Ville de Dole. Service public de production et de distribution de chaleur. Présentation du rapport de suivi pour l exercice 2013
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- Marie-Anne Rancourt
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1 Ville de Dole Service public de production et de distribution de chaleur Commission consultative des services publics locaux Présentation du rapport de suivi pour l exercice 2013 SERVICE PUBLIC 2000 : Guillaume Graf / Arnaud Assié ENERGICO : Samuel Benoît
2 Sommaire Suivi technique : Situation actuelle Evolution du réseau de chaleur Conditions climatiques Consommations des abonnés Production et suivi Suivi financier
3 Situation actuelle Générateur Chaudière gaz Chaudière fioul Chaudière bois Chaudière charbon Cogénération Chaudière bois Marque BABCOCK CAROSSO SCHMID BABCOCK SOLAR WEISS Combustible Gaz naturel Fioul lourd Bois Charbon Gaz naturel Bois Puissance 15,1 MW 15,1 MW 3,2 MW 11,6 MW 8,15 MW 5,5 MW Année Utilisation Appoint, écrêtage Secours Base - Base Base Remarques Initialement mixte (fioul lourd) Convertie au fioul domestique en Arrêtée Déposée en 2012 Rénovée en ,042 MWe Mise en service en MW installés (hors secours fioul) : 1 nouvelle chaudière bois mise en service en 2012 ; 1cogénération rénovée. 2 chaudières bois : objectif > 50 % bois : Pas encore atteint sur 2012 (mise en service) et 2013 (mise au point) 20 abonnés, 56 sous-stations, 62 points de livraison 13 km de réseau (eau chaude), densité d'environ 4 MWh/m
4 Evolution du réseau de chaleur 2012/2013 : Passage en eau chaude (précédemment eau surchauffée), mise en service de la nouvelle branche en direction du centre ville 20 sous-stations supplémentaires en 2012, 4 sous-stations supplémentaires en 2013, Augmentation de 30 % de la puissance souscrite au total OPH, hôpitaux et Ville sont les principaux abonnés 1 déraccordement en 2013 (sous-station L11 démolie) Copropriété Les Lilas : police signée (400 kw) OPH Dole 32% Foyer Jurassien 6% LMT Syndicat de copropriété 1% Répartition de la puissance souscrite fin 2013 Les Opalines 1% CES 1% Mairie 15% LCPR Est 0% Agglo 2% CHS St Ylié 11% Étapes 2% CAF 0% CG39 2% Région 11% Century 21 0% Hôpital Pasteur 13% UGECAM 0% Foyer St Jean 1% Impôts 0% CPAM 0% Perspectives (près de 3 MW) : Quelques logements en projet (Bourgogne-Dauphiné, Biguenettes, Jourdy) Autres prospects à démarcher : Collège Mont-Roland, copropriétés du Parc, Wilson, Sous-Plumont Gendarmerie : prospect abondonné
5 Conditions climatiques 3000 DJU sur les périodes considérées 600 DJU sur l'année DJU 0 janvier février mars avril mai juin juillet août octobre décembre septembre novembre Environ 2900 DJU en 2013 : +12 % par rapport aux autres années
6 Consommation des abonnés DJU et consommations de chauffage 10' '000 8'000 MWh Chauffage + ECS 2012 : 36'229 MWh + 36'356 m3, soit 40'916 MWh ; 2013 : 48'426 MWh + 40'818 m3 = 53'687 MWh ; +14 % (2012) puis +34 % (2013). MWh chauffage 7'000 6'000 5'000 4'000 3'000 2'000 1'000 0 janvier février mars avril MWh 2013 DJU 2012 DJU 2013 juin mai juillet août octobre décembre septembre novembre DJU Augmentation liée : Au raccordement de nouveaux bâtiments ; À la rigueur climatique en Répartition des consommations Les Opalines 1% CES 1% LCPR Est 0% CHS St Ylié 16% OPH Dole 26% Évolutions les plus marquantes : Importance des bâtiments Ville, Région ; Individuellement, quelques bâtiments présentent des augmentations anormales des consommations entre 2012 et 2013 (ex : Foyer Jurassien). Foyer Jurassien 6% icat de copropriété 1% Mairie 14% Agglo 1% Région 12% CG39 1% Étapes 2% CAF 0% Century 21 0% Hôpital Pasteur 15% UGECAM 0% Foyer St Jean 1% Impôts 0% CPAM 0%
7 Production et mixité Évolution mensuelle de la production sortie chaufferie Mixité gaz, cogé, bois : 2012 : ; 2013 : Août, septembre 2012 : chiffres anormaux (erreurs de comptage) 9'000 8'000 7'000 6'000 5'000 4'000 3'000 2'000 1' /12 3/12 5/12 7/12 9/12 11/12 Évolution mensuelle gaz cogé bois Mixité bois 50 % mini non atteinte, différentiel pris en charge par SOCCRAM Question concernant la définition de la mixité maintenant que les chaudières sont équipées de compteurs de chaleur mesurant leurs productions 12'000 10'000 8'000 6'000 4'000 2'000 de la production sortie chaufferie gaz cogé bois 0 1/13 3/13 5/13 7/13 9/13 11/13
8 Sommaire Suivi technique Suivi financier Evolution du coût de la chaleur Evolution des différentes composantes du coût de la chaleur Evolution du solde GER Analyse des marges Redevances
9 Evolution du coût de la chaleur Analyse du coût de la chaleur Moyenne Ventes CH (MWh) Ventes ECS (MWh) Ventes CH + ECS (MWh) Evolution (% ) 31% Chiffre d'affaires facturé aux abonnés ( HT) Evolution (% ) 27% Prix du MWh moyen ( HT/MWh) 63,8 61,6 62,7 Evolution (% ) -3% Prix Amorce HT 64,9 64,9 64,9 Différentiel HT (Ville / Amorce en % ) -2% -5% En première analyse, un prix de la chaleur compétitif : Le prix de la chaleur diminue entre 2012 et En cause la modification du mix d approvisionnement (avantage économique / avantage fiscal) ; Le prix proposé est plus bas que le prix moyen de l énergie pour les réseaux de chaleur biomasse.
10 Evolution des différentes composantes du coût de la chaleur 40,000 70,000 35,000 60,000 30,000 25,000 20,000 15,000 10,000 5,000 R1 c logement R1 c équip R1 e logement R1 e équip 50,000 40,000 30,000 20,000 10,000 R1 c logement R2 0,000 0,000 Le R1 diminue fortement au début de l année 2013 : Passage d un mix (facturé) 2012 dominé par le bois et le gaz à un mix (facturé) 2013 dominé par le bois et la cogénération. Le R2 est quasiment stable (60 centimes d augmentation) sur les 18 mois observés. R2 total
11 Evolution du solde GER Solde GER annuel Solde cumulé Chaudières biomasse, cogénération, cheminées Travaux solde ancienne DSP Mise en conformité Réseau primaire Télégestion, caméras vidéo Autres -100 Le solde GER est négatif pour la première fois entre juillet 2012 et décembre En cause des dépenses s élevant à HT, dont le détail est donné ci-contre. Les travaux sur les chaudières biomasse, les installations de cogénération et les cheminées représentent presque la moitié des dépenses de GER.
12 Analyse des marges R1 (hors cogé et CO2) Marge brute 2012 Taux de marge brute 2012 Plus de 800 k de pertes en 2012 et plus de 1,1 M de pertes en Le CEP prévoyait une exploitation presque à l équilibre. Marge brute 2013 Taux de marge brute 2013 Evolution - 542,6-48% -424,4-30% + R1 CO2 23,6 90% 11,5 13% - R1 cogé -132,8-59% % + R22-195,3-30% - 177,4-22% + R23 8 6% % - R24 0 N/A 0 N/A Marge brute totale - 886,3-17% ,6-19% - Le déficit du R1 s explique par : Une transition plus lente que prévue vers un mix intégrant plus de 50% de biomasse ; Un résultat déficitaire de la cogénération. Le déficit du R2 s explique par les dépenses très supérieures aux montants prévisionnels liés aux : Achats d électricité (+ 140% en 2013, 100 k supérieurs au montant prévisionnel) ; Matériel et petit entretien (+ 97% en 2013, 58 k supérieurs au montant prévisionnel) ; Dépenses de GER (+ 41% en 2013, 42 k supérieurs au montant prévisionnel).
13 Redevances Nous n avons pas constaté d anomalie dans le calcul des redevances dues à la Ville Les redevances n ont à ce jour pas encore été versées par le délégataire
14 Merci de votre attention! Guillaume Graf : guillaume.graf@sp2000.fr Arnaud Assié : arnaud.assie@sp2000.fr
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