UNIVERSITÉ PIERRE ET MARIE CURIE - CENTRE NATIONAL DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE - ÉCOLE PRATIQUE DES HAUTES ÉTUDES

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1 Eau, Bio et Territoires Une action du réseau FNAB UNIVERSITÉ PIERRE ET MARIE CURIE - CENTRE NATIONAL DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE - ÉCOLE PRATIQUE DES HAUTES ÉTUDES ABAC Un réseau de d exploitations en agriculture biologique et conventionnelle pour quantifier les fuites d azote par lixiviation La contamination nitrique représente une altération majeure de la qualité des eaux, tant superficielles que souterraines ; elle pose des problèmes pour la fabrication d eau potable, mais conduit aussi à la diminution de la biodiversité aquatique et à l eutrophisation des eaux marines côtières. L agriculture productiviste dominante dans la moitié Nord de la France est clairement la principale source de nitrate. Le projet ABAC montre que l agriculture biologique peut réduire d environ 30%, les flux de nitrate lixiviés. Projets Carte d'identité Laboratoire de recherche, université ou structure de rattachement : Metis (ex-sisyphe), Unité Mixte de Recherche (UMR) 7619, Université Pierre et Marie Curie (UMPC) Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) École Pratique des Hautes Études (EPHE) Equipe : Carbon and Nutrient Transfers in Surface ecosystems (CNUTS) 8 personnes impliquées Site web spécifique du projet : Liens avec d autres programmes de recherche : Programme PIREN-Seine-projet agriculture et territoire Liteau- Agence de l Eau Seine-Normandie (AESN)-projet FLAM SeasERA-projet Emosem Thèse et post-doctorat dans le cadre du projet : Marie Benoit (Thèse déc, 2014), Juliette Anglade (Thèse avril, 2015), Julia le Noé ( ) ; post-doctorats 9 mois (Marie Benoit) et 3 mois (Juliette Anglade), XX 9 mois à recruter. Terrain(s) d étude AESN Région Ile-de-France et bassin de la Seine 18 itinéraires techniques équipés (8 en agriculture biologique AB, 10 en agriculture conventionnelle AC, soit environ 80 parcelles équipées en Seine-et-Marne, Yonne, Oise, Eure-et-Loir, Yvelines) Caractéristiques des hydrosystèmes étudiés (terrains d étude) Enjeu eau : reconquête de la qualité de l eau potable et des milieux aquatiques. La démarche s applique dans le bassin de la Seine à des masses d eau toutes classées vulnérables, mais cette démarche reste valide dans une perspective préventive. 1 / 5

2 Masse(s) d eau concernée(s) : eau de surface eau souterraine (aquifère calcaire) Facteurs de dégradation de(s) masse(s) d eau : nitrate phosphore Caractéristiques des systèmes agricoles étudiés (terrains d étude) Productions dominantes : grandes cultures Type de territoires visés Échelle : Bassin de la Seine Caractéristiques des hydrosystèmes : contamination nitrique avérée des eaux de surface et souterraines Caractéristiques agricoles : grandes cultures céréalières Autres précisions : l agriculture biologique dans le bassin de la Seine représente moins de 2 % de la surface agricole utile (SAU), proportion plus faible que la moyenne nationale. Mots-clés du projet Agriculture biologique agriculture conventionnelle nitrate contamination des eaux pratiques agricoles bougies poreuses Projet de recherche CONTEXTE Les pratiques intensives de l agriculture conventionnelle (AC) des années 70, ont entrainé une contamination nitrique importante des aquifères, des eaux de surface et de l atmosphère, due aux engrais de synthèse. Des concentrations sous-racinaires sur grandes cultures en AC dans le nord de la France ont atteint des concentrations moyennes de l ordre de 25 mg N-NO 3.L -1, variables toutefois selon les conditions pédoclimatiques, les cultures et les pratiques. Même en considérant un abattement d azote de la zone sous-racinaire à l aquifère, l eau souterraine des aquifères de cette région nord de la France atteint des concentrations bien supérieures aux 11 mg N-NO 3.L -1 réglementaire pour la fabrication d eau potable. Depuis les années 2000, 80 captages ont été fermés dans le bassin de la Seine. ENJEUX La question de l agriculture biologique (AB), qui utilise uniquement des engrais organiques, s est alors posée comme alternative pour limiter les contaminations nitriques (Thieu et al., 2011, Reg Environ Change, 11: ). Toutefois si en termes d utilisation des pesticides, les différences entre l AB et l AC sont claires puisque l agriculture biologique n en utilise pas, les données relatives aux fuites sous-racinaires de l AB, étaient alors encore trop rares (Mondelaers et al., 2009, Br Food J 111: ). En France, de telles données n avaient pas encore été rendues publiques à la communauté scientifique. 2 / 5

3 PROBLÉMATIQUE, HYPOTHÈSES, OBJECTIF Pour y pallier, et dans une perspective de concilier une agriculture soutenable et une bonne qualité des eaux, le projet ABAC s était fixé comme objectif de quantifier les concentrations sous-racinaires dans les systèmes AB en équipant des exploitations agricoles dans des pôles pédoclimatiques variés du bassin de la Seine, une hypothèse étant la réduction de la contamination nitrique par l AB. Compte tenu de mise en place du code des bonnes pratiques agricoles (cf. Directive nitrate, 1991 ; Directive Cadre sur l Eau -DCE, 2000), conduisant à une possible réduction de la contamination en AC, le choix s est porté sur une comparaison de la lixiviation en AB et AC, dans les pôles pédoclimatiques de l est de Paris en Brie (Seine-et-Marne), en amont du bassin de la Seine (Yonne), et au nord en plateau Picard (Oise). 8 itinéraires techniques en AB et 10 en AC ont ainsi été choisis. Ont en outre été équipées, au nord-ouest de Paris, les parcelles de l essai de la Motte dans la ferme de Villarceaux (Val d Oise), au sud-ouest de Paris des parcelles de la ferme expérimentale de Grignon (Yvelines), ainsi que d autres du lycée agricole de la Saussaye (Beauce, Eure) (Figure 1). Ce projet a fait l objet d une démarche collaborative, avec une participation des agriculteurs à la mise en place du système de mesure et aux prélèvements, et un partage des résultats. Une autre hypothèse forte est que les concentrations sous-racinaires et la lixiviation ne peuvent s appréhender qu à l échelle des rotations. Figure 1. Distribution des systèmes agricoles étudiés pour la lixiviation du nitrate dans le bassin de la Seine. Photo haut. Une bougie poreuse de 85 cm (tête céramique blanche, tube PVC et bouchon de prélèvements. Photo bas. Pompe pour prélèvements, flacon de recueillement (1L), relié à la bougie posée verticalement. MÉTHODOLOGIE ET PROTOCOLES La mesure des concentrations sous-racinaires du nitrate a été réalisée avec des bougies poreuses posées verticalement (photo haut) sur l ensemble des assolements représentatifs des rotations, soit un total de 78 parcelles équipées de six bougies poreuses par parcelles, 48 parcelles en AB et 30 en AC. Les rotations longues de l AB 3 / 5

4 (moyenne de 7-11 ans) comprennent une plus forte proportion de légumineuses avec dans une succession type de 9 ans : 3 ans de luzerne- blé -céréale-légumineuse- blé-2 ans de céréales. Les rotations conventionnelles sont représentées par des rotations plus courtes (3 ans) dont notamment les successions colza-blé-orge et maïs/betteraveblé-blé, représentatives de la région. Les systèmes se sont révélés différents par leurs gestions de l azote. Les bougies sont mises sous vide pendant 48h (ou 72h) avant le prélèvement (photo bas). Les prélèvements ont lieu pendant la saison de drainage, de fin novembre-début décembre à fin mars-début avril, à une fréquence bi-mensuelle, soit environ 10 prélèvements par saison de drainage. Des reliquats azotés sont également analysés à 3 profondeurs 0-30 cm, cm et cm à la pose et dépose des bougies (entrée hiver et sortie hiver). Les caractéristiques des sols et leurs contenus en carbone, azote et phosphore sont déterminés à l entrée d hiver. Les concentrations sousracinaires sont converties en flux d azote lixiviés en considérant les transferts d eau dans les sols via le modèle agronomique «Simulateur multidisciplinaire pour les cultures standard» (STICS) de l Institut national de la recherche agronomique (INRA). En parallèle à ces mesures directes, des enquêtes ont été réalisées dans 59 fermes en AB (dont 6 en maraîchage) pour 68 systèmes de cultures (itinéraires techniques x rotations) et une analyse de 82 rotations en AC effectuée afin de déterminer le surplus azoté à l échelle des terres arables de ces exploitations (différence entre les entrées par la fertilisation dépôt atmosphérique, intrants exogènes et fixation symbiotiques et les sorties exportation de la récolte). Les surplus ne sont toutefois pas complétement lixiviés (une partie de l azote est par exemple dénitrifiée ou réorganisée dans les sols) et une méthodologie a été mise au point pour relier la lixiviation et le surplus, ce dernier pouvant être considéré comme un indicateur des pertes d azote vers les hydrosystèmes. Gouvernance Le projet est dirigé par Josette Garnier, Directrice de recherche au CNRS, un comité de pilotage réunissant de nombreux partenaires (région Ile-de-France, agronomes de l INRA et de l Institut de recherche en sciences et technologies pour l environnement et l agriculture Irstea, FNAB, Institut Technique de l Agriculture Biologique ITAB, Arvalis, Chambre d Agriculture de Seine-et-Marne, agriculteurs) se réunit une fois par an, à l UPMC à Paris. Des réunions individualisées ont lieu chaque année dans les pôles avec les agriculteurs (pôles Seine-et-Marne, Eure, Oise et Yonne). Éléments financiers Partenaires financiers : Région Ile de France via le Domaine d Intérêt Majeur (DIM) «Agrosciences, Ecologie des Territoires, Alimentation» (Astrea) : financement d un projet d équipement et d une bourse de thèse), AESN et Eau de Paris : financement de fonctionnement, d analyses et de main d œuvre, CNRS et UPMC : financement des salaires des chercheurs et techniciens permanents, Ministère de la Recherche : financement d une bourse de thèse via l École Doctorale GRNE 318. Résultats Les résultats du projet ABAC montrent que : Il est indispensable que les résultats soient produits à l échelle de la rotation (longue de 7 à 11 ans en AB, courtes en AC), (Figure 2). En AB, les concentrations sous-racinaire (et les lixiviations) sont en moyenne de 30 % inférieures à celle de 4 / 5

5 Powered by TCPDF ( l AC (Figure 2). La production azotée est dans le même temps d environ % inférieure en AB vs. AC (Figure 3a). La fertilisation exogène est toutefois inférieure de 50 % en AB (80 kgn/ha/an en AB contre 160 kgn/ha/an), qui profite de la fixation d azote atmosphérique par les légumineuses. La relation du rendement (exprimée en azote) en fonction de la fertilisation (exprimée aussi en azote) montre toutefois une efficience d utilisation de l azote au moins équivalente, voire meilleure, en AB qu en AB et en AC (Figure 3b). 5 / 5

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