2 HEURES AUCUN DOCUMENT, AUCUNE CALCULATRICE AVERTISSEMENT

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "2 HEURES AUCUN DOCUMENT, AUCUNE CALCULATRICE AVERTISSEMENT"

Transcription

1 UNIVERSITE D AUVERGNE CLERMONT I FACULTE DES SCIENCES ECONOMIQUES ET DE GESTION PREMIERE SESSION D EXAMENS, AVRIL 2009 LICENCE EG 1ERE ANNEE Semesre 2 : Grandes foncions e équilibre macroéconomiques 2 HEURES AUCUN DOCUMENT, AUCUNE CALCULATRICE AVERTISSEMENT Ce suje compore 13 pages numéroées de 1 à 13 e 2 paries : une parie consacrée à des QCM e une parie consacrée à des exercices (p. 12 e 13). Vous reporerez vos réponses aux QCM direcemen dans le ableau de la page 2 que vous remerez avec la copie. Vous répondrez aux exercices sur la copie e évenuellemen des inercalaires. Quand vous rendrez vore copie, vous indiquerez le nombre oal de feuilles rendues avec celle-ci (c es-à-dire : nombre d inercalaires + 1 page correspondan au ableau du QCM). Dans le QCM, une quesion compore une seule bonne réponse. Chaque bonne réponse vau 0,5 poin. Il n y a pas de poins négaifs. Aucun poin ne sera aribué dans les cas suivans : - Plusieurs réponses (don la bonne) son cochées ; - Aucune réponse n es cochée ; - La réponse compore une race de modificaion ; - Une incohérence dans la réponse. Voici un exemple de bonnes réponses : A B C D Réponse Quesion 100 O O O A Quesion 101 O O O B 1/13

2 Parie I. QUESTIONS A CHOIX MULTIPLES (20 POINTS) Tableau à remere dans la copie. Ne pas indiquer vore nom ou numéro de care d éudian A B C D Réponse Quesion 1 O O O O Quesion 2 O O O O Quesion 3 O O O O Quesion 4 O O O O Quesion 5 O O O O Quesion 6 O O O O Quesion 7 O O O O Quesion 8 O O O O Quesion 9 O O O O Quesion 10 O O O O Quesion 11 O O O O Quesion 12 O O O O Quesion 13 O O O O Quesion 14 O O O O Quesion 15 O O O O Quesion 16 O O O O Quesion 17 O O O O Quesion 18 O O O O Quesion 19 O O O O Quesion 20 O O O O Quesion 21 O O O O Quesion 22 O O O O Quesion 23 O O O O Quesion 24 O O O O Quesion 25 O O O O Quesion 26 O O O O Quesion 27 O O O O Quesion 28 O O O O Quesion 29 O O O O Quesion 30 O O O O Quesion 31 O O O O Quesion 32 O O O O Quesion 33 O O O O Quesion 34 O O O O Quesion 35 O O O O Quesion 36 O O O O Quesion 37 O O O O Quesion 38 O O O O Quesion 39 O O O O Quesion 40 O O O O 2/13

3 Débu des quesions (40) 1. Selon les saisiques de l Insee, les différens ypes de revenu des ménages en France on évolué ainsi enre 1959 e 2007, e on les caracérisiques, en 2007, suivanes : A) Le solde des revenus primaires représene moins de 100% du revenu disponible bru, les revenus de la propriéé on augmené e les ransfers nes aux ménages on augmené ; B) Le solde des revenus primaires représene plus de 100% du revenu disponible bru, les revenus de la propriéé on augmené e les ransfers nes aux ménages on diminué ; C) Le solde des revenus primaires représene plus de 100% du revenu disponible bru, les revenus de la propriéé on augmené e les ransfers nes aux ménages on augmené ; D) Le solde des revenus primaires représene plus de 100% du revenu disponible bru, les revenus de la propriéé on diminué e les ransfers nes aux ménages on augmené ; 2. Selon la loi psychologique fondamenale, une variaion du revenu disponible des ménages Y d = 1 peu enraîner : A) une augmenaion de 1,2 de la consommaion des ménages ; B) une augmenaion de la consommaion de 0,8 si Y d = 1 e une baisse de 0,6 si Y d = -1 ; C) une variaion de la consommaion sricemen supérieure à 1 ; D) Aucune des 3 réponses précédenes n es correce. 3. La propension marginale à consommer (noée PmC ou c) en 2007 peu êre calculée à parir des agrégas suivans : A) en faisan le rappor d C2007 Y2007 ; d d B) en faisan le rappor ( C ) ( Y Y ) C C) en faisan le rappor ( 2007 C2006 ) C2006 ; C ; d d D) en faisan le rappor ( Y ) ( C Y ) C ; 4. La richesse oale des ménages es dans l analyse néo-classique de la consommaion : A) Es composée uniquemen du parimoine financier des ménages ; B) Comprend la somme acualisée des revenus fuurs du ravail ; C) Es égale à la somme des revenus passés ; D) Es égale au revenu de la période courane. 5. Dans la loi psychologique fondamenale, JM. Keynes expose les propriéés suivanes de la foncion de consommaion : A) La foncion de consommaion es sable, la propension marginale à consommer es supérieure à 1, la propension marginale à épargner es inférieure à 1 ; B) La foncion de consommaion es représenée par une foncion linéaire à long erme e une foncion concave à cour erme ; 3/13

4 C) La foncion de consommaion es sable, la propension marginale à consommer es comprise enre 0 e 1 e la propension marginale à épargner augmene quand le revenu disponible augmene ; D) La foncion de consommaion es sable ; la propension marginale à consommer es comprise enre 0 e 1 e la propension marginale à épargner es inférieure à la propension marginale à consommer. 6. On considère l évoluion des propensions moyennes e marginales à consommer en France enre 1959 e Celles-ci révèlen plusieurs anomalies par rappor à la loi psychologique fondamenale : 1,60 1,40 1,20 1,00 0,80 0,60 0,40 0,20 0, Légende. PMC : Propension moyenne à consommer ; PmC : Propension marginale à consommer. Années PMC A) La PmC es poncuellemen supérieure à 1, la propension moyenne à consommer es poncuellemen inférieure à la PmC (ce qui es conradicoire avec une foncion de consommaion affine) ; la PmC es insable ; B) La PmC es poncuellemen inférieure à 1, la propension moyenne à consommer es poncuellemen inférieure à la PmC (ce qui es conradicoire avec une foncion de consommaion affine) ; la PmC es insable ; C) La PmC es poncuellemen inférieure à 1, la propension moyenne à consommer es poncuellemen inférieure à la PmC (ce qui es conradicoire avec une foncion de consommaion affine) ; la PmC es sable ; D) Aucune des réponses précédenes n es correce. 7. On suppose que dans une économie où la loi psychologique fondamenale es vérifiée, les comporemens de consommaion des ménages son décris par les deux foncions suivanes : C = 0,7Y d + 60 (équaion 1) e C = 0,8Y d + 50 (équaion 2). Ces deux équaions révèlen que : PmC 4/13

5 A) Il s agi de foncions de consommaion linéaires, de coefficiens direceurs égaux respecivemen à 0,7 e 0,8 ; B) Il s agi de foncions de consommaion linéaires. Les ménages décris par l équaion 1 son plus aisés que les ménages décris par l équaion 2 ; C) Il s agi de foncions de consommaion affines. Les ménages décris par l équaion 1 son plus aisés que les ménages décris par l équaion 2 ; D) Il s agi de foncions de consommaion affines. Les ménages décris par l équaion 1 son moins aisés que les ménages décris par l équaion 2 ; 8. Selon la héorie du cycle de vie : A) L épargne agrégée es indépendane de la pyramide des âges ; B) Les pays don la populaion es relaivemen jeune on un aux d épargne plus élevé que les pays don la populaion es plus âgée ; C) Un sysème de financemen par répariion des reraies es bien adapé à un pays don la populaion es vieillissane ; D) L accumulaion d un parimoine financier perme d ajuser des revenus flucuans à une dépense relaivemen plus sable. 9. Selon John Hicks, la définiion économique du revenu des ménages peu êre comprise de la manière suivane : A) Le revenu des ménages correspond à ce qu ils peuven consommer sans s appauvrir ; B) Le revenu des ménages correspond au revenu disponible des ménages mesuré dans la Compabilié Naionale ; C) Le revenu des ménages correspond à la richesse oale des ménages ; D) Aucune des réponses précédenes n es correce. 10. D après les saisiques de l Insee, la consommaion des ménages, l invesissemen des enreprises e le PIB on les caracérisiques suivanes : A) La par de l invesissemen dans le PIB es plus imporane que celle de la consommaion. L invesissemen es plus insable que la consommaion ; B) La par de l invesissemen dans le PIB es plus imporane que celle de la consommaion. L invesissemen es moins insable que la consommaion ; C) La par de l invesissemen dans le PIB es moins imporane que celle de la consommaion. L invesissemen es plus insable que la consommaion ; D) Les flucuaions du PIB son plus imporanes que celles de la consommaion e de l invesissemen. 11. Le principe de l accéléraeur es une héorie : A) De l invesissemen en foncion des débouchés anicipés ; B) De la consommaion en foncion du revenu disponible des ménages ; C) Expliquan les effes de relance d une poliique budgéaire acive ; D) Selon laquelle les débouchés créen leur propre demande. 5/13

6 12. Acualiser les ressources fuures par rappor au présen : A) Signifie que la valeur présene de 1 en 2009 es plus élevée que la valeur présene de 1 en 2008 B) Signifie que le ransfer des ressources au cours du emps es coûeux ; C) Es une démarche idenique à la capialisaion des inérês ; D) Aucune des réponses précédenes n es correce. 13. L effe du aux d inérê sur l invesissemen agrégé dans l analyse keynésienne découle : A) Du classemen des projes d invesissemen selon leur efficacié marginale croissane ; B) Du classemen des projes d invesissemen leur valeur acualisée nee décroissane ; C) Du classemen des projes d invesissemen selon leur efficacié marginale décroissane ; D) De la comparaison du rendemen d un proje d invesissemen avec le aux d inérê du placemen financier alernaif. 14. L effe de levier perme d accroîre le profi des enreprises : A) Quand la renabilié des capiaux invesis (renabilié économique) es supérieure au aux d inérê sur les capiaux emprunés ; B) Quand les enreprises financen leur dépense d invesissemen sur leurs fonds propres ; C) Des peies enreprises ; D) Quand le aux d inérê sur les capiaux emprunés es égal au aux de rendemen inerne. 15. La valeur acualisée nee d un proje d invesissemen es : A) La somme des bénéfices fuurs acualisés de l enreprise diminuée de la valeur de celleci ; B) La somme des bénéfices fuurs acualisés du proje d invesissemen ; C) La somme des bénéfices fuurs acualisés engendrés par le proje d invesissemen, augmenée de la dépense d invesissemen ; D) La somme des bénéfices fuurs acualisés engendrés par le proje d invesissemen, diminuée de la dépense d invesissemen. 16. Quand une enreprise finance un invesissemen par endeemen, A) Elle augmene son capial propre ; B) Elle peu augmener la renabilié de ses fonds propres ; C) Elle ne suppore pas de frais financiers ; D) Elle doi nécessairemen disposer d une épargne préalable. 17. Le aux de rendemen inerne a les caracérisiques suivanes : A) Il perme de calculer le gain posiif associé à un proje d invesissemen ; 6/13

7 B) Un proje peu ne pas avoir de TRI ou plusieurs ; C) Es mesuré en ; D) Donne oujours un classemen de projes d invesissemen, idenique à celui éabli selon le crière de la VAN ; 18. Un aux d acualisaion faible : A) Perme de mesurer la renabilié économique d un pei proje d invesissemen ; B) Peu êre uilisé pour calculer le bénéfice ne des coûs d une poliique de lue conre le changemen climaique ; C) Garani à coup sûr que le proje d invesissemen es renable ; D) Es uilisé pour calculer la renabilié économique de projes requéran des biens d équipemen don la durée de vie es coure. 19. La formule pour calculer l efficacié marginale du capial e (aux de rendemen inerne) es la suivane : A) e es la soluion de l équaion : B) e es égale à l expression : C) e es la soluion de l équaion : I D) e es la soluion de l équaion : I I 0 I 0 = = N = = N = B ( 1 i) B ( 1 e) = = N = + 1 B ( 1 i) + = N = + 1 B ( 1 e) 20. Le aux d uilisaion des capaciés de producion : A) Perme de mesurer le nombre de semaines pendan lesquelles l acivié es assurée ; B) Doi êre inférieur à 100% pour qu un effe accéléraeur soi observé ; C) Perme d apprécier la renabilié économique d un proje d invesissemen ; D) Es largemen inférieur à 100% en période de récession ; 21. Dans la héorie néoclassique, l offre de ravail des ménages es une foncion : A) croissane du salaire réel si l effe de subsiuion l empore B) croissane du salaire nominal C) décroissane du salaire nominal D) décroissane du salaire réel si les enreprises maximisen leur profi. 22. La héorie quaniaive de la monnaie : A) Perme d expliquer l inflaion par la croissance de la masse monéaire ; B) Perme aux auoriés monéaires de quanifier l offre de monnaie ; 7/13

8 C) Perme d expliquer le comporemen de demande de monnaie par le moif de spéculaion ; D) Perme de jusifier la relance de l acivié économique par la créaion monéaire. 23. Le chômage volonaire : A) Correspond au aux de chômage calculé par l Insee selon la définiion du Bureau Inernaional du Travail ; B) Caracérise les individus ne rouvan pas de ravail en raison d une insuffisance de la demande globale ; C) Caracérise les individus pour lesquels un emploi supplémenaire engendre rop de coûs supplémenaires (par exemple : garde d enfans, ranspor, impôs, coû lié à la formaion à un nouvel emploi) ; D) Peu êre représené à l inersecion d une courbe d offre e de demande de ravail. 24. Dans l approche classique : A) Le niveau d emploi es déerminé par le niveau d acivié ; B) L offre globale déermine la demande globale ; C) Seules les variables nominales compen ; D) Les prix son supposés rigides. 25. Un effe d évicion se produi lorsque : A) Les enreprises réduisen leurs invesissemens e les ménages leur consommaion ; B) Le moif de spéculaion es plus imporan que le moif de ransacion dans la demande de monnaie ; C) Lorsque, pour une offre donnée, un accroissemen de la dépense publique simule les invesissemens ; D) Lorsque, pour une offre donnée, un accroissemen de la dépense publique rédui la demande des agens privés ; 26. «[l individu] ne pense qu à son propre gain ; en cela, comme dans beaucoup d aures cas, il es condui par une main invisible, pour remplir une fin qui n enre nullemen dans ses inenions ; e ce n es pas oujours ce qu il y a de plus mal pour la sociéé, que cee fin n enre pour rien dans ses inenions.» Cee ciaion : A) Monre que l échange marchand rend cohérens les inérês individuels ; B) Criique la noion de main invisible ; C) Monre que la recherche d un gain individuel es incompaible avec l inérê de la sociéé ; D) Me en évidence oues les conséquences de la recherche d un gain individuel. 27. La neuralié de la monnaie : A) Signifie que la monnaie n a aucune uilié pour les agens économiques ; B) Signifie que la monnaie peu êre hésaurisée par les agens économiques ; 8/13

9 C) Es une conséquence du principe de la demande effecive ; D) Es une conséquence de la loi des débouchés. 28. Le posula d inefficacié de la poliique économique, dans l approche classique : A) Concerne les poliiques de souien de la demande ; B) Es la conséquence du principe de la demande effecive ; C) Concerne les poliiques visan améliorer le foncionnemen des marchés de faceurs de producion ; D) Es la manifesaion d un équilibre de sous-emploi. 29. Dans l approche classique, le aux d inérê déermine : A) Le parage du revenu enre les encaisses e la dépense (consommaion + épargne) ; B) Le parage du revenu enre la consommaion e l épargne ; C) La demande de monnaie spéculaive ; D) Le parage de l épargne enre encaisses oisives e ires. 30. Dans l analyse classique, une augmenaion de la dépense publique financée par emprun enraîne : A) Une augmenaion du revenu de l économie naionale ; B) Une augmenaion de la consommaion courane ; C) Une diminuion de la consommaion courane ; D) Une diminuion du revenu disponible couran des ménages. 31. La déflaion es : A) Une baisse permanene e générale des prix ; B) Une hausse coninue e durable du niveau général des prix ; C) Une baisse de cerains prix ; D) Es une baisse poncuelle du niveau général des prix. 32. Dans l analyse keynésienne, le reje de la main invisible signifie que : A) Il es impossible de réaliser l harmonisaion des inérês individuels ; B) Il exise des défaus de coordinaion dans l économie ; C) Les échanges son influencés par les variaions de prix ; D) Les individus ne son pas moivés par la recherche de leur inérê individuel. 33. Dans l analyse keynésienne, le aux d inérê : A) Influence le prix de la renonciaion à la consommaion courane ; B) Es le prix de la renonciaion à la liquidié ; C) Déermine la demande de monnaie de ransacion ; D) Es déerminé par l égalisaion de l offre e de la demande de fonds prêables. 9/13

10 34. Dans l analyse keynésienne, le niveau de l emploi dépend : A) Uniquemen des condiions dans lesquelles foncionnen des marchés de faceurs de producion ; B) De la demande effecive ; C) De la loi des débouchés ; D) Du salaire réel résulan de l égalisaion de l offre à la demande de ravail. 35. Le muliplicaeur de budge équilibré (héorème de Haavelmo) : A) Signifie qu il es impossible de réduire le défici public ; B) Signifie qu il exise un effe d évicion de la dépense privée par la dépense publique ; C) Monre qu une relance de l acivié économique par la dépense publique es possible sans dégrader le défici budgéaire ; D) Es oujours supérieur à En France, le solde budgéaire public es devenu négaif de manière permanene : A) Après la crise des subprimes ; B) Dans les années 90 à la suie de la récession de 1993 ; C) Dans les années 80 à la suie au deuxième choc pérolier ; D) Dans les années 70 à la suie du premier choc pérolier. 37. En France acuellemen, la dee publique représene : A) Moins de 10% du PIB ; B) Moins de 50% du PIB ; C) Enre 50 e 100% du PIB ; D) Plus de 100% du PIB. 38. Une variable endogène : A) Es une variable expliquée par la héorie économique ; B) Es considérée comme un paramère d une héorie économique ; C) Désigne les condiions économiques dans le rese du monde quand on éudie la formaion du revenu de l économie naionale ; D) Désigne la poliique monéaire ou la poliique budgéaire. 39. Une grandeur ou un agréga économique ex ane : A) Désigne une grandeur ou un agréga mesuré dans la compabilié macroéconomique ; B) Perme d expliquer d abord la croissance économique ; C) Perme d expliquer la consommaion des ménages par leur revenu disponible ; D) Désigne les grandeurs anicipées par les agens économiques. 40. Dans l analyse keynésienne, dire que la demande de monnaie es inélasique par rappor au aux d inérê signifie : 10/13

11 A) Qu une modificaion de la demande de monnaie n a aucune influence sur le aux d inérê ; B) Qu une modificaion de l offre de monnaie n a aucune influence sur le aux d inérê ; C) Qu un accroissemen du aux d inérê ouvre la rappe à liquidiés ; D) Qu une modificaion du aux d inérê n a aucune influence sur la demande de monnaie. Fin des quesions (40) 11/13

12 Parie II. EXERCICES (20 POINTS) I. L INVESTISSEMENT (10 POINTS ENVIRON) Une grande enreprise du seceur de l énergie peu consacrer 100 millions à la consrucion d unié de producion de cellules phoovolaïques. Dans l éa acuel de la echnologie, une unié de producion nécessie un invesissemen de 100 millions. Les résulas d exploiaion prévus pour celle-ci son de 8 millions si les prix du pérole remonen (scénario A) e de 3 millions si les prix du pérole coninuen de baisser (scénario B). Les dirigeans de l enreprise hésien enre deux possibiliés : Possibilié 1 : dans le conexe acuel de récession, cerains dirigeans pensen qu il es raisonnable de n auofinancer qu une seule unié de producion. Possibilié 2 : enan compe des effors des gouvernemens européens pour facilier l accès des enreprises au crédi, d aures dirigeans pensen qu il vau mieux consruire deux uniés de producion, en associan les banques à haueur de 50%. Le aux d inérê sur la somme emprunée es de 4% Il es demandé pour chaque scénario e chaque possibilié, de : a) Calculer le résula ne d exploiaion ; b) Calculer la renabilié des fonds propres ; c) Commener le résula. d) Bonus (+5 poins) : dans quel scénario e pour quel niveau du résula d exploiaion, il n exise pas d effe de «massue» de l endeemen? 12/13

13 II. MACROECONOMIES CLASSIQUE ET KEYNESIENNE (10 POINTS ENVIRON) On considère une peie économie ouvere décrie par le modèle suivan : C = cy avec 0 < c < 1 e C 0 Y d d + C 0 Y T T = avec T 0 I = T 0 I 0 M 0 0 > 0 > M = my + avec 0 < m < 1 e M 0 X = X 0 G = G 0 0 > a) Que représene Y d? Que représenen c e m? Indiquer s il s agi de variables endogènes, exogènes ou de paramères. b) Qu es-ce que le principe de la demande effecive. Qu es-ce qu un équilibre de sous-emploi? Quelles en son les implicaions de poliique économique. c) Eablir l expression de la foncion de demande globale nee des imporaions en disinguan la demande auonome de la demande induie. d) Eablir l expression du muliplicaeur budgéaire e du muliplicaeur fiscal. Bien mere en évidence oues les éapes du raisonnemen e comparer les deux muliplicaeurs. e) Les pouvoirs publics déciden de relancer l économie en respecan le Pace de Sabilié e de Croissance qui limie noammen les déficis publics à 3% du PIB. (i) Sachan que celui-ci es déjà à ce niveau de 3% e que la dee publique avoisine les 100% du PIB, quel es le muliplicaeur public qui apparaî comme le plus approprié à la siuaion? Jusifier la réponse e donner l expression de ce muliplicaeur. (ii) Quels son les argumens (basés noammen sur les condiions d efficacié du muliplicaeur e des argumens classiques) que peuven avancer les opposans à une elle poliique? 13/13

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée

Plus en détail

La rentabilité des investissements

La rentabilité des investissements La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles

Plus en détail

MATHEMATIQUES FINANCIERES

MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial

Plus en détail

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés

Plus en détail

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre. 1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%

Plus en détail

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0 Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance

Plus en détail

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1 Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)

Plus en détail

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure

Plus en détail

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»

Plus en détail

Les circuits électriques en régime transitoire

Les circuits électriques en régime transitoire Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc

Plus en détail

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite DOCUMENT DE TRAVAIL 2003-12 Impac du vieillissemen démographique sur l impô prélevé sur les rerais des régimes privés de reraie Séphane Girard Direcion de l analyse e du suivi des finances publiques Ce

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE Obje de la séance 3 : dans la séance 2, nous avons monré commen le besoin de financemen éai couver par des

Plus en détail

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa No 996 3 Décembre La coordinaion inerne e exerne des poliiques économiques : une analyse dynamique Fabrice Capoën Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 96-3 SOMMAIRE Résumé...5 Summary...7. La problémaique...9

Plus en détail

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple

Plus en détail

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris

Plus en détail

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1 Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre

Plus en détail

Oscillations forcées en régime sinusoïdal.

Oscillations forcées en régime sinusoïdal. Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -

Plus en détail

GUIDE DES INDICES BOURSIERS

GUIDE DES INDICES BOURSIERS GUIDE DES INDICES BOURSIERS SOMMAIRE LA GAMME D INDICES.2 LA GESTION DES INDICES : LE COMITE DES INDICES BOURSIERS.4 METHODOLOGIE ET CALCUL DE L INDICE TUNINDEX ET DES INDICES SECTORIELS..5 I. COMPOSITION

Plus en détail

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers Capire 9 Conrôle des risques immobiliers e marcés financiers Les indices de prix immobiliers ne son pas uniquemen des indicaeurs consruis dans un bu descripif, mais peuven servir de référence pour le conrôle

Plus en détail

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons

Plus en détail

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton) TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel

Plus en détail

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3. L épargne exogène e l'inefficience dynamique 3. Le modèle de Ramsey 3.3 L épargne opimale dans le modèle AK L'épargne des sociéés dépend largemen des goûs des agens, de faceurs

Plus en détail

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE 009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, 1948-008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE DE LA FORME FAIBLE Thi Hong Van HOANG Efficience informaionnelle des marchés de l or

Plus en détail

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS CEDRIC TAPSOBA Diplômé IDS Inern/ CARE Regional Program Coordinaor and Gender Specialiy Service from USAID zzz WA-WASH Program Tel: 70 77 73 03/

Plus en détail

Le mécanisme du multiplicateur (dit "multiplicateur keynésien") revisité

Le mécanisme du multiplicateur (dit multiplicateur keynésien) revisité Le mécanisme du muliplicaeur (di "muliplicaeur kenésien") revisié Gabriel Galand (Ocobre 202) Résumé Le muliplicaeur kenésien remone à Kenes lui-même mais il es encore uilisé de nos jours, au moins par

Plus en détail

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL REPUBLIQUE DU SENEGAL ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE Direcion des Saisiques Economiques e de la Compabilié

Plus en détail

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM Documen de ravail 2015 17 FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN Mahilde Le Moigne OFCE e ENS ULM Xavier Rago Présiden OFCE e chercheur CNRS Juin 2015 France e Allemagne : Une hisoire

Plus en détail

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2 enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur

Plus en détail

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse

Plus en détail

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE Le seul ballon hybride solaire-hermodynamique cerifié NF Elecricié Performance Ballon hermodynamique 223 lires inox 316L Plaque évaporarice

Plus en détail

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES?

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? CHAPITRE RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? Les réponses de la poliique monéaire aux chocs d inflaion mondiaux on varié d un pays à l aure Le degré d exposiion

Plus en détail

Le passage des retraites de la répartition à la capitalisation obligatoire : des simulations à l'aide d'une maquette

Le passage des retraites de la répartition à la capitalisation obligatoire : des simulations à l'aide d'une maquette No 2000 02 Janvier Le passage des reraies de la répariion à la capialisaion obligaoire : des simulaions à l'aide d'une maquee Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 2000-02 TABLE DES MATIÈRES Résumé...

Plus en détail

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle Aricle «Les effes à long erme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel e Berrand Wigniolle L'Acualié économique, vol 79, n 4, 003, p 457-480 Pour cier ce aricle, uiliser l'informaion suivane

Plus en détail

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous

Plus en détail

Groupe International Fiduciaire. pour l Expertise comptable et le Commissariat aux comptes

Groupe International Fiduciaire. pour l Expertise comptable et le Commissariat aux comptes Groupe Inernaional Fiduciaire pour l Experise compable e le Commissaria aux compes L imporan es de ne jamais arrêer de se poser des quesions Alber EINSTEIN QUI SOMMES-NOUS? DES HOMMES > Une ÉQUIPE solidaire

Plus en détail

Caractéristiques des signaux électriques

Caractéristiques des signaux électriques Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme

Plus en détail

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Ankara Üniversiesi SBF Dergisi, Cil 66, No. 4, 2011, s. 125-152 SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Dr. Akın Usupbeyli

Plus en détail

Exemples de résolutions d équations différentielles

Exemples de résolutions d équations différentielles Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................

Plus en détail

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2 Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide

Plus en détail

Sommaire de la séquence 12

Sommaire de la séquence 12 Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................

Plus en détail

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE Ce aricle es disponible en ligne à l adresse : hp://www.cairn.info/aricle.php?id_revue=ecop&id_numpublie=ecop_149&id_article=ecop_149_0073 Risque associé au conra d assurance-vie pour la compagnie d assurance

Plus en détail

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION *

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * Alexis Direr (1) Version février 2008 Docweb no 0804 Alexis Direr (1) : Universié de Grenoble e LEA (INRA, PSE). Adresse : LEA, 48 bd Jourdan 75014 Paris. Téléphone

Plus en détail

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer,

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer, En France, l invesissemen des enreprises reparira--il en 2014? Jean-François Eudeline Yaëlle Gorin Gabriel Sklénard Adrien Zakharchouk Déparemen de la conjoncure Pour 2014, le ryhme de la reprise économique

Plus en détail

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire Séquence 2 Pourcenages Sommaire Pré-requis Évoluions e pourcenages Évoluions successives, évoluion réciproque Complémen sur calcularices e ableur Synhèse du cours Exercices d approfondissemen 1 1 Pré-requis

Plus en détail

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION 2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le

Plus en détail

Mathématiques financières. Peter Tankov

Mathématiques financières. Peter Tankov Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de

Plus en détail

Cours d électrocinétique :

Cours d électrocinétique : Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS

Plus en détail

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT DE L'ÉALUAION DU RISQUE DE CRÉDI François-Éric Racico * Déparemen des sciences adminisraives Universié du Québec, Ouaouais Raymond héore Déparemen Sraégie des Affaires Universié du Québec, Monréal RePAd

Plus en détail

Texte Ruine d une compagnie d assurance

Texte Ruine d une compagnie d assurance Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose

Plus en détail

Recueil d'exercices de logique séquentielle

Recueil d'exercices de logique séquentielle Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d

Plus en détail

Les Comptes Nationaux Trimestriels

Les Comptes Nationaux Trimestriels REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Parie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Faherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------

Plus en détail

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention République du Cameroun Paix - Travail - Parie Universié de Yaoundé I Faculé des sciences Déparemen de Mahémaiques Maser de saisique Appliquée Republic of Cameroon Peace Wor Faherland The Universiy of Yaoundé

Plus en détail

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1 ASAC 008 Halifax, Nouvelle-Écosse Jacques Sain-Pierre (Professeur Tiulaire) Chawki Mouelhi (Éudian au Ph.D.) Faculé des sciences de l adminisraion Universié Laval Sélecion de porefeuilles e prédicibilié

Plus en détail

Séminaire d Économie Publique

Séminaire d Économie Publique Séminaire d Économie Publique Les niveaux de dépenses d'infrasrucure son-ils opimaux dans les pays en développemen? Sonia Bassi, LAEP Discuan : Evans Salies, MATISSE & ADIS, U. Paris 11 Mardi 8 février

Plus en détail

Sciences Industrielles pour l Ingénieur

Sciences Industrielles pour l Ingénieur Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage

Plus en détail

Vous vous installez en france? Société Générale vous accompagne (1)

Vous vous installez en france? Société Générale vous accompagne (1) Parenaria Sociéé Générale Execuive relocaions Vous vous insallez en france? Sociéé Générale vous accompagne (1) offre valable jusqu au 29/02/2012 offre valable jusqu au 29/02/2012 offre valable jusqu au

Plus en détail

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie Copules e dépendances : applicaion praique à la déerminaion du besoin en fonds propres d un assureur non vie David Cadoux Insiu des Acuaires (IA) GE Insurance Soluions 07 rue Sain-Lazare, 75009 Paris FRANCE

Plus en détail

S euls les flux de fonds (dépenses et recettes) définis s ent l investissement.

S euls les flux de fonds (dépenses et recettes) définis s ent l investissement. Choix d ives i s s eme e cer iude 1 Chapire 1 Choix d ivesissemes e ceriude. Défiiio L es décisios d ivesissemes fo parie des décisios sraégiques de l erepris e. Le choix ere différes projes d ivesisseme

Plus en détail

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin C N R S U N I V E R S I T E D A U V E R G N E F A C U L T E D E S S C I E N C E S E C O N O M I Q U E S E T D E G E S T I O N CENTRE D ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LE DEVELOPPEMENT INTER NATIONAL Pouvoir

Plus en détail

Les deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement

Les deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement Les deux déficis, budgéaire e du compe couran, sonils jumeaux? Une éude empirique dans le cas d une peie économie en développemen (Version préliminaire) Aueur: Wissem AJILI Docorane CREFED Universié Paris

Plus en détail

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES Thomas Jeanjean To cie his version: Thomas Jeanjean. CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES. 22ÈME

Plus en détail

Thème : Essai de Modélisation du comportement du taux de change du dinar algérien 1999-2007 par la méthode ARFIMA

Thème : Essai de Modélisation du comportement du taux de change du dinar algérien 1999-2007 par la méthode ARFIMA République Algérienne Démocraique e Populaire Minisère de l enseignemen Supérieur e de la Recherche Scienifique Universié Abou-Bakr BELKAID Tlemcen- Faculé des Sciences Economique, de Gesion e des Sciences

Plus en détail

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3 Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)

Plus en détail

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006)

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006) N d ordre Année 28 HESE présenée devan l UNIVERSIE CLAUDE BERNARD - LYON pour l obenion du DILOME DE DOCORA (arrêé du 7 aoû 26) présenée e souenue publiquemen le par M. Mohamed HOUKARI IRE : Mesure du

Plus en détail

Une union pour les employeurs de l' conomie sociale. - grande Conférence sociale - les positionnements et propositions de l usgeres

Une union pour les employeurs de l' conomie sociale. - grande Conférence sociale - les positionnements et propositions de l usgeres Une union pour les employeurs de l' conomie sociale - grande Conférence sociale - les posiionnemens e proposiions de l usgeres Juille 212 1 «développer l emploi e en priorié l emploi des jeunes» le posiionnemen

Plus en détail

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Formaion assurance-vie e récupéraion: Quand e Commen récupérer? (Ref : 3087) La maîrise de la récupéraion des conras d'assurances-vie requalifiés en donaion OBJECTIFS Appréhender la naure d un conra d

Plus en détail

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique ARTICLES ARTICLES PROFESSIONNELS ACADÉMIQUES PROFESSIONAL ACADEMIC ARTICLES ARTICLES Assurances e gesion des risques, vol. 79(1-2), avril-juille 2011, 1-30 Insurance and Risk Managemen, vol. 79(1-2), April-July

Plus en détail

CHELEM Commerce International

CHELEM Commerce International CHELEM Commerce Inernaional Méhodes de consrucion de la base de données du CEPII Alix de SAINT VAULRY Novembre 2013 1 Conenu de la base de données Flux croisés de commerce inernaional (exporaeur, imporaeur,

Plus en détail

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie.

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie. / VARIATION/ ACCOMP PLAY/PAUSE REW TUNE/MIDI 3- LESSON 1 2 3 MIDI Qu es-ce que MIDI? MIDI es l acronyme de Musical Insrumen Digial Inerface, une norme inernaionale pour l échange de données musicales enre

Plus en détail

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée. Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron

Plus en détail

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme Programmaion, organisaion e opimisaion de son processus Acha (Ref : M64) OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Appréhender la foncion achas e son environnemen Opimiser son processus achas Développer un acha

Plus en détail

L inflation française de 1922-1926, hasards et coïncidences d un policy-mix : les enseignements de la FTPL

L inflation française de 1922-1926, hasards et coïncidences d un policy-mix : les enseignements de la FTPL L inflaion française de 1922-1926, hasards e coïncidences d un policy-mix : les enseignemens de la FTPL Jean-Charles Asselain (Correspondan de l Insiu, Professeur à l Universié Monesquieu-Bordeaux IV,),

Plus en détail

La fonction de production dans l analyse néo-classique

La fonction de production dans l analyse néo-classique La oncion de producion dans l analyse néo-classique Jean-Marie Harribey La oncion de producion es une relaion mahémaique éablie enre la quanié produie e le ou les aceurs de producion uilisés, ou encore

Plus en détail

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little.

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little. Cours de Tronc Commun Scienifique Recherche Opéraionnelle Les files d aene () Les files d aene () Frédéric Sur École des Mines de Nancy www.loria.fr/ sur/enseignemen/ro/ 5 /8 /8 Exemples de files d aene

Plus en détail

Une assurance chômage pour la zone euro

Une assurance chômage pour la zone euro n 132 Juin 2014 Une assurance chômage pour la zone euro La muualisaion au niveau de la zone euro d'une composane de l'assurance chômage permerai de doer la zone euro d'un insrumen de solidarié nouveau,

Plus en détail

PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité

PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE Erwan Le Saou - Novembre 2000. 13 La microsrucure des marchés financiers ne serai cerainemen pas au cenre d une liéraure abondane si le concep de liquidié n

Plus en détail

Chapitre 3. La répartition

Chapitre 3. La répartition Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations

Plus en détail

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003 GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, aoû 2003 Thomas JEANJEAN 2 Cahier de recherche du CEREG n 2003-13 Résumé : Depuis une vingaine d années, la noion d accruals discréionnaires

Plus en détail

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera

Plus en détail

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels.

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels. L impac de l acivisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Invesisseurs Insiuionnels. Fabrice HERVE * Docoran * Je iens à remercier ou pariculièremen Anne Lavigne e Consanin Mellios

Plus en détail

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY N 2008 09 Juin Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY N 2008-09 Juin Base de données CHELEM

Plus en détail

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA Un modèle de proecion pour des conras de reraie dans le cadre de l ORSA - François Bonnin (Hiram Finance) - Floren Combes (MNRA) - Frédéric lanche (Universié Lyon 1, Laboraoire SAF) - Monassar Tammar (rim

Plus en détail

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB)

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB) Filrage opimal par Mohamed NAJIM Professeur à l École naionale supérieure d élecronique e de radioélecricié de Bordeaux (ENSERB) Filre adapé Définiions Filre adapé dans le cas de brui blanc 3 3 Cas d un

Plus en détail

Evaluation des Options avec Prime de Risque Variable

Evaluation des Options avec Prime de Risque Variable Evaluaion des Opions avec Prime de Risque Variable Lahouel NOUREDDINE Correspondance : LEGI-Ecole Polyechnique de Tunisie, BP : 743,078 La Marsa, Tunisie, Insiu Supérieur de Finance e de Fiscalié de Sousse.

Plus en détail

UNIVERSITÉ D ORLÉANS. THÈSE présentée par :

UNIVERSITÉ D ORLÉANS. THÈSE présentée par : UNIVERSITÉ D ORLÉANS ÉCOLE DOCTORALE SCIENCES DE L HOMME ET DE LA SOCIETÉ LABORATOIRE D ECONOMIE D ORLEANS THÈSE présenée par : Issiaka SOMBIÉ souenue le : 5 décembre 2013 à 14h00 pour obenir le grade

Plus en détail

Institut Supérieur de Gestion

Institut Supérieur de Gestion UNIVERSITE DE TUNIS Insiu Supérieur de Gesion 4 EME ANNEE SCIENCES COMPTABLES COURS MARCHES FINANCIER ET EVALUATION DES ACTIFS NOTES DE COURS : MOUNIR BEN SASSI YOUSSEF ZEKRI CHAPITRE 1 : LE MARCHE FINANCIER

Plus en détail

Cahier technique n 114

Cahier technique n 114 Collecion Technique... Cahier echnique n 114 Les proecions différenielles en basse ension J. Schonek Building a ew Elecric World * Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés

Plus en détail

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Froid indusriel : producion e applicaion (Ref : 3494) Procédés hermodynamiques, sysèmes e applicaions SUPPORT PÉDAGOGIQUE INCLUS. OBJECTIFS Appréhender les différens procédés hermodynamiques de producion

Plus en détail

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Un Peuple - Un Bu Une Foi MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Documen d Eude N 08 ENJEUX ECONOMIQUES ET COMMERCIAUX DE L ACCORD DE PARTENARIAT ECONOMIQUE

Plus en détail

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation Impac des fuures normes IFRS sur la arificaion e le provisionnemen des conras d assurance vie : mise en oeuvre de méhodes par simulaion Pierre-Emmanuel Thérond To cie his version: Pierre-Emmanuel Thérond.

Plus en détail

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS Coaching - accompagnemen personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agens e les cadres dans le développemen de leur poeniel OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Le coaching es une démarche s'inscrivan dans

Plus en détail

Cahier technique n 141

Cahier technique n 141 Collecion Technique... Cahier echnique n 141 Les perurbaions élecriques en BT R. Calvas Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés à l inenion des ingénieurs e echniciens

Plus en détail

CAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE

CAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE Jean-Michel BOSCO N'GOMA CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS

Plus en détail

Estimation d une fonction de demande de monnaie pour la zone euro : une synthèse des résultats

Estimation d une fonction de demande de monnaie pour la zone euro : une synthèse des résultats Esimaion d une foncion de demande de monnaie pour la zone euro : une synhèse des résulas Ce aricle propose une synhèse des résulas des esimaions d une foncion de demande de monnaie de la zone euro dans

Plus en détail

COURS Nº7 : LES OBLIGATIONS

COURS Nº7 : LES OBLIGATIONS COURS Nº7 : LES OBLIGAIONS DÉFINIION E CARACÉRISIQUES LES PRINCIPALES CLAUSES DU CONRA DU PRÊ ÉVALUAION DES OBLIGAIONS LES OBLIGAIONS ZÉRO-COUPON E LES COUPONS DÉACHÉS : CONSÉQUENCES FISCALES LES MESURES

Plus en détail

DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION

DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION

Plus en détail

Surface de Volatilité et Introduction au Risque de Crédit

Surface de Volatilité et Introduction au Risque de Crédit Modèles de Taux, Surface de Volailié e Inroducion au Risque de Crédi Alexis Fauh Universié Lille I Maser 2 Mahémaiques e Finance Spécialiés Mahémaiques du Risque & Finance Compuaionelle 214/215 spread

Plus en détail

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES Cahier de recherche 03-06 Sepembre 003 MODÈLE BAYÉSEN DE TARFCATON DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHCULES Jean-François Angers, Universié de Monréal Denise Desardins, Universié de Monréal Georges Dionne,

Plus en détail

travailler à Paris travailler à Paris

travailler à Paris travailler à Paris ravailler à Paris Trouver un emploi, en changer, se former, ravailler, demander un coup de pouce, faire valoir ses drois, créer son acivié Parce que la capiale es dynamique e créarice d emplois, mais aussi

Plus en détail

Une analyse historique du comportement d épargne des ménages américains

Une analyse historique du comportement d épargne des ménages américains 1 ocobre 1 N. 51 Une analyse hisorique du comporemen d épargne des ménages américains Le aux d épargne des ménages américains a riplé depuis le déclenchemen de la crise, inerrompan un mouvemen de baisse

Plus en détail