Avant tout contact entre l abeille, sa

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1 Titre bidon Le dossier technique Stimulations, nourrissements, hivernage Avant tout contact entre l abeille, sa ruche et l apiculteur, celui-ci doit bien se pénétrer d une réalité que nous aurions tendance à oublier et qui cependant est fondamentale : «L abeille ne réfléchit pas, elle répond avec automatisme aux stimuli qu elle perçoit et qui lui viennent tant de la colonie elle-même que du monde qui l entoure» Parmi ces stimuli, ceux qui lui viennent de la colonie sont les plus fondamentaux et vont amener l abeille à se comporter afin d y répondre au mieux dans l intérêt de la colonie. Prenons un exemple simple que tout apiculteur a pu observer dans ses ruches. Si nous laissons un espace de deux ou trois centimètres entre deux cadres, immédiatement les abeilles vont combler ce vide en y construisant un rayon que nous appelons souvent «une fausse bâtisse». Si nous introduisons une cire gaufrée dans la ruche, celle-ci sera bâtie et utilisée suivant les besoins du moment. Introduite dans le couvain, la surface bâtie correspondra aux surfaces de couvain des cadres voisins et il se peut que le reste du cadre ne soit bâti que lorsque les apports de nourriture seront suffisants pour que la nécessité d un supplément de cellules de stockage se fasse sentir. Le besoin de nourriture va conditionner une grande partie des habitants de la ruche Le besoin de nourrir le couvain va amener A certains moments de disette, les abeilles détruisent les œufs et les jeunes larves. les nourrices à rechercher dans la ruche le pollen et le nectar nécessaire à la fabrication de la gelée royale ou de la bouillie larvaire. Les glandes des nourrices vont produire leurs sécrétions, si le couvain en demande mais aussi si les nourrices trouvent du pollen et du nectar mais surtout s il y a des apports de pollen frais et de nouveau nectar. L absence de ces apports va entraîner un ralentissement des productions glandulaires et une réduction de la quantité de couvain de la colonie. A certains moments de disette (même momentanée) les abeilles détruisent les œufs et les jeunes larves. Si, au contraire, des apports importants apparaissent, la ponte de la reine s intensifie. La nourriture (pollen et miel) stockée dans la ruche est utilisée par les abeilles pour se nourrir et entretenir le couvain en développement, mais cette nourriture n aura aucun effet sur l augmentation de la quantité de couvain. Seuls de nouveaux apports, pendant un temps suffisamment long et en quantité et qualité suffisantes, auront une influence. L effet de groupe Les régulations physiologiques et le comportement d un membre de la colonie sont modifiés par le groupement même. L être social voit sa physiologie ou ses activités changer s il est isolé de son groupe. Dans la ruche, il s agit d une dépendance rigoureuse : l individu est dans la nécessité d appartenir à la société, pour sa vie même ; il survit difficilement et peu de temps en dehors du groupe ou dans un groupe trop peu nombreux. Le juillet - août

2 Titre bidon groupe a sur l individu un effet protecteur lié à de multiples causes : échanges de nourriture, stimulations sensorielles de tous ordres et particulièrement hormonaux. La ruche est une société fermée qui n accepte un étranger isolé que dans certaines circonstances. Seuls les groupes suffisamment importants peuvent s accepter mutuellement lors d une réunion (réunion naturelle de plusieurs essaims, réunion forcée par l apiculteur). Dans une ruche, sans cesse, il y a des transmissions de bouche à bouche provenant du jabot ou des glandes salivaires des ouvrières entre elles mais aussi des ouvrières vers la reine, les mâles, le couvain et inversement. Les échanges hormonaux sont également omniprésents. L année apicole Il est généralement admis qu une saison apicole démarre à l automne précédant c est-à-dire à la mise en hivernage. Nous estimons toutefois qu il n y a pas de rupture dans le développement harmonieux d une ruche. Si un bon départ printanier est tributaire d une bonne mise en hivernage, celle-ci est conditionnée par une conduite estivale judicieuse, une prévention d essaimage efficace, un remplacement de reine opportun et ainsi de suite... Certes au cours d une année, la colonie passe par des périodes de faible et de forte activité, les extrêmes étant l hivernage et le développement maximal estival. Le rôle de l apiculteur est de mettre la colonie, à tout moment, dans un état optimum. - Puisque cette évolution est continue, toutes nos interventions ont une influence sur le futur et sont conditionnées par la situation existante, elle-même, résultat de nos travaux antérieurs. - De plus le développement de la colonie est influencé par certains facteurs internes (notamment l harmonie de la grappe réglée par les émissions hormonales de la reine, du couvain et probablement des abeilles elles-mêmes), et certains facteurs externes tels que le PHOTOPERIODISME, c est-à-dire l influence de la longueur du jour et de la nuit (déterminant dans le début et la fin de la période intensive d élevage), les conditions atmosphériques (pluie, vent et froid pendant une miellée), la quantité et la qualité du nectar et du pollen disponibles dans la région. Tous ces facteurs influencent positivement ou négativement le développement de la ruche. Si nos interventions successives ont une action sur l évolution de la colonie, nous devons absolument nous pénétrer d un principe fondamental Toutes nos interventions dans la ruche se feront uniquement en harmonie avec les lois naturelles qui régissent la vie de la grappe et nous n entreprendrons rien qui puisse contrecarrer ces lois naturelles. EXEMPLE : Lorsque nous découvrons une ruche en fièvre d essaimage (l essaimage étant la loi naturelle de multiplication de l espèce), il est aberrant de détruire périodiquement (tous les 6 ou 7 jours), les cellules royales et ainsi maintenir la fièvre d essaimage. Pratiquons plutôt en enlevant la vieille reine et en introduisant une jeune reine féconde, sélectionnée. Nous aurons ainsi précédé la loi naturelle, sans la contourner. L état de nos colonies à la sortie de la période hivernale dépend donc presque exclusivement des soins que nous aurons apportés à nos ruches, lors de la mise en hivernage et bons nombres d interventions printanières, nécessaires 8 juillet - août 2011

3 à un développement intensif, ne seront possibles que si nous les avons prévues lors de nos travaux d automne. Contrôle de l hivernage Si votre plateau de ruche est bien conçu, le contrôle de la manière dont vos colonies hivernent sera très facile. Un plateau de ruche doit être grillagé et doit pouvoir recevoir un panneau coulissant sous le grillage. Lorsqu on veut contrôler la colonie on glisse le plateau et en examinant, quelques jours plus tard, les déchets qui s y sont déposés on aura, avec un peu d habitude, une bonne information de la situation de la colonie. Pendant l hiver le contrôle de l hivernage nous permet de repérer les colonies plus faibles et de prévoir un déplacement de celles-ci en vue d une réunion de printemps. Le déplacement de colonies sur une petite distance (dans le rucher, par exemple) se fait pendant ou à la fin d une période de gelée. Une période de gelée de 10 à 12 jours est nécessaire pour éviter que les abeilles, sortant pour un vol de propreté, ne reviennent à leur premier emplacement. Après une période de gelée suffisamment longue, les abeilles sortant de la ruche feront un vol d orientation. Ce contrôle est très important à partir du mois de janvier. C est, en effet, en janvier que la ponte de la reine reprend de manière significative. L examen du plateau nous renseignera sur son avancement. Comme nous allons le voir dans ce chapitre, c est fin février que commence la stimulation des colonies. Un plateau de ruche doit être grillagé et doit pouvoir recevoir un panneau coulissant sous le grillage. 1. Stimulation automnale Pour un départ précoce et optimal au printemps Principes Ne mettre en hivernage que des colonies: puissantes et saines, ayant des reines jeunes et prolifiques, bien pourvues en jeunes abeilles, disposant de réserves de nourriture et de pollen importantes, mais non excédentaires, dont la grappe occupe une position idéale de développement printanier. Les colonies ne répondant pas à ces critères seront réunies à des colonies plus fortes ou seront renforcées par l apport de puissants nucléis. Première visite préparatoire à la mise en hivernage Immédiatement après sa dernière extraction, l apiculteur doit vérifier l état de ses colonies. Il devra contrôler: la présence de couvain d ouvrière (preuve de la présence d une reine féconde), la quantité et la densité du couvain (ceci nous renseigne sur la valeur de la reine), l importance et la position des réserves (elles ne doivent pas bloquer le nid à couvain), la position du couvain dans la ruche. Présence de couvain d ouvrière. Une colonie sans couvain d ouvrière signifie soit qu il n y a pas de reine, soit qu il y a une jeune reine qui n est pas encore juillet - août

4 en ponte. Après s être assuré de l absence d une reine ou après avoir éliminé une jeune reine déficiente, on apportera un fort nucléi à la colonie et on l aidera à se développer au maximum. Quantité et densité du couvain En comparant les colonies entre elles, nous devons estimer la quantité de couvain dont elles disposent. Une colonie qui n aurait pas un couvain aussi important que les autres, a un problème qu il faut résoudre au plus vite (manque de place pour un développement normal du couvain, reine déficiente). Le couvain doit être dense, avec un minimum de cellules ouvertes dans un couvain operculé. La présence de plus de 10% de cellules ouvertes dans un couvain operculé est le signe d une consanguinité trop importante. Si le phénomène persiste il faudra prévoir le remplacement de la reine. N oublions pas que la population adulte de la colonie à cette époque de l année sera morte avant l hiver. Ce n est donc pas elle qui assurera l hivernage mais elle le prépare. Importance et position des réserves Les réserves d hivernage doivent être abondantes mais pas surabondantes, sans quoi on aura des problèmes au moment de la miellée de printemps où le sirop de nourrissement hivernal pourra se retrouver dans les hausses à miel. Le nourrissement, qui se fera en septembre au plus tôt, devra tenir compte de la présence plus au moins importante de miel dans la ruche. Les réserves d hivernage devront être en contact de la grappe avec un maximum situé au-dessus du nid à couvain. Ainsi les abeilles, au cours de l hiver, seront toujours Les réserves d hivernage devront être en contact de la grappe... en contact étroit avec la nourriture et lors du départ printanier, la ponte débutera dans la grappe pour se développer vers le haut, c.-à-d., vers la partie la plus chaude de la ruche. Le pollen, quant à lui, ne devra pas être trop à l extérieur de la grappe, dans la zone froide et humide qui entourera la grappe pendant l hiver. Si le pollen est ainsi exposé à l humidité de l hiver, il moisira et devra être éliminé au printemps. Il doit surtout être écarté des parois de la ruche. La stimulation automnale. But Toute stimulation a pour but d intensifier la ponte de la reine à une période donnée, dans un but donné et par une technique appropriée. Au printemps, l apiculteur cherche à favoriser un développement précoce en vue d une miellée. En automne, il cherche à produire plus d abeilles d hiver, qui finalement seront les abeilles qui assureront le développement printanier. Méthode La dernière extraction de miel marque la fin de la miellée. Le but de la stimulation d automne est de prolonger artificiellement la miellée. Attention qu une certaine continuité de la miellée d été est nécessaire, c.-à-d. qu il ne faudrait pas en retardant la stimulation que la ponte de la reine connaisse un ralentissement important lié à un manque d apports. La stimulation doit donc être le plus proche possible de la fin de la miellée d été. D autre part la stimulation ne doit pas être un nourrissement, la quantité distribuée ne doit pas permettre un stockage qui pourrait bloquer le nid à couvain. Le sirop stimulant Le sirop stimulant devra se rapprocher 10 juillet - août 2011

5 en concentration du nectar, il ne pourra pas être composé de miel afin d éviter le pillage. Sa composition sera 1/3 de sucre et 2/3 d eau. On distribuera un maximum de 200 cm3 par jour pendant un mois. Si on stimule des ruchettes, les quantités seront diminuées de moitié. Fin de la stimulation A la fin de la stimulation il faudra attendre quelques jours avant le nourrissement proprement dit. Ceci pour deux raisons: la ponte de la reine ne se ralentit pas immédiatement à la fin de la stimulation, les naissances d abeilles doivent libérer de la place pour déposer le sirop de nourrissement sans quoi celui-ci pourrait être entreposé trop loin de la zone d hivernage de la grappe.. 2. Agencement des cadres C est une opération importante principalement dans les colonies qui ont été rémérés par réunion de la colonie avec un nucléi et dans les colonies hivernant en corps superposés. La disposition la meilleure est la suivante : le nid à couvain, qui sera en hiver l endroit où se tiendra la colonie, doit être dans le bas et au milieu de la ruche. La nourriture sera, en grande partie, audessus de la colonie. Le pollen sera contre le couvain mais jamais contre la paroi. Si c était le cas, il serait nécessaire de rapprocher ces cadres du centre et de remplacer le cadre extérieur par de la nourriture. Tout cadre de pollen qui ne pourra pas être protégé de l humidité par la chaleur dégagée par la colonie devra être enlevé et entreposé dans un endroit sec et protégé contre ses prédateurs (ce qui n est pas chose aisée). Ces cadres de pollen seront rendus aux colonies au printemps. Attention de ne pas isoler la colonie de ses réserves de sirop. Placer un cadre de pollen de chaque côté de la colonie risquerait, par grands froids de printemps, d empêcher les abeilles d atteindre le sirop et pourrait entraîner la mort de la colonie. Dans une ruche à un seul corps en cadres bas, la colonie sera au milieu, la nourriture de part et d autre d un côté directement au contact de la colonie, de l autre côté avec un cadre de pollen contre la colonie, le reste de la nourriture étant au-delà du pollen. Le pollen ne doit pas constituer une barrière au développement printanier si un refroidissement survenait. Ce pollen doit toujours être disponible durant le printemps. Notons que le pollen humide est à enlever car il est toxique et sera de toute façon éliminé par les abeilles. Celles-ci rogneront la cire pour extraire les amas de pollen avant de les expédier hors de la ruche. L apiculteur aura soin d enlever ces cadres afin de faciliter et réduire la tâche des abeilles à une période ou elles ont d autres occupations. Dans une ruche à deux corps la colonie sera dans le bas, la nourriture au-dessus de la colonie et sur le côté de celle-ci, le pollen contre la colonie ou au-dessus. Si on hiverne des nucléis, on les place par deux dans un même corps de ruche, séparés entre eux par une partition étanche, donc chacun avec une entrée distincte. Le couvain de chaque nucléi est placé de part et d autre de la partition. Six cadres par nucléi suffisent. Le pollen ne doit pas constituer une barrière au développement printanier, si un refroidissement survenait. Resserrement de la colonie Il est inutile de maintenir les colonies dans un volume aussi grand en hiver qu en été. Les colonies vont d ailleurs d elles-mêmes juillet - août

6 se resserrer sur un nombre plus réduit de cadres. Les cadres délaissés par les abeilles ne seront pas entretenus et on les retrouvera moisis au printemps. Il faut donc réduire le nombre de cadres restant dans la ruche. Une Dadant avec une vieille reine sera ramenée à 8 cadres et 2 partitions, même si au moment de l opération la colonie est très populeuse. On profitera de cette réduction du nombre de cadres pour éliminer éventuellement les cadres les plus vieux qui seront remplacés au printemps par des cires gaufrées. Le nourrissement hivernal Cette dernière opération de la mise en hivernage a pour but de donner aux abeilles les réserves nécessaires pour passer la mauvaise saison mais aussi pour nourrir toute la colonie jusqu à la prochaine récolte de printemps. Après la stimulation qui a provoqué une augmentation importante de la ponte de la reine, il faut attendre au moins une semaine avant de commencer le nourrissement proprement dit. Ceci afin de permettre la naissance d une partie du couvain et ainsi faire de la place pour le stockage du sirop de nourrissement. La quantité de sirop à distribuer sera de 15 litres par colonie. Il faudra cependant tenir compte de la quantité de miel qui leur sera restée en réserve. Il est inutile et même dangereux de donner de la nourriture en excès. Au printemps, si la reine manque de place pour pondre, les abeilles déplaceront de la nourriture pour agrandir le nid à couvain et cette nourriture déplacée risque de se retrouver dans la hausse. Pour l éviter, l apiculteur devra retirer des cadres de nourriture excédentaire et les entreposer dans une armoire hermétique jusqu à l automne. Il ne faut pas craindre un nourrissement tardif. L idée que le nourrissement doit se terminer pour la fin du mois d août n est pas exacte. Il faut cependant éviter un apport massif de sirop qui ne permettrait pas aux abeilles de le stocker dans de bonnes conditions. La distribution de sirop se fait à raison d un litre par jour ou de deux litres tous les deux jours. Bon travail! P. Polus 12 juillet - août 2011

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