L intérêt des poudres revêtues porte sur de multiples aspects fondamentaux et appliqués :

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L intérêt des poudres revêtues porte sur de multiples aspects fondamentaux et appliqués :"

Transcription

1 PROPRIETES DE POUDRES REVETUES COMPAREES A CELLES DES MELANGES EQUIVALENTS. S. BUCHER*, Th. CABIOCH **, V. GAUTHIER**, C. IACOB*, M GROSBRAS** * Centre de recherche de LIFCO-Industrie, Technopole du Madrillet, St Etienne du Rouvray **Laboratoire de Métallurgie Physique UMR-CNRS Université de Poitiers 1. Définition et intérêt des poudres revêtues Une poudre revêtue a les caractéristiques d un matériau composite : chaque particule qui la compose est formée d un cœur constitué par un matériau A (métal, céramique ou polymère) recouvert par un matériau B (métal, céramique ou polymère). Le revêtement peut être partiel ou complet. Dans le deuxième cas, le matériau de cœur A se trouve totalement isolé au niveau de chaque grain. En outre, le revêtement peut comprendre plusieurs couches de nature différente résultant d opérations de recouvrement successives. L intérêt des poudres revêtues porte sur de multiples aspects fondamentaux et appliqués : a) Homogénéité dans la répartition des constituants bien supérieure à celle que l on obtient par une simple opération de mélange, surtout si le matériau d addition est présent en très faible proportion : dans le cas des poudres revêtues, la composition nominale est réalisée, en principe, au niveau de «chaque» grain. Ainsi, s il s agit de produire un matériau composite, les propriétés associées seront à priori plus isotropes qu avec des mélanges. Dans le cas où, au contraire, on souhaite provoquer une réaction entre les éléments A et B au cours d un traitement thermique spécifique (frittage réactif) pour synthétiser un alliage ou un composé, le recours aux poudres revêtues peut être très bénéfique puisque cela devrait faciliter ou accélérer les mécanismes diffusionnels et réactionnels. b) Combinaison des propriétés caractéristiques du matériau de base et du matériau de revêtement, ouvrant la voie à de très nombreuses possibilités et à la conception sur mesure de poudres à gradients de fonction. On peut ainsi envisager la mise au point de poudres dont la caractéristique externe des grains sera celle du matériau de revêtement (comme par exemple une bonne tenue à la corrosion, un bas point de fusion, une bonne frittabilité ) et dont la caractéristique interne sera celle du matériau de cœur (choisi par exemple pour sa légèreté, son caractère réfractaire, son faible coût ). 2. Méthodes d élaboration Les méthodes d élaboration de poudres composites du type poudres revêtues peuvent se classer en deux grandes catégories : Traitements thermochimiques dans un milieu (gazeux ou liquide) réagissant avec la poudre avec formation d une phase d épaisseur croissante : couches de nitrure, de carbure, de carbonitrure, de sulfonitrure, d oxyde, de borure, de phosphate Déposition d une couche métallique ou céramique par électrolyse, par bain chimique, par CVD ou encore par PVD. Dans tous les cas, l optimisation du rendement et de la qualité des dépôts conduit à se placer dans des conditions propres à réduire au minimum les contacts entre grains de la poudre à revêtir. Selon le type de traitement, il s agira d une simple dispersion par agitation dans une solution, ou alors d une fluidisation par suspension dans un flux de gaz traversant la poudre ou par avalanches dans un four tournant, ou encore par une mise en vibration de la poudre. Le centre de recherche LIFCO a développé et breveté une technique OMCVD (Organo Metallic Chemical Vapor Deposition) permettant d envisager une grande diversité de dépôts. L installation (fig.1) comprend un four à lit fluidisé dans lequel la poudre de base a été préalablement déposée sur une grille de fluidisation (généralement un fritté). Le gaz porteur (air, argon, azote) est introduit par la base du four pour créer le lit fluidisé. La régulation est fonction de la quantité et de la granulométrie de la poudre ainsi que de la densité du matériau. Le module CVD contient le précurseur organométallique qui est chauffé pour assurer son passage à l état de vapeur. Cette vapeur est entraînée par le gaz de fluidisation dans le réacteur où elle se décompose thermiquement avec dépôt des espèces métalliques sur les grains de poudre. La température et la durée du traitement sont les principaux paramètres contrôlant l épaisseur du dépôt.

2 Armoire de commande Four à lit fluidisé Enceinte de stockage de l organométallique Organo métallique Grille de fluidisation Gaz porteur Fig1. Principe du revêtement CVD en lit fluidisé Le module CVD peut être remplacé par un module de gestion de gaz, comme par exemple CH 4, NH 3, permettant alors d effectuer des traitements thermochimiques de la surface des grains de poudre : carburation, nitruration, carbonitruration LIFCO-Industrie a conçu une installation de ce type pour le Laboratoire de Métallurgie Physique de Poitiers. 3 Exemples de poudres élaborées au Centre de Recherche LIFCO 3.1 fer revêtu aluminium Les particules initiales de fer sont des agglomérats de formes irrégulières ayant une taille moyenne de l ordre de 63 µm (fig.2). Le précurseur organométallique utilisé pour le dépôt est le triéthylaluminium (C 2 H 5 ) 3 Al qui est un liquide à la température ambiante. La quantité de précurseur a été calculée pour assurer un dépôt d aluminium représentant une proportion massique de 5% dans la poudre revêtue. La figure 3 représente une coupe à travers des grains de fer traités. On distingue le dépôt d aluminium dont l épaisseur se situe entre 1 et 2 µm. L analyse chimique effectuée sur un échantillon prélevé à l issue du traitement fait apparaître une composition en Al de 5,11%. On a détecté en outre la présence de carbone dans le dépôt; il proviendrait de sous produits de réaction (principalement des alcènes). Fig. 2 : aspect de la poudre de fer initiale Fig. 3 : dépôt d aluminium sur les grains de fer

3 Fig.4 : distributions granulométriques de la poudre de fer avant et après traitement Les distributions granulométriques des poudres avant et après traitement sont illustrées à la figure 4. La distribution de la poudre revêtue est un peu moins dispersée que la poudre de fer. Les plus fines ont pu disparaître en s échappant avec les gaz évacué au dessus du lit fluidisé. Un certain nombre de grains de fer parmi les plus gros (agglomérats) se sont probablement fragmentés lors de chocs produits dans le lit fluidisé. A noter que le dépôt d aluminium se traduit par une petite augmentation de la taille des grains ; déplacement de la valeur modale d environ 6 µm et de la médiane d environ 3 µm. La densité particulaire de la poudre revêtue, mesurée au pycnomètre, est de 6,988 g/cm3 alors que pour un système Fe+5,11%Al, la densité devrait théoriquement être de 7,154 g/cm3 (avec 7,86 g/cm 3 pour Fe et 2,7 g/cm 3 pour Al). Cette sous-évaluation de la densité particulaire pourrait être due à de la porosité qui, compte tenu de la méthode de mesure est assimilée à du volume solide. La formation du dépôt pourrait en effet fermer de la porosité ouverte présente initialement dans les grains de fer, ou encore des cavités ser le dépôt lui-même contiendrait des cavités. Avec une densité théorique de 7,154 g/cm 3, on évaluerait ainsi un taux volumique de pores fermés sous le revêtement de l ordre de 2,3 %. Cependant la poudre de fer revêtue contient également du carbone qui se dépose pendant le traitement. Cet élément ayant une densité de 1,8g/cm 3 peut contribuer à abaisser également la densité particulaire. 3.2 WC revêtu cobalt Un deuxième exemple est constitué par le système WC-Co. Pour la fluidisation, compte tenu de la densité élevée du carbure de tungstène, nous avons été amenés à choisir une poudre à grains micrométriques (médiane à 0,7 µm). Dans ce cas le précurseur est le carbonyle de cobalt. Les conditions du traitement ont été établies pour assurer un dépôt de 6% en masse de cobalt, ce qui a été vérifié par absorption atomique. La couche de cobalt déposé est dans ce cas également relativement homogène., La densité particulaire du WC revêtu cobalt, mesurée au pycnomètre à hélium, est de 14,67 g/cm 3, soit légèrement inférieure à la densité théorique 14,99 g/cm 3. Comme précédemment dans le cas du système Fe-Al, on peut supposer que de la porosité fermée a été créée dans ou sous le dépôt. En outre, des mesures de surface spécifique BET par adsorption d azote montre que le dépôt de cobalt doit également contenir de la porosité ouverte ; en effet, la surface spécifique passe de 1,6 m 2 /g pour la poudre de carbure de tungstène brute à 6,2 m 2 /g pour la poudre revêtue cobalt. 3.3 Autres poudres D autres types de poudres revêtues ont été également élaborés selon la technique OMCVD. Citons par exemple des poudres de fer revêtues cuivre, des poudres de tungstène revêtues argent ou cuivre ou de nickel. Par la voie de traitements thermochimiques issus d une dissociation d ammoniac, nous avons par ailleurs élaboré des poudres de fer nitruré avec un excellent rendement. 4. Etude du comportement comparé à ceux des mélanges équivalents Le comportement de chacune des poudres est étudié en le comparant à celui des mélanges équivalents en terme de composition. Ces mélanges sont réalisés dans un Turbula pendant des durées d une heure. L étude comprend des essais de compressibilité pour caractériser l aptitude à la mise en forme, des essais ATD et de dilatométrie pour caractériser le comportement au frittage, des mesures en DRX et des observations MEB pour identifier et décrire les microstructures. Dans le cadre de cette contribution, nous nous limiterons à quelques observations concernant WC-Co.

4 Des pastilles de poudres revêtues et de mélange ont été élaborées par pressage uniaxial (pression maximale : 320 MPa), les masses volumiques apparentes obtenues pour les compacts étant alors proche des 60%. Les poudres revêtues présentent une compressibilité plus faible que les poudres mélangées. Par contre, leur tenue mécanique après pressage s avère très supérieure à celle des poudres mélangées. La manipulation des compacts de poudres mélangées s avère ainsi très délicate alors que les poudres revêtues permettent d obtenir des compacts très facilement manipulables. Des observations au MEB de ces compacts permettent de comprendre très facilement l origine cette différence (figure 5). Tandis qu une répartition très homogène de WC et Co, inhérente à la méthode de production, est observée pour les compacts de poudres revêtues, de très grosses inhomogénéités sont observées pour les poudres simplement mélangées. Il s avère, dans ces conditions, que des zones possédant de très faibles (et très fortes) concentrations en Co existent dans les compacts formés à partir de mélanges, la tenue mécanique des compacts s en trouve alors fortement altérée. Figure 5 : Images MEB des poudres obtenues par mélanges ((a), (b) et (c)) ou revêtues par la technique des lits fluidisés (d) après mise en forme par compression uniaxiale. De très fortes inhomogénéités peuvent être observées dans le cas des mélanges ou des zones riches en Co (zones sombres sur (a) dont un agrandissement est donné en (c)) cohabitent avec des zones sans Co (zones claires sur (a) dont un agrandissement est donné en (b)). Par ailleurs, plus que la tenue mécanique insuffisante à cru, on peut s attendre à un fort frittage différentiel à l intérieur des compacts de poudres mélangées. Dès à présent, il convient de noter qu une optimisation de la production des poudres mélangées doit être effectuée avant la mise en forme par pressage pour aboutir à l obtention d un mélange homogène. Le simple mélange de poudres possédant de fortes différences de densités, comme c est ici le cas, ne permet en effet pas d obtenir un mélange homogène. Des échantillons à partir de poudres issues d un mélange suivi d un cobroyage d une heure sont ainsi actuellement en cours d étude. Des essais de dilatométrie ont été réalisés au LMP de Poitiers (Appareil SETSYS1750 de Setaram) ; la montée en température (10K/min), le palier en température (1h à 1350 C) et le refroidissement (10K/min) s effectuant sous flux d argon. Les figures 6 donnent les courbes de retrait et de vitesse de retrait pour les deux types de poudre étudiés. On peut constater que les deux poudres présentent des courbes de retrait (et de vitesses de retrait) assez similaires, la principale différence concernant le tout début de densification, qui débute à des températures de l ordre de 900 C, pour lequel on observe une vitesse de retrait plus importante pour les poudres revêtues. Cette première étape de densification, en phase solide, dans les poudres de WC-Co est généralement attribuée à

5 un réarrangement des particules, réarrangement qui serait donc plus important dans le cas des poudres revêtues. On observera par ailleurs un comportement assez similaire et plus particulièrement la soudaine baisse de la vitesse de retrait lors du passage au frittage en phase liquide. (La solidification de ce liquide eutectique étant visible vers 1305 C au refroidissement). Ce résultat, a priori surprenant, peut être attribué à la faible taille des grains de WC utilisés pour cette étude. Il a en effet pu être observé par ailleurs que le frittage en phase solide peut être particulièrement favorable dans le système WC-Co lorsque la taille des grains diminue et devient submicronique. Figure 6. Courbe de retrait (en haut) et de vitesse de retrait (en bas) Le fait que les courbes dilatométriques caractéristiques du frittage des poudres revêtues et mélangées soient qualitativement très proches peut apparaître assez surprenant si on considère les différences de microstructures qui existent en cru. En effet, les fortes hétérogénéités observées pour les poudres obtenues par simple mélange induisent certainement un retrait différentiel au cours de la montée en température mais ce phénomène n est pas observable par dilatométrie. En revanche, une conséquence importante de ce frittage différentiel est observable après frittage puisque de nombreuses fissures sont observées dans les échantillons de poudres mélangées alors que les compacts de poudres revêtus sont exempts de fissures. Nous avons observé par ailleurs que le retrait est beaucoup plus isotrope dans le cas des poudres revêtues. Une autre différence importante du point de vue de la macrostructure réside dans l observation de macroporosités résiduelles dans le compact fritté de poudres mélangées (fig. 7b) tandis qu une simple microporosité fermée est observable dans le cas des poudres revêtues (fig. 7a). A une échelle plus fine, la microstructure du compact fritté de poudres revêtues révèle la présence d un mélange intime de WC et de Co (voir fig. 7c), celle des compacts de poudres mélangées permet, de nouveau, de mettre en évidence l inhomogénéité de la microstructure, des zones très poreuses jouxtant des zones plus denses (fig.7d).

6 Figures 7 : Images de microscopie électronique à balayage révélant la microstructure du compact fritté obtenu après frittage à 1350 C des poudres revêtues (a), (c) et des poudres mélangées (b),(d). Les zones zones plus sombres dénotent une plus forte concentration en Co tandis que les zones claires sont riches en WC, les zones noires correspondent à de la porosité.. 5. Conclusion La technique OMCVD en lit fluidisé développée au centre LIFCO-Industrie se révèle être un outil très performant pour l élaboration de poudres revêtues. Les quelques résultats présentés concernant le système WCCo suffisent à souligner l intérêt potentiel de telles poudres, comparativement aux mélanges, notamment dans le cas des mélanges difficiles. La tenue à vert des comprimés est nettement améliorée, l homogénéité microstructurale des comprimés frittés est supérieure et le retrait est beaucoup plus isotrope. D autres résultats obtenus avec d autres composites, notamment W-Ag, W-Cu sont très prometteurs. Il est clair que ces améliorations résultent du mode de distribution très homogène des éléments d addition que l on peut obtenir avec des poudres revêtues.

On peut être «lourd» et agile!

On peut être «lourd» et agile! éditorial Traitements & Matériaux 412 Octobre - Novembre 2011 3 On peut être «lourd» et agile! La métallurgie est considérée comme une industrie «lourde», les traitements thermiques comme de «vieux» procédés,

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...

Plus en détail

Notes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux

Notes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux XXXX C25 PROCÉDÉS ÉLECTROLYTIQUES OU ÉLECTROPHORÉTIQUES; APPAREILLAGES À CET EFFET (électrodialyse, électro-osmose, séparation de liquides par l électricité B01D; usinage du métal par action d une forte

Plus en détail

Le monde nano et ses perspectives très prometteuses.

Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience

Plus en détail

LE GROUPE THERMI-LYON TRAITEMENTS THERMIQUES ET REVÊTEMENTS MÉTALLIQUES SOUS VIDE

LE GROUPE THERMI-LYON TRAITEMENTS THERMIQUES ET REVÊTEMENTS MÉTALLIQUES SOUS VIDE LE GROUPE THERMI-LYON TRAITEMENTS THERMIQUES ET REVÊTEMENTS MÉTALLIQUES SOUS VIDE THERMI-LYON, le pionnier technique : une expertise fondée sur une histoire 1960 : Traitements en bains de sels et induction

Plus en détail

BALAIS Moteur (charbons)

BALAIS Moteur (charbons) BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague

Plus en détail

LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES

LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES CONGRÈS MATÉRIAUX 2014 Colloque 6 «Corrosion, vieillissement, durabilité, endommagement» LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES Une méthode non destructive pour contrôler le vieillissement et l endommagement

Plus en détail

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4

Plus en détail

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local

Plus en détail

Dr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch

Dr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch 1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique

Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique CRM: Centre de Recherches Métallurgiques ASBL établie en Belgique Créée en 1948 par l industrie sidérurgique belge Certifiée ISO 17025 et

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

Colle époxydique multi usages, à 2 composants

Colle époxydique multi usages, à 2 composants Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail

T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?

T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de

Plus en détail

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent

Plus en détail

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme

Plus en détail

Les Rencontres Scientifiques Colas

Les Rencontres Scientifiques Colas Les Rencontres Scientifiques Colas «L avenir du véhicule électrique» 2 juin 2009 avec Yves CHABRE Docteur ès-sciences Consultant pour véhicules électriques et Pierre MIDROUILLET Directeur Général de PVI

Plus en détail

Microstructure des soudures de titane. Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon

Microstructure des soudures de titane. Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon Microstructure des soudures de titane Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon Revue de Matérialographie Struers 3 / 2004 Structure

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

Analyse de la dynamique d un lit fluidisé gaz-solide en interaction acoustique avec son système de ventilation : comparaison théorie/expérience.

Analyse de la dynamique d un lit fluidisé gaz-solide en interaction acoustique avec son système de ventilation : comparaison théorie/expérience. Analyse de la dynamique d un lit fluidisé gaz-solide en interaction acoustique avec son système de ventilation : comparaison théorie/expérience. F.BONNIOL, C. SIERRA, R. OCCELLI AND L. TADRIST Laboratoire

Plus en détail

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................

Plus en détail

*EP001039352A1* EP 1 039 352 A1 (19) (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39

*EP001039352A1* EP 1 039 352 A1 (19) (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39 (19) Europäisches Patentamt European Patent Office Office européen des brevets *EP001039352A1* (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés

Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Actualités gemmologiques Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Dr. Erel Eric 1 Développés depuis les années 50 pour leurs applications dans les domaines des abrasifs,

Plus en détail

Les composites thermoplastiques

Les composites thermoplastiques Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

Comment assurer la sécurité d un laboratoire utilisant des nanoparticules et des substances hautement actives?

Comment assurer la sécurité d un laboratoire utilisant des nanoparticules et des substances hautement actives? Comment assurer la sécurité d un laboratoire utilisant des nanoparticules et des substances hautement actives? Adrien Bisel Institut Suisse de Promotion de la Sécurité, WRO-1055.5.51, CH-4002 Bâle adrien.bisel@swissi.ch;

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

COMPRESSEURS DENTAIRES

COMPRESSEURS DENTAIRES FRANCE COMPRESSEURS DENTAIRES TECHNOLOGIE SILENCIEUSE MGF NOS SERVICES, NOS ENGAGEMENTS - Les pièces détachées sont disponibles sur stock dans notre site localisé en Saône-et-Loire. Envoi express en h

Plus en détail

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément

Plus en détail

Classement selon la Directive EU 1999/45/EC Pour plus d information, voir nos fiches de données de sécurité (MSDS)

Classement selon la Directive EU 1999/45/EC Pour plus d information, voir nos fiches de données de sécurité (MSDS) UDDEHOLM VANADIS 30 Ces informations sont basées sur l état actuel de nos connaissances et sont destinées à donner des indications générales sur nos produits et leurs utilisations. Elles ne peuvent en

Plus en détail

dental dialogue Tirage à part Qu est-ce qui fait l efficience d une sableuse? Dr. Gisela Peters Présenté par: Idées pour la technique dentaire

dental dialogue Tirage à part Qu est-ce qui fait l efficience d une sableuse? Dr. Gisela Peters Présenté par: Idées pour la technique dentaire dental dialogue Présenté par: Idées pour la technique dentaire Le Journal International de la Technique Dentaire Tirage à part Qu est-ce qui fait l efficience d une sableuse Dr. Gisela Peters GmbH Industriegebiet

Plus en détail

LA ZIRCONE - INFORMATION POUR LE PRATICIEN. La réalité sur ce matériau - questions pratiques et leurs réponses FRANÇAIS

LA ZIRCONE - INFORMATION POUR LE PRATICIEN. La réalité sur ce matériau - questions pratiques et leurs réponses FRANÇAIS LA ZIRCONE - INFORMATION POUR LE PRATICIEN La réalité sur ce matériau - questions pratiques et leurs réponses FRANÇAIS Zr La zircone et ses possibilités 2 La zircone et ses possibilités Qu est ce que la

Plus en détail

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -, Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

Indications- mode d emploi

Indications- mode d emploi FR Indications- mode d emploi Indications multiples, esthétique, sécurité. Un seul système pour de multiples possibilités d utilisation 1-Technique de stratification Recouvrement cosmétique partiel Recouvrement

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE

SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation

Plus en détail

Épreuve collaborative

Épreuve collaborative Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?

Plus en détail

RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT

RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT ROLES OF MICROSTRUCTURE AND MINERALOGICAL COMPOSITION OF CLAY

Plus en détail

La Plateforme GALA. Un projet régional structurant. avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique CPER 2007-2013

La Plateforme GALA. Un projet régional structurant. avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique CPER 2007-2013 La Plateforme GALA Un projet régional structurant CPER 2007-2013 avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique Labellisé en avril 2009 Plateforme GALA : quel rôle? Principe

Plus en détail

Le confort de l eau chaude sanitaire. Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire

Le confort de l eau chaude sanitaire. Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire Le confort de l eau chaude sanitaire Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire Attestation de Conformité Sanitaire Afi n de réduire les quantités de matières toxiques pouvant

Plus en détail

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3

Plus en détail

La physique nucléaire et ses applications

La physique nucléaire et ses applications La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension

Plus en détail

Brochure d information pour le patient

Brochure d information pour le patient Brochure d information pour le patient Des dents «tout céramique» qui vous donneront un sourire éclatant! Le matériau «zircone» : n La zircone est une céramique hautes performances utilisée, entre autres,

Plus en détail

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation

Plus en détail

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices

Plus en détail

Suivi d une réaction lente par chromatographie

Suivi d une réaction lente par chromatographie TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence

Plus en détail

Normes CE Equipements de Protection Individuelle

Normes CE Equipements de Protection Individuelle E. P. I D O C U M E N T D I N F O R M A T I O N Normes CE Equipements de Protection Individuelle Normes CE EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE Définitions : E.P.I : Tout dispositif ou moyen destiné

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée

Plus en détail

BICNanoCat. Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs. Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech

BICNanoCat. Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs. Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech BICNanoCat Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech ANR BICNanoCat DAS Concerné : Énergie Environnement Appel à projets : réduction des émissions

Plus en détail

Sophie Guézo Alexandra Junay

Sophie Guézo Alexandra Junay Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences

Plus en détail

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges

Plus en détail

: fours-cellules : à dégourdi : 3 machines à convertir : fours-cellules à dégourdi

: fours-cellules : à dégourdi : 3 machines à convertir : fours-cellules à dégourdi Département : 87 Aire d'étude Commune Adresse : Limoges centre : Limoges : Albert-Thomas (avenue) 27, 43 ; Genève (rue de) 1, 25 IM87001670 Edifice contenant : usine de porcelaine Guerry et Delinières,

Plus en détail

Tous les produits de la gamme SAF offrent des résistances :

Tous les produits de la gamme SAF offrent des résistances : Fiche Technique Strengths Are Flex La gamme SAF est basée sur une technologie et des polymères méthacrylates brevetés. Ces adhésifs de nouvelle génération permettent d adhérer sur de nombreux supports

Plus en détail

Qu est ce qu un gaz comprimé?

Qu est ce qu un gaz comprimé? Qu est ce qu un gaz comprimé? Il existe plusieurs produits à base de gaz ou de mélanges de gaz sous pression conservés dans des bouteilles 1. La plupart de ces gaz sont classés dans la catégorie des «gaz

Plus en détail

PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES

PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES Destinés essentiellement à protéger contre les salissures, les vêtements de travail permettent également de valoriser l image des entreprises (personnalisation

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière

Plus en détail

LICENCE PROFESSIONNELLE TRAITEMENT ET CONTRÔLE DES MATERIAUX

LICENCE PROFESSIONNELLE TRAITEMENT ET CONTRÔLE DES MATERIAUX UNIVERSITE PAUL SABATIER Année Universitaire 2015 2016 Licence Professionnelle Traitement et Contrôle des Matériaux Bat. CIRIMAT 118, Route de Narbonne 31062 Toulouse cedex 04 Tél : 05 61 55 77 51 05 61

Plus en détail

Introduction générale aux nanomatériaux

Introduction générale aux nanomatériaux Introduction générale aux nanomatériaux J.Lecomte, M.Gasparini 16/10/2014 le centre collectif de l industrie technologique belge Notre centre Federation for the technology industry Collective centre of

Plus en détail

Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive.

Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Lucas DEMBINSKI Christian CODDET, Cécile LANGLADE Université de Technologie de Belfort-Montbéliard

Plus en détail

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine

Plus en détail

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99. FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise

Plus en détail

[Gal va ni ser] (galvanize) verbe transitif, conjugaison 1, recouvrir d une couche de zinc. Les différentes techniques de galvanisation

[Gal va ni ser] (galvanize) verbe transitif, conjugaison 1, recouvrir d une couche de zinc. Les différentes techniques de galvanisation [Gal va ni ser] (galvanize) verbe transitif, conjugaison 1, recouvrir d une couche de zinc Les différentes techniques de galvanisation InfoZinc Benelux La nouvelle Association InfoZinc Benelux a vu officiellement

Plus en détail

RESULTATS FOURNITURE DE GAZ MEDICAUX, GAZ DE LABORATOIRE ET GAZ INDUSTRIELS : BOUTEILLES et CENTRALES DE PRODUCTION

RESULTATS FOURNITURE DE GAZ MEDICAUX, GAZ DE LABORATOIRE ET GAZ INDUSTRIELS : BOUTEILLES et CENTRALES DE PRODUCTION Lot Sslot LIBELLE PU HT euros Fluides médicaux avec AMM AIR PRODUCTS Mélange Oxygène 0% + protoxyde d'azote 0% conditionné en bouteille avec et sans manodétendeur intégré - tous types de bouteille et toutes

Plus en détail

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET

Plus en détail

Préparations avant peinture. Solutions sans CrVI. Michel JANNIER (expert)

Préparations avant peinture. Solutions sans CrVI. Michel JANNIER (expert) Les rendez-vous technologiques «Les traitements de surface des alliages légers» Préparations avant peinture. Solutions sans CrVI. Michel JANNIER (expert) 1 Préparation avant peinture Les traitements avant

Plus en détail

Propulsion COLLÈGE. 1. Le moteur vulcain. > Expositions > Niveau 0 > CENTRE DE LANCEMENT

Propulsion COLLÈGE. 1. Le moteur vulcain. > Expositions > Niveau 0 > CENTRE DE LANCEMENT 1. Le moteur vulcain C. Expliquer le principe d action réaction aussi appelé le principe des actions réciproques qui s applique dans le moteur Vulcain. Vous pouvez-vous aider du schéma ci-dessous. A. Quels

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

1. GES 5 : Production de céramiques pour l'électronique et de céramiques à fonctionnement thermique contenant du Ni

1. GES 5 : Production de céramiques pour l'électronique et de céramiques à fonctionnement thermique contenant du Ni 1. GES 5 : Production de céramiques pour l'électronique et de céramiques à fonctionnement thermique contenant du Ni Cycle de vie Utilisation finale DU de NiO Titre libre et court Production de céramiques

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

Chapitre 1: Les métaux et leurs utilisations

Chapitre 1: Les métaux et leurs utilisations Chapitre 1: Les métaux et leurs utilisations 1. Depuis quand utilise-t-on les métaux? 1) Le seul métal qui existe à l état natif est l or. 2) Les métaux obtenus à partir de minerais sont l argent, le cuivre,

Plus en détail

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l

Plus en détail

Société Française de Métallurgie et de Matériaux 28 rue Saint-Dominique 75007 Paris Tel: 01 43 33 08 00 Mail: secretariat@sfmm.

Société Française de Métallurgie et de Matériaux 28 rue Saint-Dominique 75007 Paris Tel: 01 43 33 08 00 Mail: secretariat@sfmm. Société Française de Métallurgie et de Matériaux 28 rue Saint-Dominique 75007 Paris Tel: 01 43 33 08 00 Mail: secretariat@sfmm.fr Site: www.sf2m.asso.fr 8h45-9h40 Programme de la journée Accueil et enregistrement

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications

Plus en détail

C3. Produire de l électricité

C3. Produire de l électricité C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres

Plus en détail

Extraction Assistée par Ultrasons

Extraction Assistée par Ultrasons Extraction Assistée par Ultrasons Extraction par ultrasons au laboratoire Deux types d équipements à ultrasons sont couramment utilisés dans le laboratoire. Le premier est le bain de nettoyage à ultrasons

Plus en détail

contributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores

contributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Les multiples contributions de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Jean-Charles Flores est spécialiste de l électronique organique au sein de la société BASF

Plus en détail

LAboRAToiRE expertises Chimiques & physico- Chimiques Le Laboratoire Expertises Chimiques & Physicochimiques (LECP) caractérise les matériaux, principalement inorganiques, afin de déterminer leur composition

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ 1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à

Plus en détail

Adhésif structural pour le collage de renforts

Adhésif structural pour le collage de renforts Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à

Plus en détail

PROCESSUS VALMONT CONCERNANT L APPLICATION DE LA TEINTE

PROCESSUS VALMONT CONCERNANT L APPLICATION DE LA TEINTE En ce qui concerne le calcul, les mâts bois sont comparables à tous les autres mâts acier ou aluminium. Conformément à la directive européenne de 1985 ils sont calculés et dimensionnés avec le même référentiel

Plus en détail

Construisons en aluminium pour les générations futures

Construisons en aluminium pour les générations futures Construisons en aluminium pour les générations futures La Haute Qualité Environnementale avec l aluminium Les qualités de l aluminium (résistance, légèreté, malléabilité, recyclabilité ) répondent aux

Plus en détail

Drainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs.

Drainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Drainage de maches anti-remontée à l humidité Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Goutte par goutte, le désastre prend forme. Comme ils ne

Plus en détail

L PRESENTATION GENERALE SCPIO

L PRESENTATION GENERALE SCPIO L PRESENTATION GENERALE SCPIO Nom : DEPARTEMENT PLATEFORME TECHNOLOGIQUE Sigle: CEA / DRT / LETI / DPTS SILICUIM Etablissement : CEA Grenoble Adresse : 7 rue des Martyrs Site Web : 804 GRENOBLE Cedex 9

Plus en détail

hydrogène au service des énergies renouvelables

hydrogène au service des énergies renouvelables Le stockage solide de l hydrogl hydrogène au service des énergies renouvelables P. de Rango, D. Fruchart, S. Miraglia, Ph. Marty*, M. Jehan** J. Chabonnier, A. Chaise, S. Garrier, B. Delhomme, S. Nachev,

Plus en détail

Projet de raccordement au réseau de transport de gaz naturel EXPRESSION PRELIMINAIRE DE BESOIN SITE :..

Projet de raccordement au réseau de transport de gaz naturel EXPRESSION PRELIMINAIRE DE BESOIN SITE :.. Projet de raccordement au réseau de transport de gaz naturel EXPRESSION PRELIMINAIRE DE BESOIN SITE :.. Document type : expression préliminaire de besoin client final Version / Révision Date de publication

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

Réduction de la pollution d un moteur diesel

Réduction de la pollution d un moteur diesel AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel

Plus en détail

Le polissage par laser

Le polissage par laser B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques

Plus en détail

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et

Plus en détail