Le baguage des colombidés en France et en Bourgogne

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Le baguage des colombidés en France et en Bourgogne"

Transcription

1 article Le baguage des colombidés en France et en Bourgogne Serge BOUé*, Caroline LE GOFF* & Hervé LORMéE** ONCFS Office national de la chasse et de la faune sauvage * Délégation régionale Bourgogne et Franche-Comté 2 rue Colson DIJON ** Centre National d études et de Recherche Appliquée / Avifaune migratrice Réserve de faune de Chizé Villiers-en-Bois Introduction Créé en 1972, l Office national de la chasse et de la faune sauvage est un établissement public à caractère administratif, sous la double tutelle des Ministères de l Environnement et de l Agriculture, qui a comme missions la connaissance de la faune sauvage et de ses habitats, la police de la chasse et de l environnement et l appui technique auprès des décideurs politiques, aménageurs et gestionnaires de l espace rural. L une de ses missions consiste en la réalisation d études, de recherches et d expérimentations concernant la conservation, la restauration et la gestion de la faune sauvage et de ses habitats. L ONCFS compte cinq Centres nationaux d études et de recherche appliquée (CNERA), services spécialisés par groupes d espèces et d habitats particuliers et anime une douzaine de réseaux d observations. Le CNERA Avifaune migratrice dispose d un champ d investigation très vaste du fait de la multiplicité des espèces. Parmi ces espèces, environ 50 sont chassables sous les labels «oiseaux d eau» et «oiseaux de passage» ; les colombidés font partie de ces derniers. Des études de dynamique des populations au cours des différentes phases du cycle annuel (reproduction, migration, hivernage) sont développées. Pour cela, des comptages, des baguages d oiseaux et des suivis par télémétrie sont réalisés. Les données recueillies par les correspondants départementaux alimentent les banques de données qui servent aux études. Le programme a pour objectifs principaux d obtenir grâce au baguage des informations sur les paramètres démographiques des colombidés nicheurs en France, en relation avec l environnement (habitat), les conditions climatiques et le contexte cynégétique, mais également de suivre le succès de la reproduction. Démarré en 2000, sur le département des Deux-Sèvres, il arrive dans sa huitième année et couvre quasiment l ensemble du territoire national (à l exception de 8 départements) avec 189 bagueurs formés (176 agents de l ONCFS, 10 techniciens de FDC et 3 particuliers). La Bourgogne a fait son entrée dans ce programme en 2002 mais n a pas effectué de baguage cette année-là. Photographie 1. Le Pigeon ramier (Columba palumbus), espèce prioritairement concernée par ce programme. Le programme concerne 4 espèces : le Pigeon ramier (Columba palumbus), le Pigeon colombin (Columba oenas), la Tourterelle des bois (Streptopelia turtur) et la Tourterelle turque (Streptopelia decaocto) (photographies 1 à 4). Photographie 4. La Tourterelle turque (Streptopelia decaocto). Photographie 2. Le Pigeon colombin (Columba oenas). Luc TISON ONCFS Photographie 3. La Tourterelle des bois (Streptopelia turtur). Jérôme Durif ONCFS Rev. sci. Bourgogne-Nature - 9/ ,

2 Matériel et méthode Le protocole se concentre sur le suivi du succès au nid, le baguage (photographies 5 et 6) et la mesure de poussins au nid, ainsi que la description de l habitat. Suite à la recherche et la découverte des nids, les bagueurs doivent remplir une fiche de suivi du nid. Cette fiche renseigne sur le lieu, la date, l espèce, le nom du bagueur, le suivi au nid avant le baguage, le baguage, les mesures biométriques des poussins, le suivi du nid après baguage et sur la description de l habitat. Les mesures biométriques (photographies 7 à 10) permettent de calculer l âge du poussin grâce à sa taille et de déterminer si celui-ci a bien quitté le nid au-delà de la période requise (une moyenne de 22 jours pour le pigeon ramier et de 17 jours pour la tourterelle turque). Photographie 5. Matériel utilisé pour le baguage. Photographie 6. Pose de la bague. Photographie 7. Pesée. Photographie 8. Mesure longueur du tarse. Photographie 9. Mesure longueur de l aile repliée. Photographie 10. Mesure longueur tête/bec. 68 Serge Boué et al. Rev. sci. Bourgogne-Nature - 9/ , 67-76

3 Exploitation des données Les renseignements recueillis vont permettre de : 1. Connaître le nombre de nids trouvés et suivis en France (tableau I) Tableau I. Nombre de nids de pigeons (P.) et tourterelles (T.) trouvés et suivis en France de 2002 à Photographie 11. Observations d une nidification de Pigeon ramier en mars. P. ramier (en Bourgogne) P. colombin (en Bourgogne) T. turque (en Bourgogne) T. des bois (en Bourgogne) Connaître la période pendant laquelle une reproduction a pu être constatée Des oiseaux reproducteurs ont été observés 11 mois sur 12 chez le Pigeon ramier (photographies 11 à 13) et chez la Tourterelle turque, 7 mois chez le Pigeon colombin et un peu plus de 3 mois 1/2 chez la Tourterelle des bois (ces résultats dépendent aussi de l effort de prospection des bagueurs). Photographie 12. Observations d une nidification de Pigeon ramier en avril. 3. Connaître la répartition des nichées suivant les mois de l année La proportion de nichées baguées ou de nids suivis au delà du 1 er septembre reste stable d une année sur l autre : 15 à 20 % chez le Pigeon ramier, 12 à 15 % chez la Tourterelle turque, 10 % chez le Pigeon colombin et marginale pour la Tourterelle des bois (quelques poussins bagués au-delà du 31 août). Photographie 13. Observations d une nidification de Pigeon ramier en août. Le baguage des colombidés en France et en Bourgogne 69

4 4. Connaître le succès de la reproduction Le succès reproducteur est le rapport du nombre de nids ayant réussi sur le nombre total de nids suivis. Pour estimer de manière objective le succès de la reproduction, il est impératif que le suivi ne soit pas biaisé en faveur des nids ayant réussi leur reproduction et que tous les nids soient suivis jusqu à l envol ou l échec éventuel. Pour cela, le contrôle régulier du nid et de son entourage au moins 1 fois par semaine, au mieux 1 fois tous les 3 jours, permet de s assurer que les poussins sont présents, près du nid, envolés ou morts (photographies 14 et 15). Cette fréquence de contrôle permettra également de connaître la date approximative de leur envol. Un paramètre à prendre en compte également pour le succès de la reproduction est la mortalité pouvant survenir entre le baguage et l envol. Photographie jeunes pigeons ramiers avant l envol. Photographie 15. Jeune pigeon ramier prédaté après le baguage. Le succès de la reproduction varie en fonction de plusieurs facteurs. Il varie d une part en fonction de l habitat. Celui-ci semble maximal en milieu urbain (photographie 16) alors que l habitat forestier présente la moins bonne réussite avec une majorité d échecs pendant l incubation. Il varie également en fonction de la saison, avec une augmentation progressive tout au long de la saison chez les Pigeons ramier et colombin ( 50 % de juillet à octobre) alors qu il semble plus constant pour la Tourterelle turque. Il varie d autre part en fonction des conditions météorologiques ; la série de tempêtes et d intempéries à la fin du printemps 2004 dans le Nord et les fortes intempéries de l été 2006 ont par exemple largement contribué à la diminution du succès reproducteur (photographie 17). Un autre facteur de variation est la prédation, avec un risque d échec particulièrement élevé en période d incubation (photographie 18). On n observe pas, au plan national, de forte variation inter-annuelle du succès reproducteur, mais seulement une légère baisse en 2007 pour le pigeon ramier (en dessous de 50 %) et pour la tourterelle des bois (prés de 55 %), ainsi qu une stabilité pour le pigeon colombin (près de 70 %) et pour la tourterelle turque. Photographie 16. Nid de pigeon ramier en ville dans un érable sur le parking d une grande surface. 70 Serge Boué et al. Rev. sci. Bourgogne-Nature - 9/ , 67-76

5 Photographie 17. Nid de pigeon ramier détruit et 2 jeunes à terre suite à un coup de vent violent. Photographie 18. Oeuf de pigeon ramier prédaté par un corvidé. 5. Détailler les causes des échecs pendant l incubation et l élevage des poussins Chez le pigeon ramier, la moitié des échecs est imputable à la prédation. Viennent ensuite les échecs causés par l abandon ou la chute du nid. Il est à noter que la nidification cavernicole du pigeon colombin limite ces causes d échec pendant l incubation (photographie 19). Quelques cas remarquables ont pu être notés chez le pigeon ramier : une nichée dans un nichoir pour chouette hulotte, deux nichées avec trois poussins ont pu être baguées et ont réussi leur envol (Eure et Côtes-d Armor) en 2002 (photographie 20), trois nichées avec trois poussins ont pu être baguées et ont réussi leur envol (Aisne, Paris et Bas-Rhin) en Photographie 19. Nid de Pigeon colombin dans un platane. Luc TISON ONCFS Photographie 20. Nichée de 3 jeunes (département de l Eure). Le baguage des colombidés en France et en Bourgogne 71

6 6. Connaître la diversité des essences supports de nids Le pigeon ramier utilise une centaine d arbres différents pour établir son nid, la tourterelle turque plus d une soixantaine, la tourterelle des bois une trentaire et le pigeon colombin une bonne dizaine (photographies 21 à 25). Photographie 21. Nid dans un érable. Photographie 22. Nid dans un prunus. Photographie 23. Nid dans un tilleul. Photographie 24. Nid dans du lierre. Photographie 25. Nid dans un marronier. 7. Connaître la hauteur des nids Le pigeon ramier établit son nid à 3-4 m de hauteur en moyenne contre 1-2 m pour la tourterelle des bois. Cette hauteur est beaucoup plus élevée pour le pigeon colombin. 72 Serge Boué et al. Rev. sci. Bourgogne-Nature - 9/ , 67-76

7 Caractéristiques des reprises 1. Un taux de reprise élevé La prédation naturelle est classiquement plus importante chez les poussins que chez les adultes. De plus, la probabilité de retrouver les bagues est plus faible en cas de prédation que lorsque que l oiseau est tué à la chasse. Le taux maximal de reprise pour le pigeon ramier progresse modestement (+ 0,5 % en 2007) pour atteindre 7,3 % pour la cohorte d oiseaux bagués en 2001, entre 6 et 7 % pour ceux des années 2000, 2002, 2003 et 2004 (tableau II). De manière générale on note un «vieillissement» des classes d âge des oiseaux repris (des pigeons ramiers bagués dans les premières années du programme sont actuellement repris). Tableau II. Nombre de jeunes poussins bagués en France (les chiffres entre parenthèses concernent la Bourgogne). Pigeon ramier Pigeon colombin Tourterelle turque Tourterelle des bois Année bagués repris bagués repris bagués repris bagués repris (11) (0) (18) (0) (91) (0) (62) (0) (154) (0) (89) (0) (113) (0) (46) (2) (93) (0) (93) (2) 4 2. Origine des reprises Pour la tourterelle turque, la majorité des reprises est fournie par la prédation et les oiseaux trouvés morts de cause indéterminée (autre que par la chasse ou la prédation), alors qu il s agit d une espèce chassée. Pour les pigeons ramiers bagués, la majorité des reprises provient de la chasse, de la prédation et des oiseaux trouvés morts de cause indéterminée (photographies 26 et 27). Photographie 26. Pigeon ramier adulte tué à la chasse. Photographie 27. Jeune pigeon ramier retrouvé mort cause indéterminée. 3. Distance 71,2 % des reprises de pigeons ramiers se sont effectuées dans un rayon de moins de 10 km du lieu de baguage, 16,1 % entre 10 et 50 km, 4,8 % entre 50 et 100 km et 7,8 % au delà de 100 km. Le baguage des colombidés en France et en Bourgogne 73

8 4. Axes de dispersion Le jeu de données relatives aux reprises est important en ce qui concerne le pigeon ramier mais reste encore relativement faible pour les autres espèces. Carte 1. Reprises supérieures à 50 km de pigeons ramiers bagués poussins. Le site de capture figure en noir, celui de reprise en blanc. Carte 2. Reprises de pigeons colombins bagués poussins. Le site de capture figure en noir, celui de reprise en blanc. Le Pigeon ramier Il n y a pas de tendance dans l axe de dispersion pour les reprises inférieures à 10 km. En revanche pour les distances supérieures à 50 km, les pigeons ramiers bagués dans le Nord et le Nord-Est de la France peuvent potentiellement se disperser en automne-hiver jusqu à l extrémité sud-ouest du pays, voire en Espagne (carte 1). Le cumul des nouvelles données donne également l impression de deux zones distinctes de dispersion, l une en Bretagne et l autre en Aquitaine. Par contre, il existe quelques données sur des oiseaux originaires de mêmes secteurs et qui sont pourtant repris dans des directions diamétralement opposées. Un nombre significatif de reprises concernent des oiseaux d origine urbaine (+ de 50 %). Le Pigeon colombin Les quelques reprises se concentrent sur le sud de la Bretagne, Pays de Loire et Sud-Ouest (carte 2). Carte 3. Reprises et contrôles de tourterelles turques baguées poussins ou adultes. Le site de capture figure en noir, celui de reprise en blanc. La Tourterelle turque Le nombre de reprises reste modeste malgré le nombre de départements baguant des poussins de tourterelle turque. Les données proviennent majoritairement d oiseaux trouvés morts ou prédatés. Des suivis télémétriques indiquent que les déplacements sont de faible ampleur (carte 3). La Tourterelle des bois Les données de reprises donnent l impression d une voie de migration postnuptiale très occidentale, suivant la frange côtière en direction du Sud-Ouest du Portugal (carte 4). Carte 4. Reprises hors période de reproduction de tourterelles des bois (poussins et adultes). Le site de capture figure en noir, celui de reprise en blanc. 74 Serge Boué et al. Rev. sci. Bourgogne-Nature - 9/ , 67-76

9 Les autres axes de recherche sur le Pigeon ramier 1. Les analyses du comportement des jeunes Cette étude a démarré au lancement du programme de baguage avec la description de la position des poussins dans le nid et de leur comportement (agressif ou calme) au moment du baguage afin de déterminer le sexe (l étude ne s étant pas révélée concluante, celle-ci fut abandonnée). 2. Le suivi des jeunes après leur envol par télémétrie (Vendée et Deux-Sèvres) Le suivi par télémétrie a été mis en place afin de connaître la surface utilisée par les juvéniles entre leur envol et leur cantonnement pour la première reproduction. Cette étude a mis en évidence une émigration temporaire des juvéniles jusqu en février-mars suivie d un retour rapide vers le site de naissance. 3. La collecte de plumes et d ailes Le prélèvement de plumes de pigeons ramiers adultes en hiver va permettre de préciser l origine géographique des pigeons ramiers hivernant en France grâce à l étude «Isotopes» (étude en collaboration avec le Service Canadien de la Faune Sauvage : mesures et analyses des ratio isotopiques dans les plumes) (photographie 28). Photographie 28. Prélèvement d une plume sur un Pigeon ramier. Les atomes sont présents dans le milieu sous différentes formes, se distinguant chacune par un nombre de neutrons spécifique ; chaque forme s appelle un isotope. On appelle ratio isotopique (ou signature isotopique) la proportion mesurée entre les différents isotopes d un même atome à un endroit donné. Lorsqu un organisme se nourrit, il va allouer une partie des nutriments, et donc des atomes ingérés, à l élaboration de certains tissus (dont les plumes). Ces tissus vont intégrer, pour un atome donné, le même ratio isotopique que celui contenu dans le milieu (végétaux, eau, etc.) où l organisme s est nourri. La signature isotopique reste fixée indéfiniment dans la plume une fois celle-ci poussée. L étude consiste à comparer les signatures isotopiques mesurées dans les plumes à celles obtenues dans des échantillons d eau de pluie collectés sur l ensemble de l Europe pour les besoins d une base mondiale de données météorologiques. Cette signature constitue de fait un traceur géographique de la population d origine de l oiseau. Les analyses arrivent à leur terme. En attendant les analyses spatiales détaillées réalisées par les canadiens, nous pouvons avancer quelques résultats. à l échelle nationale, près de 62 % des oiseaux collectés proviendraient du territoire national. Cependant, la valeur isotopique moyenne obtenue sur les oiseaux prélevés diffère selon les régions, ce qui montre que l origine des oiseaux diffère selon la région de prélèvement. Les régions où sont observées les signatures témoignant en moyenne de l origine la plus lointaine sont la Champagne-Ardennes, l Auvergne, la Picardie, le Limousin et l Aquitaine. à l opposé se situent les régions où la signature isotopique reflète en moyenne une origine proche, intra-nationale, à savoir les régions Poitou-Charentes, Midi-Pyrénées, Bretagne, Pays de Loire, Limousin et Nord Pas-de-Calais. Les régions restantes sont en position intermédiaire. Le baguage des colombidés en France et en Bourgogne 75

10 Plumage d un jeune avec le liseré de couleur chamois Plumage d un adulte Photographies 29 et 30. Comparaison du plumage chez le Pigeon ramier entre un adulte et un jeune. La collecte d ailes entre dans le cadre de l étude des mesures des ratio isotopiques en complétant les données fournies par le prélèvement de plumes. Elle a permis au cours de l hiver d en rassembler Dans la mesure où un certain nombre d entre elles ne sont pas analysées, elles permettent la réalisation de mesures complémentaires : la longueur de l aile pliée (estimation de la taille corporelle), les caractéristiques de la mue et son état d avancement, ainsi que l âge (juvénile ou adulte selon la persistance ou non d un liseré de couleur chamois sur les couvertures alaires, photographies 29 et 30). Le prélèvement de plumes de poussins au nid permet pour sa part d effectuer le sexage moléculaire. Une convention a été établie avec l Université de Bourgogne à Dijon (UFR Sciences Vie, Terre et Environnement) afin d estimer le sexe-ratio des nichées, qui semble équilibré entre mâles et femelles, et de connaître le sexe des oiseaux repris en cours de dispersion. 4. Le marquage alaire Le marquage alaire d adultes et d immatures de pigeon ramier est possible par capture à l aide de filets, lorsqu ils quittent le nid. Ce marquage en période de reproduction reste difficile. La mise en place de capture par «Canon-net» (filet projeté au moyen de canons) sur les zones de nourrissage est en cours d expérience. Il est complété par le marquage alaire d un certain nombre de poussins juste avant l envol pour suivre les oiseaux à distance et observer les paramètres de la reproduction (fidélité au nid, tentatives de reproduction, etc.). Cela permet également de renforcer le nombre d oiseaux en classe «adulte». Remerciements Nous tenons à remercier particulièrement les bagueurs du programme d études colombidés. Bibliographie Lormée, H Programme d études colombidés : bilans des campagnes 2001 à 2007, ONCFS. Lormée, H Rapport scientifique 2004, ONCFS. 76 Serge Boué et al. Rev. sci. Bourgogne-Nature - 9/ , 67-76

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue

Plus en détail

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00 ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA

Plus en détail

Sarcelle d été. Anas querquedula

Sarcelle d été. Anas querquedula Sarcelle d été Anas querquedula Neil Fifer Sarcelles d été Hong Kong. R.P de Chine Principaux caractères spécifiques La sarcelle d été est un canard de petite taille, un peu plus massif que la sarcelle

Plus en détail

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries

Plus en détail

Réseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE

Réseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE [Mise à jour : 10 mai 2014] 1 L équipe Siège UBIFRANCE Paris Michel Bauza Chef de Département UBIFRANCE siège, Paris Téléphone fixe 01 40 73 35

Plus en détail

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de

Plus en détail

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales

Plus en détail

Assurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014

Assurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014 Assurances de biens et de responsabilité Etude Mars 2014 Tempêtes, grêle et neige : Résultats de l année 2012 Ce document est la propriété exclusive de la FFSA et du GEMA et est protégé par le droit d'auteur.

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux

Plus en détail

ISF et intermédiation : Collecte 2009

ISF et intermédiation : Collecte 2009 ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour

Plus en détail

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du

Plus en détail

Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013

Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats

Plus en détail

Les oiseaux migrateurs en recherche

Les oiseaux migrateurs en recherche Les oiseaux migrateurs en recherche Formation des utilisateurs d animaux Dernière mise à jour : Avril 2008 Objectifs du module Fournir une introduction aux considérations juridiques, éthiques et de sécurité

Plus en détail

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2013, dans le cadre du monitoring actif, 3.181 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.

Plus en détail

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2014, dans le cadre du monitoring actif, 3.036 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.

Plus en détail

Demande d autorisation de faire du commerce d animaux

Demande d autorisation de faire du commerce d animaux Demande d autorisation de faire du commerce d animaux 1 Autorité et auteur de la demande 1.1 Adresse du service cantonal de la protection des animaux (adresse d envoi): 1.2 Nom et adresse de la personne

Plus en détail

Les enjeux du quotidien

Les enjeux du quotidien Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO

Plus en détail

PRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN

PRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN PRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN Commission Animation territoriale CNIG 28/01/2014 Marie-Louise ZAMBON IGN (chef du service des programmes à la direction des programmes civils

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

LE TOURISME N A PAS DE FRONTIERE

LE TOURISME N A PAS DE FRONTIERE LE TOURISME N A PAS DE FRONTIERE Samedi 30 mai 2015 Photo : Jaymantir UNE DESTINATION, C EST QUOI? Juin 2015 Brigitte Bloch Le touriste, un oiseau migrateur Le touriste n a pas de frontière. Sa vision

Plus en détail

QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009

QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009 ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN 7 avril 2009 Objectifs de l enquête Définir les caractéristiques des clientèles touristiques du Limousin : motivations, profils et comportements Mesurer leur

Plus en détail

La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -

La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 - La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou

Plus en détail

Avec près des deux tiers des

Avec près des deux tiers des Les Dossiers de l Observatoire Régional du Tourisme n 42 - mars 2012 Le poids économique de l hôtellerie de plein air en Pays de la Loire Plus de 600 campings Un chiffre d affaires annuel de 230 millions

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression

Plus en détail

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES

Plus en détail

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2 LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations

Plus en détail

Les bases de données en ligne

Les bases de données en ligne Les bases de données en ligne Information-documentation, 1 ère Bac pro et BTSA La liste des bases de données présentées ici n est pas exhaustive. A vous de développer votre connaissance des sites Internet

Plus en détail

Protocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013

Protocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013 Protocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013 Harmonie Mutuelle, mutuelle soumise aux dispositions du livre

Plus en détail

Le Crabe commun des eaux côtières du Québec

Le Crabe commun des eaux côtières du Québec Pêches et Océans Canada Sciences Fisheries and Oceans Canada Science MPO Sciences Région Laurentienne Rapport sur l état des stocks C-2 (21) 5 16B 16A 17A-C D 16C 16D 16E YZ E-X A-C Le Crabe commun des

Plus en détail

Observatoire de l Eolien

Observatoire de l Eolien Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels

Plus en détail

20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en Suisse

20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en Suisse 20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en 1. L accident Il y a 20 ans, le 26 avril 1986 à 01h24 heure locale, se produisait l accident le plus grave jamais survenu dans une installation

Plus en détail

Quelle image avez-vous de la Belgique?

Quelle image avez-vous de la Belgique? Quelle image avez-vous de la Belgique? Saviez vous que?. Sont d origine belge. Le saxophone. La marque de montres Ice watch. La chaine de fast food Quick. l ile de Porquerolles au large de Toulon appartenait

Plus en détail

F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000

F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 PARIS, le 11 Avril 2000 PROCES VERBAL REUNION AFFAIRES GENERALES DU 24 MARS 2000 Présents : MM. SIMON, MERIC, VILLEROT, MARLIOT, Mmes

Plus en détail

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE

Présentation du Programme PHARE Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des

Plus en détail

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président

Plus en détail

La gestion «en deux temps» des prélèvements de lièvres

La gestion «en deux temps» des prélèvements de lièvres Connaissance & gestion des espèces La gestion «en deux temps» des prélèvements de lièvres Bernard Mauvy 1 Régis Péroux 1 Jean-Sébastien Guitton 2 ONCFS, CNERA Petite faune sédentaire de plaine Clermont-Ferrand

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

Birdline internet Manuel de l utilisateur

Birdline internet Manuel de l utilisateur Birdline internet Manuel de l utilisateur Consultation des données Photographies Galerie photos Situation géographique Informations sur l observateur Partenaires et Observateurs [? ] Effectuer une recherche

Plus en détail

LA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/

LA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en

Plus en détail

Informatisation des données transfusionnelles

Informatisation des données transfusionnelles Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser

Plus en détail

Monitoring des nicheurs et hôtes de passage rares: directives pour une collaboration efficace

Monitoring des nicheurs et hôtes de passage rares: directives pour une collaboration efficace Monitoring des nicheurs et hôtes de passage rares: directives pour une collaboration efficace Description du projet Le programme de «Monitoring des nicheurs et hôtes de passage rares» (appelé aussi «SI»

Plus en détail

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle, Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs

Plus en détail

Document d Objectifs des sites Natura 2000 FR 9110108 et FR 9101435 «Basse Plaine de l Aude» Table des Annexes

Document d Objectifs des sites Natura 2000 FR 9110108 et FR 9101435 «Basse Plaine de l Aude» Table des Annexes Table des Annexes Annexe I : Procédure de désignation des sites Natura 2000 (ZPS et SIC). Annexe II : Composition du comité de pilotage. Annexe III : Exemple de cahier de pâturage tournant Manade. Annexe

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE

TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Pour ce palmarès 2015, 140 banques de métropole et d outre-mer ont été passées à la loupe. Les tarifs analysés? Ceux en

Plus en détail

Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages

Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages Première tournée / premier spectacle Nouvelle tournée / nouveau spectacle Entrée en Suisse de l étranger

Plus en détail

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193

Plus en détail

L ENQUETE CGPME SUR LE FINANCEMENT BANCAIRE DES PME

L ENQUETE CGPME SUR LE FINANCEMENT BANCAIRE DES PME L ENQUETE CGPME SUR LE FINANCEMENT BANCAIRE DES PME Conditions de l enquête Du fait des difficultés économiques actuelles, la restriction de l accès au crédit pour les PME devient une préoccupation majeure.

Plus en détail

Un dispositif d appui aux très petites entreprises

Un dispositif d appui aux très petites entreprises Spectacle vivant Un dispositif d appui aux très petites entreprises DA TPE-SV Votre entreprise a besoin de se développer? Elle emploie moins de cinq salariés? Vous pouvez bénéficier d un accompagnement

Plus en détail

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille

Plus en détail

Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer

Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Ce document est issu d une concertation entre la Fédération Nationale des Sociétés d

Plus en détail

Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel

Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le nouveau paradigme de l IT IDC Visit us at IDC.com and follow us on Twitter: @IDC 2 L arrivée de nouvelles technologies insuffle

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

AUDIT FRANCE LES FRANCAS FEDERATION NATIONALE LAIQUE DE STRUCTURES ET D ACTIVITES EDUCATIVES, SOCIALES ET CULTURELLES

AUDIT FRANCE LES FRANCAS FEDERATION NATIONALE LAIQUE DE STRUCTURES ET D ACTIVITES EDUCATIVES, SOCIALES ET CULTURELLES AUDIT FRANCE LES FRANCAS FEDERATION NATIONALE LAIQUE DE STRUCTURES ET D ACTIVITES EDUCATIVES, SOCIALES ET CULTURELLES Association reconnue d utilité publique Siège social : 10/14 rue Tolain 75020 PARIS

Plus en détail

LA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/

LA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits

Plus en détail

Enquête Nationale sur le devenir des diplômés de

Enquête Nationale sur le devenir des diplômés de Enquête Nationale sur le devenir des diplômés de DUT 2010 Mesures Physiques Résultats de l IUT de Reims-Châlons-Charleville (Note de synthèse sur les diplômés de formation initiale hors alternance) Novembre

Plus en détail

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le

Plus en détail

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013 CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale

Plus en détail

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse

Plus en détail

Mission d Observation de la Biomasse

Mission d Observation de la Biomasse Les synthèses de l AREC Mission d Observation de la Biomasse ENQUETE REGIONALE SUR LES CHAUFFERIES COLLECTIVES A BOIS DECHIQUETE (Saison de chauffe 2008-2009) 2009) Chiffres clés 114 chaufferies collectives

Plus en détail

Construction de logements

Construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n 640 Mai 2015 Construction de logements Résultats à fin avril 2015 (France entière) OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Rappel À compter des

Plus en détail

Redéploiement et conservation des Antilopes Sahélo-Sahariennes en Tunisie Atelier technique, Douz, 18 et 19 avril 2004

Redéploiement et conservation des Antilopes Sahélo-Sahariennes en Tunisie Atelier technique, Douz, 18 et 19 avril 2004 Redéploiement et conservation des Antilopes Sahélo-Sahariennes en Tunisie Atelier technique, Douz, 18 et 19 avril 2004 Atelier technique tenu à l invitation de la Direction Générale des Forêts de Tunisie,

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

Etude Elfe, Le de de e v nir de 20 000 en a f n a t n s

Etude Elfe, Le de de e v nir de 20 000 en a f n a t n s Etude Elfe, Le devenir de 20 000 enfants Le projet ELFE I Quelques informations sur le projet ELFE Objectifs scientifiques Echantillon des enfants ELFE Outils de communication Perspectives du déroulement

Plus en détail

Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes

Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes

Plus en détail

rapport de l observatoire des TArifs bancaires

rapport de l observatoire des TArifs bancaires 2013 rapport de l observatoire des TArifs bancaires 2013 rapport de l observatoire des tarifs bancaires Préambule La loi de régulation bancaire et financière du 22 octobre 2010 a confié au Comité consultatif

Plus en détail

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47

Plus en détail

Baguage au marais de Kervijen, Baie de Douarnenez : Etude de la migration postnuptiale des passereaux paludicoles du 29 août au 01 septembre 2007

Baguage au marais de Kervijen, Baie de Douarnenez : Etude de la migration postnuptiale des passereaux paludicoles du 29 août au 01 septembre 2007 Baguage au marais de Kervijen, Baie de Douarnenez : Etude de la migration postnuptiale des passereaux paludicoles du 29 août au 01 septembre 2007 David HEMERY & Christine BLAIZE Grumpy Nature Novembre

Plus en détail

chasseur Basco-Béarnais nuisibles : du nouveau Le bilan des captures, la nouvelle réglementation, l opération corneilles.

chasseur Basco-Béarnais nuisibles : du nouveau Le bilan des captures, la nouvelle réglementation, l opération corneilles. chasseur www.chasseurs64.com Le magazine de La chasse et de La nature en Béarn et Pays-Basque - avril 2013 # 18 Basco-Béarnais DOSSIER nuisibles : du nouveau Le bilan des captures, la nouvelle réglementation,

Plus en détail

Que ressentirais-tu si la victime était un(e) de tes camarades de classe, un(e) voisin(e) ou un(e) ami(e)?

Que ressentirais-tu si la victime était un(e) de tes camarades de classe, un(e) voisin(e) ou un(e) ami(e)? Que ferais-tu si quelqu un de ton lycée, de ton entourage, de ton quartier était agressé, verbalement ou physiquement, en raison de son look, de son sexe, de son accent, de sa religion ou de sa couleur

Plus en détail

gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers

gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers L i m m o b i l i e r v o u s o u v r e t o u t e s s e s p o r t e s gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers Bienvenue à l UNIS De plus en

Plus en détail

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans

Plus en détail

café, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise

café, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :

Plus en détail

Le DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012

Le DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012 Le DMP en Bretagne Assemblée générale ANIORH Vendredi Ordre du Jour 1- Présentation du DMP 2- Déploiement du DMP en Bretagne 3- Présentation de la démarche en établissement 4- Présentation de la démarche

Plus en détail

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013)

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013) Observatoire des Métiers et de l Artisanat Région Centre Juin 214 Artiscope Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 213 (2ème Semestre 213 - Année 213) La révision

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2009"

La santé des étudiants en 2009 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie

Plus en détail

La mobilité. Au service des Outre-mer

La mobilité. Au service des Outre-mer La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première

Plus en détail

Identification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14

Identification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7

Plus en détail

Samuel Decout, Sandra Luque. Sandra.luque@cemagref.fr

Samuel Decout, Sandra Luque. Sandra.luque@cemagref.fr !""#$%&'()*+,-#,'((.'(&),#/#%&)0/1$*(.'("/+%&0(.2&/3)+/+('*(4/5'6#(.'(7/(%$**'%15)+,(8(( 9)7)'6:($65'#+0('+(9)7)'6:(4$#'01'#0( ( (!"#$%&#'"#(%#)*"+,-.(("#*,-&&"#"+#/&0*"# Samuel Decout, Sandra Luque Sandra.luque@cemagref.fr

Plus en détail

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération

Plus en détail

REGION HAUTE-NORMANDIE

REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie

Plus en détail

EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions

EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions Prop. 11.33 EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II Autres propositions A. Proposition Transférer Eunymphicus cornutus cornutus de l'annexe II à l'annexe I. La perruche de la chaîne a

Plus en détail

Comité de pilotage 2014. Site natura 2000 des carrières de Cénac

Comité de pilotage 2014. Site natura 2000 des carrières de Cénac Comité de pilotage 2014 Site natura 2000 des carrières de Cénac Ordre du jour Bilan de la première tranche d animation (2011 2014) Perspectives pour la future tranche (2015-2017) SE2 Acquisition, pose

Plus en détail

Ressources pour l école élémentaire

Ressources pour l école élémentaire Ressources pour l école élémentaire éduscol Découverte du monde Progressions pour le cours préparatoire et le cours élémentaire première année Ces documents peuvent être utilisés et modifiés librement

Plus en détail

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014 BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du

Plus en détail

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat».

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». «Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». Philippe USSEGLIO-POLATERA Université Paul Verlaine Metz UMR-CNRS 746 - LIEBE

Plus en détail

Les salariés de l économie sociale et solidaire

Les salariés de l économie sociale et solidaire L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22

Plus en détail

Mutualité Fonction Publique 62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13

Mutualité Fonction Publique 62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13 62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13 DIRECTION DE LA SANTE Département Relations avec les Professionnels de Santé Dossier suivi par : Monique LEFRANCOIS Réf. : 19/2005/ML/MPD Paris, le 22 décembre

Plus en détail

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs DONNÉES AU 31/12/2006 SOURCE INSEE-CLAP 1 - DÉCEMBRE 2008 Panorama de l'économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Ce document est la première publication réalisée par l Observatoire national de l

Plus en détail

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014 CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02

Plus en détail

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,

Plus en détail

La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque.

La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. Cette action de diffusion est cofinancée par l Union européenne avec les Fonds Européen Agricole pour le Développement

Plus en détail

Réglementation Organisation Marché Collecte Traitement Comparaison Perspectives Données européenne. Médicaments. Collection Repères

Réglementation Organisation Marché Collecte Traitement Comparaison Perspectives Données européenne. Médicaments. Collection Repères Réglementation Organisation Marché Collecte Traitement Comparaison Perspectives Données européenne 2013 Médicaments Collection Repères Les médicaments non utilisés (MNU), périmés ou non, sont des médicaments

Plus en détail