-pathologiques et poser un diagnostic étiologique d algies oro-faciales aiguës et chroniques Connaître les techniques de prise en charge de la douleur : l anesthésie, la sédation vigile et la prescription médicamenteuse Algies oro-faciales, sédation vigile La douleur demeure encore aujourd hui un des principaux motifs de consultation d un cabinet dentaire. La complexité des mécanismes neurobiologiques, psycho-émotionnels impliqués dans la sensation douloureuse pose des problèmes diagnostiques à l origine d errance thérapeutique. Le contrôle des douleurs nociceptives, ainsi que celles induites par les soins ou la chirurgie, bénéficie de l efficacité de l anesthésie locale et loco-régionale lorsque la technique analgésique est bien choisie et bien exécutée. L apport de la sédation consciente faisant appel au MEOPA et celui de la sédation intraveineuse au midazolam augmente encore notre champ d action. Savoir différencier une douleur symptôme d une douleur maladie demeure une préoccupation majeure dans le diagnostic et la prise en charge des douleurs chroniques. L objectif de cette séance sera d aider à comprendre la physiopathogénie, le diagnostic et les traitements des douleurs oro-faciales aiguës ou induites par les soins, ainsi que les douleurs chroniques idiopathiques, neuropathiques, arthromyalgiques ou vasculaires. Soulager une personne qui souffre est une priorité morale, un devoir en termes de santé publique et une obligation médico-légale. A12 Conférence À l heure des spécialités, un an après la mise en place Séance organisée par l UNIO R Jacq (Paris) L avènement de la chirurgie orale J. Aldosa (Saint-Jean) La disparition du CECSMO au profit de l internat qualifiant en ODF N. Niez (Vincennes) La prise en charge des patients à besoins spécifiques : la médecine bucco-dentaire E. Auber (Paris) Découvrir la formation d interne en chirurgie orale Comprendre les spécificités de la formation en ODF par l internat qualifiant Comprendre la spécialité de la médecine bucco-dentaire et son champ de compétences Médecine bucco-dentaire, chirurgie orale, orthopédie dento-faciale Un an après le premier concours de l internat qualifiant, nous reviendrons sur l expérience des premiers internes dans les services hospitaliers. À travers les expériences de trois d entre eux, nous vous exposerons les spécificités des nouvelles spécialités : la chirurgie orale, la médecine bucco-dentaire et l orthopédie dento-faciale. Enrichi de présentations cliniques, vous découvrirez le travail hospitalier de chacun de ces nouveaux internes. Cette séance sera articulée autour de la présentation des spécialités et de leur enseignement au sein des services hospitaliers. Pour devenir spécialiste, l internat qualifiant n est pas la seule porte d entrée, les commissions de qualification ainsi que l internat à titre européen existent à destination des praticiens déjà diplômés. Nous vous donnerons les clés pour mieux comprendre les enjeux des spécialités pour le monde dentaire. A13 Conférence Prendre en compte les facteurs humains pour diminuer les complications H. Buisson (Chartres) Le mécanisme des facteurs humains F. Kohler (UFR de Nancy) Faire face aux situations critiques, grandir en travaillant sur ses erreurs F. Laigneau (Gif-sur-Yvette) Sécuriser les interventions : responsabilités, check-lists et protocoles X. Assemat-Tessandier (Paris) Prendre conscience de nos capacités et limites Comprendre que la performance s obtient en partageant nos expériences et en travaillant sur nos forces et nos faiblesses Facteurs humains, anticipation La station spatiale internationale en orbite avec une étiquette «Remove before flight»... Un Airbus A 320 obligé de remettre les gaz en phase finale d atterrissage car un hélicoptère égaré entre dans le circuit de piste... Un patrouilleur d autoroute fauché par un véhicule étranger qui n avait pas ôté son régulateur de vitesse à la vue des panneaux de service... Un chirurgien-dentiste anesthésiant le secteur opposé à celui sur lequel il doit intervenir... Sept erreurs d extractions ou de diagnostic recensées déclarations de sinistres en implantologie pour deux uniquement relatives au matériel implantaire (MACSF 2010)... Toutes ces conséquences relèvent des «facteurs humains». F. Kohler en démontera le mécanisme. Il nous conseillera pour faire en sorte que le stress ne devienne pas un handicap pour la sécurité ; F. Laigneau, docteur en chirurgie-dentaire et pilote de ligne sur une compagnie nationale, nous expliquera combien travailler sur les erreurs permet de grandir et de mieux faire face aux situations critiques. Enfin, notre confrère, X Assemat-Tessandier partagera avec nous ses réflexions sur l organisation du traitement et du plateau technique et nous aidera à mieux sécuriser les interventions via anticipation, check-lists et protocoles. Trois conférences qui vont s enchaîner avec logique pour que nous reprenions lundi prochain le chemin de nos cabinets plus riches et plus forts de cette connaissance. 18 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 19

4 mardi 27 novembre mardi 27 novembre A14 Conférence Chirurgie orthodontique : des progrès et des acquis G. Le Toux (UFR de Brest) Indications et protocole chirurgical du système CT8, le dispositif autonome de traction des dents incluses S. Riemenschneider-Chillès (Belfort) Les corticotomies en technique mini-invasive : une nouvelle approche du traitement orthodontique de l adulte J.-B. Charrier (CHU Kremlin-Bicêtre, Paris) Techniques chirurgico-orthodontiques tridimensionnelles dans les malformations dento-faciales C. Mannaï (Bayonne) Découvrir une nouvelle technique de désinclusion des dents retenues à l aide de vis d ostéosynthèse Évaluer l intérêt de la corticotomie micro-invasive dans la prise en charge du traitement orthodontique de l adulte Faire le point sur le traitement des insuffisances de développements transversaux des maxillaires Chirurgie, orthodontie La mise en place des dents retenues nécessite, dans la technique conventionnelle, la contribution des autres dents de l arcade. Le système CT8 (Cortical, MTA, terminaison en forme de 8) est conçu pour tracter les dents retenues, sans faire participer la denture du patient. Le système de traction autonome est composé de deux vis d ostéosynthèse et d un fil orthodontique TMA Le fil malléable est mis en forme et deux boucles sont réalisées au préalable dessinant un 8. Deux vis monocorticales de longueur de 5 mm sont positionnées dans le fond du vestibule maintenant le fil de traction. La dent retenue est alors reliée au système pour effectuer sa désinclusion. S. Riemenschneider, à travers de nombreux cas cliniques, détaillera les indications et le protocole opératoire de cette nouvelle technique facilement accessible aux orthodontistes et aux omnipraticiens. Le traitement orthodontique de l adulte se développe considérablement, mais sa durée constitue encore un frein, voire un obstacle. Les techniques de corticotomies ont été développées pour effectuer des déplacements en bloc alvéolaire, elles permettent un raccourcissement de la durée du traitement. J.-B. Charrier exposera la technique opératoire, les avantages et les limites des corticotomies invasives et micro-invasives réalisables au cabinet dentaire. L insuffisance de développement transversal des maxillaires est traitée chez l enfant par des appareillages orthopédiques utilisant le potentiel de croissance du patient. Chez l adulte, ce traitement nécessite une collaboration entre orthodontiste et chirurgien. Des cas cliniques proposés par C. Mannaï illustreront cette approche orthognathique globale du traitement des anomalies dento-faciales tridimensionnelles. A15 Rencontre avec Catherine Ricci (UFR de Nice-Sophia-Antipolis) Ce qu il faut savoir en endodontie pour réussir le traitement initial E. Deveaux (UFR de Lille) Connaître les outils et les protocoles de préparation et d obturation afin d atteindre le plus haut niveau de succès Comprendre l intérêt de respecter la chaîne d asepsie tout au long du traitement Visibilité, mise en forme canalaire, obturation canalaire, asepsie A17 Cours La reconstruction des papilles : un défi chirurgical? Conférencier France Lambert (Université de Liège, CHU de Liège) C. Romagna (UFR de Lyon-Dijon) Envisager les raisons des pertes papillaires et savoir comment les éviter Évaluer les indications et limitations de la reconstruction chirurgicale des papilles dans le secteur esthétique Envisager les alternatives orthodontiques et/ou prothétiques afin de restaurer l esthétique du sourire Esthétique, chirurgie muco-gingivale La dentisterie esthétique moderne est principalement basée sur la bonne harmonie gingivo-dentaire. Le challenge pour restaurer l esthétique d un sourire est souvent de recréer cet équilibre entre les tissus mous et la réhabilitation prothétique. Au cours de cette session, nous aborderons plus spécifiquement l aspect des tissus mous, de leur architecture, de leur intégration avec les éléments prothétiques et de leurs volumes, etc. Un des éléments clé de cette architecture des tissus mous est la présence des papilles interdentaires. Les objectifs de cette séance se résument en trois volets : faire le point sur les différentes causes des pertes papillaires et sur leur prévention. Nous verrons comment les éviter ou les limiter à travers des actes chirurgicaux moins invasifs, en respectant davantage la physiologie des tissus parodontaux, mais aussi par le choix des matériaux et les actes prothétiques ; analyser la situation clinique en cas d absence papillaire et définir le pronostic de régénération. Ce pronostic est évalué sur la base des connaissances actuelles issues de la littérature scientifique, et par le biais d une bonne analyse esthétique et radiographique de la situation clinique. Dès lors, en fonction d un pronostic favorable, modéré ou défavorable, les options de reconstruction papillaire pourront être pondérées ; envisager, au travers de nombreux cas cliniques, les différentes techniques de régénération des papilles, qu elles soient chirurgicales, orthodontiques ou prothétiques, en fonction de la situation clinique initiale. A18 Conférence Comment mettre votre cabinet dentaire aux normes en 2012? P. Bonne (Saint-Loubès) Mettre en place et réaliser sereinement les traçabilités grâce à l informatique K. Denys (Eclose) La mise en conformité raisonnée de l asepsie et de la stérilisation H. Denost (UFR de Bordeaux) Les dernières évolutions en radioprotection P. Rocher (UFR de Lille) Comprendre les avantages de cette mise en place pour l équipe dentaire et les patients Recommandations, sécurité Cette séance s adresse à l ensemble des omnipraticiens et des spécialistes de toutes disciplines. Des thèmes comme la stérilisation intéressent toujours les équipes soignantes, mais dans la jungle des informations parfois contradictoires et des changements des axes réglementaires, les personnes motivées et désireuses d exécuter correctement leur exercice sont perdues. La première conférencière fera la synthèse du strict nécessaire à réaliser en 2012 pour respecter les recommandations des grandes instances comme la HAS (Haute Autorité de santé) et la DGS (Direction générale de la santé), sans nécessairement investir dans du matériel, mais en respectant des procédures établies selon les guides et les référentiels. Le deuxième sujet, les traçabilités, stigmatise toujours autant la profession, d où l urgence à le démystifier. Celles-ci restent synonymes de mise en place compliquée, de surcharge de travail, de questionnement sur leur utilité. La conférencière vous démontrera qu en s organisant, en paramétrant et utilisant toutes les ressources d un logiciel dentaire, il est possible de réaliser cette discipline avec un minimum d énergie. De la matériovigilance à la pharmacovigilance en passant par la traçabilité de la stérilisation et de la prothèse, elle expliquera les bienfaits que cette pratique peut vous apporter ainsi qu à vos patients, c est-à-dire sécurité, sérénité et qualité de travail au quotidien. Le dernier sujet concerne la réglementation en matière de radiologie et radioprotection. De nombreuses évolutions ont eu lieu récemment et il est important de connaître celles qui impactent notre pratique quotidienne. La nouvelle norme d installation des générateurs évolue en ce qui concerne la surface des pièces et le calcul de l atténuation des parois. Les contrôles périodiques évoluent aussi vers une plus grande simplicité. Enfin, le programme de la formation Personne Compétente en Radioprotection (PCR) a été complètement revu pour s adapter précisément aux besoins pratiques des chirurgiens-dentistes. 20 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 21

5 mardi 27 novembre mardi 27 novembre A19 Conférence NOUVEAUTÉ Les clés de la réussite Restauration des dents postérieures vitales et dépulpées : nouveaux concepts M. Bartala (Université Bordeaux-Segalen) Reconstitutions directes des dents pulpées et dépulpées R. Chéron (Paris) Reconstitutions indirectes des dents pulpées O. Étienne (Université de Strasbourg) Reconstruire la dent dépulpée délabrée J. Brousseaud (Blanquefort) Faire le choix le plus adapté de reconstitution d une dent postérieure en fonction de sa vitalité et de son degré de délabrement Appréhender les notions d économie tissulaire et de collage radiculaire et coronaire Biomécanique, collage, composite, céramique L évolution permanente des techniques et des connaissances a mis en avant des concepts de reconstruction d une dent postérieure où l économie tissulaire et les techniques de collage restent des axes décisionnels et thérapeutiques importants. Cependant, la situation clinique doit être évaluée précisément en fonction de différents paramètres comme l état du délabrement, les possibilités de collage, la vitalité pulpaire, l occlusion, la nécessité d un ancrage radiculaire... Les conférenciers vont mettre en avant les critères décisionnels permettant de réaliser le choix thérapeutique le plus approprié à la situation clinique. Une fois le diagnostic et l option thérapeutique expliqués, le choix du type de reconstitution sera argumenté et les étapes cliniques détaillées afin de donner les clés pour une restauration durable dans le temps. Cette séance permettra d acquérir les éléments clés pour faire le choix et réaliser une reconstitution directe, indirecte (inlay-onlay) ou une coiffe périphérique que la dent soit pulpée ou non. Dans le cas de délabrement important, nous ferons le point sur le choix et les techniques des différents types de reconstitutions corono-radiculaires et sur la nécessité ou non d ancrage radiculaire avec l utilisation de reconstitutions tout céramique type «endo crown». Cette séance est une synthèse pour appréhender la reconstitution d une dent postérieure dans presque toutes les situations cliniques. A20 Conférence Facteurs de risques en santé bucco-dentaire : impact sur les soins de demain M. Hennequin (UFR de Clermont-Ferrand) Facteurs de risque liés au vieillissement : quand faut-il conserver, extraire ou réhabiliter? C. Lassauzay (UFR de Nice-Sophia-Antipolis) Les alternatives au traitement endodontique conventionnel face au risque d échec P.-Y. Cousson (UFR de Clermont-Ferrand) Les soins conservateurs sous anesthésie générale face au risque d abandon de soins chez les adultes polycariés N. Decerle (UFR de Clermont-Ferrand) Comprendre l impact des changements démographiques sur la pratique quotidienne de demain Adopter une approche globale du patient Savoir gérer des cas complexes, polymorbides Profil du patient, besoins en soins, prévention En 2011, l OMS reconnaissait la santé bucco-dentaire parmi les co-facteurs des maladies non transmissibles (cancers, diabète, maladies cardio-vasculaires, troubles nutritionnels...). Le maintien d un bon état de santé bucco-dentaire n est donc pas seulement justifié par les troubles infectieux, traumatiques ou fonctionnels qui résultent des pathologies bucco-dentaires, mais également par la co-morbidité de ces troubles dans le développement de maladies systémiques. Dans de nombreuses situations, les méthodes de prévention collectives et individuelles et l accès à des soins correspondant aux standards académiques suffisent pour maintenir une bonne santé bucco-dentaire. Cependant, certains groupes humains échappent à ces dispositifs et cumulent les facteurs de risque individuels et environnementaux d une mauvaise santé orale et, de ce fait, ont un risque augmenté aux maladies non transmissibles. Dans ces situations, la réponse aux besoins en santé bucco-dentaire doit être adaptée au contexte biopsychosocial de l individu. Pour le praticien, la difficulté consiste à adapter les protocoles de prise en charge tout en maintenant la qualité des soins. Il existe peu de littérature sur ce sujet et cette session vise à fournir des éléments bibliographiques et de recherche clinique sur l intérêt à concevoir différemment la prise en charge des besoins en santé bucco-dentaire pour certaines catégories de la population, comme les adultes polycariés et les personnes âgées, pour lesquelles la qualité des soins apportés conditionne les fonctions de nutrition et la qualité de vie en relation avec la santé orale. Le niveau de preuve apporté par ces présentations interroge sur la nécessaire évolution des pratiques professionnelles destinées à l ensemble de la population. A21 Conférence Orthodontie anti-âge C. Lodter (UFR d odontologie de Toulouse) La réduction amélaire inter-proximale, une technique de choix pour l orthodontie de l adulte D. Fillion (Paris) Traitement non chirurgical des classes II chez l adulte D. Wiechmann (Bad Essen, Allemagne) L orthodontie, solution de rajeunissement? C. Chambas (UFR de Clermont-Ferrand) Comprendre l importance d éviter le recul orthodontique du système dentaire Situer l orthodontie dans les protocoles de rajeunissement Repositionnement, réduction amélaire, traitement des classes II Le vieillissement facial s exprime par un affaissement progressif de la pointe et de la base du nez, qui entraîne vers le bas les contours labiaux ; les lèvres reculent dans le profil, semblant s effacer par rapport au menton que l âge laisse relativement inchangé. Les arcades dentaires reculent de même, tandis que le plan d occlusion bascule vers le bas et vers l arrière. La sénescence aboutit donc à une exposition fonctionnelle croissante des incisives mandibulaires à la place des incisives supérieures et à une diminution de la proalvéolie qui prive les tissus péri-buccaux de leur soutien. L augmentation de l espérance de vie, et le désir sociétal de conserver une apparence avenante, amènent de plus en plus de patients soucieux de préserver leur image physique chez le chirurgien-dentiste, en quête de soins dentaires capables de préserver, voire de restaurer leur sourire dont l aspect de jeunesse repose avant tout sur le maintien antéro-postérieur des dents. L orthodontie se trouve tout particulièrement impliquée dans cette démarche sous trois aspects : 1. La prise en compte de la réduction spontanée de la proalvéolie doit guider l établissement de tout plan de traitement orthodontique ou pluridisciplinaire : ne jamais affaiblir le soutien labial en reculant le système dentaire. D où, concomitamment à l abandon du repositionnement incisif systématique, le recours à la réduction amélaire proximale en lieu et place des extractions à but orthodontique. 2. La correction des décalages de classe II doit s envisager dans la majeure partie des cas par une avancée des structures mandibulaires plutôt que par un recul maxillaire. Ce choix thérapeutique procure un effet de rajeunissement par la remise en tension de la peau et améliore le dessin de l angle cervico-mentonnier. Une alternative non chirurgicale peut-elle être envisagée chez le patient adulte? 3. Certaines malpositions dentaires ont un impact esthétique favorable sur un visage jeune qu elles caractérisent (diastème inter-incisif, classe II,2...). Elles deviennent pénalisantes avec l âge, quand le visage se marque par ailleurs. Leur correction est un motif de consultation fréquent auquel il convient d apporter les réponses appropriées. A22 Rencontre avec Marc Lamy (Université de Liège, Belgique) Prothèse implanto-portée : du guide chirurgical à l occlusion B. Dailey (Université Paris-Diderot) Discuter de l importance et des avantages d une bonne planification d un traitement implantaire Débattre des modalités pratiques et cliniques de réalisation d une prothèse implanto-portée de A à Z Planification, prothèse implantaire 22 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 23

6 mercredi 28 novembre MERCREDI 28 novembre Sauf mention spécifique, la participation aux séances est incluse dans le droit d inscription général. B23 Conférence L anthropologie médico-légale F. Tilotta (Université Paris-Descartes) Odontologie et anthropologie médico-légale P. Charlier (Garches) Les apports de l archéologie préventive à la connaissance de notre passé P. Vallat (Pantin) Le cimetière des Trois-Maisons à Nancy, : approche par l anthropologue et l odontologiste médico-légal P. Vidal (Vandœuvre-lès-Nancy), M. Dohr (Ludres), H. Thomas (Nancy) Découvrir les applications et l intérêt des techniques anthropologiques en médecine légale Mettre en évidence la complémentarité du travail de l anthropologue et celui de l odontologiste en matière d identification Anthropologie, médecine légale de la citadelle, ce cimetière a été utilisé jusqu en La corrélation des sources écrites et des données de terrain a permis de compléter les connaissances sur les cimetières modernes et contemporains, rarement fouillés. Ce cimetière reflète une période de transition, tant dans l attitude des populations devant la mort que dans la gestion de l espace funéraire. Les conférenciers confronteront l approche de l anthropologue et celle de l odontologiste médico-légal en matière d évaluation de l âge au décès et de détermination du sexe. B24 Conférence Les restaurations composites de A à Z Séance organisée par les JDIQ N. Lehmann (Veauche) La sensibilité postopératoire des restaurations en résine composite : causes et prévention D. Robert (Faculté de médecine dentaire de l Université de Laval, Québec) Restaurations antérieures directes : entre l Art et la Science C. Bergeron (Faculté de médecine dentaire de l Université de Laval, Québec) La finition et le polissage des composites : optimisation du résultat clinique L. Saint-Pierre (Faculté de médecine dentaire de l Université de Laval, Québec) Apprendre à réaliser une restauration composite antérieure qui s intègre aux autres dents sur le plan colorimétrique Connaître les moyens cliniques pour éviter d avoir des sensibilités sous les restaurations composites L anthropologie médico-légale est une science relativement récente qui tente de répondre à deux questions essentielles grâce à l examen d ossements : quelle est l identité de la personne? Quelle est la cause du décès (crime, pathologie, accident, rituel)? Les conférenciers, venus d horizons différents, s attacheront à présenter les différentes facettes de l anthropologie médico-légale. Le point sera fait sur l odontologie médico-légale, indissociable de l anthropologie, en raison de l extrême résistance des dents et des précieux renseignements qu elles peuvent livrer aux experts en matière d identification. L accent sera mis sur l archéologie préventive, science en pleine évolution, avec une présentation de l Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP) qui assure la détection et l étude du patrimoine archéologique touché par les travaux d aménagement du territoire. L INRAP exploite et diffuse l information auprès de la communauté scientifique et concourt à l enseignement, la diffusion culturelle et la valorisation de l archéologie auprès du public. Enfin, les conférenciers présenteront une importante opération de fouille, menée par l INRAP, sur le site du cimetière des Trois-Maisons à Nancy en Créé en 1732 sur les anciens glacis Résines composites, restaurations adhésives, sensibilités dentinaires Les trois conférenciers se proposent de revoir, à la lumière de la littérature existante, les diverses applications de la résine composite, tant dans les secteurs postérieurs que dans les secteurs antérieurs de la cavité buccale. Dans le secteur postérieur : les indications et contre-indications pour les molaires et les prémolaires ; la prévention de la sensibilité postopératoire ; les méthodes d insertion pour contrer les effets du retrait de polymérisation ; les systèmes de matrice les plus efficaces ; les matériaux disponibles. Dans le secteur antérieur : le choix de couleur ; la manipulation en simple couche, en double et en multicouche ; les interventions esthétiques visant à corriger des défauts de forme et de couleur ; les choix de matériaux ; les méthodes de finition. Programme scientifique définitif 2O12 25

7 mercredi 28 novembre mercredi 28 novembre B25 Cours En relation avec la B44 Le comblement du sinus Conférencier Pascal Valentini (Paris) F. Renouard (Paris) Faire la synthèse sur les techniques de comblement partiel du sinus Discuter l avantage et les inconvénients des différents types de matériaux Comprendre comment gérer les complications Sinus lift, comblement osseux, maxillaire postérieur De nombreuses techniques chirurgicales sont utilisées pour la greffe du sinus maxillaire. Parmi celles-ci, l approche latérale est aujourd hui la mieux documentée dans la littérature. Cette procédure peut être mise en œuvre de plusieurs façons avec des résultats variables. Afin d optimiser cette technique pour la rendre «non opérateur dépendante», il est important de bien connaître l anatomie et la physiologie du sinus maxillaire, de bien sélectionner le patient et d adapter la technique chirurgicale à la situation clinique. Une bonne connaissance de la prévention et de la gestion des complications permettra d améliorer de façon sensible le taux de survie des implants à moyen et long termes. B26 Conférence Gardons le sourire... malgré le temps qui passe E. Benqué (Toulouse) Évaluation raisonnée du long terme en prothèse implantaire Y. Samama (Paris) Le parodonte, composante sensible du sourire Allié sûr ou incertain? R. Detienville (Université Paris-Descartes), G. Chevallier (Paris) Aspect révolutionnaire et polémique des techniques adhésives J.-L. Brouillet (UFR de Marseille) Choisir implant ou bridge, exiger l esthétique Gérer les parodontites Traiter l édentement total par les restaurations implanto-portées Prothèses, bridges collés, restaurations, parodontite, implants, esthétique Maîtres du temps, on ne l est jamais! Académiquement, on s autorise à parler de long terme après cinq années. La relation avec le patient est-elle menacée, si à l aune de la sixième année survient un accident, une disgrâce, une plainte? Peut-on arguer du fallacieux prétexte que le long terme est échu et toute responsabilité dégagée? Voilà le dilemme qui sera débattu, lors de cette séance! Quatre praticiens de renom, instruits des derniers travaux publiés, habiles de leurs mains expérimentées, viendront montrer leurs acquis, engager leurs jugements sans complaisance, sur la rigueur de leurs décisions, sur la validité de leurs résultats. Dent unitaire sur implant ou bridge collé, comparaison sur le long terme. Un verdict éphémère sur des matériaux en perpétuelle évolution. L involution d un os qui diminue avec l âge. Ces exercices à risque, on ne peut les abandonner à l aveuglement de la chance. Les grandes restaurations implanto-portées impliquent de parer aux mécanismes évolutifs de l occlusion. Il faut apprendre à dépister des para-fonctions, souvent dissimulées. Si elles n interfèrent pas au moment décisionnel, elles peuvent apparaître plus tard, à la faveur de raisons difficiles à élucider. Il en sera question. Dans la bouche, l enchevêtrement des étiologies sur le système de soutien de la denture complique singulièrement l application de traitements univoques. On exige maintenant d inclure une notion nouvelle et complexe : la prévisibilité. En parodontie et en implantologie, les termes de succès, survie, échec seront sûrement prononcés au cours de ces débats. Le succès de l ostéointégration a été défini par les quatre critères d Albrektsson en Ils règlent le problème osseux. Un seul de ces critères manque à la liste, l implant, encore en fonction, rentre dans la survie. En parodontie, abandonnant les Lumières, le xxie siècle est rentré dans l hystérie de l apparence. La difficile quête de l esthétique à tout prix, peut corrompre le jugement thérapeutique que des raisons pathologiques, prévalentes jusque-là, détournent de l objectif médical au profit du seul sourire. Le succès de la relation prothèse/ tissus mous n est protégé par aucun critère, sinon celui de l expérience et de la maîtrise chirurgicale. Les rapports gencive/dent sont commandés par la convergence des tissus mous à la ligne ondulante de la jonction amélo-cémentaire. L implication de cette gencive libre avec ses prolongements papillaires est difficile à créer, reproduire, maintenir sans obérer les effets de l âge. Il en sera question! Il sera question enfin d odontologie conservatrice. On parle des collages de facettes et de l évolution des matériaux céramiques depuis de nombreuses années. À chaque découverte d un nouveau mimétique, on exulte! Il amène des effets esthétiques tels, qu ils se confondent avec le naturel. Alors, on croit être arrivé à un point culminant, définitif. Un peu plus tard, on remet en question ce qui passionnait les débats, hier encore. L implantologie, évoluant grâce au titane, les techniques adhésives venues des recherches aéronautiques, leur conjonction avec des connaissances de plus en plus avancées sur les structures amélaires et dentinaires grâce à l imagerie, permettent de faire valoir une grande sécurité mécanique. Le pronostic de durabilité, dans le décours de la vie, autorise un optimisme à l image du sourire. Le sourire, ce symbole accueillant de l expression du bonheur. B27 Conférence Omnipratique : gestion des troubles de l occlusion chez l enfant M. Rotenberg (UFR de Toulouse) Correction précoce des troubles verticaux et sagittaux de l occlusion D. Rollet (Pontarlier) Diagnostic et traitements des anomalies de la dimension transversale A. Manière-Ezvan (UFR de Nice-Sophia-Antipolis) L occlusion de l enfant : des décisions précoces pour un résultat tardif P. Saulue-Laborde (Agen) Poser un diagnostic du trouble de l occlusion Adopter une thérapeutique précoce Troubles fonctionnels, rééducation, interception, bruxisme Nous présenterons aux praticiens généralistes les bases du diagnostic et du traitement utilisables en cabinet généraliste ou d odontologie pédiatrique. Dans un premier temps, nous proposerons de gérer le sens antéro-postérieur et le sens vertical par l éducation fonctionnelle afin d établir un équilibre au sein duquel la denture pourra s organiser. La prise en charge du sens transversal sera essentiellement étudiée en denture mixte. Les différentes possibilités seront analysées et leurs limites seront discutées à partir des éléments diagnostiques. La collaboration avec les médecins ORL est un point important de cette étape. L agénésie des incisives latérales supérieures représente un point important dans la prise en charge pluridisciplinaire : un plan de traitement doit être défini dès le plus jeune âge pour n être vraiment terminé qu à l âge adulte. Ouvrir ou fermer les espaces : quelles solutions, quelles alternatives, quels éléments diagnostiques et pronostiques pouvons-nous proposer à nos jeunes patients? Le point de vue de l occlusodontie sur ces traitements et le problème du bruxisme chez l enfant seront aussi évoqués. B28 Conférence En relation avec la B45 Le challenge de l empreinte en prothèse fixée G. Laborde (UFR de Marseille) Accès aux limites cervicales et conséquences tissulaires (dent et implant) V. Bennani (Menton) Empreintes injectées et piliers dentaires G. Maille (Meyrargues) Les empreintes en implantologie L.-P. Gayrard (Toulouse) Actualités cliniques de l empreinte optique (dent et implant) C. Moussally (Paris) Évaluer les différents facteurs cliniques décisionnels pour effectuer le choix parmi les techniques d empreintes Connaître les protocoles d empreintes et les tours de main nécessaires à la réussite des empreintes Protocoles d'empreintes La réussite des empreintes en prothèse fixée, sur dent(s) et/ou sur implant(s), représente un véritable «challenge» et conditionne la qualité de la restauration prothétique. Un ensemble de protocoles d empreintes, dentaires et/ou implantaires, traditionnelles et optiques est proposé. La situation des limites cervicales, la santé et la qualité du biotype gingival forment un prérequis essentiel. Sur piliers dentaires, les limites juxta-gingivales et intra-sulculaires obligent à associer une technique d accès au protocole d empreinte injectée avec, pour conséquences, un traumatisme tissulaire qu il est nécessaire de maîtriser. Ce type d accès est-il applicable aux situations implantaires? Avec quelles conséquences tissulaires? L indication de la technique d empreinte injectée (1 temps ou 2 temps) impose un choix raisonné de matériel, de matériaux (polyéther ou silicone «A») et de viscosités. Classiquement, sur implant, l empreinte peut être à ciel ouvert ou fermé, enregistrant la situation de la tête de l implant ou du pilier transgingival. Une approche esthétique nécessite un transfert personnalisé. La mixité et la diversité des piliers entraînent une imbrication des protocoles capable d influer le choix de la technique. L empreinte optique permet aussi d enregistrer les piliers dentaires et implantaires. Cette voie d avenir est en développement afin de répondre à la diversité des situations cliniques. B29 Conférence Traitement implantaire des édentements postérieurs B. Vignal (Nîmes) Particularités des sites implantaires dans les secteurs postérieurs P. Boghanim (UFR de Toulouse) Apports de l orthodontie préimplantaire E. Serfaty (Paris) Comment éviter les obstacles anatomiques et gérer une faible hauteur d os disponible avec des implants courts et des implants inclinés? P. Rousseau (Paris) Comment pallier un déficit osseux par des greffes et/ou par de la régénération osseuse? O. Henry-Savajol (Châteaurenard) Apprendre à traiter un édentement postérieur quand le volume osseux est faible Analyser les contraintes et proposer plusieurs stratégies thérapeutiques Implants postérieurs, faible volume osseux L effondrement occlusal postérieur qualifie la situation clinique très fréquemment rencontrée et qui est très dommageable pour l ensemble de la denture. Il est donc impératif de repositionner ou de remplacer les dents postérieures manquantes avec un système prothétique fixe. L orthodontie ou/et la prothèse implanto-portée sont actuellement les solutions de choix dans les secteurs postérieurs. À la disparition de l os alvéolaire sur les crêtes dans les secteurs postérieurs s ajoutent des limitations anatomiques et physiologiques. Au maxillaire, c est la qualité de l os résiduel et la proximité du sinus maxillaire. À la mandibule, c est le cheminement du nerf alvéolaire inférieur qui limite la hauteur d os disponible. Nous avons choisi de demander à quatre spécialistes de nous faire part de leur expérience clinique. Afin de pouvoir s adapter aux contraintes et pour proposer des solutions alternatives à nos patients, il est indispensable de comprendre les particularités des implants postérieurs. 26 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 27

8 mercredi 28 novembre mercredi 28 novembre B30 Démonstration en direct sur patient Retraitement endodontique avec dépose d ancrage intracanalaire J.-J Lasfargues (Université Paris-Descartes Hôpital Bretonneau) Opérateur J. Amor (Paris) L. Pommel (UFR de Marseille) Présenter une procédure fiable et reproductible de retraitement endodontique orthograde sur une molaire porteuse d une reconstitution corono-radiculaire Illustrer cliniquement le choix et l utilisation d une instrumentation efficace et sans risque pour chaque étape de la procédure Démontage prothétique, retraitement endodontique orthograde Cette séance présentera une démonstration en direct de retraitement endodontique d une molaire, incluant les différentes étapes opératoires : 1. Anesthésie et mise en place du champ opératoire en préalable. 2. Démontage et dépose d un inlay-core : comment allier efficacité, rapidité et prévention des mutilations et fractures? 3. Réaménagement de la cavité d accès : comment retrouver toutes les entrées canalaires, y compris celles oubliées ou obstruées, et relocaliser les axes canalaires? 4. Perméabilisation canalaire : comment désobturer les canaux, puis franchir les éventuelles butées et retrouver la perméabilité apicale? 5. Mise en forme canalaire : comment repréparer et désinfecter en totalité le réseau canalaire pour obturer dans les meilleures conditions? B31 Conférence Interface INSERM/Odontologie Traiter ou guérir les agénésies dentaires multiples Responsables scientifiques A. Berdal (Université Paris-Diderot), M.-C. Manière (UFR de Strasbourg) Diagnostiquer les agénésies dentaires isolées ou associées aux dysplasies ectodermiques M. Molla (Université Paris-Diderot) Apport de l imagerie dans le diagnostic, la thérapeutique et la recherche M. Schmittbuhl, F. Clauss (UFR de Strasbourg) Reconstruction et régénération osseuse maxillo-faciale J. Ferri (CHRU de Lille) De la découverte expérimentale aux essais cliniques avec l ectodysplasine recombinante O. Guaide (Genève, Suisse) Le patient au cœur de la prise en charge et partenaire de l innovation O. Gross-Khalifa (Boulogne) Savoir diagnostiquer les agénésies dentaires multiples Connaître les prises en charge thérapeutiques implanto-prothétiques actuelles et les innovations thérapeutiques Agénésies dentaires, recherche translationnelle Les agénésies dentaires multiples peuvent être isolées ou s inscrire dans le cadre de syndromes polymalformatifs, tels que les dysplasies ectodermiques. Cette séance Interface INSERM a pour objectifs d appréhender les approches et innovations diagnostiques ainsi que thérapeutiques de ces affections bucco-dentaires rares : apport de l imagerie sectionnelle, traitements implantaires et possibilités de reconstruction osseuse. L administration de l ectodysplasine recombinante, en phase d essais cliniques, permet de restaurer le développement des organes ectodermiques et d initier la repousse de nouvelles dents. Il s agit donc d une voie thérapeutique d avant-garde, montrant l intérêt majeur du transfert des avancées de la recherche fondamentale en génétique et en biologie du développement au bénéfice du patient. B32 Rencontre avec Pierre Santoni (UFR de Marseille) La prothèse amovible partielle. Elle est toujours d actualité, elle évolue. Parlons-en! V. Pouyssegur (UFR de Nice-Sophia-Antipolis) Débattre des problèmes lors des traitements de l édentement partiel par prothèse amovible Redécouvrir les fondamentaux de la discipline et faire le point des nouvelles possibilités technologiques avec un expert Châssis métallique, concept occlusal, aménagement des surfaces d appui, tracé, CFAO, attachements B33 Atelier de travaux pratiques Les protections dento-maxillaires P. Poisson (Université Bordeaux-Segalen) Intervenants M. Bana (Champigny-sur-Marne), J.-M. Brionnet (Issoire), R. Devillard (Université Bordeaux-Segalen), J. Dion (Québec, Canada), R. Filippi (Lyon), C. Joseph (UFR de Nice-Sophia-Antipolis), O. Laviole, R. Zunzarren (Bordeaux), H. Rispal (Villenave-d Ornon) Connaître les critères essentiels (propriétés, forme et épaisseurs) à respecter dans la confection d une protection intra-buccale pour activité sportive et de loisir Connaître les étapes cliniques et les principales techniques de confection des protections intra-buccales sur mesure Médecine bucco-dentaire du sport, protection intra-buccale La protection dento-maxillaire, ou protection intra-buccale (PIB) pour activités sportives et de loisir, est considérée comme un équipement de protection individuelle (EPI) qui doit respecter des exigences essentielles règlementaires (Directive européenne transposée dans le droit français) de conception, d innocuité, de confort et d efficacité. Cet atelier veut tout d abord rappeler les exigences essentielles et leur traduction clinique pour les PIB, ensuite former les participants aux étapes cliniques nécessaires à la confection d une PIB conforme aux exigences, enfin, former les participants aux principales techniques de confection actuellement disponibles ainsi qu aux moyens de contrôle des critères de forme et d épaisseur des PIB sur mesure. Matériel à apporter par le congressiste 1 crayon 1 compas d épaisseur (type Dial Caliper) 1 brûleur (type brûleur miniflam de Prodont ou brûleur 1500 Hager et Werken) 1 paire de ciseaux droits Droit d inscription complémentaire de 125 euros B34 Atelier de travaux pratiques Gestion du cabinet dentaire : le livre de bord P. Barias (Villenave-d Ornon) Intervenants C. Assoun Gerber (Saint-Jory), P. Bichet (Nancy), J.-L. Bueno (Montauban), A. Darmony (Villeurbanne), L. Derevianko (Mérignac), J. Laudy (Antibes Juan-les-Pins), Y. Maisonneuve (Pelussin), J. Noriega (Bordeaux), B. Nouchi (La Force) Savoir utiliser les documents 2035 et RIAP à des fins de gestion et en ressortir des indicateurs simples Acquérir une méthode de calcul des honoraires qui s affranchit du coefficient multiplicateur Rationaliser l embauche d une assistante Gestion, indicateurs La sérénité nécessaire à notre exercice risque d être mise à mal car nous sommes soumis à une double pression : une pression économique : les honoraires opposables sont bloqués, le coût du plateau technique et des fournitures ne cesse d augmenter. Les dépenses exigées par la mise aux normes, les formations, le recrutement d une assistante tendent à contribuer au déséquilibre ; une pression sociétale : la justification du montant de la partie libre de nos honoraires est fréquemment contestée par les médias et par nos patients. Nous devons donc y voir clair quant à nos capacités d investissement et d achat, savoir si nos actes sont rentables, savoir où faire porter l effort : optimiser l existant, les protocoles de soins, recruter une assistante, rénover la chaîne de stérilisation, acheter une radio panoramique, aménager une salle de chirurgie. Tout cela sans doute, mais quand et dans quel ordre? Apprenons à calculer la partie libre de nos tarifs sur une vraie base économique et non pas sur un coefficient multiplicateur. Nous pourrons alors nous sentir «droits dans nos bottes» lors de la présentation des devis. Le but de cet atelier sera d extraire, à partir des données de la 2035 du RIAP et de l agenda, les éléments clés servant à fabriquer un tableau de bord minimum, comme le coût horaire du cabinet, en soins, en prothèse, le bénéfice horaire, le point mort de l exercice courant. Des exercices seront faits pour mettre en balance ce que peut coûter et rapporter l embauche d une assistante. Les concepts seront exposés, puis manipulés par chacun à chaque table avec les éléments de son propre cabinet, calculette en main. Chacun pourra charger de nombreux tableurs à partir d un site dédié. Il suffira de remplir les cellules à son retour au cabinet pour avoir son suivi mensuel et personnaliser ses calculs. Matériel à apporter par le congressiste Une 2035 Un RIAP Un SNIR Deux semaines types de l agenda avec la durée et la nature des actes Droit d inscription complémentaire de 125 euros 28 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 29

9 mercredi 28 novembre mercredi 28 novembre 9h00-18h00 B54 Cycle d urgence Urgence médicale Y. Roche (Université Paris-Diderot) Intervenants R. Tournemelle, B. Courrier, P. Casamajor, C. Mauprivez, G. Lescaille, A. Pelissier, F. Robichon (Université Paris-Diderot), O. Goncalves (Hôpital universitaire Paris Nord Val-de-Seine & Bichat), C. Fuilla (Direction de la Sécurité civile), M. Legens (Université de Bretagne occidentale), S. Paquin (Hôpital Percy, Clamart), R. Perreira, J.-F. Ringeval (CITERA du Val-de-Grâce Service de santé des armées) Réagir efficacement face à une urgence vitale au cabinet dentaire Prendre en charge un malaise avec, si nécessaire, la collaboration du SAMU Centre 15 Urgence médicale, AFGSU Les chirurgiens-dentistes sont exposés aux urgences médicales. Le fait que les patients soient de plus en plus polymédiqués peut entraîner, même pour un acte relativement banal, une situation d urgence. Nous sommes des professionnels de santé et, en tant que tels, nous devons agir rapidement en adoptant les gestes efficaces (de l appel à la réanimation cardio-pulmonaire). Dans ce but, nous devons actualiser nos connaissances médicales et entretenir notre gestuelle nous permettant de faire face notamment aux : urgences potentielles : malaise vagal, malaise hypoglycémique, convulsions... urgences vitales : obstruction totale par inhalation de corps étrangers, inconscience, arrêt cardiaque. Ces thématiques seront abordées durant ce cycle d urgence. L AFGSU sert de cadre à cette formation. Vous serez mis en situation réelle grâce à des mannequins simulateurs. Ainsi, au cours de cette journée, vous bénéficierez d un atelier de formation sur les urgences vitales et potentielles, ciblé sur votre pratique quotidienne. Durant cette journée, vous pourrez raisonner et agir à partir d études de cas simulés, puis mettre en œuvre les principales techniques d urgence telle que : la réanimation cardio-pulmonaire : compression thoracique, ventilation artificielle, défibrillation externe automatisée ; les positions d attente ; les techniques de désobstruction des voies aériennes supérieures ; l oxygénothérapie. L appel au SAMU Centre 15 ainsi que le contenu de la trousse d urgence seront également abordés. Le cycle d urgence présenté par l ADF ne répond pas aux critères d obtention de l AFGSU de niveau 1 ou 2. Droit d inscription complémentaire de 180 euros B35 Conférence De parodonto-conscient devenir parodonto-compétent J.-M. Dersot (Paris) Ce que je dois savoir pour être paro-compétent? M.-L. Colombier (Université Paris-Descartes) Prise en charge paro-compétente dans un cabinet dentaire en France J.-P. Albouy (Montpellier) Vers une organisation parodontocohérente A. Sancier (Toulouse) Évaluer les connaissances, les impératifs et l organisation au cabinet pour devenir parodonto-compétent Parodontie, organisation du cabinet La prise en charge des maladies parodontales, dans le panier de soins proposé dans la NGAP, pourrait laisser à penser qu il n y a pas de maladie parodontale en France. Cependant, tous les praticiens constatent tous les jours qu il existe des besoins en soins parodontaux, dans la bouche de la quasi-totalité de leurs patients, des besoins d information, d éducation, de motivation à la prévention des maladies parodontales, ainsi que des besoins en soins parodontaux non chirurgicaux, chirurgicaux, et en maintenance parodontale. Pour répondre à cette problématique, être parodonto-conscient est déjà positif, mais il faut savoir passer aux actes. Comprendre les maladies parodontales, savoir aborder un patient atteint d une maladie parodontale, savoir reconnaître les signes des parodontites et détecter les facteurs de risque, savoir réaliser un traitement non chirurgical et évaluer ses résultats, savoir décider de l indication et du moment de la chirurgie, savoir choisir parmi les différentes techniques chirurgicales de réparation et de régénération, savoir choisir des thérapeutiques fondées sur les preuves, et arriver à se départir du carcan conventionnel et faire adhérer le patient à une thérapeutique parodontale de prévention, de traitement ou de maintenance. Devenir parodonto-compétent ne s improvise pas, il est indispensable de se former. L objectif de cette séance est de permettre au praticien de répondre aux trois questions suivantes : quelles doivent être mes connaissances de base pour prendre en charge les maladies parodontales? quelles sont les nécessités et les impératifs pour que je devienne parodonto-compétent? quelle doit être l organisation de mon cabinet afin de répondre aux besoins parodontaux de mes patients? B36 Conférence Foyers infectieux bucco-dentaires : comment les gérer? Séance organisée par la SFCO J.-H. Torres (UFR de Montpellier) Présentation des dernières recommandations de la SFCO M.-A. Fauroux (Montpellier) Le patient cancéreux : comment le prendre en charge? R.-J. Bensadoun (Université de médecine et de pharmacie de Poitiers) Le patient cardiaque : comment le prendre en charge? B. Iung (Université Paris-Diderot) Savoir préparer les patients avant une intervention ou un traitement particulier Savoir gérer les patients fragiles Foyers infectieux, prise en charge On demande à l odontologiste de rechercher des foyers infectieux en raison d un état général particulier, pour prévenir l apparition d une infection secondaire ou pour stabiliser une pathologie générale, pour rechercher le point de départ d une infection secondaire, avant d instaurer une thérapeutique médicale ou physique (radiothérapie) susceptible de favoriser ou d aggraver un processus infectieux, ou pour préparer le patient à une intervention chirurgicale. Dans tous les cas, les gestes chirurgicaux destinés à assainir la cavité buccale doivent être entrepris au plus tôt, de façon à ce que la cicatrisation muqueuse soit acquise avant l apparition du risque infectieux supplémentaire. La cicatrisation muqueuse après avulsion dentaire nécessite une durée minimale d une semaine. Elle doit être évaluée par un contrôle clinique. Lorsqu un geste invasif est programmé et qu une antibioprophylaxie est nécessaire, elle doit toujours être mise en œuvre avant le début de l intervention. En outre, chez les patients présentant des conditions susceptibles de majorer le risque infectieux (risque d ostéoradionécrose, diabétiques non équilibrés, polynucléaires < 500 / mm 3 ), le traitement antibiotique doit être poursuivi jusqu à la cicatrisation de la muqueuse. 30 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 31

10 mercredi 28 novembre mercredi 28 novembre 12h30-18h00 B37 Point sur En relation avec la A3 et la D100 Le point sur la reconstruction après usure, érosion, ou attrition : des nouveaux concepts cliniques à la recherche d un matériau idéal Interprétation simultanée français-anglais A. Perceval (chef département dentisterie restauratrice Université Libre Bruxelles, Belgique) Partie 1 : Les procédures cliniques Bio-mimétique Bio-émulation et économie tissulaire P. Bazos (Athènes, Grèce) Restaurations directes des érosions par composites dans la «splint technique» P. Schmidlin (Université de Zürich, Suisse) Les procédures semi-directes et indirectes de restauration des dentures usées par composites et céramiques U. Belser (École de médecine dentaire de Genève, Suisse) Partie 2 : Études in vitro des biomatériaux reconstructeurs Construire un simulateur d'usure in vitro : les principes des bouches artificielles et le simulateur Sofia I. Chakalov (Université de Sofia, Bulgarie) Les composites face à l'usure I. Krejci (École de médecine de Genève, Suisse) Les matériaux céramiques face à l'usure A. Mainjot (Université de Liège, Belgique) Répondre à l actualité de la problématique de l usure dentaire Exposer les nouveaux concepts restaurateurs et protocoles cliniques qui respectent les tissus restants Connaître les données acquises de la recherche sur les valeurs des biomatériaux restaurateurs en termes d usure Usure, érosion, attrition, nutrition, prothèse, biomatériaux L usure dentaire au sens large est devenue un problème de société touchant des groupes de population de plus en plus jeunes, en particulier dans les processus érosifs. De nouveaux concepts restaurateurs et protocoles cliniques sont actuellement expérimentés, et la recherche, en particulier in vitro sur des simulateurs de bouche, apporte des données précises sur la valeur des biomatériaux restaurateurs en termes d usure. La partie 1 développe les nouveaux protocoles cliniques récemment mis au point, en particulier par l école suisse. La partie 2 apporte l éclairage de la recherche fondamentale pour comprendre, choisir ou contre-indiquer des matériaux de restauration occlusale dans le cadre d usure étendue. Existe-t-il un biomatériau idéal pour la restauration des tables occlusales usées? B38 Conférence NOUVEAUTÉ Les clés de la réussite Créer son cabinet dentaire, reprendre un cabinet dentaire existant X. Lanctuit (Saint-Witz) Les contrats incontournables entre associés, statuts et sociétés d exercice J.-C. Chocque, B. De Froment (Paris) Conception architecturale d un cabinet dentaire S. Saunier (Lyon) Les règles d hygiène et d asepsie à respecter lors de la conception d un cabinet dentaire O. Baron (Aizenay) Concevoir, transformer et évaluer un cabinet dentaire en fonction des aspects juridiques, ergonomiques, architecturaux et réglementaires Prévoir les contrats et statuts liés à notre exercice Réaliser l étude de faisabilité du projet, définir le programme et personnaliser l architecture intérieure du cabinet Statuts, contrats. Conception architecturale. Ergonomie, hygiène et asepsie, réglementaire Cette séance vous donnera les clés indispensables à la réussite de votre projet. Nous y aborderons les aspects juridiques, architecturaux, ergonomiques, réglementaires et les mesures d hygiène et d asepsie : la conception architecturale d un cabinet dentaire doit se faire dans le respect des recommandations et réglementations en vigueur (hygiène et asepsie, ergonomie, normes des Etablissements recevant du public et normes d installation radio) ; les aspects juridiques (baux, contrats entre associés, statuts) sont incontournables. Vous recherchez un outil de travail performant, adapté aux soins des patients, et qui devra être aussi conçu pour préserver la santé du praticien et de son équipe. Il faut être particulièrement attentif aux matériaux utilisés (résistants aux agressions chimiques, non poreux lavables et désinfectables) : vitrée partiellement ou en totalité, la salle de stérilisation est située à proximité des salles de soins et de préférence avec un accès direct pour les assistantes. Son ergonomie doit permettre un traitement des «dispositifs médicaux» en allant vers le plus propre (marche en avant). Elle est séparée en zones «sèche» et «humide» ; esthétique et fonctionnel, le cabinet dentaire est un véritable lieu de vie et un outil de communication dont la salle de stérilisation est la vitrine. La plus grande rigueur dans la planification, la conception et la réalisation de votre cabinet dentaire conditionne la réussite de votre projet. B39 Conférence NOUVEAUTÉ Confrontation Prothèse amovible complète : trois stratèges pour analyser et combattre ses échecs P. Tramba (Université Paris-Descartes) L occlusion en prothèse complète : doit-on y croire? Joue-t-elle un rôle? Comment simplifier la complexité? O. Hüe (Université Aix-Marseille II) Garder ou extraire les dernières dents à la mandibule? M. Postaire (Université Paris-Descartes) Une prothèse supra-radiculaire télescopique et pourtant sociale J.-P. Borgers (Liège, Belgique) Prévenir les échecs en prothèse amovible complète Comprendre le point de vue, la démarche de prise en charge, le temps par temps de mise en œuvre de chacun Esthétique, empreintes, piézographie, relation maxillo-mandibulaire, articulateurs, choix et techniques de montage des dents artificielles C est dans la confrontation «positive» que réside l originalité de cette séance. Voici ce qui vous est proposé. Prenez : trois experts cliniciens reconnus ; un domaine clinique particulier : «les édentés complets» ; plusieurs situations cliniques se rapportant a priori à ce domaine, Laissez les experts réfléchir, proposer une ou plusieurs démarches adaptées. Laissez agir les avis, les cultures de formations différentes, les points de vue, et les façons de faire. Laissez-les concevoir leur «temps par temps» qui s accompagne d habitudes, de tours de main et de savoir faire. Mettez en avant les différences d approche, de perception de la situation clinique, les différences d objectifs et de moyens à mettre en œuvre pour les atteindre. Agrémentez le tout d un président de séance à la fois un peu provocateur, souvent animateur et toujours à l écoute de vos attentes Nous devrions obtenir une séance conférence d'un genre nouveau, sans tabou ni contrainte, sans langue de bois, ni faux-semblant. En résumé, tentons de profiter de la grande expérience des conférenciers qui sont prêts à transmettre et à partager avec vous comme ils ne l ont encore jamais fait. 32 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 33

11 mercredi 28 novembre mercredi 28 novembre B40 Conférence Prothèse maxillo-faciale et reconstructions chirurgicales : s intégrer au parcours de soins O. Étienne (Université de Strasbourg) Les reconstructions mandibulaires : apport des transplants libres revascularisés S. Lemoine (UFR de Strasbourg), S. Zink (Strasbourg) Les reconstructions mandibulaires en double fibula : intérêts et limites pour l implantologie S Salino, P-Y Jeanniot (Lyon) Les reconstructions maxillaires : principes et conséquences prothétiques S. Demachy (UFR de Reims), B. Devauchelle (Amiens) co-auteurs : chirurgiens maxillo-faciaux ou ORL Mieux connaître les techniques de reconstruction chirurgicale et évaluer leur impact sur les possibilités de réhabilitations prothétiques dentaires Optimiser la synergie chirurgico-prothétique dans les reconstructions maxillo-faciales Reconstructions maxillaires et mandibulaires, synergie chirurgico-prothétique La prothèse maxillo-faciale s intègre dans une séquence de soins qui assure la prise en charge de patients présentant des pertes de substances maxillaires, mandibulaires ou péri-maxillaires. Dès lors, la bonne coopération entre le chirurgien-dentiste et les équipes chirurgicales est une des clés du succès. La reconstruction chirurgicale est aujourd hui une des étapes, fréquente sans être systématique, de cette longue séquence thérapeutique. En effet, que ce soit dans le cadre des défauts congénitaux ou des défauts acquis, la tendance actuelle vise à prolonger le geste opératoire jusqu à une restitution la plus proche possible de l anatomie normale. Ainsi, ces dernières années, les greffes autologues, comme les transplants revascularisés, ont connu un développement croissant. Ce sont de nouveaux appuis anatomiques pour nos restaurations dentaires, qu il faut apprendre à connaître et à exploiter sereinement. Les trois conférenciers et leurs équipes chirurgicales vous présenteront les avantages et les inconvénients de ces nouveaux terrains prothétiques, qu ils concernent le maxillaire ou la mandibule, les options amovibles ou implanto-portées. Les spécificités et les compétences de chacun seront présentées puis discutées durant la séance. L originalité apportée cette année concerne la présence indirecte des différents intervenants chirurgiens maxillofaciaux ou ORL, qui partageront avec nous leurs expériences cliniques au travers d entrevues filmées. B41 Conférence Fracture instrumentale et perforation : prévention, gestion et aspect médico-légal A. Claisse-Crinquette (UFR de Lille) La fracture instrumentale : comment la prévenir et la gérer? S. Simon (Université Paris-Diderot) La perforation pathologique ou iatrogène : peut-on l éviter et la traiter? J.-Y. Cochet (Paris) Fracture instrumentale, butée, perforation : erreur ou aléa? P. Marchand (Gambais) Prévenir les risques et identifier les difficultés Gérer au mieux la prise en charge et le traitement des difficultés et des dommages Savoir reconnaître et faire face à une erreur ou à un aléa thérapeutique Aléa thérapeutique, gestion, aspect juridique Vous avez tous été confrontés à un problème de fracture instrumentale ou de perforation. Vous vous êtes tous posé la question de savoir comment gérer le problème. Vous avez tous culpabilisé C est pourquoi il nous semble judicieux d aborder ouvertement la question, tant d un point de vue dentaire que juridique. La fracture instrumentale, toujours ressentie comme un facteur d échec au traitement, est une complication souvent en rapport avec un usage inapproprié ou une mauvaise gestion des instruments. S. Simon nous dira cependant que la fracture est rarement la cause directe de l absence de guérison et que le pronostic dépend de la possibilité de désinfection canalaire, qui reste le facteur déterminant. Le moment d apparition de la fracture et la possibilité de passage en parallèle sont donc des paramètres capitaux à considérer en cas d incident. La perforation iatrogène crée une communication endo-parodontale qui représente une cause d échec importante par destruction tissulaire et contamination bactérienne. J.-Y. Cochet nous montrera que la taille, la localisation et l ancienneté des perforations, sont autant de paramètres qui conditionnent la prise en charge et qui influencent le pronostic. Si les nouvelles techniques améliorent la qualité de nos traitements endodontiques, le nombre de déclarations de litiges augmente, induisant un retentissement sur la valorisation des primes d assurances. P. Marchand nous expliquera que, dans la majorité des cas, il s avère que les protocoles ne sont pas correctement respectés et que la gestion médico-légale des incidents n est pas toujours appropriée. La conduite à tenir au titre de la responsabilité civile professionnelle, le suivi immédiat, les modalités de prise en charge, la relation avec le patient autant de thèmes qui seront abordés dans le but de réduire les litiges secondaires à ce type d incident. B42 Conférence Forum des jeunes chercheurs en odontologie J.-O. Pers (UFR de Brest) Pourquoi une recherche en microbiologie buccale? M. Bonnaure-Mallet (Université de Rennes 1) Les agents infectieux dans la rupture de la tolérance des lymphocytes B S. Jung (Strasbourg) Les immunoglobulines intra-veineuses favorisent un état d anergie des lymphocytes B auto-réactifs au cours du syndrome de Gougerot-Sjögren J.-F. Séité (Brest) Caractérisation de progéniteurs d origine endothéliale infectés par la protéine Td Tomato pour applications en bio-ingénierie tissulaire A. Aussel (Bordeaux) Exploration moléculaire et cellulaire du sac folliculaire de souris sauvages et transgéniques au cours de l éruption dentaire V. Baaroun (Champigny-sur-Marne) Rôle de Hoxa2 dans la morphogénèse de l oreille externe : un modèle d étude pour comprendre les anomalies génétiques cranio-faciales M. Minoux (UFR de Strasbourg) Validation d un modèle numérique d étude du comportement des instruments endodontiques en NiTi V. Chevalier-Herisset (Brest) Découvrir les avancées de la recherche en odontologie Comprendre les perspectives et les enjeux pour l odontologie d une thématique de recherche d un laboratoire français Recherche, jeunes chercheurs Le Forum des jeunes chercheurs a pour objectif de donner une tribune aux jeunes chercheurs en odontologie œuvrant dans les laboratoires hospitalo-universitaires français. Six d entre eux ont été sélectionnés lors des Journées du jeune chercheur en odontologie de Brest (15-16 septembre 2011) pour la qualité de leurs travaux. Ainsi, les mécanismes complexes du contrôle et la rupture de la tolérance immunitaire seront abordés par S. Jung et J.-F. Séité. Ensuite, A. Aussel montrera les applications de progéniteurs de cellules endothéliales en ingénierie tissulaire et V. Baaroun explorera les acteurs moléculaires et cellulaires de l inflammation dans le follicule dentaire au moment de l éruption. Enfin, M. Minoux évoquera comment Hoxa2 agit sur la morphogenèse cranio-faciale et V. Chevallier nous exposera comment la modélisation numérique des instruments endodontiques NiTi pourra permettre d évaluer leur comportement et ceux des futurs prototypes en amont de leur production. Cette séance sera également l occasion de débuter un tour de France des différentes équipes de recherche des Facultés d odontologie accueillant ces jeunes chercheurs : après avoir présenté son équipe de recherche, le directeur expose ses projets, les perspectives et les enjeux de la recherche pour l odontologie de sa thématique. Cette année, le Pr M. Bonnaure-Mallet, directrice de l équipe de microbiologie UPRES EA1254 de l Université de Rennes 1, nous parlera des challenges sur le thème des micro-organismes (notamment Porphyromonas gingivalis) et de leur survie en conditions de stress. 34 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 35

12 mercredi 28 novembre mercredi 28 novembre B43 Rencontre avec André Darthez (Pau) Relations occlusodontie et posturologie J. Deilhes (Cahors) Savoir conduire un examen postural et occlusal Découvrir la thérapeutique des différentes relations possibles entre occlusion et posture Occlusion, posture, examen postural 14h30-17h00 B44 Atelier de travaux pratiques En relation avec la B25 Greffe du sinus maxillaire Technique chirurgicale et gestion des complications M. Rocchesani (Bastia) Intervenants J.-F. Albertini (Corte), O. Henry-Savajol (Châteaurenard), S. Piéri (Folelli), J.-M. Ferrandi (Calvi), D. Soussan-Casanova (L Ile-Rousse), L. Pergola (Aleria), J.-P. Mangion (Sartène), T. Muzy (Sainte-Lucie-de-Porto-Vecchio), D. Abensur (Paris) Apprendre les techniques de comblement partiel du sinus sur modèle pédagogique Sinus lift, comblement osseux, maxillaire postérieur La greffe du sinus maxillaire est considérée aujourd hui comme une technique de routine. L utilisation de xénogreffes ou d autres biomatériaux permet de réaliser cette intervention sous anesthésie locale au cabinet dans certaines conditions. L efficacité de cette technique repose essentiellement sur une bonne analyse et une parfaite connaissance de l anatomie du sinus maxillaire afin d optimiser les propriétés ostéoconductrices du matériau de greffe. Ceci se traduit au niveau technique par un positionnement optimal de la fenêtre d accès, un décollement rigoureux de la membrane de Schneider et une parfaite mise en place du matériau de greffe. La prévention et le traitement des complications per-opératoires font partie des conditions qui permettent d obtenir un taux de survie implantaire de 98 %. Droit d inscription complémentaire de 140 euros 14h30-17h00 B45 Atelier de travaux pratiques En relation avec la B28 Les empreintes optiques M. Fages (UFR de Montpellier) Intervenants M. Bartala (Université Bordeaux-Segalen), B. Bennasar (Lattes), E. Leforestier (UFR de Nice-Sophia-Antipolis), M.-L. Malbos (UFR de Clermont-Ferrand) J. Raynal (Lodève), J.-L. Veyrune (UFR de Clermont-Ferrand), B. Bensoussan (Tournefeuille), D. Seux (UFR de Lyon), V. Séguéla (UFR de Bordeaux) Présenter les différents types de prise d empreintes optiques Connaître et manipuler le matériel susceptible de remplacer les empreintes conventionnelles Caméra intra-buccale, scanner, empreintes, modèles de travail Si l empreinte optique est restée confidentielle durant bien des années, elle semble aujourd hui se présenter comme une alternative à l empreinte chimico-manuelle traditionnelle. Les empreintes optiques peuvent être adressées directement par internet vers les laboratoires de prothèse et des centres de production externalisés ou être traitées au cabinet. Elles permettent la conception de prothèses, mais aussi la réalisation de modèles de travail. Cet atelier propose de faire le point sur le matériel commercialisé et d initier les congressistes à ce nouveau mode de pratique clinique. Après une présentation générale des empreintes optiques, de leur mise en œuvre et avantages, et un état des lieux du matériel disponible, les participants auront la possibilité de manipuler successivement différents types de caméras intra-buccales. Ils seront encadrés par des confrères expérimentés dans la manipulation de chaque système et pourront prendre différentes empreintes optiques sur modèles physiques, en évaluer l intérêt et se familiariser avec les logiciels permettant la communication praticien-laboratoire. Droit d inscription complémentaire de 125 euros B46 Conférence La lésion endo-parodontale : actualités et décisions thérapeutiques Séance organisée par la SFE J.-P Mallet (PARIS) La problématique parodontale C. Verner (Nantes) Le diagnostic 2D/3D et l apport du cone beam R. Cavézian (Paris) Le traitement endo-parodontal T. Roussel (Paris) Comprendre les interactions entre endodonte et parodonte Se familiariser avec les moyens de diagnostic et de traitement Endodonte et parodonte, imagerie diagnostique, traitement combiné Les communications entre l endodonte et le parodonte étant fréquentes au travers des canaux accessoires, notamment au niveau des furcations et des zones latéro-radiculaires de la moitié apicale, les lésions endo-parodontales peuvent être d origine purement endodontique (granulome, kyste), purement parodontale (poche parodontale entraînant une nécrose a retro sur dent pulpée) ou mixte. La compréhension des processus biologiques permet d apprécier les approches thérapeutiques. Le diagnostic différentiel des lésions endo-parodontales résulte des tests de vitalité, du sondage parodontal et de la radiographie. L apport de l examen radiologique 2D et surtout 3D dans la résolution de ce diagnostic est indéniable depuis les examens cone beam. Les choix thérapeutiques se feront en fonction de l étiologie : étiologie endodontique : le traitement endodontique suffit à la disparition des lésions osseuses ; étiologie parodontale : le traitement parodontal est nécessaire pour la stabilisation des lésions osseuses. Mais un traitement endodontique peut être nécessaire en cas de nécrose pulpaire secondaire à la parodontite ; étiologie endo-parodontale : le potentiel de cicatrisation de la lésion d origine endodontique étant très élevé, le traitement endodontique est toujours entrepris avant le traitement parodontal. Tous ces éléments nécessaires et indispensables au traitement de la lésion endo-parodontale seront exposés au cours des trois conférences. B47 Conférence Les addictions de l enfant : de la tétine aux jeux vidéo... A. Manière-Ezvan (UFR de Nice-Sophia-Antipolis) L addiction aux tétines : pourquoi? Analyse des informations données aux parents M. Sayagh (Menton) Les enfants addicts aux tétines : quels sont-ils? Quelles sont les conséquences sur les arcades dentaires? L. Lupi-Pégurier (UFR de Nice-Sophia Antipolis) L addiction aux jeux vidéo : faut-il en faire une maladie? O. Revol (Bron) Comprendre le comportement des parents et des enfants face à ces addictions Savoir les intégrer dans nos thérapeutiques Succions non nutritives, malocclusions, pédopsychiatrie Vers les années 60, période de l apparition des tétines, la succion de ce petit objet de caoutchouc était très rare et surtout à peine tolérée voire méprisée. De nos jours, en France, sa succion est devenue complètement banalisée, jusqu à l overdose, avec la caution des parents. Pourquoi? Il existe une multitude de sources de renseignements auxquelles les parents ont accès (maternité, internet, presse, télévision...) et qui préconisent le plus souvent la tétine, sous toute forme et couleur, sans modération! Enfant devenu «addict»! Pourtant, il faudra savoir parler de sevrage, notamment à cause des répercussions sur les arcades dentaires, et ce ne sera pas facile ni pour l enfant, ni pour les parents. Autre addiction du xxi e siècle : les «écrans» dont l influence sur les enfants est un sujet sensible. Internet et ses jeux en ligne attisent les craintes des parents, qui les accusent de tous les maux, et leur attribuent la responsabilité de l échec scolaire de leurs enfants... L impact des nouveaux médias n est pas forcément négatif, mais les parents sont désemparés d avoir à statuer sur une activité qu ils n ont pas connue et que leur méconnaissance contribue à diaboliser. Ces enfants de notre époque : il faut mieux les connaître pour savoir mieux communiquer avec eux et leurs parents, pour mieux les soigner. B48 Conférence L odontologiste face au syndrome d apnée obstructive du sommeil B. Mantout (Marseille) Choix thérapeutique dans le SAOS : mieux en comprendre les critères B. Fleury (Hôpital Saint-Antoine, Paris) Parcours de soins odontologiques du patient apnéique I. Bonafé (UFR de Montpellier) Effets secondaires des orthèses d avancée mandibulaire J. Cohen-Lévy (Paris) Aborder trois aspects de la prise en charge des patients souffrant d un SAOS Indications thérapeutiques, parcours de soins, effets secondaires Le syndrome d apnées-hypopnées obstructives du sommeil (SAOS) peut être considéré aujourd hui comme l un des troubles du sommeil les plus prégnants. Il est caractérisé par une prévalence élevée des conséquences funestes sur la vigilance et de multiples comorbidités associées. En conséquence, il représente un surcoût économique sociétal qui fait de lui un enjeu majeur de santé publique. La prise en charge du SAOS concerne l ensemble des acteurs de santé et, parmi ceux-ci, la médecine bucco-dentaire qui se doit d assurer un triple rôle : détection, prévention et traitement. Les odontologistes, en quelques années, ont plutôt bien répondu aux appels de la médecine du sommeil. Un certain nombre d entre eux se sont formés à la problématique des orthèses d avancée mandibulaire (OAM), même si ces formations ont revêtu un caractère assez disparate tant en termes de contenu que de répartition géographique sur le territoire national. Les critères du choix thérapeutique émis par le médecin du sommeil référent, le protocole odontologique de mise en œuvre des OAM et les effets secondaires potentiellement attendus de ces mêmes dispositifs sont les points d interrogation les plus souvent évoqués par les chirurgiens-dentistes. Cette séance devrait apporter l éclairage nécessaire pour permettre aux cliniciens de mieux contourner les écueils. 36 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 37

13 mercredi 28 novembre mercredi 28 novembre B49 Conférence NOUVEAUTÉ Confrontation L édentement unitaire : critères de choix thérapeutique J.-P. Blanchard (UFR de Bordeaux) Le bridge collé P. Rajzbaum (Levallois-Perret) La couronne implanto-portée P. Margossian (UFR de Marseille) Le bridge traditionnel G. Laborde (UFR de Marseille) Analyser les critères cliniques de l édentement unitaire pour choisir le type de restauration prothétique Connaître les plans de traitement et les techniques des différentes restaurations Édentement unitaire, restauration prothétique La restauration de l édentement unitaire peut s effectuer par bridge collé, bridge traditionnel ou couronne sur implant. Le poids des habitudes, le souhait de réaliser une prouesse technologique ne doivent pas nous faire oublier que le choix thérapeutique doit être raisonné, en accord avec les données acquises de la science afin d obtenir un résultat satisfaisant et pérenne. Les différents facteurs décisionnels doivent être évalués pour effectuer le choix thérapeutique le plus adapté : situation et configuration de la zone édentée, valeurs mécanique et esthétique des dents contiguës, occlusion, complexité et durée du traitement. Cette analyse permet la prise de décision thérapeutique en accord avec le patient, après évaluation du temps de réalisation et de la temporisation. Plan de traitement, conception et matériaux seront étudiés par les trois conférenciers pour chaque type de restauration. B50 Conférence NOUVEAUTÉ Lutter contre les idées reçues en implantologie H. Jambrec (Genève, Suisse) Les limites dues à la biomécanique : la surcharge, est-ce que ça existe? A. Wiskott (École de médecine dentaire de Genève, Suisse) Implants courts ou de diamètre réduit : avantages ou inconvénients pour le clinicien et le patient? O. Le Gac (Agen) Configuration de la partie cervicale de l implant. Clé du succès du maintien osseux péri-implantaire? N. Cionca (Genève, Suisse) Débattre de la pertinence clinique de certains concepts implantaires Apprendre à poser des indications chirurgicales et prothétiques individualisées en fonction de la situation clinique Biomécanique, design implantaire Dans aucun domaine dentaire le progrès n a été aussi important ces 30 dernières années qu en implantologie. En conséquence nos plans de traitement ont été adaptés, la prise en charge de nos patients a été changée. Le progrès s est avéré tellement fulgurant que nos connaissances scientifiques n étaient plus en mesure de suivre le rythme de l enthousiasme dans ce domaine. L industrie implantaire florissante en était d autant plus contente. Ce n est que depuis une dizaine d années, que certaines de nos certitudes, qui se basaient principalement sur les expériences cliniques de nos confrères «pionniers» dans le domaine, se voient analysées de plus près, de façon scientifique et systématique. Petit à petit nous découvrons que certaines de ces certitudes n ont peut-être pas de raison d être. Ces nouvelles connaissances vont heureusement souvent dans la direction d une simplification du traitement implantaire. Le patient, mais aussi le praticien, en sont les principaux bénéficiaires. C est exactement dans ce même but que nous allons nous permettre de questionner certaines de ces «idées reçues» et peut-être démontrer qu elles n ont pas lieu d être. B51 Démonstration en direct sur patient En relation avec la C77 Le recouvrement radiculaire par une greffe conjonctive ou par la mise en œuvre d un protocole de substitution D. Étienne (Université Paris-Diderot) Opérateurs C. Fouque (Marseille), N. Picard (Rouen) Découvrir deux techniques esthétiques chirurgicales du recouvrement radiculaire Comparer les indications et les points forts entre ces deux techniques Récession gingivale, chirurgie plastique parodontale Le traitement chirurgical des récessions gingivales a gagné en fiabilité ces dernières années, par l évaluation du risque chirurgical pour le recouvrement des récessions simples ou multiples et une meilleure compréhension de la cicatrisation. Il nous faudra répondre le plus souvent à une demande esthétique, au traitement d une hypersensibilité dentinaire ou à la suppression de freins/brides mobilisant la gencive marginale. La technique de référence pour les récessions isolées, non associées à une perte de tissu inter-dentaire est le lambeau avancé coronairement, recouvrant un greffon conjonctif. L objectif idéal étant le recouvrement total de la récession lorsque l esthétique est primordiale et/ou le changement du biotype gingival pour favoriser la stabilité à moyen terme du recouvrement ou améliorer la résistance mécanique, par exemple chez les brosseurs «traumatiques». Dans ces situations, un recouvrement partiel peut être adéquat. Des techniques fiables de lambeaux avancés coronairement sans incision de décharge ou de tunnel ont été proposées pour le traitement des récessions gingivales multiples. Lors de cette session, deux interventions par lambeaux avancés coronairement, plus facilement réalisables en omnipratique, seront réalisées. Les indications des techniques chirurgicales choisies, pour s adapter à des risques et des objectifs différents, seront discutées et les différentes étapes chirurgicales soulignées : préparation radiculaire, libération du lambeau, sutures. Les interventions vont ainsi illustrer l utilisation combinée d un dérivé de la matrice amélaire pour optimiser la cicatrisation ou d un greffon conjonctif pour modifier le biotype. B52 Conférence Les lauréats de l IFRO Responsables scientifiques H. Magloire (UFR de Lyon), M. Bonnaure-Mallet (Université de Rennes 1) Rôle de TRPP1 au cours du développement dentaire et dans la mécanotransduction des odontoblastes F. Bleicher (UFR de Lyon) Développement de la cavité buccale : du gène à l expression clinique chez l Homme V. Laugel-Haushalter (Illkirch-Graffenstaden) Influence des Toll-Like Receptors sur l effet de la cytokine BAFF dans la survie des lymphocytes B. Implication dans la physiopathologie du syndrome de Gougerot-Sjögren C. Jamin (UFR de Brest) Mise au point d un modèle expérimental d irradiation des maxillaires chez le lapin A.-G. Bodard (UFR de Lyon) Revêtements implantaires aux propriétés bioactives B Grosgogeat Balayre (UFR de Lyon) DentEauRisq - Eau des units de soins dentaires : évaluation du risque infectieux et potentiel anti-biofilm des traitements usuels et à venir C. Imbert (UFR de Poitiers, Faculté de médecine-pharmacie) Dérivation de cellules de mésenchyme dentaire embryonnaire odontogénique à partir de cellules souches embryonnaires de souris pour l ingénierie tissulaire de la dent A. Poliard (Université Paris-Descartes) Découvrir les avancées de la recherche dans le domaine de l odontologie IFRO, recherche En novembre dernier, l IFRO a renouvelé grâce au soutien de l ADF, des laboratoires Colgate, Gaba et Pierre Fabre, son appel à projets pour sélectionner des projets de recherche en odontologie. Les lauréats exposeront au cours de cette conférence les résultats de leur recherche acquis dans leurs laboratoires au cours de cette année Pour les patients comme pour les chercheurs, comprendre, prévenir et développer de nouvelles thérapeutiques sont des enjeux majeurs pour notre santé et notre santé bucco-dentaire en particulier. Après deux exposés sur le développement cranio-facial et sur le développement dentaire, un lauréat vous parlera de la mise au point d un modèle expérimental d irradiation des maxillaires chez le lapin afin de comprendre l ostéo-radionécrose. Dans le domaine de la prise en charge des patients, trois exposés en lien direct avec notre pratique quotidienne se succèderont : l un sur les nouveaux revêtements implantaires, le deuxième sur le syndrome de Gougerot-Sjögren et le troisième sur la modélisation des contaminations de l eau des units dentaires. Enfin, pour conclure, un message d avenir dans les sciences de bio-ingénierie nous sera donné sur l implant biologique. B53 Rencontre avec Jean-François Tulasne (Paris) Les techniques chirurgicales E. Solyom (Toulouse) Discuter des techniques chirurgicales Chirurgie, complications, technique chirurgicale 38 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 39

14 mercredi 28 novembre jeudi 29 novembre Sauf mention spécifique, la participation aux séances est incluse dans le droit d inscription général. C55 Cours En relation avec la C83 et la D107 L art et le sens de la perception visuelle en dentisterie esthétique : visage, sourire et pouvoir expressif des restaurations céramiques Interprétation simultanée français-anglais Conférencier Luca Dalloca (Milan, Italie) J.-F. Lasserre (UFR de Bordeaux) Apprendre à développer ses capacités artistiques et son sens de la perception visuelle pour réaliser des restaurations antérieures plus vivantes et naturelles Apprendre à dépasser l appréciation habituelle des restaurations perçues uniquement dans le sourire pour les intégrer dans l harmonie du visage vu dans son ensemble Donner un vrai pouvoir expressif aux restaurations de céramique tout en respectant une économie tissulaire maximale Esthétique, sourire, biomimétique, perception, psychologie, art L esthétique est la fusion harmonieuse de la beauté et de l art. En odontologie, c est un jeu d équilibre entre les dents, les tissus mous, les lèvres, le visage du patient et sa personnalité. Afin d obtenir des résultats esthétiques à la fois proches de la nature et vraiment attrayants, et non pas artificiels et stéréotypés, nous devons développer nos compétences artistiques. Nous pouvons tous progresser dans ce domaine en travaillant nos aptitudes psychologiques du sens de la perception. Nombre d entre nous se limitent à obtenir en prothèse d excellents résultats biologiques et une validation esthétique limitée à la bouche et au sourire, sans prendre en compte le visage où la restauration peut parfois devenir décevante. Ce cours donne aux participants les connaissances nécessaires pour développer leurs compétences artistiques, pour apprendre à voir le tout et ne pas seulement voir les détails, pour mieux évaluer l équilibre des dents antérieures par rapport au visage du patient et percevoir les tensions dans la composition dentaire. Ils apprendront aussi à corriger uniquement ce qui est nécessaire pour l amélioration expressive du sourire. C56 Séance interactive Ne pas passer à côté d un cancer de la cavité buccale! J.-C. Fricain (UFR de Bordeaux) J ai un aphte dans la bouche. C est grave docteur? F. Campana (Marseille) Une boule au palais : lésion suspecte? J. Samson (École de médecine dentaire de Genève, Suisse) Une tache noire, rouge ou blanche de la muqueuse buccale : lésion maligne ou simple dyschromie? M. Guichard (UFR de Toulouse) Repérer les lésions potentiellement malignes Agir devant une lésion bénigne ou maligne Lésion potentiellement maligne, carcinome épidermoïde En 2005, en France métropolitaine, les cancers de la lèvre et de la cavité buccale étaient classés au 5 e rang chez les hommes et au 15 e rang chez les femmes. Les projections d incidence pour l année 2010 montraient qu environ nouveaux cas de cancers de la lèvre et de la cavité buccale seraient diagnostiqués. Les survies relatives à 5 ans varient de 33 à 38 % chez les hommes et de 45 à 53 % chez les femmes selon les localisations. Le mauvais pronostic est en partie lié à un diagnostic tardif (stade T3 ou T4). Les cancers de la cavité buccale sont majoritairement des cancers qui se forment à partir de l épithélium de la muqueuse buccale. Ils sont donc visibles au cours d un simple examen clinique des muqueuses. Cette constatation place le chirurgien-dentiste en première ligne diagnostique. Le praticien non spécialiste est souvent mis en difficulté diagnostique lorsqu il repère une lésion élémentaire de la muqueuse buccale. Si les cancers ne posent pas de problème diagnostic à un stade T3 ou T4, le diagnostic des lésions est plus difficile pour les lésions à potentiel malin ou à un stade T1 ou T2. L objectif de cette séance interactive est, au travers de cas cliniques, de présenter les différentes lésions susceptibles d aboutir au diagnostic de lésion à potentiel malin ou de cancer de la cavité buccale. La démarche diagnostique sera détaillée pour permettre au praticien non spécialiste de ne plus passer à côté d un cancer de la cavité buccale! Programme scientifique définitif 2O12 41

15 jeudi 29 novembre jeudi 29 novembre C57 Conférence Les nouveautés qui ont fait leurs preuves Séance organisée par la SOP C. Touboul (Paris) Cone beam : intérêt(s) en omnipratique? E. Bonnet (Limonest) Pourquoi la dentisterie numérique va-t-elle changer notre quotidien? P. Margossian (UFR de Marseille) La contention, une nouveauté? J.-M. Gonzalez (Levallois-Perret) Maîtriser les techniques qui facilitent et permettent d améliorer notre pratique Cone beam, omnipratique, contention, empreintes optiques, numérisation Il s agit de présenter les techniques qui facilitent et permettent d améliorer notre pratique. Trois domaines seront abordés : 1. Un cone beam en omnipratique? L intérêt du cone beam en implantologie est une évidence, mais que peut apporter ce formidable outil de diagnostic aux autres domaines de la dentisterie? Est-il raisonnable de l intégrer en omnipratique? 2. Que nous apportent les empreintes optiques et la numérisation en prothèse aujourd hui? On en parle beaucoup mais les mettons-nous vraiment en pratique? 3. La contention est-elle toujours d actualité? L avènement des implants a modifié notre conscience parodontale et nos traitements par contention. Il est temps de faire le point dans ce domaine. C58 Conférence NOUVEAUTÉ Les clés de la réussite Des réponses aux questions de tous les jours sur la position de référence (OIM, RC) et sur la dimension verticale d occlusion (DVO) N. Château (Laxou) Intégration des restaurations prothétiques en OIM et ses implications cliniques J.-C. Raymond (Bordeaux) Comment créer une nouvelle OIM pour les reconstructions de grande étendue? C. Perez (Carry-le-Rouet) Dimension verticale d occlusion. Évaluation, modifications et pronostic S. Palla (Université de Zurich, Suisse) Déterminer la bonne position de référence pour les réhabilitations prothétiques Connaître les clés pour évaluer et modifier, le cas échéant, la dimension verticale à laquelle réaliser ces réhabilitations Position de référence, réhabilitation prothétique, dimension verticale Lors d une réhabilitation prothétique, se pose le choix de la position de référence ainsi que la dimension verticale d occlusion (DVO) appropriée pour permettre l intégration occlusale de nos prothèses. Sera d abord évoquée l intégration dans une occlusion d intercuspidie maximale (OIM) conservée, notamment l indication, l évaluation qualitative de l OIM ainsi que son optimisation. Son enregistrement et sa reproduction au laboratoire seront illustrés par des exemples cliniques. Puis les reconstructions prothétiques dans une nouvelle OIM seront abordées. Les indications de ce changement d OIM seront discutées, ainsi que la nouvelle position de référence mandibulaire où elle sera établie (relation centrée ou autre). L enregistrement et la simulation sur modèles en plâtre de cette position mandibulaire seront étudiés, sans oublier le suivi post-prothétique. La dernière intervention traitera de la dimension verticale (DV) et donnera les éléments utiles pour son évaluation et les indications de sa modification. Au travers de cas cliniques, les techniques de modification, les tests et la validation de la nouvelle DV seront détaillés, ainsi que le pronostic et le suivi dans le temps. C59 Conférence La classe III dans tous ses états Séance organisée par la SFODF J.-J. Aknin (UFR de Lyon) Diagnostic, signes d alarme, prévision de croissance, conduite à tenir S. Chauty (Décines-Charpieu) Du traitement précoce à la chirurgie P. Baron (UFR de Toulouse) Correction squelettique des Classes III par tractions sur plaques vissées H. de Clerck (Bruxelles, Belgique) Avoir une vision d ensemble des moyens et de la stabilité du traitement de la classe III chez le sujet en croissance Classe III, orthopédie, croissance, dysfonctions Le traitement de la classe III, souvent exposé à la récidive, se termine chirurgicalement. Néanmoins, une étape thérapeutique orthodontique permet, dans certains cas, grâce à l équilibre de l occlusion et des fonctions ainsi retrouvées, de stabiliser la classe III squelettique. Une occlusion fonctionnelle et stable peut favoriser une croissance harmonieuse. Les moyens de traitements orthodontiques de la classe III sont multiples mais le diagnostic et le choix du moment du traitement sont essentiels. S. Chauty présentera la conduite à tenir chez les jeunes patients qui présentent des signes d alarme de classe III. P. Baron montrera les moyens thérapeutiques orthodontiques et chirurgicaux. La stabilité d une classe III ne peut être assurée qu une fois la croissance terminée. H. de Clerck pourra nous montrer les effets spectaculaires de la correction des classes III squelettiques par plaques vissées. Ces nouvelles applications cliniques sont particulièrement intéressantes et étonnantes par leur action maxillo-mandibulaire. Il s agit ici des données acquises de la science en 2012 sur le traitement des classes III. C est la séance à laquelle il faut assister car ces moyens thérapeutiques nous ouvrent de nouveaux horizons jusqu alors inexplorés. C60 Conférence Agénésies et perte traumatique des incisives : en attendant l implant L.-F. Jacquelin (UFR de Reims) Docteur, il manque une (des) incisive(s) à mon enfant : comment lui rendre le sourire? T. Davit-Béal (Université Paris-Descartes) Collaboration orthodontieimplantologie dans le traitement des incisives «absentes» S. Barthelemi (UFR de Reims) Traitement implantaire des agénésies des incisives latérales T. Denis (Colomiers) Prendre conscience des enjeux esthétiques et fonctionnels, avec une prise en charge au très long court (de l enfance au jeune adulte), où tous les acteurs sont appelés à intervenir en étroite collaboration Éruption dentaire, croissance alvéolaire, morphogenèse des arcades, implants antérieurs, orthodontie interceptive, contention Si l exfoliation des dents temporaires est un événement très attendu, l absence d incisives permanentes, à un âge où les petits camarades sourient de toutes leurs dents, est ressentie comme un drame familial. Comment répondre à cette demande pressante? 1. Le praticien est confronté à une situation complexe : il faut en effet tenir compte de la morphogenèse des arcades en constante évolution, qui implique souplesse et adaptabilité de toute solution temporaire de remplacement, en harmonie avec la stratégie orthodontique. L expulsion traumatique est, plus encore que l agénésie, un défi à la fois sur le court terme (gestion de l urgence) et le long terme (préservation du volume osseux versus risque d ankylose, traitement radiculaire et pollution du site implantaire...). 2. Le plan de traitement orthodontique va conditionner les orientations thérapeutiques : peut-on fermer les espaces ou, au contraire, les préserver? Existe-t-il une malocclusion associée? Comment assurer durablement une contention avant l étape implantaire? 3. La pose d un implant n est pas une fin en soi : cette opération doit tenir compte d éléments comme la croissance alvéolaire, le volume du site d implantation, la stabilisation des arcades. Il n y a pas de réponses stéréotypées. En tout état de cause, la coopération entre praticiens, et la compliance du jeune patient sont des clés de la réussite finale d un traitement qui sera au long cours et parsemé d embûches. C61 Démonstration en direct sur patient Gestion des complications du secteur antérieur en implantologie A. Boukari (UFR de Strasbourg) Opérateur J.-P. Gardella (Marseille) A. Rocca (Marseille) Apprendre comment améliorer l environnement muqueux péri-implantaire en utilisant des techniques de greffon conjonctif enfoui Aménagement tissulaire, implants, défaut muqueuse péri-implantaire Le taux de complication en implantologie est beaucoup plus important qu il n y paraît : qu elles soient d ordre biologique ou mécanique, la littérature nous montre qu à 5 ans, 49 % des patients traités présentent des complications. Le secteur antérieur est malheureusement particulièrement exposé à ces écueils, pour des raisons anatomiques mais également pour des raisons purement thérapeutiques. Parmi celles-ci, figurent : l absence d expérience, de formation ou de connaissance des processus de cicatrisation ; la non-identification des facteurs de risque ; la mise en œuvre de protocoles particulièrement sensibles ou très opérateur-dépendant. Deux objectifs pour cette séance : 1. Donner les grands axes de la prévention des complications dans le secteur antérieur : À partir d une classification et de l énumération de facteurs modifiants (prothétiques et chirurgicaux), l articulation du plan de traitement se fera depuis l analyse des éléments préopératoires cliniques et radiographiques. Un accent particulier sera mis sur l importance du biotype, le positionnement de l implant mais également sur la nécessité d une restauration adaptée aux exigences biologiques. 2. Proposer, dans certaines limites, des axes de traitement pour certaines complications tout en sachant que la littérature reste excessivement pauvre dans ce domaine. Une intervention chirurgicale, retransmise en direct, sera réalisée dans le secteur antérieur : elle aura pour objectif de corriger l aspect inesthétique d une restauration unitaire. 42 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 43

16 jeudi 29 novembre jeudi 29 novembre C62 Conférence Place de l assistante dentaire dans le triangle : praticien-patientassistante C. Decloquement (Garches) Quel métier, quelles compétences et quel statut pour le personnel du cabinet dentaire? M.-F. Gondard-Argenti (Hauteville-Lompnès) L équipe dentaire au service de la démarche qualité M.-H. Barias (Villenave-d Ornon) Le rôle de l assistante dentaire dans l éducation thérapeutique au cabinet dentaire A. Odier (Nantes), A. Soueidan (UFR de Nantes) Optimiser le rôle de l assistante dans la démarche qualité Qualité, statut de l assistante dentaire Mieux travailler ensemble c est possible! Clarifions les règles du jeu afin de définir les critères d une collaboration réussie. L efficacité d une équipe repose sur le mode d interaction de ses membres et sur un échange de bénéfices. Travailler ensemble suppose des comportements qui vont faciliter les relations pour permettre à chacun de s épanouir dans sa fonction et d aboutir à une collaboration fructueuse. Se former et s engager autour d objectifs communs entretiennent la motivation et soudent l équipe. L assistante dentaire est bien souvent la première interface du cabinet dentaire pour le patient, mais elle doit aussi pouvoir être un relais efficace des messages délivrés par le praticien. Cette séance a pour objectif de faire le point sur l évolution du statut de l assistante dentaire, sur sa participation active à la démarche qualité, mais aussi sur son rôle futur dans l éducation thérapeutique, au cabinet dentaire, nouveau volet de ses compétences. Dès lors, vous pourrez construire un projet partagé de formation, adapté à vos besoins et à vos attentes au cabinet dentaire, pour viser avec le praticien l excellence professionnelle. C63 Rencontre avec Urs Belser (École de médecine dentaire de Genève, Suisse) Récents changements de paradigmes en prothèse fixée C. Crottaz (Genève, Suisse) Discuter des changements majeurs qui ont amené la prothèse fixée à son état actuel Prothèse fixée, technologies adhésives, implants, CAD/CAM C64 J analyse ma pratique Le fluor et le risque carieux Expert D. Droz (UFR de Nancy) Coordinateur T. Draussin (Toulon) Facilitateurs B. Aubry (Saint-Dizier), C. Nolle (Chaumont), N. Aufray (Ville-en-Tardenois) Apprendre les protocoles faciles à mettre en application Savoir ce qu il faut prescrire et dans quelles conditions Connaître ce qu il faut appliquer au fauteuil et dans quelles conditions S initier aux méthodes d évaluation des pratiques professionnelles Risque carieux, recommandations fluor topique, évaluation des pratiques professionnelles Il existe souvent bien des contradictions entre ce que les familles entendent chez leur médecin et ce que leur conseille leur chirurgien-dentiste. Les praticiens ont accès à des recommandations qu ils ne savent pas toujours comment appliquer : les prescriptions de suppléments fluorés sont-ils toujours d actualité? Mon pédiatre ne veut plus en donner. mon patient n a pas de carie : est-ce utile de lui proposer une application de vernis fluoré? quelle est la différence entre des produits à basse et haute concentration de fluorures? que préconiser à la maman d un enfant de 6 ans qui a eu des antécédents de carie de petite enfance? Les objectifs de cette séance permettront aux praticiens de : répondre aux familles qui s interrogent et les interrrogent ; trouver la place pour les formes systémiques de fluor en fonction de leurs patients ; savoir quoi prescrire et appliquer à leurs patients. Au cours de cette séance, les praticiens pourront évoquer les problèmes rencontrés, confronter leur pratique avec celle de leurs pairs, la comparer avec les recommandations de la profession et acquérir une méthode pour appliquer une ou plusieurs recommandations, sur le thème fluor et risques carieux, dans leur activité d omnipraticien. Les praticiens découvriront ainsi les principaux outils (groupe d analyses de pratiques entre pairs, audit clinique) utilisés pour l Évaluation des pratiques professionnelles (EPP), obligatoires dans le cadre du Développement professionnel continu (DPC), par la loi HPST du 21 juillet C65 Atelier de travaux pratiques Choisir et communiquer la couleur D. Dudea (Université de Cluj-Napoca, Roumanie) Intervenants I.S. Pop-Ciutrila, C. Alb, C. Gasparik, A. Mesaros, B. Culic, F. Alb (Université de Cluj-Napoca, Roumanie), A. Soenen, G. Picard, A Dos Santos de Morais (Université Bordeaux Segalen) Évaluer sa propre vision et percevoir l influence des dimensions de la lumière environnante sur le choix visuel de la couleur S entraîner au choix visuel et instrumental de la couleur Savoir transmettre les informations couleur au laboratoire qui réalise la prothèse Couleur, communication, teintier, spectrophotométre, vision, biomimétique L appréciation de la couleur des dents naturelles fait partie intégrante de l activité du chirurgiendentiste. Elle intervient dans l évaluation des traitements de blanchiment, dans la réalisation des restaurations de composite et de céramique directes ou indirectes. Dans ces derniers cas, l analyse de la couleur faite par le praticien, est communiquée au laboratoire de prothèse sur la base d un choix visuel et/ou instrumental. Dans cet atelier seront évoqués les principaux aspects liés aux choix de la couleur et à sa communication au laboratoire. Les activités suivantes seront proposées : l évaluation des aptitudes visuelles des participants par les tests de confusion chromatique ; le choix visuel de la couleur dentaire par teintiers (Vita Classic, Vita 3D Master et Vita Linearguide 3D Master) ; la réalisation des chartes de couleurs des dents examinées ; le choix instrumental par spectrophotomètres (Vita Easyshade et SpectroShade) avec l analyse des photos numériques des dents et l obtention de cartographies des couleurs à partir de ces images ; l analyse de la vision du prothésiste dentaire face à la couleur transmise au laboratoire et sa façon de reproduire celle-ci par la stratification des masses de céramiques. Droit d inscription complémentaire de 140 euros C66 Atelier de travaux pratiques Cavité d accès et mise en forme canalaire P. Machtou (Université Paris-Diderot) Intervenants J.-Y. Doukhan, G. Caron, S. Simon (Université Paris-Diderot), H. Uzan, J. Amor, F. Bronnec, S. Dahan, D. Martin (Paris), L. Pommel (UFR de Marseille) Apprendre à réaliser une cavité d accès parfaite Savoir négocier et gérer la mise en forme des canaux Cavité d accès, nettoyage et mise en forme Une cavité d accès idéale est un prérequis incontournable pour réaliser une mise en forme adéquate. Une approche innovante utilisant des repères occlusaux toujours identiques permet à tout praticien de localiser de façon reproductible l ensemble des orifices canalaires de manière non invasive et d éviter les erreurs communément rencontrées. Dans les deux dernières décennies, les instruments rotatifs en NiTi ont rendu la mise en forme canalaire plus facile, plus rapide et plus prévisible. Pourtant, certains praticiens répugnent toujours à utiliser cette technique en raison du risque accru de fracture instrumentale. Le concept WaveOne TM est un nouveau concept qui utilise un mouvement réciproque asymétrique avec un instrument unique spécialement conçu activé par un moteur préprogrammé. Les objectifs mécaniques et biologiques sont respectés et la mise en forme obtenue permet une irrigation efficace et une obturation 3D. L innovation majeure pour l opérateur est la simplicité d utilisation alliée à une sécurité plus grande, une réduction du temps de travail et du coût. Plus de 80 % des situations cliniques peuvent être traitées mais l avantage principal de ce nouveau système est, sans conteste, le centrage parfait de l instrument sur la trajectoire canalaire. Les participants réaliseront une cavité d accès, la négociation canalaire, la mise en forme en rotation continue et en réciprocité, et l ajustage du maître-cône. Matériel à apporter par le congressiste Dents extraites : molaires max. et mand. (3 de chaque) 1 paire de précelles métalliques Loupes (si possible) 1 paire de ciseaux de couturière Droit d inscription complémentaire de 140 euros 44 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 45

17 jeudi 29 novembre jeudi 29 novembre C67 Conférence La chirurgie muco-gingivale Séance organisée par la SFPIO X. Struillou (Nantes) Évolution des techniques pour une intégration esthétique optimale en chirurgie plastique parodontale V. Monnet-Corti (UFR de Marseille) Aménagement des tissus mous pré-prothétiques autour des dents et des implants A. Borghetti (UFR de Marseille) Apport de l ingénierie tissulaire en chirurgie plastique parodontale, une réelle avancée? S. Vincent (UFR de Nice-Sophia-Antipolis) Faire le point sur les évolutions de ces dernières années en chirurgie plastique parodontale Chirurgie plastique parodontale, résultat esthétique, techniques chirurgicales La chirurgie muco-gingivale a énormément évolué au cours des vingt dernières années grâce, notamment, à l utilisation des greffes conjonctives. De nouvelles techniques ont été décrites afin d aboutir à un moindre traumatisme des tissus et une intégration esthétique augmentée par l absence de cicatrices et un fondu chromatique optimal. Que ce soit autour des dents naturelles ou des implants, la qualité et l épaisseur des tissus mous représentent un des principaux critères de succès afin d obtenir un résultat esthétique maximal dans la zone du sourire et une parfaite harmonie entre les dents et les tissus gingivaux. Dans cette séance, nous aborderons tout d abord les nouvelles techniques de chirurgie plastique parodontale, leurs indications et leurs limites, puis la gestion et l aménagement des tissus mous en chirurgie pré-prothétique et implantaire. Enfin, la dernière conférence nous éclairera sur ce que l on peut attendre des techniques d ingénierie tissulaire et nous permettra de savoir si nous pouvons nous passer aujourd hui d un prélèvement de greffon conjonctif au palais et la valeur des solutions alternatives proposées par l industrie. Cette séance se veut, comme chaque année, dans l esprit des séances de la SFPIO et sera donc abordable pour tous les praticiens. Elle permettra de faire le point sur les évolutions de ces dernières années en chirurgie plastique parodontale. C68 Conférence Imagerie 3D : réel besoin ou effet de mode? J. Treil (Toulouse) Implantodontie B. Cannas (Trilport) Endodontie M. Georgelin (UFR de Toulouse) Parodontie D. Carrotte (UFR de Lyon) Découvrir les acquisitions 3D CBCT en tant que référence d imagerie diagnostique en endodontie et parodontie Cone Beam Computerized Tomography (CBCT), imagerie 3D La séance sera orientée autour de deux objectifs : thérapeutique. En implantodontie, au-delà de l intérêt diagnostique, des moyens thérapeutiques sont développés à partir des données des acquisitions volumiques (3D) CBCT : de la fabrication de guides chirurgicaux à la chirurgie assistée par ordinateur ; diagnostique. L imagerie 3D actuelle, générée à partir d acquisitions volumiques CBCT à forte résolution spatiale, est amenée à se substituer, en raison de ses performances diagnostiques, à la radiographie conventionnelle 2D dans les domaines de l endodontie et de la parodontie. 12h30-18h00 C69 Point sur... Le point sur l occlusion prothétique sur dents et sur implants P. Simonet (Paris) Enregistrement de l occlusion en fonction des difficultés prothétiques rencontrées J.-F. Carlier (Bucy-le-Long) Principes de l optimisation occlusale pré-prothétique N. Château (Laxou) L occlusion numérique : du réel au virtuel G. Duminil (Nice) Occlusion et prothèse fixe de petite étendue sur implants D. Brocard (Ondres) La fonction occlusale en implantologie : les grandes restaurations et les liaisons mixtes implants-dents naturelles Ma. Le Gall (Lorient) La réhabilitation occlusale et prothétique : les choix occlusaux stratégiques sur dents et sur implants D. Dot, P. Renault (Université Paris-Descartes) Savoir élaborer, intégrer et pérenniser en toute sécurité l occlusion de nos reconstructions prothétiques sur dents et sur implants Occlusion, traitement prothétique Dans tout traitement prothétique, du plus banal au plus complexe, de l adolescence au troisième âge, et qu il soit préventif ou curatif, l occlusion est, à l évidence, le dénominateur commun à toute proposition thérapeutique. Et pourtant, peut-on dire aujourd hui avec certitude qu une occlusion bien équilibrée, bien intégrée ou bien balancée est un facteur aussi déterminant que certains, hier, voulaient nous le faire croire? Ou faut-il, au contraire, y attacher une importance extrême pour mieux préserver le futur immédiat de nos patients? Cette interrogation vient sans doute de la confusion même de l information proposée. Depuis des dizaines d années, beaucoup d articles ont été écrits. Des chapitres entiers aussi divers que contradictoires ont été publiés. Les nombreux avis, opinions et argumentaires, tous plus subjectifs les uns que les autres, rendent plus incertaines encore les possibles implications thérapeutiques de l occlusion clinique. Enfin,les rares études in vitro et la recherche in vivo très spartiate ne favorisent guère une réflexion thérapeutique très objective. C est dire l importance et l intérêt de cette séance qui se propose de faire la part entre les données acquises et les données actuelles de la science sur ce sujet mais surtout, au-delà, d apporter des réponses cliniques simples et pragmatiques à deux questions essentielles : 1. Comment intégrer, construire et pérenniser en toute sécurité l occlusion dans le quotidien de nos reconstructions prothétiques? 2. Quelles sont les limites de l occlusion permettant de mieux maîtriser les difficultés techniques et technologiques des restaurations du troisième millénaire? C70 Conférence Les restaurations partielles adhésives du secteur antérieur : du composite à la céramique P. Jonas (Université Paris-Descartes) Évolution des restaurations adhésives en composite : indications et protocoles P. Zyman (Paris) Les restaurations adhésives en céramique : la «biomimétique» au service du sourire G. Tirlet (Université Paris-Descartes) Les restaurations adhésives partielles avec la CFAO : récents développements en pratique quotidienne A. Devigus (Zürich, Suisse) Comparer les indications et les protocoles des restaurations partielles adhésives en composite et en céramique du secteur antérieur Évaluer l apport de la CFAO Esthétique, composite, céramique, biomimétique, CFAO Les restaurations partielles adhésives (RPA) des dents antérieures, un des traitements les plus courants de la pratique quotidienne, sont particulièrement emblématiques des impératifs de la médecine bucco-dentaire contemporaine : économie et préservation tissulaire grâce aux propriétés de l adhésion ; application clinique des concepts de la «biomimétique» et de la «bioémulation». Dans le domaine des RPA directes le composite est souverain ; cependant la sélection d un composite antérieur dépend principalement de la connaissance de ses propriétés physiques, mécaniques et optiques. Le montage par la technique de stratification simple en deux couches donne des restaurations «quasi imperceptibles», si les règles de base sont bien comprises et respectées : répartition harmonieuse des masses (en particulier les opacités et la transparence), adaptation à la luminosité des dents environnantes, sans oublier la maîtrise des étapes de polissage. Les développements spectaculaires des techniques adhésives et des matériaux céramiques permettent de reproduire, à un degré de perfection jusqu à maintenant jamais atteint, le substrat anatomique de la dent. Ces techniques ont trouvé un vaste champ d application dans le secteur antérieur : facettes, facettes partielles, chips, etc., et l omnipraticien ne peut plus ignorer ces thérapeutiques, tout à fait accessibles, souvent nécessaires à une réhabilitation réussie du sourire du patient. À l ère numérique actuelle, il est logique que la CFAO destinée au cabinet élargisse ses indications aux RPA. Cette évolution est facilitée par la sophistication des logiciels, les progrès de l outillage capable de réaliser de fines découpes, et l utilisation de nouveaux blocs stratifiés, en céramique ou en composite, qui offrent de bonnes propriétés optiques. La CFAO, avec en plus l avantage d un traitement en une seule séance, pose un sérieux défi aux techniques traditionnelles. Cette conférence s intéressera surtout à la clinique. Les indications et les protocoles opératoires seront décrits et détaillés afin de permettre à chacun de comparer les différentes techniques et ainsi de faire évoluer sa pratique. 46 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 47

18 jeudi 29 novembre jeudi 29 novembre C71 Conférence Gérer l urgence en endodontie L. Pommel (UFR de Marseille) L urgence endodontique au cabinet : une confrontation quotidienne G. Couderc (UFR de Marseille) Incidents et accidents per- et post-opératoires D. Martin (Paris) Traumatologie et endodontie : les gestes simples, quel que soit l âge du patient I. Cochet-Barril (Paris) Envisager les différentes situations cliniques d urgence pré-, per- et post-opératoires Approfondir les démarches diagnostiques, thérapeutiques et les indications de prescription Urgence endodontique, geste clinique, prescription L urgence endodontique est caractérisée par sa fréquence, sa gravité, en termes de douleur, d inconfort et de risque infectieux, mais aussi par les difficultés diagnostiques et anesthésiques qu elle impose de surmonter. Sa nature imprévisible fait que nous y sommes confrontés le plus souvent via le secrétariat du cabinet. Cependant les situations per- et post-opératoires ne sont pas rares et ne sont pas simples à gérer lorsqu elles surviennent dans un planning déjà bien rempli. Dans tous les cas, le geste clinique est essentiel et la prescription médicamenteuse n est pas la règle. Elle peut aider à soulager, à ralentir l extension du processus inflammatoire mais elle ne peut prétendre le régler à elle seule avec certitude. La réactivité de l équipe soignante est fondamentale pour le succès. Elle repose sur le diagnostic qui doit être rapide, précis et établi avec un minimum de moyen. L organisation et une ergonomie rigoureuse sont garantes de moindres conséquences. L intervention doit être courte et efficace. Cette séance abordera l urgence endodontique sur ces trois aspects : pré-, per-, et post-opératoires. Les méthodes diagnostiques, la description et les conséquences des situations rencontrées seront évaluées. Les moyens et techniques décrits pour les gérer évoqueront la place et les limites de la prescription et permettront d anticiper dans tous les cas afin d optimiser le soin définitif et son pronostic. C72 Conférence Chirurgie orale au quotidien : gérer les complications P. Limbour (UFR de Rennes) Complications infectieuses et sinusiennes S. Lejeune-Cairon (UFR de Rennes) Hémorragies buccales : de la clinique aux remèdes F. Clipet (UFR de Rennes) Complications neurologiques et douloureuses : des plus graves aux plus fréquentes G. Fauxpoint (Toulouse) Maîtriser l hémostase de nos patients quel que soit leur statut médical Identifier les facteurs de risques locaux et généraux Mettre en œuvre les protocoles actuels nécessaires à l arrêt d un saignement au cours ou après une intervention de chirurgie orale Chirurgie orale, complications Les actes de chirurgie orale sont fréquents. La maîtrise des techniques opératoires et l application des recommandations optimisent les résultats et simplifient la gestion des risques pré-, per- et post-opératoires. Trois principaux types de complications sont souvent rencontrés. Leur étiologie, leur prévention et leur traitement seront exposés de façon claire et immédiatement applicable pour un omnipraticien dans une activité quotidienne. L identification des facteurs de risque hémorragiques locaux et généraux est essentielle. Elle permet de maîtriser l hémostase de nos patients et de mettre en œuvre les protocoles actuels pour obtenir l arrêt du saignement. Les complications infectieuses après extraction sont également analysées, qu il s agisse au départ d une alvéolite, d une cellulite, d une ostéite ou de l apparition d une communication bucco-sinusienne. Leur prévention et leur traitement rapide et efficace sont possibles. Enfin, la bonne compréhension des algies postopératoires repose sur une parfaite compréhension des complications douloureuses et neurologiques. Plusieurs types de traitement, en fonction du cas clinique, sont envisageables et permettent d apporter une réponse rapide et adaptée au patient douloureux. C73 Conférence NOUVEAUTÉ Les clés de la réussite 30 clés cliniques en prothèse fixée O. Laplanche (UFR de Nice-Sophia-Antipolis) Conférenciers M. Bartala (Université Bordeaux-Segalen), M. Laurent (UFR de Marseille), F. Raux (Paris) Faciliter la réalisation des différentes étapes de conception et élaboration des thérapeutiques prothétiques fixées Connaître les réponses pratiques aux problèmes cliniques rencontrés lors de ces différentes étapes Méthodologie clinique, tours de main clinique La réalisation prothétique nécessite la mise en œuvre d un grand nombre de connaissances et de savoir-faire conceptuels, techniques et opératoires. Ainsi, tout au long de cette réalisation prothétique, un certain nombre de questions essentielles vont se poser au clinicien. La pertinence de ses réponses et de la qualité de leur mise en application va favoriser la qualité de l intégration prothétique. L objectif de cette conférence est d apporter au clinicien les clés essentielles de la réalisation prothétique. Ces clés, basées sur la connaissance et la mise en pratique au quotidien, seront expliquées par trois conférenciers, cliniciens reconnus, qui mettront à notre disposition à la fois l état des connaissances sur le sujet et leurs propres procédures de mise en œuvre clinique. Ces clés essentielles de la pratique clinique seront présentées au fur et à mesure de l élaboration d un plan de traitement prothétique type : du diagnostic initial aux choix prothétiques, des préparations corono-périphériques à l assemblage prothétique, du bilan médical à la maintenance. C74 Conférence L équipe soignante M.-G. Poblete-Michel (Rennes) La prévention bucco-dentaire, c est à chaque âge de la vie M. Maurin (Vergèze) Bien-être dentaire : mise au point de la posturologie et de l ergonomie dentaire R. Maccario (Le Pontet) Deux, quatre, six : les mains qu il vous faut J.-F. Michel (Rennes) Maîtriser les gestes pour mieux communiquer sur l hygiène bucco-dentaire à chaque âge de la vie du patient Adopter le travail sans stress : travail assisté, posturologie et ergonomie dentaire Prévention, travail en équipe Cette séance est centrée sur l importance de la santé bucco-dentaire des patients de tout âge, maintenue ou restaurée par une équipe soignante elle-même motivée et en état de bien-être. Les vidéo-démonstrations élaborées par les conférenciers porteront sur les trois sujets clés : les conseils sur les rôles des assistantes dentaires dans l éducation thérapeutique et la manière de faire passer le message de la santé bucco-dentaire aux patients ; l amélioration du confort de l équipe au travail par une mise au point de la posturologie et de l ergonomie dentaire ; l augmentation de la productivité par un travail assisté dans les soins (quatre mains) et en chirurgie (six mains) en comparaison avec le travail en solo. Les recommandations données pendant cette séance sont destinées à permettre l adaptation au mode de travail de chacun. C75 Rencontre avec Nicolas Lehmann (Veauche) Les restaurations prothétiques partielles (inlays, onlays, facettes) : la prothèse d aujourd hui ou de demain A. Oudin (Nice) Découvrir les avantages des restaurations partielles Savoir poser l indication des restaurations partielles Acquérir les procédures de réalisation des restaurations partielles (inlays, onlays, facettes) : forme de préparation, provisoire, empreinte, collage... Restaurations partielles, inlays, onlays, facettes 14h30-17h00 C76 Atelier de travaux pratiques Asepsie et traçabilité D. Chazelas (Limoges) Intervenants M. Cerf (Saint-Médard-en-Jalles), P. Bonne, C. Bonne (Saint-Loubès), P. Barias, M.-H. Barias (Villenave-d Ornon), D. Franquet (Rilhac-Rancon), L. Dussarps (Gradignan), L. Noc (Feytiat), L. Derevianko (Mérignac) Apprendre à mettre en place de manière raisonnée la traçabilité de la stérilisation Mieux appréhender la gestion informatique de cette traçabilité Traçabilité, démarche qualité L identification des risques en stérilisation passe par la compréhension des cycles de production et de vie des produits. En tant que praticiens, nous pouvons voir notre responsabilité engagée vis-à-vis de nos salariés, de nos collaborateurs et de nos patients. Même si nous respectons les autres, que nous suivons les règles de bonnes pratiques, nous devons pouvoir le prouver. C est là que la traçabilité trouve toute sa dimension. La traçabilité informatisée de l instrumentation est un moyen de maîtrise des risques et de sécurisation des processus en stérilisation et en salle de soins. Elle doit permettre de faire le lien entre un dispositif médical, un cycle et un patient. Elle doit être effectuée pour chaque cycle de stérilisation. Pour cela, la création de fiches de stérilisation, la réalisation raisonnée de kits de soin et leur identification par étiquettes codes-barres permettra de rapporter rapidement et fidèlement le dispositif stérilisé utilisé au patient traité. Ceci permet de réaliser une traçabilité descendante mais aussi ascendante, particulièrement importante en cas de contrôle ou de litiges. Droit d inscription complémentaire de 140 euros 48 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 49

19 jeudi 29 novembre jeudi 29 novembre 14h30-17h00 C77 Atelier de travaux pratiques En relation avec la B51 Chirurgie parodontale à visée esthétique et pré-prothétique M.-P. Hippolyte (UFR de Reims) Intervenants O. Beaurenault (UFR de Lyon), H Bigeard-Jouffroy (Hérimoncourt), M. Rzeznik (Paris), J. Braux (UFR de Reims), M. Bravard (Lyon), C. Chatel (CHU Dijon), J.-F. Duffort (UFR de Toulouse), L. Daviaux (Bussy-Saint-Georges), B. Prouvost (Reims) Savoir utiliser régulièrement les connaissances cliniques et les pratiques nécessaires à la réalisation de quelques techniques de chirurgie parodontale à visée esthétique et pré-prothétique Chirurgie muco-gingivale, esthétique, pré-prothétique L objectif de cet atelier est de donner à l omnipraticien les connaissances cliniques et pratiques nécessaires à la réalisation de quelques techniques de chirurgie parodontale à visée esthétique et pré-prothétique qu il pourra effectuer régulièrement dans son exercice. Ces techniques ont été sélectionnées pour leur simplicité d exécution et leurs indications pluridisciplinaires. Après un rappel sur les principes chirurgicaux, les tissus en présence et leur vascularisation, les techniques de sutures, vous sera présentée une trousse de chirurgie parodontale simple, commune à la majorité des techniques de chirurgie parodontale muco-gingivale. Chaque technique sera appuyée par une démonstration vidéo en direct, immédiatement suivie de son exécution en reprenant la démonstration étape par étape. L ensemble des manipulations seront réalisées sur des mâchoires de porc mises à la disposition des participants. Matériel à apporter par le congressiste Une trousse de chirurgie comprenant : Manches de bistouri (2) Lames n 15 et 15C Décolleur de Molt ou Prichard fin Curette de Gracey 7/8 et petit CK6 Pince-précelle atraumatique type De Bakey Pince à œillet atraumatique (fine) Sonde parodontale graduée Pince à suturer type Castroviejo Ciseaux type Castroviejo Droit d inscription complémentaire de 125 euros C78 Conférence Prothèse fixe digitale : une réalité? U. Belser (École de médecine dentaire de Genève, Suisse) Filière numérique versus filière analogue : une analyse/appréciation critique C. Crottaz, L. Brazzola (Genève, Suisse) Les moignons artificiels sous-prothétiques sont-ils devenus obsolètes? N. Bois (École de médecine dentaire de Genève, Suisse) Restaurations fixes dento ou implantoportées dans la zone esthétique : quoi de neuf? L. Brazzola (Genève, Suisse) S informer sur les progrès récents en CFAO Faire le point sur les piliers artificiels Comprendre les traitements dento- et implantoportés dans la zone esthétique CAD/CAM, CFAO, moignons artificiels, zone esthétique Le but de la séance est de vous présenter les changements de paradigmes que l on a pu récemment observer dans le domaine de la médecine dentaire reconstructrice sous l influence de l implantologie, des techniques adhésives et des énormes progrès réalisés en conception et fabrication assistées par ordinateur (CAD/CAM). Des nouveaux biomatériaux, notamment les céramiques dites à haute résistance telles que la zircone, sont devenus accessibles. Dans ce contexte, la notion de gestion des risques d un point de vue prothétique est aussi traitée. C79 Conférence Gardons le sourire : actualisons nos conseils et prescriptions pour l hygiène bucco-dentaire Séance organisée par l UFSBD B. Perrier (Saint-Jean-de-Boiseau) Actions et efficacité des différents produits d hygiène bucco-dentaire Y. Haikel (UFR de Strasbourg) Comportement des chirurgiensdentistes dans la prescription. État des pratiques des consommateurs J.-P. Roset (Niederhaubergen) Du conseil à la prescription au quotidien. Recommandations C. Micheau (Université Paris-Diderot) Actualiser les recommandations en matière de conseils et de prescriptions de produits pour l hygiène bucco-dentaire selon les différents profils des patients Hygiène bucco-dentaire, prescriptions Cette année l UFSBD vous propose d actualiser un des fondamentaux de notre pratique : le conseil et la prescription en matière d hygiène bucco-dentaire! Dans notre pratique, la plupart des maladies prises en charge sont chroniques, leur prévention et leurs traitements ne se limitent pas simplement à l exécution de gestes chirurgicaux. Il faut aussi éduquer et conseiller nos patients pour qu ils adoptent au quotidien les bons gestes et produits pour leur hygiène bucco-dentaire. Cela est déterminant pour prévenir toute récidive et assurer la pérennité de nos traitements. Comment s y retrouver dans la profusion de références à notre disposition? Quels messages transmettre? Par quels moyens? Au-delà de la simple expérience personnelle, quelle est l efficacité des différents matériels, et spécialités proposés? Il est proposé d actualiser ses connaissances par les dernières données de la recherche clinique : action, efficacité, galénique, conditions d utilisation seront passées en revue. Le conseil en hygiène bucco-dentaire est la première attente des patients vis-à-vis de leur chirurgien-dentiste. Une analyse de nos pratiques et de l observance de nos patients est nécessaire face à nos conseils et prescriptions en matière d hygiène bucco-dentaire. Quelles techniques de communication adopter pour cette éducation thérapeutique? Quels messages faire passer? Comment améliorer l observance? Enfin, en fonction des risques individuels et des habitudes de vie, il est nécessaire d individualiser les conseils et prescriptions. Une série de profils patients typiques sera proposée à l analyse pour apporter les meilleures réponses au quotidien à vos patients. C80 Conférence Cellules souches : de la recherche à l application clinique aujourd hui et demain Interprétation simultanée français-anglais F. Cuisinier (Montpellier) Ingénierie tissulaire et parodonte P. Kemoun (Toulouse) Utilisation de cellules souches dentaires pour l augmentation sinusienne R. D Aquino (Milan, Italie) Ingénierie pulpaire et régénération pulpaire G. Schmalz (University of Regensburg, Allemagne) S informer de l état des recherches en ingénierie tissulaire Faire le point sur les applications cliniques des cellules souches Ingénierie tissulaire, cellules souches, régénération Les potentialités de l ingénierie tissulaire de la sphère oro-faciale basées sur l utilisation de cellules souches dentaires sont importantes et de nouvelles voies thérapeutiques apparaissent pour toutes les spécialités odontologiques. Les conférenciers vous détailleront ces nouvelles thérapeutiques. Les travaux de recherche permettant la régénération parodontale seront exposés. La mise au point de nouvelles techniques de régénération osseuse ainsi que les résultats des premières études cliniques vous seront présentés, de même que l ingénierie tissulaire de l endodonte qui s avère très prometteuse. C81 Conférence NOUVEAUTÉ Les clés de la réussite Rationaliser le plan de traitement pour le rendre efficace F. Trevelo (Paris) L omnipraticien, architecte et bâtisseur du traitement M. Brient (Université Paris-Descartes) Parodontologie et implantologie au service du plan de traitement D. Nisand (Paris) Apport de l orthodontie dans les traitements complexes C. Galletti (Paris) Apprendre à collecter, hiérarchiser et organiser les données issues des examens cliniques et radiographiques pour bâtir un plan de traitement cohérent Apprendre à gérer sereinement le traitement d un cas complexe Plan de traitement, pluridisciplinarité La prise en charge d un cas complexe peut parfois faire peur au praticien. En effet, la gestion de plusieurs phases de traitement, et surtout leur organisation, apparaissent parfois comme un véritable casse-tête. La réponse à ces problèmes réside essentiellement dans la construction efficace du plan de traitement. Le but de cette séance est donc d aider le praticien à maîtriser cette construction. Pour ce faire, nous répondrons aux questions suivantes : comment hiérarchiser les informations collectées lors des examens cliniques et radiologiques pour établir un diagnostic précis? comment ordonner chronologiquement les différentes phases d un traitement complexe? l orthodontie peut-elle simplifier certains traitements? à quels moments faut-il faire appel à des correspondants spécialistes (chirurgien, orthodontiste, endodontiste...)? comment communiquer avec ses correspondants? S il est aujourd hui indispensable d aborder ce type de traitements sous l angle de la pluridisciplinarité, il est évident que chaque praticien, en fonction de ses compétences propres, pourra décider de réaliser toutes les étapes cliniques, ou d en déléguer certaines à des confrères. Il n en reste pas moins que la maîtrise de l organisation globale du traitement doit rester sous la responsabilité de l omnipraticien. Ce dernier est architecte du traitement et doit donc en maîtriser le plan. 50 revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 51

20 jeudi 29 novembre jeudi 29 novembre C82 Conférence La maintenance parodontale : des impératifs pour la pérennité de nos traitements C. Mattout (Marseille) La maintenance ou la 3 e phase du traitement des maladies parodontales M. Brecx (Bruxelles, Belgique) La séance de maintenance. La phase diagnostique : quels indices cliniques utiliser? Quelle attitude thérapeutique adopter face aux récidives? C. Bigot (Université Paris-Descartes) La phase de maintenance. Le rôle du patient : comment assurer sa coopération à très long terme. Le rôle des antiseptiques H. Tenenbaum (UFR de Strasbourg) Savoir prendre en charge la phase de maintenance après le traitement parodontal actif des parodontites Savoir diagnostiquer les éventuelles récidives puis proposer leur traitement Savoir utiliser les meilleurs antiseptiques et s assurer de la coopération au long terme du patient Risque paradodontal, récidive La phase de maintenance, ou 3 e phase du traitement parodontal, repose sur une vraie justification scientifique. Elle fait partie intégrante du traitement parodontal global chez des patients atteints de parodontite chronique ou agressive avec ou sans implant. Elle est basée sur l évaluation du risque parodontal. Son organisation pratique sera discutée. La phase diagnostique de cette maintenance sera ensuite décrite et des indices cliniques à utiliser seront proposés. Puis la phase thérapeutique sera développée en précisant le type d acte à effectuer en présence de stabilité parodontale ou de récidive. C est enfin le rôle primordial du patient qui sera envisagé. Sa coopération à long terme ainsi que le rôle des antiseptiques seront traités en détail. C83 Démonstration en direct sur patient En relation avec la C55 et la D107 Préparation pour facettes de céramique collées : du projet prothétique à la prothèse provisoire G. Tirlet (Université Paris-Descartes) Opérateur S. Koubi (UFR de Marseille) Appréhender l indication des facettes dans le cadre de la dentisterie contemporaine Optimiser les principales étapes de conception et de réalisation clinique de cette thérapeutique : du projet esthétique à la réalisation des facettes provisoires en passant par les préparations et la prise d empreinte Facettes, esthétique, céramique, biomimétique Cette séance comportera quatre parties distinctes : analyse esthétique, élaboration du projet esthétique et réalisation des masques ; réalisation des préparations «guidées» à partir des masques ; prise d empreintes ; réalisation des provisoires. C84 Conférence Les situations ou relations difficiles : comment les aborder et les gérer au sein du cabinet dentaire? V. Orti (UFR de Montpellier) Patients atteints de pathologies lourdes : le rôle de l équipe soignante S.-M. Dridi (Université Paris-Descartes) Conduire le patient au changement par l entretien motivationnel S. Jeanne, A. Godard (UFR de Rennes) L assistante dentaire : son rôle dans l approche psychologique relationnelle au cabinet C. Calvet (Nîmes) Apprendre à prendre en charge des patients difficiles, stressés ou atteints de pathologies graves Réussir à impliquer le patient lors d un traitement global, long, parfois onéreux Approche psychologique et motivationnelle, patients à risques L assistante dentaire joue un rôle fondamental au sein du cabinet par la relation qu elle entretient avec les patients mais aussi avec les praticiens. Bon nombre de tâches lui sont souvent confiées : prise de rendez-vous, remise des devis, travail à quatre mains au fauteuil, stérilisation... De plus, le patient va souvent demander à l assistante dentaire des compléments d informations concernant le plan de traitement et le devis proposés voire reposer les questions dont les réponses lui ont été données au préalable par le praticien. Tout cela pourrait paraître sans difficulté, mais ces tâches impliquent de la part de l assistante de l écoute, de l empathie, un comportement agréable, qui sont parfois difficiles à gérer de par la personnalité et le caractère psychologique du patient (quelquefois difficiles, voire agressifs), de par ses peurs face à une pathologie parfois grave, face au traitement proposé, mais aussi de par le stress pouvant être présent au sein du cabinet (stress généré par les tâches réalisées au quotidien mais aussi parfois par le praticien lui-même). De plus, elle joue un rôle souvent primordial dans la motivation, l implication et le changement de comportement du patient avant et au cours de son traitement. Au cours de cette séance les relations patient/ assistante/praticien seront abordées en évoquant le volet psychologique, l importance de l entretien motivationnel et de la compliance ainsi que la prise en charge des patients atteints de pathologies graves. C85 Rencontre avec Bertrand Khayat (Paris) Les échecs et la reprise de traitement O. Laboux (Nantes) Évaluer de manière précise la difficulté de cas (accès, anatomie, calcifications, matériau d obturation, perforation fausses routes, instruments fracturés, démontage des ancrages) Discuter la stratégie opératoire (accès aux canaux, accès à l apex) Évaluer et comprendre l abord chirurgical Retraitement orthograde, retraitement chirurgical C86 J analyse ma pratique Le dossier du patient Expert M. Sabek (Tours) Coordinateur T. Draussin (Toulon) Facilitateurs B. Aubry (Saint-Dizier), N. Aufray (Ville-en-Tardenois), R. Blanc (Auterive), F. Haïm (Paris), F. Jamet (Mettray), C. Nolle (Chaumont) Connaître les éléments constitutifs du «dossier du patient», les règles de sa tenue et la responsabilité du chirurgien-dentiste Améliorer les procédures de gestion du dossier dans une démarche progressive S initier aux méthodes d évaluation des pratiques professionnelles Dossier, responsabilité, évaluation des pratiques professionnelles Le dossier du patient en médecine bucco-dentaire est l ensemble des informations à caractère confidentiel, recueillies et conservées par le chirurgien-dentiste. Elles sont formalisées, actualisées, enregistrées et protégées pour tout patient qui consulte le praticien. La constitution du dossier, sa tenue, la gestion des données ainsi que leur communication au patient ou à des tiers, obéissent à des règles qui ont beaucoup évolué au cours de la dernière décennie dans la perspective du renforcement des droits du patient. Par son caractère opérationnel, cette séance permet de sécuriser la pratique des chirurgiens-dentistes en matière de tenue, de conservation et de communication du dossier au patient. Au cours de cette séance, les praticiens pourront évoquer les problèmes rencontrés dans la tenue et le contenu du dossier patient, confronter leur pratique avec celle de leurs pairs, la comparer avec les recommandations de la profession et acquérir une méthode pour appliquer une ou plusieurs recommandations, sur le thème du dossier en médecine bucco-dentaire. Les praticiens découvriront ainsi les principaux outils (groupe d analyses de pratiques entre pairs, audit clinique) utilisé pour l Évaluation des pratiques professionnelles (EPP), obligatoire dans le cadre du Développement professionnel continu (DPC), par la loi HPST du 21 juillet revue du congrès n 2 Programme scientifique définitif 2O12 53

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