N 29 25/08/2016. Ce qu'il faut retenir. Edition Aquitaine. Prairie. Vers blancs : Des attaques sur LESCUN et LHERS (64) Chenilles des prairies : RAS

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1 N 29 25/08/2016 Edition Aquitaine Bulletin disponible sur et sur le site de la DRAAF Recevez le Bulletin de votre choix GRATUITEMENT en cliquant sur : Formulaire d'abonnement au BSV Ce qu'il faut retenir Animateurs filières Céréales à paille Sylvie DESIRE / FDGDON 64 s.desire@pa.chambagri.fr Suppléance : ARVALIS a.carrera@arvalisinstitutduvegetal.fr Maïs Philippe MOUQUOT / CDA 33 p.mouquot@gironde.chambagri.fr Suppléance : FDGDON 64 / ARVALIS s.desire@pa.chambagri.fr a.peyhorgue@arvalisinstitutduvegetal.fr Oléagineux Claire MARTIN-MONJARET Terres Inovia c.monjaret@terresinovia.fr Prairie Vers blancs : Des attaques sur LESCUN et LHERS (64) Chenilles des prairies : RAS Ambroisie Prairies Patrice MAHIEU / CDA 64 p.mahieu@pa.chambagri.fr Directeur de publication Dominique GRACIET Président de la Chambre Régionale d'agriculture Aquitaine Limousin Poitou-Charentes Boulevard des Arcades LIMOGES Cedex 2 accueil@alpc.chambagri.fr Supervision DRAAF Service Régional de l'alimentation Aquitaine Limousin-Poitou-Charentes 22 Rue des Pénitents Blancs, LIMOGES Reproduction intégrale de ce bulletin autorisée. Reproduction partielle autorisée avec la mention «extrait du bulletin de santé du végétal Grandes cultures ALPC N X du J/M/2016» 1/7

2 Prairie Vers blancs L'herbe peut, particulièrement lors d'étés secs, donner l'impression de sécher sur pied. Et si c'était autre chose que le manque d'eau? Photo CA64 Août 2016 Les hannetons sont des insectes phytophages broyeurs. Il en existe différentes espèces, dont les larves, assimilables à de gros vers blancs, ont des effets voisins. Le cycle (3 stades larvaires) de ces insectes se déroule sur 1 ou 3 ans, selon l'espèce ; la plus commune, le hanneton commun, se développe ainsi en 36 mois, étalés sur 4 années civiles. Les adultes, quelle que soit l'espèce, ne sont nuisibles qu'occasionnellement (défoliations d'arbres fruitiers ou forestiers, en particulier le prunier, le chêne et l'érable). Les larves sont en revanche très polyphages, consommant aussi bien les racines des espèces prairiales que celles des arbres. L'ampleur des dommages dépend de la population larvaire, de la vigueur de la végétation et de la pluviométrie. Préférant particulièrement les zones de prairies à l'environnement boisé, les attaques de vers blancs se caractérisent, dans les cas les plus graves, par la destruction complète du système racinaire : le gazon, complètement desséché, se détache par plaques entières, voire disparaît, laissant la terre à nu. Les dégâts sont souvent importants, mais ponctuels. Le seuil de nuisibilité habituellement retenu pour les prairies est de 30 larves / m2 (de 20 à 50 larves, selon la vigueur de la prairie et l'état hydrique du sol, favorable ou non aux pontes) ; il est beaucoup plus faible pour les pépinières et cultures légumières : 4 à 5 larves / m2. 2/7

3 La présence de larves de hannetons est habituellement peu rapportée dans le département. Des dégâts dus à ces larves sont cependant signalés, de façon récurrente, à LESCUN. Ils s'étendent également au plateau de LHERS. EXEMPLE DU HANNETON COMMUN (Melolontha melolontha) Les prairies sont les principales cultures à supporter leurs attaques. Les adultes, qui ont passé l'hiver enterrés, sortent d'hibernation aux 1 ers beaux jours du printemps, entre mi-avril et début mai. Leur 1 er vol, dit préalimentaire, est dirigé vers des arbres pouvant être à plusieurs kilomètres. Pendant cette période de 2 à 3 semaines, les insectes s'alimentent des feuilles des arbres et s'accouplent. Suit le vol de ponte : les femelles quittent les arbres et s'envolent vers les prés alentours, où elles s'enfouissent 3 à 4 jours pour pondre à cm de profondeur. Après la ponte, les femelles ré-émergent et retournent dans les arbres se réalimenter et s'accoupler ; le cycle peut se répéter ainsi jusqu'à 3 fois, échelonnant les pontes jusqu en juillet. L'incubation des œufs demande environ 6 semaines. Puis les larves éclosent, et se développent jusqu'au retour du froid, mi-octobre, où elles migrent en profondeur pour hiberner. En année 2, les larves se réveillent avec le réchauffement du sol au printemps. Elles migrent alors vers la surface du sol, où se trouve leur "garde-manger de racines". Photos CA64 3/7

4 La 2 ème mue de leur cycle a lieu en juin, donnant naissance à des larves (L3) qui ont jusque l'automne pour constituer leurs réserves. Le retour du froid les fait redescendre dans le sol pour passer l'hiver. Au printemps suivant (année 3), ces gros vers blancs reprennent leur alimentation ; mais déjà bien pourvus en réserves, ils sont moins voraces que l'année précédente. Leur période d'activité, réduite à 2 mois avant la nymphose, est aussi plus courte. Parvenues à leur complet développement (juin), les L3 s'enfouissent et aménagent une loge où s'accomplit la métamorphose. En 2 mois, le hanneton adulte est formé ; il reste cependant dans sa loge nymphale jusqu'au printemps suivant ; un nouveau cycle peut alors recommencer (année 1). Cycle du hanneton commun Document UVED Les plus gros dommages sont donc le fait des larves en 2 ème année (L3), et dans une moindre mesure en 3 ème année. Ils sont périodiques, en lien avec le cycle triennal de l'insecte, et particulièrement visibles l'été, au pic d'activité des larves. Plus l'été de l'année qui suit celle des vols est sec, moins la végétation est capable de résister à leurs déprédations. Méthode de lutte Les hannetons ont quelques prédateurs : les fourmis, qui consomment les œufs, mais surtout les oiseaux (en particulier les étourneaux ), et quelques mammifères. Contrairement à une idée reçue, les taupes ne les consomment que peu, leur préférant les vers de terre. Blaireaux et sangliers en sont en revanche très friands. Comme les vols d'étourneaux, des dégâts récurrents de ces derniers sur prairies peuvent ainsi indiquer une forte présence de larves. Moyens de lutte phyto-sanitaires : le chimique et le biologique La lutte chimique peut être envisagée sur les populations adultes de hannetons, en année de vol, sur les lisières de bois où ils se regroupent ; les produits utilisables doivent avoir l'agrément «Traitements généraux, traitement des parties aériennes». Cependant, d'après certains auteurs (HORBER 1952, MURBACH 1956), ce ne serait vraiment efficace que si la mortalité des adultes dépasse les 95 % Cette solution n'est donc à envisager qu'en cas d'obligation absolue d'intervenir, et d'insuffisance des luttes agronomiques et biologiques (en cours de test : cf. plus loin). 4/7

5 Concernant les larves, en cas de pullulation, il n'existe à l'heure actuelle aucune «solution» phytosanitaire autorisée. Des tests sont en cours en France depuis quelques années, pour des biopesticides à base de moisissures (champignon genre Beauveria : le hanneton est sensible aux maladies fongiques) et de nématodes. Ces 2 organismes ont des modes d'action similaires : ils parasitent les larves qu'ils finissent par tuer. Le Beauveria est largement utilisé en Suisse, avec succès. Les résultats des tests obtenus l'an dernier, très bons, laissent augurer qu'un agrément pourrait être donné à ce type de produit d'ici 2-3 ans. Les conditions d'application du biopesticide à base de nématodes sont plus restreintes, ces derniers résistant moins bien que les champignons aux conditions sèches. Moyens de lutte agronomiques : le curatif et le préventif En cas de présence avérée, ne sont donc disponibles, pour limiter les dégâts, que la conduite de la prairie et la lutte mécanique : les hannetons femelles préfèrent en effet pondre dans une végétation rase, et les vers blancs sont très sensibles aux chocs et à la déshydratation. L'été, moment où les larves sont dans la couche superficielle du sol, est la période propice aux interventions mécaniques. L'emploi, de préférence en passages croisés, d'outils à disques ou à dents (animés ou non), occasionne alors une mortalité élevée. Le labour s'il est possible ou souhaité est, de même, particulièrement efficace, en particulier s'il est combiné à ces passages d'outils (source BIPESCO, Suisse). Le compactage du sol par piétinement du bétail peut aussi réduire la population, a priori toutefois avec moindre efficacité qu'un passage d'outil permettant de remonter les larves. Le «plombage» au rouleau lourd (jusqu'à 2 tonnes, rouleau plein d'eau) est utilisé en Nouvelle Zélande semble-t-il avec satisfaction, y compris pour contrôler les pontes. En résumé, les principales préconisations (d'après la FDGDON de Lorraine) : En année de vol (année 1) : - 1ère fauche ou mise à l'herbe tardive, pour freiner les pontes et laisser monter à graines - hauteur résiduelle de fauche : 7-8 cm - fertilisation faible (la fauche est tardive) - scarification début septembre, avant la descente des larves pour hivernage En année 2 : larves L3-1ère fauche précoce, pour préserver le couvert du dessèchement - fertilisation importante, pour fortifier le couvert et limiter les pertes - travail de remise en état en juillet août, en pleine journée et par temps chaud, pour détruire un maximum de larves et préparer le re-semis ou le sur-semis ultérieur - scarification début septembre, avant la descente des larves En année 3 (moindres dégâts des L3) - fauche et fertilisation : pas de recommandation particulière (les pratiques habituelles conviennent) - scarification possible, mais alors à faire avant l'été. Le re-semis de la prairie, à effectuer sur les zones attaquées, devra avoir lieu suffisamment tôt pour que le couvert soit bien développé avant l'hiver. 5/7

6 Avertissement Cirphis Réseau d'observation : Le relevé des pièges et le comptage de chenilles ont été effectués mardi. Des papillons ont été relevés à ARETTE (3), BIDARRAY (1) et ST PEE (1). Les conditions sèches actuelles ne facilitent pas l'observation des chenilles en pleine journée, chenilles qui, très probablement, doivent être en chrysalides dans la couche superficielle du sol. On peut cependant en retrouver, de façon anecdotique, au pied de graminées aux feuilles attaquées : par exemple à SARE ; larves de 10 à 15 mm ; densité inférieure à 5 larves / m2. De nombreuses traces (morsures et crottes) de présence avérée, anciennes maintenant, sont toujours bien visibles. A voir comment ces conditions sèches impacteront la 3ème génération à venir. Il est prudent de faire régulièrement le tour de vos prairies, dans le but d'y déceler des traces de la présence des larves, à savoir morsures sur les limbes de graminées et/ou crottes (au sol, en contrebas des herbes les plus consommées). Ces traces, même anciennes, seront une indication du "potentiel d'appétence" pour la génération suivante, et permettront la prise de mesures - fauche ou forte pression de pâture - en prévention. Effectuez ce relevé de préférence tôt le matin, avec la rosée ; les chenilles, si elles sont présentes, sont alors le plus actives. Il importe de les repérer dès le début de leur cycle. Tout traitement «préventif» est inutile, les chenilles n'ayant pas encore éclos. Les premiers stades larvaires (chenilles de taille inférieure à 15 mm) sont les plus sensibles au traitement sélectif par Bt ; sur des chenilles plus âgées, seuls une action mécanique (compaction par outil ou piétinement du troupeau) ou un traitement phytosanitaire «classique» (non sélectif) seront efficaces ; mais les chenilles auront eu le temps de consommer la prairie, au moins pour partie. Rappel : les seuils limites de nuisibilité - 10 larves / m2 si la croissance végétale est faible - 20 larves / m2 pour une croissance végétale plus soutenue. Dès que ces seuils sont atteints, des méthodes de lutte peuvent être mises en place pour sauvegarder les espèces fourragères de la prairie. Les chenilles sont les plus voraces entre 15 et 30 mm. 6/7

7 Ambroisie à feuille d armoise L'ambroisie à feuilles d'armoise (Ambrosia artemisiifolia L.) est une plante annuelle dont le pollen, émis de fin juillet à octobre, est très allergisant pour l'homme. La plante adulte mesure en moyenne de 30 à 100 cm et peut atteindre jusqu'à 2 m en culture. Elle dispose d'une racine principale pivotante, d'une tige rougeâtre, robuste et fréquemment ramifiée dès la base. Aidez-nous à la repérer! Opération «Signalement AMBROISIE» Du 25 Juin au 10 septembre 2016 Contribuez à la réalisation d une carte des Ambroisies Inscrivez-vous sur le site Adressez une photo géolocalisée depuis votre Smartphone Les structures partenaires dans la réalisation des observations nécessaires à l'élaboration du Bulletin de santé du végétal d'aquitaine Limousin Poitou-Charentes Grandes cultures sont les suivantes : Act'Agro, AREAL, ARVALIS Institut du Végétal, ASTRIA64, CDA 24, CDA 33, CDA 40, CDA 47, CDA 64, CETA de Guyenne, Terres Inovia, Terres conseils, Ets Sansan, Euralis, FDGDON 64, FREDON Aquitaine, GRCETA SFA, Groupe Maïsadour, La Périgourdine, Lur Berri, SCAR, Sodepac, Groupe Terres du Sud, Viti Vista Ce bulletin est produit à partir d'observations ponctuelles réalisées sur un réseau de parcelles. S'il donne une tendance de la situation sanitaire régionale, celle-ci ne peut pas être transposée telle quelle à chacune des parcelles. La Chambre Régionale d'agriculture Aquitaine - Limousin - Poitou-Charentes dégage donc toute responsabilité quant aux décisions prises par les agriculteurs pour la protection de leurs cultures. Celle-ci se décide sur la base des observations que chacun réalise sur ses parcelles et s'appuie le cas échéant sur les préconisations issues de bulletins techniques (la traçabilité des observations est nécessaire). " Action pilotée par le Ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de l'eau et des milieux aquatiques, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto ". 7/7

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