Culturelle M.R.C. DE L ASSOMPTION. Politique. Politique culturelle M.R.C. de L Assomption

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2 ulturelle Politique M.R.. DE L ASSOMPTION M.R.. de L Assomption

3 oordonnatrice à la réalisation Élisabeth Gladu onception Graphique aissy ommunication inc. Photographies ollection.l.d. de la M.R.. de L Assomption ollection ollège de L Assomption ollection Hebdos Transcontinental ollection Journal L Écrivain Public ollection Maurice Prud homme ollection M.R.. de L Assomption ollection Simon Thouin ollection Ville de harlemagne ollection Ville de L Épiphanie ollection Ville de Le Gardeur ollection Ville de Repentigny Impression Litho Lanaudière inc. Description des photographies en page couverture Théâtre Hector-harland, L Assomption Photographe : Marc RAMER, septembre 1999 Source : Théâtre Hector-harland Foule lors d un spectacle donné dans le cadre du Rendez-vous Estival, circa Source : Ville de Le Gardeur Séraphin Leblanc interprété par Michel RIHOT lors du lancement de la programmation du Festival hasse Galerie organisé par la ville de L Épiphanie avec la Maison Poitras (Petit), construite en , paroisse de L Épiphanie. Photographe : Sylvain Latulipe, août 2000 Source : L Écrivain Public Rivière de L Assomption, circa Source : Ville de Le Gardeur Le Duo Similia dans le cadre d un concert Sons et Brioches organisé par la ville de harlemagne. Agora Desjardins, juillet Source : Ville de harlemagne ISBN Dépôt légal - Bibliothèque nationale du Québec, 2001 Dépôt légal - Bibliothèque nationale du anada, 2001

4 Table des Matières Table des Matières Mot de la préfète... 5 Préambule... 7 Pages d histoire... 9 Les acquis culturels La politique culturelle : Pour qui, Pourquoi Les principes directeurs Les axes d intervention et les orientations stratégiques Le plan de mise en oeuvre Les dates marquantes Remerciements M.R.. de L Assomption

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6 Mot de la Préfète Mot de la Préfète u nom du conseil des maires, il me fait plaisir de vous présenter la politique culturelle de la M.R.. de L Assomption. Le sérieux affiché par les administrateurs municipaux et leurs partenaires dans les démarches qui ont mené à l adoption, en novembre dernier, de la politique culturelle leur vaut une place enviable sur l échiquier du monde municipal. À l automne 1999, le conseil de la M.R.. de L Assomption avec le entre Local d Emploi (LE) de Repentigny et le entre Local de Développement (LD) de la M.R.. de L Assomption amorcent le processus de mettre en place une politique culturelle sur le territoire. Dès le début, le besoin d avoir une vision claire de l état de la situation culturelle se fait sentir afin de savoir où orienter le travail. En Janvier 2000, le Groupe DBSF est mandaté pour l élaboration de la politique culturelle de la M.R.. de L Assomption dont la première étape a été de dresser le profil de la situation du secteur culturel de la M.R... Issue de discussions et de consultations avec le milieu, la politique culturelle se veut le reflet de la volonté d une communauté. La politique ne sera effective que si chaque citoyen y apporte son concours, sa réflexion personnelle et son désir de s engager à fond. Habiter un territoire ne suffit pas, encore faut-il y vivre et s y épanouir. Se faisant, la M.R.. de L Assomption reconnaît le rôle essentiel de la culture dans l épanouissement de la personne et de la collectivité dans son ensemble ainsi que dans l amélioration de la qualité de vie des personnes résidant sur son territoire. Je vous invite donc à prendre connaissance de la politique culturelle de la M.R.. qui se veut un outil de gestion efficace dans un contexte de rareté des ressources. Elle met notamment l emphase sur l importance de faire des choix et de réaliser ses derniers en collaboration avec l ensemble des personnes concernées. hantal Deschamps, Ph.D. Préfète de la M.R.. de L Assomption 5 M.R.. de L Assomption

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8 Préambule Préambule ans son désir de bâtir une communauté dans laquelle la fierté et l appartenance à son milieu sont des valeurs auxquelles tous adhérent, la M.R.. reconnaît que la culture constitue un facteur essentiel de développement individuel et collectif, tant sur le plan social qu économique. Au-delà de ses liens avec le développement social, économique et touristique, la culture a sa propre valeur intrinsèque en tant que voie d expression, de création, d innovation et de diffusion. La notion de culture peut être plus ou moins large. Retenons cependant que cette notion fait appel à une vision large et ouverte de la culture, de la sensibilisation et l excellence, de la pratique dans un cadre de loisir à la pratique professionnelle. Pièce de théâtre intitulée «était avant la guerre à L Anse à Gilles» de Marie LABERGE, mise en scène de Jacques ADIEUX avec Anne-Marie ALLARD, Jean OMTOIS, laudine DOMINIQUE, Lise GAGNIER. Photographe : Alain BEAUHAMP, avril Source : L Écrivain Public 7 M.R.. de L Assomption

9 Toutes ces pratiques culturelles concourent au développement culturel de la collectivité et à sa qualité de vie. Une culture dynamique et intense contribue largement à l essor et à l épanouissement d un milieu. est sur la base de ces prémisses que la M.R.. de L Assomption et ses membres se dotent d une politique culturelle qui orientera leurs interventions sur ce plan. Étant donné que la M.R.. de L Assomption est convaincue que le secteur culturel contribue de façon significative à l amélioration de la qualité de vie de la population, elle se reconnaît la responsabilité de favoriser l épanouissement culturel de l ensemble de ses citoyens 1 par le développement et le soutien de l activité culturelle sur son territoire. ependant au plan culturel, la M.R.. n est pas le seul acteur déterminant dans le soutien au développement. Elle compte intervenir dans les limites de ses compétences. Les municipalités sont d ailleurs les maîtres d œuvre à cet égard. Elle reconnaît également le rôle majeur des organismes culturels, des artistes et des artisans œuvrant sur son territoire et l apport de différents partenaires publics, privés ou gouvernementaux dans l action culturelle sur son territoire. es derniers contribuent à l enrichissement et au mieux-être de la collectivité. 1 Afin d alléguer le texte, le masculin a été employé et englobe le féminin. 8 M.R.. de L Assomption

10 Pages d histoire Pages d histoire voir un nom, c est exister». Voilà une citation empreinte d une signification historique qui rend bien compte de l importance de l histoire dans la vie culturelle d un territoire. Lors de sa création en 1983, la M.R.. de L Assomption comptait neuf municipalités qui regroupaient une population de plus de personnes. Aujourd hui, en 2001, elle en compte sept avec plus de résidents, soit une augmentation de plus de 23%. Les prévisions démographiques laissent entendre que cette tendance se maintiendra au cours des prochaines années. Sa principale caractéristique est sans aucun doute la jeunesse de sa population, près de 36 % ayant moins de 25 ans. Les attentes et les pratiques culturelles se sont accrues et diversifiées au même rythme que sa population. Quoique nous présentons l histoire des différentes municipalités de la M.R.. de manière séparée, il ne faut pas croire qu elles ont vécu et vivent en autarcie. Derrière les dates et personnages marquants, il y a un nombre inestimable d hommes et de femmes qui dans leur quotidien ont façonné le dynamisme culturel, social et économique de leur municipalité tout en créant des liens avec les résidents des municipalités voisines. 9 M.R.. de L Assomption

11 REPENTIGNY Population actuelle: Autres noms: Anciens noms: habitants Repentigny-les-Bains La Purification-de-Repentigny Purification de la Vierge Marie L Assomption de la Bien-heureuse Vierge Marie La onception de la Vierge Marie est en 1647 que la première seigneurie sur la rive nord du St-Laurent est octroyée à Pierre Le Gardeur de Repentigny par la ompagnie de la Nouvelle France. Héritier de la seigneurie de Repentigny, son fils, Jean-Baptiste, en cède la moitié à harles Aubert de La hesnaye, gros commerçant de la colonie. La deuxième moitié de la seigneurie prend alors le nom de seigneurie de La hesnaye. L année 1670 marque la fondation de Repentigny. Deux ans plus tard, en 1672, s ajoutent à la seigneurie de Repentigny, les deux îles Bourdon. ependant ce n est qu en 1679 que la paroisse ouvre ses registres. En 1672, la famille de Jean Baptiste Le Gardeur était déjà installée à Repentigny où son épouse, Marguerite Nicolet, y aura 21 enfants. En 1681, on compte déjà 32 censitaires et 114 habitants. La paroisse en 1679 porte d abord le nom de La onception de la Vierge Marie puis celui de L Assomption de la Bien-heureuse Vierge Marie. En 1838, elle prend définitivement le vocable de la Purification de la Vierge Marie. Pierre Le Gardeur, fils de Jean Baptiste, hérite de la seigneurie en En 1706, fut officiellement décidée par le onseil supérieur la construction de voies royales longeant le fleuve. Un premier hemin du Roy plutôt modeste commença d exister vers ependant étant construit trop près du fleuve, le hemin du Roy fut éloigné du fleuve en M.R.. de L Assomption

12 En 1715 par l entremise de son épouse Agathe de St-Père, Pierre Le Gardeur rachète la seigneurie de La hesnaye. À partir de 1742, la seigneurie de Repentigny a eu plusieurs propriétaires: Agathe Le Gardeur (1742), Louis Le Gardeur (1758), Jean-Baptiste Normand et Marie-Angélique Richaume (1764), Gabriel hristie (1777) et Henry Ogden Andrews (1845). En 1848, le président à vie de la Banque du peuple à Montréal, Louis-Michel Viger, acquiert la seigneurie de Repentigny après avoir épousé Marie-Aurélie Faribault. Le 18 décembre 1854, le Parlement du anada-uni abolit les titres des seigneurs et des censitaires: il n y a plus de Régime Seigneurial. Or, en 1854, la plupart des censitaires n étant pas en mesure de payer le capital des rentes, ils préférèrent les payer annuellement comme auparavant. En 1945, le Gouvernement du Québec décidera que le capital de rentes dues aux anciens seigneurs sera racheté pour le Gouvernement par l intermédiaire des municipalités. Vers 1900, la Pointe de Repentigny donnant sur le fleuve et sur la rive sud de la rivière L Assomption hébergeait des résidences d été de Montréalais. Dans la coutume, cet arrondissement était identifié sous le vocable de Repentigny-les-Bains. En 1957, Repentigny devient officiellement une ville et, depuis la construction du pont reliant Repentigny à Montréal en 1938, le développement domiciliaire est à la base de son essor. La population est passée de habitants en 1951 à plus de aujourd hui. On compte actuellement à Repentigny des bâtiments patrimoniaux isolés présentant un intérêt particulier. Le moulin à vent Jetté, classé monument historique, est encore aujourd hui une propriété privée. Dans le parc du Vieux Moulin, le moulin à vent Grenier construit en 1820, avec mécanisme original, est aussi classé monument historique. 11 M.R.. de L Assomption Moulin de Repentigny, construit vers les années ollection Ville de Repentigny. Source : Simon THOUIN

13 LE GARDEUR Population actuelle: Autres noms: habitants St-Paul-l Ermite Le «Petit Village» Le «Petit Village» occupait en fait une partie du territoire démembré de la seigneurie de Repentigny concédée à Pierre Le Gardeur de Repentigny en Quant au «Petit Village» il désignait la portion au nord de la rivière L Assomption jusqu aux paroisses de L Épiphanie et de St-Henri-de- Mascouche. La paroisse est érigée en 1857 sous le nom de St-Paull Ermite. De l histoire de Le Gardeur, on doit retenir les terribles incendies, dont celui de 1912, qui a détruit une bonne part du patrimoine architectural, alors qu il n existait pas encore de services de protection contre les incendies. Un bac tiré à bras d hommes reliait Le Gardeur à Repentigny. «Dès le début, et durant près de deux siècles, un bac assurait la traversée de la rivière L Assomption durant l été à la hauteur du chemin de ligne de Repentigny. e qui, par la force des choses, amena à partir de 1815, l établissement progressif d un petit village sur le côté nord de la rivière. On y trouvait alors, cent ans après l arrivée des premiers colons, une auberge et quelques boutiques d artisans.» Vers 1920, avec les débuts de l automobile, Le Gardeur profitera au maximum de sa situation avantageuse sur la route nationale reliant Montréal à Québec (aujourd hui la paisible rue Notre-Dame). 12 M.R.. de L Assomption

14 Des auberges, des «cabines logs» et toute la panoplie des attraits touristiques ont envahi le «Petit Village» coquet. L architecture de certaines «villas» révèle, encore aujourd hui, les traits marquants qu a laissé cette importante période de l histoire locale. En 1940, le développement de Le Gardeur est marqué par l implantation d un complexe industriel d envergure pour le remplissage des munitions de guerre. Les usines herrier donnèrent un essor sans précédent au «Petit Village». ette opportunité d emplois fait passer la population de 750 à habitants. Le complexe était en fait un village dans le village avec hôpital, tramway et journal particulier. Dans les premières années, plus de personnes y travaillaient parmi lesquelles, les femmes étaient nombreuses. Le premier obus y a été fabriqué en On retrouve aussi à Le Gardeur de nos jours, des maisons et bâtiments historiques bien conservés ou qui ont été restaurés. S.N.. Technologie Inc., anciens édifices abritant les Usines herrier (1940) Photographe : Élisabeth GLADU, mai Source : M.R.. de L Assomption 13 M.R.. de L Assomption

15 L ASSOMPTION Population actuelle: Anciens noms: habitants St-Pierre-de-l Assomption St-Pierre-du-Portage-de-l Assomption St-Pierre-du-Portage Le Portage On ne sait pas exactement quand le site de L Assomption a été visité pour la première fois, mais on sait qu avant l arrivée des blancs, les Amérindiens utilisaient la rivière et un sentier coupant la pointe de terre formée par le méandre à cet endroit. Le territoire fut concédé aux Sulpiciens qui géraient déjà les îles de Montréal. Les premiers colons, harles et Thomas Goulet, s établissent au Portage en laude Jasmin, auteur bien connu, raconte «La Saga des Goulet et de leurs compagnons» dans son roman L Outaragasipi. La paroisse de St-Pierre-du-Portage est fondée en 1724 par le sulpicien Pierre Lesueur qui y construit une chapelle de bois. L industrie du bois et de la potasse ainsi que l agriculture sur les bonnes terres de la région attirent suffisamment de colons pour faire de St-Pierre-du-Portage un centre important. Le commerce et la ceinture fléchée au début du XIXe siècle, la cueillette de l eau minérale ainsi que l industrie du cuir sont également des industries particulières à cet endroit. De 1820 à 1845, la population passe de 160 à 200 familles et c est en 1832 que le ollège est fondé. Dans les années 1860, les marchands quittent la place et, en 1903, le Grand Nord achète le chemin de fer local. L implantation de la fonderie Bédard et l installation de la ferme expérimentale en 1928 par le gouvernement fédéral assurent la survie de L Assomption jusqu après la Deuxième Guerre. 14 M.R.. de L Assomption

16 Plusieurs bâtiments historiques se retrouvent aujourd hui à L Assomption. Notons le Bureau d enregistrement et le Palais de justice construits de 1811 à 1822 et rénovés en 1860 par Victor Bourgeau ainsi que le ollège de L Assomption qui date de 1832 et sa façade de Sa coupole a été élevée On note également la Maison oitoux, bâtie avant 1760, la Maison Forest, construite avant 1820, la Maison Jolicoeur, de style Anglo-Normand, datant de 1808, l église datant de 1819 et rénovée par Victor Bourgeau en 1857 et plusieurs autres. ollège de L Assomption, ouvert depuis Photographe : Alain BERGMANS, circa Source : ollège de L Assomption SETEUR ST-GÉRARD-MAJELLA Aujourd hui fusionné à L Assomption Anciens noms : Vaucluse St-Gérard-de-Vaucluse St-Pierre-de-Vaucluse Haut de L Assomption ôte St-Maurice (est) ôte St-Esprit (ouest) Résidant dans les limites de la seigneurie de St-Sulpice, les premiers occupants viendront du village de St-Sulpice et du Portage (L Assomption). ette nouvelle frontière était désignée comme le Haut de L Assomption. Le premier terrain sera concédé à Jean-Baptiste Laperche dit St-Jean, de St-Sulpice en Une trentaine d années plus tard, toute la région sera occupée. 15 M.R.. de L Assomption

17 Peu de renseignements sur le siècle qui suivit sont disponibles, sinon que la vie du Haut de L Assomption était intimement liée à celle de L Assomption même. Au début du XXe siècle, la nouvelle paroisse de Vaucluse naîtra, fondée officiellement en 1904 sous le nom de St-Pierre-de-Vaucluse. est à partir de 1907 qu elle portera le nom de St-Gérard-Majella. À la même époque, Joseph Turcotte installait un funiculaire pour traverser la rivière, ingénieuse invention pour remplacer le pont qui s était effondré. Aujourd hui, l activité économique de Vaucluse est axée principalement sur l industrie laitière et le développement domiciliaire y est particulièrement fleurissant. Depuis le mois de juillet 2000, St-Gérard-Majella est fusionnée à la ville de L Assomption. Pont Reed-Séguin construit en Photographie : Frans VAN DUN, circa1998. Source : Société Jacques-DeGeay 16 M.R.. de L Assomption

18 SAINT-SULPIE Population actuelle: habitants En 1640, la seigneurie de St-Sulpice est la propriété de Messieur herrier et Le Royer de la Dauversière, alors propriétaire de l Île de Montréal. Vingt-trois ans plus tard en 1663, elle passa aux mains des Messieurs les ecclésiastiques du séminaire de St-Sulpice à Paris. L année 1680 marque l arrivée des premiers colons à St-Sulpice. Le nombre croissant de nouveaux arrivants justifie la construction d une chapelle en 1682, cependant la paroisse de St-Sulpice ne sera fondée officiellement qu en En 1715, St-Sulpice possédait le seul moulin à farine à vent de la région, desservant aussi St-Pierre-du-Portage (L Assomption). Vint ensuite la construction d une église de pierre en En 1731, la municipalité compte environ 300 résidents et une soixantaine de maisons. En , des colons acadiens, venus à la suite de la Déportation de 1755, profitent de l hospitalité des messieurs de St-Sulpice, alors seigneurs de Montréal et de la seigneurie de St-Sulpice, et s installent sur le territoire. Le XIXe siècle voit la pêche prospérer dans la région. Durant de nombreuses années, les pêcheurs de St-Sulpice partaient tôt le matin vendre leurs poissons à L Assomption. Les rives de St-Sulpice, circa Photographe : Robert DUPUIS

19 L église de St-Sulpice, construite en 1832 et déclarée monument historique en 1959, fut restaurée par la ommission des monuments historiques en 1960, lui redonnant ainsi l aspect qu elle avait à l origine. À l intérieur de l église, les trois retables renferment des tableaux d Adolphe Rho ( ). Les six chandeliers en bois sculpté sont d Amable Gauthier (1843). Le tabernacle, commandé avant 1759, provient de la première église et date de Il a été exécuté par les frères François-Noël et Jean-Baptiste-Antoine Levasseur. Derrière l église, il y a une petite chapelle de procession construite en est l unique chapelle de procession qui existe dans tout le diocèse de Montréal à avoir été construite en pièce sur pièce et assise sur pilotis. L île Bouchard et l île Ronde, au milieu du St-Laurent, font partie de St-Sulpice. 18 M.R.. de L Assomption

20 HARLEMAGNE Population actuelle: Anciens noms: habitants Saint-Simon, Saint-Jude Laurier Après Repentigny, harlemagne est le plus ancien lieu occupé continuellement. Dès 1699, des terres sont concédées depuis l embouchure de la rivière L Assomption, à deux familles, les Goulet et les Beaudoin. En 1867, il n y a encore que sept agriculteurs sur les sept terres des débuts. En 1870, des transactions et investissements se concluent par la construction d un moulin à scie ouvert près de l île Vaudry par la compagnie L Assomption Lumber. Un hôtel est déjà installé à la pointe où s arrêtent les bateaux qui remontent la rivière et d où part un traversier vers le «Bout de l île». Des dizaines d employés s installent dans les logements de l entreprise ou des maisons de pension. La nouvelle agglomération est gênée par une zone marécageuse inondable vers Lachenaie. e n est pas de ce côté qu elle regarde. Elle demande donc le rattachement à Saint-Paul l Ermite (Le Gardeur) qui se fait en Dès ce lien, on se donne le nom de harlemagne. Dans les années 1890, la localité, où l emporte l activité industrielle avec son monde ouvrier, abrite trois hôtels, trois restaurants et tous les commerces disponibles de l époque. Un nom singulier, une société et un environnement particulier fondent une identité qui distingue harlemagne de toutes les agglomérations voisines. En 1906, harlemagne, plus peuplé, devient municipalité en se séparant de Saint-Paul-l Ermite. On officialise le nom de harlemagne. En 1910, c est le décret d érection de la paroisse sous l appellation de Saint-Simon, Saint-Jude. 19 M.R.. de L Assomption

21 L arrivée du chemin de fer du anadian Northern (le Grand Nord), en 1904, qui traverse la rivière des Prairies par le pont Laurier, bouleverse les genres de vie. Plus de bateau, ni de traversier, Montréal est accessible, en voitures, par des passerelles installées le long de la voie ferrée du pont. La route nationale, la 2, passe à harlemagne à cause du pont, en se détournant de Repentigny. En 1904, avec la digue des Prairies, l énergie hydraulique est captée par la compagnie Laval Électric qui dessert les municipalités voisines et harlemagne. D autres activités industrielles prennent place qui renforcent la vocation première: construction de boîtes de bois, briqueterie, tannerie, etc. Le moulin est fermé en 1926 mais jusqu en 1953, la «pitoune» bûchée dans le Nord flotte sur la rivière. Elle est dravée et embarquée dans des barges vers les papetières de la Mauricie. Une étoile est née sur la rue Notre-Dame. Elle fait briller, jusqu au bout du monde, un prénom et le nom de sa ville dont elle est fière, éline et harlemagne. 20 M.R.. de L Assomption

22 PAROISSE L ÉPIPHANIE Population actuelle: Ancien nom: habitants L Achigan L Épiphanie faisait partie de l immense seigneurie que possédaient les Messieurs de St-Sulpice. Sur cette seigneurie, il y avait peu de sites propices à l établissement de moulin à eau sauf sur le territoire appelé L Achigan (qui deviendra L Épiphanie). Les Sulpiciens qui avaient dans un premier temps construit un moulin à vent à St-Sulpice pour moudre le grain durent redéfinir leurs choix face à l efficacité des moulins à eau. Dès 1732, ils s empressèrent de construire à L Achigan un moulin à eau qui pouvait fonctionner grâce aux rapides de la rivière L Achigan, situés à 24 mètres au-dessus du niveau de la mer. Deux ans plus tard, on compte trois moulins à eau qui peuvent couper le bois. Plusieurs artisans, marchands et paysans se sont installés autour de ces moulins pour profiter de la prospérité grandissante de ce lieu dont la renommée s étend jusqu à Montréal et Québec. Vers 1760, les colons acadiens viennent grossir les rangs de ces premiers arrivants. En 1850, on dit la messe dans une pièce attenante à ces moulins. La même année, les fidèles insatisfaits convainquent des résidents de Mascouche, St-Jacques et St-Roch-de-l Achigan de se joindre à eux afin d atteindre le nombre requis pour former la Paroisse de L Épiphanie soit habitants. Leur église sera construite en En 1921, la Paroisse de L Épiphanie se scinde pour former une autre municipalité, soit la Ville de L Épiphanie. La Paroisse compte alors 800 habitants. Une des industries qui a fait connaître L Épiphanie est celle du cigare. La famille Bourdon, accompagnée d un expert (M.McGregor), s installe et commence à produire des cigares à L Épiphanie en M.R.. de L Assomption

23 ette industrie est vite devenue prospère et engageait des «gens de la place». est ainsi que les Épiphaniens ont appris le métier de cigariste. Il ne faudrait pas oublier, la Source olumbia qui fut aussi prospère et qui fournissait l eau minérale à la compagnie Pure Spring, pour la fabrication de liqueur douce. La municipalité de la Paroisse L Épiphanie se définit comme une municipalité à vocation agricole dont les sols de grande qualité couvrent la majeure partie de son territoire. ertains bâtiments historiques demeurent toujours en place dans la Paroisse de L Épiphanie, notamment, la Maison Poitras (Petit), classée monument historique. On trouve également d anciennes maisons de pierres des champs et de fermes, véritables trésors du patrimoine ancestral de la Paroisse de L Épiphanie. roix de chemin située à la jonction des rangs de la abane Ronde et L Achigan sud, Paroisse de L Épiphanie. Patrimoine religieux. Photographe : Élisabeth GLADU, mai Source : M.R.. de L Assomption 22 M.R.. de L Assomption

24 VILLE DE L ÉPIPHANIE Population actuelle: Ancien nom: Habitants L Achigan La fondation de la Ville de L Épiphanie est liée indéniablement à celle de la Paroisse de L Épiphanie. La Ville de l Épiphanie faisait partie de l immense seigneurie que possédaient les Sulpiciens. Si les moulins hydrauliques construits par les Sulpiciens, dans les années 1730, contribuent à rendre le commerce intense et florissant en l espace d une cinquantaine d années, d autres événements favorisent l essor industriel de L Épiphanie. Les arrivées successives de deux voies ferrées qui traversent le territoire de L Épiphanie (ville et paroisse): le anadien Pacifique (1886) et le anadien National, au tournant du siècle (notons que ces voies ferrées existent toujours) entraînent un afflux de circulation qui a pour effet de stimuler le tourisme, le commerce, l industrie, les arts et l éducation (fondation du couvent en 1884 et du ollège St-Guillaume en 1914). Du simple village à vocation artisanale et agricole, L Épiphanie connaît alors un essor sans précédent à tous les points de vue. Son centre prend un caractère de plus en plus u r b a i n. Ses nouvelles usines de cigares, de boîtes de bois, de meubles, de fer forgé, de bois de placage nécessitent une main d œuvre toujours plus nombreuses. Gare de la ville de L Épiphanie, circa Source : Ville de L Épiphanie 23 M.R.. de L Assomption

25 L ouverture de nouvelles rues, la construction de logements et d infrastructures s imposent. Les dispositions de la loi obligent d imposer une taxation uniforme pour tous. ette situation contraignante donne lieu, en 1921, au détachement administratif entre la partie rurale qui devient «L Épiphanie Paroisse» et la partie urbaine qui devient le «Village». Les années d après-guerre amènent une baisse générale de l activité industrielle au pays. De sorte qu à L Épiphanie plusieurs entreprises ferment leurs portes. Par ailleurs, l arrivée de l automobile amène la création de routes plus carrossables faisant perdre de l importance au trafic par train qui avait fait la force de L Épiphanie. Le tourisme décline aussi se manifestant par les fermetures successives des cinq hôtels de L Épiphanie. e déclin inattendu amène chômage et misère dans la région. En 1971, cette décroissance de la population est contrebalancée par l éclosion d une nouvelle vocation résidentielle qui ne fit que s affirmer au cours des années suivantes. e sont principalement les usines de meubles qui font aujourd hui la fierté de L Épiphanie. La situation des entreprises, dans le parc industriel de la Ville de L Épiphanie, sur la rue Onulphe-Peltier, constitue un rappel de notre histoire car cette rue est celle qui conduisit jadis voyageurs, commerçants et touristes vers la gare de.p.. ette vieille construction existe toujours, comme un témoin de l histoire. L architecture centenaire de la Ville de L Épiphanie est encore visible aujourd hui. L ancien moulin Hainault, la façade de l église de 1885, restaurée après l incendie de 1991, le presbytère de 1901 et le ouvent de 1884 sont les joyaux encore intacts du passé de la Ville de L Épiphanie. 24 M.R.. de L Assomption

26 Acquis culturels Acquis culturels ujourd hui, le territoire de la M.R.. de L Assomption peut compter, au plan culturel, sur des ressources, attraits, sites et milieux riches en évocation historique et possédant un fort potentiel de développement. La M.R.. est porteuse d une richesse culturelle qu il importe de souligner, celle-ci constituant la pierre d assise de sa politique culturelle. L ensemble de ces éléments liés à la culture de la M.R.. de L Assomption est colligé à l intérieur du profil de la situation du secteur culturel de la M.R.. qui est disponible sur le site Internet de la M.R.. 2. Nous vous exposons dans cette section, les éléments les plus marquants sur le plan du développement culturel de la M.R.. de L Assomption. Un patrimoine culturel d importance ; un positionnement géographique avantageux : la proximité de Montréal, le Fleuve et les rivières L Assomption et L Achigan et le potentiel de mise en valeur qu ils offrent ; La rivière L Achigan, L Épiphanie, circa Source :.L.D. de la M.R.. de L Assomption plus d une centaine d organismes culturels engagés dans tous les secteurs de l activité culturelle ; de fortes concentrations d organismes œuvrant en musique et en théâtre ; plus du tiers de ces organismes étendent leur champ d intervention au-delà du niveau local ; M.R.. de L Assomption

27 un réseau de bibliothèques publiques accessible à l ensemble de la population de la M.R.. de L Assomption. Le territoire de la M.R.. de L Assomption compte parmi ses infrastructures de diffusion culturelle à caractère régional le théâtre Hector-harland. On estime à près de 1,3 million le nombre d actes culturels effectués par la population de la M.R.. ; cela équivaut à plus de dix actes par année par citoyen. Un nombre significatif de ressources humaines, rémunérées ou bénévoles, engagées tant dans la diffusion, la conservation, la sensibilisation, la formation que dans la création et la production culturelle. Les municipalités de la M.R.. consacrent 3,1 % de leur budget aux activités culturelles proprement dites ; ce pourcentage est légèrement plus élevé que la moyenne de la région Lanaudière (2,9 %) et celle de l ensemble du Québec (2,8 %). Louis «Painchô» PERREAULT dans le cadre des Spectacles jeunes publics organisés par la ville de harlemagne. Agora Desjardins, juillet Source : Ville de harlemagne Un centre régional d archives riche sur le plan des valeurs patrimoniales et historiques. La ceinture fléchée de L Assomption est le symbole de la région de Lanaudière et est issue de la M.R.. de L Assomption. 26 M.R.. de L Assomption

28 La politique culturelle La politique culturelle Pour qui? a politique culturelle s adresse aux citoyens en tant qu acteurs et bénéficiaires de la vie culturelle de notre M.R... Elle concerne également les créateurs, les producteurs et les diffuseurs de biens culturels ainsi que les municipalités considérées comme agents de développement du milieu au profit de l ensemble de la collectivité. Pourquoi? En se dotant d une politique culturelle, la M.R.. de L Assomption souhaite préciser et confirmer les balises de ses actions à ce niveau, en concertation avec les municipalités membres et les divers partenaires œuvrant dans le domaine. Elle reconnaît le rôle essentiel de la culture dans l épanouissement de la personne et de la collectivité dans son ensemble, de même que dans l amélioration de la qualité de vie des personnes résidant sur son territoire. La culture constitue un bien collectif et en ce sens doit être accessible à tous. Tous les efforts doivent aller en ce sens. La culture sur le territoire de la M.R.. de L Assomption trouve son identité dans le patrimoine et dans l expression artistique des organismes culturels œuvrant dans tous les secteurs d activités et qui constituent la force vive du milieu. La vie culturelle favorise également le sentiment d appartenance des résidents à leur milieu. 27 M.R.. de L Assomption

29 L Oasis du vieux Palais, construit de , L Assomption. Photographe : Élisabeth GLADU, mai Source : M.R.. de L Assomption

30 Les principes directeurs Les principes directeurs est dans cet esprit que la M.R.. a déterminé les principes directeurs qui orienteront son action, en concertation avec les partenaires du domaine culturel. Les principes directeurs sont : la nécessité de concertation ; une responsabilité en matière d équipements culturels ; une responsabilité sur le plan de la mise en valeur du patrimoine ; la nécessité de soutenir l activité culturelle supralocale ; la mise en valeur des réalisations et produits culturels issus de son milieu. PRINIPE DIRETEUR Nº1 La nécessité de la concertation La concertation et la participation active des différents partenaires du milieu constituent des prémisses essentielles au développement culturel du territoire. La M.R.. tiendra un rôle complémentaire par rapport à celui des municipalités de son territoire et à celui des organismes culturels proprement dits. Dans le sens de ses compétences générales, la M.R.. entend jouer d abord un rôle de concertation au plan culturel, comme elle le fait dans d autres domaines. est pourquoi elle entend susciter et soutenir des partenariats entre les différents intervenants publics et privés de façon à optimiser l action de chacun, à créer la synergie dans l action collective et à éviter les dédoublements. La M.R.. favorisera, de façon systématique, toute collaboration intermunicipale susceptible d aider à la consolidation, la mise en œuvre et au développement de projets profitables à l ensemble de ses citoyens. 29 M.R.. de L Assomption

31 PRINIPE DIRETEUR Nº2 Une responsabilité en matière d équipements culturels La M.R.. intervient au niveau de l aménagement du territoire et se reconnaît en ce sens une responsabilité en matière d aménagement des équipements culturels à vocation supralocale. Elle entend poursuivre, maintenir et augmenter ses efforts pour doter son territoire des équipements nécessaires au développement du dynamisme culturel et artistique de son milieu. PRINIPE DIRETEUR Nº3 Une responsabilité sur le plan de la mise en valeur du patrimoine Le territoire de la M.R.. possède un patrimoine culturel riche et diversifié qui, sans contredit, mérite d être davantage mis en valeur. La M.R.. entend donc favoriser également la consolidation, la préservation, la conservation et la mise en valeur de son patrimoine culturel. Pointes de projectiles et haches du site hayer (BIFi-2) de St-Sulpice. Photographe : Michel GAGNÉ, décembre M.R.. de L Assomption

32 PRINIPE DIRETEUR Nº4 La nécessité de soutenir l activité culturelle supralocale. La M.R.. entend faire en sorte que l activité culturelle puisse s épanouir au-delà des limites géographiques des municipalités locales qui constituent son territoire. Elle est consciente que le dynamisme du secteur culturel, particulièrement en matière de création et de diffusion, suppose un champ d intervention qui dépasse l action locale proprement dite. La M.R.. entend jouer un rôle de mobilisation des paliers municipaux, supralocaux et gouvernementaux pour supporter les organismes culturels œuvrant au plan supralocal. Elle est prête en ce sens à assurer l harmonisation des politiques de soutien de ses municipalités de façon à assurer le soutien nécessaire aux organismes concernés. PRINIPE DIRETEUR Nº5 La mise en valeur des réalisations et produits culturels issus de son milieu Le milieu culturel déplore une certaine méconnaissance de ses activités de la part de la population au plan local mais également au plan régional. La M.R.. déploiera les efforts pour remédier à cet état de fait en soutenant leur rayonnement supralocal dans le milieu. 31 M.R.. de L Assomption

33

34 Les axes d intervention... Les axes d intervention et les orientations stratégiques es axes d intervention décrits dans la politique culturelle sont tous reliés entre eux et tiennent compte des différents enjeux qui confrontent le développement du milieu culturel de la M.R.. de L Assomption. Ils visent tous à favoriser un développement harmonieux du secteur culturel en respect avec les principes directeurs identifiés précédemment. Les axes d intervention sont : la conservation et la mise en valeur du patrimoine culturel ; l accès aux infrastructures et équipements culturels supralocaux ; l appui aux créateurs et aux organismes de développement culturel ; la promotion du dynamisme culturel ; le partenariat culturel. AXE D INTERVENTION Nº1 La conservation et la mise en valeur du patrimoine culturel La M.R.. entend contribuer de façon proactive, dans les limites de ses compétences, à la protection, la conservation et la mise en valeur des éléments de son patrimoine culturel. Elle retient, pour ce faire, les orientations stratégiques suivantes : Accroître et diffuser les connaissances sur les ressources et richesses patrimoniales et historiques de son territoire. Protéger, par diverses mesures incitatives ou réglementaires, le patrimoine culturel. Susciter et développer des projets de mise en valeur du patrimoine culturel de concert avec les divers partenaires concernés (ministères, municipalités, etc.). 33 M.R.. de L Assomption

35 Favoriser la conservation, l accessibilité et la mise en valeur des fonds et collections d archives publiques, privées et institutionnelles par l entremise du RAL. Accroître l accessibilité au hemin du Roy, au Fleuve Saint-Laurent, aux rivières L Assomption et L Achigan ainsi que la mise en valeur des rives Favoriser l utilisation des espaces, sites et bâtiments patrimoniaux à des fins publiques. École de village, devenue la Mairie de St-Sulpice, circa Source : Maurice PRUD HOMME Encourager la mise en valeur de notre richesse patrimoniale à des fins récréotouristiques et éducatives. Activités tenues à la bibliothèque de Le Gardeur, circa Source : Ville de Le Gardeur. 34 M.R.. de L Assomption

36 AXE D INTERVENTION Nº2 L accès aux infrastructures et équipements culturels supra locaux La M.R.. entend assurer, en concertation avec les municipalités de son territoire et en collaboration avec les partenaires publics et privés, l amélioration constante des infrastructures et équipements culturels nécessaires au dynamisme culturel sur son territoire. Marie-France LAPENSÉE, Mario LAVOIE et Micheline LAMOTHE lors du lancement des ircuits Patrimoniaux à L Assomption. Photographe : Sylvain LATULIPE, juin Source : L Écrivain Public Elle retient, pour ce faire, les orientations stratégiques suivantes : Favoriser l utilisation rationnelle et l accès aux infrastructures et équipements culturels supralocaux de son territoire. Favoriser la concertation avec ses partenaires (gouvernements, municipalités, intervenants scolaires, entreprises privées, etc.) en vue de compléter et d améliorer les infrastructures et équipements culturels à vocation supralocale de son territoire. 35 M.R.. de L Assomption

37 AXE D INTERVENTION Nº3 L appui aux créateurs et aux organismes de développement culturel La présence, sur son territoire, de bon nombre d artistes et de créateurs œuvrant dans diverses disciplines culturelles, de même que bon nombre d organismes de développement culturel dont le champ d action dépasse souvent les limites géographiques d une municipalité, amène la M.R.. à se doter des moyens nécessaires pour soutenir leur essor et leur développement. La M.R.. retient, pour ce faire, les orientations stratégiques suivantes : Reconnaître et soutenir le rôle d ambassadeur des artistes, créateurs et organismes œuvrant au plan régional et suprarégional ainsi que l expertise professionnelle dans chacune des disciplines artistiques. Faire en sorte que les politiques des municipalités accordent aux groupes culturels à vocation supralocale le soutien nécessaire à leur épanouissement. Jean-Sébastien ROY, violoniste, dans le cadre du lancement de la programmation de L Association de Repentigny pour l Avancement de la Musique (L ARAM). Photographe : Karine JOBIN, circa Source : Les Hebdos Transcontinental 36 M.R.. de L Assomption

38 Axe D intervention Nº4 La promotion du dynamisme culturel La M.R.. entend soutenir, dans la mesure de ses moyens et de ses compétences, la promotion du dynamisme des créateurs, artistes et organismes culturels œuvrant sur son territoire. Elle retient, pour ce faire, les orientations stratégiques suivantes : Accroître la présence publique et la mise en valeur des œuvres en art visuel sur son territoire Favoriser le développement et l harmonisation des événements à caractère culturel Favoriser, de concert avec l ensemble des partenaires du milieu, la promotion, l aménagement et l accessibilité de lieux publics de création et de diffusion. Sculpture sur glace réalisée dans le cadre des festivités entourant le 330 ième anniversaire de Repentigny, février Photographe : Isabelle HAPLEAU. Source : Les Hebdos Transcontinental 37 M.R.. de L Assomption

39 AXE D INTERVENTION Nº5 Le partenariat culturel La M.R.. entend privilégier la concertation pour assurer le développement culturel souhaité sur son territoire. Elle retient, pour ce faire, les orientations stratégiques suivantes : Mettre en place un comité permanent de concertation réunissant les divers partenaires du milieu. Négocier des ententes cadres avec les milieux scolaires. Négocier une entente cadre de développement culturel avec le ministère de la ulture et des ommunications pour le territoire de la M.R... Évaluer la faisabilité de modes de contribution des municipalités aux événements et équipements culturels à vocation supralocale. 38 M.R.. de L Assomption

40 Le plan de mise en oeuvre, le plan de mise en oeuvre Interpellé au premier chef par la mise en œuvre de la politique culturelle, le conseil des maires de la M.R.. de L Assomption se voit attribuer des rôles et responsabilités sur le plan de la mise en œuvre. En tant qu initiateur de la démarche d élaboration de la politique culturelle, le conseil des maires de la M.R.. doit jouer un rôle important en tant qu agent mobilisateur et en tant que gardien des valeurs de la politique culturelle adoptée en novembre Il a notamment diverses responsabilités dont celles : de mettre en place une structure de gestion et de promotion de la politique culturelle : par l embauche d un agent culturel dédié au soutien et au développement culturel de la M.R.. ; par la mise en place d un comité culturel permanent de concertation qui sera le forum privilégié pour traiter du développement culturel sous toutes ses formes dans la M.R..; de voir à l élaboration, l adoption et la mise en œuvre du plan d action ; et d assurer le suivi et la mise à jour de la politique culturelle. La M.R.., par son conseil et ses ressources, est le principal intervenant qui veillera à l élaboration et l application de la politique culturelle. ependant, la mise en œuvre de la politique culturelle est impensable sans une participation de plusieurs intervenants provenant de divers milieux (municipal, culturel, scolaire, gouvernemental, privé, etc.). Un certain nombre d intervenants sont directement concernés par la mise en œuvre de la politique culturelle de la M.R... Les rôles joués par chacun seront à la fois différents et complémentaires. 39 M.R.. de L Assomption

41 Horloge du millénaire, ville de L Épiphanie. Photographe : Luc LAFERRIÈRE, novembre Source : Ville de L Épiphanie

42 Les dates marquantes Les dates marquantes ovembre 1999, le 24 Résolution au conseil des maires de la M.R.. de demander au entre Local d Emploi (LE) de Repentigny une assistance technique et financière pour permettre la mise en place d un omité d adaptation de la main d œuvre (AMO) culturel. Janvier 2000, le 17 Première rencontre du AMO de développement culturel de la M.R.. de L Assomption. Janvier 2000, le 25 Résolution au conseil des maires de la M.R.. d accorder un mandat au Groupe DBSF pour l élaboration de la politique culturelle de la M.R.. de L Assomption. Janvier 2000, le 25 Résolution au conseil des maires de la M.R.. concernant la nomination des représentants de la M.R.. sur le AMO culture. Les représentants sont Messieurs René Després, maire de la Ville de harlemagne et Roger arrier, secrétaire-trésorier. Janvier 2000, le 28 Signature du contrat de services professionnels entre le Groupe DBSF et le AMO de développement culturel de la M.R.. de L Assomption. Janvier 2000 Dépôt par le Groupe DBSF au AMO ulturel de la M.R.. de L Assomption du plan de travail de l offre de services de la politique culturelle de la M.R.. de l Assomption. Avril 2000, le 19 Résolution au entre Local de Développement (LD) de la M.R.. de L Assomption concernant leur contribution financière au AMO sur la politique culturelle. 41 M.R.. de L Assomption

43 Septembre 2000, le 13 Forum de consultation sur la politique culturelle proposée par le Groupe DBSF auquel étaient invités plusieurs intervenants. Novembre 2000 Dépôt au AMO culturel de la M.R.. de L Assomption par le Groupe BDSF des rapports finaux intitulés «Profil de la situation du secteur culturel», et «Plan de mise en œuvre». Novembre 2000, le 22 Résolution du conseil des maires de la M.R.. concernant l adoption de la politique culturelle réalisée grâce aux différents intervenants qui ont prêté leurs concours à son élaboration avec l encadrement du Groupe DBSF. Décembre 2000 onfirmation de l admissibilité de la M.R.. au programme Villes et Villages d Art et de Patrimoine. Janvier 2001, le 15 Entrée en fonction d un coordonnateur-animateur de Villes et Villages d Art et de Patrimoine de la M.R.. de L Assomption. Avril 2001 Signature du protocole entre le ministère de la ulture et des ommunications du Québec (MQ) et la M.R.. concernant la subvention pour l embauche d un coordonnateur-animateur dans le cadre du programme Villes et Villages d Art et de Patrimoine. D autres dates marqueront la concrétisation des engagements décrétés par la M.R.. et inscrits dans la politique culturelle. La mise en œuvre de la politique culturelle est un cheminement qui portera fruits dans les décennies et années à venir. 42 M.R.. de L Assomption

44 Les remerciements Les remerciements a démarche qui a mené à l élaboration de la politique culturelle de la M.R.. de L Assomption a été supervisée par un comité de travail dirigé par madame éline Rivest, du entre Local d Emploi (LE) de Repentigny, et monsieur Roger arrier, secrétairetrésorier de la M.R.. de L Assomption, et formé des personnes suivantes : Madame Lise Beauchemin Directrice du onseil de la culture de Lanaudière Monsieur Guy Bessette Directeur du service des loisirs et de la culture de la Ville de Repentigny Monsieur laude Degrandpré Directeur du Théâtre Hector-harland Monsieur René Després Maire de la Ville de harlemagne Monsieur Raymond Hénault onseiller municipal à la Ville de Repentigny Madame Ginette Racine Directrice de L Impromptu de L Assomption Madame Ginette Martin Responsable de la bibliothèque de Le Gardeur Monsieur lément Rivest Administrateur à l ARAM Monsieur Daniel Morin onseiller au LD de la M.R.. de L Assomption Monsieur Jean-Marc Parent oordonnateur des équipements culturels et responsables des bibliothèques publiques, direction régionale du ministère de la ulture et des ommunications 43 M.R.. de L Assomption

45 Le conseil des maires de la M.R.. de L Assomption tient à remercier l ensemble des intervenants qui ont participé à la rencontre de consultation présidée et animée par le Groupe DBSF et plus particulièrement, le LE de Repentigny pour son excellente collaboration à titre de partenaire privilégié dans le projet d élaboration de la politique culturelle de la M.R.. de L Assomption. Les remerciements s adressent également à toutes les personnes qui se sont rendues disponibles pour collaborer aux diverses étapes d élaboration de la politique culturelle de la M.R.. de L Assomption. 44 M.R.. de L Assomption

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