Ischémie cérébrale : Quel bilan étiologique et dans quel délai?
|
|
- Vincent Robert
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Ischémie cérébrale : Quel bilan étiologique et dans quel délai? SFR IDF Dec 2013 Julien Savatovsky F. Charbonneau, P. Roux, JC. Sadik, V. Macaigne*, M. Obadia**, F. Héran Service d Imagerie Médicale, Fondation Rothschild, Paris * Radiologie, CHU Rouen. ** UNV, Fondation Rothschild
2 étiologie Le bilan étiologique est indispensable au décours d un AIC et conduit à des décisions thérapeutiques importantes.
3 Quel risque de récidive? Quelle imagerie? Quand la faire? étiologie Indéterminé (30%) Ischémie cérébrale Athérome (20%) Petits vaisseaux (25%) Causes rares (5%) Cardioembolique (20%)
4 Objectifs Comparer les performances des modalités disponibles pour réaliser le bilan étiologique, en particulier de l angioirm et de l angioscanner Discuter du délai optimal entre la survenue de l ischémie cérébrale et son bilan étiologique
5 Objectifs Comparer les performances des modalités disponibles pour réaliser le bilan étiologique, en particulier de l angioirm et de l angioscanner Discuter du délai optimal entre la survenue de l ischémie cérébrale et son bilan étiologique
6 étiologie Indéterminé (30%) Ischémie cérébrale Athérome (20%) Petits vaisseaux (25%) Causes rares (5%) Cardioembolique (20%)
7 Les outils : Artériographie Examen de référence Pas de quantification absolue Pas d étude de la paroi Variabilité interobservateur 8% Sous-estimation possible du degré de sténose Morbidité (<1%) Disponibilité faible Recommandations : pas en 1 ère intention Young & Coll. Stroke 1996 Heiserman & Coll. AJNR 2005 Anzalone & Coll. Radiology 2005 Masdeu & Coll. Eur J Neurol 2006
8 Les outils : Echographie-doppler Avantages : Accessibilité Résolution spatiale Hémodynamique / suppléances
9 Les outils : Echographie-doppler Avantages : Accessibilité Résolution spatiale Hémodynamique / suppléances Inconvénients : Opérateur-dépendant Zones non explorées Recommandations : résultats négatifs ou positifs à confirmer par autre modalité
10 Les outils : AngioIRM
11 Les outils : Angioscanner Polygone de Willis Siphons carotidiens ACQUISITION Contraste NaCl artères Injection à droite KT vert - 4cc/s Quantité selon durée Bulbes carotidiens Ostium vertébrales veines t Crosse Aorte ascendante
12 Résolution spatiale AngioIRM : 0,8 mm AngioIRM 3T optimisée : 0,5 mm Angioscanner : 0,35 x 0,35 x 0,6 mm Echographie : 0,1 mm 2 mm
13 Athérome Carotides Dissection Vertebrales étiologie Echographie 2011 AngioIRM ou Angioscan /- Angio conventionnelle 2009 Echo ou AngioIRM ou Angioscan 2004
14 Athérome des TSA Sténose < 70% Sténose > 70% Occlusion VRT MIP
15 Evaluation du degré de sténose NASCET ECST
16 Occlusion VS Sténose hyperserrée AngioIRM / AngioScanner / Artério Lev & Coll. AJNR 2003 Moll & Coll. Eur J Radiol 2001 Randoux & Coll. Radiology 2001 Berg & Coll. Acta Radiol 2002
17 Athérome des TSA : caractérisation de plaque DSA
18 Athérome des TSA : caractérisation de plaque Moy < 30 UH Composant lipidique
19 Athérome des TSA : caractérisation de plaque Oppenheim & Al. Radiographics 2009
20 Athérome intracranien
21 Athérome intracranien AngioTDM > Angio > AngioIRM > DTC Bash & Coll. AJNR 2005 Moll & Coll. Eur J Radiol 2001
22 étiologie Indéterminé (30%) Ischémie cérébrale Athérome (20%) Petits vaisseaux (25%) Causes rares (5%) Cardioembolique (20%)
23 Causes cardio-emboliques Pour les cardiologues ou pour nous? Boussel & Al. Radiology 2011
24 Causes cardio-emboliques Pour le cardiologue ou pour nous? ETO Barazangi & Coll. J Stroke and Cerebrovasc Dis in press
25 étiologie Indéterminé (30%) Ischémie cérébrale Athérome (20%) Petits vaisseaux (25%) Causes rares (5%) Cardioembolique (20%)
26 Maladie des petits vaisseaux Diagnostic positif
27 Maladie des petits vaisseaux Imputabilité?
28 étiologie Indéterminé (30%) Ischémie cérébrale Athérome (20%) Petits vaisseaux (25%) Causes rares (5%) Cardioembolique (20%)
29 étiologie Indéterminé (30%) Ischémie cérébrale Athérome (20%) Petits vaisseaux (25%) Causes rares (5%) Cardioembolique (20%)
30 Pathologies extra-vasculaires : Découverte fortuite ou facteur favorisant? 13% de lésions associées à signification clinique élevée Benjoar & Coll. Thèse de Médecine, 2010
31 Objectifs Comparer les performances des modalités disponibles pour réaliser le bilan étiologique, en particulier l angioirm et de l angioscanner Discuter du délai optimal entre la survenue de l ischémie cérébrale et son bilan étiologique
32 Quand faire le bilan étiologique? Pas de position nette : Pas d étude sur le délai optimal Consensus d experts ; variable selon les pays France (HAS) : «précoce», «rapidement» Aussi vite que possible Pour connaitre le mécanisme Pour éviter la récidive Une intervention dans les 2 semaines qui suivent l accident est raisonnable plutôt qu une chirurgie programmée pour les patients avec un AIT ou AIC, et pour lesquelles il n y a pas de contre indications à une revascularisation précoce (Level of Evidence: B) Rothwell et al. Lancet. 2004
33 Quand faire le bilan étiologique? Exploration en urgence recommandée AIT ou AIC mineur > 5% récidive dans les 48h AIC fluctuant / évolutif Signes hémodynamiques Majoration à l orthostatisme Territoire jonctionnel
34 Faut-il faire le bilan étiologique lors de la première imagerie?
35 Faut-il faire le bilan étiologique lors de la première imagerie?
36 Faut-il faire le bilan étiologique lors de la première imagerie? Risque d extension de l ischémie? Chances de réussite de la thombolyse IV?
37 L ischémie, l étiologie Et le thrombus?
38 Conclusion On ne débute jamais trop tôt le bilan étiologique! Scanner ou IRM : peu de perte de temps Cabinet : le même jour que l examen cérébral Hôpital : examen d admission (même si thrombolyse) Rechercher la cause ET le thrombus Ne pas hésiter à associer plusieurs modalités en cas de doute
39 Ischémie cérébrale : Quel bilan étiologique et dans quel délai? SFR IDF Dec 2013 Julien Savatovsky F. Charbonneau, P. Roux, JC. Sadik, V. Macaigne*, M. Obadia**, F. Héran Service d Imagerie Médicale, Fondation Rothschild, Paris * Radiologie, CHU Rouen. ** UNV, Fondation Rothschild
Les maladies vasculaires cérébrales
Les maladies vasculaires cérébrales Zlokovic et Apuzzo. Neurosurgery 1998; 43(4): 877-78 cité sur http://www.ohsu.edu/bbb/forprof_program.html Centre Mont-Royal, 5 juin 2014 Dr Yan Deschaintre Présentateur
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailBERTHIER E, CHRISTIANO M, PHILIPPE M O, IEHL J, TATARU N, DECAVEL P, VUILLIER F, ELISEEF A, MOULIN T. Introduction (1). Contexte de l étude
REPRODUCTIBILITE INTEROBSERVATEUR DU TEST «NIHSS» (National Institutes of Heath Stroke Scale) RÉALISÉ PAR VIDÉOCONFÉRENCE : EXPÉRIENCE DU RÉSEAU DES URGENCES NEUROLOGIQUES (RUN) BERTHIER E, CHRISTIANO
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailRééducation des accidents vasculaires cérébraux
Module «Système nerveux central et MPR» Septembre 2008 Rééducation des accidents vasculaires cérébraux G. Rode, S. Jacquin-Courtois, A. Yelnik Ce document est le support des cours «AVC» faits lors de la
Plus en détailRecommandations 2008 pour la Prise en Charge des Infarctus Cérébraux et des Accidents Ischémiques Transitoires
Recommandations 2008 pour la Prise en Charge des Infarctus Cérébraux et des Accidents Ischémiques Transitoires Comité Exécutif de «l European Stroke Organization» (ESO) et Comité de Rédaction de l ESO.
Plus en détailLes dissections des artères cervicocéphaliques représentent environ 20 %
REVUES GENERALES Neurologie G. MELIKSETYAN, H. HOSSEINI Service de Neurologie, Unité des Soins Intensifs Neurovasculaires, CHU Henri Mondor, CRETEIL. Manipulations cervicales et risque de dissection vertébrale
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailAVC ischémique : diagnostic étiologique et prise en charge des artériopathies Sylvain Lanthier MD OD CSPQ
AVC ischémique : diagnostic étiologique et prise en charge des artériopathies Sylvain Lanthier MD OD CSPQ Professeur agrégé, Faculté de Médecine, Université de Montréal Directeur scientifique, Programme
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailDr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger
Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger *Malgré les progrès de dialyse, la transplantation rénale demeure le meilleur choix thérapeutique de l insuffisance
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailTraitement carotidien endovasculaire comme protocole préopératoire dans la chirurgie coronaire
Traitement carotidien endovasculaire comme protocole préopératoire dans la chirurgie coronaire Pilar Garrido, Heliodoro Vallés*, Ibrahin Nassar, Ramiro De La Llana, Jorge Lopez*, Mª Teresa Rodrigo- Bello*,
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailLes céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie
Les céphalées aux urgences G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Céphalées et urgences Pathologie très fréquente dans la population générale ; 5 ième motif de consultation aux urgences (Minen
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailLa maladie de Takayasu
La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Takayasu. Elle ne se substitue
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailLa mesure de la réserve coronaire
Revues Générales Qu est-ce que la FFR? Comment l utiliser? réalités Cardiologiques # 291_Janvier/Février 2013 Résumé : La mesure de la réserve coronaire (FFR : Fractional Flow Reserve) s est imposée depuis
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailNEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE
NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE D r Eric OUHAYOUN Service de Médecine Nucléaire - P r J.P. Esquerré CHU Purpan Toulouse - France Néphrogramme isotopique Principe :
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailRégulation des patients suspects d accident vasculaire cérébral POINTS ESSENTIELS
52 e congrès national d anesthésie et de réanimation Médecins. Urgences vitales 2010 Sfar. Tous droits réservés. Régulation des patients suspects d accident vasculaire cérébral F. Dolveck Smur de Garches,
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailLivret d information destiné au patient MIEUX COMPRENDRE LA FIBRILLATION ATRIALE ET SON TRAITEMENT
Livret d information destiné au patient MIEUX COMPRENDRE LA FIBRILLATION ATRIALE ET SON TRAITEMENT Introduction Votre médecin vous a diagnostiqué un trouble du rythme cardiaque nommé fi brillation atriale.
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailMÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE
MÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE Mai 2004 Service Évaluation Technologique - 1 - Pour recevoir la liste des publications de l Anaes, il vous suffit d envoyer vos coordonnées à l adresse
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailDernières nouvelles sur la prise en charge d urgence de la fibrillation auriculaire : cardioversion et autres
Dernières nouvelles sur la prise en charge d urgence de la fibrillation auriculaire : cardioversion et autres Objectifs Évaluer quels patients atteints de FA présentent un risque d AVC Examiner les données
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailPLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE
Journée Club NeuroVasculaire Ile-de-France 27 mai 2014 PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE Eric PAUTAS Hôpital Charles Foix UFR Médecine G.H. Pitié-Salpêtrière-Ch.Foix Inserm U765
Plus en détailNOTICE D INFORMATION EXONERATION DES COTISATIONS SANTE
NOTICE D INFORMATION EXONERATION DES COTISATIONS SANTE La présente notice a pour objet de définir à la fois les prestations d assurance et d assistance contenues dans la «garantie Exonération des cotisations
Plus en détailLa mise en place du PACS 1 Midi-Pyrénées s inscrit
Pr Louis Lareng ADMINISTRATEUR Dr Monique Savoldelli DIRECTEUR SIH Karine Seymour CHEF DE PROJET 35 GROUPEMENT DE COOPÉRATION SANITAIRE TÉLÉSANTÉ MIDI-PYRÉNÉES, TOULOUSE Mise en place d un PACS mutualisé
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque
PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailSurveillance de l opéré vasculaire. DIU d échographie. L examen pré et postinterventionnel. Surveillance du geste de revascularisation
DIU d échographie module vasculaire DESC de médecine vasculaire L examen pré et postinterventionnel Gudrun Böge Médecin Vasculaire CHU de Montpellier-Nîmes Surveillance de l opéré vasculaire Surveillance
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailRecommandations Recommandations pour la création d Unités Neuro-Vasculaires
Masson Rev Neurol (Paris) 2001 ; 157 : 11, 1447-1456 1447 Recommandations Recommandations pour la création d Unités Neuro-Vasculaires Formation Post-Universitaire SOCIÉTÉ FRANÇAISE NEURO-VASCULAIRE * *
Plus en détailTélémédecine, télésanté, esanté. Pr. François KOHLER kohler@medecine.uhp-nancy.fr
Télémédecine, télésanté, esanté Pr. François KOHLER kohler@medecine.uhp-nancy.fr Télémédecine : Définition et domaines «Exercice de la médecine à distance» => Implique un médecin En France : Décret n 2010-1229
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Voyage au cœur des réseaux d imagerie médicale
DOSSIER DE PRESSE Voyage au cœur des réseaux d imagerie médicale Service de presse et de communication : MHC Communication Marie-Hélène Coste / Véronique Simon 38 avenue Jean Jaurès - 94110 Arcueil Tél.
Plus en détailClassification internationale des céphalées, 2 édition (d après l Internationial Headache Society,
Dr A.Donnet (1), (2) La céphalée est motif de consultation important. Sa prévalence est estimée à 90% dans les pays occidentaux (1) La plupart sont des céphalées primaires mais 1 à 4% sont des céphalées
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailmaladies des artères Changer leur évolution Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs
maladies des artères Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs maladies des artères : comment, pourquoi? La principale maladie de nos artères, appelée athérosclérose,
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Mars 2007 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2 avenue
Plus en détailL infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients.
L infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients. Dr M. Lahutte, radiologie pédiatrique, hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris Dr C. Bordarier, néonatalogie,
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailLa Responsabilité Civile De L anesthésiste
La Responsabilité Civile De L anesthésiste Point de vue du médecin conseil de l assurance Saint-Luc, 9 juin 2004 Fondements de la Art 1382 code civil Une faute Un dommage responsabilité Un lien de causalité
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailDr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)
Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailProgramme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients
Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients Dr Isabelle Hagon- Traub Mme Léonie Chinet Direc:on Programme cantonal Diabète Maladies chroniques: préoccupations partagées
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailLe compte rendu de scanner et d IRM du cœur. DIU Imagerie CV 2007
Le compte rendu de scanner et d IRM du cœur DIU Imagerie CV 2007 Importance de la communication Interface entre secrétariats de radiologie et de cardiologie Adaptation du schéma proposé par l ESC (07/06)
Plus en détail