,QLWLDWLYHVSULVHVSDUOD&RPPLVVLRQHQ PDWLqUHGHWUDQVSDUHQFHHW GLQIRUPDWLRQ
|
|
- Théodore Raymond
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ,QLWLDWLYHVSULVHVSDUOD&RPPLVVLRQHQ PDWLqUHGHWUDQVSDUHQFHHW GLQIRUPDWLRQ,QWURGXFWLRQ Le Traité de Maastricht 1, ainsi que les Conseils européens de Birmingham, d'edimbourg et de Copenhague qui ont suivi sa signature, ont mis en relief la nécessité d'assurer une plus grande transparence dans le travail des institutions de l'union afin de rapprocher les institutions des citoyens, et plus particulièrement : - de stimuler des débats sur les questions communautaires d actualité et sur l avenir de l Europe ; - d'améliorer la participation du public au processus de prise de décision ; - de renforcer le caractère démocratique des institutions ainsi que la confiance des citoyens en l'administration européenne, en leur garantissant une possibilité de contrôler ses actions. A cet effet, les institutions de l'union ont pris toute une série de mesures pour accroître la transparence de leurs travaux et se rapprocher ainsi de leurs citoyens. Celles-ci ont été confirmées dans la déclaration interinstitutionnelle du 25 octobre 1993 sur la démocratie, la transparence et la subsidiarité. Ces mesures viennent compléter les actions menées par la Commission en matière d'information et de communication, destinées à informer les citoyens en général, ou dans certains cas un public-cible, sur le fonctionnement des institutions et les politiques menées sur le plan communautaire. Ces différentes initiatives sont décrites en annexe. 1 La Déclaration N 17 figurant dans le Traité de Maastricht relative au droit d'accès à l'information stipule que "La conférence estime que la transparence du processus décisionnel renforce le caractère démocratique des institutions, ainsi que la confiance du public envers l'administration. En conséquence, la conférence recommande que la Commission soumette au Conseil, au plus tard en 1993, un rapport sur des mesures visant à accroître l'accès du public à l'information dont disposent les institutions." Rue de la Loi 200, B-1049 Bruxelles - Belgique - Bureau: N-9 02/11. Téléphone: ligne directe (+32-2) , standard Télécopieur: Télex: COMEU B Adresse télégraphique: COMEUR Bruxelles.
2 ,QYHQWDLUHGHVDFWLRQVPLVHVHQ XYUHSDUOD&RPPLVVLRQDXWLWUHGHODWUDQVSDUHQFH $ &RQVXOWDWLRQpODUJLHGHVPLOLHX[LQWpUHVVpVHWSDUWLFLSDWLRQDFFUXHjODSULVHGHGpFLVLRQ Les mesures lancées par la Commission ont pour principal objectif de rendre plus transparente et plus accessible la phase de préparation des propositions et décisions, et de faire en sorte que les services envisagent, au stade le plus précoce possible, d'encourager un débat public utile à leurs travaux, en donnant à toutes les parties intéressées des possibilités accrues de faire connaître leur opinion. La Commission définit les priorités politiques qui doivent gouverner son action GDQV OH SURJUDPPH GH WUDYDLO DQQXHO. A cette occasion, elle identifie les principales initiatives qu elle compte entreprendre pour réaliser ses priorités, notamment dans le domaine législatif. Le programme est présenté et largement diffusé suffisamment à l avance pour permettre un large débat avant le début de l année d application. L expérience des années récentes démontre que sa diffusion par le biais d Internet, sur le serveur EUROPA, a amélioré la facilité d accès et la proximité aux citoyens par rapport à la publication au Journal Officiel. Dans le cadre de l exercice de son droit d initiative pour la réalisation des actions prévues dans le programme de travail, la Commission a continué son effort G DPpOLRUHU O RUJDQLVDWLRQ HW OD WUDQVSDUHQFHGHVWUDYDX[SUpSDUDWRLUHVQRWDPPHQWGXSURFHVVXVOpJLVODWLI. A cette fin, d une part, des documents à caractère consultatif, tels que les Livres verts, ont donné la possibilité aux parties intéressées de faire connaître leur opinion sur des sujets particuliers. Un Livre vert dont il faut dans ce contexte particulièrement souligner la publication est celui relatif à l'information émanant du secteur public dans la société de l'information, adopté par la Commission le 20 janvier D autre part, la publication des communications diverses sur des thèmes stratégiques ou de réflexion et des documents de programmation législative ou d action à moyen terme, comme les Livres blancs et les programmes-cadres, ont eu pour effet de rendre les objectifs d action de la Commission plus clairs et mieux structurés, dans un cadre politique plus cohérent. En troisième lieu, en matière d action de la Commission d une grande envergure, telle que la préparation du nouvel élargissement, des communications globales ont été présentées concernant l ensemble des politiques communautaires et des mesures dont l application effective s étend sur plusieurs années. Le cas le plus récent est celui de l Agenda
3 1. Dialogue avec les groupes d'intérêt Les groupes d'intérêt dans le sens le plus large sont les interlocuteurs directs de la plupart des services de la Commission. Ils servent non seulement comme relais pour informer leurs membres des travaux de la Commission mais également pour canaliser le point de vue de ceux-ci. Leur participation, qu'elle soit assurée par des organisations d'employeurs ou d'employés, des associations industrielles ou professionnelles, des groupes d'intérêt ou encore des représentants de l'industrie ou du commerce, est organisée d'une façon décentralisée. La prise en compte du point de vue des parties concernées dans la préparation de décisions de la Commission est un moyen important de renforcement du caractère démocratique du processus de décision, et constitue un mécanisme d'équilibre dans le système politique communautaire. Depuis la publication de la Communication de la Commission intitulée "Un dialogue ouvert et structuré entre la Commission et les groupes d'intérêt" du 2 décembre , la Commission a veillé à développer les instruments qu'elle préconisait : 8Q UpSHUWRLUH GHV JURXSHV GLQWpUrW VDQV EXW OXFUDWLI. La plupart des services de la Commission tiennent des listes d'organisations dans leur secteur qu'elles consultent régulièrement dans le cadre d'une préparation de législation. L'objectif de la rédaction de ce répertoire était de regrouper et compléter ces liste afin de fournir un répertoire le plus complet possible des groupes d'intérêt sans but lucratif au niveau pan-européen. Elaboré sur une base volontaire, ce répertoire n'est pas un moyen d'enregistrement mais un outil de travail et d'information pour les fonctionnaires qui entendent consulter sur la base la plus large possible. Une première publication a vu le jour en 1997 regroupant 600 groupes constitués à l'échelle communautaire ainsi que leurs membres nationaux. En 1998, la version papier a fait place à une version électronique regroupant cette fois 800 groupes et intégrée dans un site web consacré aux relations entre la Commission et les groupes d'intérêt disponible sur EUROPA+ et EUROPA. 8Q V\VWqPH GDXWRUpJXODWLRQ qui invite les groupes d'intérêt à élaborer volontairement des codes de conduite respectant certains critères minimaux établis par la Commission dans sa Communication. Plusieurs organisations de consultants dans le secteur des Affaires publiques ont adopté un même code de conduite calqué sur ces critères minimaux. Les signataires de ce code, tantôt des sociétés, tantôt des individus, sont environ une centaine. Ce code et la liste des signataires sont également disponibles sur le site. Une réunion annuelle avec ces derniers se tient à la Commission en vue d'améliorer les relations réciproques. 'URLWVHWREOLJDWLRQVGXSHUVRQQHOGHOD&RPPLVVLRQ Les règles de déontologie émises dans le Statut des fonctionnaires de la Commission ont été à plusieurs reprises rappelées à l'ensemble du 2 JO C63 du 5 mars
4 personnel de la Commission. Un code de conduite visant à renforcer le comportement éthique des fonctionnaires sera adopté dans les prochains jours. 4
5 Un chapitre de ce code concerne plus spécialement les relations des fonctionnaires de la Commission avec le public, répondant ainsi à la demande du Médiateur européen du 17 novembre Dialogue avec les citoyens et les entreprises Lors du Conseil européen de Cardiff, un "Dialogue permanent avec les citoyens et les entreprises" a été inauguré, avec pour objectif d'établir une communication directe avec les citoyens et les entreprises par le biais de différents moyens : guides, fiches et site Internet 4. Grâce à ce dialogue permanent, les citoyens et les entreprises peuvent trouver des informations pratiques sur leurs droits et la manière de les exercer dans les différents Etats Membres. Ils peuvent également faire part de leurs expériences afin d'identifier les lacunes du Marché intérieur et permettre l'amélioration de son fonctionnement. Dans ce cadre, la Commission a récemment ouvert sur Internet un guichet unique destiné aux entreprises souhaitant en savoir plus sur les règles du Marché unique et sur les possibilités qu'il offre. Cet outil pratique et disponible dans les onze langues de l'union européenne peut être utilisé gratuitement par les entreprises, notamment les PME, pour obtenir une réponse à de nombreuses questions concrètes, car il constitue une passerelle vers des données, renseignements et conseils en provenance de nombreuses sources existantes. Par exemple, le guichet Internet donne directement accès à plus de 230 Euro-Info-Centres. Il permet également d'accéder gratuitement et directement aux avis de marchés publics publiés dans la base de données TED, et aux points de contact pour les citoyens et les entreprises mis en place dans les administrations des Etats Membres pour résoudre les problèmes liés au Marché unique. % 0HLOOHXUHDFFHVVLELOLWpGHODOpJLVODWLRQFRPPXQDXWDLUH 5 1. Simplification de la législation existante Le processus de simplification a été mis sur les rails par les Conseils européens d Edimbourg (décembre 1992) puis de Bruxelles (décembre 1993), et a continué ensuite à un rythme soutenu. Des pans entiers de législation communautaire ont fait l objet d initiatives de simplification de la Commission 6. 3 Own initiative inquiry Code of good administrative behaviour. 4 A noter à cet égard les conclusions du Conseil européen de Cardiff, qui "se félicite de l'utilisation d'internet par la Commission pour promouvoir un dialogue effectif avec les citoyens et les entreprises au sujet de leurs droits dans le Marché unique et des perspectives qu'il leur offre." 5 Voir le rapport de la Commission au Conseil européen: "Mieux légiférer Une responsabilité à partager" (COM/98/715 Final). 6 Pour une description plus détaillée, voir les derniers rapports annuels de la Commission au Conseil européen "Mieux légiférer", CSE/95/580, CSE/96/7, COM/97/626 et COM/98/715. 5
6 Trois initiatives d envergure sont à signaler : L initiative 6/,0 (Simplifier la législation relative au Marché intérieur), lancée en 1996, repose sur une méthode de simplification innovatrice qui associe au sein de petites équipes présidées par la Commission, quelques experts des administrations nationales et un nombre équivalent des représentants des milieux économiques utilisateurs de la législation. L initiative SLIM s est articulée jusqu à présent en quatre phases, qui ont conduit à l adoption par la Commission de plusieurs propositions de simplification dans les domaines identifiés. La quatrième phase de cette initiative vient d'être lancée. La Task Force %(67 créée suite aux conclusions du Conseil européen d Amsterdam en vue de la simplification de l environnement réglementaire des PME a formulé des recommandations précises auxquelles la Commission a donné suite dans une Communication et un Plan d actions 7. Il convient aussi de mentionner que le %86,1(667(673$1(/, qui permet à la Commission de tenir compte de l'avis des opérateurs économiques sur les contraintes administratives et les coûts d'application de la nouvelle législation, s'est démontré un instrument efficace à développer. 2. Amélioration de la qualité rédactionnelle des textes La législation communautaire doit être conçue avec des objectifs de clarté et de cohérence, et dénuée de toute ambiguïté. Sa compréhension par les citoyens et les entreprises en dépend. Cet objectif est d autant plus important compte tenu des contraintes du multilinguisme qui peut entraîner des divergences d interprétation. Pour donner suite à la Déclaration N 39 annexée à l acte final du Traité d Amsterdam, la Commission, le Conseil et le Parlement européen ont adopté en un accord comportant des lignes directrices sur la qualité rédactionnelle de la législation communautaire. Celui-ci prévoit 22 règles de rédaction des actes législatifs ainsi que des mesures d organisation interne à prendre par chaque institution pour en assurer la mise en œuvre effective. Ces mesures tendent notamment à créer, à l'intérieur des institutions, des conditions qui inciteront les auteurs d'actes juridiques à viser une meilleure qualité rédactionnelle. La nouvelle approche sera renforcée, tant par des actions de formation dans le domaine de la légistique formelle, que par le développement de logiciels permettant la génération automatisée de modèles d'actes dans toutes les langues officielles. LegisWrite, le support logistique de l'initiative Greffe 2000, constitue déjà la mise en oeuvre de cette orientation. 3. Codification, refonte et consolidation de la législation communautaire La Commission a entrepris depuis plusieurs années des travaux de FRGLILFDWLRQ de la législation, malgré les nombreuses difficultés existantes (multilinguisme, normes en constante évolution qui demandent des modifications multiples). 7 COM/98/ Bull
7 La Commission utilise également la technique de la UHIRQWH, qui pourrait constituer à l avenir une alternative intéressante à la codification dans les nombreux cas où des nouvelles modifications de fond sont nécessaires. Un accord interinstitutionnel pour permettre un recours plus structuré à cette technique législative est en préparation. Parallèlement, la Commission procède, pour répondre aux besoins des professionnels et des utilisateurs du droit communautaire, à la FRQVROLGDWLRQ des textes législatifs. Il s agit d une opération de nature informative, sans effets juridiques, destinée à faciliter l'accès à la législation. Cette technique a donné jusqu à présent des résultats très positifs. 4. Meilleur accès à la législation communautaire Afin d'assurer un accès le plus large possible au droit communautaire, la Commission s'efforce d'utiliser pleinement les nouvelles technologies de l'information, notamment en diffusant l'information via le serveur EUROPA sur Internet. Elle affiche ainsi par exemple sur le site EUR- Lex, dans les 11 langues officielles des Communautés, le texte des Traités, la législation communautaire en vigueur, et la jurisprudence. Sont également disponibles gratuitement sur ce site pendant une période de 45 jours suivant la publication les séries C et L du Journal Officiel. Le système de documentation inter-institutionnel sur le droit communautaire CELEX est par ailleurs également disponible via le serveur EUROPA, ainsi que la base SCAD+, qui assure principalement le suivi des travaux législatifs relatifs au parachèvement du Marché intérieur et du développement de ses politiques d'accompagnement. Depuis peu, l'opoce offre également via EUDOR - European Union Document Delivery Service - notamment les séries C et L du Journal Officiel, les documents COM, ou encore les textes consolidés de la législation communautaire. & 2FWURLDXSXEOLFG XQDFFqVDX[GRFXPHQWVLQWHUQHVGHVLQVWLWXWLRQV L'une des mesures-clés prises par la Commission dans le contexte de la politique de transparence concerne l'accès du public à ses documents, dont la mise en oeuvre depuis son entrée en application en 1994 fait l'objet de la présente communication. ' (QJDJHPHQWVLQWHUQDWLRQDX[ Sur la scène internationale également, la Communauté a montré son engagement à l'égard du principe de transparence, en signant la Convention CEE/NU sur l'accès à l'information, la participation du public et l'accès à la justice dans le domaine de l'environnement à la Conférence inter-ministérielle d'aarhus, au Danemark, les juin L'importance de cette Convention réside dans le fait qu'il s'agit du premier instrument juridiquement contraignant de cette nature s'appliquant de manière spécifique aux institutions européennes. 7
8 'HVFULSWLRQ GHV DFWLRQV PHQpHV SDU OD &RPPLVVLRQ HQ PDWLqUH GLQIRUPDWLRQ HW GH FRPPXQLFDWLRQ $ (XURSH'LUHFW La Commission a mis sur pied un nouveau service, "EUROPE DIRECT", avec pour objectif d offrir aux citoyens qui veulent poser des questions sur l'union européenne un guichet unique. Ce service peut être joint via des lignes téléphoniques gratuites, , fax et courrier, et est accessible à partir de tous les Etats Membres et dans toutes les langues communautaires. Les réponses sont fournies directement ou au maximum endéans 3 jours ouvrables. % &RQWDFWVDYHFOHVFLWR\HQVHWDYHFODSUHVVH Outre les journées "portes ouvertes" organisées annuellement, des groupes de citoyens sont également invités à visiter la Commission européenne et à obtenir de l'information aussi bien sur des sujets généraux que spécifiques. Un contact direct avec le public s'instaure aussi via les discours de conférenciers dans les Etats Membres (Team Europe et Groupeuro), et via la participation de l'union européenne à des conférences et expositions. Quant aux contacts avec les 800 journalistes accrédités à Bruxelles, ils s'établissent lors des conférences de presse quotidiennes, organisées par le Service du Porte-Parole, et via la diffusion des communiqués de presse, par ailleurs disponibles sur le site RAPID sur EUROPA. & &DPSDJQHVGLQIRUPDWLRQ Dans le cadre du programme PRINCE, trois campagnes d'information prioritaires ont été lancées à destination du grand public : la campagne "Construire l'europe ensemble", qui a ouvert le débat avec les citoyens sur les défis actuels posés par l'intégration européenne, tout en accordant la priorité à l'information des femmes et des jeunes. La Commission a également dans ce contexte financé plusieurs centaines de projets en partenariat avec la société civile et les Etats Membres ; la campagne "Citoyens d'europe", qui a permis de mieux faire connaître aux citoyens européens leurs droits à l'intérieur du Marché unique, en particulier pour vivre, étudier, voyager et faire des achats dans les différents Etats membres. Cette campagne a été suivie de l'initiative "Dialogue permanent avec les citoyens et les entreprises" ; et la campagne "L'EURO, une monnaie pour l'europe", destinée à préparer et informer les citoyens et les entreprises à l'introduction de la monnaie unique. Des partenariats ont été conclus avec les Etats Membres participant à l'euro, dans le but d'apporter un soutien à des programmes d'information nationales. 8
9 ',QIRUPDWLRQGpFHQWUDOLVpHUHODLVGDQVOHV(WDWV0HPEUHV Afin de mettre en œuvre le principe de subsidiarité et de proximité, la Commission a poursuivi sa politique de décentralisation de l'information en octroyant un rôle plus important à ses différents relais, réseaux et structures d'information locales, coordonné par ses Représentations dans les Etats Membres. Le nombre d'info-points, de carrefours ruraux et de Centres de documentation s'est considérablement accru, afin de fournir de l'information de façon plus proche aux citoyens européens sur l'union européenne. Aujourd'hui, de plus en plus de citoyens ont accès à l'information sur l'union près de leur domicile ou leur lieu de travail. Environ relais d'information existent à ce jour. ( 0R\HQVGHGLIIXVLRQGHOLQIRUPDWLRQOHVHUYHXU(8523$HWOHVSXEOLFDWLRQV Le développement des nouvelles technologies de communication électronique implique que la diffusion d'informations via Internet joue de plus en plus un rôle central. Le serveur EUROPA, coordonné et géré par les services de la Commission, fournit de l'information de toutes les institutions de l'union européenne dans les 11 langues communautaires. Il s'agit-là d'un instrument essentiel de dialogue entre la Commission et les citoyens : ainsi par exemple le répertoire des fonctionnaires des différentes institutions européennes qui y figure, ainsi que les répertoires par Direction Générale, permettent aux citoyens de prendre contact directement avec les fonctionnaires en charge d'un dossier. Le succès d'europa est considérable : plus de 50 millions de consultations par mois. Il faut également mentionner ici l'importance du serveur EUROPA+, Intranet de la Commission : une approche plus cohérente vis-à-vis de l'extérieur est en effet conditionnée par un flux régulier et à jour d'informations à l'intérieur, ce qu'offre ce serveur interne. En parallèle, la Commission a mené à bien une série d'actions visant à améliorer la diffusion de l'information via ses publications, en collaboration étroite avec l'opoce : publication hebdomadaire dans le JO de listes de documents consacrés aux sujets généraux, accès accru aux documents à caractère sectoriel, publication plus rapide des documents de la Commission dans toutes les langues, établissement d'une liste des études effectuées, révision des programmes de publication, etc. $FWLRQVHQFRXUV Outre la consécration de la notion de transparence dans le Traité d'amsterdam, les conclusions du &RQVHLO HXURSpHQ GH &DUGLII rappellent la nécessité de "rapprocher l'union des citoyens en la rendant plus transparente, plus compréhensible et plus proche de la vie quotidienne". Elles précisent également que "la Commission, le Conseil et le Parlement européen devraient préparer la mise en œuvre rapide des nouvelles dispositions d'amsterdam sur la transparence". Dans le même esprit, les conclusions du Conseil Affaires Générales des 6 et 7 décembre 1998 soulignent l'importance des activités d'information en vue de rapprocher l'europe de ses citoyens. De plus, ces conclusions reconnaissent le rôle central de la Commission pour promouvoir la coopération interinstitutionnelle dans le domaine de l'information concernant l'union européenne, et pour l'établissement de mécanismes d'échanges d'expériences avec les Etats Membres. 9
10 La nécessité d'améliorer la transparence des travaux des institutions européennes est également soulignée dans le rapport du Parlement européen consacré à cette problématique 9. Dans ce contexte, l'objectif de la Commission est de faire en sorte que les citoyens soient mieux informés sur ce qui les intéresse directement, et soient en mesure de donner leur avis sur ce qui est en cours de préparation. A cet effet, il convient que la Commission développe ses actions en vue de mener une politique d'information conviviale, qui réponde aux attentes des citoyens, et d'améliorer la qualité de ses campagnes d'information, en affinant leurs objectifs. Un effort tout particulier d'information à l'égard des nouveaux pays adhérants sera poursuivi, notamment en intensifiant la diffusion décentralisée de l'information. Il faut aussi mentionner que les possibilités qu'offriront à l'avenir les nouvelles technologies en termes de synergie entre EUROPA et Europe Direct, les retransmissions télévisées sur "Ebs", etc. devront être explorées de près. En outre, il est indispensable de poursuivre la politique d'ouverture déjà mise en place à ce jour ainsi que d'améliorer l'établissement et l exécution du programme de travail de la Commission, notamment en lançant une série d'initiatives suivant les orientations suivantes : sensibilisation à l importance de la transparence au sein des services de la Commission, notamment via la formation des nouveaux fonctionnaires ; il est en effet indéniable qu'une bonne transparence à l'égard de l'extérieur passe par une bonne transparence à l'intérieur des services mêmes de la Commission ; amélioration des contacts directs avec les citoyens par la mise en œuvre du code de conduite des fonctionnaires dans leurs relations avec le public ; poursuite des efforts visant à la simplification et la clarification des textes communautaires, ainsi que la consolidation et la codification de la législation communautaire ; intensification de la diffusion sur EUROPA des informations sur le processus décisionnel, et notamment sur : - ce qui a été réalisé (y compris la législation adoptée et les travaux préparatoires) ; - ce qui est en cours (y compris le calendrier des travaux avec indication de la situation d'une proposition dans le processus législatif, du service responsable, et d'un point de contact) ; - ce qui est prévu et programmé ; amélioration de la publicité ex ante et ex post sur les subventions, ce qui implique notamment : - des mesures telles que la mise en œuvre du vade-mecum sur les subventions visant à augmenter la population des bénéficiaires potentiels en disposant de procédures d'octroi plus cohérentes; - la diffusion de l'information sur les programmes existants aux bénéficiaires potentiels des subventions dans une forme plus conviviale (mise à jour du Guide Aides et Prêts, regroupement des informations des directions générales sur un webpage unique); - une meilleure diffusion de l'information ex post sur les subventions accordées (noms des bénéficiaires, montants etc.). 9 Rapport de Mme LÖÖW sur la transparence dans l'union européenne. 10
11 plus grande transparence et meilleure information dans certains domaines encore trop opaques, dont principalement : - les travaux des comités "comitologie" ; - les travaux des comités et groupes d'experts de la Commission 10 ; mise en œuvre du nouvel Article 255 du TCE relatif à l'accès aux documents des institutions. 10 A ce jour, la liste des membres des comités consultatifs créés par la Commission est toutefois déjà publiée au Journal Officiel. 11
DES GOUVERNEMENTS DES ETATS MEMBRES Secrétariat CONF 3980/96
CONFERENCE DES REPRESENTANTS DES GOUVERNEMENTS DES ETATS MEMBRES Secrétariat CONF 3980/96 Bruxelles, l (OR.dk) LIMITE NOTE DE TRANSMISSION Objet : Protection des consommateurs Les délégations trouveront
Plus en détailLe cadre européen des certifications pour l éducation et la formation tout au long de la vie (CEC)
Cadre européen des certifications Le cadre européen des certifications pour l éducation et la formation tout au long de la vie (CEC) Europe Direct est un service destiné à vous aider à trouver des réponses
Plus en détailLIBRE CIRCULATION DES MARCHANDISES
LIBRE CIRCULATION DES MARCHANDISES La libre circulation des marchandises, la première des quatre libertés fondamentales du marché intérieur, est garantie par la suppression des droits de douane et des
Plus en détailConclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients
Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,
Plus en détailDOCUMENT DE CONSULTATION
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation
Plus en détailDECLARATION ISO/CEI SUR LA PARTICIPATION DES CONSOMMATEURS AUX TRAVAUX DE NORMALISATION
ISO/CEI/GEN 01:2001 DECLARATION ISO/CEI SUR LA PARTICIPATION DES CONSOMMATEURS AUX TRAVAUX DE NORMALISATION Avant-propos Parallèlement à l'essor rapide du commerce international des biens et services,
Plus en détailDepuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés.
Pôles de stages Mise en place dans les académies de pôles de stages NOR : MENE1505070C circulaire n 2015-035 du 25-2-2015 MENESR - DGESCO A2-2 Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie Que ce
Plus en détailEUROPE-INTERNATIONAL. Isabelle Compagnie Chef du Service International Union des Villes et Communes de Wallonie
Les communes sur la scène européenne Après vous avoir présenté le programme citoyen "L Europe pour les citoyens" dans le Mouvement communal de mai 2007, nous vous présentons, ci-dessous, l ensemble des
Plus en détailF RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur
F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S sur L AVANT-PROJET DE PLAN D ACTION EN MATIERE DE RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES EN BELGIQUE *** 2 Dans sa lettre du 10 juillet
Plus en détailCOMMISSION EUROPÉENNE
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, 13.03.2014 C(2014) 1606 final VERSION PUBLIQUE Ce document est publié uniquement pour information. Objet: Aide d'etat n SA.38110 (2014/N) France Régime cadre d'interventions
Plus en détailLa Constitution européenne
La Constitution européenne "Le Parlement européen approuve la Constitution et appuie sans réserve sa ratification"(*): elle éclaire la nature et les objectifs de l'union, renforce son efficacité et son
Plus en détailConclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne
Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 9 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne
Plus en détailLes membres sont invités à prendre note des modifications proposées et à faire part de leurs observations éventuelles.
COMMISSION EUROPÉENNE DG Marché intérieur INSTITUTIONS FINANCIÈRES Assurance MARKT/2519/02 FR Orig. EN Bruxelles, le 27 septembre 2002 MARKT/C2/MAAT D(2002) NOTE AUX MEMBRES DU SOUS-COMITE SOLVABILITE
Plus en détailBANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST ---------------------- DEPARTEMENT DES ETUDES ECONOMIQUES ET DE LA MONNAIE ----------------------
BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST ---------------------- DEPARTEMENT DES ETUDES ECONOMIQUES ET DE LA MONNAIE ---------------------- Direction de la Recherche et de la Statistique APPUIS
Plus en détailGUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES
REPUBLIQUE FRANÇAISE PREMIER MINISTRE Secrétariat Général de la Défense Nationale N 730/ SCSSI Issy-les-Moulineaux, le 13 janvier 1997 GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS
Plus en détailConclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable
COSEIL DE L'UIO EUROPÉEE Conclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable Conseil ÉDUCATIO, JEUESSE, CULTURE ET SPORT Bruxelles, 21 mai 2014 Le Conseil
Plus en détailLES BANQUES DE DONNÉES INSTITUTIONNELLES DE L'EUROPE OU L'INFORMATION POUR TOUS?
83 DE L'EUROPE OU L'INFORMATION POUR TOUS? Cet article est destiné aux professeurs en sciences économiques et sociales, aux professeurs d'histoire et de géographie, aux professeurs de droit dans les classes
Plus en détailLe tableau comparatif suivant reprend les principaux articles concernant le monde de l édition.
Rapport Reda, tableau comparatif Le tableau comparatif suivant reprend les principaux articles concernant le monde de l édition. Alors que Julia Reda appelait à une harmonisation hâtive et à un élargissement
Plus en détailLa création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude:
RÉSUMÉ Contexte de l étude Le 4 septembre 2003, le Parlement européen a adopté une résolution contenant des recommandations à la Commission sur les langues européennes régionales et moins répandues les
Plus en détailFÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES
FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES 26, boulevard Haussmann 75311 Paris Cedex 09 Téléphone : 01 42 47 90 00 - Télécopie : 01 42 47 93 11 - Internet : http://www.ffsa.fr 12 juillet 2007 Observations
Plus en détailFiche de l'awt Qu'est-ce qu'un Intranet?
Fiche de l'awt Qu'est-ce qu'un Intranet? Présentation d'une ressource technologique indispensable aux entreprises: définition, utilité, composants, facteurs de réussite et schéma explicatif Créée le 15/04/00
Plus en détailORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE
Distribution limitée IFAP-2008/COUNCIL.V/3 4 février 2008 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Conseil intergouvernemental du Programme Information
Plus en détailCompte-rendu des ateliers
FORUM DE DÉVELOPPEMENT SOCIAL LOCAL 2010 2 E rencontre citoyenneté Compte-rendu des ateliers La 2e rencontre du Forum a abordé le thème de la citoyenneté. Cette rencontre s'est déroulé en suivant en partie
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT. accompagnant la
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 4.10.2012 SWD(2012) 291 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT accompagnant la proposition de règlement du Parlement européen
Plus en détailCirculaire n 5051 du 04/11/2014
Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Collaboration entre les Centres psycho-médico-sociaux, le Service de médiation scolaire et le Service des équipes mobiles missions et rôles Réseaux et niveaux concernés
Plus en détailmulti process 25 RUE Benoît Malon 42300 ROANNE
multi process 25 RUE Benoît Malon 42300 ROANNE Tél : 04 77 70 14 66 Fax : 04 77 70 01 78 www.mpi42.fr contact@mpi42.fr CREATION DE SITE WEB Il faut distinguer plusieurs étapes pour la création d un site
Plus en détailConseil économique et social
NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/MP.PP/2005/2/Add.4 8 juin 2005 Original: ANGLAIS, FRANÇAIS, RUSSE COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE Réunion des Parties à la Convention
Plus en détailCONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT
CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT DÉCLARATION DE PRINCIPES CONCERNANT L'ERGONOMIE ET LA SÉCURITÉ DES SYSTÈMES D'INFORMATION EMBARQUÉS Introduction
Plus en détailNOTE Secrétariat général délégations Feuilles de route concernant la stabilité des marchés financiers
CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE Bruxelles, le 15 mai 2008 (20.05) (OR. en) 9056/1/08 REV 1 TRADUCTION NON RÉVISÉE EF 27 ECOFIN 158 NOTE du: aux: Objet: Secrétariat général délégations Feuilles de route concernant
Plus en détailConclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE
Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Le Groupe consultatif du SYGADE soumet à l'attention du Secrétaire général de la CNUCED les conclusions suivantes formulées lors de sa 9ième
Plus en détailCONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 2 juillet 2002 (OR. da/en) 10307/02 EUROPOL 46
CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE Bruxelles, le 2 juillet 2002 (OR. da/en) 10307/02 EUROPOL 46 ACTES LÉGISLATIFS ET AUTRES INSTRUMENTS Objet: Initiative du Royaume du Danemark en vue de l'adoption d'un acte
Plus en détailPrincipes de liberté d'expression et de respect de la vie privée
L'Initiative mondiale des réseaux Protéger et faire progresser la liberté d'expression et le respect de la vie privée dans les technologies de l information et de la communication Principes de liberté
Plus en détailA) Les modifications du champ d'application du Règlement n 1346
La proposition de la Commission pour la révision du Règlement "faillite": une deuxième chance pour les entreprises en difficulté Durant le mois de mars 2012, une consultation publique a été lancée, sollicitant
Plus en détailRésolution 451-00 POLITIQUE DE RECONNAISSANCE DES ORGANISMES COMMUNAUTAIRES, CULTURELS, SPORTIFS ET SOCIO-RÉCRÉATIFS DE MAGOG
Résolution 451-00 POLITIQUE DE RECONNAISSANCE DES ORGANISMES COMMUNAUTAIRES, CULTURELS, SPORTIFS ET SOCIO-RÉCRÉATIFS DE MAGOG Modifiée le 16 février 2010 TABLE DES MATIÈRES Page 1- Cadre de référence...
Plus en détailConférence sur les meilleures pratiques dans l administration publique, Lisbonne, 10 au 12 Mai 2000
Conférence sur les meilleures pratiques dans l administration publique, Lisbonne, 10 au 12 Mai 2000 EUROPAplus, l intranet de la Commission Européenne Du partage de l information à la gestion des connaissances
Plus en détailDIALOGUE AVEC LES CONSTRUCTEURS DE VEHICULES
CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT 2 rue André Pascal, F-75775 PARIS CEDEX 16 TEL. 33 (0)1 45 24 97 10 / FAX: 33 (0)1 45 24 97 42 e-mail: ecmt.contact@oecd.org
Plus en détailOpen Source Community Governance OpenJustitia
B u n d e s g e r i c h t T r i b u n a l f é d é r a l T r i b u n a l e f e d e r a l e T r i b u n a l f e d e r a l Service informatique CH - 1000 Lausanne 14 Tél. 021 318 91 11 Fax 021 323 37 00 Dossier
Plus en détailProposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 12.9.2012 COM(2012) 512 final 2012/0244 (COD) Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL modifiant le règlement (UE) n 1093/2010 instituant une Autorité
Plus en détailLA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015
Groupement des Métiers de l Imprimerie -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- DÉCEMBRE 2014 NOTE N 24 LA
Plus en détailPolitique de gestion documentaire
Politique de gestion documentaire Responsabilité de gestion : Secrétariat général Date d approbation : 24 avril 1979 C.A. C.E. Direction générale Direction Date d'entrée en vigueur : 24 avril 1995 Date
Plus en détailCOMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN
COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN Page 1 de 7 DIRECTIVE RÉGISSANT LES ACTIVITÉS FINANCIÈRES DÉCOULANT DE LA PERCEPTION DES REVENUS DANS LES ÉTABLISSEMENTS 1.0 FONDEMENTS 1.1 Devoir d'établissement
Plus en détailCOOPÉRATION EUROPÉENNE EN MATIÈRE DE SANTÉ - VALEUR AJOUTEE POUR
Regio Basiliensis et ARFE COOPÉRATION EUROPÉENNE EN MATIÈRE DE SANTÉ - VALEUR AJOUTEE POUR LES POPULATIONS, L ECONOMIE ET LES REGIONS II. Forum ARFE du 22 février 2008 en coopération avec la Regio Basiliensis
Plus en détailAvis d Energie-Cités. Cette proposition est disponible sur : http://europa.eu.int/eur-lex/fr/com/dat/2001/fr_501pc0226.html
Avis d Energie-Cités Projet de Directive Performance énergétique des bâtiments Octobre 2001 Proposition de Directive du Parlement européen et du Conseil présentée par la Commission [COM(2001) 226 final
Plus en détailLignes directrices européennes (1998)
Lignes directrices européennes (1998) Légende: Lignes directrices européennes, présentées en 1998, concernant l'application des normes de contrôle de l'organisation internationale des institutions supérieures
Plus en détailPremière visite de Mme Reding aux gestionnaires du nouveau nom de domaine européen «.eu»
MEMO/06/332 Bruxelles, le 18 septembre 2006 Première visite de Mme Reding aux gestionnaires du nouveau nom de domaine européen «.eu» Mme Reding, membre de la Commission responsable de la Société de l'information
Plus en détailOBJET : Utilisation des données contenues dans les annuaires téléphoniques.
RECOMMANDATION N 01 / 1999 du 23 juin 1999 N. Réf. : 10 / IP / 1998 / 389 / 27 / ACL OBJET : Utilisation des données contenues dans les annuaires téléphoniques. La Commission de la protection de la vie
Plus en détailConvention Beobank Online et Beobank Mobile
Convention Beobank Online et Beobank Mobile Lisez attentivement cette Convention ("la Convention"). Lisez en tout cas la Section 1 - Conditions générales Beobank Online et Beobank Mobile. Ces conditions
Plus en détaildonnées à caractère personnel (ci-après LVP), en particulier l'article 29 ;
1/9 Avis n 06/2010 du 3 février 2010 Objet : avant-projet de décret relatif à l'archivage administratif La Commission de la protection de la vie privée (ci-après "la Commission") ; Vu la loi du 8 décembre
Plus en détailUniversité du Québec à Trois-Rivières Politique de gestion des documents actifs, semi-actifs et inactifs de l'u.q.t.r.
Université du Québec à Trois-Rivières Politique de gestion des documents actifs, semi-actifs et inactifs de l'u.q.t.r. (Résolution 398-CA-3497, 25 novembre 1996) 1. Énoncé Par cette politique, l'université
Plus en détailPour un Plan d Investissement Communal plus Participatif
MINISTERE DE L INTERIEUR CAISSE DES PRETS ET DE SOUTIEN DES COLLECTIVITES LOCALES 9, rue de l assistance Cité El Khadhra -1003 Tunis Pour un Plan d Investissement Communal plus Participatif Ines SALLEM
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailContrôle interne et organisation comptable de l'entreprise
Source : "Comptable 2000 : Les textes de base du droit comptable", Les Éditions Raouf Yaïch. Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Le nouveau système comptable consacre d'importants
Plus en détailCONVENTION COLLECTIVE DE TRAVAIL N 85 ------------------------------------------------------------------
CONVENTION COLLECTIVE DE TRAVAIL N 85 ------------------------------------------------------------------ Séance du mercredi 9 novembre 2005 -------------------------------------------------- CONVENTION
Plus en détailLE CONSEIL DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES,
DIRECTIVE DU CONSEIL du 22 février 1990 modifiant la directive 87/102/CEE relative au rapprochement des dispositions législatives, réglementaires et administratives des États membres en matière de crédit
Plus en détailCommission du marché intérieur et de la protection des consommateurs PROJET DE RAPPORT
PARLEMENT EUROPÉEN 2009-2014 Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs 2011/2272(INI) 3.2.2012 PROJET DE RAPPORT concernant une stratégie de renforcement des droits des consommateurs
Plus en détailRésumé de l étude. Citoyenneté et participation. Les motivations à participer TABLEAU - PRINCIPALES MOTIVATIONS À PARTICIPER AUX
Table des matières Recherche et rédaction Rock Beaudet Frédéric Lapointe de Asynchrolab Comité de suivi de l étude Steve Francoeur Nicolas Fournier Julie Richard Niki Messas Coordination Caroline Rioux
Plus en détailTexte de l'arrêté "Site e-business"
Texte de l'arrêté "Site e-business" Arrêté relatif à l'octroi d'une prime aux entreprises qui créent un site e-business tel que modifié par l'arrêté du 15 juin 2006 (MB 12.07.2006) Le Gouvernement wallon,
Plus en détailÉCONOMIE THÈME 3: MONDIALISATION, FINANCE INTERNATIONALE ET INTÉGRATION EUROPÉENNE
ÉCONOMIE THÈME 3: MONDIALISATION, FINANCE INTERNATIONALE ET INTÉGRATION EUROPÉENNE Partie 3: Quelle est la place de l'union Européenne dans l'économie globale? Être capable de définir Notions à acquérir
Plus en détailComité sectoriel du Registre national. Avis RN n 01/2013 du 11 décembre 2013
1/9 Comité sectoriel du Registre national Avis RN n 01/2013 du 11 décembre 2013 Objet : demande d'avis relatif au projet d'arrêté royal autorisant la Banque Nationale de Belgique et les établissements
Plus en détailJournal officiel des Communautés européennes. (Actes dont la publication est une condition de leur applicabilité)
17.4.2001 L 106/1 I (Actes dont la publication est une condition de leur applicabilité) DIRECTIVE 2001/18/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 12 mars 2001 relative à la dissémination volontaire d'organismes
Plus en détaildonnées à caractère personnel (ci-après la "LVP"), en particulier l'article 29 ;
1/6 Avis n 05/2008 du 27 février 2008 Objet : avis relatif au monitoring des groupes à potentiel au sein du Vlaamse Dienst voor Arbeidsbemiddeling en Beroepsopleiding (Office flamand de l'emploi et de
Plus en détailC ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats
C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.
Plus en détailCOMMUNICATION DE LA COMMISSION AU PARLEMENT EUROPÉEN ET AU CONSEIL. Feuille de route pour une union bancaire
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 12.9.2012 COM(2012) 510 final COMMUNICATION DE LA COMMISSION AU PARLEMENT EUROPÉEN ET AU CONSEIL Feuille de route pour une union bancaire FR FR COMMUNICATION DE LA COMMISSION
Plus en détailPartie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI
Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI 222 Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI Chapitre A. Représentation de l'utilisation de l'information
Plus en détailPJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni
PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen
Plus en détailPlan d'action de l'union européenne: les communications par satellite dans la société de l'information
COMMISSION DES COMMUNAUTES EUROPEENNES Bruxelles, le 05.03.1997 COM(97) 91 final COMMUNICATION DE LA COMMISSION AU CONSEIL, AU PARLEMENT EUROPEEN, AU COMITE ECONOMIQUE ET SOCIAL ET AU COMITE DES REGIONS
Plus en détailProposition de DÉCISION DU CONSEIL
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 4.5.2015 COM(2015) 194 final 2015/0101 (NLE) Proposition de DÉCISION DU CONSEIL relative à la conclusion, au nom de l'union européenne, du protocole pour éliminer le
Plus en détailProgramme de bourses de recherche de l UEFA Edition 2014
Programme de bourses de recherche de l UEFA Edition 2014 Règlement Règlement du Programme de bourses de recherche de l UEFA 1. Conditions de participation Tout candidat à ce programme doit: posséder un
Plus en détailANNEXE 1 RÈGLEMENTS GÉNÉRAUX 1 ASSOCIATION DES ARCHÉOLOGUES PROFESSIONNELS DU QUÉBEC (AAQ) CODE D ÉTHIQUE ET DES NORMES PROFESSIONNELLES
ANNEXE 1 RÈGLEMENTS GÉNÉRAUX 1 ASSOCIATION DES ARCHÉOLOGUES PROFESSIONNELS DU QUÉBEC (AAQ) CODE D ÉTHIQUE ET DES NORMES PROFESSIONNELLES Ce code fait partie intégrante du règlement de l'association des
Plus en détailPAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE
Note Conceptuelle PAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE La Tunisie renouvelle son engagement pour le développement et la prospérité de l'afrique et des pays arabes, par l'organisation de la 8ème édition de
Plus en détailCONDITIONS PARTICULIÈRES FINANCEMENT DU PROJET ARTICLE
MAIRI-SOLIES Mutuelle des Associations d'immigrés Résidents en Italie Membre du Réseau SOLILES Via Angera 3, 20125 Milano Tel: 0039 0287394827/5130 Fax: 0039-0287398408 Cell: 0039 3272413948 CF. 97523800155
Plus en détailACTES PRIS EN APPLICATION DU TITRE VI DU TRAITÉ UE
7.4.2009 Journal officiel de l Union européenne L 93/23 ACTES PRIS EN APPLICATION DU TITRE VI DU TRAITÉ UE DÉCISION-CADRE 2009/315/JAI DU CONSEIL du 26 février 2009 concernant l'organisation et le contenu
Plus en détailCOMMISSION DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES
FR FR FR COMMISSION DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES Bruxelles, le 4.11.2008 COM(2008)689 final COMMUNICATION DE LA COMMISSION AU PARLEMENT EUROPÉEN, AU CONSEIL, AU COMITÉ ÉCONOMIQUE ET SOCIAL EUROPÉEN ET AU
Plus en détailGROUPE DE CONFIANCE protection de la personnalité MEDIATION INFORMATIONS
GROUPE DE CONFIANCE protection de la personnalité INFORMATIONS MEDIATION La médiation fait partie du dispositif de protection de la personnalité des membres du personnel de l'etat de Genève et des institutions
Plus en détailCODE PROFESSIONNEL. déontologie
déontologie Code de déontologie des professionnels du marketing direct vis-à-vis de la protection des données à caractère personnel 1 Code de déontologie des professionnels du marketing direct vis-à-vis
Plus en détailCRE Laurentides 2009 Former une association p. 1
Former une association Qu est-ce qu une association de protection de l environnement d un lac? Une association est un groupe plus ou moins organisé de personnes qui s unissent volontairement dans un but
Plus en détailConsidérations sur la crise et le marché intérieur 1
Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.
Plus en détailAIDE-MÉMOIRE POUR L ÉLABORATION D UN PLAN DE COMMUNICATION
AIDE-MÉMOIRE POUR L ÉLABORATION D UN PLAN DE COMMUNICATION Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Benoît Tremblay Conseiller en gestion Collaborateurs : MM. Paul Bleau,
Plus en détailLE MANDAT DE MELBOURNE Un appel à l'action pour accroître la valorisation de la gestion des relations publiques et des communications
LE MANDAT DE MELBOURNE Un appel à l'action pour accroître la valorisation de la gestion des relations publiques et des communications FORUM MONDIAL SUR LES RELATIONS PUBLIQUES NOVEMBRE 2012 Le mandat des
Plus en détailA. DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT
DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIERE D'AIDES D'ETAT Tableau de correspondance entre l'ancienne et la nouvelle numérotation des articles suite à l'entrée
Plus en détailLes obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Plus en détailQu'est-ce que la normalisation?
NORMALISATION 1 Qu'est-ce que la normalisation? La normalisation est un outil élémentaire et efficace des politiques européennes, ses objectifs étant de : contribuer à la politique visant à mieux légiférer,
Plus en détailDEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche
DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant
Plus en détailPOLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020
DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période
Plus en détailR E G L E M E N T I N T E R I E U R
19, rue Cognacq-Jay 75007 PARIS Tél. 01 44 15 60 00 Fax : 01 44 15 90 05 www. Edificas.fr ASSOCIATION LOI 1901 CREEE A L INITIATIVE DE L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES R E G L E M E N T I N T E R I E U R
Plus en détailConvention européenne sur la promotion d'un service volontaire transnational à long terme pour les jeunes
Convention européenne sur la promotion d'un service volontaire transnational à long terme pour les jeunes Strasbourg, 11.V.2000 Préambule Les Etats membres du Conseil de l'europe et les autres Etats Parties
Plus en détailCatalogue de critères pour la reconnaissance de plateformes alternatives. Annexe 4
Catalogue de critères pour la reconnaissance de plateformes alternatives Annexe 4 Table des matières 1 Objectif et contenu 3 2 Notions 3 2.1 Fournisseur... 3 2.2 Plateforme... 3 3 Exigences relatives à
Plus en détailSHAPE-RISK SHARING EXPERIENCE ON RISK MANAGEMENT (HEALTH, SAFETY AND ENVIRONMENT) TO DESIGN FUTURE INDUSTRIAL SYSTEMS 1
2004 2007 : Une action de coordination sur 3 ans inscrite au 6 ème Programme Cadre de Recherche Communautaire réunissant 19 partenaires européens SHAPE-RISK SHARING EXPERIENCE ON RISK MANAGEMENT (HEALTH,
Plus en détailLilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili. RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET
Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE MINISTRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DE LA REFORME DE L'ETAT ET DE LA SIMPLIFICATION
Plus en détailCode de bonne conduite relatif à la publicité et à l information sur les assurances-vie individuelles
VS10052 09.03.2012 Code de bonne conduite relatif à la publicité et à l information sur les assurances-vie individuelles Précisions pour l'application du code de bonne conduite L'objet de la présente note
Plus en détailCOMMISSION DE LA SANTÉ PUBLIQUE, DE L'ENVIRONNEMENT ET DU RENOUVEAU DE LA SOCIÉTÉ du 10 mars 2015
COMMISSION DE LA SANTÉ PUBLIQUE, DE L'ENVIRONNEMENT ET DU RENOUVEAU DE LA SOCIÉTÉ du 10 mars 2015 Questions jointes de - M. Willy Demeyer à la ministre des Affaires sociales et de la Santé publique sur
Plus en détailChapitre 1 : Introduction aux bases de données
Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données
Plus en détailRECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE
RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées
Plus en détailContexte : «l e-business» TECHNIQUES DE MARKETING EN LIGNE. Contexte : «l e-business» Création de valeur 02/02/12
Contexte : «l e-business» TECHNIQUES DE MARKETING EN LIGNE La notion «d E-Business» recouvre les différentes applications possibles de l'informatique faisant appel aux technologies de l'information et
Plus en détailOBJECTIFS. Objectif général
Le Programme d action pour la promotion et le financement des PME dans l UEMOA est une déclinaison de la Politique Industrielle Commune (PIC) de l UEMOA. Il vise la création de mécanismes de financement
Plus en détailCO SEIL DE L'U IO EUROPÉE E. Bruxelles, le 1 er décembre 2011 (OR. fr) 16946/11 Dossier interinstitutionnel: 2011/0343 ( LE)
CO SEIL DE L'U IO EUROPÉE E Bruxelles, le 1 er décembre 2011 (OR. fr) 16946/11 Dossier interinstitutionnel: 2011/0343 ( LE) ACP 229 COAFR 318 PESC 1462 RELEX 1192 OC 49 ACTES LÉGISLATIFS ET AUTRES I STRUME
Plus en détailComité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section Santé
Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section Santé CSSSS/14/032 DÉLIBÉRATION N 14/016 DU 18 FÉVRIER 2014 PORTANT SUR LE RÈGLEMENT DU PARTAGE DE DONNÉES DE SANTÉ ENTRE LES SYSTÈMES DE
Plus en détailCADASTRE DU LOGEMENT SOCIAL. Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service public de l'union des Villes et Communes de Wallonie
CADASTRE DU LOGEMENT SOCIAL Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service public de l'union des Villes et Communes de Wallonie Les sociétés de logement de service public gèrent un parc de
Plus en détail