PAUVRETE ET CONDITION DE VIE DES MENAGES

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1 2015 DIRECTION DES STATISTIQUES DEMOGRAPHIQUES ET SOCIALES

2 Ce rapport, consacré à la perception du bien être des ménages sénégalais, vise à recueillir le point de vue ces derniers sur leurs conditions de vie ainsi que leur niveau de satisfaction par rapport à leur bien être. Elle est élaborée à partir des résultats issus de l enquête «A l écoute du de 2014» sur les conditions de vie des ménages réalisée entre novembre 2014 et janvier 2015 sur toute l étendue du par l Agence nationale de la statistique et de la Démographie en collaboration avec le Groupe de la Banque Mondiale. Pour tout renseignement concernant cette enquête, veuillez contacter l Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD), BP 116, Dakar,. Tel: (221) Fax: (221) , Internet: Citation recommandée: Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD)

3 COMITE DE DIRECTION Directeur Général Aboubacar Sédikh BEYE Directeur Général Adjoint Directeur des Statistiques Démographiques et Sociales par intérim Chef de la Division des Statistiques Sociales et du Suivi des Conditions de Vie et de la Pauvreté Chef du Bureau du Suivi des Conditions de Vie et de la Pauvreté Babacar NDIR Papa Ibrahima Sylmang SENE Meïssa NDOUR Macoumba DIOUF REDACTEUR Meïssa NDOUR, Chef de la Division des Statistiques Sociales et du Suivi des Conditions de Vie et de la Pauvreté 2

4 Table des matières INTRODUCTION 5 1. Une pauvreté subjective élevée 5 2. Un faible sentiment de bien être et des conditions de vie actuelles 6 3. Des ménages hantés par le manque de nourriture 9 CONCLUSION 11 ANNEXE I 3

5 Listes des tableaux et graphiques Tableau n 1 : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon la pauvreté subjective 6 Tableau n 2 : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon les conditions de vie actuelles des ménages 8 Tableau n 3 : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon les propositions sur le revenu 9 Tableau n 4 : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon la crainte de manque de nourriture 10 Tableau n I : Proportion des ménages pauvres ou non selon le milieu de résidence I Tableau n II : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon le bien être global I Tableau n III : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon les conditions de vie actuelles des ménages, au mieux moyen I Tableau n IV : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon le manque de nourriture II Tableau n V : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon les difficultés de se fournir en aliments sains et nutritifs II Tableau n VI : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon la restriction sur le nombre d aliments II Tableau n VII : Proportion des membres du ménage par sentiment de sécurité financière selon le bien être global II Figure n 1 : Proportion des ménages selon la pauvreté subjective 5 Figure n 2 : Proportion de ménages selon le bien être. 7 Figure n 3 : Proportion des ménages selon les conditions de vie actuelles des ménages 8 4

6 INTRODUCTION Dans une approche du développement fondé sur la participation à la base, l évaluation subjective du bien-être du point de vue des populations est un moyen, pour les décideurs, d obtenir des informations précieuses sur les préoccupations et attentes de celles-ci ainsi que sur les orientations et leviers sur lesquels il faut agir pour une bonne prise en charge. L approche utilisée ici permet de disposer d informations, directement des ménages, toutes catégories sociales et géographiques confondues sur la base de la perception sur les conditions de vie. 1. Une pauvreté subjective élevée Au niveau des ménages, plus de la moitié d entre eux (56,5%) s estiment pauvres, parmi lesquels 45,7% se déclarent très pauvres. Figure n 1 : Proportion des ménages selon la pauvreté subjective La pauvreté perçue varie selon le milieu de résidence. Elle est plus marquée dans le milieu rural où plus des deux tiers des ménages (69,0%) se déclarent pauvres dont 53,2% se voient comme très pauvres. En revanche, elle est moins observée dans la zone urbaine de Dakar, où moins de deux ménages sur cinq (38,2%) se trouvent pauvres, parmi lesquels un peu moins du quart (24,7%) sont très pauvres. Dans les autres villes, elle est de 53,7% dont 44,5% de très pauvres. 5

7 Tableau n 1 : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon la pauvreté subjective Catégorie Autres zones Dakar urbain Rural urbaines Très pauvre 9,4 23,9 36,7 25,8 Pauvre 28,7 29,8 32,3 30,7 Moyen 57,2 45,5 30,1 41,5 Riche 4,5 0,6 0,8 1,8 Très riche 0,2 0,2 0,2 0,2 Il apparaît ainsi que les ménages non pauvres, notamment les riches, sont concentrés dans la zone urbaine de Dakar alors que les ménages moyennement riches résident le plus souvent aussi bien à Dakar que dans les autres zones urbaines (voir tableau n I de l annexe). A contrario, le milieu rural reste la zone de concentration de la pauvreté et de l extrême pauvreté. Ce qui confirme la ruralité du phénomène de la pauvreté. 2. Un faible sentiment de bien-être et des conditions de vie actuelles L avis des ménages sur le bien-être ne dépend pas uniquement du niveau des revenus de leurs membres, mais d un ensemble de facteurs relatifs à la santé, à l'éducation, à l'emploi, etc., indépendamment de leur effet sur les revenus 1. D autres études 2 incluent aussi la situation familiale (le divorce, le veuvage, etc.), la gouvernance, la démocratie et le capital social. 1 Ravallion et Lokshin, 2002a 2 Frey et Stutzer, 2002b 6

8 Figure n 2 : Proportion de ménages selon le bien être. Près de 65% (64,8%) des ménages ont un sentiment de bien-être au meilleur des cas de «ni bien ni mal». Un tel sentiment de bien être est exprimé par 75,7% des ménages ruraux. Parmi ces derniers, 47,7% ont une très mauvaise appréciation de leur bien-être («Mal» voire «Très mal»). A l opposé, les ménages qui ont un sentiment de satisfaction de leur bien-être («Assez bien» ou «Très bien») ne sont que 35,2%. Ils sont proportionnellement nettement plus nombreux en zone urbaine Dakar (50,8) et autres zone urbaines (38,1%). En outre, les ménages qui se sentent «Très bien» sont essentiellement concentrés à Dakar. Le sentiment de sécurité financière est ici très fort : 95,6% 3 de ménages disposant d une sécurité financière «Assez bien» parmi ceux qui ont un sentiment de bien-être équivalent, et 87,3% 4 de ménages dont le niveau sécurité financière est jugé «Très bien» parmi ceux dont le sentiment de bien-être est également apprécié au niveau «Très bien». 3 Confère tableau n VII en annexe 4 Idem 7

9 Figure n 3 : Proportion des ménages selon les conditions de vie actuelles des ménages En ce qui concerne, leurs conditions de vie, les ménages sont encore plus circonspects : plus de sept ménages sur dix (71,2%) trouvent leurs conditions de vie actuelles, dans le meilleur des cas, moyennes, c'est-à-dire «Ni bien ni mal» dont 44,0% «Mal» voire «Très mal». Plus de quatre ménages ruraux sur cinq (81,6%) 5 comptent parmi ces ménages dont plus de la moitié (52,6%) apprécient leurs conditions de vie aux niveaux les plus bas («Mal» ou «Très mal»). En revanche, les ménages qui sont satisfaits de leurs conditions de vie ne représentent que 28,7% de l ensemble des ménages. Ils sont concentrés en zone urbaine, plus particulièrement à Dakar. Tableau n 2 : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon les conditions de vie actuelles des ménages Catégorie Dakar urbain Autres zones urbaines Rural Très mal 2,0 7,2 11,3 7,6 Mal 13,1 20,4 31,6 23,7 Ni bien ni mal 41,3 40,7 38,7 39,9 Assez bien 40,1 30,6 17,8 27,2 Très bien 3,3 0,9 0,7 1,5 Ne sait pas 0,2 0,2 0,0 0,1 5 Confère tableau n 2 8

10 Un peu moins de deux ménages sur cinq (38,5%) pensent que leurs revenus permettent juste de faire face à leurs dépenses. La situation est surtout observée en zone urbaine, comparativement au milieu rural. Pour plus du quart des ménages au (28,5%), ce revenu est même insuffisant et pour faire face aux dépenses les ménages doivent emprunter. Tableau n 3 : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon les propositions sur le revenu Propositions Dakar urbain Autres zones urbaines Rural Votre revenu vous permet de constituer une épargne 7,2 4,2 1,3 3,7 Votre revenu vous permet juste d économiser un peu 12,3 11,7 8,0 10,1 Votre revenu vous permet juste de faire face à vos dépenses 40,5 40,3 36,5 38,5 Votre revenu est insuffisant, et vous devez utiliser votre épargne 7,1 7,0 4,6 5,9 pour faire face à vos dépenses Votre revenu est insuffisant, et vous devez emprunter pour faire 23,0 24,3 33,8 28,5 face à vos dépenses Votre revenu est insuffisant, mais vous gérez ce que vous avez, sans 9,9 12,5 15,8 13,3 emprunter 3. Des ménages hantés par le manque de nourriture Le manque de ressources et de bien-être augmente le sentiment d insécurité alimentaire au niveau du ménage. Ainsi, au cours des 12 derniers mois ayant précédé l enquête, un peu moins de trois ménages sur cinq (58,4%) ont eu peur de manquer de nourriture, notamment en milieu rural où dans 65,8% des ménages la crainte de manquer de nourriture pour insuffisance de ressources a été constamment présente. 9

11 Tableau n 4 : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon la crainte de manque de nourriture Crainte de manque de nourriture Dakar urbain Autres zones urbaines Rural Oui 47,0 57,3 65,8 58,4 Non 53,0 42,7 34,2 41,6 Cette peur de manque de nourriture liéée à l absence ou l insuffisance de ressources est d autant plus fondée que 48,7% des ménages déclarent avoir effectivement vécu cette situation de manque de nourriture du fait de l absence ou de l insuffisance de ressources (cf. Tableau n IV en annexe). Ces ménages qui ont vécu la faim sont évidemment proportionnellement plus nombreux en zone rurale où ils constituent plus de la moitié des ménages ruraux (57,0%). En outre, 55,9% et 51,5% des ménages ont eu des difficultés, respectivement, à se procurer des aliments sains et nutritifs, à respecter le nombre minimum de 3 repas par jour. Parmi eux, surtout les ruraux ont manqué des aliments nécessaires respectivement en qualité (63,8%) et en quantité (58,7%) (cf. Tableaux n V et n VI en annexe). Ainsi, face au manque de ressources, 32,0% des ménages ont dû sauter l un des trois repas conventionnels 6, 42,4% manger moins que la norme, 29,4% ressentir la faim, et 21,0% rester sans manger pendant la journée. Les conséquences de cette insécurité alimentaire due au manque de ressources du ménage n ont pas manqué de déteindre sur la situation nutritionnelle des enfants de moins de 15 ans. En effet, au cours de l année 2014, 36,1% des ménages sénégalais ont été dans l impossibilité de nourrir sainement leurs enfants âgés de moins de 15 ans du fait de manque de ressources, notamment les ménages ruraux dont 44,0% ont été dans cette situation. 6 Le petit déjeuner, le déjeuner ou le diner 10

12 Par ailleurs, 37,4% des ménages confrontés à cette situation ont dû en priorité procéder à un rationnement des aliments servi leurs enfants âgés de moins de 15 ans, une stratégie utilisée surtout par 43,8% des ménages ruraux. Les autres stratégies mises en place par les ménages ont consisté à : (i) sauter l un des trois repas conventionnels (17,5%) ; (ii) de faire ressentir à l enfant la faim et de ne pas pouvoir l assouvir (19,5%), ou (iii) ne faire manger à l enfant qu un seul repas ou de ne même pas le faire de la journée (12,6%). CONCLUSION La pauvreté déclarée reste importante au, mais elle est surtout concentrée en milieu rurale. Elle demeure corrélée avec le sentiment d insatisfaction des ménages en termes de bien-être et de conditions de vie où l insuffisance du revenu semble déterminante. Le manque de ressources installe ainsi les ménages, notamment ceux vivant en milieu rural, dans la crainte et même la situation de fait de manquer de nourriture. Une situation qui conduit les ménages à rationner tant qualitativement que quantitativement la nourriture pour tous leurs membres y compris les enfants de moins 15 ans. 11

13 ANNEXE Tableau n I : Proportion des ménages pauvres ou non selon le milieu de résidence Catégorie Autres zones Dakar urbain Rural urbaines Non pauvre 41,7 24,0 34,4 100,0 Pauvre 19,8 21,4 58,8 100,0 Total 29,3 22,5 48,2 100,0 Tableau n II : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon le bien être global Catégorie Autres zones Dakar urbain Rural urbaines Très mal 1,1 6,1 9,0 6,1 Mal 10,7 16,0 27,1 19,8 Ni bien ni mal 37,2 39,8 39,6 38,9 Assez bien 47,5 37,2 23,0 33,4 Très bien 3,3 0,9 1,3 1,8 Ne sait pas 0,2 0,0 0,0 0,1 Tableau n III : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon les conditions de vie actuelles des ménages, au mieux moyen Catégorie Dakar urbain Autres zones urbaines Rural Très mal 3,5 10,5 13,8 10,7 Mal 23,3 29,9 38,8 33,3 Ni bien ni mal 73,2 59,7 47,4 56,1

14 Tableau n IV : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon le manque de nourriture Manque de nourriture Dakar urbain Autres zones urbaines Rural Oui 38,7 44,0 57,0 48,7 Non 61,3 56,0 43,0 51,3 Tableau n V : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon les difficultés de se fournir en aliments sains et nutritifs difficultés de se fournir en aliments sains et nutritifs Dakar urbain Autres zones urbaines Rural Oui 43,9 54,9 63,8 55,9 Non 56,1 45,1 36,2 44,1 Tableau n VI : Proportion des membres du ménage par milieu de résidence selon la restriction sur le nombre d aliments Restriction sur le nombre d aliments Dakar urbain Autres zones urbaines Rural Oui 43,2 46,8 58,7 51,5 Non 56,8 53,2 41,3 48,5 Tableau n VII : Proportion des membres du ménage par sentiment de sécurité financière selon le bien être global Sentiment de sécurité financière Catégorie Très mal Mal Ni bien ni mal Assez bien Très bien Ne sait pas Total Très mal 34,0 1,6 0,5 0,0 0,0 0,0 6,1 Mal 37,2 40,7 2,7 0,6 0,0 0,0 19,8 Ni bien ni mal 24,7 46,5 62,5 3,8 12,7 51,1 38,9 Assez bien 4,2 10,4 33,50 92,8 27,8 0,0 33,4 Très bien 0,0 0,9 0,8 2,8 59,5 0,0 1,8 Ne sait pas 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 48,9 0,1 100,0 100,0 100,0 II

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