MÉMOIRE RECONNAISSANCE DE LA MÉDECINE INTERNE GÉNÉRALE. de l Association des spécialistes en médecine interne du Québec.

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1 MÉMOIRE Juillet 2014 de l Association des spécialistes en médecine interne du Québec RECONNAISSANCE DE LA MÉDECINE INTERNE GÉNÉRALE

2 La reconnaissance par le Collège Royal de la médecine interne générale en tant que nouvelle surspécialité est l aboutissement d un travail acharné de différents acteurs du réseau médical et de l enseignement médical, dont l ASMIQ. Cette reconnaissance identifie un spécialiste polyvalent, capable de prendre en charge une clientèle variée, multisystémique ou avec atteinte de maladies touchant différents systèmes. Ces spécialistes peuvent être la base de la médecine spécialisée dans plusieurs milieux régionaux ou partager leur expertise particulière avec différents sous-spécialistes. Depuis longtemps au Québec, les universités ont développé des programmes spécifiques visant à former de tels spécialistes, même avant la venue du programme de cinq ans. À l opposé, la définition actuelle d un interniste (non pas celle d un spécialiste en médecine interne générale en tant que spécialité à part entière) est plutôt réductrice. En effet, elle inclut tous les candidats ayant fait un programme de quatre ans dont la dernière année peut être concentrée dans un seul secteur. Ceci inclut donc tous les spécialistes médicaux qui, ayant complété par la suite une sous-spécialité, peuvent s appeler, par exemple, interniste et cardiologue, ou interniste et rhumatologue. Aucun de ceux-ci ne pourra prendre en charge un patient à la fois diabétique, coronarien, bronchitique et goutteux. C est ce qu on appelle la double certification. L interniste «pur», pour sa part, s intéresse tout au long de sa pratique à l ensemble des pathologies courantes des différents systèmes et leur l interaction au sein d un même patient. L aboutissement du programme de cinq ans avait en grande partie réglé le problème, ne permettant plus la double certification. Ainsi, on savait ce qu était un interniste, les cardiologues étant par exemple des cardiologues et non des internistes et cardiologues. Malheureusement, la confusion autour de la médecine interne est revenue en 2010 avec l Accord de commerce intérieur et le nivellement vers le bas de la formation obligatoire. Association des spécialistes en médecine interne du Québec Page 1

3 Le Collège Royal propose donc une nouvelle sous-spécialité et la nomme médecine interne générale. On peut argumenter sur la justesse du nom et sur les nuances de signification dans les deux langues. Retenons que le général sous-entend un spécialiste intéressé par différents systèmes et leur interaction. Il s agit d un général plus spécialisé, à l opposé de la médecine générale qui en fait s appelle la médecine familiale. Nous ne voulons pas ici nous étendre davantage sur la sémantique et le choix du nom, mais plutôt souligner la pertinence de cette spécialité. L expérience d une formation de cinq ans depuis maintenant dix ans est un succès et aucune université québécoise ne veut revenir à un programme de quatre ans. Les équipes de médecine interne évoluant au Québec actuellement sont déjà, même avant l avènement de cette nouvelle spécialité, des groupes de médecine interne générale. Dans plusieurs milieux, elles sont la base de la médecine spécialisée, et excellent en deuxième ligne en support à la médecine familiale. Lorsque nécessaire, elles savent comment et surtout qui référer vers des sous-spécialités pertinentes localement ou vers des centres tertiaires. Elles sont aussi habilitées à reprendre le suivi de ces patients par la suite. Ce suivi sera plus près du milieu de vie du patient. Ailleurs, ces équipes s intègrent dans des hôpitaux spécialisés, s intéressent à l enseignement médical et aux patients multisystémiques. Parfois même dans des villes universitaires, elles peuvent être la base de référence en deuxième ligne dans des hôpitaux généraux. De par cette proximité, elles permettent des soins pertinents et de qualité à une grande variété de patients. Elles contribuent à l efficience du système de santé par leur capacité à répondre, lors d une même consultation, à différents problèmes. En plus de parfaire leur compétence en évaluation pré-opératoire et en médecine obstétricale, (compétences traditionnellement attribuées à la médecine interne) les spécialistes en médecine interne générale peuvent, au sein de cette cinquième année, acquérir des compétences en endoscopie, fonction pulmonaire, investigation cardiaque et vasculaire (compétences traditionnellement réservées aux sousspécialités). Il devient alors évident que les internistes nécessitent un accès aux plateaux techniques afin que les patients puissent bénéficier de leur expertise dans leur milieu. Un groupe d internistes établis en région éloignée pourra offrir une gamme d investigation spécialisée. De par leur polyvalence, il y aura toujours, à Association des spécialistes en médecine interne du Québec Page 2

4 l année, un de leur membre de garde pour urgences et le support aux équipes de première ligne, ce qui serait difficile à demander à un groupe composé d un cardiologue, un pneumologue, un gastroentérologue et un rhumatologue. Dans ces régions, la population ne justifie pas un nombre suffisant de sous-spécialistes qui permettrait une couverture complète. Dès lors qu ils s intéressent à des pathologies variées telles que décrites ci-haut, les internistes pratiquant au Québec actuellement, qu ils aient suivi un programme de quatre ans ou cinq ans, sont selon nous, des spécialistes en médecine interne générale. Par contre, plusieurs médecins classés en médecine interne par défaut n ont pas une pratique variée mais plutôt une pratique limitée à un seul système. Ceux-ci ne sont pas considérés comme des spécialistes en médecine interne générale. Vous comprendrez donc que nous considérons la médecine interne générale comme une reconnaissance de notre spécificité de pratique. Éventuellement, tous les internistes au Québec, auront une formation de cinq ans de médecine interne générale et nous en aurons fini avec cette autre spécialité qui n en est pas une. En attendant, il nous apparaît important d accorder la reconnaissance de médecine interne générale aux internistes qui ont été formés au Québec dans un programme de cinq ans. Après tout, le Québec a été un précurseur dans ce domaine. Nous irons même plus loin, soulignant l importance et la pertinence de reconnaître une spécialité de médecine interne générale aux internistes formés au Québec dans un programme de quatre ans mais spécifique à la médecine interne. Cette formation était disponible dans les quatre universités québécoises avant l avenue d un programme de cinq ans, et elle a formé la majorité des internistes qui pratiquent au Québec actuellement. Pour obtenir cette reconnaissance, le candidat devrait pouvoir démontrer qu il a une pratique telle que décrite ci-haut et qui pourrait être reconnue par le Collège Royal par le processus de la «route de la pratique». Il ne nous apparaît pas pertinent d exiger l écriture de l examen pour ces médecins dotés d une grande expérience clinique. Association des spécialistes en médecine interne du Québec Page 3

5 La reconnaissance de cette nouvelle spécialité ne devrait pas changer l organisation des soins au Québec. Les PREMs actuels peuvent continuer d évoluer sans modification en raison de la certification de médecine interne générale puisque cette dernière reflète déjà le profil des spécialistes en médecine interne œuvrant au Québec. Cette certification canadienne, vient conforter d une part la formation universitaire québécoise et d autre part l organisation québécoise des soins tel que préconisé par l Association des spécialistes en médecine interne du Québec. En effet, nous croyons qu il est important de consolider la hiérarchisation des soins avec une base de médecine de première ligne formée par les médecins de famille et d une deuxième ligne de médecine spécialisée qui peut être assurée par des groupes de spécialistes en médecine interne générale. Ainsi, les médecins en sous-spécialités pourront se regrouper en nombre suffisant aux endroits où la population le justifie pour offrir une garde constante et prodiguer les soins pour lesquels ils auront eu une formation spécifique. Le système de santé sera ainsi plus performant en ces temps de restrictions budgétaires. Association des spécialistes en médecine interne du Québec Page 4

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