L EVOLUTION CONJONCTURELLE DANS LE SECTEUR DU TRANSPORT PROFESSIONNEL ROUTIER DE MARCHANDISES

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1 L EVOLUTION CONJONCTURELLE DANS LE SECTEUR DU TRANSPORT PROFESSIONNEL ROUTIER DE MARCHANDISES 4 IEME TRIMESTRE 2013 INSTITUT TRANSPORT ROUTIER ET LOGISTIQUE BELGIQUE ASBL Rue Archimède Bruxelles +32/(0) Fax +32/(0)

2 Toute reproduction d un extrait quelconque de cette publication est uniquement autorisée moyennant la mention de la source.

3 REMARQUES PRELIMINAIRES 1. Objet de l enquête Depuis 1977, l Institut Transport routier et Logistique Belgique (ITLB) organise une enquête pour suivre la conjoncture dans le secteur du transport professionnel routier de marchandises. La méthodologie de base est la même que celle utilisée par la BNB pour leur propre enquête de conjoncture. Jusqu à l année 2005 incluse, l enquête de conjoncture de l ITLB était mensuelle ; chaque mois, un questionnaire était envoyé à un échantillon représentatif d entreprises du secteur afin de suivre et de mieux appréhender les problèmes spécifiques et tendances caractéristiques du secteur. Afin de mieux pouvoir anticiper les évolutions et les défis auxquels le secteur sera confronté, à partir de 2006, cette enquête de conjoncture est métamorphosée. De mensuelle, elle devient trimestrielle. L enquête sonde l opinion d un échantillon représentatif des entreprises du secteur sur l évolution d un certain nombre de facteurs. Ils servent à indiquer si la situation du trimestre en question est restée stable, s est améliorée ou s est dégradée par rapport à la situation précédente. En outre, les entreprises sont également interrogées sur les causes qu elles identifient à cette tendance, leurs impressions et leurs prévisions quant aux missions de transport mais également du point de vue logistique. 2. Répartition des résultats selon la taille des entreprises Les résultats de cette enquête sont ventilés, dans le présent rapport, en cinq classes suivant la taille des entreprises participantes. Celle-ci est fonction du nombre de véhicules moteurs que comporte l entreprise. 1 (classe 1): 2 (classe 2): 3 (classe 3): 4 (classe 4): 5 (classe 5): T (total): entreprises ayant 1 véhicule moteur ; entreprises ayant de 2 à 5 véhicules moteurs ; entreprises ayant de 6 à 20 véhicules moteurs ; entreprises ayant de 21 à 50 véhicules moteurs ; entreprises ayant plus de 50 véhicules moteurs ; extrapolation des données à l ensemble du secteur sur base d une double clé de répartition : le nombre de véhicules moteurs et la charge utile. 3. Présentation des résultats Les résultats concernant l activité de transport, la situation du personnel, le prix de revient et le prix de vente sont présentés en terme de solde pondéré (S) des réponses des participants, c est-à-dire la différence pondérée entre le pourcentage moyen d entreprises signalant une augmentation (+) et le pourcentage moyen d entreprises signalant une diminution (-) par rapport au mois précédent. Afin d obtenir la reproduction la plus fidèle possible de l image du secteur dans son ensemble (extrapolation), on a attribué un coefficient de pondération aux résultats de chaque catégorie ; il se base sur le nombre de véhicules moteurs et sur la capacité de charge utile de chaque catégorie. Le degré de chargement des véhicules est exprimé par un coefficient moyen de distance correspondant au rapport entre le nombre de kilomètres parcourus en charge et le nombre total de kilomètres parcourus (en charge et à vide)

4 RESULTATS DU SECTEUR 4 trimestre 2013 Evolution par rapport au trimestre précédent (1) 4 trimestre 2012 TRANSPORT NATIONAL Evolution de l activité de transport S - 6 % - 11,1 % Sous-traitance S - 5,1 % - 9,5 % Evolution du prix de revient S + 1,2 % + 6,2 % Evolution du prix de vente S - 0,1 % + 0,1 % TRANSPORT INTERNATIONAL Evolution de l activité de transport S - 12,4 % - 17 % Sous-traitance S - 7,3 % - 15,1 % Evolution du prix de revient S + 1,6 % + 4,5 % Evolution du prix de vente S - 0,1 % - 0,8 % SITUATION DU PERSONNEL Chauffeurs S - 0,1 % - 1,1 % Autres ouvriers S 0 % - 0,2 % Employés S - 0,1 % - 0,3 % COEFFICIENT DE DISTANCE Coefficient moyen de distance % 72,2 % 71,8 % SITUATION FINANCIERE Difficultés de trésorerie % 22,2 % 21 % Délai de paiement accordé aux clients jours Délai de paiement appliqué par les clients jours Investissement réalisé % 23,4 % 20,1 % S : Solde des réponses : La différence pondérée entre le nombre d entreprises (en %) signalant une hausse et le nombre d entreprises (en %) signalant une baisse par rapport au trimestre précédent. (1) Evolution par rapport au trimestre précédent : Elle reflète l estimation de la situation par les participants à l enquête par rapport à celle du trimestre passé

5 SITUATION CONJONCTURELLE DU 4 IEME TRIMESTRE 2013 EN QUELQUES LIGNES Tant en zone euro que dans l UE des 28, l économie a progressé et ceci, sur base trimestrielle et annuelle. Des signaux positifs émanent également de la Belgique, avec une croissance du PIB de + 0,4 %, en comparaison avec le trimestre précédent et avec + 0,9 % sur base annuelle. Dans le secteur belge du transport professionnel routier de marchandises, les chiffres de la croissance se font jusqu à présent attendre pour la majorité des entreprises. L activité de transport s est de nouveau ralentie par rapport au trimestre précédent: les soldes pondérés des réponses sont de 6 % en transport national et de 12,4 % en transport international. Le secteur est encore caractérisé par la surcapacité et, à cause des coûts salariaux élevés en Belgique, certains transporteurs trouvent qu ils doivent mener la lutte contre la concurrence avec un handicap. Un certain nombre de sociétés font en outre appel à des contrôles européens plus stricts et plus efficaces en matière de cabotage. La sous-traitance de commandes a également reculé, en comparaison avec le trimestre précédent. Les soldes pondérés des réponses sont de 5,1 % dans le transport national et de 7,3 % dans le transport international. Pour une grande majorité des transporteurs, le prix de revient ainsi que le prix de vente sont restés inchangés, en comparaison avec le trimestre précédent. Les entreprises restantes indiquent pour la plupart une petite hausse du prix de revient et une légère baisse du prix de vente. Les causes des augmentations du prix de revient les plus citées sont l évolution du prix du carburant, les frais d entretien et les assurances. 22,2 % des sociétés déclarent faire face à des problèmes de liquidités. Cette proportion est nettement inférieure à celle du trimestre précédent (26,8 %), mais elle est légèrement supérieure à celle obtenue à la même période de l année dernière (21 %). Les effectifs en chauffeurs et en employés ont légèrement régressé, tandis que celui des ouvriers nonchauffeurs n a pas changé. Le nombre d emplois vacants dans le secteur reste faible. Pour les ouvriers non-chauffeurs et les employés, le nombre de postes vacants est presque inexistant (0,3 % et 1,2 %, respectivement), tandis que 12,8 % des sociétés signalent être à la recherche d un chauffeur. Le délai de paiement accordé par les entreprises à leurs clients s élève, en moyenne, à 46 jours alors qu en pratique, cela dure 7 jours de plus, en moyenne. 23,4 % des entreprises de transport signalent qu elles ont effectué un investissement au cours du trimestre. A titre de comparaison, la part s élevait à 22,5 % au trimestre précédent et à 20,1 % au dernier trimestre de Il s agit essentiellement d investissements de remplacement, surtout en véhicules moteurs

6 COMMENTAIRE SUR LA SITUATION CONJONCTURELLE DU 4 IEME TRIMESTRE PARAMETRES GENERAUX 1.1. Personnel Seule 1 entreprise de transport de la classe 1 sur 10, en moyenne, déclare que sa société dispose de personnel. Dans les autres classes, cette part est nettement plus élevée: 77,1 % en classe 2, 86,7 % en classe 3, tandis que les entreprises des classes 4 et 5 ont toutes du personnel en service. Si nous extrapolons les données à l ensemble du secteur, trois quarts (75,2 %) des sociétés, en moyenne, déclarent employer du personnel. Les effectifs en chauffeurs et en employés ont très légèrement reculé, tandis que celui des ouvriers non-chauffeurs est resté inchangé, en comparaison avec le trimestre précédent. 79,2 % des entreprises rapportent que l effectif en chauffeurs est resté le même par rapport au trimestre précédent. Parmi les entreprises restantes, le nombre d entre elles indiquant une baisse du nombre de chauffeurs occupés (10,1 %) est presque égal au nombre signalant une hausse (10,6 %). Le solde pondéré des réponses est de 0,1 %, en comparaison avec 1,1 %, que ce soit au trimestre précédent ou lors de la période correspondante un an plus tôt. Figure 1 : Situation du personnel chauffeur En ce qui concerne le nombre d ouvriers non-chauffeurs occupés, la majorité des transporteurs (91,5%) révèlent un statu quo, en comparaison avec le trimestre précédent. Parmi les sociétés restantes, le nombre d entre elles indiquant une hausse est presque égal au nombre signalant une baisse. Le solde pondéré des réponses est donc de 0 %, par rapport à + 0,1 % au trimestre précédent et à 0,2 % il y a un an. Pour 94,2 % des entreprises de transport, le nombre d employés est resté inchangé par rapport au trimestre précédent. Une petite majorité des sociétés restantes indique une diminution: 2 % signalent une hausse et 3,8 %, une baisse. Le solde pondéré des réponses est de 0,1 %, en comparaison avec un statu quo au trimestre précédent et avec 0,3 % au dernier trimestre de l année

7 La politique de recrutement de la plupart des entreprises de transport continuent à se situer à un bas niveau. Figure 2 : Postes vacants Près de 13 % des transporteurs déclarent que leur entreprise est à la recherche d un chauffeur. C est une légère progression par rapport au trimestre précédent (la part s élevait alors à près de 10 %), mais cela reste faible. Pour les employés et les ouvriers non-chauffeurs, la recherche de nouveaux travailleurs semble être complètement au point mort: à peine 0,3 % cherche un ouvrier non-chauffeur et 1,2 %, un employé. La plupart des entreprises de transport adoptent donc encore une attitude attentiste avant de se mettre à la recherche de nouveau personnel. Parmi les sociétés souhaitant quand même embaucher un chauffeur, beaucoup d entre elles expriment leur frustration quant à la difficulté de la recherche. Le fait que beaucoup de candidats-chauffeurs cherchent un emploi avec des horaires de bureau, alors que la profession exige généralement plus de flexibilité, c est ce que mentionnent certains transporteurs. Le coût salarial élevé en Belgique joue en outre de sérieux tours à bon nombre de sociétés de transport. 1.2 Coefficient de distance Coefficient moyen de distance = Nombre de kilomètres parcourus en charge Nombre de kilomètres totaux parcourus 72,2 %, en moyenne, de la distance totale est parcourue en charge; c est une légère hausse, en comparaison avec le trimestre précédent (le pourcentage s élevait alors à 70,2 %). Figure 3 : Coefficient moyen de distance - 7 -

8 1.3. Situation de trésorerie 22,2 % des entreprises de transport signalent faire face à des déficits de trésorerie. Par rapport au trimestre précédent, la part a donc diminué (elle s élevait alors à 26,8 %). Mais en comparaison avec celle obtenue un an plus tôt, une légère hausse (21 %) est perceptible. Figure 4 : Difficultés de trésorerie Figure 5 : Délai de paiement Le délai de paiement accordé aux clients s élève, en moyenne, à 46 jours alors que dans la pratique, cela dure une semaine de plus (53 jours), en moyenne. Comme d habitude, ce sont les retards de paiement des clients qui forment la principale pierre d achoppement. Un certain nombre de sociétés observent en outre que les banques considèrent le secteur du transport comme étant particulièrement risqué, ce qui rend souvent particulièrement difficile l obtention d un plan de financement abordable

9 1.4. Investissements Figure 6 : Investissements réalisés Figure 7 : Investissements réalisés, par classe. Le niveau d investissements est resté au même niveau, en comparaison avec le trimestre précédent. Bien que 23 % des sociétés, en moyenne, signalent avoir effectué un investissement, cette part est légèrement supérieure à celle obtenue à la même période de l année dernière (20,1 %). Il s agit, pour la plupart, d investissements de remplacement (54,8 %), surtout en véhicules moteurs. Figure 8 : Investissements de remplacement ou d extension Figure 9 : Investissements de remplacement 10,1 % des entreprises déclarent avoir supprimé du matériel roulant sans le remplacer, en comparaison avec 11,4 % au trimestre précédent et avec également 10,1 % un an plus tôt

10 2. TRANSPORT NATIONAL 2.1. Activité de transport D après l estimation de la Banque Nationale de Belgique, l activité économique s est accrue de 0,4 % par rapport au trimestre précédent. En comparaison avec le dernier trimestre de l année dernière, le Produit Intérieur Brut (PIB) a augmenté de 0,9 %. De nombreux transporteurs belges rapportent que cet optimisme économique naissant ne se reflète pas dans le secteur, bien au contraire. Même si 58,1 % des transporteurs signalent un statu quo par rapport au trimestre précédent, une nette majorité parmi les sociétés restantes indiquent que leur activité de transport a ralenti, en comparaison avec le trimestre précédent (28,1 % signalent une baisse et 13,7 %, une hausse). Le solde pondéré des réponses est de 6 %, en comparaison avec 5,6 % au trimestre précédent et avec 11,1 % un an plus tôt. Certaines entreprises expliquent qu il régnait toujours une surcapacité dans le secteur, où la lutte pour l obtention de commandes de transport est menée sur le fil du rasoir et qu un grand nombre de sociétés se sentent obligées d aller dans le rouge afin de pouvoir quand même rafler des commandes. S il est vrai que la législation a été renforcée en 2013 en vue de limiter l utilisation abusive des tracteurs agricoles dans le transport de marchandises pour compte de tiers, certains transporteurs remarquent toutefois que celle-ci n a pas apporté de sérieux changements dans la pratique. Figure 10 : Evolution de l activité de transport national Pour 72,3 % des entreprises de transport, la sous-traitance de commandes est restée au même niveau que lors du trimestre précédent. Les sociétés restantes signalent pour la plupart une régression (4,7 % indiquent une hausse et 23 %, une baisse). Le solde pondéré des réponses est de 5,1 %, en comparaison avec 6,9 % au trimestre précédent et avec 9,5 % lors de la période correspondante il y a un an

11 2.2. Prix de revient 78,3 % des entrepreneurs rapportent que leur prix de revient n a pas été modifié par rapport au trimestre précédent. Les sociétés restantes signalent pour la plupart une progression: 13,7 % indiquent une hausse et pour 8 %, c est une baisse. Le solde pondéré des réponses s élève à + 1,2 %, en comparaison avec + 6,2 % au trimestre précédent. Les causes des augmentations du prix de revient les plus souvent énumérées sont, à l exception de l évolution du prix du diesel, principalement les assurances et les frais d entretien. Figure 11 : Evolution du prix de revient en transport national Figure 12 : écarts de hausse du prix de revient Figure 13 : Diesel, bas soufre, EUR/L (10 ppm, TVA incl.) : Evolution des prix maxima (Source : Fédération Pétrolière Belge) 33 % des transporteurs dont le prix de revient a augmenté, déclarent qu il s agit d une hausse se situant entre 1 % et 2 % maximum

12 2.3. Prix de vente Près de 90 % des transporteurs signalent que leur prix de vente est resté inchangé, en comparaison avec le trimestre précédent. Parmi les sociétés restantes, le nombre d entre elles indiquant une baisse est à peine majoritaire. Le solde pondéré des réponses est de 0,1 %, par rapport à 1,1 % au trimestre précédent et à + 0,1 % lors de la période correspondante de l année dernière. Figure 14 : Evolution du prix de vente en transport national 62 % des sociétés dont le prix de vente a été adapté à la baisse, déclarent qu il s agit d une diminution se situant entre 1 % et 2 % maximum. Selon un certain nombre de transporteurs, le climat économique et la surcapacité dominant le secteur ne laissent pas beaucoup de place pour des hausses du prix de vente. Les négociations avec les clients au sujet d une adaptation à la hausse du prix de vente se déroulent donc en général difficilement et sont même dans certains cas à sens unique. Figure 15 : écarts de baisse du prix de vente

13 3. TRANSPORT INTERNATIONAL 3.1. Activité de transport L économie européenne a également progressé. Le PIB s est accru de + 0,3 % dans la zone euro et de + 0,4 % dans l UE des 28, en comparaison avec le trimestre précédent. Sur base annuelle, la croissance est encore un peu plus forte: le PIB a augmenté de + 0,5 % en zone euro et de + 1 % dans l UE des 28. Plus encore qu au niveau national, de nombreux transporteurs ont des difficultés à se maintenir au niveau international. Un peu plus de la moitié (52,2 %) signalent un statu quo par rapport au trimestre précédent. Mais une nette majorité des entreprises restantes indiquent une régression (36,9 % signalent une baisse et pour 10,9 %, c est une hausse). Le solde pondéré des réponses est de 12,4 %, par rapport à 14,9 % au trimestre précédent et à 17 % lors de la période correspondante de l année dernière. Figure 16 : Evolution de l activité en transport international Beaucoup d entreprises de transport ont mis le doigt sur le problème en se référant explicitement aux coûts salariaux élevés en Belgique, qui permettent difficilement de rivaliser avec des entreprises qui travaillent avec des chauffeurs étrangers. Ce qui est inquiétant, c est ce qui ressort aussi du fait que le coût salarial mord sérieusement dans le prix de revient d une entreprise de transport ayant du personnel en service 1. En outre, un certain nombre de transporteurs demandent un contrôle plus strict et plus efficace du cabotage en Europe. Bien que près de 60 % des transporteurs déclarent que la sous-traitance de commandes est restée au même niveau par rapport au trimestre précédent, les transporteurs restants signalent en majeure partie un recul: 11 % indiquent une hausse et 29 %, une baisse. Le solde pondéré des réponses est de 7,3 %, par rapport à 5,4 % au trimestre précédent et à 15,1 % lors de la période correspondante de l année dernière. 1 Source : - Selon les indices du prix de revient de l ITLB, la part relative de la rubrique du prix de revient personnel roulant s élève à 30,7 % en transport international général et à 40 % en transport national

14 3.2. Prix de revient 78,3 % des entreprises enregistrent un statu quo du prix de revient, en comparaison avec le trimestre précédent. Les transporteurs restants signalent pour la plupart une augmentation: 14,5 % indiquent une hausse et 7,3 %, une baisse. Le solde pondéré des réponses s élève à + 1,6 %, par rapport à + 3,8 % au trimestre précédent et à + 4,5 % il y a un an. Figure 17 : Evolution du prix de revient en transport international 36 % des transporteurs dont le prix de revient a augmenté, indiquent qu il s agit d une hausse se situant entre 1 % et 2 % maximum. Figure 18 : écarts de hausse du prix de revient

15 3.3. Prix de vente 87 % des entreprises de transport rapportent que leur prix de vente n a pas été adapté, en comparaison avec le trimestre précédent. Parmi les sociétés restantes, le nombre d entre elles indiquant un recul est très légèrement majoritaire: 6,1 % signalent une hausse et 6,9 %, une baisse. Le solde pondéré des réponses est de 0,1 %, en comparaison avec 0,5 % au trimestre précédent et avec 0,8 % lors de la période correspondante de l année dernière. Figure 19 : Evolution du prix de vente en transport international 69 % des entreprises dont le prix de vente a été adapté à la baisse, rapportent qu il s agit d une diminution se situant entre 1 % et 2 % maximum. Figure 20 : écarts de baisse du prix de vente

16 CONCLUSIONS Tant en Belgique qu en zone euro et que dans l UE des 28, l économie s est renforcée et ceci, aussi bien sur base trimestrielle qu annuelle. Cet optimisme naissant ne trouve toutefois pas encore écho dans le secteur belge du transport professionnel routier de marchandises. Que ce soit dans le transport national ou international, l activité s est de nouveau contractée, en comparaison avec le trimestre précédent. En réponse à la question relative à leurs principaux problèmes, ce sont les coûts salariaux belges élevés qui sont cités en premier lieu. De nombreux transporteurs comprennent qu à cause de ceux-ci, ils doivent engager la lutte pour l obtention de commandes de transport à armes inégales et ceci, non seulement à travers l Europe mais aussi en Belgique même. Certaines entreprises de transport demandent en outre un contrôle plus strict et plus efficace de la législation européenne en matière de cabotage. La majorité des entreprises déclarent que tant le prix de revient que le prix de vente sont restés les mêmes par rapport au trimestre précédent. Même si les transporteurs enregistrant bien une modification signalent pour la plupart une hausse du prix de revient et une baisse du prix de vente, il s agit dans les deux cas d une majorité plutôt petite. Un certain nombre de transporteurs indiquent qu ils projettent des négociations au sujet du prix de vente au début de l année 2014, mais que de nombreux clients font déjà savoir qu il ne peut être question d une adaptation à la hausse

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