COMMENT ACCOMPAGNER UN PATIENT APRÈS UN TRAITEMENT CONTRE L HÉPATITE C
|
|
- Sandrine Dupuis
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 COMMENT ACCOMPAGNER UN PATIENT APRÈS UN TRAITEMENT CONTRE L HÉPATITE C Ce livret a été conçu par les laboratoires Janssen pour répondre aux questions que vous vous posez sur l hépatite C. Si vous avez besoin de précisions supplémentaires, n hésitez pas à en parler avec votre médecin ou votre pharmacien.
2 SOMMAIRE Introduction Introduction....3 Accompagner un patient après la guérison...4 Accompagner un patient en échec thérapeutique Faire le bilan ensemble... 6 Après l échec d une bithérapie...8 Après l échec d une trithérapie Références Adresses utiles...12 Après un traitement contre l hépatite C chronique, que le virus de l hépatite C (VHC) ait été éliminé ou pas, l histoire du patient ne s arrête pas là. Même guéri, les années passées dans la crainte d une aggravation de la maladie ou de la contamination d un proche continuent à peser sur son moral et sur sa capacité à se projeter dans le futur. De plus, l allègement soudain du suivi médical peut être à l origine d un sentiment d abandon qu il faut savoir anticiper. Pour les patients non répondeurs, rechuteurs ou échappeurs, l échec du traitement est une nouvelle difficile à digérer, en particulier après un traitement par trithérapie interféron pégylé /antiviral oral / inhibiteur de protéase. Chez ces patients, l accompagnement pendant les mois suivant l annonce de l échec demande une attention particulière. L objectif de ce document est de vous aider à structurer l accompagnement que vous et votre équipe serez amenés à mettre en place après la fin d un traitement, qu il ait été couronné de succès ou pas, qu il ait consisté en une bithérapie ou en une trithérapie. Cette brochure s accompagne de deux documents destinés aux patients sur lesquels vous pourrez vous appuyer pour prolonger les conseils prodigués en consultation. 2 3
3 ACCOMPAGNER UN PATIENT APRÈS LA GUÉRISON Lorsque la charge virale reste indétectable six mois après la fin du traitement (1), l annonce de la guérison est un moment important. Cette nouvelle, même si elle est excellente, entraîne des bouleversements émotionnels parfois difficiles à gérer. Apprendre que l on est guéri d une maladie qui a rythmé sa vie depuis des années crée des sentiments intenses et parfois contradictoires : joie et soulagement, mais également incrédulité voire inquiétude quant à l avenir. Lors de l annonce de la guérison, certains éléments doivent être systématiquement abordés. Aider le patient à reconstruire sa vie -Même guéri, le patient reste une personne chez qui l hépatite C a été un traumatisme qui laisse des traces psychologiques. Quelques mois de suivi par un psychologue ou un psychiatre peuvent être nécessaires pour permettre au patient de tourner la page et de se projeter dans un nouvel avenir. - Faites formuler au patient ses sentiments à l annonce de la guérison, ses craintes, ses priorités, ses projets, etc. - Pour aider le patient à faire le point, il peut être intéressant de lui faire remplir un questionnaire sur sa santé aujourd hui (voir Brochure Patient «Je suis guéri de mon hépatite C», p. 4) Guéri du virus, pas forcément de la maladie - Pensez à expliquer que l élimination du VHC n implique ni la disparition des anticorps, ni l amélioration immédiate de l état du foie. Même guéri, des symptômes liés à la fibrose/cirrhose (en particulier la fatigue) peuvent persister. - Précisez que certains effets indésirables du traitement peuvent également persister quelques mois : fatigue, dépression, difficultés à se concentrer, sécheresse de la peau, par exemple. Renouvelez vos conseils sur la gestion de ces effets indésirables. - Informez le patient que les conseils hygiénodiététiques (tabac, alcool, drogues, nutrition) délivrés pendant la maladie devraient continuer à être appliqués toute la vie. Rappeler les capacités de régénération du foie peut motiver le patient à maintenir ces consignes pour une meilleure récupération. - N oubliez pas de préciser au patient que, le VHC ayant été éliminé, il n est plus contaminant pour son entourage. Un suivi à la carte - Selon le degré de fibrose du foie, expliquez la manière dont le suivi médical du patient va être maintenu, les examens qui seront pratiqués (échographie, prise de sang, éventuellement fibroscopie) et les objectifs de ces examens. - À l annonce de la guérison, certains patients ressentent un sentiment d abandon et de crainte à l idée de ne plus être suivi aussi régulièrement. Précisez-leur le calendrier de suivi adapté à leur cas et justifiez-en le rythme en fonction de l état de leur foie. - Chez les patients qui présentent une fibrose importante, voire une cirrhose, il est important de discuter du risque d apparition d un hépatocarcinome. Des témoignages dramatiques circulent sur internet et il est préférable d aider les patients à mieux comprendre le risque et l importance d un suivi médical régulier pour une intervention précoce. «Même si je suis heureux d être guéri depuis presqu un an, j ai du mal à ne plus me percevoir comme un patient. Cette maladie a été une telle épreuve que ce sentiment persiste. Je ressens aussi de la tristesse en pensant que je ne pourrais jamais rattraper le temps perdu et le fait que l hépatite C m a empêché de profiter pleinement de mes enfants lorsqu ils étaient petits. Je n en parle pas de peur de passer pour un rabat-joie. Pourtant, certains jours, tout ça me pèse.» Michel, 37 ans. Une recontamination toujours possible - Il est essentiel de préciser au patient que la guérison n est pas synonyme d immunité ou de protection contre le VHC. La recontamination est possible et les mesures de prévention doivent être appliquées rigoureusement. - Les patients co-infectés par le VIH semblent être plus nombreux à se recontaminer (2) : les conseils de prévention doivent être particulièrement précis et renforcés chez ces patients. 4 5
4 Accompagner un patient en échec thérapeutique Faire le bilan ensemble Un échec thérapeutique, aussi décevant soit-il, est une source de renseignements importante pour la suite du suivi médical. Faire le bilan avec le patient peut à la fois l aider à surmonter le sentiment d échec et à mettre toutes les chances de son côté pour un futur traitement. Faire ensemble le bilan de l échec d un traitement peut se révéler une bonne stratégie pour aider le patient à ne pas perdre espoir et pour préparer le terrain à la suite de la prise en charge. Même chez les patients peu familiers avec les concepts biologiques et médicaux, il est possible de construire sur l échec pour améliorer leur compréhension de l hépatite C et de ses traitements. Décrire la réponse virologique du patient en termes simples - Prenez le temps d expliquer au patient dans quelle catégorie de répondeurs il se situe : Non-Répondeur (à préférer à la dénomination «Répondeur nul» ), Répondeur partiel, Rechuteur ou Échappeur. - S il est Répondeur partiel ou Rechuteur après une bithérapie standard, mettez-en avant les éléments positifs : les trithérapies avec inhibiteur de protéase sont plus efficaces. (3) - Chez les patients Non-répondeurs, une analyse de la «non-réponse» en début de traitement peut dégager des éléments intéressants. Essayer de comprendre ensemble les raisons de l échec - Dans la mesure des capacités du patient, essayez de lui faire comprendre la distinction entre réponse immunitaire et effet antiviral du traitement (en particulier après une trithérapie). Maîtriser ces concepts s avérera utile pour la suite de la prise en charge. - Pensez à demander au patient quelles sont, selon lui, les causes de l échec de son traitement (4). Ses explications pourront vous donner des éléments : sur sa compréhension des traitements, sur les facteurs externes qui ont pu influencer le résultat : difficultés d observance, effets indésirables, prise simultanée de substances entraînant des interactions médicamenteuses ou une observance irrégulière, etc. Faire un bilan physique et psychologique du patient - L annonce de l échec d un traitement est une opportunité pour faire un bilan complet du patient, tant sur le point clinique et biologique que sur celui de sa santé psychique, de sa qualité de vie et sa motivation. - Des questionnaires HAD (Hospital Anxiety and Depression) et de qualité de vie sont disponibles dans la Brochure Patient «Le traitement n a pas suffi pour guérir mon hépatite C», p. 8 à 10. N hésitez pas à les faire remplir au patient et à les intégrer dans son dossier. - Il peut être intéressant de faire de nouveau réfléchir le patient sur ses motivations et ses priorités (p. 4 de la Brochure Patient «Le traitement n a pas suffi pour guérir mon hépatite C»). «Lorsque j ai appris que le virus était réapparu, j étais complètement démotivée. Mon médecin m avait pourtant prévenue que cela pouvait arriver. Mais après trois mois de virus indétectable, j y croyais! Il a pris le temps de faire le point avec moi et il m a expliqué que le fait d avoir réussi à ne plus avoir de virus détectable pendant le traitement, même pour quelques mois, était un signe positif pour les chances d un futur traitement. Sur le coup, j ai pensé qu il essayait de me consoler mais, avec ses explications, j ai réalisé que c était finalement une véritable raison d espérer.» Anne, 54 ans Relativiser l échec et en tirer des leçons utiles pour le futur - Déculpabilisez le patient : rappelez-lui qu il vient de connaître l échec à UN traitement particulier mais que cela ne signifie pas qu un traitement ultérieur sera forcément inefficace. - Si cela est pertinent, faites formuler au patient les actions qui auraient pu améliorer son observance : meilleure prise en charge psychologique, soutien matériel et social, par exemple. La prise en charge de ces éléments pourra contribuer à une plus grande efficacité du prochain traitement. 6 7
5 Accompagner un patient en échec thérapeutique Après l échec d une bithérapie Après l échec d un traitement par bithérapie, la trithérapie interféron pégylé/antiviral oral/ inhibiteur de protéase est désormais considérée comme un traitement de référence. Connaître les facteurs prédictifs de réponse à la trithérapie et préparer le patient à ce nouveau traitement sont essentiels à sa réussite. Accompagner un patient en échec après une bithérapie impose de prendre en compte les facteurs suivants pour optimiser l efficacité du traitement par trithérapie (3,4) : - cliniques (degré de fibrose, co-morbidités et co-médications), - virologiques (sous-type génotypique, co-infection par le VHB ou le VIH), - historiques (réponse virologique au traitement précédent), - génotype IL28b, - mais également, pour chaque patient, des facteurs socio-économiques, psychologiques, motivationnels, etc. - Chez les patients répondeurs nuls (3) à la bithérapie ayant une fibrose sévère, la trithérapie est indiquée en l absence d alternatives (essais cliniques). Une réponse virologique soutenue peut être espérée chez 40 % des patients répondeurs nuls F3 et environ 15 % des patients répondeurs nuls F4. Comment bien préparer un patient au traitement par trithérapie? Au-delà des caractéristiques virologiques et biologiques du patient, ainsi que sa réponse aux traitements antérieurs, la réussite d un traitement par trithérapie est liée à une bonne préparation du patient dans l ensemble des domaines de sa vie quotidienne. - Expliquez-lui clairement ses chances de réussite en insistant sur les facteurs de succès sur lesquels il peut exercer une influence. Parce que le patient a l expérience d un traitement précédent, il est à même de comprendre que son futur traitement ne sera pas forcément couronné de succès. Pour continuer à être motivé, il est important qu il sache comment mettre toutes les chances de son côté. Expliquez-lui l importance de la prise régulière des traitements, dans les conditions que vous lui indiquerez. Insistez sur le fait que, comme toute épreuve, il est plus facile de la surmonter avec l aide d autres personnes : proches, autres patients et, bien sûr, l ensemble des professionnels de santé. - Faites le point sur ses motivations et ses priorités. En vous aidant des questionnaires de la Brochure Patient «Je ne suis pas guéri de mon Hépatite C» (p. 4 et 8), aidez le patient à formuler ses motivations et à réfléchir aux mesures qu il prendra en cas de doute ou de découragement. Il pourra y revenir tout au long du traitement pour retrouver la source de sa motivation initiale. Les facteurs prédictifs de réponse à une trithérapie Les facteurs prédictifs de réponse à un nouveau traitement sont similaires pour les bithérapies et les trithérapies. Néanmoins, leur poids sur les chances de succès est globalement moins important lors de trithérapies interféron pégylé/antiviral oral /inhibiteur de protéase que lors de bithérapie. Ces facteurs sont : - le profil de réponse au traitement précédent (3) : les patients rechuteurs ont des chances de guérison plus élevées que les patients répondeurs partiels, et ces derniers ont un taux de réponse supérieur à celui des patients répondeurs nuls. - le stade de fibrose (3) : plus le stade de fibrose est faible, plus les chances de guérison sont élevées. - d autres facteurs prédictifs positifs (3) peuvent entrer en compte :, un génotype 1b, un niveau élevé de LDL-cholestérol, par exemple. Le polymorphisme IL28B CC, reconnu comme un facteur prédictif positif pour une bithérapie, interféron pégylé/antiviral oral ne semble pas être un facteur prédictif significatif lors de trithérapie interféron pégylé/antiviral oral /inhibiteur de protéase. Les facteurs de la mise en place d une trithérapie L opportunité de mettre en place une trithérapie après l échec d une bithérapie varie selon le profil virologique du patient. - Chez les patients rechuteurs (3) à la bithérapie, une trithérapie Peg-IFN/antiviral oral/inhibiteur de protéase doit être rapidement débutée chez ceux ayant une fibrose sévère (F3-F4). Elle est également indiquée chez ceux présentant une fibrose modérée (F2). Chez les patients ayant des lésions de fibrose minimes (F0, F1), elle doit être discutée au cas par cas. - Chez les patients répondeurs partiels (3) à la bithérapie, la trithérapie doit être débutée dès que possible chez ceux qui ont une fibrose sévère (F3-F4) et doit être discutée au cas par cas chez ceux ayant une fibrose minime à modérée (F0-F1-F2). 8 9
6 - Assurez-vous qu il dispose d un réseau de soutien efficace, tant sur le plan matériel que psychologique. Le psychologue, l assistante sociale, l addictologue, l intervenant associatif, les proches autant de personnes qui seront là pour aider la patient tout au long du traitement. Le Passeport Santé («Avant le traitement») est un support destiné à faire le point sur toutes ces formes de soutien. - Faites un bilan de son moral et donnez-lui des outils d évaluation et de suivi sur sa qualité de vie. Pour un meilleur suivi pendant le traitement, il peut être utile de donner au patient des outils d évaluation de sa santé psychique et de sa qualité de vie. Disponibles dans la Brochure Patient «Je ne suis pas guéri de mon Hépatite C» (p. 8 et 9), ces outils peuvent être présentés en amont du traitement pour familiariser le patient avec leur usage. - Rassurez-le sur les effets indésirables éventuels. Le patient en échec de traitement par bithérapie a déjà connu certains effets indésirables qui peuvent se manifester lors de trithérapie. Faites le point avec lui sur les effets indésirables qu il a connu, rappelez-lui les mesures à prendre pour les prévenir ou les soulager, et donnez-lui des conseils sur le dépistage et la gestion d éventuels nouveaux effets indésirables : problèmes de peau, anémie, troubles du goût, etc. - Prévenez les problèmes d interactions médicamenteuses. Le patient doit être conscient des conséquences que pourrait avoir un taux sanguin d inhibiteur de protéase trop élevé ou trop faible. Expliquez-lui l incidence d éventuelles interactions médicamenteuses sur l efficacité du traitement. Il peut être utile de préparer un document résumant les médicaments courants à éviter et de l inciter à aborder systématiquement son traitement à chaque visite chez un autre professionnel de santé ou dans une officine. - Si possible, proposez-lui des séances d éducation thérapeutique au démarrage du traitement. Dans une étude récente, les séances d éducation thérapeutique ont montré un effet positif sur la réponse virologique soutenue des patients qui ont suivi ce type d activité de soutien (5). Accompagner un patient en échec thérapeutique Après l échec d une trithérapie Les patients qui ont rechuté après une trithérapie interféron pégylé/ antiviral oral/ inhibiteur de protéase ont le sentiment d avoir perdu toute raison d espérer. Le rôle du praticien est alors de leur rappeler que le traitement n a pas été inutile et que son échec ne l empêchera pas de guérir avec un autre traitement. Accompagner un patient en échec après une trithérapie est souvent difficile. Le taux de rechute est plus élevé chez des patients atteints de fibrose sévère pour qui l urgence d un traitement efficace est plus élevée. Néanmoins, l annonce de cet échec peut être l opportunité de mentionner les raisons de continuer à se battre. Détaillez le suivi médical qui sera mis en œuvre Après un échec thérapeutique, les patients sont inquiets sur ce qu il va advenir d eux. Au sentiment d échec s ajoute parfois un sentiment de crainte de «ne plus intéresser le médecin.» Rassurez le patient en lui précisant la manière dont son suivi va être organisé dans les prochains mois. Rappelez l existence d essais cliniques et de molécules en développement Pour laisser une fenêtre ouverte sur l avenir, informez le patient des avancées de la recherche en termes de traitement de l hépatite C et de molécules actuellement en développement. Cette information peut être une bonne opportunité de lui rappeler l existence et les principes qui régissent les essais cliniques. Références (1) Guide ALD Hépatite Chronique C. HAS, mai 2006 (2) Stellbrink HJ. Increasing numbers of acute hepatitis C infections in HIV-infected MSM and high reinfection rates following SVR. Journal of the International AIDS Society (3) Leroy V et al. Protease inhibitor-based triple therapy in chronic hepatitis C : guidelines by the French Association for the Study of the Liver. Liver International ; (4) Larrey D. Modalités pratiques de l organisation du traitement, in Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF, Colloque AFEF, 8-9 avril (5) Larrey D. Un exemple d éducation thérapeutique par une infirmière sur l observance et l efficacité du traitement par bithérapie peginterféron alpha 2 ribavirine dans l hépatite C chronique : protocole PEGOBS. BEH 29-30, 10 juillet Avec la collaboration du Dr Didier Mennecier, hépatologue à l Hôpital d Instruction des Armées Bégin
7 ADRESSES UTILES POUR VOS PATIENTS SOS Hépatites Fédération 190 boulevard de Charonne Paris Numéro vert : (appel gratuit depuis un poste fixe, 10-13h 14-18h) Hépatites Info Service (opéré par SIS, Sida Info Service) N vert : (appel gratuit depuis un poste fixe, 8-23h) Hépatoweb Synthèses scientifiques et accès à des résumés sur les pathologies ainsi qu à des explications des examens complémentaires réalisés en hépato-gastroentérologie. hepatoweb.com/espace_patients.php PASSEPORT SANTÉ HÉPATITE C Les Passeports Santé «Avant le traitement», «Pendant le traitement» et «Après le traitement» sont des livrets de suivi spécifiquement conçus pour les patients en traitement, y compris en trithérapie. Pensez à les proposer aux patients en échec thérapeutique après une bithérapie. Ils ont été pensés pour structurer la préparation du patient et pour l aider à garder sa motivation tout au long du traitement. Pour l obtenir, contactez medisource, le service d Information médicale et Pharmacovigilance de Janssen. Cette brochure a été réalisée par la société EmPatient Conception et réalisation graphique : Christian Scheibling / JA1209HEP2605
Je suis guéri de mon hépatite C
Je suis guéri de mon hépatite C Que dois-je faire après l arrêt du traitement? Ce livret a été conçu par les laboratoires Janssen pour répondre aux questions que vous vous posez sur l hépatite C. Si vous
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailHépatite C, les nouveaux traitements
Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailMon traitement n a pas marché.
tirer profit des différents traitements et soins disponibles être hépatant 13 Mon traitement n a pas marché. Que faire? Nous voulons informer sur l hépatite C, lutter pour une meilleure prise en charge
Plus en détailLe Comité Scientifique a traité les questions suivantes : «Association reconnue d utilité publique» - 1 -
- 1 - Prise de position de l'association Française pour l'etude du Foie (AFEF) sur les trithérapies (Peg-IFN + ribavirine + inhibiteur de protéase) dans la prise en charge des malades atteints d'hépatite
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailMme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique
Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailPlace du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet*
Entretiens de Bichat 26 sept. 2013 Salle 352 A 17 h 30 18 h 30 Place du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet* * Hépatologue, Université Paris XI, Centre de compétence
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailActualités sur le Virus de l'hépatite C
CBP CHRU Lille Actualités sur le Virus de l'hépatite C 2.0 ANNE GOFFARD UNIVERSITÉ LILLE 2 DROIT ET SANTÉ FACULTÉ DES SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES DE LILLE 2012 Table des matières I - Épidémiologie
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailVirus de l hépatite B
Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Persistance de l antigène HBs 10% - 90% Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B faible ou absente Persistance
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailHépatite. du dépistage au traitement. Questions et réponses. L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients
DOCUMENT À L USAGE DES PATIENTS Également disponible : L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients (document à l usage des professionnels de santé) Document édité et diffusé
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009
PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 CHU BAB EL OUED DR OSMANE DR MAHIOU PR NAKMOUCHE Evolution du traitement de hépatite c Découverte du génome de l HVC 1989 1989 1989 Evolution du traitement
Plus en détailCo-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC
Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLes hépatites virales chroniques B et C
Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé
Plus en détailJournée Mondiale des Hépatites
2 Bulletin d information de REVIH-STS Réseau de Santé VIH - Hépatites - Toxicomanies en Savoie Journée Mondiale des Hépatites Sommaire Edito / Pôle hépatites.p.1 Education thérapeutique / Nutrition...p.2
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détail1. Différentes hépatites/ différents traitements
III. Traitements 55 1. Différentes hépatites/ différents traitements Se faire soigner 1.1 Traitements des hépatites virales D après les expériences pratiques et la littérature scientifique, le traitement
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailWHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5
WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la
Plus en détailLa prise en charge d un trouble bipolaire
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Octobre 2006 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication 2 avenue du Stade de France F 93218
Plus en détailPlace de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH
Place de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH Lionel PIROTH CHU Dijon, Université de Bourgogne Tours juin 2012 Un problème? VIH-VHB Piroth L et al, J Hepatol,
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détaildroits des malades et fin de vie
DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailL hépatite C. 50 questions et réponses. Dr. med. Daniel Lavanchy, PD Dr. med. Andrea De Gottardi, Prof. Dr. med. Andreas Cerny
L hépatite C 50 questions et réponses Dr. med. Daniel Lavanchy, PD Dr. med. Andrea De Gottardi, Prof. Dr. med. Andreas Cerny A qui s adresse cette brochure? Cette brochure est destinée aux personnes souffrant
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailAccès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques. Maurice Cassier CNRS CERMES3
Accès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques Maurice Cassier CNRS CERMES3 Production de génériques dans les PVD et accessibilité
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailTraitement des hépatites h chroniques virales B et C
Traitement des hépatites h chroniques virales B et C Dr Joanna POFELSKI Service d hépatod pato-gastroentérologierologie CH d Annecyd Particularités? Virus hépatotropes / cytopathogènes : lésions hépatiques
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailBon usage. Mise au point
Bon usage Mise au point Évaluation et prise en charge des troubles psychiatriques chez les patients adultes infectés par le virus de l hépatite C et traités par (peg) interféron alfa et ribavirine Mai
Plus en détailVivre avec le VIH. Point de départ
Vivre avec le VIH Point de départ Vous venez d apprendre que vous avez le VIH et vous cherchez des repères? Nous pouvons vous aider. Voici quelques questions auxquelles vous trouverez réponse dans ce livret
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailBulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur,
Bulletin n 10 2014 Cher adhérent, cher donateur, La maladie crée souvent une situation de stress aussi il nous a semblé nécessaire de préciser les différentes étapes du parcours de soins afin de faciliter
Plus en détailLe parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique
Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailPasseport Santé. hépatite C. pendant votre traitement
Passeport Santé hépatite C pendant votre traitement Remerciements aux experts qui ont permis la création de ces trois guides d accompagnement pour le patient qui, nous l espérons, seront utiles pour son
Plus en détailComité d organisation
Workshop Comité d organisation Khadija Akarid Abdelkrim Benbouzid Abdellah Badou Nadia Bouhaddioui Zakaria Chraïbi Hassan Fellah Jamal Hafid Fouad Seghrouchni Faculté polydisciplinaire de Safi Laboratoire
Plus en détailPierre-Yves Comtois, Marc Leclerc, Bruno Lemay, Karina Ortega Révision scientifique : Benoît Lemire, pharmacien
P RTAIL VIH / sida du Québec Hépatite C Retour sur les symposiums hépatite C 2012 Pierre-Yves Comtois, Marc Leclerc, Bruno Lemay, Karina Ortega Révision scientifique : Benoît Lemire, pharmacien Le 3 et
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Les recours possibles pour les patients OBTENIR DES EXPLICATIONS Si un patient
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Lorsqu il estime avoir été victime, de la part d un établissement ou d un
Plus en détailUSAGERS DE DROGUE ET VHC ADIJA CHAMPAGNOLE MARDI 17 MARS
USAGERS DE DROGUE ET VHC ADIJA CHAMPAGNOLE MARDI 17 MARS RAPPELS Répartition des patients VHC 15% Nosocomial 20% Autres + Inconnue 3% Activité prof. 37 % Transfusion 1 % sexuel 25 % Toxicomanie IV D'après
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailQUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?
QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement
Plus en détailC comme Cirrhose. être hépatant7. apprendre à vivre avec une cirrhose
BROCHURE BLEUE comprendre et m adapter aux différentes situations de la maladie être hépatant7 C comme Cirrhose apprendre à vivre avec une cirrhose Nous voulons informer sur l hépatite C, lutter pour une
Plus en détailQuantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?
Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailTraitement de l hépatite C chez le sujet infecté par le VIH Actualités 2004
Traitement de l hépatite C chez le sujet infecté par le VIH Actualités 2004 Pr C. PERRONNE Service des Maladies Infectieuses et Tropicales Hôpital Raymond Poincaré Faculté de Médecine Paris - Ile de France
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détail2 Vivre avec l hépatite C
parler de ma maladie et interagir avec les autres être hépatant 2 Vivre avec l hépatite C répercussions au quotidien Nous voulons informer sur l hépatite C, lutter pour une meilleure prise en charge de
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailLE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE
DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailLecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air
Lecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air Réunion Inter-Corevih Basse Normandie - Bretagne Mont Saint-Michel Février 2014 Jean-Marc Chapplain Plan Actualité Dissection
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détail2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.
2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS Avec le Haut Patronage de Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative CANCER ET ACCOMPAGNEMENT
Plus en détailInformation à un nouveau donneur de cellules souches du sang
Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailInventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE)
Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Ce questionnaire vous aidera à juger si vous devez consulter un clinicien pour votre dépression, si
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détail