Une démonstration est-elle une explication?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Une démonstration est-elle une explication?"

Transcription

1 Une démonstration est-elle une explication? Gilles Dowek 1 Une demande d explication Si nous multiplions le nombre par 36, nous obtenons le nombre Pour démontrer cette proposition, il suffit d effectuer une multiplication mais cette démonstration nous laisse un peu sur notre faim : le multiplicande et le résultat présentent une certaine régularité, que la démonstration semble ignorer. Nous pourrions attendre de la démonstration qu elle nous explique la raison pour laquelle tous les chiffres du résultat sont des 4, ce qu elle ne semble pas faire. Une telle explication est cependant possible. Une première remarque est que le chiffre 4 n a rien à voir avec cette histoire : le nombre est égal à et le nombre 36 à 9 4, nous pouvons donc simplifier les deux membres de l égalité par 4 et la proposition à expliquer devient plus simple = Contrairement à la multiplication, cet élément d explication nous permet de généraliser : de construire d autres propositions similaires. Par exemple, en multipliant les deux membres de l égalité, non par 4, mais par 5, nous obtenons De manière générale, de la proposition = = Inria, 23 avenue d Italie, CS 81321, Paris Cedex 13, France. gilles.dowek@inria.fr 1. Martin Gardner, The Universe in a Handkerchief : Lewis Carroll s Mathematical Recreations, Games, Puzzles, and Word Plays, p. 78.

2 nous pouvons déduire la proposition n [1, 9] ( n = n) Et, si nous multiplions le nombre de par 9 n, nous obtenons donc le nombre formé du chiffre n répété neuf fois. Il nous suffit alors de prendre pour n d autres valeurs que 4 pour obtenir des propositions similaires. Cependant, cette explication est partielle, car dans la proposition = aussi le multiplicande et le résultat présentent une régularité qui demande à être expliquée. Pour expliquer cette proposition, nous pouvons retourner la multiplication en une division /9 = Quand nous effectuons la division une certaine régularité apparaît dans la démonstration elle-même : non seulement la suite des chiffres du résultat est régulière, mais la suite des dividendes partiels 11, 21, 31, 41,... également. Et cela s explique simplement : quand le chiffre des dizaines du dividende partiel est n et celui des unités 1, le dividende partiel est 10n + 1, c est-à-dire 9n + (n + 1), nous posons donc le chiffre n et nous gardons le reste partiel n + 1, qui donne, quand nous descendons un chiffre du dividende, le dividende partiel 10(n + 1) + 1, dont le chiffre des dizaines est n + 1 et le chiffre des unités 1. Nous expliquons ainsi à la fois la régularité des dividendes partiels et celle de la suite des chiffres du résultat. Nous expliquons aussi l irrégularité qui se produit après le 7 : le raisonnement ci-avant n est correct que quand n + 1 est un reste partiel, c est-à-dire quand il est strictement inférieur à 9. Mais, quand n est égal à 8 10n + 1 = 9n + (n + 1) = 9n + 9 = 9(n + 1) + 0 ainsi le chiffre posé est non n, mais n+1, c est-à-dire 9, et le reste partiel suivant est 0. Le n-ème chiffre du résultat est donc un n, sauf le huitième qui est un 9. À nouveau, cette explication nous permet de généraliser : de construire d autres propositions aussi spectaculaires. Si nous nous donnons davantage de 1 au départ, par exemple dix-huit et non neuf, nous obtenons /9 =

3 soit = car, après le reste partiel 0 qui donne le dividende partiel 1, et le reste partiel 1 qui donne le dividende partiel 11, la suite des dividendes partiels continue : 21, 31,... Cette explication nous permet aussi de construire des propositions similaires dans d autres bases. Par exemple, en base vingt /j = abcdef ghj et abcdef ghj 3g = Qu est-ce qu une explication? Cet exemple nous permet de préciser ce que nous appelons une explication. Tout d abord, nous avons dit que la démonstration que le n-ème chiffre de la division de par 9 était un n sauf le huitième qui est un 9 était explicative parce que, au lieu de déterminer individuellement chaque chiffre du résultat, elle montrait, de manière générique, que le n-ème chiffre de ce nombre était un n. De manière générale, quand nous cherchons à démontrer une proposition de la forme n E A, où E est un ensemble fini, une démonstration générique est plus explicative qu une démonstration qui énumère les différents éléments de l ensemble E et donne un argument séparé pour chacun. Ensuite, nous avons dit que la démonstration qui procède en démontrant d abord la proposition n [1, 9] ( n = n) et en prenant ensuite le cas particulier n = 4 était une explication de la proposition = Ici, la proposition à démontrer n est pas de la forme n E A, mais nous avons introduit au cours de la démonstration une telle proposition que nous avons démontrée de manière générique, pour ensuite en déduire un cas particulier. De manière générale, une démonstration d une proposition B qui procède en donnant une démonstration générique d une proposition universelle n E A telle que B soit un cas particulier de A pour un certain n, est plus explicative qu une démonstration directe. En logique, une partie d une démonstration qui procède en démontrant d abord le cas général pour en déduire un cas particulier, s appelle une coupure. La présence d une coupure dans une démonstration permet souvent de généraliser, de démontrer des propositions similaires, car une fois le cas général n E A démontré, nous pouvons démontrer non seulement le cas particulier B, mais aussi d autres cas particuliers correspondant à d autres valeurs de n. 3

4 Ainsi, une coupure dans la démonstration de la proposition = a permis de construire des propositions similaires et = = De même, une coupure introduisant une proposition quantifiant universellement sur le nombre de chiffres ou la base permet généraliser la proposition en et /9 = /9 = /j = abcdef ghj Mais si la coupure est à l origine de la possibilité de généralisation, elle n est pas, en elle-même, à l origine du caractère explicatif de la démonstration : elle ne sert qu à introduire une proposition universelle n E A et ce qui rend la démonstration explicative est que cette proposition soit démontrée de manière générique et non en énumérant les éléments de E. Généraliser une proposition B qui porte sur un objet t, en une proposition n E A, telle que B soit l instance de A correspondant à l objet t, et qui peut se démontrer de manière générique, c est-à-dire sans énumérer les éléments de E, montre que c est uniquement son appartenance à E qui est à l origine du fait que l objet t vérifie la propriété A. Ici, nous nous rapprochons de l acception commune du verbe expliquer : déterminer, parmi les propriétés vérifiée par un objet, celle qui sont suffisantes pour établir la propriété recherchée. Par exemple, certaines démonstrations de la transcendance du nombre π procèdent de manière directe. D autres montrent que tout nombre x, tel que e x soit algébrique, est transcendant. Les premières n indiquent pas quelles propriétés du nombre π sont à l origine de sa transcendance, les secondes expliquent que la transcendance du nombre π vient du fait que e iπ = 1. Nous pouvons alors donner une tentative de définition. Nous pouvons tout d abord opposer deux règles de déduction qui permettent de démontrer une proposition de la forme n E A. La première, la règle d introduction du quantificateur universel, demande une démonstration de A sous l hypothèse n E. La proposition A contenant une variable n, cette démonstration est générique. La seconde, la règle d énumération (ou règle ω), demande une démonstration différente pour chaque élément de E. Une démonstration π 2 peut être dite plus explicative qu une démonstration π 1 si elle est obtenue en remplaçant dans π 1 une sous-démonstration utilisant la règle d énumération, par une sous-démonstration utilisant la règle d introduction du quantificateur universel. 4

5 3 Un exemple de démonstration non explicative La multiplication donnée en introduction est un exemple de démonstration non explicative. Un autre est la démonstration que l équation diophantienne X 5 = 7X 3 + 2X 2 + X + 10 n a pas de solution. Pour résoudre les équations diophantiennes à une indéterminée, une méthode consiste à montrer que, quand X est un nombre supérieur à une certaine borne, ici 50, le terme de plus haut degré X 5 est strictement supérieur à la somme des autres termes. Plus précisément, quand X est supérieur à 50 X 5 > 5(0X 4 ) X 5 > 5(7X 3 ) X 5 > 5(2X 2 ) X 5 > 5(1X) X 5 > 5(10) en ajoutant ces inégalités et en divisant par 5 nous obtenons X 5 > 7X 3 + 2X 2 + X + 10 Cette équation ne peut donc pas avoir de solutions supérieures à 50 : toutes ses solutions, si elle en a, sont donc comprises entre 0 et 50. Comme il y a un nombre fini de nombres entiers compris entre 0 et 50, il suffit de les essayer l un après l autre. Par exemple, en remplaçant X par 0 dans l équation, nous obtenons 0 = 10, le nombre 0 n est donc pas une solution, en remplaçant X par 1, nous obtenons 1 = 20,... donc ni 0, ni 1,... ne sont solutions de cette équation et en continuant jusqu à 50, nous démontrons que cette équation n a pas de solutions : ni avant 50, ni après. En revanche, si nous avions cherché les solutions de l équation X 5 = 7X 3 + 4X 2 + X + 15 nous aurions montré que cette équation ne peut pas avoir de solutions supérieure à 75 et en essayant tous les nombres de 0 à 75, nous aurions trouvé une solution : 3 puisque en remplaçant X par 3 dans l équation, nous obtenons 243 = 243. De manière générale, à chaque fois que nous avons une équation nous pouvons calculer une borne a n X n + a n 1 X n a 1 X + a 0 = 0 b = n max( a 0,..., a n 1 ) au delà de laquelle l équation ne peut pas avoir de solutions, et il suffit d essayer les nombres de 0 à b pour trouver toutes les solutions de l équation. Essayer tous les nombres de 0 à 50 ou à 75 demande beaucoup de calculs, et c est pour cela 5

6 que, même si nous connaissons cette méthode depuis au moins le XIX e siècle, elle est surtout utilisée depuis que nous avons des ordinateurs. Cette méthode est un cas particulier d une méthode plus générale formalisée par Presburger, Skolem et Tarski, au début des années trente : l élimination de l infini, aussi appelée l élimination des quantificateurs. Dans certains cas, une proposition de la forme X A peut se transformer en une proposition de la forme X E A où E est un ensemble fini et, pour démontrer cette proposition ou sa négation, il suffit d essayer, l un après l autre, tous les éléments de E. C est ainsi que plusieurs résultats des contemporains ont été démontrés, en éliminant l infini, puis en utilisant un ordinateur : le théorème des quatre couleurs, le théorème de Hales,... Ces démonstrations sont à l exact opposé de ce nous avons appelé des explications, puisqu elles utilisent l élimination de l infini précisément pour pouvoir utiliser la règle d énumération, au lieu d utiliser la règle d introduction du quantificateur universel. Une telle démonstration nous apprend que l équation X 5 = 7X 3 + 2X 2 + X + 10 n a pas de solutions, mais non pourquoi elle n a pas de solutions. 4 Y a-t-il toujours une explication? Une conséquence du théorème de Gödel est qu il existe des propositions de la forme n A qui ne sont pas démontrables, mais telles que chaque cas particulier de la proposition A soit démontrable : chaque cas particulier a une démonstration, mais ces démonstrations sont trop différentes les unes des autres pour qu il y ait une de démonstration générique de n A. Cela semble suggérer que certaines propositions ont des démonstrations mais pas d explications. 5 Conclusion Jusqu aux années soixante-dix du XX e siècle, à peu près toutes les démonstrations étaient des explications, même si, comme nous l avons vu, le caractère explicatif de certaines démonstrations de la transcendance du nombre π, par exemple, pouvait parfois être discuté. Ce n est que depuis les années soixantedix, et l utilisation d ordinateurs, que nous avons été capables de construire des démonstrations vraiment non explicatives. Cela explique que, historiquement, les notions de démonstration et d explication aient souvent été confondues, et 6

7 que nous commencions à peine à prendre conscience de la différence entre ces deux notions. La logique du XX e siècle a donné une définition précise de la notion de démonstration et a intensivement étudié cette notion. Nous pouvons imaginer, de même, que la logique du XXI e siècle, donnera une définition précise et étudiera la notion d explication, ou de caractère plus ou moins explicatif d une démonstration, notions que nous ne faisons aujourd hui qu entrevoir. 7

Calculabilité Cours 3 : Problèmes non-calculables. http://www.irisa.fr/lande/pichardie/l3/log/

Calculabilité Cours 3 : Problèmes non-calculables. http://www.irisa.fr/lande/pichardie/l3/log/ Calculabilité Cours 3 : Problèmes non-calculables http://www.irisa.fr/lande/pichardie/l3/log/ Problèmes et classes de décidabilité Problèmes et classes de décidabilité Nous nous intéressons aux problèmes

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

Etude de fonctions: procédure et exemple

Etude de fonctions: procédure et exemple Etude de fonctions: procédure et exemple Yves Delhaye 8 juillet 2007 Résumé Dans ce court travail, nous présentons les différentes étapes d une étude de fonction à travers un exemple. Nous nous limitons

Plus en détail

CM2B Ste Marthe NOMBRES CROISES

CM2B Ste Marthe NOMBRES CROISES CMB Ste Marthe NOMBRES CROISES Règles Les nombres croisés sont des grilles à remplir en suivant les instructions. Les consignes ne sont données que pour les nombres à plus de deux chiffres. Si plusieurs

Plus en détail

Souad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/

Souad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation

Plus en détail

Baccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé

Baccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue

Plus en détail

Image d un intervalle par une fonction continue

Image d un intervalle par une fonction continue DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction

Plus en détail

Corps des nombres complexes, J Paul Tsasa

Corps des nombres complexes, J Paul Tsasa Corps des nombres complexes, J Paul Tsasa One Pager Février 2013 Vol. 5 Num. 011 Copyright Laréq 2013 http://www.lareq.com Corps des Nombres Complexes Définitions, Règles de Calcul et Théorèmes «Les idiots

Plus en détail

Chapitre 1 : Évolution COURS

Chapitre 1 : Évolution COURS Chapitre 1 : Évolution COURS OBJECTIFS DU CHAPITRE Savoir déterminer le taux d évolution, le coefficient multiplicateur et l indice en base d une évolution. Connaître les liens entre ces notions et savoir

Plus en détail

Examen optimisation Centrale Marseille (2008) et SupGalilee (2008)

Examen optimisation Centrale Marseille (2008) et SupGalilee (2008) Examen optimisation Centrale Marseille (28) et SupGalilee (28) Olivier Latte, Jean-Michel Innocent, Isabelle Terrasse, Emmanuel Audusse, Francois Cuvelier duree 4 h Tout resultat enonce dans le texte peut

Plus en détail

Compter à Babylone. L écriture des nombres

Compter à Babylone. L écriture des nombres Compter à Babylone d après l article de Christine Proust «Le calcul sexagésimal en Mésopotamie : enseignement dans les écoles de scribes» disponible sur http://www.dma.ens.fr/culturemath/ Les mathématiciens

Plus en détail

Arithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot

Arithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot Chapitre 5 Arithmétique binaire L es codes sont manipulés au quotidien sans qu on s en rende compte, et leur compréhension est quasi instinctive. Le seul fait de lire fait appel au codage alphabétique,

Plus en détail

Initiation à Excel. Frédéric Gava (MCF) gava@univ-paris12.fr

Initiation à Excel. Frédéric Gava (MCF) gava@univ-paris12.fr Initiation à Excel Frédéric Gava (MCF) gava@univ-paris12.fr LACL, bâtiment P2 du CMC, bureau 221 Université de Paris XII Val-de-Marne 61 avenue du Général de Gaulle 94010 Créteil cedex Plan de cette année

Plus en détail

Fonctions homographiques

Fonctions homographiques Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie

Plus en détail

I. Une nouvelle loi anti-discrimination

I. Une nouvelle loi anti-discrimination Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre

Plus en détail

Exo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs

Exo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs Eo7 Limites de fonctions Théorie Eercice Montrer que toute fonction périodique et non constante n admet pas de ite en + Montrer que toute fonction croissante et majorée admet une ite finie en + Indication

Plus en détail

The Promotion of Employee Ownership and Participation

The Promotion of Employee Ownership and Participation The Promotion of Employee Ownership and Participation Study prepared by the Inter-University Centre for European Commission s DG MARKT (Contract MARKT/2013/0191F2/ST/OP) Final report October 2014 French

Plus en détail

avec des nombres entiers

avec des nombres entiers Calculer avec des nombres entiers Effectuez les calculs suivants.. + 9 + 9. Calculez. 9 9 Calculez le quotient et le rest. : : : : 0 :. : : 9 : : 9 0 : 0. 9 9 0 9. Calculez. 9 0 9. : : 0 : 9 : :. : : 0

Plus en détail

Exercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes

Exercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)

Plus en détail

3 Approximation de solutions d équations

3 Approximation de solutions d équations 3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle

Plus en détail

Les indices à surplus constant

Les indices à surplus constant Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté

Plus en détail

Le chiffre est le signe, le nombre est la valeur.

Le chiffre est le signe, le nombre est la valeur. Extrait de cours de maths de 6e Chapitre 1 : Les nombres et les opérations I) Chiffre et nombre 1.1 La numération décimale En mathématique, un chiffre est un signe utilisé pour l'écriture des nombres.

Plus en détail

CONDITIONS DE REUSSITE, DISPENSES, REPORTS ET CREDITS DANS L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR

CONDITIONS DE REUSSITE, DISPENSES, REPORTS ET CREDITS DANS L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR CONDITIONS DE REUSSITE, DISPENSES, REPORTS ET CREDITS DANS L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR Position de la Fédération des Étudiant(e)s Francophones (F.E.F.) discutée puis adoptée lors des Conseils du 25 septembre

Plus en détail

Synthèse «Le Plus Grand Produit»

Synthèse «Le Plus Grand Produit» Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique

Plus en détail

LES DOCUMENTS DE TRAVAIL DU SÉNAT

LES DOCUMENTS DE TRAVAIL DU SÉNAT LES DOCUMENTS DE TRAVAIL DU SÉNAT Série LÉGISLATION COMPARÉE LE NUMÉRO UNIQUE D IDENTIFICATION DES PERSONNES PHYSIQUES n LC 181 Décembre 2007 - 3 - LE NUMÉRO UNIQUE D IDENTIFICATION DES PERSONNES PHYSIQUES

Plus en détail

1 Définition et premières propriétés des congruences

1 Définition et premières propriétés des congruences Université Paris 13, Institut Galilée Département de Mathématiques Licence 2ème année Informatique 2013-2014 Cours de Mathématiques pour l Informatique Des nombres aux structures Sylviane R. Schwer Leçon

Plus en détail

«Tout modèle a ses limites»

«Tout modèle a ses limites» Conférence de presse annuelle du 31 mars 2015 Mark Branson Directeur «Tout modèle a ses limites» Mesdames, Messieurs, Peter Giger et moi-même allons nous intéresser à l utilisation de modèles pour le calcul

Plus en détail

ATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE

ATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE ATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE Présidence : Martine Behar-Touchais, professeur à l Université Paris Descartes (Paris V) Les clauses abusives à l épreuve de la

Plus en détail

O, i, ) ln x. (ln x)2

O, i, ) ln x. (ln x)2 EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On

Plus en détail

Accédez au test ici http://myspeed.visualware.com/index.php

Accédez au test ici http://myspeed.visualware.com/index.php Test de vitesse VoIP Pourquoi faire le test? Un test de vitesse VoIP est un moyen efficace d évaluer la capacité de votre connexion Internet à prendre en charge un système de téléphonie VoIP. D autres

Plus en détail

De même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que

De même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer

Plus en détail

DOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10.

DOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. A1 Trouvez l entier positif n qui satisfait l équation suivante: Solution 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. En additionnant les termes du côté gauche de l équation en les mettant sur le même dénominateur

Plus en détail

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10 PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?

Plus en détail

Exercice numéro 1 - L'escalier

Exercice numéro 1 - L'escalier Exercice numéro 1 - L'escalier On peut monter un escalier une ou deux marches à la fois. La figure de droite montre un exemple. 1. De combien de façons différentes peut-on monter un escalier de une marche?

Plus en détail

La persistance des nombres

La persistance des nombres regards logique & calcul La persistance des nombres Quand on multiplie les chiffres d un nombre entier, on trouve un autre nombre entier, et l on peut recommencer. Combien de fois? Onze fois au plus...

Plus en détail

Bulletin d information statistique

Bulletin d information statistique INFOSTAT JUSTICE Divorces : une procédure à deux vitesses Zakia Belmokhtar * Mai 2012 Numéro 117 En visant à permettre un règlement plus rapide et plus complet des demandes en divorce, la loi du 26 mai

Plus en détail

Archivage électronique et valeur probatoire

Archivage électronique et valeur probatoire Archivage électronique et valeur probatoire Livre blanc Archivage électronique et valeur probatoire Livre blanc 2 Sommaire 1 Introduction 3 2 Archive et archivage 5 2.1 Qu est-ce qu une archive? 5 2.2

Plus en détail

6. Les différents types de démonstrations

6. Les différents types de démonstrations LES DIFFÉRENTS TYPES DE DÉMONSTRATIONS 33 6. Les différents types de démonstrations 6.1. Un peu de logique En mathématiques, une démonstration est un raisonnement qui permet, à partir de certains axiomes,

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

Suites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite

Suites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite Suites numériques 3 1 Convergence et limite d une suite Nous savons que les termes de certaines suites s approchent de plus en plus d une certaine valeur quand n augmente : par exemple, les nombres u n

Plus en détail

CIRCULAIRE CDG90 COMITE TECHNIQUE COMITE D HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL COMMISSION ADMINISTRATIVE PARITAIRE

CIRCULAIRE CDG90 COMITE TECHNIQUE COMITE D HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL COMMISSION ADMINISTRATIVE PARITAIRE CIRCULAIRE CDG90 11/12 COMITE TECHNIQUE COMITE D HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL COMMISSION ADMINISTRATIVE PARITAIRE Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée, portant droits et obligations

Plus en détail

Format de l avis d efficience

Format de l avis d efficience AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation

Plus en détail

Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies

Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention

Plus en détail

108y= 1 où x et y sont des entiers

108y= 1 où x et y sont des entiers Polynésie Juin 202 Série S Exercice Partie A On considère l équation ( ) relatifs E :x y= où x et y sont des entiers Vérifier que le couple ( ;3 ) est solution de cette équation 2 Déterminer l ensemble

Plus en détail

FONCTION EXPONENTIELLE ( ) 2 = 0.

FONCTION EXPONENTIELLE ( ) 2 = 0. FONCTION EXPONENTIELLE I. Définition Théorème : Il eiste une unique fonction f dérivable sur R telle que f ' = f et f (0) =. Démonstration de l'unicité (eigible BAC) : L'eistence est admise - Démontrons

Plus en détail

Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007

Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007 Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007 page 1 / 10 abscisse addition additionner ajouter appliquer

Plus en détail

Logique : ENSIIE 1A - contrôle final

Logique : ENSIIE 1A - contrôle final 1 Logique : ENSIIE 1A - contrôle final - CORRIGÉ Mardi 11 mai 2010 - Sans documents - Sans calculatrice ni ordinateur Durée : 1h30 Les exercices sont indépendants. Exercice 1 (Logique du premier ordre

Plus en détail

www.lafamily.ch en 16 différences

www.lafamily.ch en 16 différences Cas d étude no 3 www.lafamily.ch en 16 différences juin 2003 Le mandat réalisé avec QuickSite de transformation du site existant de Lafamily.ch, centre globale d information pour les familles, à été de

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh

2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh 2 Fonctions binaires 45 2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh On peut définir complètement une fonction binaire en dressant son tableau de Karnaugh, table de vérité à 2 n cases pour n variables

Plus en détail

L ANALYSE COUT-EFFICACITE

L ANALYSE COUT-EFFICACITE L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue

Plus en détail

TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION

TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION Sommaire 1. Méthodologie : comment tracer le graphe d'une fonction... 1 En combinant les concepts de dérivée première et seconde, il est maintenant possible de tracer le

Plus en détail

Continuité en un point

Continuité en un point DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à

Plus en détail

Resolution limit in community detection

Resolution limit in community detection Introduction Plan 2006 Introduction Plan Introduction Introduction Plan Introduction Point de départ : un graphe et des sous-graphes. But : quantifier le fait que les sous-graphes choisis sont des modules.

Plus en détail

Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications

Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante

Plus en détail

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. 1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le

Plus en détail

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1 TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun

Plus en détail

Correction de l examen de la première session

Correction de l examen de la première session de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi

Plus en détail

Engagement de l ABC en matière de lisibilité des documents hypothécaires. Préparé par l Association des banquiers canadiens

Engagement de l ABC en matière de lisibilité des documents hypothécaires. Préparé par l Association des banquiers canadiens Engagement de l ABC en matière de lisibilité des documents hypothécaires Préparé par l Association des banquiers canadiens Le 7 mars 2000 Notre engagement : des documents hypothécaires en langage courant

Plus en détail

Limites finies en un point

Limites finies en un point 8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,

Plus en détail

Chapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle

Chapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette

Plus en détail

Un régime d assurance? Si oui, lequel?

Un régime d assurance? Si oui, lequel? Un régime d assurance? Si oui, lequel? AFESH-UQAM 20 novembre 2013 Résumé Ce texte présente quelques pistes de réflexion concernant le régime d assurance collective de l AFESH-UQAM. Il s agit d un document

Plus en détail

Commun à tous les candidats

Commun à tous les candidats EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle

Plus en détail

Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif

Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif Cécile Durot 1 & Yves Rozenholc 2 1 UFR SEGMI, Université Paris Ouest Nanterre La Défense, France, cecile.durot@gmail.com 2 Université

Plus en détail

Compte rendu d activité

Compte rendu d activité Dimitri GRAND URIEN année 2011 2013 BTS SIO option : Solution d infrastructure système et réseau Compte rendu d activité SAV Multi-Services Contexte : Suite à une coupure de service, un client nous ramène

Plus en détail

Administration de Parc Informatique TP03 : Résolution de noms

Administration de Parc Informatique TP03 : Résolution de noms Institut Galilée L2 Info S1 Année 2013 2014 Administration de Parc Informatique TP03 : Résolution de noms Le but de ce TP est d apprendre aux machines à se connaître par le nom plutôt que simplement par

Plus en détail

Il y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive.

Il y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive. L ANALYSE ET L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Une fois les résultats d une investigation recueillis, on doit les mettre en perspective en les reliant au problème étudié et à l hypothèse formulée au départ:

Plus en détail

Rapport du Directeur général

Rapport du Directeur général Mis en distribution générale le 7 mars 2007 (Ce document a été mis en distribution générale à la réunion du Conseil du 7 mars 2007.) Conseil des gouverneurs GOV/2007/8 22 février 2007 Français Original:

Plus en détail

Etat des lieux sur la fausse déclaration des risques en assurances

Etat des lieux sur la fausse déclaration des risques en assurances Etat des lieux sur la fausse déclaration des risques en assurances Christelle ELINEAU-YANNAKIS Doctorante à l Université Jean Moulin - Lyon III Contrat d assurance Déclaration des risques Sanction Le contrat

Plus en détail

Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable

Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable Avertissement! Dans tout ce chapître, I désigne un intervalle de IR. 4.1 Fonctions convexes d une variable Définition 9 Une fonction ϕ, partout définie

Plus en détail

LE PROBLEME DU PLUS COURT CHEMIN

LE PROBLEME DU PLUS COURT CHEMIN LE PROBLEME DU PLUS COURT CHEMIN Dans cette leçon nous définissons le modèle de plus court chemin, présentons des exemples d'application et proposons un algorithme de résolution dans le cas où les longueurs

Plus en détail

C f tracée ci- contre est la représentation graphique d une

C f tracée ci- contre est la représentation graphique d une TLES1 DEVOIR A LA MAISON N 7 La courbe C f tracée ci- contre est la représentation graphique d une fonction f définie et dérivable sur R. On note f ' la fonction dérivée de f. La tangente T à la courbe

Plus en détail

RAPPORT DE STAGE ET RÉSUMÉ

RAPPORT DE STAGE ET RÉSUMÉ RAPPORT DE STAGE ET RÉSUMÉ Instructions: 1. Le rapport doit être renvoyé au REFJ (exchanges@ejtn.eu) dans le mois suivant le stage. 2. Veuillez utiliser le formulaire ci-dessous pour rédiger votre rapport

Plus en détail

Les imperfections de concurrence dans l industrie bancaire : spécificités et conséquences

Les imperfections de concurrence dans l industrie bancaire : spécificités et conséquences Les imperfections de concurrence dans l industrie bancaire : spécificités et conséquences Entretiens Enseignants Entreprises Jean-Paul POLLIN 30 août 2012 Laboratoire d Economie d Orléans (LEO) 1 Plan

Plus en détail

Bonn. rds» Conso. A propos de CONSOLIS SABLA. publics : bâtiments principalem personnes CONSOLIS. préfabriqué. assainisse cimetières

Bonn. rds» Conso. A propos de CONSOLIS SABLA. publics : bâtiments principalem personnes CONSOLIS. préfabriqué. assainisse cimetières Bonn na Sablaa Concours de Création «Consolis Awa rds» REGLEMENT DU CONCOURS Conso olis et Bonna Sabla en bref A propos de CONSOLIS CONSOLIS S est un groupe industriel européen du secteur de d la construction,

Plus en détail

La fonction exponentielle

La fonction exponentielle DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 novembre 204 à :07 La fonction exponentielle Table des matières La fonction exponentielle 2. Définition et théorèmes.......................... 2.2 Approche graphique de la fonction

Plus en détail

GSF-11928 FINANCE I. Hiver 2006

GSF-11928 FINANCE I. Hiver 2006 GSF-11928 FINANCE I Professeure : Carole Martel Bureau : 3654 (PAP) Téléphone : (418)-656-2131, poste 5394 (bureau) ou (418)-688-7299 (domicile) Hiver 2006 Environnement Ulysse : Dans ce cours, l accès

Plus en détail

Parmi les nombreuses expériences qui transforment

Parmi les nombreuses expériences qui transforment DES ÉTUDES À L ÉTRANGER Parmi les nombreuses expériences qui transforment votre curriculum vitae de petit franchouillard en celui de véritable citoyen du monde, le passage par un séjour d études est une

Plus en détail

NORMES DE PRÉSENTATION DES MANUSCRITS

NORMES DE PRÉSENTATION DES MANUSCRITS Les Presses de l Université du Québec NORMES DE PRÉSENTATION DES MANUSCRITS Le manuscrit, en version complète et définitive, doit être présenté de la manière la plus simple et uniforme possible, afin de

Plus en détail

«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie. Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris

«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie. Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris «Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris OBJECTIFS 1- Niveau et insertion dans la programmation 2-

Plus en détail

conforme à l original

conforme à l original REPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE Union - Discipline - Travail Copie certifiée -------------- conforme à l original DECISION N 020/2012/ANRMP/CRS DU 30 AOÛT 2012 SUR LE RECOURS DE LA SOCIETE MEDICAL PROGRESS

Plus en détail

Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24

Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24 Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24 Commentaire de la décision n 2007-557 DC du 15 novembre 2007 Loi relative à la maîtrise de l immigration, à l intégration et à l asile Déposé sur le bureau

Plus en détail

2. Mise en œuvre de la réglementation sur la tacite reconduction

2. Mise en œuvre de la réglementation sur la tacite reconduction 2. Mise en œuvre de la réglementation sur la tacite reconduction À la suite des auditions et des réponses écrites au questionnaire, il s avère qu en pratique, la loi «Chatel» suscite peu de difficultés

Plus en détail

REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel- SMS/ Beko- Top Chef 2014»

REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel- SMS/ Beko- Top Chef 2014» REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel- SMS/ Beko- Top Chef 2014» ARTICLE 1 La société M6 WEB, 89 avenue Charles de Gaulle, 92575 NEUILLY-SUR-SEINE Cedex ainsi et la société Beko, 266 avenue du Président

Plus en détail

CONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE. Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE. (durée : cinq heures)

CONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE. Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE. (durée : cinq heures) CONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE (durée : cinq heures) Une composition portant sur la statistique. SUJET Cette épreuve est composée d un

Plus en détail

NOTIONS DE PROBABILITÉS

NOTIONS DE PROBABILITÉS NOTIONS DE PROBABILITÉS Sommaire 1. Expérience aléatoire... 1 2. Espace échantillonnal... 2 3. Événement... 2 4. Calcul des probabilités... 3 4.1. Ensemble fondamental... 3 4.2. Calcul de la probabilité...

Plus en détail

REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel - SMS / Un trésor dans votre maison 40»

REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel - SMS / Un trésor dans votre maison 40» REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel - SMS / Un trésor dans votre maison 40» ARTICLE 1 La société M6 WEB, 89, avenue Charles de Gaulle, 92575 NEUILLY-SUR-SEINE Cedex, organise à l occasion de la diffusion

Plus en détail

L évaluation de la performance de la communication media

L évaluation de la performance de la communication media L évaluation de la performance de la communication media Pascal ROOS Enseignant en BTS Management des Unités Commerciales Lycée Edmond Rostand, Saint Ouen l Aumône (95) «Je sais qu un dollar de publicité

Plus en détail

Eteindre. les. lumières MATH EN JEAN 2013-2014. Mme BACHOC. Elèves de seconde, première et terminale scientifiques :

Eteindre. les. lumières MATH EN JEAN 2013-2014. Mme BACHOC. Elèves de seconde, première et terminale scientifiques : MTH EN JEN 2013-2014 Elèves de seconde, première et terminale scientifiques : Lycée Michel Montaigne : HERITEL ôme T S POLLOZE Hélène 1 S SOK Sophie 1 S Eteindre Lycée Sud Médoc : ROSIO Gauthier 2 nd PELGE

Plus en détail

Ne laissez pas le stockage cloud pénaliser votre retour sur investissement

Ne laissez pas le stockage cloud pénaliser votre retour sur investissement Ne laissez pas le stockage cloud pénaliser votre retour sur investissement Préparé par : George Crump, analyste senior Préparé le : 03/10/2012 L investissement qu une entreprise fait dans le domaine de

Plus en détail

LES TYPES DE DONNÉES DU LANGAGE PASCAL

LES TYPES DE DONNÉES DU LANGAGE PASCAL LES TYPES DE DONNÉES DU LANGAGE PASCAL 75 LES TYPES DE DONNÉES DU LANGAGE PASCAL CHAPITRE 4 OBJECTIFS PRÉSENTER LES NOTIONS D ÉTIQUETTE, DE CONS- TANTE ET DE IABLE DANS LE CONTEXTE DU LAN- GAGE PASCAL.

Plus en détail

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS

Plus en détail

Tâche complexe produite par l académie de Clermont-Ferrand. Mai 2012 LE TIR A L ARC. (d après une idée du collège des Portes du Midi de Maurs)

Tâche complexe produite par l académie de Clermont-Ferrand. Mai 2012 LE TIR A L ARC. (d après une idée du collège des Portes du Midi de Maurs) (d après une idée du collège des Portes du Midi de Maurs) Table des matières Fiche professeur... 2 Fiche élève... 5 1 Fiche professeur Niveaux et objectifs pédagogiques 5 e : introduction ou utilisation

Plus en détail

LES REPRESENTATIONS DES NOMBRES

LES REPRESENTATIONS DES NOMBRES LES CARTES A POINTS POUR VOIR LES NOMBRES INTRODUCTION On ne concevrait pas en maternelle une manipulation des nombres sans représentation spatiale. L enfant manipule des collections qu il va comparer,

Plus en détail

La programmation linéaire : une introduction. Qu est-ce qu un programme linéaire? Terminologie. Écriture mathématique

La programmation linéaire : une introduction. Qu est-ce qu un programme linéaire? Terminologie. Écriture mathématique La programmation linéaire : une introduction Qu est-ce qu un programme linéaire? Qu est-ce qu un programme linéaire? Exemples : allocation de ressources problème de recouvrement Hypothèses de la programmation

Plus en détail

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****

Plus en détail

FONDEMENTS MATHÉMATIQUES 12 E ANNÉE. Mathématiques financières

FONDEMENTS MATHÉMATIQUES 12 E ANNÉE. Mathématiques financières FONDEMENTS MATHÉMATIQUES 12 E ANNÉE Mathématiques financières A1. Résoudre des problèmes comportant des intérêts composés dans la prise de décisions financières. [C, L, RP, T, V] Résultat d apprentissage

Plus en détail

Leçon 01 Exercices d'entraînement

Leçon 01 Exercices d'entraînement Leçon 01 Exercices d'entraînement Exercice 1 Etudier la convergence des suites ci-dessous définies par leur terme général: 1)u n = 2n3-5n + 1 n 2 + 3 2)u n = 2n2-7n - 5 -n 5-1 4)u n = lnn2 n+1 5)u n =

Plus en détail

I. Ensemble de définition d'une fonction

I. Ensemble de définition d'une fonction Chapitre 2 Généralités sur les fonctions Fonctions de références et fonctions associées Ce que dit le programme : Étude de fonctions Fonctions de référence x x et x x Connaître les variations de ces deux

Plus en détail