Savez-vous faire entendre votre douleur? v.01 03/2015

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1 Savez-vous faire entendre votre douleur? v.01 03/2015 Les souffrances morales liées à certaines maladies. Les maladies ont comme particularité d avoir un effet négatif sur la qualité de vie de ceux qui en sont atteints. Cependant certaines sont plus dévastatrices que d autres : le caractère insidieux des souffrances morales qu elles infligent leur confère des particularités exclusives. C est le cas de la douleur chronique. L isolement moral dans lequel elle plonge les gens qui en sont affectés ajoute à leur douleur physique des bouleversements d ordre émotionnel et social particuliers et aggravants. En effet, la maladie chronique, par son aspect intangible pour les autres, soumet continuellement les malades à une suspicion quant au bien-fondé de leur mal-être.

2 Une des particularités de la douleur chronique est qu elle n a pas d indice biologique qui légitime sa présence ; on ne peut déterminer avec exactitude les raisons objectives de son existence et de sa persistance. Sauf par celui ou celle qui y est confronté, son intensité réelle ne peut être quantifiée ; son évaluation est subjective ; aux yeux des observateurs, elle passe souvent pour une construction imaginaire. Or nous avons tous besoin d être reconnu dans l intégralité de notre être ; le déni social de cette douleur ajoute donc une souffrance morale à la souffrance physique. La douleur chronique, comme vous pouvez le constater, ne bénéficie pas d une perception sociale positive. Celui qui en souffre est très souvent tenu pour faible ou plaintif. Son origine n étant pas concrète, elle demeure inexplicable pour les amis, la famille ou l employeur et sa reconnaissance se teinte de connotations péjoratives. requis pour augmenter votre vitalité. Il mettra à votre disposition un motivateur pour anticiper les difficultés qui pourraient faire obstacle à votre projet. Il vous fournira des solutions concrètes pour vaincre vos habitudes et maintenir votre mental à un niveau qui vous évitera de retomber dans le cycle de l échec. Qu est-ce qu une douleur chronique? Une douleur est définie comme chronique lorsque sa durée dépasse six mois. Certaines douleurs chroniques résultent d une lésion tissulaire et acquièrent un caractère durable après la période de guérison normale. D autres formes de douleur s installent de façon insidieuse : certaines peuvent être la conséquence d une longue exposition à une situation de stress, ou le signe d une maladie qui s installe. Le corps médical, habitué à se fier à des mesures fiables pour confirmer la présence d un mal-être physique, se montre sceptique quand les analyses ne parviennent pas à expliquer les causes d une pathologie. Les découvertes scientifiques commencent à peine à fournir des explications logiques et rationnelles à la présence d une douleur persistante. Centre Ginkgo Article Savez-vous faire entendre...? v.01 03/2015 Page 2 de 5

3 Mais les mentalités sont aussi persévérantes que la chronicité des douleurs qu elles s acharnent à nier quand manquent les preuves rationnelles. Les conventionnels préfèrent associer ces découvertes sur les causes probables de douleurs chroniques inexpliquées à des sciences marginales plutôt que de bousculer les protocoles médicaux établis. Ils rechignent à faire une place à de nouvelles façons de voir. Seuls certains hôpitaux ont accepté d innover pour contrer les effets dévastateurs de cette pathologie. Ceux qui en souffrent ont tout intérêt à habiter à proximité de ces cliniques spécialisées pour bénéficier des soins qu elles prodiguent. Les conséquences sociales de la douleur chronique. Celui qui est confronté aux souffrances de la douleur chronique vit dans le sentiment d être incompris, de ne pas être écouté. Puisqu il est difficile de faire entendre sa douleur à son médecin, à sa famille, à ses amis, l exclusion sociale apparait comme une issue. On se soustrait petit à petit aux activités sociales avec le sentiment grandissant de devenir un poids pour les autres. Dans une société industrialisée, la valeur réelle d un être humain est basée sur sa capacité de production ou sur son apport au rendement collectif. La douleur chronique limite les capacités d action ; elle restreint les activités sociales ; elle peut contraindre à un arrêt de travail et entraîner des pertes financières. Dans ce cas, elle conduit à un renoncement à son identité et à l espoir en l avenir. Bien sûr, des progrès ont été réalisés dans la prise en charge médicale et psychologique des personnes souffrant de douleur chronique. Néanmoins, le traitement ne devrait pas se limiter strictement aux signes médicaux et psychologiques qu on accepte de reconnaître aux malades. Quand la douleur chronique est suffisamment invalidante pour causer l exclusion sociale, son traitement réel doit être global. Il devrait se dérouler dans la perspective d une santé intégrative. Il serait souhaitable que les loisirs ainsi que des activités socioprofessionnelles adaptées puissent avoir leur place dans le

4 maintien d une qualité de vie. Le désir de rester en action, d entretenir la joie de vivre, de développer un projet de vie, de rester en contact avec un réseau social devraient faire partie intégrante du processus de guérison. Malheureusement la conception de la prise en charge qu entretiennent nos sociétés modernes privilégie la dépendance. La participation du concerné à la recherche de solutions est généralement évacuée. En agissant de la sorte, on étouffe la volonté du patient de maintenir la vitalité de ses capacités physiques résiduelles. La prise de médicaments, avec leurs effets secondaires, comme seul moyen d atténuer la douleur, contribue peu à peu à l abandon d une décision de participation. Dans la perspective d un retour à la vie active, le malade devrait, dans la mesure de ses capacités, participer à des activités qui complètent les solutions médicales. Il faudrait créer un espace de débats qui convie les malades, les professionnels de la santé, les amis, la famille, les employeurs à se rencontrer pour trouver ensemble des solutions. Tout comme il serait important de graduer les défis dans le cadre d activités adaptées qui tracent la voie à un retour à la vie active. Les buts de ces activités variées et diverses seraient d informer, de former, de sensibiliser, de promouvoir les solutions alternatives pouvant contribuer à l amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes. En planifiant des ateliers d exercices d assouplissement des articulations et des muscles, de gym douce, de massages énergisants, de détente et respiration, des séances d autohypnose, des programmes nutritionnels adaptés à leur état, on construirait un contexte de soins collectifs en dehors des cadres traditionnels. Rédacteur : émile Noël

5 Centre Ginkgo, école de la santé. Route de La Marache, Lasne +32[0]

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