Rate and determinants of agricultural technology adoption: case study of TDrs yam varieties in Benin

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1 Rate and determinants of agricultural technology adoption: case study of TDrs yam varieties in Benin By ADEGBOLA, Patrice Ygué and ADEKAMBI, Souléïmane Adéyèmi Contributed Paper presented at the Joint 3 rd African Association of Agricultural Economists (AAAE) and 48 th Agricultural Economists Association of South Africa (AEASA) Conference, Cape Town, South Africa, September 19-23, 2010.

2 Rate and determinants of agricultural technology adoption: case study of TDrs yam varieties in Benin Patrice Ygué ADEGBOLA Programme Analyse de la Politique Agricole (PAPA/INRAB), Porto-Novo, Bénin Souléïmane Adéyèmi ADEKAMBI Programme Analyse de la Politique Agricole (PAPA/INRAB), Porto-Novo, Bénin Abstract In spite of the socio-economic importance of yam, his production is still facing serious constraints as no availability and inadequacy of seed tubers. In order to cope with these constraints, International of Tropical Agriculture (IITA) has developed improved varieties of which we have TDrs varieties. Many years after their extension in Benin, it s then important to evaluate their adoption rate and identify factors which determine this adoption. This study s aim is to contribute to this evaluation. Data used came from 202 yam producers randomly selected in villages pertain to Borgou and Collines s regions. The framework developed by Reed et al. (1991) and the counterfactual outcomes framework estimating the Average Treatment Effect have been respectively used to analyze on the one hand yam producers perceptions and on the other hand the rate and determinants of the TDrs varieties adoption. Results indicate that the information rate is 44 % and the main factors determine information access are the participation on trials activities, being member of yam producers association, contact with extension agents and the revenue proving by yam production. The results also reveal that aptitude to a good pounded yam, yield, markets value and aptitude to be consumed as boiled yam are the main criteria that yam producers are looked for when choosing any yam varieties. Aptitude to a good pounded yam remains the only criterion not met by the TDrs varieties promoting. The adoption of theses varieties is influenced by producers access to information, their age and their perception about aptitude to be transformed in chips and markets value. The TDrs population adoption rate is estimated to be 37 % in 2007 and is projected to reach up to 65 % in the long term. Key words: yam, information, adoption, ATE, TDrs varieties, Benin 1

3 Taux et déterminants de l adoption des technologies agricoles : cas des variétés améliorées d igname TDrs au Bénin Patrice Ygué ADEGBOLA Programme Analyse de la Politique Agricole (PAPA/INRAB), Porto-Novo, Bénin patrice.adegbola@coraf.org Souléïmane Adéyèmi ADEKAMBI 1 Programme Analyse de la Politique Agricole (PAPA/INRAB), Porto-Novo, Bénin adeksoul@yahoo.fr RESUME L igname est l une des cultures tropicales d une grande importance socio-économique surtout dans les pays du Golfe de Guinée dont le Bénin. Mais sa culture reste sujette à d énormes contraintes dont l indisponibilité et l inadéquation du matériel végétal utilisé par les producteurs. C est dans ce cadre que de nouvelles variétés dont les TDs ont été mises au point par l Institut International d Agriculture Tropicale (IITA), testées et vulgarisées au Bénin. L objectif de la présente étude est d évaluer leur taux d adoption, analyser les facteurs déterminant leur adoption et projeter ce taux d adoption dans le futur. Pour ce faire, des données aussi bien qualitatives que quantitatives ont été collectées dans deux départements : Borgou et Collines à l aide respectivement d un guide d entretien et de questionnaire structuré. Les données quantitatives ont concerné 202 producteurs et productrices d igname. Les perceptions des producteurs des critères de choix d une variété donnée et des différentes variétés cultivées ont été analysées par l'approche empirique d analyse des perceptions développée par Reed et al. en Quant à l estimation du taux d adoption et l analyse de leurs déterminants, c est la méthode de contrefactuel d effet moyen de traitement (ATE) qui a été utilisée. Les résultats montrent un taux d information sur les variétés améliorées TDr de 44 %. La participation aux activités d expérimentation sur la sélection variétale, l appartenance à une association ou groupement des producteurs d igname, le contact avec les ONGs et/ou les projets, et le revenu de l année antérieure tiré de la production d igname sont les principaux facteurs déterminants l accès à l information concernant ces variétés améliorées. L analyse de la perception des producteurs a permis de noter que l aptitude à faire de bonne igname pilée, le rendement, la valeur marchande et l aptitude à être consommée sous forme bouillie sont les principaux critères auxquels font recours les producteurs interviewés pour le choix d une quelconque variété. De tous ces critères, seul celui relatif à l aptitude à faire de bonne igname pilée reste encore à rempli par les variétés améliorées TDr vulgarisées. L adoption est influencée principalement par l accès du producteur à l information sur ces variétés, son âge, et la perception qu ils ont de leur aptitude à la transformation en cossettes et de leur valeur marchande. Le taux d adoption en 2007 est estimé à 37 % si la diffusion était complète en A long terme, le taux d adoption est estimé 65 % et représente à peu près deux fois le taux d adoption en Mots clés : Igname, information, adoption, ATE, variétés TDr, Bénin 1 Personne pour correspondance : adeksoul@yahoo.fr 2

4 1. Introduction Bien que la sécurité alimentaire reste l'une des priorités des gouvernements de la plupart des pays africains, les productions nationales en cultures vivrières sont loin d'être satisfaisantes et des sommes considérables sont chaque année dépensées à l'importation des céréales, surtout le riz. La diversification de l'agriculture vivrière reste et demeure une alternative importante pour assurer cette sécurité alimentaire et ne doit pas ignorer les plantes à racines ou à tubercules dont l igname. Au Bénin, l igname (Diacorea spp.) est surtout cultivée dans les formations cristallines du Centre et du Nord depuis la latitude de Djidja jusqu à Kandi (Bio Goura, 2000) et sa production, tout comme dans l ensemble de la sous-région Ouest Africaine, a connu un important accroissement au cours des dernières décennies avec une augmentation annuelle de 3% (FAO, 2000). En dépit de cette importance relative, l igname reste l une des rares denrées alimentaires dont les techniques culturales ont peu évolué (Adégbola, Hinnou et Adékambi, 2007). Sa culture est sujette à plusieurs difficultés dont l indisponibilité et l inadéquation du matériel végétal utilisé par les producteurs. Pour améliorer les rendements, l "International Institut of tropical Agriculture" (IITA) conduit depuis des années, des recherches dans ce domaine afin de mettre à la disposition des producteurs, des semences d igname de qualité, à moindre coûts et pouvant produire beaucoup de plantules à partir d une semence. Des variétés d igname à haut rendement et pouvant donner en moyenne 20 plantules par semence ont été alors mis au point par les chercheurs de l IITA (ITTA, 2000). Des années après la vulgarisation de ces variétés améliorées d igname au Bénin, peu d études se sont intéressées à l évaluation de la perception des producteurs sur leurs caractéristiques, des facteurs socio-économiques qui expliquent leur adoption, leur niveau d adoption et leur courbe de diffusion. Le présent papier vise donc à évaluer le taux d adoption et analyser les facteurs d adoption et de diffusion, au Bénin, des variétés améliorées d igname développées par l IITA. 3

5 2. Méthodes d analyse Cet article a utilisé l approche contrefactuelle basée sur le calcul de l Effet Moyen de Traitement (ATE 2 ) (Voir Rubin, 1974 ; Imbens et Angrist, 1994 ; Wooldridge, 2002 ; Heckam et Vytlacil, 2005 pour plus de détails) pour estimer le taux et déterminants d adoption des variétés améliorées d igname au Bénin. Une telle approche est nécessaire du fait que les taux d adoption habituellement calculés 3 sont baisés (Imbens and Angrist 1994 ; Heckman, 1996 ; Wooldridge 2002 ; Diagne, 2006 ; Adébgola et al., 2006). Les biais sont dus d une part à la diffusion incomplète de l information au sujet des innovations et d autre part à l anticipation des gains liés à la technologie vulgarisé par certains bénéficiaires. Les estimateurs utilisés sont l Average Treatment Effet ou l effet moyen de traitement (ATE) et l Average treatment Effect on Treated ou l effet moyen de traitement sur les traités (ATE1). Dans notre contexte d adoption, le "traitement" correspond à l exposition aux variétés améliorées d igname. Les taux et déterminants actuels d adoption des variétés améliorées d igname développées par l IITA peuvent et les taux futurs d adoption être estimés en spécifiant le modèle auto-regressif du 1 er ordre (ARIMA 4 ) (Al-Osh et Alzaid, 1987 ; McKenzie, 1988 ; Wooldridge, 2002 ; Diagne, 2006) : Où E( A/ x, At 1, D) = µ + χ0d + βat 1D + αx + ζd( x x) (1) A représente la décision du producteur d adopter ou non les variétés améliorées i d igname. Elle prend la valeur 1 lorsque l exploitant adopte et 0 sinon ; D est une variable binaire prenant la valeur 1 si le producteur est informé des variétés améliorées d igname développées et 0 sinon ; xiest l ensemble des variables socioéconomiques affectant l adoption et x leur moyenne respective ; A t 1 est l état d adoption de l année antérieure (l adoption des variétés améliorées d igname en 2006 dans notre cas) ; χ 0, α, β et ζ les paramètres à estimer. χ représente avec précision le taux d adoption (ATE) au sein de la population. Le taux d adoption des variétés améliorées d igname à long terme est donné par χ0. S inspirant de 1 β i 2 Dont l acronyme anglais est : Average Traitement Effect 3 Le taux d adoption dans l échantillon qui est égal à la proportion des producteurs ayant adopté la variété améliorée dans l échantillon d enquête 4 Auto regressive intergrated moving average 4

6 Freeland et McCabe (2004) et Diagne (2006), le taux d adoption projeté dans le future des variétés améliorées d ignames TDr peut être obtenu à partir de l équation : n 1 χ ω n A 1 χ t 0 t 0+ n > 0 / At 0 0 = 1 (1 χ ) e ; n=1, 2, 3, (5) P( A De façon empirique, l équation (4) a été estimée à l aide de la méthode des variables instrumentales (VI) 5 à cause de la nature "endogène" (i.e corrélée avec d autres facteurs inobservables) de la variable "état d exposition" aux variétés améliorées évaluées. Les variables dépendantes des modèles estimés sont relatives à la connaissance des variétés améliorées d igname (KVAR) et leur adoption (ADOPVAR). Les variables explicatives suivantes sont supposées influencées la probabilité d être informé de l existence des variétés améliorées d igname : Participation aux expérimentations sur la sélection variétale (EXPERIME). La participation aux différentes expérimentations sur les variétés est un proxy de contact avec la vulgarisation et / ou les agents de la recherche. Et c est un indicateur d exposition à l information (Adégbola et Gardebroek, 2007) sur les variétés améliorées d igname. Cette participation aux expérimentations peut amener les producteurs à développer une attitude positive vis-à-vis de ces variétés améliorées (Thangata and Alavalapati, 2003). La variable EXPERIM est binaire et prend la valeur 1 si l enquêté a de contact avec les vulgarisateurs ou les agents de recherche et 0 sinon On espère donc que EXPERIME affecte positivement la probabilité d être informé des variétés améliorées d igname développées par l IITA. Appartenance à un groupement ou association de riziculteurs (MECAS). Cette variable indique l intensité de contacts avec d autres producteurs. Les producteurs n ayant pas de contacts avec les agents de vulgarisation peuvent toutefois être informés par les collègues (Adégbola et Gardebroek, 2007 ; Adégbola, Adékambi et Diagne, 2006). MECAS est dichotomique et prend la valeur 1 si l enquêté appartient à un groupement ou association de producteurs d igname et 0 sinon. L appartenance à un groupement est supposée affecter positivement la connaissance des variétés améliorées d igname développées par l IITA. 5 Instrumental Variable method (IV) dans la littérature moderne d évaluation d impact (voire Wooldridge, 2002 pour plus de détails) 5

7 Sexe de l exploitant (SEXE). C est une variable binaire qui représente le sexe de l enquêté. Elle prend la valeur 1 lorsque l enquêté est un homme et 0 sinon. Il est souvent admis que les agents de vulgarisation et de recherche ont tendance à travailler plus avec les hommes. De ce fait, ces derniers seront plus exposés aux innovations. la variable SEXE est supposée donc déterminée positivement la probabilité de connaître les variétés améliorées d igname de l IITA. Niveau d éducation (EDUF). Plusieurs études ont montré l effet positif de l instruction sur la connaissance des technologies améliorées. L instruction accroît l habileté du producteur à rechercher des informations sur les technologies nouvelles et à en évaluer la pertinence. C est une variable dichotomique qui égal à 1 si le producteur est instruit et 0 sinon. Un coefficient positif est espéré pour la variable EDUF dans le modèle économétriques estimé. Revenu tiré de la production d igname en 2006 (REVPI06). C est un indicateur du niveau de rentabilité de l exploitation. Un revenu de l an passé élevé, incitera davantage le producteur à rechercher des informations au sujet d innovations pouvant plus améliorer son revenu. L hypothèse est donc que la variable REVPI06 influence positivement la probabilité de connaître les variétés améliorées de l IITA. Quant à l adoption de ces variétés améliorées d igname, les facteurs identifiés comme pouvant influencer la décision des producteurs sont : Age de l enquêté (AGECM). Le signe de la relation entre l âge et l adoption ne peut être défini à l avance. En effet, tandis que Sall et al (2000) ont montré que les producteurs âgés adopteraient plus facilement les technologies que les jeunes, Zegeye et al., (2001) et Ouédraogo (2003) ont aboutit à une conclusion contraire. Pour les premiers, les producteurs âgés auraient accumulé beaucoup de biens, ou par préférence auraient accès au crédit compte tenu de son âge ou accès à la terre ou disposeraient d une maind œuvre importante. Et les jeunes producteurs auraient un grand horizon de planification seront disposés à prendre des risques. Niveau d éducation (EDUF). La variable EDUF est supposée par contre influencer positivement l adoption des technologies. En effet, les producteurs 6

8 ayant un niveau d éducation élevé ont une prédisposition à l acceptation des innovations par rapport aux producteurs analphabètes habitués aux pratiques traditionnelles (Ouédraogo, 2003). Sexe de l exploitant (SEXE). Les hommes sont généralement des chefs de ménages. A ce titre, ils ont plus accès à la terre et donc peuvent expérimenter plusieurs technologies à la fois (Adégbola, Adékambi et Diagne, 2006). L hypothèse est donc que la variable SEXE détermine positivement l adoption des variétés améliorées d igname développées par l IITA. Contact du producteur avec la vulgarisation (CONT). Des études (Adésina et Baidu-Forson, 1996 ; Adégbola, Adékambi et Diagne, 2006) ont montré l impact positif de l information sur l adoption des nouvelles technologies agricoles notamment les variétés à haut rendement. Le contact des producteurs d igname avec les services de vulgarisation (CONT) leur permettra à court sûr d avoir des informations fiables (avantages) concernant les variétés améliorées de l IITA. CONT est une variable binaire qui prend la valeur 1 lorsque le producteur a de contact avec les services de vulgarisation et 0 sinon. Elle est supposée influencée positivement l adoption des variétés améliorées de l IITA. Superficie disponible en igname (SUPANA). Elle renseigne sur la superficie totale en hectares que peut emblaver le producteur. Les producteurs disposant de beaucoup de terres pouvant être défrichées à tout moment ne seront pas prêts à adopter les nouvelles variétés améliorées d igname. Car l augmentation de la production pourra être compensée celle de la superficie. On espère donc un signe négatif du coefficient de cette variable. Appartenance à une association de producteurs d igname (MECAS). Cette variable est indicatrice du niveau d échanges d idées entre producteurs d une même association. Les producteurs n ayant pas de contact avec la vulgarisation peuvent toutefois être au contact des nouvelles variétés à partir de leurs pairs de l association. MECAS est dichotomique et prend la valeur 1 si le producteur appartient à une association de producteurs d igname et o sinon. L appartenance à une association est supposée affecter positivement l adoption des variétés améliorées d igname. Les perceptions paysannes de l efficacité de la nouvelle technologie proposée sont très souvent ignorées dans la plupart des études d adoption (Adégbola et 7

9 Gardebroek, 2007) alors que celles-ci sont très déterminantes dans la décision des producteurs (Adésina et Zinnah, 1993). La perception des producteurs sur les attributs des variétés améliorées d igname introduite est supposée affectée positivement leur décision d adopter. Il s agit des perceptions relatives au rendement, à la durée de cycle, à l aptitude à la transformation en cossettes et à la valeur marchande des variétés améliorées vulgarisées. 3. Données utilisées Les données utilisées dans cet article concernent la campagne agricole Les enquêtes ont été mises en œuvre dans dix villages répartis dans sept communes situées elles aussi dans deux départements (Tableau 1). Il s agit essentiellement des villages où les expérimentations sur les variétés améliorées d igname développées par l IITA (variétés TDr) ont été conduites de part le passé. Un certain nombre de producteurs d igname a été sélectionné de façon aléatoire. En effet, dans chacun des villages retenus, une liste des producteurs et productrices d igname avait été établie lors de la phase exploratoire avec des chefs de villages et/ou de certains leaders de la localité. Partant de cette liste et du nombre de producteurs à interviewer, l échelle d échantillonnage ou encore le pas 6 est calculé. Ensuite il est demandé à un enquêteur ou un des responsables ou leaders présents de choisir un chiffre. Ce chiffre constitue le premier producteur à enquêter. Le second est déterminé en additionnant le numéro du premier au pas déterminé. Le troisième, en additionnant le numéro du deuxième et le pas, ainsi de suite jusqu à la constitution de la liste des producteurs à interviewer. Le nombre d interviewés a varié d un village à un autre compte tenu de la disponibilité de ces derniers. Au total, un échantillonnage de 202 producteurs d igname a été interviewé. De ces 202 producteurs, 88 ont déclaré connaître au moins une variété TDr et 114 ne l ont pas été. Et parmi les informés, seulement 58 ont adopté l une au moins de ces variétés durant la saison L estimation des modèles comporte deux variables : information et adoption. La première est relative à la connaissance ou non d au moins une des variétés améliorées d igname TDr (KVAR) par les producteurs. La variable d adoption (ADOPVAR) quant à elle mesure si oui ou non le producteur a 6 Ce pas est déterminé en divisant le nombre de producteurs d igname à enquêter dans chaque village par le nombre total de producteurs d igname enregistré lors de la phase exploratoire. 8

10 cultivé durant la campagne au moins une des variétés TDr dont il a pris connaissance. Avant la spécification et l estimation de chaque modèle, les corrélations partielles entre les différentes variables explicatives ont été contrôlées afin de détecter d éventuel problème de multicollinéarité. 4. Résultats Dans cette section sont discutées d une part de la connaissance des variétés TDr et d autre part de leur adoption Connaissance des variétés améliorées d igname TDrs Plusieurs variétés améliorées d igname ont été rencontrées. Mais seules celles développées par l IITA et vulgarisées auprès des producteurs ont concerné cette étude. Il s agit des TDr 131 et TDr 205. L analyse de la connaissance de ces variétés par les producteurs a révélé qu en moyenne 44 % des enquêtés ont déclaré connaître au moins une variété améliorée TDr (Tableau 2). Ces variétés sont connues par 86 % des productrices interviewées contre seulement 42 % des hommes producteurs. La majorité des producteurs (76 % des cas) a accès à l information sur ces variétés améliorées par le biais de l Institut National des Recherches Agricoles du Bénin (INRAB). Ce dernier mène en effet la plupart de ses activités de sélection variétales en collaboration avec les producteurs. Les pairs constituent la deuxième source d information des producteurs interviewés (21 % des cas). Pour le moment, les activités d autres organisations (ONGs, projets, etc.) sur ces variétés restent limitées. Ce qui justifie le faible taux d information observé ; lorsque nous savons le nombre réduit de producteurs avec qui la recherche travaille au niveau d un village donné. S il est vrai qu à partir des champs de démonstration, d autres producteurs du village peuvent prendre connaissance des innovations existences, il ne l est moins que dans la zone d étude, surtout dans le Borgou, certaines pratiques culturelles limitent la diffusion des informations relatives aux variétés améliorées d igname. Ainsi, lors d une discussion de groupe à Soka (Sinendé), un producteur d igname nous confie qu «en milieu bariaba, tu ne peux aller visiter le champ d igname d un autre producteur sans que ce dernier ne t invite. Ce qui fait que même quand un producteur expérimente de nouvelles variétés, vous ne pouvez pas le savoir à moins 9

11 qu il vous le dit». Cette situation est de nature à ralentir le niveau de diffusion des informations sur l existence de telles variétés améliorées. Les résultats d analyse des facteurs déterminant l accès ou non des producteurs à l information sur les variétés d igname TDrs montrent que les principaux facteurs déterminant de l accès à l information sur les variétés améliorées d igname de l ITTA sont : la participation aux essais variétaux, l appartenance à une association de producteurs, le contact avec les projets et le revenu tiré de la production d igname (Tableau 3). Comme espérer, les producteurs expérimentateurs et ou ceux participant aux séances de restitution des résultats d expérimentation ont plus de chance d être informés des variétés améliorées d igname de l IITA. L appartenance à une association de producteurs d igname n a pas les signes espérés. Il ressort malheureusement des résultats de notre étude que l appartenance des producteurs à des associations/ groupements influence négativement leur probabilité de connaître les nouvelles variétés d igname. Alors que qu aucun problème d autocorrélation avec d autres variables incluses dans le modèle n est signalé (voir la matrice de corrélation en annexe). Ceci est d autant surprenant lorsque ces derniers affirment dans 76 % des cas qu ils se constituent en association pour bénéficier des formations diverses dans le domaine de la production d igname. Ceci est un indicateur qu entre producteurs d igname, les échanges sur l existence de nouveaux cultivars sont très peu menés. Par ailleurs, les revenus antérieurement tirés de la production d igname ont une influence positive et significative (à 10 %) sur la probabilité de connaître les variétés améliorées introduites Taux et déterminants d adoption des variétés améliorées d igname TDrs Les facteurs déterminant l adoption des variétés améliorées introduites, leur taux d adoption actuel et celui future sont les principaux éléments discutés dans la présente section Facteurs influençant l adoption des variétés améliorées d igname TDrs Les résultats d estimation du modèle de VI estimé (équation (4)) sont présentés au tableau 4. Le modèle est globalement significatif à 1 %. Afin de tester l indépendance des instruments utilisés (la participation aux expérimentations et le revenu tiré de la 10

12 production d igname l année passée) du terme d erreur du modèle estimé, le test de suridentification de Hansen a été établi. Le résultat permet de conclure que l hypothèse nulle selon laquelle les instruments utilisés ne sont pas corrélés avec le terme d erreur ne peut être rejetée au seuil de 10 % (P-value = 0,338). Notre modèle est donc correctement spécifié. Ces instruments sont aussi de valides instruments pour le modèle d adoption des variétés améliorées d igname IITA. En effet, la statistique C pour un tel test est égale à 0,019 et n est pas statistiquement différente de zéro (P-value = 0,892) ; Ce qui permet de confirmer l hypothèse nulle selon que les instruments utilisés sont valides. Les résultats montrent par ailleurs que la connaissance (information) des variétés améliorées d igname de l IITA par le producteur (impact positif et significative au seuil de 1 %), l âge du producteur (impact positif et significatif au seuil de 5 %), la perception sur l aptitude de ces variétés à la transformation en cossettes (impact positif et significatif à 10 %) et sur leur valeur marchande (impact positif et significatif à 1 %) sont les principaux déterminants de leur adoption Taux d adoption des variétés améliorées d igname TDrs Le taux d adoption des variétés améliorées d igname TDrs en 2007, après contrôle du biais de sélection et d information, est présenté au tableau 5. L estimation de ATE pour le taux d adoption pour toute la population est de 37 %. Lorsqu on se réfère uniquement aux informés actuels, le taux d adoption dans cette sous-population, ATE1, est de 62 %. On peut donc conclure que 62 % des producteurs informés des variétés améliorées de l IITA les ont adoptées en Taux d adoption des variétés améliorées d igname de l IITA en fonction du temps Le taux d adoption à long terme est de 65 %, ce qui représente à peu près deux fois le taux d adoption en Ce taux sera atteint cinq ans après c est-à-dire en 2012 (Figure 1). En d autres termes, à partir de 2012, 65 % de la population adopteraient les variétés améliorées TDr si leur diffusion était complète en La vulgarisation à grande échelle des variétés d igname TDr permettra d atteindre un tel taux d adoption. 11

13 5. Discussion Les taux et déterminants de l adoption des variétés améliorées d igname TDr ont été analysés. Les principaux facteurs susceptibles d affecter l adoption de ces variétés et identifiés à l aide d un modèle de variables instrumentales sont l accès à l information concernant ces variétés améliorées d igname, l âge du producteur, leur perception de l aptitude de ces variétés à la transformation en cossettes et de leur valeur marchande. Les signes de ces différentes variables qui affectent de façon significative l adoption sont en général conformes à ceux prédits. L accès à l information sur les variétés améliorées d igname de l IITA affecte positivement et significativement au seuil de 1 % leur adoption ; Ce qui n est pas surprenant car tant que le producteur n est pas exposé à ces variétés, il ne pourra les adopter (voir méthodologie). Une large vulgarisation de ces variétés contribuerait sans doute à l augmentation de leur taux d adoption. De même, l impact positif et significatif au seuil de 5 % de l âge du producteur stipule que la probabilité d adopter les variétés améliorées d igname TDrs est plus élevée chez les producteurs âgés que chez les jeunes. En d autres termes, plus le producteur grandit en âge, plus il acquiert des expériences 7 dans la production d igname ; Les avantages liés aux variétés améliorées pourront être bien cernés. Ce résultat est comparable à ceux de Sall et al. (2000) et Adégbola et Gardebroek (2007) selon lesquels les producteurs âgés adoptent plus facilement les technologies agricoles plus que les jeunes et l accumulation du capital ou de la terre joue un rôle important dans l adoption des innovations technologiques respectivement. Autres résultats intéressants obtenus dans cette étude est que la perception qu ont les producteurs des variétés améliorées de l IITA vulgarisées affecte n importe comment leur adoption. La perception des producteurs sur l aptitude à la transformation en cossettes et sur la valeur marchande des variétés introduites jouent un rôle déterminant dans leur adoption. Ces résultats sont en concordance d une part avec les prédictions faites sur les signes des variables incluses dans les modèles et d autre part avec ceux obtenus par Adegbola et Gardebroek (2007) pour l adoption des systèmes améliorées de stockage au Sud-Bénin. Les caractéristiques des variétés améliorées d igname TDrs jouent donc un rôle déterminant dans leur 7 L âge est un proxy du nombre d années d expérience dans une activité donnée 12

14 adoption comme l ont argumenté Adesina et Zinnah (1993) et Sall et al. (2000). Les perceptions du rendement et de la durée du cycle de production de ces variétés TDrs, malheureusement, ne déterminent pas de façon significative leur adoption. Le taux d adoption potentiel des variétés améliorées d igname TDrs est estimé à 37 %. Ce qui veut dire que 37 % des producteurs d igname adopteraient ces variétés améliorées introduites si l information les concernant était déjà généralisée 8 en Ce taux est supérieur à celui généralement calculé en considérant le taux simple d adoption dans l échantillon (29 % 9 ). Ce faisant, l évaluateur sous-estime le taux d adoption réel de la technologie. Les mêmes constats ont été faits par Diagne et Demont (2007) lorsqu il évaluait le teaux d adoption des variétés de riz NERICA. Le taux d adoption dans la sous-population des informés (ATE1) est de 62 %. Cette valeur de ATE1 est cependant supérieure à celle de ATE stipulant l existence d un gap d information estimé à 36 %. Ce biais se justifierait par le processus du choix des producteurs devant participer aux différentes sessions d expérimentation, la diffusion des variétés améliorées d igname se faisant à travers des essais participatifs. Ces essais sont réalisés avec des producteurs dits «expérimentateurs» qui ne sont que des habitués des expérimentations de nouvelles variétés. Et ce sont les mêmes qui sont souvent sollicités pour les essais sur les nouvelles variétés (ciblage du groupe cible). 6. CONCLUSION Cette étude a permis d estimer le taux et d analyser les facteurs d adoption et de diffusion des variétés améliorées d igname TDr développées par l IITA. Les facteurs déterminants la diffusion et l adoption de ces variétés ont été analysés. Ensuite, les taux d adoption actuels et futur ont été estimés. Les résultats montrent qu à l heure actuelle, les variétés améliorées TDr sont encore peu connues (44 % des enquêtés). Les informés sont des producteurs qui participent aux activités d expérimentation sur la sélection variétale avec la recherche, qui sont membres d une association de producteurs d igname, qui ont de contact avec les Organisations Non Gouvernementales et ou projets, et qui ont obtenu un revenu élevé de la production d igname les années antérieures. 8 Si tous les producteurs d igname sont au courant des variétés améliorées de l IITA 9 29=58*100/202 13

15 Le taux d adoption en 2007 est estimé à 37 % si la diffusion était complète en 2006 ; Alors qu elle n était que de 44 % stipulant que la diffusion de ces variétés améliorées est actuellement très limitée. Le taux d adoption à long terme est estimé 65 % et représente à peu près deux fois le taux d adoption en Ce taux sera rapidement atteint, cinq ans après, si la diffusion était complète en C est un taux d adoption potentiel qui pourra être atteint avec une vulgarisation à grande échelle de ces variétés. 14

16 Références Bibliographiques Adégbola, P. Y. ; C. L. Hinnou et S. A. Adékambi (2007). Production de l igname au Bénin. Revue documentaire. PAPA/INRAB, 26 pages Adégbola, Y. P. ; A. Arouna ; A. Diagne et S. A. Adékambi. (2006). Déterminants socio-économiques et taux d adoption et d intensité d adoption des nouvelles variétés de riz NERICAs au Centre-Bénin. Communication à l atelier régional de l ADRAO. Dar es salam, tanzanie, 31 Juillet au 04 Août 2006 Adégbola, Y. P. ; Adékambi, S. A. et Diagne, A. (2006). Diagnostic de base à la mise en œuvre du Projet de Diffusion du Riz NERICA. Rapport Etude de référence ; 45p Adégbola, Y P. et Gardebroek, The effect of information sources on technology adoption and modification decisions. Agricultural Economics 37 (2007): Adésina et Baidu-Forson (1996). Farmers perception and adoption of a few agricultural technology: evidence from analysis in Burkina-Faso and Guinea, West Africa. Agricultural Economics 13: pp 1-9. Adesina, A. A., Zinnah, M. M. (1993). Technology characteristics, farmers perceptions and adoption decisions: a Tobit model application in Sierra-Leone. Agric. Econ. 9, Al-Osh, M.; and A. A. Alzaid. (1987). First-Order Integer Valued Autoregressive (INAR(1)) Process. Journal of Time Series Analysis 8, no. 3: Bio Goura, S Etude diagnostic de la filière post-récolte de l igname au Bénin. LARES, p. 68. Diagne, A. (2006). Diffusion and adoption of NERICA rice varieties in Côte d Ivoire. The Developing Economics, XLIV-2: FAO Database (2000). Freeland, R. Keith, and Brendan P. M. McCabe Forecasting Discrete Valued Low Count Time Series. International Journal of Forecasting 20, no. 3: Heckman, J. (1996). Identification of causal effects using Instrumental Variables: Comments. Journal of the American Statistical Association, vol 91, N 434 (Jun., 1996); P5. Heckman J. and E. Vytlacil (2005), Structural Equations, Treatment E_ects, and Econometric Policy Evaluation, Econometrica, 73,

17 Imbens, G. and Angrist, J Identification and estimation of Local Average Treatment Effects, Econometrica, 62, IITA McKenzie, E. (1988). Some ARMA Models for Dependent Sequences of Poison Counts. Advances in Applied Probability 20: Ouédraogo, R. (2003). Adoption et intensité d utilisation de la culture attelée, des engrais et des semences améliorées dans le centre nord du Burkina. CEDRES, Université de Ouagadougou, Burkina Faso, p107. Rubin, D. (1974), Estimating Causal Effects of Treatments in Randomized and Nonrandomized Studies, Journal of Educational Psychology, 66, Sall, S., Norman, D., Featherstone, A. M. (2000). Quantitative assessment of improved rice variety adoption: the farmer s perspective. Agric. Syst. 66, Thangata, P. H. and Alavalapati, J. R. R. (2003). Agroforestry adoption in southern Malawi: the case of mixed intercropping of Gliricidia sepium and maize. Agric. Syst. 78, Zegeye, T., Tadesse, B., Tesfaye, S. (2001). Determinants of adoption of improved maize technologies in major maize growing regions of Ethiopia. Second National Maize Workshop of Ethiopia. November, 12-16, 2001, Ethiopia. Wooldridge, J. (2002). Econometric analysis of cross-section and panel data. The MIT press, Cambridge, Massachusetts, USA; p

18 Annexes Tableau 1 : Répartition des enquêtés par village Département Commune Village Effectif Bembèrèkè Ina 18 Borgou Tchaourou Guinirou 22 Koro 20 Sinendé Soka 23 Savè Gobé 28 Ogboèbalè 5 Glazoué Gomé 21 Collines Akpéro 22 Ouèssè Ouèssè 21 Dassa-Zounmè Miniffi 22 TOTAL 202 Tableau 2 : Connaissance de variétés améliorées d igname Echantillon Informer des variétés améliorées avant et en 2006 (%) 44 Femme 86 Homme 42 Nombre moyen de variétés améliorées connues 2,272 (1,452) Femme 1,667 (1,032) Homme 2,317 (1,473) Sources de connaissance des différentes variétés améliorées (%) INRAB 76 Paysan du village 21 Autres (PDRT, CeRPA, paysan d'un autre village, marché local, etc.) 3 Ecart-type entre parenthèses Tableau 3 : Résultats d estimation du model de connaissance des variétés améliorées d igname Paramètres Coefficients estimés Robust Erreur standard Constante -1,999** 0,874 EXPERIME 2,677*** 0,374 EDUC -0,074 0,231 LAGECM -0,106 0,168 MECAS -0,551** 0,242 PROJET 0,971*** 0,305 LREVPI06 0,142** 0,056 Log likelihood -84,989 Wald chi2(6) 67,72*** Pseudo R2 0,385 Pouvoir de prédiction correcte Total : 81,19 % Adoptant : 91,96 % Non adoptant : 76,76 % Observation 202 La variable dépendante est KVAR (informé=1 ou non=0 des variétés améliorées d igname de l IITA) ** signification à 5% ; *** signification à 1% 17

19 Tableau4 : Résultats d estimation du modèle d adoption Paramètres Coefficients estimés Robust Erreur standard Constance -0,453** 0,181 KVAR6 0,366*** 0,094 CONT 0,106 0,069 MECAS -0,003 0,028 LAGECM 0,113*** 0,044 EDUF -0,009 0,026 SEXE -0,003 0,053 LSUPANA -0,014 0,011 RENDEMEN -0,182 0,145 COSETE 0,092* 0,050 VALEURMA 0,495*** 0,169 DURCYCL 0,021 0,074 KDEDUC 0,098 0,073 KDEXNVAR 0,365*** 0,085 KDMECAS -0,087 0,069 KDPROJET -0,147* 0,075 F statistique Test Wald pour la signification simultanée des coefficients des variables d interaction (toutes les interactions=0) Statistique Hansen J (test de suridentification des instruments) Statistique C (exogenénéité/orthogonalité des instruments spécifiés) Observation 202 * signification à 10%; ** signification à 5% ; *** signification à 1% F (15 ;186) = 147,66*** chi2(4)=23,66*** 2 χ (21)=23,110 2 χ (1)= 0,019 18

20 Tableau 5 : Taux d adoption des variétés améliorées d igname en 2007 Paramètres estimés (%) ATE Ate 0,366*** 0,094 ate1 0,619*** 0,0378 Biais d'information (gap) -0,361*** 0,043 *** signification à 1% Erreur standard 0,7 0,6 Taux d'adoption (%) 0,5 0,4 0,3 0,2 0, Figure 1 : Adoption des variétés améliorées développées par l IITA en fonction du temps 19

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