LE MEDECIN COORDONNATEUR EN EHPAD PEUT-IL JOUER UN ROLE DANS LE BON USAGE DES ANTIBIOTIQUES? Docteur Bruno DORMOY Maison du Combattant Vesoul

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1 LE MEDECIN COORDONNATEUR EN EHPAD PEUT-IL JOUER UN ROLE DANS LE BON USAGE DES ANTIBIOTIQUES? Docteur Bruno DORMOY Maison du Combattant Vesoul Besançon 18 Novembre 2015

2 Une initiative locale dans le domaine des antibiotiques à visée urinaire. Action ciblée sur les infections urinaires basses

3 Constats dans le domaine urinaire Forte progression des souches de E. COLI aux fluoroquinolones ces 10 dernières années (3 à 25% en France) Augmentation des résistances de E. COLI aux C3G principalement par production de BLSE. Les C3G orales sont fortement inductrices de BLSE. Les recommandations des infectiologues sont de réserver l usage des quinolones aux infections hautes et de limiter l utilisation des C3G orales.

4 Comment faire passer le message? Recommandations du R.F.C.L.I.N.: il faut les lire! Formations médicales continues par les infectiologues: toujours le même public! Les mauvaises habitudes de prescription vont d ailleurs souvent de pair avec l absence de formation continue. Diffusion des informations par les administratifs de la SECU: pas vraiment pris au sérieux par les médecins!! Alors le médecin coordonnateur d EHPAD peut-il jouer un rôle et comment? Cela fait-il partie de ses missions? (il en a 13!!)

5 LES 13 MISSIONS DU M.CO: 3 d entre elles correspondent +- au projet: Veille à l application des bonnes pratiques gériatriques, y compris en cas de risques sanitaires exceptionnels. Contribue auprès des professionnels de santé exerçant dans l établissement à la bonne adaptation aux impératifs gériatriques des prescriptions de médicaments Contribue à la mise en œuvre d une politique de formation et participe aux actions d information des professionnels de santé exerçant dans l établissement ;

6 L EHPAD est un lieu où tous les médecins du secteur interviennent. Le médecin coordonnateur n a pas de légitimité dans le domaine de l antibiothérapie mais il peut avoir de l influence si on lui reconnaît une certaine expertise. Il doit être bien implanté et avoir de bonnes relations avec ses confrères. La commission de coordination gériatrique pourrait être le lieu pour délivrer des messages mais les médecins n y viennent pas

7 EHPAD Maison du Combattant à Vesoul Situé en centre ville 236 résidents dont 85% de femmes 25 médecins libéraux y interviennent 1 médecin coordonnateur à 70% depuis pharmacien gérant de la P.U.I. (avec une préparatrice)

8 Action pour limiter le développement des BMR urinaires à l EHPAD Maison du Combattant L idée de cette démarche est de modifier les habitudes de prescription d antibiotiques destinés à traiter les infections urinaires basses dans l E.H.P.A.D. (et par ricochet à l extérieur) La cible: les fluoro quinolones et les C3G orales Possible grâce à l existence d une P.U.I Début en mai 2014

9 METHODOLOGIE Le pharmacien ou sa préparatrice repèrent les prescriptions de quinolones et de C3G orales Il en informe le médecin coordonnateur Ce dernier vérifie l indication Si l indication = infection urinaire basse, le médecin co. Contacte le prescripteur et lui demande un éventuel changement d antibiotique.

10 DIFFICULTES La démarche est déontologiquement difficile: le médecin co. ne doit pas être perçu par ses confrères comme un contrôleur, Le médecin coordonnateur est gériatre, pas infectiologue Le terrain n est pas idéal car la femme âgée présente fréquemment des infections à risque de complications (où les quinolones ont leur place) La méthode nécessite une intervention au «coup par coup»

11 Phase II: appui du Dr LEROY du RFCLIN Rédaction d un courrier destiné aux médecins généralistes intervenant dans l E.H.P.A.D. cosigné par le médecin coordonnateur, le pharmacien et l infectiologue du RFCLIN. - exposé du problème (développement des BMR) - rappel des recommandations - demande d éviter la prescription de fluoroquinolones et de C3G orales dans les infections urinaires basses. - exposé de la procédure

12 RESULTATS Entre mai 2014 et mai signalements de prescriptions de fluoroquinolones par la pharmacie - 6 signalements de prescriptions de C3G orales - 1 signalement concernait les 2 antibiotiques Dans 12 cas, l indication était le traitement d un infection urinaire basse. Les prescripteurs ont été contactés par le médecin co. Dans 100% des cas, les prescriptions ont été modifiées.

13 RESULTATS (suite) Entre mai 2015 et novembre 2015 (après le courrier) - 3 signalements de prescriptions de quinolones - 1 seul concernait une infection urinaire mais il n y avait pas d alternative (klebsiella p. sensible à Ciflox et Augmentin avec allergie à ce dernier), - zéro signalement pour des C3G. Le message est bien passé.

14 CONCLUSIONS Le médecin coordonnateur en E.H.P.A.D. peut jouer un rôle dans le respect du bon usage des médicaments et pas seulement dans le domaine de la gériatrie. Il peut transmettre certains messages à ses confrères à condition d être bien intégré dans le «paysage médical» local, d avoir de bonnes relations avec ses confrères et d avoir une expertise reconnue. Le RFCLIN pourrait s appuyer sur les médecins coordonnateurs pour diffuser les recommandations en antibiothérapie.

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