SOMMAIRE EXÉCUTIF DES RAPPORTS DÉPOSÉS AU MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT
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- Mauricette Duquette
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1 LA VIOLENCE PERÇUE ET SUBIE DANS LES ÉCOLES PRIMAIRES ET SECONDAIRES PUBLIQUES QUÉBÉCOISES : PORTRAIT DE MULTIPLES ÉCHANTILLONS D ÉCOLES ENTRE 1999 ET 2005 SOMMAIRE EXÉCUTIF DES RAPPORTS DÉPOSÉS AU MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT Groupe de recherche sur les environnements scolaires Université de Montréal Janvier 2009 Rédaction des rapports Michel Janosz, Université de Montréal Sophie Pascal, Université de Montréal Christiane Bouthillier, Université de Montréal En collaboration avec Jean Bélanger François Bowen Université du Québec à Montréal Université de Montréal
2 Roch Chouinard Nadia Desbiens Université de Montréal Université de Montréal Ce projet de recherche et de développement a été réalisé grâce aux subventions octroyées par le Centre national de prévention du crime du gouvernement du Canada, en collaboration avec le ministère de la Sécurité publique du Québec, dans le cadre du Programme de partenariat en prévention du crime (dossier # 3550-U3), ainsi que par le ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport du Québec, Direction de l adaptation scolaire et des services complémentaires. Les opinions et points de vue exprimés dans ce document n'engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement ceux des différents ministères et partenaires subventionnaires. Le générique masculin est utilisé sans aucune discrimination et uniquement dans le but d alléger le texte. Université de Montréal Groupe de recherche sur les environnements scolaires (GRES) Centre de recherche sur les écoles en milieu défavorisé (CREM 1
3 CONTEXTE À la demande du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, le Groupe de recherche sur les environnements scolaires (GRES) a produit deux rapports de recherche visant chacun (1) à documenter l ampleur des violences perçues et subies dans les écoles primaires et secondaires publiques du Québec et (2) à examiner les liens entre ces violences et d autres composantes de l environnement socioéducatif, notamment le climat scolaire et certaines pratiques éducatives et organisationnelles. MÉTHODOLOGIE Le premier rapport porte sur une description de la violence perçue et subie dans 117 écoles primaires francophones ayant utilisé le Questionnaire sur l environnement socioéducatif (QES) entre 2001 et Ce questionnaire a été administré aux élèves de la quatrième à la sixième année du primaire ainsi qu aux membres du personnel des écoles. Les écoles, réparties dans trois cohortes, regroupent plus de élèves et membres du personnel. Les écoles primaires échantillonnées proviennent de dix des 17 régions administratives du Québec et se distribuent sur l ensemble du spectre de la défavorisation/favorisation économique. Cet échantillon d écoles a été recruté dans le cadre du développement et de la validation du QES et, de par la nature du projet duquel ces données sont tirées, ne comporte pas d écoles anglophones. Le second rapport présente une description de la violence perçue et subie dans 364 écoles secondaires francophones et anglophones réparties dans six cohortes différentes. Ces écoles ont administré le QES auprès de leurs élèves (tous les niveaux) et membres de leur personnel à différents moments entre 1999 et Les données analysées dans ce rapport ont été recueillies dans le cadre du développement et de la validation du QES, ainsi que dans le contexte de l évaluation de la Stratégie d intervention Agir autrement (SIAA). L ensemble des échantillons d écoles regroupe plus de élèves et membres du personnel. Les écoles proviennent de 15 des 17 régions administratives du Québec. Étant donné le cadre de recrutement de plusieurs des écoles (la plupart des établissements après 2002 ont répondu au QES dans le cadre de la SIAA), près des trois quarts de ces écoles sont situées en milieu défavorisé. PRINCIPALES LIMITES Ces rapports sont produits à partir d analyses secondaires, donc de l analyse d une base de données qui n a pas été recueillie a priori pour l usage qui en est fait. C est ce qui explique que, malgré toute la valeur et l intérêt des échantillons utilisés, deux limites principales s imposent à la généralisation des résultats. Premièrement, les portraits réalisés ne sont pas nécessairement représentatifs de la situation de l ensemble des écoles publiques québécoises, puisque les écoles recrutées l ont été sur une base volontaire, ou dans le contexte de l évaluation de la SIAA. Deuxièmement, les échantillons d écoles sont, pour la plupart, transversaux : ce ne sont pas les mêmes écoles qui sont nécessairement suivies d une cohorte à l autre. Il est donc impossible de porter un jugement sur l évolution temporelle de la violence 2
4 scolaire. Enfin, l analyse des données est descriptive et sommaire : elle ne vise qu à faire ressortir les grandes tendances. Malgré ces limites, ce portrait constitue une première au Québec. Il fournit une information unique et de valeur pour décrire les grandes tendances de l ampleur des phénomènes de violence perçue et subie dans les écoles primaires et secondaires publiques du Québec. L ensemble des échantillons utilisés dans ces deux rapports regroupe plus de élèves et membres du personnel, provenant de 15 des 17 régions administratives du Québec. La base de données utilisée pour ces rapports constitue présentement la source de référence la plus complète en ce qui a trait au portrait de la violence scolaire au Québec. PRINCIPAUX RÉSULTATS L ampleur de la violence dans les écoles du Québec varie selon la nature perçue ou subie des conduites examinées, selon l identité du répondant et selon le degré de gravité des actes commis : o Les élèves et les membres du personnel sont beaucoup plus nombreux à être témoins de violences à l école qu à en être victimes. o Les élèves sont généralement plus nombreux que les membres du personnel à être témoins ou victimes de violence. Cependant, tous s entendent sur l ordre d importance (fréquences) avec lequel se manifestent les différentes inconduites à l école. o Les insultes, les menaces et les batailles entre élèves sont les violences auxquelles les individus sont le plus exposés dans les écoles (comme témoins ou victimes). Les cas d extorsions, d agressions armées ou d agressions physiques de membres du personnel par des élèves sont beaucoup moins fréquents. Plus l environnement socioéducatif est perçu positivement, moins les répondants perçoivent de la violence à l école ou en sont victimes. o Meilleur est le climat scolaire et moins nombreux sont les individus qui rapportent être témoins ou victimes de violence. Ces relations sont particulièrement fortes avec le climat relationnel entre les élèves, entre élèves et enseignants et le climat de sécurité. o Plus les individus perçoivent positivement les pratiques éducatives en œuvre dans l école et moins les individus rapportent être témoins ou victimes de violence, en particulier en ce qui a trait aux pratiques de gestion de classe, au soutien apporté aux élèves en difficulté et à la collaboration école-famille-communauté. o Plus les membres du personnel disent entretenir des relations chaleureuses entre eux, partager une vision commune sur les destinées et le fonctionnement de l école, et percevoir 3
5 IMPLICATIONS positivement le leadership de la direction et son mode de gestion, et moins ils se disent exposés à de la violence à l école. o Ces relations sont corrélationnelles et ne peuvent donner lieu à des interprétations prédictives ou causales. Un meilleur climat et de meilleures pratiques peuvent favoriser l établissement d un milieu plus sécuritaire, mais il se pourrait aussi qu un milieu plus sécuritaire donne lieu à des perceptions plus positives de son environnement. Ces résultats, ainsi que les limites associées aux analyses effectuées, mettent en lumière : L importance de promouvoir l adoption d une stratégie de prévention mixte de la violence scolaire, c est-à-dire qui cible à la fois l ensemble de la communauté de l école et à la fois les élèves qui éprouvent des difficultés d adaptation sociale. Cette prévention devrait à la fois être situationnelle, c est-à-dire chercher à réduire les occasions possibles de méfaits et à réduire l intérêt ou les avantages qui y sont associés, et être développementale, c est-à-dire améliorer le potentiel d adaptation des élèves en difficulté. Le portrait de la violence brossé ici demeure très général. Afin d accroître la qualité des connaissances sur lesquelles s appuieront des priorités d action locale, régionale ou nationale, il importe d approfondir et de préciser ce portait en fonction de facteurs modulateurs de la violence scolaire (le sexe et l âge des répondants, la taille ou la localisation sociogéographique des écoles, etc.). L inexistence au Québec d une base de données longitudinales portant sur un échantillon représentatif des écoles québécoises ne permet pas de documenter avec la validité souhaitable l ampleur de la violence dans les écoles, ni d en connaître l évolution temporelle. Il serait hautement utile et relativement aisé de mettre en place un tel système de monitorage, non seulement pour guider la mise en place de politiques éducatives efficaces en matière de prévention de la violence, mais aussi pour en évaluer les impacts avec un minimum de rigueur. 4
6 ANNEXE 1 FAITS SAILLANTS SUR LA VIOLENCE DANS LES ECOLES PRIMAIRES DU QUEBEC (tirés du rapport sur la violence au primaire) 5
7 Faits saillants sur la violence perçue au primaire La fréquence à laquelle les répondants sont témoins d incidents violents à l école varie selon l identité de ces derniers. De manière générale, les élèves sont plus nombreux que les adultes à rapporter être témoins fréquemment ou occasionnellement de violence (à l exception des menaces entre élèves ou des menaces par les élèves de membres du personnel). Cependant, les élèves et les membres du personnel s entendent en ce qui concerne l ordre d importance (fréquences) dans lequel se manifestent les différentes inconduites à l école. Les insultes entre élèves (problème de gravité mineure) sont les conduites violentes les plus fréquemment perçues dans trois cohortes (seulement 10% des élèves et des membres du personnel les qualifient de rares), suivies par deux conduites dites de gravité majeure, soit les batailles entre élèves (environ 75% des répondants en ont été témoins au moins occasionnellement), puis les menaces entre les élèves (plus de 50% des répondants en ont été témoins au moins occasionnellement au cours des deux dernières semaines ). Environ un cinquième des adultes et un quart des élèves rapportent avoir été témoins, au moins occasionnellement, d incidents impliquant un adulte ridiculisant un élève. Autour de 15% des répondants disent avoir assisté au moins occasionnellement à des incidents raciaux. Tout en étant peu fréquentes, des menaces envers les membres du personnel sont tout de même visibles occasionnellement par près de 20% des adultes en moyenne (contre 10% des élèves) ; ces taux diminuent à 13% (contre 10% des élèves) en ce qui a trait aux agressions physiques. Faits saillants sur la violence subie par les élèves du primaire Les élèves sont principalement victimes d autres élèves. Quatre formes de violence les affectent plus spécifiquement : les insultes (44%, en moyenne), les menaces (29%), le vol simple (20%) ainsi que les agressions physiques (20%). Il arrive, dans certains cas, que les élèves se sentent agressés par des membres du personnel. En moyenne, 16% des élèves rapportent s être sentis ridiculisés ou insultés par un membre du personnel; environ 9% se disent avoir été victimes d une agression physique intentionnelle par un adulte à l école. Les menaces ou injures provenant de parents d autres élèves, les menaces armées et les extorsions sont les agressions les moins fréquentes : 6 à 9% des élèves avouent en avoir été victimes au cours des deux dernières semaines précédent l enquête. 6
8 Faits saillants sur la violence subie pas les membres du personnel Les données recueillies auprès des membres du personnel sur la violence subie depuis le début de l année scolaire révèlent que les insultes provenant d élèves ou de collègues touchent respectivement 29% et 20% d entre eux, suivies de près par les vols simples (18%), les menaces provenant d élèves (18%) ou de parents d élèves (16%) ainsi que les agressions physiques par les élèves (15%). Faits saillants : la violence perçue et les caractéristiques de l environnement socioéducatif au primaire Climat scolaire Plus la perception du climat scolaire est positive, moins les répondants sont témoins de violences à l école. Le climat relationnel entre les élèves ainsi que le climat de sécurité affichent les corrélations les plus élevées avec les différents indices de violence. Le climat relationnel entre les élèves et les enseignants ainsi que le climat d appartenance à l école affichent eux-aussi des corrélations significatives avec pratiquement tous les indices. Pratiques éducatives Plus la perception des pratiques éducatives est positive, moins les répondants sont témoins de violences à l école. Plus les élèves et les membres du personnel perçoivent que les adultes appliquent des pratiques efficaces en matière de gestion des apprentissages ou des comportements, moins les élèves perçoivent de comportements violents entre les élèves (insultes et batailles) et moins ils perçoivent leur enseignant comme étant dénigrant envers eux. Plus les élèves et les membres du personnel perçoivent que leur milieu soutien les élèves en difficulté, moins ils remarquent d incidents violents à l école. La qualité perçue de la collaboration école-famille est modérément (selon les membres du personnel) à fortement (selon les élèves) corrélée aux différentes formes de violence. Pratiques organisationnelles Plus les membres du personnel rapportent travailler en équipe et entretenir une vision commune sur les destinées et le fonctionnement de l école, moins ils perçoivent de violence à l école. Meilleur est le climat relationnel entre les adultes de l école, particulièrement entre les membres du personnel, et moins ils perçoivent de violence dans l école. Bien que les corrélations soient un peu moins élevées, la qualité du leadership de la direction est aussi reliée à la perception de violence à l école. 7
9 Faits saillants : la violence subie et les caractéristiques de l environnement socioéducatif au primaire Climat scolaire Meilleur est le climat scolaire, moins les individus rapportent être victimes de violence. Les taux de victimisation mineure semblent surtout reliés au climat de sécurité et au climat relationnel entre les élèves. La victimisation majeure est fortement corrélée au climat de sécurité, et modérément au climat relationnel entre élèves et enseignants. Pratiques éducatives Une perception positive à l endroit des pratiques éducatives s accompagne de taux de victimisation plus faibles dans les écoles. La gestion des comportements en classe, le soutien aux élèves en difficulté, la participation des élèves à la vie scolaire et la collaboration école-familles sont significativement reliés à la victimisation mineure. Ces corrélations sont encore plus fortes en ce qui a trait à la victimisation majeure et, l implantation des règles et la qualité de pratiques pédagogiques s ajoutent à la liste des corrélations significatives. Meilleure est la collaboration de l école avec les organismes de la communauté plus faibles sont les taux de victimisation. Pratiques organisationnelles Meilleur est le climat relationnel entre les adultes de l école, moins il semble y avoir d incidents de victimisation dans les écoles. De même en est-il pour les pratiques : plus les membres du personnel travaillent en équipe et entretiennent une vision commune sur les destinées et le fonctionnement de l école, moins ils subissent de violence à l école. La qualité du leadership de la direction ainsi que la qualité du climat relationnel entre la direction et le personnel sont elles aussi reliées aux taux de victimisations. 8
10 ANNEXE 2 FAITS SAILLANTS SUR LA VIOLENCE DANS LES ECOLES SECONDAIRES DU QUEBEC (tirés du rapport sur la violence au secondaire) 9
11 Faits saillants sur la violence perçue au secondaire La fréquence à laquelle les répondants sont témoins d incidents violents à l école varie selon l identité de ces derniers. De manière générale, les élèves sont plus nombreux que les adultes à rapporter être témoins fréquemment. Par contre, les membres du personnel sont généralement plus nombreux que les élèves à en percevoir occasionnellement. Les élèves et les membres du personnel s entendent en ce qui concerne l ordre d importance (fréquences) dans lequel se manifestent les différentes inconduites à l école. Les insultes entre élèves (problème de gravité mineure) sont les conduites violentes les plus fréquentes (plus de la moitié des répondants en sont fréquemment témoins), suivies de près par les agressions physiques et les batailles entre élèves. Dans un second ordre de grandeur apparaissent les menaces entre élèves, les insultes d enseignants par des élèves, les conflits entre élèves qui font partie de gangs de rue, les comportements racistes entre élèves, les conflits ethniques, l intimidation de membres du personnel par des élèves et le port d armes. Enfin, un ensemble de conduites violentes sont nettement moins fréquentes, avec en moyenne moins de 10% des répondants qui en sont témoins de manière fréquente et moins de 30%, de manière occasionnelle : les actes de vol et de vandalisme ainsi que les attaques physiques de membres du personnel par les élèves. Faits saillants sur la violence subie par les élèves du secondaire Quatre formes de violence affectent les élèves plus spécifiquement : les insultes (50%, en moyenne), le vol simple (33%), les menaces (31%) ainsi que les insultes par des membres du personnel (29%). Il reste cependant, qu en moyenne, 16% des élèves indiquent avoir été victimes d une agression physique par un autre élève. Les autres types de violences touchent moins de 9% des élèves et, habituellement, ces agressions ont été vécues 1 ou 2 fois depuis le début de l année scolaire. 10
12 Faits saillants sur la violence subie pas les membres du personnel au secondaire Les données recueillies auprès des membres du personnel indiquent que ces derniers font principalement l objet d agressions verbales à l école. En moyenne, 39% d entre eux disent avoir été insultés par un élève au moins une fois depuis le début de l année scolaire, 23% rapportent avoir été menacés par un élève, 21% se sont fait voler (à leur insu), 17% ont été insultés par un collègue (17%) et 15% par un parent d élève. Les agressions de gravité majeure sont nettement moins fréquentes, avec moins de 3% des membres du personnel qui en sont victimes : les attaques par des élèves (3%), les extorsions (2%), les menaces ou attaques par un gang de rue (1%), les menaces à caractère ethnique (1%), les menaces armées (1%) et les blessures physiques par un membre du personnel (0,5%). Faits saillants : la violence perçue et les caractéristiques de l environnement socioéducatif au secondaire Climat scolaire Plus la perception du climat scolaire est positive, moins les répondants sont témoins de violences à l école (et vice-versa). Le climat relationnel entre les élèves, entre les élèves et les enseignants, ainsi que le climat de sécurité et le climat éducatif affichent les corrélations particulièrement élevées avec les différents indices de violence. Pratiques éducatives Plus la perception des pratiques éducatives est positive, moins les répondants sont témoins de violences à l école. Notons cependant que ces corrélations avec les pratiques éducatives sont moins élevées qu avec le climat scolaire. Les insultes envers les membres du personnel semblent généralement le problème de violence perçue le plus fortement corrélé aux pratiques éducatives. Plus les élèves et les membres du personnel perçoivent que les adultes appliquent des pratiques efficaces en matière de gestion des apprentissages ou des comportements, moins les élèves perçoivent de comportements violents. Plus les élèves et les membres du personnel perçoivent que leur milieu soutien les élèves en difficulté, moins ils remarquent d incidents violents à l école. La qualité perçue de la collaboration école-famille-communauté est modérément est associée négativement à la fréquence de perception des différentes formes de violence. Pratiques organisationnelles Plus les membres du personnel rapportent travailler en équipe et entretenir une vision commune sur les destinées et le fonctionnement de l école, moins ils perçoivent de violence à l école. Meilleur est le climat relationnel entre les adultes de l école et moins ils perçoivent de la violence dans l école, tout particulièrement en ce qui a trait aux agressions verbales envers les membres du personnel. 11
13 La qualité du leadership de la direction et de sa gestion (communication, soutien) est négativement reliée à la perception de la violence à l école. Faits saillants : la violence subie et les caractéristiques de l environnement socioéducatif au secondaire Climat scolaire La qualité du climat dans les écoles et les taux de victimisation sont modérément à fortement interreliés : plus le climat d école est perçu positivement, en particulier les climats relationnel entre les élèves et de sécurité, et moins les élèves et les membres du personnel rapportent être victimes de violence. Pratiques éducatives Une perception positive à l endroit des pratiques éducatives, en particulier en matière de gestion de comportements, s accompagne de taux de victimisation plus faibles dans les écoles. La qualité de la collaboration école-famille-communauté et négativement reliée à la victimisation des répondants. Pratiques organisationnelles Plus les membres du personnel posent un regard positif sur le climat relationnel entre les adultes, sur le leadership de la direction, sur le partage d une vision commune à l endroit des destinées et du fonctionnement de l école, et sur le travail en équipe, et moins ils rapportent subir de la violence à l école. 12
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