CANCER DU REIN ET CHIRURGIE LAPAROSCOPIQUE. Dr Stéphane BORGNAT

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1 CANCER DU REIN ET CHIRURGIE LAPAROSCOPIQUE Clinique de Rillieux Jeudi 5 octobre 2006

2 Généralités 2% de tous les cancers prédominance masculine découverte fortuite dans 50% des cas symptômes: hématurie, h douleur, masse du flanc TDM: bilan d extension et pré-th thérapeutique Le carcinome à cellules rénales r (80 à 90%) dont 70% de tumeurs à cellules claires

3 Généralités Les taux de survie à 5 ans: 75% à 95% si T1-T2 T2 65 à 85% si envahissement de la graisse ou de la surrénale 40 à 60% en cas d envahissement veineux 10 à 20% en cas d envahissement ganglionnaire 0 à 5% en cas de métastases m à distance La néphrectomie n élargie est le traitement de référence r rence des tumeurs rénales r limitées à l organe ou localement avancées.

4 Chirurgie Laparoscopique La néphrectomie n élargie laparoscopique: réelle r alternative à la chirurgie ouverte Geste technique comparable et niveau de sécurits curité équivalent abord vasculaire premier dissection à distance du plan tumoral sans écrasement par les pinces opératoires extraction dans un sac étanche et résistantr exsuflation trocart en place

5 Chirurgie Laparoscopique Contre-indications générales g : abdomens multi-op opérés grande insuffisance respiratoire ATCD d and anévrisme cérébralc Contre-indications spécifiques : infiltration périrp rirénale extension ganglionnaire thrombus veineux doute sur un envahissement d un d organe de voisinage

6 Chirurgie Laparoscopique Avantages: morbidité moindre: douleur, délabrement d musculaire hospitalisation plus courte reprise d activité plus rapide Inconvénients: nients: temps opératoires plus long risque de conversion (10%) risque hémorragiqueh

7 Chirurgie Laparoscopique Complications générales: g liées à l installation: syndrome de loges, troubles neurologiques par compressions prolongées mise en place des trocarts et l insufflation: l plaie vasculaire ou d un d organe, embolie gazeuse risque thrombo-embolique Complications spécifiques: hémorragies: parfois importantes nécessitant n la conversion digestives: mécaniques m ou électriques

8 CARCINOME UROTHELIAL Chirurgie Laparoscopique: NON Tumeurs de mauvais pronostic avec un taux de survie spécifique de 72% si Ta ou T1 31% si T2 ou plus Le traitement de référence r rence des tumeurs urothéliales de la voie excrétrice supérieure est la néphrourn phrourétérectomie rectomie radicale (monobloc) en chirurgie ouverte Non recommandée e pas le comité de cancérologie de l AFU compte tenu du risque carcinologique non négligeable de récidive r précoce et de métastases m lié à la dissémination de ces masses tumorales (absence de tissu musculaire) en atmosphère gazeuse.

9 Laparoscopie: Conclusion La néphrectomie n élargie laparoscopique tend à devenir la technique de référence r rence pour toutes les tumeurs parenchymateuses rénales r ne dépassant d pas le fascia de Gérota La taille de la tumeur n est pas une limite à la laparoscopie (<7 cm, raisons techniques et de morbidités), la localisation peut être un facteur limitant (pôle supérieur ou hilaire) n augmente pas le risque carcinologique en respectant les principes de sécurits curité de technique opératoire

10 Laparoscopie en Urologie Reconnue,, apportant un bénéficeb maladie de la jonction pyélo lo-urétéralerale rein atrophique kyste du rein lithiase urétérale rale volumineuse tumeurs rénales r parenchymateuses limitées au fascia de GérotaG prolapsus Possible, en cours d évaluation ADK prostatique (marges chirurgicales positives) Non recommandée pas le comité de cancérologie de l AFU Tumeurs urothéliales (dissémination tumorale)

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