Les PME sont-elles en mesure d évaluer correctement les risques de faillite? Enquête Graydon - SNI 2011

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1 Les PME sont-elles en mesure d évaluer correctement les risques de faillite? Enquête Graydon - SNI 2011

2 Contact NSI Christine Mattheeuws, Présidente NSI, , Contact Graydon Belgium Eric Van den Broele, Dep. Senior Manager Research, ,

3 Les PME sont-elles en mesure d évaluer correctement les risques de faillite? 3 Groupe de population interrogé Le SNI a adressé en juin 2010 à dirigeants de PME une liste de questions et a reçu 444 formulaires de réponse en retour. Dans cette liste de questions on demandait aux PME si elles craignaient une faillite dans les six mois et la raison de cette crainte. Six mois plus tard Graydon a examiné la situation réelle des PME interrogées. De cette manière l on a pu vérifier si les PME pouvaient correctement évaluer si elles se trouvaient dans une zone de danger. Form juridique Nombre % SPRL ,50 SPRLU 11 2,48 SCRL 8 1,80 COMA 2 0,45 SA ,45 FA 1 0,23 ASS 1 0,23 SNC 4 0,90 Personne physique 62 13,96 Classification du personnell ONSS Nombre % Classe 0: 0 travailleurs 50 11,26 Classe 1: 1-4 travailleurs ,78 Classe 2: 5-9 travailleurs 69 15,54 Classe 3: travailleurs 41 9,23 Classe 4: travailleurs 22 4,95 Classe 5: travailleurs 1 0,23 Année de constitution Il résulte du graphique ci-dessus que ce sont surtout les SPRL (54 %) et les SA (25 %) qui sont représentées dans l enquête et en moindre mesure les personnes physiques. 85 % des PME occupent moins de dix travailleurs. En outre il s agit de PME qui ont déjà quelques années au compteur.

4 4 Craignez-vous que votre entreprise fasse faillite dans les six prochains mois? Craignez-vous que votre entreprise fasse faillite dans les six prochains mois? NOMBRES POURCENTAGES OUI NON OUI NON nombre ,21% 92,79% Réellement en faillite 1 1 3,13% 0,24% Problèmes aigus ,13% 7,28% Problèmes modérés ,00% 22,33% Saines ,75% 70,15% En juin 2010, 7 % des PME craignaient une faillite dans les six mois. 93 % des entreprises interrogées étaient par contre sereines à ce sujet. Il résulte du graphique ci-dessus qu un peu plus de la moitié des PME (56 % plus exactement) qui craignent une faillite, sont dans le vrai et sentent que quelque chose va de travers. Non pas qu elles ont effectivement fait toutes faillite, mais elles ont bel et bien été confrontées à des problèmes aigus ou modérés. D où leurs craintes d une faillite. 43,75 % des entreprises qui craignent une faillite peuvent être décrites comme saines. Elles se laissent plutôt influencer par des échos négatifs sur la crise économique et pensent être ainsi prédisposées à la faillite, mais il résulte des données économiques de l entreprise qu elles ne doivent à priori pas se faire de souci. Remarque : parmi les PME qui ne craignent pas une faillite, une sur quatorze est confrontée à des problèmes aigus. Leurs dirigeants voient la situation bien trop en rose et c est en fait bien plus dangereux que les dirigeants qui partent d un scénario trop pessimiste. Chiffres financiers divers NOMBRES POURCENTAGES OUI NON OUI NON Patrimoine propre négatif ,39% 4,08% Patrimoine propre positif ,61% 95,92% Pertes au cours de la dernière année comptable Bénéfices au cours de la dernière année comptable ,87% 24,20% ,13% 75,80% Cash flow négatif ,43% 7,29% Cash flow positif ,57% 92,71% Taux d endettement > 90 % ,83% 13,70% Taux d endettement entre 85 et 90 % ,70% 6,71% Taux d endettement entre 80 et 85 % ,35% 5,83% Taux d endettement entre 75 et 80 % ,35% 5,54% Capital de l entreprise net négatif ,13% 17,20% Capital de l entreprise net positif ,87% 82,80% 60 % des PME qui craignent la faillite dans les six mois ont subi des pertes la dernière année comptable et 30 % ont un cash flow négatif. Ces indicateurs illustrent la moins bonne situation financière des PME concernées et peuvent donc expliquer le défaitisme des dirigeants d entreprises. Ces PME souffrent d une grave pneumonie, mais ce n est

5 pas pour ça qu elles sont à l article de la mort. Remarquons qu en outre 48 % des dirigeants d entreprises qui craignent une faillite ont un taux d endettement supérieur à 90 %. Cela rend quasi impossible pour ces PME de décrocher un crédit, étant donné qu on considère en général un taux d endettement jusqu à 70 % comme normal et acceptable, alors que la plupart des analystes considèrent un taux d endettement de 85 % ou plus comme risqué. 5

6 6 Pourquoi les PME craignent-elles une faillite? Pourquoi avoir peur de la faillite? Coûts croissants (matières premières/personnel) Moins de commandes, de clients, de ventes Augmentation des problèmes pour arracher un crédit Forte augmentation du nombre de factures impayées Les fournisseurs demandent un paiement à court terme Autres Augmentation de la concurrence Augmentation de la pression administrative C est surtout l augmentation des coûts du personnel et des matières premières (20%) et la baisse des ventes et la perte de clients (18 %) qui font craindre aux entrepreneurs une faillite. Les problèmes pour obtenir un crédit (15 %) et l augmentation du nombre des factures impayées (15 %) et) complètent le top 4, suivi par le fait que les fournisseurs demandent un paiement à cour terme (13 %), l augmentation de la concurrence (4%) et l augmentation de la pression administrative (2%). Selon le SNI l on pourrait intervenir au niveau politique de différentes manières. Handicap des coûts salariaux Il faut stopper l augmentation constante des coûts salariaux. Notre pays a selon l OCDE un handicap en matière de coûts salariaux de 3,3 % par rapport à nos pays voisins. Ces cinq dernières années, les coûts salariaux ont augmenté dans toute notre économie trois fois plus vite qu en Allemagne. Le SNI plaide depuis longtemps pour des coûts salariaux réduits et constate que beaucoup de partis politiques font entendre un son de cloche identique. Ce n est pas extraordinaire étant donné que 66 % du budget de la sécurité sociale provient des cotisations des employeurs et des travailleurs. Des coûts salariaux moins élevés sont selon nous possibles en optant au niveau du chômage pour des allocations réduites dans le temps. En outre cela vaut la peine de se pencher sur le mécanisme d indexation des salaires. Aujourd hui le coût croissant de la vie et l indexation automatique constituent un cercle vicieux et une spirale salaires-prix. Cela ne signifie pas que l indexation des salaires doit être supprimée immédiatement, mais nous devons vérifier si le mécanisme ne peut pas être profondément corrigé, par exemple via le calcul tous les trois mois de l inflation pour lisser une augmentation des prix ou en faisant moins peser les prix de l énergie dans le calcul de l inflation. Réformer l indexation des salaires ne sera évidemment pas un exercice facile, mais ce travail délicat devra malgré tout être effectué. L augmentation des prix des matières premières est également douloureuse pour les entrepreneurs. Même si l on pense qu ils répercutent l augmentation des prix automatiquement sur le client, ce n est dans bien des cas pas toujours possible. Regardez aujourd hui par exemple les firmes de transport. Elles ne peuvent pas répercuter l augmentation des prix et des combustibles sur leur clients, elles doivent la supporter elles-mêmes.

7 Moins de ventes Cette cause a encore toujours un lien avec la crise. Ce n est pas vraiment étonnant. Surtout parce que la crise pèse encore toujours sur toute une série de PME. Lorsqu une crise économique frappe, les petites entreprises sont les premières qui essuient de sérieux revers, mais en outre elles sont aussi les dernières à sortir du puits lorsque la crise faiblit. 7 Injonction de payer Les factures impayées sont un véritable fléau pour beaucoup d entrepreneurs et peuvent fortement ébranler leurs liquidités. Elles constituent encore toujours la cause numéro un des faillites. C est pourquoi il faut s atteler en priorité à l instauration de l injonction de payer. Pourquoi? Les entrepreneurs qui voient leurs factures restées impayées, doivent encore toujours s adresser aux tribunaux pour obtenir paiement. Grâce à l instauration d une injonction de payer cela pourrait être un peu plus facile et plus rapide. Via une injonction de payer les créanciers obtiennent plus facilement leur argent en adressant une requête unilatérale au juge. Le juge décide ensuite sans devoir nécessairement appeler le débiteur devant le tribunal. Cela raccourcit considérablement la procédure. Aujourd hui, les entrepreneurs qui entament des démarches judiciaires en ont pour facilement deux ans, alors qu une injonction de payer prend deux à trois mois. L injonction de payer s applique déjà aux factures transfrontalières. C est pourquoi le SNI continue à insister afin d instaurer une injonction de payer belge. Crédit En ce qui concerne la difficulté d obtenir un crédit, nous voyons que 85 % des PME qui le citent comme problème névralgique, ont un taux d endettement de plus de 85 %. Dans ces circonstances les banques ne sont pas du tout tentées d ouvrir une ligne de crédit. Ce constat confirme une enquête précédente du SNI (février 2011). Il en résultait que les entrepreneurs qui voulaient obtenir un crédit pont revenaient souvent les mains vides. Les crédits d investissements et les crédits de caisse sont accordés plus facilement par les banques. Remarquons qu un tiers des entrepreneurs qui n ont pas pu obtenir un crédit n ont pas reçu d explication de leur banque. C est pourtant essentiel, afin de savoir quels points ils peuvent éventuellement corriger. Une motivation circonstanciée est nécessaire. Une banque peut alors expliquer qu un entrepreneur a un taux d endettement trop élevé, afin qu il puisse corriger éventuellement la situation. L organisation des entrepreneurs apprécie que Febelfin ait entre temps, comme promis, afficher un site web sur lequel figure une check-liste dans laquelle est repris tout ce qui doit figurer dans une demande de crédit. Ce genre d information pourra alors épargner beaucoup de souffrance.

8 8 Pourquoi ne craignez-vous pas une faillite? Pourquoi êtes-vous serein quant à la continuité de votre entreprise? Le chiffre d affaires, le bénéfice et la situation financière de mon entreprise restent stables 270 Une sérieuse réserve constituée par le passé me permet d amortir les chocs 120 Autres 23 Je suis bien accompagné et conseillé 2 Les mesures d aides de l Etat me permettent de ne pas être confronté à ces problèmes % des dirigeants de PME qui ne craignent pas la faillite, admettent qu il ne faut pas craindre une faillite parce que la situation financière, le chiffre d affaires et le bénéfice de l entreprise sont restés stables. 27 % des PME interrogées qui ne craignent pas la faillite, font prévaloir avoir constitué une solide réserve dans le passé. Cela semble crédible parce que les PME mènent en période de haute conjoncture généralement une politique entreprenariale prudente et constituent des réserves au cas où cela ira moins bien. Pourtant la situation reste dans de nombreux cas fortement surévaluée, comme cela résulte du tableau ci-dessous. LES PME QUI SONT SEREINES EN RAISON DE RESERVES SUFFISANTES NOMBRES POURCENTAGES OUI NON OUI NON Taux d endettement > 90 % ,34% 13,83% Taux d endettement entre 85 et 90 % ,57% 5,93% Taux d endettement entre 80 et 85 % ,38% 5,93% Taux d endettement entre 75 et 80 % ,38% 4,74% Taux d endettement entre 70 et 75 % ,32% 7,11% Taux d endettement entre 65 et 70 % ,13% 9,49% Taux d endettement entre 60 et 65 % 6 6 6,38% 2,37% Taux d endettement entre 55 et 60 % ,51% 5,14% Taux d endettement entre 50 et 55 % ,57% 5,53% Taux d endettement entre < 50 % ,40% 39,92% 22 % des PME qui estiment disposer de suffisamment de réserves ont un taux d endettement supérieur à 90 %. Il s agit ici clairement d entrepreneurs qui n ont aucune vision claire de la gestion de leur entreprise. Celui qui souffre d un taux d endettement de plus de 90 % ne peut pas se retrancher derrière une réserve sécurisante. Pour être tout à fait complets nous ajouterons que la toute grande majorité (74 % plus exactement) ont un taux d endettement de moins de 80 % et disposent donc bien en principe de réserves suffisantes. 40 % des PME qui estiment disposer de suffisamment de réserves du passé ont même un taux d endettement de moins de 50 %. Dans ce cas la situation réelle est donc bien correctement évaluée.

9 Comment l Etat peut-il intervenir pour réduire le nombre de faillites? Deux mesures viennent immédiatement à l esprit, comme indiqué dans le tableau suivant. 9 Comment la politique / l Etat peut-elle(il) réduire le nombre de faillites? Instaurer une procédure simplifiée pour la récupération des factures impayées 35,01 % 34,32 % Elargir les mesures d aide (entre autres report du paiement des cotisations sociales, chômage économique des employés, indemnisation en cas de travaux publics ) Veiller à un meilleur accompagnement lors du démarrage et développement d une entreprise. 10,98 % Ce n est pas la mission de l Etat Obliger bien plus les banques à octroyer des crédits aux entreprises En promouvant la réorganisation judiciaire/loi sur la continuité des entreprises (auparavant concordat judiciaire) 10,76 % 7,09 % 1,83 % Les entreprises estiment que c est surtout une injonction de payer et les mesures d aide qui peuvent endiguer le nombre des faillites. Le SNI n est pourtant pas partisan de multiples mesures d aide qui peuvent maintenir à flot les PME, car cela ne rend pas service aux entrepreneurs. Pourtant en ces temps d (après) crise il est absolument nécessaire de donner la chance aux entrepreneurs de survivre. Surtout qu au cours des deux dernières années un nombre record d entreprises ont fait faillite et que le nombre de faillites reste à un niveau très élevé également en C est pourquoi l organisation des entrepreneurs se réjouit qu une mesure anticrise, le chômage temporaire des employés, bénéficie d un caractère permanent, même si nous verrions d un bon œil que le report du paiement des cotisations sociales acquière aussi un caractère permanent; Comment la politique / l Etat peut-elle(il) réduire le nombre de faillites? (%) Instaurer une procédure simplifiée pour la récupération des factures impayées Elargir les mesures d aide (entre autres report du paiement des cotisations sociales, chômage économique des employés, indemnisation en cas de travaux publics ) Veiller à un meilleur accompagnement lors du démarrage et développement d une entreprise. Ce n est pas la mission de l Etat Obliger bien plus les banques à octroyer des crédits aux entreprises En promouvant la réorganisation judiciaire/loi sur la continuité des entreprises (auparavant concordat judiciaire) peur de la faillite toutes Lorsqu il est fait une distinction entre PME qui ont peur d une faillite, il y a des divergences frappantes quant au choix politique souhaité.

10 10 Ainsi les dirigeants de PME qui craignent une faillite trouvent qu il est sensiblement moins important d avoir une procédure simplifiée pour la récupération des factures impayées. Cela peut indiquer de leur part une mauvaise gestion de leurs dossiers débiteurs, ce qui les amènerait effectivement à commencer à craindre une faillite. Par contre ils estiment bien plus important d obliger les banques à accorder des crédits. Cela a un lien avec le taux d endettement élevé auquel ces entreprises sont confrontées et les difficultés d obtenir de nouveaux crédits.

11 Connaissez-vous la loi sur la continuité des entreprises (LCE)? 11 La LCE est entrée en vigueur en avril 2009 et remplace l ancien concordat judiciaire. Bien que les premiers résultats de la LCE soient pleins de promesses (bien plus appliquée que le concordat judiciaire + adaptée aux PME), 12 % seulement des PME interrogées connaissent cette loi. Connaissez-vous la loi sur la continuité des entreprises? 12,22 % 16,13 % oui non 87,78 % 83,87 % tous les répondants tous les répondants Parmi les entrepreneurs qui craignent une faillite, ce pourcentage est à peine un peu plus élevé. Un sur six seulement connaît la LCE. La procédure de la réorganisation judiciaire a donc du potentiel. C est pourquoi le SNI plaide pour une campagne de sensibilisation et de promotion plus poussée afin de mieux faire connaître cette procédure. La procédure de la réorganisation judiciaire récolte ses fruits, c est ce qui semble être le cas après près de deux ans de LCE. L approche semble marcher, seule la procédure semble encore trop peu connue, bien qu elle puisse être une bonne bouée de sauvetage pour les entreprises qui menacent de faire faillite. Encore trop peu d entreprises en sont persuadées. Cela provient du fait que les coûts en sont peu transparents et que les entrepreneurs ne savent pas à quoi ils peuvent s attendre.

12 12 Avez-vous une vision suffisamment claire de votre comptabilité? Avez-vous une idée suffisamment claire de votre comptabilité? 3,11 % 12,90 % 96,89 % oui non 87,10 % toutes peur de la faillite Que les entrepreneurs qui ont peur de faire faillite aient une moins bonne vision de leur comptabilité peut très bien expliquer leur peur et leur absence d estimation de la situation réelle.

13 Vous concertez-vous régulièrement avec votre comptable? 13 Vous concertez-vous régulièrement avec votre comptable? oui non 85,25 % 14,75 % Combien de fois par an? 27,50 % 22,22 % 13,13 % 14,17 % 13,89 % 3,06 % 3,61 % 0,28 % 0,28 % 0,28 % 0,28 % 0,28 % 0,83 % A ce niveau il n y a pas de différence significative entre les entreprises qui ont peur ou pas peur d une faillite et les entreprises qui rencontrent des problèmes aigus. Bien qu il soit préférable pour les entrepreneurs de suivre de très près leur comptabilité, le nombre de moments de concertation n est en fait pas important, mais bien leur qualité. Le comptable est un conseiller très important de l entrepreneur qui doit attirer son attention sur la réalité concernant la gestion de l entreprise.

14 14 Pouvez-vous compter sur l avis compétent de votre comptable? A ce niveau il y a des différences entre les entreprises qui ont peur et celles qui n ont pas peur d une faillite. Votre comptable vous dit-t-il clairement comment se présente votre situation financière et à quoi vous devez faire attention? 13,44 % 29,03 % 86,56 % oui non 70,97 % tous peur de la faillite En premier lieu, les entrepreneurs doivent avoir une connaissance de base économique plus large afin de pouvoir évaluer soigneusement la situation financière de leur entreprise. Pourtant ce n est pas une sinécure pour tous les entrepreneurs, surtout pas lorsque leur core business est à des kilomètres de telles connaissances économiques. C est pourquoi presque tous les entrepreneurs se laissent entourer de conseillers qui sont à leur tour spécialisés dans leur branche. Comme dit plus haut, le comptable joue en la matière un rôle crucial. Le SNI plaide pour un parcours régulier que les comptables doivent effectuer avec leurs clients entrepreneurs. Nous pensons à cet effet à une check-liste dans laquelle sont reprises différentes données. Nous aimerions que les professionnels du chiffre prennent l engagement vis-à-vis de leurs clients de les avertir lorsque certains clignotants s allument. Lorsqu une limite est dépassée, il est souhaitable que le comptable informe immédiatement l entrepreneur. Le SNI ne veut certainement pas rendre les comptables responsables de toutes les fautes en cas d évaluation incorrecte de la situation réelle de l entreprise. Les entrepreneurs doivent être eux-mêmes plus impliqués par rapport à leur situation financière. Cela leur permet de faire un état des lieux de leur entreprise de manière bien plus correcte que ce n est actuellement le cas. Pourtant nous voulons à nouveau souligner le rôle à part et important que jouent les comptables auprès des PME de ce pays.

15 Envisagez-vous d investir dans les six mois dans votre entreprise? 15 Intention d investissement à court terme? 41,20 % 58,80 % oui non 35,48 % 64,52 % toutes peur de la faillite Remarquons que les entrepreneurs qui craignent aussi la faillite, ont une toute aussi grande intention d investissement que le groupe total des entrepreneurs interrogés. Cela est du à l instinct de survie des entrepreneurs. Au lieu de ne rien changer et d attendre avec résignation une faillite, ils préfèrent opter pour l action et les investissements pour changer les choses. La question est de savoir avec quels moyens ils veulent investir. Comme déjà mentionné auparavant, 48 % des dirigeants d entreprises qui craignent une faillite ont un taux d endettement supérieur à 90 %. Cela rend quasi impossible pour ces PME d obtenir des crédits.

16 16 Envisagez-vous d embaucher dans les six mois? Embaucher de nouveaux collaborateurs à court terme? 19,35 % 29,62 % 70,38 % oui non 80,65 % toutes peur de la faillite La différence entre les deux groupes est ici bien plus grande. Il est peu surprenant que les PME qui se trouvent selon leur propre perception dans de mauvais papiers envisagent moins d embauche complémentaire.

17 Avez-vous recherché ces cinq dernières années du capital frais? 17 Injection de capitaux ces cinq dernières années? 38,52 % 61,48 % oui 29,03 % 70,97 % non toutes peur de la faillite Une toute grande majorité des PME qui ont peur de faire faillite ont reçu ces cinq dernières années une injection de capital. C est également confirmé par leur taux d endettement élevé, mais nous pouvons déduire du tableau ci-dessous qu elles ont surtout investi avec des moyens propres et moins via un emprunt à la banque. 6,67% 17,24 % Moyens propres 72,00% 48,28 % Emprunt à la banque 21,33% 34,48 % Emprunt à des tiers tous peur de la faillite Elles empruntent plus volontiers auprès des tiers. Celles qui n ont pas peur d une faillite se sont adressées à la banque pour une injection de capital. Selon toute vraisemblance, le taux d endettement a également joué un rôle très important dans l obtention du crédit. C est ce qui résulte des graphiques suivants. Les banques veulent plus que jamais sûreté et demandent aux PME qui ne peuvent produire de beaux résultats près du double d une hypothèque comme sûreté.

18 18 Hypothèque comme sûreté pour injection de capital? 42,71 % 57,29 % oui 21,05 % non 78,95 % toutes peur de la faillite

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