«Actualités» relatives à la maîtrise du risque infectieux en EHPAD. Dr Vincent STOECKEL PH coordonnateur ARLIN

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1 «Actualités» relatives à la maîtrise du risque infectieux en EHPAD Dr Vincent STOECKEL PH coordonnateur ARLIN Journée Régionale de Formation et d Information ARLIN Champagne Ardenne Vendredi 18 Avril 2014 Reims

2 Enquête autour d'un cas de tuberculose en EHPAD

3 Epidémiologie ¼ des cas déclarés de tuberculose > 65 ans En 2009, 12% âgés de plus de 80 ans (sur les cas déclarés en France) En cas vivaient en EHPAD Cas déclarés sous estimés probablement clinique non spécifique, co-morbidités troubles des fonctions cognitives

4 Gravité, risque transmission, dépistage Gravité de la maladie tuberculeuse chez le sujet âgé, La plupart des cas > 65 an réactivation (origine endogène) suite contage ancien mais possibilité infection exogène existe surtout chez les sujets institutionnalisés, Cas contagieux en EHPAD risque de transmission aux autres résidents relativement élevé (Arkansas contamination de 80 personnes) Pas de recommandations de dépistage systématique à l'entrée en EHPAD (HCSP mars 2011)

5 Enquête autour d'un cas Prise en charge cas index en milieu hospitalier et retour quand considéré comme non contagieux par le service hospitalier, Si PEC en milieu hospitalier non possible mise en place des précautions air, Identification des patients contacts Proches personne malade, Voisins de chambre, de table, partenaires activités de groupe, résident immunodéprimé, cancer associé

6 Enquête autour d'un cas Professionnels de l'établissement (temps cumulé de contact soignant/soigné > 1 heure significatif) Professionnels ayant réalisé des manœuvres à risque générant des aérosols, Intervenants extérieurs réguliers, Dépistage par examen clinique, radiographie thoracique, et test immunologique (IDR tuberculine, tests IGRA) Pour les résidents souvent de plus de 80 ans tests IGRA plus spécifiques et plus sensibles que l'idr

7 Enquête autour d'un cas traitement préventif de la tuberculose non recommandé chez le sujet > 80 ans (risques de toxicité) Donc chez les sujets > 80 ans recherche que des tuberculoses maladies (radio, examen clinique) mais chez les sujets contact très proches test IGRA 8 semaines après le dernier contact. Excellente valeur prédictive des test IGRA. Si négatifs suivi ultérieur clinique et radiologique systématique pas nécessaire.

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12 Thèmes abordés Prévention et gestion des infections respiratoires aigües dans une collectivité de personnes âgées (objectifs et vaccinations recommandées), Respect au quotidien des précautions d'hygiène standard Démarche étiologique en cas d'ira, Précautions complémentaires de type gouttelettes, Bonnes pratiques de soins respiratoires Conduite à tenir devant plusieurs cas avec notamment le signalement à l'ars

13 Rappel sur le signalement Signalement systématique si au moins 5 cas d IRA dans un délai de 4 jours chez les résidents (voir fiche de signalement) Un signalement reste possible en dehors de ces critères pour toute demande d appui Transmission à l ARS selon les procédures en place dans l établissement (DARI) Envoi du bilan final et de la courbe épidémique à l ARS

14 Appui des établissements Les situations suivantes justifient un appui coordonné par les ARS : - Demande de l établissement - 5 nouveaux cas ou plus dans la même journée - 3 décès ou plus attribuables en moins de 8 jours - Absence de diminution de l incidence des nouveaux cas dans la semaine suivant la mise en place des mesures de contrôle

15 Interventions extérieures Selon le cas, des investigations peuvent être menées avec le soutien des CIRE : - La vérification des mesures de contrôle de l épidémie - Des recherches étiologiques - Des investigations épidémiologiques L ARLIN peut être sollicitée par l ARS pour conseiller les établissements sur les mesures à mettre en place.

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20 Même démarche pour les GEA Signalement systématique à l ARS si au moins 5 cas de GEA dans un délai de 4 jours chez les résidents (voir fiche de signalement) ou si 2 cas d infection à clostridium difficile Un signalement reste possible en dehors de ces critères pour toute demande d appui Transmission à l ARS selon les procédures en place dans l établissement Envoi du bilan final et de la courbe épidémique à l ARS

21 Selon le cas, des investigations pourront être menées par les ARS, avec le soutien des CIRE et/ou services vétérinaires : - La vérification des mesures de contrôle de l épidémie - Des recherches étiologiques - Des investigations épidémiologiques L ARLIN peut être sollicitée par l ARS pour conseiller l établissement sur les mesures à mettre en place.

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