ETANCHEITE. s impose. Le contrat d entretien. Les gestes du savoir-faire. Page 8

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ETANCHEITE. s impose. Le contrat d entretien. Les gestes du savoir-faire. www.etancheite.com. Page 8"

Transcription

1 ETANCHEITE le magazine des professionnels de l étanchéité et de l isolation N 3 S E P T E M B R E le magazine des professionnels de l étanchéité et de l isolation ÉDITORIAL PAGE 3 «Devenir la vitrine de l invisible» par Dominique de Bray CONCOURS D ARCHITECTURE PAGE 7 Graine d idées et de pertinence ASSEMBLÉE GÉNÉRALE PAGE 7 «Assurer une meilleure représentativité» APPLICATION PAGE 17 Verre cellulaire en réfection d un HLM FORMATION CONTINUE PAGE 5 Les gestes du savoir-faire La formation continue peut devenir le meilleur rempart à la perte de savoir dans les entreprises. Outre le fait qu elle permet d apprendre les nouvelles techniques, elle s avère utile pour se réapproprier les gestes élémentaires et essentiels de la profession. PÉRENNITÉ DES TOITURES-TERRASSES Le contrat d entretien s impose L absence de maintenance suivie sur les toitures-terrasses peut entraîner des conséquences coûteuses pour les propriétaires. Les professionnels de l étanchéité tentent plus que jamais d imposer le contrat d entretien auprès des maîtres d ouvrage. Page 8

2 LES PRIX DES CTB Documentation technique Les Cahiers Techniques du Bâtiment (groupe Moniteur) ont remis, à l occasion du Palmarès 2004 de la documentation technique, le premier prix à Dani Alu dans la catégorie «gros œuvre - support informatique». Le classeur et le site Internet de ce spécialiste des accessoires pour l étanchéité des toitures, des joints, des nez de balcons et des garde-corps ont retenu l attention du jury pour leur clarté et leur facilité d utilisation. Dans la catégorie «support papier», l entreprise Hexadome, spécialiste des exutoires et de l éclairage zénithal, a reçu les félicitations du jury pour son classeur «Solutions de désenfumage» qui décline la totalité de son offre produits et nouveautés. EN PROMOTION Les DTU étanchéité C est le moment de vérifier si l on possède bien tous les DTU utilisés dans la profession de l étanchéité. En effet, le CSTB a réalisé un recueil complet de tous les textes et le commercialise à un prix inférieur de 30 % à celui d une commande à l unité. RENSEIGNEMENTS : L étanchéité en observation à l AQC L Agence Qualité Construction (AQC) a annoncé avoir mis en observation trois nouvelles familles de produits dont certains revêtements d étanchéité. Outil d appréciation des risques attachés à la mise en œuvre de familles de produits et procédés, cette mise en observation, née de la concertation de l ensemble des acteurs du bâtiment et de l assurance, constitue une référence pour les professionnels. Chaque famille fait ainsi l objet d un communiqué spécifique. Dans le communiqué n 56 relatif aux «revêtements d étanchéité de toiture collés à froid en adhérence totale sur isolant polyuréthanne», l AQC note un risque à surveiller pour un seul cas de revêtements en bitume APP : «ces revêtements, monocouche ou bicouche, constitués de feuilles manufacturées en bitumes nécessitent des conditions de collage particulières. En l absence de protection lourde, des soulèvements et déformations de panneaux peuvent se produire». RENSEIGNEMENTS : 2 ÉTANCHÉITÉ.INFO NUMÉRO 3 SEPTEMBRE 2004

3 ACTUALITÉS > L asphalte sous tous ses aspects L Office des Asphaltes a organisé, début mai, une conférence dédiée aux nouveaux développements réalisés sur les asphaltes dans leurs diverses applications. Parmi les participants, dont plusieurs donneurs d ordre des collectivités et de grandes administrations publiques, nombreux ont été ceux qui ont apprécié l exposé sur le recyclage de ce matériau. La matinée qui s est déroulée dans l enceinte de l entreprise SCA (Sté Centrale d Asphalte) à Vitry-sur- Seine (94), ne pouvait évidemment pas se terminer sans le traditionnel gigot asphalte. TOITURES VÉGÉTALISÉES Quel coût pour la végétalisation? On connaît les atouts de la végétalisation des toitures (rétention des eaux pluviales, esthétique, captation du CO 2...), mais qu en est-il de son coût? Loin de vouloir définir un prix de vente, Soprema s est efforcé de calculer un prix indicatif (hors étanchéité) pour trois types de végétalisations : extensive, semi-intensive et intensive. Pour une végétalisation extensive, sédums et vivaces par semis, l investissement initial est ainsi estimé à 30 HT/m 2. Le coût d un système en végétalisation semi-intensive avec gazon s élève à 100 HT/m 2 jusqu à 180 HT/m 2 pour une végétalisation intensive avec arbustes. La dépense totale sur dix ans est comprise entre 50 HT/m 2 pour le système extensif avec sédums et vivaces et 205 HT/m 2 pour la végétalisation intensive avec arbustes. «Devenir la vitrine de l invisible» La CSFE est clairement engagée dans un processus de développement et ce depuis déjà quelques années. Avec ses nombreuses réunions techniques et ses groupes de travail, elle s attache, tous les jours, à valoriser la profession et à lui apporter les arguments qui lui permettent de s affirmer auprès de tous les acteurs de la construction. Force est de constater, qu après deux numéros, ÉTANCHÉITÉ.INFO est devenu le relais idéal de ce travail de valorisation du métier. La revue apparaît également comme un formidable moyen de mettre en vitrine ce qui habituellement reste invisible du public. Les reportages sont autant de manières de faire prendre conscience au lecteur du degré de technicité et de complexité de l étanchéité. Que cette activité suppose des compétences de plus en plus fines et des gestes toujours plus précis et justes. Si un de nos objectifs est bien de valoriser la profession afin qu elle puisse aussi gagner en attractivité auprès des jeunes générations, ÉTANCHÉITÉ.INFO pourrait devenir le porte voix autant que le vecteur d image de notre activité. Toutefois, je souhaite rappeler ici que ce sont les commentaires des hommes d expérience, la pertinence des choix techniques sur des chantiers intéressants et la rigueur éditoriale qui font le succès d une revue professionnelle. Nous comptons sur vous pour alimenter votre magazine en informations, en points de vue et en pistes d articles. C est là un des moyens les plus efficaces et utiles de promouvoir nos entreprises, nos métiers et nos valeurs. DOMINIQUE DE BRAY, PRÉSIDENT DE LA CSFE ÉTANCHÉITÉ.INFO NUMÉRO 3 SEPTEMBRE

4 ACTUALITÉS > Un exemple de geste qui fait la différence : le marouflage de relevé à l aide d une éponge et non en poussant simplement de la main À droite Philippe Morel, chef d entreprise et Pierre Forgas, responsable de la formation au CPO FC d Orcemont. FORMATION CONTINUE EN ÉTANCHÉITÉ Préserver les gestes qui sauvent le savoir Le risque de la déqualification des salariés du bâtiment concerne aussi les entreprises de l étanchéité. Face à l évolution rapide des techniques et des produits, la formation continue permet de préserver la maîtrise des gestes essentiels. Il y a urgence. Au même titre que la baisse des budgets, la réduction du temps de travail et le recours excessif à la sous-traitance, l évolution rapide des techniques et des produits pourrait accélérer la déqualification dans les entreprises d étanchéité. Cette tendance forte conjuguée au départ massif, durant les dix prochaines années, des plus de cinquante ans, risque de faire peser très rapidement sur les entreprises la menace d une perte de savoir qu il sera difficile à rattraper. La situation ne serait pas alarmante si l étanchéité, plus que d autres corps de métier, n avait pas à faire face à de profondes mutations de ses pratiques professionnelles. «Avec les nouveaux matériaux il y a une exigence bien plus importante dans la mise en œuvre. Souder correctement les gorges, bien réaliser la partie courante, aller jusqu au raz de l acrotère et non jusqu à cinq centimètres du bord...», estime Philippe Morel, Pdg de l entreprise Maury à Montreuil (93). Ce dirigeant dont plusieurs salariés sont régulièrement en stage de formation, met ainsi le doigt sur les enjeux essentiels auxquels la profession doit déjà faire face. Pierre Forgas, Il ne suffit plus d avoir appris une fois, encore faut-il bien transmettre et continuer à vouloir apprendre ancien conducteur de travaux chez un grand entrepreneur et responsable du secteur étanchéité au Centre promotionnel d Orcemont Formation Continue (CPO FC), va plus loin : «Il y a des personnes que nous avons formées il y a vingt ans dont la méthode de travail n a pas forcément bien évolué par rapport aux nouvelles techniques». L idée d une «formation tout au long de la vie», chère à certains dirigeants politiques, trouve ici matière à réflexion. Il ne suffit plus d avoir appris une fois, encore fautil bien transmettre et continuer à vouloir apprendre. Pierre Forgas regrette aussi le fait que «dans de nombreuses entreprises la transmission du savoir se fasse encore par le bouche-à-oreille» et de manière peu structurée. Un stage sur la mise en œuvre des relevés Afin d enrayer cette spirale de la déqualification, la commission formation de la CSFE en collaboration avec le CPO FC Étanchéité ont lancé un programme de formation particulièrement adapté au besoins actuels des entreprises d étanchéité. Le stage d une semaine (35 heures) porte sur «la mise en œuvre des relevés», le «point sensible et l origine de la plupart des sinistres» comme le rappelle Philippe Morel. La formation ne porte que sur les feuilles bitumineuses SBS et une attention très forte est portée sur les différentes étapes de leur mise en œuvre : préparation et séchage du support béton, mise en sécurité, pose et découpe des diverses membranes à souder, finition... En dehors d une séance dédiée aux grands principes théoriques sur l étanchéité, 70 % du temps est consacré à la maîtrise des gestes importants pour réussir son relevé. Cela va de la façon dont on doit tenir le chalumeau, à la manière dont il faut délarder sa feuille, en passant par la meilleure technique pour travailler son retour d angle. «Il y a des postures et des gestes qu il est indispensable de s approprier, même si l on est depuis longtemps dans le métier», souligne Pierre Forgas. Car le fait est là : ces formations entraînent immédiatement une baisse de la sinistralité et, comme l a constaté Philippe Morel, «cela provoque un réflexe de qualité dans l entreprise». Le CPO FC qui déménagera bientôt à Montreuil (93), organise déjà une série de stages en province et vise un rythme de deux stages par mois pour la seule région parisienne. RENSEIGNEMENTS : JAN MEYER ÉTANCHÉITÉ.INFO NUMÉRO 3 SEPTEMBRE

5 ACTUALITÉS > ASSEMBLÉE GÉNÉRALE CSFE À LILLE «Assurer une meilleure représentativité» L assemblée générale de la CSFE qui s est déroulée en juin à Lille a été l occasion de rappeler aux adhérents l importance des actions entreprises en Les négociations avec la FFB, le travail de lobbying pour une meilleure prise en compte de l étanchéité dans les appels d offre, la prévention des risques incendie, la baisse du taux de sinistralité, la promotion des toitures végétalisées... Les dossiers sont en effet nombreux et devront être poursuivis en 2004 et Dominique de Bray, président de la CSFE a fait remarquer que «la force et la CONCOURS À L ÉCOLE D ARCHITECTURE DE PARIS VAL-DE-SEINE crédibilité du syndicat seront assurées par une meilleure représentativité et un rayonnement vers l extérieur plus fort». Une représentativité qui bénéficie aujourd hui d une forte dynamique d adhésion : depuis 2003, 66 nouvelles entreprises ont ainsi rejoint l organisation professionnelle. Enfin, les travaux des commissions : la communication (Patrick Heulin), la formation (Alain Duthé) et la technique (Henri Desgouilles) ont fait l objet d une présentation détaillée et, là aussi, les participants ont pu mesurer l ampleur du travail réalisé. Graine d idées et de pertinence Début juin, Gérard Thiery, président de la chambre syndicale régionale de l étanchéité Ile-de-France, a remis les prix du concours organisé à l attention des élèves de cinquième année de l Ecole d architecture de Paris Valde-Seine. Cet événement original qui en est à sa quatrième édition, a mobilisé vingt équipes d étudiants autour du thème «un lieu de spectacle». Outre leur originalité souvent très débridée, les projets offraient la particularité d un traitement spécifique de la couverture et de l étanchéité. Toitures translucides, terrasses végétalisées, façades courbes et complexes, pluralité des matériaux ; les étudiants s en sont donnés à cœur joie dans l utilisation, parfois un peu confuse, des techniques actuellement disponibles dans le bâtiment. Le premier prix a été remis à l équipe d Arnaud L événement a mobilisé près de vingt équipes d étudiants en architecture Coutine pour une façade vitrée courbe contreventée avec des câbles en acier. Un projet qui s appuie sur une étude technique particulièrement poussée et décrite dans un carnet de détails qui mettait en valeur la technicité confirmée du lot étanchéité. Il convient de remarquer que ce concours est, pour la plupart des étudiants en architecture, la seule opportunité durant leur cursus de réfléchir à l étanchéité des bâtiments. Progressivement l interêt des candidats pour le concours augmente et la technicité des projets s affine. L ensemble des responsables de l événement, avec en premier lieu, Evelyne Berger, directrice adjointe de l école d architecture, s est engagé à s investir davantage afin que la prochaine édition de 2005 soit un succès à la hauteur de l enjeu, pour l ensemble des acteurs actuels et futurs du bâtiment. JAN MEYER Arnaud Coutine au centre, lauréat du concours d architecture, entouré de son équipe. LES RÉSULTATS > 1 er prix de euros à Arnaud Coutine pour son projet consacré à un espace musical à Boulogne-Billancourt. > 2 e prix de euros à Cédric Dartois pour son projet consacré à un espace d accueil pour les nouveaux arts scéniques aux Halles Boulingrin à Reims. > 3 e prix de euros à Karine Petit pour son projet consacré à l ancien site des usines Mécano à La Courneuve. ÉTANCHÉITÉ.INFO NUMÉRO 3 SEPTEMBRE

6 DOSSIER > PÉRENNITÉ DES TOITURES-TERRASSES Le contrat d entretien s impose Face aux conséquences coûteuses de l absence quasi générale de maintenance sur les toituresterrasses, les professionnels de l étanchéité tentent, plus que jamais, de promouvoir le contrat d entretien. Une démarche qui devrait bénéficier aujourd hui d un écho plus favorable grâce à un contexte propice à une meilleure prise de conscience des maîtres d ouvrage. Plus de 80 % des toitures-terrasses ne font jamais l objet de visites d entretien. C est le constat unanime que dressent aujourd hui encore les professionnels de l étanchéité. Une carence qui est toujours «à l origine d un nombre non négligeable de sinistres», souligne Bernard Ducret, expert d assurances. Usages abusifs des toitures, colonisation des protections meubles par des végétaux générant une dégradation du revêtement ou encore engorgement des évacuations pluviales par des détritus : les conséquences de ces dérives, directement liées à l absence d entretien et de contrôle des toitures, peuvent aboutir à des sinistres dont le coût dépasse largement celui d une maintenance préventive adaptée. Alors que le récent renforcement des dispositions relatives aux relevés d étanchéité devrait logiquement conduire à une réduction des pathologies sur ces surfaces, la généralisation des opérations d entretien apparaît désormais comme l un des premiers facteurs d amélioration de la conservation et de la durabilité des systèmes d étanchéité. D autant que d un point de vue technique, ce dossier s avère relativement bien maîtrisé. Depuis plusieurs années, la CSFE propose un contrat type qui définit précisément l objet et le contenu des prestations imputables aux opérations d entretien sur les terrasses inaccessibles, accessibles avec dalles sur plots ou encore sur les terrasses techniques (voir encadré). «Au fil du temps, nous avons progressivement amélioré ce document dans sa lisibilité et dans sa clarté tout en l adaptant aux évolutions des techniques, des produits et même aux difficultés de chantier», explique Dominique de Bray, président de la CSFE. Outre la réalisation d opérations de nettoyage des orifices d évacuation, d enlèvement des végétaux ou encore de remise en ordre des protections gravillons, l intérêt de l entretien prévu dans ce contrat réside avant tout dans la rédaction d un rapport d intervention. Ce document qui dresse un résumé des constatations et observations issues de l inspection vise non seulement à attirer l attention des propriétaires sur d éventuels désordres mais aussi et surtout à anticiper l évolution de la toiture et donc de proposer des mesures préventives. «L entretien doit rester l apanage du professionnel de l étanchéité, celui-ci étant le seul capable de repérer et de pressentir les causes d éven- 8 ÉTANCHÉITÉ.INFO NUMÉRO 3 SEPTEMBRE 2004

7 tuels désordres», prévient Dominique de Bray. À l heure où les toitures tendent à recevoir de plus en plus d équipements (antennes, paraboles, climatisation), cette démarche présente l avantage de détecter tout usage abusif et d obtenir, à terme, un historique précis retraçant la vie de la toiture. «Il serait temps aujourd hui de reconnaître que les toitures-terrasses ne sont plus des surfaces inertes mais qu elles représentent bel et bien un lieu d implantation privilégié d éléments techniques. Une tendance qui augmente les risques de mauvais usages et donc de «Au fil du temps, nous avons progressivement amélioré ce document dans sa lisibilité et dans sa clarté» dégradations préjudiciables pour l étanchéité», estime-t-on à la société GIR Etanchéité. Et pourtant, rares sont encore les maîtres d ouvrage à mettre en place un entretien régulier de leurs toitures. Les raisons de cette carence résident sans doute, pour une part, dans l absence d obligation d entretien sur les toitures-terrasses. Jusqu à présent, les opérations préconisées dans les DTU série 43 relèvent uniquement de recommandations. D autre part, la grande majorité des professionnels reconnaît

8 DOSSIER > que la garantie décennale, si elle offre une protection bénéfique aux maîtres d ouvrage, ne va pas dans le sens de leur responsabilisation face à la maintenance de leurs bâtiments. «Il est évident que la décennale telle qu elle est aujourd hui mise en œuvre n incite pas les gestionnaires à investir dans l entretien», constate François Ausseur, responsable de la «la décennale telle qu elle est aujourd hui mise en œuvre n incite pas les gestionnaires à investir dans l entretien», François Ausseur, Fondation d entreprise SMABTP Fondation d entreprise de la SMABTP. Une tendance que la jurisprudence ne vient pas contredire. Dans ce domaine, aucune contrainte ne pèse encore réellement sur les maîtres d ouvrage. Et s il ne faut pas s attendre à voir, même à moyen terme, la preuve d un défaut d entretien devenir une réelle cause d exonération de la garantie décennale, des incitations plus précises commencent néanmoins à voir le jour. «Il est vrai que les experts et les juges tendent, aujourd hui, de plus en plus, à prendre en compte, le cas échéant, des manquements à l entretien, favorisant ainsi une ventilation des réparations à la charge des divers parties», indique Guy Spehner, secrétaire général de Soprema et président de la commission Juridique et Assurance de la CSFE. Parallèlement, les compagnies d assurance se disent favorables au développement des contrats d entretien pour les toitures-terrasses. Une position d autant plus importante qu elle pourrait éventuellement se traduire par des mesures incitatives. «Il n est pas interdit d imaginer que le contrat d entretien puisse un jour être intégré à l arbre de tarification de l assurance dommage-ouvrage», note à ce sujet Guy Spehner. D une manière générale, le contexte semble désormais propice à une plus grande prise de conscience des gestionnaires de bâtiment. D un côté, la réforme de l assurance construction lancée par le ministère de l Équipement a fourni une occasion aux professionnels du bâtiment de pointer du doigt les incohérences et les dérives de la garantie décennale dans sa mise en cause quasi systématique de la responsabilité des entreprises. De l autre, la révision de la loi SRU votée en 2000 inscrit une nouvelle disposition exigeant l ouverture et la tenue par les syndics d un carnet d entretien. Un document qui doit non seulement mentionner l année de réalisation des travaux mais également référencer les contrats d entretien souscrits pour l immeuble. S il n est pas encore question d une quelconque obligation de maintenance sur les toitures-terrasses, cette initiative a néanmoins favorisé l établissement de plans d entretien types. En 2001, la Confédération nationale des administrateurs de biens (Cnab) publiait ainsi un programme de référence précis. Plus récemment, c était au tour de l Afnor de proposer un Guide pour l élaboration de notices de surveillance et d entretien des immeubles collectifs, des logements et des bureaux. Ce document relativement exhaustif précise les interventions d entretien à réaliser pour les étanchéités par membrane ou asphalte sur dalles, leur périodicité, les cas des désordres et souligne la nécessité de faire appel aux professionnels concernés. ENTRETIEN DES ÉTANCHÉITÉS les points clés à surveiller > L état de la protection du revêtement ou l état de surface du revêtement. > L état de conservation des ouvrages accessoires. Contrôler notamment les joints mastic présents sur les bandes porte solin ainsi que les dispositifs d écartement des eaux de ruissellement. > L état de conservation des ouvrages de gros œuvres tels que larmiers, acrotères, corniches, souches, bandeaux, lanterneaux... > Les relevés d étanchéité : les éventuels décollements ainsi que les gorges de relevés susceptibles de se déformer. > Le bon fonctionnement des orifices EP. > Le maintien à leur emplacement primitif des protections meubles. LE RAPPORT D INTERVENTION Il devient un outil de gestion À la suite des opérations d entretien, l entreprise établit un rapport d intervention qui dresse non seulement un état des lieux mais qui doit également permettre d obtenir, à terme, un historique précis retraçant la vie de la toiture. Ce document adressé au propriétaire de l immeuble ou à son mandataire précise : - la date de l intervention, - un résumé des constatations et observations, afin d attirer l attention sur certains points particuliers tels que : > L usage abusif des toituresterrasses ainsi que toute activité ou installation inhabituelle sur celles-ci. > L activité d un autre corps d état (ramonage, entretien d ascenseur, vide ordures, ventilations mécaniques, ravalement...). > Les désordres apparents dans le gros œuvre ou les autres ouvrages. > L opportunité de réaliser certains travaux de la spécialité de l entreprise ou de celle d un autre corps d état sortant du cadre de l entretien pour lesquels un devis sera établi à la demande du Propriétaire de l immeuble ou son mandataire pour une exécution éventuelle dans le cadre d un contrat de louage d ouvrage spécifique. > L impossibilité d accéder à certaines terrasses. > La nécessité éventuelle d utiliser un désherbant et / ou un démoussant. 10 ÉTANCHÉITÉ.INFO NUMÉRO 3 SEPTEMBRE 2004

9 DOSSIER > Proposer un contrat dès la facturation Un ensemble de texte sur lequel les entreprises d étanchéité peuvent largement s appuyer pour encourager leurs clients à signer un contrat d entretien. «L idéal consisterait à proposer systématiquement ce contrat dès la facturation. Néanmoins, il me semble nécessaire d attirer l attention des clients sur ce point dès le devis», estime Marius Antoine, président de la CSRE PACA. «Aujourd hui, aucune entreprise d étanchéité ne devrait être prise en défaut face à un expert qui demanderait si elle a bel et bien proposé un contrat d entretien. La profession doit sur, ce sujet, se mobiliser pour faire passer un message fort», insiste Dominique de Bray. La CSFE devrait donc prochainement engager des actions en direction des chambres régionales afin qu elles engagent un travail de communication et de promotion du contrat d entretien. Un effort de sensibilisation qui devra également s adresser aux gestionnaires de bâtiment. «Les maîtres d ouvrage doivent prendre conscience que l absence d entretien sur une toiture-terrasse risque d aboutir à des conséquences autrement plus coûteuses que sur une couverture traditionnelle», souligne le président de la CSFE. «Suite à une infiltration, un isolant peut se gorger d eau et diffuser, au fil des années, sur la totalité du complexe. Le sinistre est susceptible de se déclarer uniquement douze ou quinze ans après la mise en œuvre. Dans ce cas, la garantie décennale ne sera plus d aucun secours!» BASTIEN CANY LES PRESTATIONS CONTENUES DANS LE CONTRAT D ENTRETIEN Le contrat impose l entretien des toitures-terrasses au moins une fois par an Toitures-terrasses inaccessibles ou techniques > Examen général des ouvrages d étanchéité directement visibles. > Inspection de tous les ouvrages complémentaires directement visibles sur la toiture notamment souches, édicules, lanterneaux, acrotères, ventilations, zinguerie... > Vérification et nettoyage des orifices des évacuations d eaux pluviales et trop-pleins. > Enlèvement des mousses, herbes, feuilles mortes, végétation et détritus. > Remise en ordre des protections gravillons sur les toitures-terrasses. Terrasses accessibles avec dalles sur plots > Inspection des ouvrages complémentaires directement visibles, notamment : bandeaux, murs en élévation, acrotères, gardecorps, pénétrations... > Nettoyage des orifices d évacuation des eaux pluviales. > Enlèvement des mousses, herbes, feuilles mortes, végétations et détritus, nettoyage des joints. > Nettoyage au jet d eau, à la pression du robinet, du support des plots. 12 ÉTANCHÉITÉ.INFO NUMÉRO 3 SEPTEMBRE 2004

10 APPLICATION > À chaque étape du chantier, il convenait d effectuer un raccordement provisoire du pare-vapeur et de la nouvelle étanchéité à la couche d asphalte existante. RÉFECTION DE TERRASSES PARKINGS Protection renforcée par une do La réfection de ce parking, situé en terrasses d immeubles de bureaux, a nécessité le remplacement complet du complexe existant particulièrement dégradé. Un chantier qui vient apporter une protection renforcée à cette zone de stationnement tout en respectant des contraintes d intervention draconiennes. Fractionnements de la dalle béton, fissurations du revêtement de circulation en asphalte, sinistres récurrents... Pour Silic, spécialiste de la location de bureaux, la réfection des m 2 de terrasses parkings desservant son parc d immeubles du quartier de La Défense devenait une question d image de marque. À l apparition des premières fuites, le maître d ouvrage a finalement opté pour une réfection complète du complexe isolant/étanchéité/couches de circulation. Et si la solution retenue reste conforme au DTU 43.1, elle diffère quelque peu des systèmes traditionnels. L application d un enrobé sur la dalle béton se rapproche en effet des solutions préconisées en climat de montagne. Une double couche de circulation qui apporte ici une protection renforcée. Le complexe installé sur support béton comprend une isolation thermique en verre cellulaire protégée par une étanchéité bicouche élastomère de type Sopralene Flam. Quant à la chape béton, elle repose classiquement sur un écran de désolidarisation. «Avec cet investissement, le maître d ouvrage dispose désormais d une étanchéité optimale soutenue par l utilisation du verre cellulaire ainsi que d un revêtement de circulation en enrobé reconnu pour sa stabilité dans le temps», indique Pierre Battaglia, de Cetibam. Pour cette entreprise d étanchéité en charge des travaux, ce chantier reste avant tout marqué par trois grandes particularités. Premièrement : l obligation d intervenir sur un site tertiaire occupé par ses locataires. Une contrainte supplémentaire qui pèse lourdement sur l organisation des travaux et notamment les opérations de déconstruction du complexe existant. D une part, la dépose de l ancienne dalle béton de protection était cantonnée à un créneau horaire limité, le matin, afin d éviter les nuisances liées à la mise en œuvre de marteaux piqueurs. D autre Première couche Seconde couche Isolant Enrobé rouge (40 mm) Chape béton armé (60 mm) Pavé béton (rouge) NTS 170 (20 cm) + Mortier Protection du joint ÉTANCHÉITÉ.INFO NUMÉRO 3 SEPTEMBRE 2004

11 11 uble couche de circulation part, la nécessité de conserver des zones de stationnement imposait de travailler par tranches d environ 400 m 2. D où l exigence d effectuer, à chaque étape du chantier, un raccordement provisoire du parevapeur et de la nouvelle étanchéité à la couche d asphalte existante. Deuxièmement, le chantier a révélé plusieurs surprises au cours de son avancée. Parmi elles, la découverte d anciens patios fermés par une dalle de béton reposant sur le plancher de la terrasse et générant ainsi une marche d une quinzaine de centimètres. La mise à niveau nécessaire a été rendue possible par l utilisation sur cette chape d une étanchéité de type Sopralene Antirock capable de recevoir directement l enrobé coulé à chaud. Enfin, autre originalité : la volonté architecturale d intégrer des lignes de pavés non seulement pour le marquage des places de parkings (pavés jaunes) mais également au droit des fractionnements et des joints de dilatations (pavés rouges, voir schéma). «Avec ces pavés, scellés sur mortier appliqué sur la couche de désolidarisation, nous avons tenté d allier au mieux l exigence réglementaire de fractionner et la nécessité fonctionnelle de marquer», explique Jean-Pierre Hamel, architecte. Car, si la fonction première des pavés de marquage reste bel et bien la signalisation des places de stationnement, ils assurent également, au même titre que les pavés rouges, un rôle de fractionnement. «Nous disposons ainsi d un maillage dense de fractionnement : environ 12 m 2 pour les places parkings et un maximum de 25 m 2 pour les zones de circulation», souligne Pierre Battaglia. «Une configuration qui devrait prémunir cette terrasse de ses anciennes pathologies et notamment des nombreuses fissurations dont souffrait le revêtement précédent.» BASTIEN CANY LES INTERVENANTS Maître d ouvrage : Silic. Maître d ouvrage délégué : Socomie. Architecte : Jean-Pierre Hamel. Entreprise d étanchéité : Cetibam. Contrôleur technique : Alpha Contrôle. Seconde membrane Soprajoint NTS 170 (25 cm) Première membrane Soprajoint Mortier de pose à 250 kg Chape béton armé (60 mm) Joints Latéraux : bandes résilientes NTS Gravillon +NTS 170 «Avec ces pavés nous avons tenté d allier au mieux l exigence réglementaire de fractionner et la nécessité fonctionnelle de marquer». Jean-Pierre Hamel, Architecte «La nouvelle configuration devrait prémunir cette terrasse de ses anciennes pathologies et notamment des nombreuses fissurations dont souffrait le revêtement précédent». Pierre Battaglia, Cetibam ÉTANCHÉITÉ.INFO NUMÉRO 3 SEPTEMBRE

12 APPLICATION > La protection du revêtement contre les compressions est capitale dès lors que la toiture doit encore supporter les équipements des différents corps d état intervenants ici pour le ravalement et la réfection de la VMC. Du verre cellulaire en réfection d un HLM «Vu les contraintes d intervention, la resistance à la compression de l isolant a été un atout». Cécile Ledoux, GIR Etanchéité Une des volontés du bailleur engagé dans la réfection des toitures-terrasses de ses immeubles à Colombes était la durabilité du complexe isolant/étanchéité. Un objectif qui s est traduit par la prescription d un isolant thermique en verre cellulaire. La prescription peut parfois réserver quelques bonnes surprises aux entreprises d étanchéité. D autant plus lorsque le prescripteur s avère être un bailleur social. Dans le cadre de la réhabilitation d immeubles d habitations à loyer modéré à Colombes, GIR Etanchéité s est ainsi vu confier par Montalivet immobilier la réfection d étanchéité de m 2 de toitures-terrasses dont 980 m 2 comportaient la pose d un isolant thermique en verre cellulaire. Un choix technique dont le surcoût vient à rebours de certains clichés sur les politiques d investissements consentis pour ce type de logements. «La principale particularité de ce chantier reste bel et bien la volonté du maître d ouvrage d obtenir des garanties quant à la durabilité de son complexe isolant/étanchéité», explique Cécile Ledoux, conducteur de travaux chez GIR. «Le choix du verre cellulaire», indique pour sa part M. Cadot, représentant les services techniques du bailleur, «nous permet d envisager l avenir avec sérénité.» Il s agit en effet de l un des principaux avantages mis en avant par Pittsburgh Corning fournisseur des panneaux isolants en verre cellulaire Foamglas. Un matériau non seulement réputé pour conserver l étanchéité jusqu au support en cas de perforation, mais également pour contenir d éventuelles fuites au droit du désordre en évitant ainsi la migration horizontale de l eau en périphérie de l accident. Une étanchéité à l eau doublée d une étanchéité à la vapeur d eau qui doit normalement permettre de faire l économie d un pare-vapeur. Néanmoins, à Colombes, cette possibilité n a pas été retenue, principalement pour des questions de mise en œuvre. «D une certaine manière, la pose d un pare-vapeur assurait ici une fonction de mise hors d eau de la toiture. Il s agissait surtout d apporter une première protection au support alors que le chantier débutait en janvier après plusieurs épisodes pluvieux». Auparavant, il aura néanmoins fallu procéder à la dépose des complexes précédemment en place. La toiture composée de trois terrasses comportait deux systèmes : asphalte pour la terrasse centrale et une étanchéité bicouche élastomère constituée de panneaux d isolation thermique en perlite expansée pour les deux terrasses en extrémité. Si la dépose de l asphalte contraint à l emploi d un marteau piqueur, le second système présente, pour sa part, l inconvénient de s effriter et de générer une poussière difficilement gérable sur un site exposé aux vents. Du côté de la mise en œuvre du verre cel- ÉTANCHÉITÉ.INFO NUMÉRO 3 SEPTEMBRE

13 APPLICATION > L adhérence des panneaux de verre cellulaire au support béton est réalisée par collage EAC avec une quantité de bitume de 4 kg/m 2. L étanchéité des joints s effectue en provoquant le reflux du bitume chaud. lulaire, encadrée par un avis technique, les panneaux sont collés par bitume chaud EAC (Enduit d Application à Chaud) en pleine adhérence sur l élément porteur. Sur support béton, l étanchéité des joints est obtenue par refoulement du bitume lors de la pose. Une particularité qui assure la solidarité et l homogénéité du complexe. La gestion des points singuliers s effectue par un façonnage relativement aisé des panneaux qui ne requiert qu une simple scie. De la même manière, la liaison des feuilles d étanchéité avec l isolant est réalisée par collage EAC. Sur ce chantier qui a mobilisé cinq personnes à la pose, le choix de l étanchéité s est porté classiquement sur un système bicouche élastomère autoprotégé. Protection du revêtement contre la compression Si d un côté, de telles opérations tendent, bien entendu, à rallonger les temps de mise en œuvre, de l autre, les compagnons reconnaissent au verre cellulaire un véritable intérêt pour la protection du revêtement notamment en cours de chantier. Avec un tassement sous charge maintenue inférieur à 0,2 mm tel que défini dans l avis technique, le matériau minimise l impact des compressions sur le revêtement. «Au vu de nos contraintes d intervention, cela représente un atout non négligeable», souligne Cécile Ledoux «une fois l étanchéité achevée, il est fréquent que d autres corps d état interviennent, cela augmente les risques de dégradation du revêtement. Il est certain que le verre cellulaire nous apporte une certaine sérénité». Pour sa part, la maîtrise d ouvrage reconnaît que cette stabilité associée à l imputrescibilité du matériau, viennent compenser des performances thermiques généralement inférieures aux autres isolants disponibles sur le marché. «Certes les caractéristiques en termes d isolation sont inférieures, mais elles restent constantes dans le temps», souligne M. Cadot. Des propriétés qui ont convaincu les services techniques de ce bailleur d accepter un surcoût estimé à 30 %. BASTIEN CANY LES INTERVENANTS Après la pose des panneaux isolants, le collage des feuilles d étanchéité s effectue classiquement à l aide de bitume chaud qui contribue à l homogénéité du complexe. Maître d ouvrage : Montalivet immobilier. Maître d œuvre : Jean Rieth. Couverture étanchéité : GIR Étanchéité. est une publication trimestrielle de L'Association pour la Promotion des Métiers de l'etanchéité APME- PROMETHÉE, éditée sous l'égide de la CSFE. FEDERATION FRANÇAISE DU BATIMENT ETANCHEITE Chambre Syndicale Française de l Étanchéité 6-14 rue La Pérouse, Paris cedex 16 Tél. : Fax : Directeur de la publication : Christian Paillard Comité de rédaction : Catherine Bon, Sophie Pepe, Henri Desgouilles, Alain Duthé, Patrick Heulin, Christian Paillard, Pierre Pannetier, Daniel Rémolu. Etanchéité.info est éditée par Pyc Édition place de la Chapelle, Paris Tél. : Fax : Rédaction : Jan Meyer (47 84) j-meyer@pyc.fr Bastien Cany (47 85) b-cany@pyc.fr Publicité : Marie Jugan (47 95) mc-jugan@pyc.fr Maquette : Atelier Manifesto Impression : Edips (Quetigny) Routage : GL Routage (Quetigny) Dépôt légal à parution Crédits photos : D. de Bray, B. Cany, J. Meyer, Pittsburgh Corning, Smac Aceroïd, Soprema. ÉTANCHÉITÉ.INFO NUMÉRO 3 SEPTEMBRE

Toitures et charpentes

Toitures et charpentes Toitures et charpentes 1/7 Toiture-terrasse Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des toitures-terrasses, accessibles ou non. Les ouvrages considérés sont

Plus en détail

Tortuire-Terrasse Pont et parking. Dilat 40/60. Edition 3/2010. ... Système de joint de dilatation mécanique pour parking

Tortuire-Terrasse Pont et parking. Dilat 40/60. Edition 3/2010. ... Système de joint de dilatation mécanique pour parking Tortuire-Terrasse Pont et parking Dilat 40/60... Système de joint de dilatation mécanique pour parking Edition 3/2010 Toutes les nouveautés, les catalogues à jour consultables et téléchargeables sur www.danialu.com

Plus en détail

RAPPORT D INTERVENTION

RAPPORT D INTERVENTION R PRESTATAIRE DE SERVICES RAPPORT D INTERVENTION N 7445 Rédigé par Eric TANGUY Céline LETORT Intervention du 23/07/2010 Affaire Nature de l intervention Toiture contrôlée Intervention à la demande de Résidence

Plus en détail

Dallnet goutte d eau

Dallnet goutte d eau Balcon Dallnet goutte d eau... Larmiers en aluminium pour façade et nez de balcon Edition 8/009 Toutes les nouveautés, les catalogues à jour consultables et téléchargeables sur www.danialu.com La philosophie

Plus en détail

VILLE DE FEYZIN PÔLE LOGISTIQUE ET BÂTIMENTS CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.) TRAVAUX DE REFECTION D'ETANCHEITE

VILLE DE FEYZIN PÔLE LOGISTIQUE ET BÂTIMENTS CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.) TRAVAUX DE REFECTION D'ETANCHEITE Département du Rhône (69) VILLE DE FEYZIN PÔLE LOGISTIQUE ET BÂTIMENTS CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.) TRAVAUX DE REFECTION D'ETANCHEITE CENTRE DE LOISIRS 1 RUE DES BLEUETS Ville

Plus en détail

Plancher chauffant avec revêtement de sol

Plancher chauffant avec revêtement de sol Équipements E.2 1/6 Plancher chauffant avec revêtement de sol Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des planchers chauffants, à eau chaude ou électriques,

Plus en détail

Etanchéité. Edition 3/2013. Drain. Systèmes de drainage des eaux d enrobés

Etanchéité. Edition 3/2013. Drain. Systèmes de drainage des eaux d enrobés Drain Systèmes de drainage des eaux d enrobés Edition 3/2013 Etanchéité La philosophie de notre entreprise s exprime par la formule : idées + aluminium = dani alu idées : Recherche de solutions pratiques

Plus en détail

Le maçon à son poste de travail

Le maçon à son poste de travail Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison

Plus en détail

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air

Plus en détail

Etanchéité. Sécurité. Façade. Solaire

Etanchéité. Sécurité. Façade. Solaire Etanchéité Solinet Systèmes de solins en aluminium «L utilisation de bandes solines métalliques est obligatoirement justifiable de l Avis Technique CSTB.» DTU 0. Edition /00 /0 NOUVEAU! Solinet 0/0 pour

Plus en détail

Immeuble collectif AQC

Immeuble collectif AQC AQC Immeuble collectif Comment bien utiliser votre assurance construction «Dommages-Ouvrage»? Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité

Plus en détail

Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage»

Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage» Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage» Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité des constructions. Il a été rédigé

Plus en détail

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY

Plus en détail

Drainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs.

Drainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Drainage de maches anti-remontée à l humidité Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Goutte par goutte, le désastre prend forme. Comme ils ne

Plus en détail

Construction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests

Construction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests Notice Produit Edition 09.2012 Identification no4794 Version no. 2012-208 Sarnavap 5000E SA Pare-vapeur Description du produit Sarnavap 5000E SA est un pare-vapeur auto-adhésif pour système en adhérence

Plus en détail

C0nstruire une mais0n. Sommaire

C0nstruire une mais0n. Sommaire Sommaire Page 2 : Le terrain Page 3 : Les raccordements Page 4 : Les fondations Page 5 : La chape Page 6 : Les murs Page 8 : Les planchers Page 9 : Le toit Page 10 : La charpente Page 12 : Les tuiles C0nstruire

Plus en détail

ISOLATION THERMIQUE ET ÉTANCHÉITÉ DES POINTS SINGULIERS DE TOITURES AVEC ÉLÉMENTS PORTEURS EN MAÇONNERIE

ISOLATION THERMIQUE ET ÉTANCHÉITÉ DES POINTS SINGULIERS DE TOITURES AVEC ÉLÉMENTS PORTEURS EN MAÇONNERIE www.reglesdelart-grenelle-environnement-2012.fr RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES ISOLATION THERMIQUE ET ÉTANCHÉITÉ DES POINTS SINGULIERS DE TOITURES AVEC ÉLÉMENTS PORTEURS EN MAÇONNERIE MARS 2014 NEuF

Plus en détail

Rénovation à très haute performance énergétique (Minergie-P )

Rénovation à très haute performance énergétique (Minergie-P ) Rénovation à très haute performance énergétique (Minergie-P ) de Treize immeubles d habitation Pour la Société Coopérative d Habitation 10.03.2014 1. INTRODUCTION 1.1Présentation de la société candidate

Plus en détail

Cours de Structures en béton

Cours de Structures en béton Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur

Plus en détail

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi

Plus en détail

N 5 SUPERSTRUCTURE. Enveloppe Seconde œuvre. Arezou MONSHIZADE MOBat

N 5 SUPERSTRUCTURE. Enveloppe Seconde œuvre. Arezou MONSHIZADE MOBat N 5 SUPERSTRUCTURE Enveloppe Seconde œuvre Arezou MONSHIZADE MOBat SUPERSTRUCTURE: Eléments constructifs SUPERSTRUCTURE Murs et baies Plancher Toiture Couverture +Seconde oeuvre INFRASTRUCTURE Sol Semelles

Plus en détail

PRÉGYMÉTALTM. Mise en œuvre CONTRE-CLOISONS PRINCIPES DE POSE POINTS SINGULIERS ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES

PRÉGYMÉTALTM. Mise en œuvre CONTRE-CLOISONS PRINCIPES DE POSE POINTS SINGULIERS ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES PRÉGYMÉTALTM Mise en œuvre Caractéristiques techniques pages 90 à 9 PRINCIPES DE POSE A POINTS SINGULIERS 7 A 0 ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES TRAÇAGE ET POSE DES RAILS CONTRE-CLOISONS

Plus en détail

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 Incendie Code du Travail R4216-1 à R4216-7 ; R4216-11 à R4216-34 Code du Travail R4225-8 Code du Travail R4227-34 à R4227-36 Code du Travail R4227-1

Plus en détail

prêt copropriétés creditfoncier.fr FONCIER Copro 100 Le financement de travaux sur les parties communes de votre copropriété

prêt copropriétés creditfoncier.fr FONCIER Copro 100 Le financement de travaux sur les parties communes de votre copropriété prêt copropriétés creditfoncier.fr FONCIER Copro 100 Le financement de travaux sur les parties communes de votre copropriété Une copropriété doit être entretenue et nécessite parfois la réalisation de

Plus en détail

Syndics, vous gérez un immeuble de moins de 10 ans. Syndics de copropriétés. Vous constatez un désordre de construction Cette brochure vous intéresse

Syndics, vous gérez un immeuble de moins de 10 ans. Syndics de copropriétés. Vous constatez un désordre de construction Cette brochure vous intéresse Syndics, vous gérez un immeuble de moins de 10 ans Vous constatez un désordre de construction Cette brochure vous intéresse Document réalisé par les professionnels de l'immobilier, les assureurs, les différents

Plus en détail

RAPPORT D INTERVENTION. Résidence Les Hauts de Fontsainte Allée Louis Benet & chemin du Baguier 13600 LA CIOTAT

RAPPORT D INTERVENTION. Résidence Les Hauts de Fontsainte Allée Louis Benet & chemin du Baguier 13600 LA CIOTAT R PRESTATAIRE DE SERVICES RAPPORT D INTERVENTION N 738-739-7331 Intervention du 6/0/010 Rédigé par Eric TANGUY Opération Affaire Résidence Les Hauts de Fontsainte Allée Louis Benet & chemin du Baguier

Plus en détail

Vanves le 26 mars 2012. Madame Castagnet, bat 48 Monsieur Pellé, bat 48 Madame Olive, bat 48 14 avenue Pasteur 92170 Vanves

Vanves le 26 mars 2012. Madame Castagnet, bat 48 Monsieur Pellé, bat 48 Madame Olive, bat 48 14 avenue Pasteur 92170 Vanves Madame Castagnet, bat 48 Monsieur Pellé, bat 48 Madame Olive, bat 48 14 avenue Pasteur 92170 Vanves Madame Chauvelot, bat 49 Madame Croiset, bat 49 Monsieur Szojchert, bat 49 Madame Zapater, bat 49 Madame

Plus en détail

Sommaire ... PRESENTATION ... AGENCEMENT ... CLOISONS - PORTES ... ECLAIRAGE - DÉCORATION ... REVÊTEMENT ... RÉSINE DE SYNTHÈSE ...

Sommaire ... PRESENTATION ... AGENCEMENT ... CLOISONS - PORTES ... ECLAIRAGE - DÉCORATION ... REVÊTEMENT ... RÉSINE DE SYNTHÈSE ... d e n t a i r e e t m é d i c a l d e n t a i r e e t m é d i c a l Sommaire 4 5 6 7 8 9... PRESENTATION... AGENCEMENT... CLOISONS - PORTES 10 11... ECLAIRAGE - DÉCORATION 12 13... REVÊTEMENT 14 15...

Plus en détail

LATTIS MÉTALLIQUES NERGALTO, NERLAT, GALTO

LATTIS MÉTALLIQUES NERGALTO, NERLAT, GALTO LATTIS MÉTALLIQUES NERGALTO, NERLAT, GALTO NERGALTO, NERLAT, GALTO Facilité d emploi, Adaptabilité, Performance Les lattis métalliques nervurés NERLAT et NERGALTO sont la solution LATTIS adoptée par les

Plus en détail

Eurothane Autopro SI, le panneau haute performance d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses.

Eurothane Autopro SI, le panneau haute performance d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Eurothane Autopro SI, le panneau haute performance d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Sur béton, bois ou dérivés du bois. Le panneau EUROTHANE AUTOPRO SI apporte à votre

Plus en détail

Travaux de rénovation partielle de bureaux et de laboratoires

Travaux de rénovation partielle de bureaux et de laboratoires Travaux de rénovation partielle de bureaux et de laboratoires Centre de recherche Saint Antoine UMR-S 893 Site de l Hôpital Saint Antoine Bâtiment Inserm Raoul KOURILSKY 6 ème étage Equipe 13 Alex DUVAL

Plus en détail

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?

Plus en détail

LOT 04 PLOMBERIE SANITAIRES

LOT 04 PLOMBERIE SANITAIRES LOT 04 PLOMBERIE SANITAIRES page 1 1 CLAUSES ET PRESCRIPTIONS GENERALES 1.1 OBJET DE LA NOTICE Le présent CCTP concerne la description des travaux du lot PLOMBERIE SANITAIRES pour la construction des nouvelles

Plus en détail

SURFACES ET EFFECTIFS

SURFACES ET EFFECTIFS 2,91 m 3,50 m 6 m 3,50 m 3,50 m 5,80 m 3,50 m 3 m 3,50 m rue des Sablons COUPE RESTRUCTURATION D'UN ENSEMBLE IMMOBILIER 29-31 rue des Sablons - Impasse des prêtres 75016 PARIS COMMERCIALISATION COUPE COMMERCIALISATION

Plus en détail

Contrôle thermographique Tarifs et prestations :

Contrôle thermographique Tarifs et prestations : 20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations

Plus en détail

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale

Plus en détail

Document Technique d Application. Epsitoit 20

Document Technique d Application. Epsitoit 20 Document Technique d Application Référence Avis Technique 5/12-2321 Annule et remplace l Avis Technique 5/06-1898*V1 Panneaux isolants non porteurs en polystyrène expansé (EPS) support d étanchéité Isolant

Plus en détail

A. Toitures terrasses support d étanchéité 154

A. Toitures terrasses support d étanchéité 154 > Guide de choix... 152 A. Toitures terrasses support d étanchéité 154 B. Combles et rampants 157 www.placo.fr 151 Guid Isolation du Bâti 4. Isolation des toitures Guide de choix Isolation des toitures

Plus en détail

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE 1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de

Plus en détail

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT:

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT: Panneaux de terrasse TimberStar Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2 Veuillez lire l intégralité de la notice de pose avant de commencer le montage! Les panneaux de terrasse TimberStar peuvent être sciés,

Plus en détail

R A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique

R A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique Commune de Peseux Conseil communal R A P P O R T du Conseil communal au Conseil général relatif à une demande de crédit de CHF 1'910'000.- pour la rénovation des conduites d'eau, de gaz, d'électricité,

Plus en détail

L HABITAT. Technologie 5ème

L HABITAT. Technologie 5ème L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,

Plus en détail

«RÉFECTION DES PLOTS Salle MATISSE» C.C.T.P. (Cahier des Clauses Techniques Particulières) Lot n 1 Maçonnerie

«RÉFECTION DES PLOTS Salle MATISSE» C.C.T.P. (Cahier des Clauses Techniques Particulières) Lot n 1 Maçonnerie «RÉFECTION DES PLOTS Salle MATISSE» C.C.T.P. (Cahier des Clauses Techniques Particulières) Lot n 1 Maçonnerie Maître d ouvrage : Maître d œuvre : Marché : Objet : Mode de consultation : Personnes à contacter

Plus en détail

Souscription des assurances construction par un maître d ouvrage public

Souscription des assurances construction par un maître d ouvrage public Souscription des assurances construction par un maître d ouvrage public Octobre 2013 1 / 24 SOMMAIRE 1) LE PROCESSUS DE SOUSCRIPTION 1.1) Quand souscrire les assurances construction? 1.2) Quels sont les

Plus en détail

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des

Plus en détail

Impôts 2015. TVA à 5,5% ou 10% - Travaux dans les logements de plus de 2 ans. particuliers. professionnels du bâtiment

Impôts 2015. TVA à 5,5% ou 10% - Travaux dans les logements de plus de 2 ans. particuliers. professionnels du bâtiment Impôts 2015 TVA à 5,5% ou 10% - Travaux dans les logements de plus de 2 ans particuliers professionnels du bâtiment travaux relevant des taux réduits attestation Les principaux taux de TVA depuis le 1er

Plus en détail

Acoustique et thermique

Acoustique et thermique Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule 2. Étude de systèmes constructifs 29 Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule Les bonnes solutions thermiques n améliorent pas forcément l acoustique!

Plus en détail

guide du copropriétaire

guide du copropriétaire guide du copropriétaire 2 sommaire 6 Comment fonctionne la copropriété? 3 Edito 11 Vous êtes copropriétaires, vous devez... 14 Lexique 4 Qu est-ce que la copropriété? 12 Foire aux questions 10 La vie de

Plus en détail

L unité de méthanisation de Montpellier : un projet novateur, faisant appel à un procédé écologique de valorisation des déchets organiques

L unité de méthanisation de Montpellier : un projet novateur, faisant appel à un procédé écologique de valorisation des déchets organiques Des innovations pour l environnement. doc. Architecture technologie et environnement Prévue pour le second semestre 2008, la mise en service de l usine de méthanisation de Montpellier devrait marquer un

Plus en détail

VILLE DE BAYONNE RESTAURATION DES IMMEUBLES EN CENTRE ANCIEN Secteur Sauvegardé, Zone patrimoniale de St Esprit

VILLE DE BAYONNE RESTAURATION DES IMMEUBLES EN CENTRE ANCIEN Secteur Sauvegardé, Zone patrimoniale de St Esprit VILLE DE BAYONNE RESTAURATION DES IMMEUBLES EN CENTRE ANCIEN Secteur Sauvegardé, Zone patrimoniale de St Esprit REGLEMENT D ATTRIBUTION DE SUBVENTIONS COMMUNALES Afin de préserver et mettre en valeur le

Plus en détail

Avec SAMSE et ses partenaires. Cetii. Les valeurs à connaitre

Avec SAMSE et ses partenaires. Cetii. Les valeurs à connaitre Coordination du lot transversal d étanchéité à l air : l ingénierie concourante Quelques astuces chantier : Chaque interface entre les lots ou interruption de la continuité d étanchéité, doivent être recueillis

Plus en détail

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE COMMENT REHABILITER UN CHATEAU D EAU? INTRODUCTION Historique de la construction: Construits entre 1920 et 1980, mais depuis 1950 pour 70% du parc actuel.

Plus en détail

RAPPORT D AUDIT SOLIDITE

RAPPORT D AUDIT SOLIDITE RAPPORT D AUDIT SOLIDITE Parking Centre commercial Carrefour Nice Lingostière Réalisé par : Pour le compte de : Date Indice 20/03/2012 A SARL 1GBTP 1796 Rte de Gattières 06510 Carros Tel : 06.62.41.42.62

Plus en détail

Les fondements juridiques sous-tendant les

Les fondements juridiques sous-tendant les L expert Dégât des eaux et la responsabilité des entreprises L auteur Christophe Gadouleau Dans la pratique quotidienne de son activité, l expert Dégât des eaux intervenant en dommage est parfois en situation

Plus en détail

Pour la mise en œuvre de procédés d étanchéité photovoltaïque avec modules souples DOSSIER JUIN 2009 RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES DE LA CSFE

Pour la mise en œuvre de procédés d étanchéité photovoltaïque avec modules souples DOSSIER JUIN 2009 RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES DE LA CSFE DOSSIER JUIN 2009 01 RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES DE LA CSFE Pour la mise en œuvre de procédés d étanchéité photovoltaïque avec modules souples CSFE Chambre Syndicale Française de l Étanchéité 6-14

Plus en détail

MIEUX CONNAÎTRE L ÉVOLUTION DE LA QUALITÉ DE LA CONSTRUCTION GRĀCE AU TABLEAU DE BORD SYCODÉS CRÉÉ PAR L AQC

MIEUX CONNAÎTRE L ÉVOLUTION DE LA QUALITÉ DE LA CONSTRUCTION GRĀCE AU TABLEAU DE BORD SYCODÉS CRÉÉ PAR L AQC Dossier de presse Janvier 2007 Service de presse MIEUX CONNAÎTRE L ÉVOLUTION DE LA QUALITÉ DE LA CONSTRUCTION GRĀCE AU TABLEAU DE BORD SYCODÉS CRÉÉ PAR L AQC L Observatoire de la Qualité de la Construction

Plus en détail

Enjeux du développement des TV: panorama général et cas particulier de l entretien

Enjeux du développement des TV: panorama général et cas particulier de l entretien JOURNEE TECHNIQUE Quelle place pour les toitures végétalisées Enjeux du développement des TV: panorama général et cas particulier de l entretien Paris, Bernard de Gouvello CSTB / LEESU Julie Schwager CETE

Plus en détail

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN I - Données Générales INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN Rivalités entre réhabilitation, restauration et rénovation Au cours des dernières années, d'importantes études ont été entreprises dans les quartiers

Plus en détail

8, rue Brémontier 75017 PARIS Tél : 01 40 53 06 15 N ORIAS 08 042 578. 31, rue de la Plaine 75020 PARIS

8, rue Brémontier 75017 PARIS Tél : 01 40 53 06 15 N ORIAS 08 042 578. 31, rue de la Plaine 75020 PARIS 8, rue Brémontier 75017 PARIS Tél : 01 40 53 06 15 N ORIAS 08 042 578 31, rue de la Plaine 75020 PARIS QUESTIONNAIRE TOUS RISQUES CHANTIER MONTAGE ESSAIS Pour étude tarifaire CLIENT/PROSPECT : Secteur

Plus en détail

Etre. syndic bénévole. en toute sécurité avec l ARC ;:> Association des Responsables de Copropriété

Etre. syndic bénévole. en toute sécurité avec l ARC ;:> Association des Responsables de Copropriété Etre syndic bénévole en toute sécurité avec l ARC ;:> Association des Responsables de Copropriété SOMMAIRE I- Pourquoi devient-on syndic bénévole? 1. Les raisons économiques. 2. Les raisons liées à la

Plus en détail

Schlüter -KERDI-BOARD Support de pose, panneau de construction, étanchéité composite

Schlüter -KERDI-BOARD Support de pose, panneau de construction, étanchéité composite Support de pose, panneau de construction, étanchéité composite Le support de pose universel pour carrelages Important! Qu il s agisse d'une mosaïque ou de carreaux de grand format, la qualité d un revêtement

Plus en détail

Le financement du projet

Le financement du projet Le financement du projet Comment financer mon projet? 14 Votre budget doit faire l objet d une étude approfondie. Pour vous aider à établir votre plan de financement, faites appel à l Association Départementale

Plus en détail

Propriétaires, Locataires, Administrateurs de Biens et Assurance en Copropriété

Propriétaires, Locataires, Administrateurs de Biens et Assurance en Copropriété Propriétaires, Locataires, Administrateurs de Biens et Assurance en Copropriété 1. Caractéristiques et champ d application d une Assurance Immeuble : Existe -t-il une obligation d assurance? Aucun texte

Plus en détail

COMMUNE DE SELLES SAINT DENIS REHABILITATION ET REMISE AUX NORMES D UNE BOUCHERIE- CHARCUTERIE 41 300 SELLES SAINT DENIS

COMMUNE DE SELLES SAINT DENIS REHABILITATION ET REMISE AUX NORMES D UNE BOUCHERIE- CHARCUTERIE 41 300 SELLES SAINT DENIS COMMUNE DE SELLES SAINT DENIS REHABILITATION ET REMISE AUX NORMES D UNE BOUCHERIE- CHARCUTERIE 41 300 SELLES SAINT DENIS Lot n 03 Menuiseries Aluminium - Serrurerie Sté d ARCHITECTURE BOITTE Agence de

Plus en détail

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique

Plus en détail

Cloisons de distribution Caroplatre

Cloisons de distribution Caroplatre 04 Cloisons de distribution en carreaux de plâtre Cloisons de distribution Caroplatre Description Les carreaux de plâtre Caroplatre sont des éléments en plâtre 100% naturel fabriqués en usine. Leur coloration

Plus en détail

Document Technique d Application. Hyrene TS

Document Technique d Application. Hyrene TS Document Technique d Application référence Avis Technique 5/07-1959*V1 Édition qui remplace celle de l Avis Technique 5/07-1959 et se substituant à l édition précédente Édition corrigée du 16 octobre 2008

Plus en détail

LE GUIDE DU COPROPRIÉTAIRE

LE GUIDE DU COPROPRIÉTAIRE LE GUIDE DU COPROPRIÉTAIRE Avant-propos Cher copropriétaire, Vous venez d acquérir un logement dans un immeuble en copropriété. Nous sommes heureux de vous accueillir et nous vous souhaitons d y vivre

Plus en détail

Zone Industrielle. Kehlen... 1

Zone Industrielle. Kehlen... 1 Zone Industrielle Kehlen VALERES Konstruktioun SA 1 L o c a l i s a t i o n Le terrain se situe dans la zone industrielle de et à 8287 Kehlen Parcelle no 2946/5744 lot 1 La superficie du terrain sur lequel

Plus en détail

Profils de sol en aluminium pour garde-corps en verre. www.designproduction.fr

Profils de sol en aluminium pour garde-corps en verre. www.designproduction.fr Profils de sol en aluminium pour garde-corps en verre www.designproduction.fr PROFILS DE SOL ALUMINIUM SYSTÈME DE GARDE CORPS EN VERRE Les profils pour les serruriers, métalliers, miroitiers Nous disposons

Plus en détail

BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL

BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL A. PRÉSENTATION : BEST ENTREPRISE SARL est une société de droit sénégalais qui intervient dans les Bâtiments/Travaux Publics, le

Plus en détail

Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m²

Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m² Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m² Cahier de charge NON définitif. Adaptations possibles selon l arrivée de nouveaux matériaux bois ou la mise en œuvre de techniques

Plus en détail

CONVENTION RELATIVE AUX DEGATS D EAU

CONVENTION RELATIVE AUX DEGATS D EAU 600 - C - 1 CONVENTION RELATIVE AUX DEGATS D EAU Considérant le souhait des assureurs dégâts d'eau «risques simples» et R.C. Vie privée ou R.C. exploitation de simplifier dans les conditions précisées

Plus en détail

ISOLER LA TOITURE INCLINÉE

ISOLER LA TOITURE INCLINÉE Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS D ÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LA TOITURE INCLINÉE

Plus en détail

P.L.H Patrick Leleu Humiditologue

P.L.H Patrick Leleu Humiditologue P.L.H Patrick Leleu Humiditologue Depuis notre création, en 1989, à Montpellier, nous pensons que la Qualité du Service naît de la Compétence des Hommes. Si la Compétence reste le Privilège de l Expérience,

Plus en détail

Le chantier compte 4 étapes :

Le chantier compte 4 étapes : 02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton

Plus en détail

NOTICE D ACCESSIBILITE AUX PERSONNES HANDICAPEES

NOTICE D ACCESSIBILITE AUX PERSONNES HANDICAPEES NOTICE D ACCESSIBILITE AUX PERSONNES HANDICAPEES ETABLISSEMENT RECEVANT DU PUBLIC RENSEIGNEMENTS GENERAUX COMMUNE DE MONSEGUR (33) DESIGNATION PRECISE DU PROJET MAITRE D OUVRAGE EQUIPE DE MAITRISE D OEUVRE

Plus en détail

GUIDE D INSTALLATION. La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES

GUIDE D INSTALLATION. La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES GUIDE D INSTALLATION La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES Possède une résistance thermique élevée Réduit la circulation d air à travers les murs Évite la formation d

Plus en détail

LE GÉNIE PARASISMIQUE

LE GÉNIE PARASISMIQUE LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège

Plus en détail

CARNET DE SANTE LYCEE COLBERT A MARSEILLE. Destinataires : AREA M. SIRON

CARNET DE SANTE LYCEE COLBERT A MARSEILLE. Destinataires : AREA M. SIRON AGENCE DE MARSEILLE CONTROLE TECHNIQUE DE CONSTRUCTION 8 RUE JEAN JACQUES VERNAZZA BP 193 13322 MARSEILLE CEDEX 16 04.96.15.22.60 04.96.15.23.96 CARNET DE SANTE LYCEE COLBERT A MARSEILLE Destinataires

Plus en détail

COMMUNE de SAINT-ROCH MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX. Passé selon une procédure adaptée en application des articles 26 et 28

COMMUNE de SAINT-ROCH MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX. Passé selon une procédure adaptée en application des articles 26 et 28 COMMUNE de SAINT-ROCH MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX Passé selon une procédure adaptée en application des articles 26 et 28 Du Code des Marchés Publics CAHIER DES CHARGES TECHNIQUES PARTICULIERES C.C.T.P FOURNITURE

Plus en détail

Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014. Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés

Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014. Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014 Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés Sommaire Domaine Sécurité et sanitaire Mise en sécurité des

Plus en détail

Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses.

Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Sur bac acier, bois ou dérivés du bois. isolation thermique support d étanchéité sur bac acier ou bois

Plus en détail

Association des Responsables de Copropriété

Association des Responsables de Copropriété Association des Responsables de Copropriété L ARC, Association des Responsables de Copropriété, est une association à but non lucratif (loi de 1901) créée en 1987. Elle est implantée, en 2015, sur plus

Plus en détail

Cahier des Prescriptions Techniques d exécution CPT Sols Grands formats - Travaux neufs

Cahier des Prescriptions Techniques d exécution CPT Sols Grands formats - Travaux neufs Revêtements de sols intérieurs en carreaux céramiques de grand format et de format oblong collés au moyen de mortiers-colles dans les locaux P3 au plus en travaux neufs Cahier des Prescriptions Techniques

Plus en détail

Document Technique d Application

Document Technique d Application Document Technique d Application Référence Avis Technique 5/12-2304 Annule et remplace l Avis Technique 5/09-2066 Système d isolation composée (EPS + MW) non porteur support d étanchéité Isolant thermique

Plus en détail

Risques majeurs : > chutes lors de l accès aux toitures, > chutes en périphérie des bâtiments, au sol ou sur une autre toiture en contrebas.

Risques majeurs : > chutes lors de l accès aux toitures, > chutes en périphérie des bâtiments, au sol ou sur une autre toiture en contrebas. Risques majeurs : > chutes lors de l accès aux toitures, > chutes en périphérie des bâtiments, au sol ou sur une autre toiture en contrebas. L intégration de la sécurité lors de la conception des bâtiments

Plus en détail

PASSEPORT POUR LA MISE EN SITUATION PROFESSIONNELLE -MSP- HABILITATION DE L ARCHITECTE DIPLÔMÉ D ÉTAT À EXERCER LA MAITRISE D ŒUVRE EN SON NOM PROPRE

PASSEPORT POUR LA MISE EN SITUATION PROFESSIONNELLE -MSP- HABILITATION DE L ARCHITECTE DIPLÔMÉ D ÉTAT À EXERCER LA MAITRISE D ŒUVRE EN SON NOM PROPRE École nationale supérieure d architecture Montpellier PASSEPORT POUR LA MISE EN SITUATION PROFESSIONNELLE -MSP- HABILITATION DE L ARCHITECTE DIPLÔMÉ D ÉTAT À EXERCER LA MAITRISE D ŒUVRE EN SON NOM PROPRE

Plus en détail

Aide à la mise en œuvre. Isolation des murs. par l extérieur

Aide à la mise en œuvre. Isolation des murs. par l extérieur Aide à la mise en œuvre Isolation des murs par l extérieur Protecteur Sain Ecologique 3 lettres synonymes de bien-être Telle pourrait être la définition du sigle PSE, mais ses atouts sont loin de se limiter

Plus en détail

Antenne du Conseil Général de l Aude à Limoux

Antenne du Conseil Général de l Aude à Limoux LOT n 16 ASCENSEUR SOMMAIRE CHAPITRE I - GENERALITES 1.1 DE FINITION DES OUVRAGES 1.2 LIMITE DES PRESTATIONS 1.2.1 Travaux à la charge de l entreprise 1.2.2 Travaux exclus 1.3 NORMES ET REGLEMENTS 1.4

Plus en détail

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois Forum Bois Construction Beaune 2011 La Règue verte - 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois B. Dayraut 1 La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature

Plus en détail

LE W, UN ÎLOT VIVANT DANS LA VILLE

LE W, UN ÎLOT VIVANT DANS LA VILLE LE W, UN ÎLOT VIVANT DANS LA VILLE Habitat, bureaux, commerces : le W conjugue les trois fondamentaux de l urbain. Dans cet esprit, Vauban Immobilier, Scharf Immobilier, GIPA et Rive Gauche CB Richard

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE SikaLatex

FICHE TECHNIQUE SikaLatex FICHE TECHNIQUE SikaLatex RÉSINE À MÉLANGER À L'EAU DE GÂCHAGE DES MORTIERS DESCRIPTION DU PRODUIT Le SikaLatex est une dispersion aqueuse de résine synthétique qui se présente sous la forme d un liquide

Plus en détail

Se raccorder à un réseau de chaleur

Se raccorder à un réseau de chaleur L habitat COMPRENDRE Se raccorder à un réseau de chaleur Le chauffage urbain peut-il être un moyen de diminuer la facture énergétique? Édition : décembre 2013 Pourquoi pas le raccordement À UN RÉSEAU DE

Plus en détail

DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS

DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS RECO R.464 DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS Prévention des risques dus à l utilisation des plates-formes de travail en encorbellement CRAMIF Pour vous aider

Plus en détail

Mise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes

Mise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes RECOMMANDATION R 446 Recommandation adoptée par le comité technique national du bâtiment et des travaux publics lors de sa réunion du 14 mai 2009. Cette recommandation annule et remplace la recommandation

Plus en détail

CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU

CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU ENTRE : Monsieur le Maire, agissant es-qualité en vertu des délibérations du 25 septembre 2014 et du 24 octobre 2013, Désigné ci-après

Plus en détail

Questionnaire. Date d effet souhaitée : Nom de l entreprise à assurer : Nom et prénom du gérant : Adresse de l entreprise : Tél.

Questionnaire. Date d effet souhaitée : Nom de l entreprise à assurer : Nom et prénom du gérant : Adresse de l entreprise : Tél. Questionnaire Questionnaire RC & DECENNALE Merci de bien vouloir nous retourner le questionnaire dûment complété et signé par: mail : contact@assurei.fr fax : 05.35.54.12.03 ou par courrier. Date d effet

Plus en détail

B1 Cahiers des charges

B1 Cahiers des charges B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails

Plus en détail

LOT N 16B AMENAGEMENT CUISINE & SALLE D'EAU

LOT N 16B AMENAGEMENT CUISINE & SALLE D'EAU LOT N 16B AMENAGEMENT CUISINE & SALLE D'EAU 1 - PRESCRIPTIONS GENERALES 1.1 - CONSISTANCE DES TRAVAUX Le présent lot a pour objet l'exécution des travaux suivants : - Fourniture et pose d éviers 2 bacs

Plus en détail