Potentiel du contrôleur AQUALONE pour la gestion de l irrigation
|
|
- Yolande Tassé
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Rapport d étude Potentiel du contrôleur AQUALONE Q pour la gestion de l irrigation en pépinière Par Zacharie LEMERRE DESPREZ Et Cédric LE GUILLOU Février 2016
2 Potentiel du contrôleur AQUALONE pour la gestion de l irrigation en pépinière Zacharie LEMERRE DESPREZ Cédric LE GUILLOU Rapport d étude Février 2016
3 L ESSENTIEL A RETENIR L'agriculture de précision se développe avec notamment la nécessité d'optimiser l'usage de l'eau. L'objectif de l'étude est de réaliser une première évaluation du contrôleur Aqualone pour irriguer un substrat en pépinière. L'expérimentation a été menée du 7 septembre au 30 novembre 2015 en condition de conteneurs horticoles de pépinière à la Station de Recherche Agronomique de Pocquereux IAC à La Foa en Nouvelle Calédonie. L irrigation déclenchée par le contrôleur Aqualone est comparée à celle déclenchée par un programmateur horloge Rainbird conventionnellement utilisé. Un suivi de l'humidité du substrat, de l'état de l'eau dans le substrat et de la consommation en eau a été réalisé. Les résultats montrent que les deux systèmes maintiennent le substrat dans la zone de confort hydrique. Cependant, le contrôleur Aqualone, qui fonctionne de manière continue en réagissant à la demande climatique, a permis une économie d'eau de 35 % par rapport au système horloge conventionnel réglé sur l évapotranspiration potentielle du site. LES AUTEURS Zacharie LEMERRE DESPREZ est Ingénieur de Recherche en agronomie des cultures fruitières tropicales et responsable du site de la Station de Recherche Agronomique de Pocquereux La Foa à l IAC. Cédric LE GUILLOU est Docteur en Sciences du Sol, en poste à la Station de Recherche Agronomique de Saint Louis Mont Dore à l IAC. Les auteurs remercient les agents de la SRA Pocquereux pour leur implication dans la maintenance du site, la mise en oeuvre et le suivi quotidien de cet essai. MOTS CLÉS Irrigation, Aqualone, programmateur horloge, ETP, potentiel hydrique du sol, humidité volumique, consommation en eau, pépinière.
4 Potentiel du contrôleur Aqualone pour la gestion de l'irrigation en pépinière Auteurs : Zacharie Lemerre Desprez et Cédric Le Guillou Introduction La ressource en eau est soumise à des conflits d'usage grandissants (e.g., urbain, industriel, agricole). Il devient indispensable de développer des stratégies pour un usage efficient de la ressource. Les gestionnaires de l'eau doivent considérer des aspects environnementaux, économiques et humains. L'irrigation en agriculture doit ainsi être optimisée. Planifier l'irrigation est un défi du fait des nombreuses variables qui doivent être prises en compte (climat, type de culture et de substrat, méthode d'irrigation, contraintes du système) (Howell 1996). Il existe diverses approches de gestion de l'irrigation. Une méthode couramment employée consiste en une irrigation programmée sur la base de l'évapotranspiration potentielle de référence (ET o ). C'est une approche prévisionnelle prenant en compte l'évolution météorologique théorique au cours de la saison culturale. Cependant, l'humidité du sol étant un facteur clé de la production de biomasse, elle devrait être au centre d'une gestion en dynamique de l'irrigation (Shani et al., 2004). Ainsi, de nouvelles technologies d'irrigation avec des sondes disposées dans le sol se sont développées. Ces technologies sont encore complexes à mettre en œuvre pour l'utilisateur. Aqualone développe actuellement un système simple de contrôle de l'irrigation répondant aux besoins en temps réels du système sol plante en relation avec la demande climatique. L'objectif de cette étude est de réaliser une première évaluation de ce contrôleur Aqualone en contexte d'irrigation d'un substrat en pépinière.
5 Matériel et méthode Le climat néo calédonien est subtropical et quatre saisons se distinguent : deux saisons des pluies (la saison cyclonique de décembre à mi avril, et de mi mai à fin août) et deux saisons sèches (l une peu marquée de miavril à mi mai, et l autre, importante, de septembre à novembre). Les précipitations moyennes varient d un mètre sur la côte Ouest (côte «sous le vent») à deux mètres sur la Côte Est et 1,5 m aux îles Loyauté (zones «au vent»). Les températures moyennes enregistrées varient de 22 C à 24 C, avec des extrêmes de 7,5 C à 37,9 C. L expérimentation se déroule du 07 septembre au 30 novembre 2015 à la pépinière de la Station de Recherche Agronomique (SRA) de Pocquereux à la Foa en Nouvelle Calédonie ( S ; E ; altitude 20 m). Une station météorologique a été installée sur le site depuis L évapotranspiration potentielle est calculée selon la méthode Penmann Monteith décrite dans le guide FAO n 56 (Allen et al. 1998). Les données climatiques historiques du site (figure 1) montrent une pluviométrie minimale en septembre et octobre. Cette période correspond aussi à l augmentation des températures de début de saison chaude. Il en résulte un bilan hydrique négatif marqué durant cette période. L irrigation des productions végétales est alors incontournable. L'année 2015 montre une dynamique globale semblable à l'historique avec toutefois une pluviométrie beaucoup plus faible, notamment de septembre à décembre. T ( C) Pluviométrie (mm) Pluie (mm) Pluie (mm) 2015 Tmax ( C) Tmax ( C) 2015 Tmin ( C) Tmin ( C) 2015 Figure 1 : Température et pluviométrie mensuelle de la période historique et de l'année 2015 mesurées à la Station de Recherche Agronomique (SRA) de Pocquereux Un programmateur horloge (modèle Rainbird) (modalité 1) et le contrôleur Aqualone (modalité 2) commandent respectivement, via une électrovanne 1 et une vanne à membrane à commande hydraulique 1", l irrigation de 48 pots (96 pots au total) desservis chacun par un goutteur délivrant Dg = 4 l.h 1 à la pression de 1,5 bar. La pression est contrôlée par un limiteur de pression et son manomètre (0 2,5 bars) pour chaque modalité (deux au total). Un compteur volumétrique d eau est installé sur chaque modalité d irrigation (deux au total) afin d effectuer les relevés de consommation. Les pots sont remplis d un substrat horticole confectionné localement. Son analyse montre une granulométrie de type sablo argileux (texture recherchée pour le drainage efficace des pots). Le ph s établit à 6.4. La teneur en MO (7,6 %) est élevée. La CEC est de 21 meq % et elle est saturée à 66,5 % par le calcium, 2,1 % par le potassium et 24,5 % par le magnésium. Globalement, les teneurs en éléments majeurs sont satisfaisantes à élevées.
6 Les humidités caractéristiques de ce substrat sont définies à l aide de l analyseur de potentiel hydrique WP4C (Decagon devices). Les humidités caractéristiques sont de 7 % au point de flétrissement permanent (pf 4,2), 10 % pour la limite de la Réserve Facilement Utilisable (RFU qui s établit théoriquement à 2/3 de la Réserve Utile RU), et 17,5 % pour l humidité à la capacité au champ (pf 2,5) (figure 2). 0,19 Teneur en eau (m 3 /m 3 ) 0,17 0,15 0,13 0,11 0,09 0,07 y = 0,009x2-0,1237x + 0,4288 R² = 0,9711 0,05 2,2 2,4 2,6 2,8 3 3,2 3,4 3,6 3,8 4 4,2 4,4 pf Confort hydrique Figure 2 : Courbe de rétention en eau et humidités caractéristiques du substrat Chaque pot a un volume de V = 52 l pour une surface évaporative S = 0,16 m². La capacité de stockage de l eau pour un pot varie donc de 9,1 l à pf 2,5 à 3,64 l à pf 4,2, ce qui définit une réserve utile de l ordre de 5,46 l. Les temps d irrigation du programmateur horloge (tableau 1) sont définis à partir du volume et de la surface évaporative d un pot, en relation avec l évapotranspiration potentielle moyenne du site issue des relevés de sa station météorologique. Il est convenu de réaliser les irrigations les lundi, mercredi et vendredi sur la base d un arrosage à 10h30 puis à 17h30 afin de simuler respectivement la plus forte demande évaporative à la mijournée et la reprise de turgescence de la plante en fin d après midi. Tableau 1 : Description du paramétrage de l'irrigation pour le programmateur horloge conventionnel ETP hebdo moyenne (mm) Point de flétrissement permanent Evaporation pot hebdo (L) (ETP x S) = (A) Durée irrigation hebdo (mn) (A) x 60 / Dg = (B) Fréquences et durées d arrosage retenues Septembre 23 3,68 55,2 L, Me, V. 2 x 9 mn Octobre 28 4,48 67,2 L, Me, V. 2 x 11 mn Novembre 29 4,64 69,6 L, Me, V. 2 x 12 mn La consommation en eau de chaque modalité est relevée à partir des compteurs volumétriques installés. Les relevés sont effectués du lundi au vendredi à la mi journée. Les humidités volumiques sont mesurées sur six pots de chaque modalité (12 au total) du lundi au vendredi à la mi journée (plus forte demande évaporative). Ces mesures sont réalisées par une sonde TDR portable (modèle Fieldscout 300, Spectrum Technologies) en pratiquant trois mesures successives pour définir la valeur moyenne d'un pot.
7 Résultats et discussion 40 T( C), pluviométrie (mm) et ETo (mm) Figure 3 : Données climatiques à la SRA de Pocquereux au cours de l'expérimentation Les variations climatiques lors de l'expérimentation (figure 3) représentent bien les variations saisonnières historiques, avec un bilan hydrique négatif (pluviométrie ETo = 44,9 mm 238,25 mm = 193,35 mm) durant la période septembre novembre. L irrigation des cultures et pépinières lors de cette période de l'année est donc particulièrement stratégique. C est dans ce contexte que les deux systèmes de contrôle de l'irrigation ont été comparés. 40 Pluie Temp min Temp max ETo Rainbird Aqualone Figure 4 : Distribution de l'humidité volumique moyenne (%) du substrat pépinière au cours de l'essai selon les contrôleurs d'irrigation Rainbird et Aqualone
8 L humidité volumique mesurée quotidiennement varie de 7,1 % à 47,4 % pour la modalité programmateur horloge, et 8,6 % à 48,6 % pour la modalité Aqualone. Les valeurs maximales correspondent à un épisode pluvieux. L'humidité du substrat dans les deux modalités varie donc dans une même gamme de valeur. La dispersion des valeurs d humidité dans les deux modalités n est pas significativement différente (F test, p value = 0,601). Cependant, on observe en tendance une dispersion des valeurs plus élevée pour la modalité programmateur horloge Rainbird (figure 4). Le système Aqualone tend à maintenir au cours du temps un niveau d'humidité du substrat plus homogène. Figure 5 : Distribution de l'humidité volumique moyenne (%) vis à vis d'humidités caractéristiques du substrat pépinière selon les contrôleurs d'irrigation Rainbird et Aqualone Vis à vis des humidités caractéristiques, aucune observation des deux modalités ne se situe au delà du point de flétrissement permanent (figure 5). Les deux modalités d irrigation permettent de maintenir un état de l eau dans le substrat potentiellement disponible pour la plante. Cependant, 5,6 % et 5 % des observations respectivement pour le programmateur horloge Rainbird et Aqualone se situent dans la zone comprise entre le point de flétrissement permanent et la limite de la RFU. Dans cette gamme, les valeurs de la modalité Rainbird sont plus proches du point de flétrissement que celles de Aqualone. Le risque d'atteindre le point de flétrissement est donc plus élevé dans la modalité Rainbird. 38,9 % et 53,8 % des observations respectivement pour le programmateur horloge Rainbird et Aqualone se situent dans la RFU. 55,5 % et 41,2 % des observations respectivement pour le programmateur horloge Rainbird et Aqualone se situent au delà de la zone de confort hydrique. Les deux modalités permettent donc de maintenir le substrat dans un état de confort hydrique. Cependant, le contrôleur Aqualone déclenche majoritairement ses irrigations pour maintenir une RFU, alors que la majorité des irrigations dispensées par le programmateur horloge Rainbird se situent au delà de la zone de confort hydrique, ce qui peut être considéré comme un excès d irrigation.
9 Rainbird Aqualone Figure 6 : Consommation journalière en eau (L) des contrôleurs d'irrigation Rainbird et Aqualone Rainbird Aqualone Figure 7 : Consommation cumulée en eau (L) des contrôleurs d'irrigation Rainbird et Aqualone Le suivi de la consommation d eau quotidienne des deux systèmes montre une dynamique globale semblable (figure 6). En revanche, la modalité Rainbird consomme plus d eau de manière quasiment continue que le contrôleur Aqualone. Si cette réponse est conforme au fonctionnement du programmateur horloge Rainbird qui est réglé sur des déclenchements trois fois par semaine, elle indique qu'en revanche le contrôleur Aqualone délivre l eau de manière régulière et dans une gamme de valeur homogène (peu d'extrêmes), et cela du fait de son fonctionnement en réaction à la demande climatique. La consommation journalière en eau du programmateur horloge est significativement supérieure à celle du contrôleur Aqualone (test de Mann Whitney, p value < 0,0001). On observe que la consommation cumulée des deux contrôleurs suit une droite quasiment linéaire (figure 7) ce qui indique une dynamique de fonctionnement stable tout au long de la période d'expérimentation. Au cumulé sur l'ensemble de la période d'expérimentation, la consommation du contrôleur Aqualone est 35 % plus économe en eau que le programmateur horloge Rainbird réglé pour dispenser un équivalent ETP.
10 Conclusion et perspectives Les deux systèmes d'irrigation ont maintenu le substrat dans une gamme équivalente d'humidité qui correspond majoritairement à la zone de confort hydrique. Cependant, le contrôleur Aqualone tend à assurer une irrigation plus homogène et à davantage maintenir l'humidité proche de la réserve en eau facilement utilisable du substrat. Enfin, le contrôleur Aqualone a surtout permis une économie d'eau de 35 % par rapport au système horloge conventionnel réglé sur l évapotranspiration potentielle de référence du site. A ce premier niveau d'évaluation, le contrôleur Aqualone représente donc un produit prometteur du fait de sa capacité à économiser de l'eau tout en maintenant une qualité d'irrigation comparable aux standards attendus. Pour affiner les recommandations d'usage du contrôleur Aqualone, nous proposons quelques perspectives d'étude. Le réglage recommandé par l inventeur à 2 l.h 1 du goutteur du contrôleur Aqualone maintient le confort hydrique dans les pots irrigués avec des goutteurs à 4 l.h 1. On peut supposer que la diminution du débit du goutteur du contrôleur Aqualone conduise à trop arroser par l augmentation de la durée nécessaire à la saturation du contrôleur Aqualone. Il serait intéressant de tester différents couples de réglage goutteur du contrôleur Aqualone et goutteurs d'irrigation, et en faisant également varier la taille des pots de pépinière. Enfin, il serait intéressant de tester le système Aqualone dans des contextes divers de sols (e.g., sableux, argileux), de productions végétales (e.g., maraîchage, grandes cultures, gazons) et de zones climatiques. Références Allen R. G., Pereira L. S., Raes D., Smith M. (1998). Crop evapotranspiration: Guidelines for computing crop requirements. Irrigation and Drainage Paper No. 56, Food and Agriculture Organization, Rome. Howell TA (1996). Irrigation scheduling research and its impact on water use. In: Camp CR et al (eds) Evapotranspiration and irrigation scheduling. San Antonio Convention Center, San Antonio, Texas, pp Shani U., Tsur Y., Zemel A. (2004). Optimal dynamic irrigation schemes. Optim. Control Appl. Methods 25,
BILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE.
Résumé Des travaux de recherches combinant les précipitations annuelles et les températures, classent la zone d étude dans le climat méditerranéen de l étage semi-aride (Seltzer, 1949; Emberger, 1955).
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailInfluence du changement. agronomiques de la vigne
Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique
Plus en détailProjet MERINOVA : Les risques météorologiques comme moteurs d innovation environnementale dans la gestion des agro-écosystèmes
Projet MERINOVA : Les risques météorologiques comme moteurs d innovation environnementale dans la gestion des agro-écosystèmes Y. Curnel 1, F. Vanwindekens 1, A. Gobin 2, S. Zamani 3, H. Van de Vijver
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailGLEIZE ENERGIE SERVICE
GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...
Plus en détailDossier de presse STRATOCLAIR 2012 COMMENT UTILISER VOTRE BALLON D EAU CHAUDE ELECTRIQUE EN BALLON SOLAIRE?
CP - STRATOCLAIR-2-2012 R SYSTEME BREVETE Dossier de presse STRATOCLAIR 2012 Y S Y S T S E T E M E COMMENT UTILISER VOTRE BALLON D EAU CHAUDE ELECTRIQUE EN BALLON SOLAIRE? Solar Keymark N 011-7S695 R CONCEPTION
Plus en détailEnergie solaire www.euroclima.fr
Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des
Plus en détailVITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailSonde tensiométrique WATERMARK. Construire en préservant les sols Surveiller le chantier à distance Monitor
Sonde tensiométrique WATERMARK Construire en préservant les sols Surveiller le chantier à distance Monitor mesure automatiquement la tension de l'eau du sol Transmission GPRS par module additionnel Le
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailInstallations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS)
Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Document réalisé avec le soutien technique de la Introduction Les installations concernées par la Garantie
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailII. REVOD Plongée à l ordinateur. Septembre 2010. Plan de l exposé
1 Décompression II. REVOD Plongée à l ordinateur Septembre 2010 Plan de l exposé Introduction Typologie de la décompression: No déco Déco légère Déco Lourde La planification Les profils de plongée Le palier
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET
SESSION 2011 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel(s)
Plus en détailToiture végétale à l ITA, un projet d étudiant qui voit grand
Toiture végétale à l ITA, un projet d étudiant qui voit grand par Brigitte Lavoie, diplomée en TPHE Valéry Simard, diplomée en PCHO Manon Tardif, professeure en Horticulture Institut de Technologie Agro-Alimentaire,
Plus en détailLa relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable.
111 39 240 1812 906 La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable. La relève de chaudière, qu est ce que c est? On parle de relève de chaudière lorsqu on installe une pompe à
Plus en détailFiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire
Service d information sur les économies d énergie Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire 1 Préparation de l eau chaude sanitaire 2 1) Différents systèmes de production A Chaudière combinée
Plus en détailRUBIS. Production d'eau chaude sanitaire instantanée semi-instantanée. www.magnumgs.fr
RUS Production d'eau chaude sanitaire instantanée semi-instantanée www.magnumgs.fr Producteurs d'eau chaude instantanés RUS Le système intégré de production d'eau chaude sanitaire instantané permet, à
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détailEquipement d un forage d eau potable
Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de
Plus en détailDomosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage
Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les
Plus en détailCOMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS
1 sur 9 COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS (L'article intégral est paru dans Gestions Hospitalières n 357 de juin-juillet 1996) Pour plus d'informations concernant
Plus en détailData loggers SOFREL LT/LT-US Solutions réseaux d eaux usées
Data loggers SOFREL LT/LT-US Solutions réseaux d eaux usées Les data loggers SOFREL LT et LT-US ont été conçus pour la surveillance des réseaux d eaux usées et pluviales (collecteurs, déversoirs d orage,
Plus en détailM. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica.
Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application au bassin du Guadalquivir (sudo-uest de l Espagne). En: Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application
Plus en détailSimuler le cumul pour valider
Énergies renouvelables et eau chaude Simuler le cumul pour valider Est-il opportun de cumuler les énergies pour améliorer les installations de production d eau chaude sanitaire? Quelles sont les interactions
Plus en détailDes systèmes de chauffage avec pompe à chaleur et accumulateur de chaleur pour les construction dans les zones de montagne.
Des systèmes de chauffage avec pompe à chaleur et accumulateur de chaleur pour les construction dans les zones de montagne. Formation à la promotion des énergies renouvelables à CEFIDEC Vatra Dornei Dănuţ
Plus en détailL offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)
L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,
Plus en détailNOUVEL ALPHA2 FIABILITÉ ET RENDEMENT REDÉFINIS Gamme complète de circulateurs professionnels pour le chauffage, la climatisation et le refroidissement
NOUVEL ALPHA FIABILITÉ ET RENDEMENT REDÉFINIS Gamme complète de circulateurs professionnels pour le chauffage, la climatisation et le refroidissement ALPHA NOUVEAU CIRCULATEUR PLUS FIABLE. PLUS PERFORMANT.
Plus en détailCENTRE HOSPITALIER CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MAINTENANCE DES CHAUDIERES ET DES SYSTEMES DE CLIMATISATION
CENTRE HOSPITALIER 1, rue du Docteur Paul Martinais 37600 LOCHES 02 47 91 33 33 02 47 91 32 00 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MISE EN CONCURRENCE PORTANT SUR MAINTENANCE DES CHAUDIERES ET
Plus en détailFiche commerciale. Pompes à chaleur. Arcoa duo Arcoa bi-bloc MT pompes a chaleur bi-bloc INNOVATION 2010. bi-bloc MT
Fiche commerciale Pompes à chaleur Arcoa duo Arcoa bi-bloc MT pompes a chaleur bi-bloc INNOVATION 2010 bi-bloc MT INNOVATION 2010 Communiqué de presse Arcoa Nouvelle gamme de pompes à chaleur bi-bloc Des
Plus en détailAPPLICATIONS DE LA RT2012. 1/ Quels bâtiment neufs (hors extensions) sont soumis à la RT2012?
1/ Quels bâtiment neufs (hors extensions) sont soumis à la RT2012? Textes en vigueurs : Arrêté du 26 octobre 2010, arrêté du 28 décembre 2012, arrêté du 11 décembre 2014. Fiche d'application du 26 Février
Plus en détailFICHE INFORMATION. Répartition individuelle des frais de chauffage. Guide d'information à l'usage des occupants
FICHE INFORMATION Répartition individuelle des frais de chauffage Guide d'information à l'usage des occupants LE RÉPARTITEUR ÉLECTRONIQUE TECHEM Compter une énergie précieuse Vos répartiteurs de chauffage
Plus en détailChaudières et chaufferies fioul basse température. Olio 1500, 2500, 3500, 4500, 7000
Olio 1500, 2500, 3500, 4500, 7000 Chaudières et chaufferies fioul basse température 2 Chaudières et chaufferies fioul basse température Olio 1500 F. La qualité et la robustesse au meilleur prix. Les chaudières
Plus en détailLe contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2
Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:
Plus en détailCrédit impôts énergie renouvelable développement durable 2015
Crédit impôts énergie renouvelable développement durable 2015 Depuis la loi de finances pour 2005, a été créé un crédit d'impôt dédié au développement durable et aux économies d'énergie. S inscrivant dans
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailIncertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles
Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles M. L. Delignette-Muller Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive VetAgro Sup - Université de Lyon - CNRS UMR 5558 24 novembre
Plus en détailAcquisition. d une centrale de surveillance des températures CAHIER DES CHARGES. Maître de l'ouvrage :
Acquisition d une centrale de surveillance des températures CAHIER DES CHARGES Maître de l'ouvrage : INSTITUT NATIONAL DE LA RECHERCHE AGRONOMIQUE Etablissement public à caractère Scientifique et Technologique
Plus en détailUne solution haut de gamme de gestion technique énergétique de vos bâtiments à un tarif raisonnable.
Une solution haut de gamme de gestion technique énergétique de vos bâtiments à un tarif raisonnable. CADOÉ Technologie 04 74 37 55 53 contact@cadoe.net Gestion de tous les types de chauffage : Gaz, Fioul,
Plus en détailProjet Institutional Support to African Climate Initiative (ISACIP) ATELIER DE RENFORCEMENT DE CAPACITÉS Niamey, 17 au 25 mars 2014
Projet Institutional Support to African Climate Initiative (ISACIP) ATELIER DE RENFORCEMENT DE CAPACITÉS Niamey, 17 au 25 mars 2014 Par Amadou Idrissa Bokoye, Ph. D. Contact: abokoye@gmail.com Environnement
Plus en détailL A T O U R D E P E I L Z Municipalité
V I L L E D E L A T O U R D E P E I L Z Municipalité PRÉAVIS MUNICIPAL No 25/2012 le 12 décembre 2012 Concerne : Demande d'un crédit de construction de 270'000.-- pour le remplacement des couches horticoles
Plus en détailLA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX
SMART WATER NETWORKS LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX Les défis posés au gestionnaire du système d assainissement La sécurité des biens et des personnes Anticiper et limiter les risques de débordements
Plus en détailNotice d'utilisation Capteur de niveau TOR. LI214x 704776/00 10/2010
Notice d'utilisation Capteur de niveau TOR LI214x FR 704776/00 10/2010 Contenu 1 Remarque préliminaire 3 1.1 Symboles utilisés 3 2 Consignes de sécurité 3 3 Fonctionnement et caractéristiques 4 3.1 Application
Plus en détail16- Grand lac Shaw Portrait 2006
Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude
Plus en détailVERS UNE GESTION OPTIMALE DES RESSOURCES EN EAU. EXEMPLE DE LA TUNISIE.
VERS UNE GESTION OPTIMALE DES RESSOURCES EN EAU. EXEMPLE DE LA TUNISIE. Habaieb H*., Albergel J.** * Institut National Agronomique de Tunisie ** Mission IRD de Tunis RESUME La Tunisie reçoit en moyenne
Plus en détailRéunion publique/téléconférence
Réunion publique/téléconférence Dorval Cornwall Kingston Watertown Oswego Burlington Rochester Kingston/Oswego Téléconférence: 1-877-413-4814 486 9841 (français) 447 9980 (anglais) Appeler entre 18h45-18h55
Plus en détaildes réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires w w w. s o g o b a. c o m
Equilibrage & Maintenance des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires G R K N E T E v o l u t i o n La solution
Plus en détailPROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale
Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE
Plus en détailSynthèse des travaux réalisés par la DMN dans le cadre du projet ACCMA
Synthèse des travaux réalisés par la DMN dans le cadre du projet ACCMA Fatima Driouech et Atika Kasmi Le travail effectué par l équipe de la DMN, dans le cadre du projet et durant cette première période,
Plus en détailTableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées
Codes l'environnement Décret 95-22 du 9 janvier relatif à la limitation du bruit des aménagements et transports terrestres mai relatif au bruit des 97-110 du 12 relative à la prise en compte du bruit dans
Plus en détailStation météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386
Station météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386 MANUEL DE L UTILISATEUR TABLE DES MATIÈRES Introduction... 2 Vue d Ensemble de l Horloge... 2 Face Avant... 2
Plus en détailLatitude 49.37 N Longitude 06.13 E Altitude 376 m RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014
RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014 Valeurs moyennes: Valeur Jour Valeur (en C) (en C) (en C) gazon (en C) 11,4 7 13,9 1975 3,6 0,8 4,9 2007-6,3 1963-3,0 29-17,8 1979-2,8 12-24,6 1985 37,1 50,3 95,5
Plus en détailLYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES ETUDE D UN TRAITEMENT DE SURFACE
TP. TET LYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES GENIE ELECTROTECHNIQUE Durée : 3 heures Tp relais statique 10-11 RELAIS STATIQUE S.T.I. Pré-requis : Laboratoire des systèmes Cours sur les
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailMANUEL UTILISATEUR DU RECEPTEUR HAICOM HI-303MMF
MANUEL UTILISATEUR DU RECEPTEUR HAICOM HI-303MMF 1 SOMMAIRE DU MANUEL UTILISATEUR I. LE POSITIONNEMENT PAR GPS..3 II. INTRODUCTION - GPS HAICOM HI-303MMF... 4 III. COMPOSITION DU PACK GPS...5 IV. INSTALLATION
Plus en détailEAU TECHNOLOGIE SANS FILS CYCLE INTÉGRAL DE L EAU Optimisation des processus. et surveillance DÉBIT NIVEAU VOLUME PRESSION QUALITÉ DE L EAU www.balmart.es www.rfreenet.com SYSTÈME / RFREENET Solution de
Plus en détailNOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES
NOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES Cette notice présente les principaux points de la réglementation. Lisez-la avant de remplir la demande.
Plus en détailLes adoucisseurs d'eau Essential Series MC de Kinetico aident à optimiser l'efficacité des appareils électroménagers
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Photos disponibles sur demande Joyce Penhallurick ou Patrice Aylward Yopko Penhallurick LLC jp@yp-pr.com ou pa@yp-pr.com 440-543-8615 Les adoucisseurs d'eau Essential Series MC
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailSystème de mesure et d enregistrement ESS III pression et température
Système de mesure et d enregistrement ESS III pression et température CONTROLE Caractéristiques: Système de mesure et d enregistrement pour pression et température des conduites d alimentation des réseaux
Plus en détailAménagement d une cour d un lycée agricole
Aménagement d une cour d un lycée agricole Renseignements. Structure porteuse : Lycée agricole de Challuy- EPL Challuy-Cosne-Plagny Standard : 03.86.21.66.00 Proviseure Adjointe M md Caroline Galmard :
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailCONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL)
CONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL) M. KUPER, A. HAMMANI ET B. JAOUADI FIGURE 51 Atelier de restitution du projet
Plus en détailP.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE
Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le
Plus en détailFiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon
Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire
Plus en détailproduit De l eau chaude sanitaire à volonté Préparateurs ECS et accumulateurs d énergie Weishaupt
produit Information sur les préparateurs d eau chaude sanitaire De l eau chaude sanitaire à volonté Préparateurs ECS et accumulateurs d énergie Weishaupt Hygiène et propreté pour votre eau chaude sanitaire
Plus en détailContrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B
Contrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B C. Rio, J.-Y. Grandpeix, F. Hourdin, F. Guichard, F. Couvreux, J.-P. Lafore, A. Fridlind, A. Mrowiec, S. Bony, N. Rochetin,
Plus en détailALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX
ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE
Plus en détailAGROBASE : un système de gestion de données expérimentales
AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER To cite this version: Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER. AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales.
Plus en détailDéveloppement des saveurs. Contenu 2015-02-24
Développement des saveurs Présenté par : Raymond Nadeau, conseiller acéricole au CQABA Club Qualité acéricole Beauce Appalaches et Sève, santé des érablières Contenu Évolution de la production; Problématiques
Plus en détaildescription du système
description du système a. conception technique système constructif Le projet proposé est un système modulaire industrialisé d'assemblage d'éléments préfabriqués tridimensionnels. Il est basé sur un module
Plus en détail[Signature]Essais réalisés en collaboration entre les Chambres d'agriculture de Bretagne, les fédérations de Cuma et Arvalis Institut du végétal.
[Titre]Semis de maïs : 3 semoirs à l'épreuve de la vitesse [Commentaires sur la mise en forme : Le tableau des caractéristiques des matériels avec les photos des semoirs doit être placé en première page.
Plus en détailExperts efficience informatique
Experts efficience informatique Date 3 février 2014 Martin Dargent Dirigeant EasyVirt Martin.dargent@easyvirt.com 06 69 55 75 18 Présentation d EasyVirt EasyVirt Jeune Entreprise Innovante issue de 7 ans
Plus en détailCOMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Objet du Marché : Procédure adaptée pour «entretien des espaces verts de la commune de Pont à Marcq» Année 2013 Maître d ouvrage : Commune
Plus en détailBien choisir sa variété de maïs ensilage
Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention
Plus en détailPilotec confort 10/Pilotec confort 20 réf. 49110 réf. 49111
9419-682-10/01.06 Pilotec confort 10/Pilotec confort 20 réf. 49110 réf. 49111 Gestionnaire d énergie pour 1 ou 2 zones de chauffage électrique avec fil pilote Sommaire Comment fonctionne votre Pilotec
Plus en détailMIVISU VIABILITÉ HIVERNALE
FICHE APPLICATION MIVISU VIABILITÉ HIVERNALE Fiche ref :zz_fa_viabilite_01a Publiée le :09/09/09 Domaine Routier 1 Table des Matières 1Objet du document...3 2Présentation générale de l'application Viabilité...4
Plus en détailUne onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe
«Société Électrique de l Our» Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe Pour un meilleur équilibre entre production d électricité et pointes de consommation Afin d'augmenter
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détail40% >> Economies d énergie garanties >> Eau chaude à volonté >> Très compacte. << easylife.dedietrich-thermique.fr >> 10 min.
NOUS VOULONS ÉCONOMISER L ÉNERGIE JE VEUX UNE SOLUTION PRATIQUE POUR MA MAISON Des factures en nette diminution grâce à la condensation. Très compacte, la chaudière trouve sa place partout. Des rendements
Plus en détail1 Le chauffage des serres agricoles
1 Le chauffage des serres agricoles 1.1 Introduction Les serres offrent aux maraîchers et aux horticulteurs la possibilité de maîtriser le climat (température, humidité et lumière) et de produire, au moment
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailMAITRE D OUVRAGE : VILLE DE BATZ-SUR-MER
MAITRE D OUVRAGE : VILLE DE BATZ-SUR-MER 34 rue Jean XXIII 44740 BATZ-SUR-MER - Département de Loire-Atlantique MAINTENANCE DES INSTALLATIONS TECHNIQUES DES BATIMENTS COMMUNAUX LOT UNIQUE CHAUFFAGE ET
Plus en détailUne solution parfaitement adaptée
INFORMATIONS ANALYSE EN CONTINU DES NITRATES NISE SC / NITRATAX SC NOUVEAU! ME SU RE DES N I T R AT ES EN LIGNE Une solution parfaitement adaptée Sondes de nitrate utilisant les technologies UV et électrodes
Plus en détailModélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Plus en détailLindab Poutres climatiques. Terminaux à eau. Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT
lindab poutres Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT Eco-énergétique Applications Tertiaires (bureaux, hôpitaux, hôtels...) Modularité et design Neuf et rénovation Simplicité de montage
Plus en détail4. Verdissement, une PAC plus verte
4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.
Plus en détailNotice d'utilisation. Installation solaire avec appareil de régulation KR 0106. 6302 1500 05/2002 FR Pour l'utilisateur
6302 1500 05/2002 FR Pour l'utilisateur Notice d'utilisation Installation solaire avec appareil de régulation KR 0106 Lire attentivement avant utilisation SVP Préface Remarque Les appareils répondent aux
Plus en détailNOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C
REPUBLIQUE FRANCAISE MINISTERE DE L ECOLOGIE, DE L ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DIRECTION DE L'EAU Sous-Direction de l'action territoriale, De la directive cadre
Plus en détailIN SYSTEM. Préconisations techniques pour Sage 100 Windows, MAC/OS, et pour Sage 100 pour SQL Server V16. Objectif :
IN SYSTEM Préconisations techniques pour Sage 100 Windows, MAC/OS, et pour Sage 100 pour SQL V16 Objectif : En synthèse des manuels de référence de Sage Ligne 100, ce document vous présente les préconisations,
Plus en détailBLUBOX Système de récupération des eaux de pluie
BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailToitures vertes : bien commun ou bien privé?
Toitures vertes : bien commun ou bien privé? Owen A. Rose LEED, M.Arch, B.Comm www.ecologieurbaine.net www.montroyal-avenueverte.org www.ecosensuel.net Toitures vertes à la montréalaise Un vieux concept
Plus en détailSERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière
Plus en détail