Cours 2. DÉFINITIONS ET ÉVOLUTIONS DE LA PAUVRETÉ EN FRANCE
|
|
- Benoît Marin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La pauvreté SMS Cours 2. DÉFINITIONS ET ÉVOLUTIONS DE LA PAUVRETÉ EN FRANCE Julien Damon
2 UN SUJET DEVENU MAJEUR 1. Quelles définitions? 2. Quelle méthode? 3. Tout tient-il du niveau de vie? Pauvreté des liens vs Richesse des liens 4. Quels seuils? 5. Tableau de bord, indicateur unique ou indice agrégé? 6. La pauvreté a-t-elle (tant) augmenté? 7. Importance du temps : depuis quand mesure-t-on? Moyen-Âge, 1988? 8. Que penser de la pauvreté ancrée dans le temps? 9. Qui sont les pauvres? 10. Et les étudiants? II. I. Quelques mots d opinion La pauvreté et sa mesure monétaire III. Les évolutions/mutations IV. Les débats techniques UNE THÈSE : PAS D AUGMENTATION MAIS DES TRANSFORMATIONS
3 LES DEUX «LUMIÈRES» SUR LA PAUVRETÉ OCCURRENCES DE «POVERTY» ET «INEQUALITY» DANS GOOGLE BOOKS ! Source : Martin Ravalion
4 LES DEUX «LUMIÈRES» SUR LA PAUVRETÉ OCCURRENCES DE «PAUVRETÉ» ET «INÉGALITÉ» DANS GOOGLE BOOKS ! Source : Martin Ravalion
5 PESSIMISME AUTOUR DE LA PAUVRETÉ! La perception de l évolution de la pauvreté et de l exclusion depuis 5 ans et dans l avenir Source : BVA/DREES
6 Accord à l égard de l aide aux pauvres! Faire prendre en charge par la collectivité les familles aux ressources insuffisantes Crise de 1993 Crise plus contemporaine Source : CREDOC
7 ET TOUJOURS COMPRÉHENSION! Si certaines personnes vivent dans la pauvreté Source : CREDOC C est plutôt parce qu elles n ont pas eu de chance C est plutôt parce qu elles n ont pas fait d efforts
8 SEUIL DE PAUVRETÉ AUX YEUX DES FRANÇAIS Pas si loin du seuil, encore plus près du SMIC! «Pour vous, en-dessous de quel revenu net par mois une personne seule peut être considérée comme pauvre dans un pays comme la France? (moyenne en )» Source : Baromètre Secours Populaire / Ipsos
9 UN AUTRE SEUIL DE PAUVRETÉ «SUBJECTIF» Budget : il faut ainsi entre euros et 3515 euros selon la composition du ménage et son type de logement (social ou privé) Source : ONPES, 2015
10 AU CŒUR DE L APPROCHE MONÉAIRE Le niveau de vie et le revenu disponible UN OUTIL : ÉCHELLES D ÉQUIVALENCE ET RUC Niveau de vie = revenu disponible / nombre d UC
11 LE SEUIL (COMMUN) DE PAUVRETÉ en 2013 (en 2013) 996 en en Source : INSEE, Observatoire des inégalités Seuils'de'pauvreté'mensuels'2011' Unité':'euros' '' Seuil'à'60'%'' Seuil'à'50'%'' Personnes'seules' 977' 814' Familles'monop.' avec'un'enfant' 1'270' 1'058' de'd'de'14'ans' Familles'monop' un'enfant'de'14' 1'466' 1'221' ans'ou'+' Couples'sans' enfant' 1'466' 1'221' Couples'avec'un' enfant'de'd'de'14' 1'759' 1'465' ans' Couples'avec'un' enfant'de'14'ans' 1'954' 1'628' ou'+' Couples'avec' deux'enfants'de' 2'052' 1'709' D'de'14'ans' Couples'avec' deux'enfants'de' +'de'14'ans' 2'443' 2'035'
12 UNE PAUVRETÉ EN HAUSSE? Evolutions du taux de pauvreté (en %) Seuil de pauvreté : 60 % du niveau de vie médian" Source : INSEE
13 UNE PAUVRETÉ EN BAISSE? Evolutions du nombre de pauvres (en milliers)" Source : INSEE
14 LA SENSIBILITÉ AU SEUIL 13 millions, 9 millions ou 2 millions de pauvres? LES ENFANTS PAUVRES
15 UNE GÉOGRAPHIE. INDICATEUR LOCAL? Seine-Saint-Denis Haute-Corse Aude Pyrénées-Orientales Pas-de-Calais Gard Vaucluse Creuse Ardennes Hérault Nord Aisne Bouches-du-Rhône Paris Val-de-Marne Hautes-Pyrénées Oise Haut-Rhin Hauts-de-Seine Pyrénées-Atlantiques Landes Seine-et-Marne Vendée Loire-Atlantique Haute-Savoie Yvelines Source : INSEE Taux de pauvreté départemental
16 LA PAUVRETÉ EN CONDITIONS DE VIE ,6 11,9 INSEE 8 difficultés sur , Taux de privation matérielle sévère (Eurostat) Taux de pauvreté en conditions de vie (INSEE) 5 EUROSTAT «Privation matérielle» 3 ou 4 critères sur 9 Source : INSEE, EUROSTAT
17 PREMIÈRE GRANDE TRANSFORMATION : LE RAJEUNISSEMENT (1)
18 LE RAJEUNISSEMENT (2) TAUX DE PAUVRETÉ 25,0 20,0 15,0 10,0 5,0 0,0 Source : INSEE Moins de 18 ans 60 ans ou plus
19 20 18 URBANISATION DE LA PAUVRETÉ 17, ,8 14,3 12,4 15,0 13,1 15,8 13, , , Commune rurale Unité urbaine < habitants Unité urbaine de 20 à habitants Unité urbaine > habitants (sauf agglo.paris) Agglomération parisienne Source : INSEE
20 Aires urbaines Population des Taux de pauvreté ménages fiscaux en % Ville-Centre ,1 Paris Banlieue ,8 Couronne ,2 Ville-Centre ,0 Lyon Banlieue ,5 Couronne ,0 Ville-Centre ,1 Marseille - Aixen-Provence Banlieue ,4 Couronne ,4 Ville-Centre ,0 Toulouse Banlieue ,3 Couronne ,2 Ville-Centre ,2 Lille Banlieue ,5 Couronne ,6 Ville-Centre ,1 Bordeaux Banlieue ,1 Couronne ,0 Ville-Centre ,6 Nice Banlieue ,0 Couronne ,4 Ville-Centre ,0 Nantes Banlieue ,2 Couronne ,0 France métropole ,3
21 CONCENTRATION URBAINE DE LA PAUVRETÉ JUVÉNILE (2012) Source : INSEE
22 «MONOPARENTALISATION» DE LA PAUVRETÉ (1) LE TAUX DE PAUVRETÉ$ 40,0 35,0 30,0 25,0 20,0 15,0 10,0 5,0 0,0 Source : INSEE Familles monoparentales Couples avec trois enfants ou plus
23 «MONOPARENTALISATION» DE LA PAUVRETÉ (2) PAUVRES (EN MILLIERS) VIVANT DANS $ Source : INSEE Familles monoparentales Couples avec trois enfants ou plus
24 35 PART DES DÉPENSES CONTRAINTES DANS LE BUDGET DES MÉNAGES (EN %)$ Source : INSEE Part des dépenses pré-engagées dans la consommation des ménages Part des dépenses de logement dans la consommation des ménages Part de la télévision et des télécommunications dans la consommation des ménages
25 CE N EST PAS ÉTERNEL (AU MOINS POUR LA PLUS GRANDE PARTIE DES PAUVRES) Nombre d années de pauvreté monétaire de 2003 à 2006 (INSEE) Nombre d années dans la pauvreté Personnes concernées (en %) 0 (non pauvre sur toute la période) 77,6 1 11,7 2 4,4 3 3,5 4 (pauvre sur toute la période) 2,8
26 SI CE N EST PAS ÉTERNEL, EN FLUX C EST TRÈS CONSÉQUENT. Pauvretés monétaire et en termes de conditions de vie : sur cinq années, un tiers de la populatio na éte confrontée à la pauvrete (en %, INSEE) Types de pauvreté connus selon la durée passée en pauvrete Monétaire En termes de conditions de vie Monétaires ET en termes de conditions de vie ENSEMBLE Au moins un an 12,8 11,4 12,0 36,2 4 ou 5 ans 3,7 4,2 1,8 9,7 Champ : France métropolitaine, personnes de 16 ans ou plus en 2004, présentes dans le panel tous les ans de 2004 à Lecture : 36,2 % des personnes de 16 ans ou plus en 2004, présentes de 2004 à 2009, ont connu soit la pauvreté monétaire, soit la pauvreté en termes de conditions de vie, soit les deux pendant au moins un an (pas forcément la même année). Source : Insee, Panel SRCV-SILC (années de revenus, dans les enquêtes de 2004 à 2009).
27 INDICATEUR UNIQUE OU TABLEAU DE BORD?
28 INDICATEUR UNIQUE OU TABLEAU DE BORD?
29 LA PAUVRETÉ ANCRÉE DANS LE TEMPS LES MICMAC DE LA MESURE. Un «indicateur central» établi en 2007 On «ancre» le seuil une année, et on ne le fait progresser que de l inflation
30 ET VOUS LE CAS DES ÉTUDIANTS «Dans une "société d'abondance", le statut actuel de l'étudiant est l'extrême pauvreté». «De par sa situation économique d'extrême pauvreté, l'étudiant est condamné à un certain mode de survie très peu enviable. Mais toujours content de son être, il érige sa triviale misère en "style de vie" original: le misérabilisme et la bohème.»
31 ET VOUS LE CAS DES ÉTUDIANTS - Le rattachement au foyer fiscal des parents - Étudiants généralement aidés par leurs parents - Les études et la jeunesse comme investissement - Autonomie plus précoce / Indépendance plus tardive - Étudiants relativement mieux lotis que jeunes NEET en 2012, 1 million en Un taux 2012 de 20 %, 24 % en 1996 Pour détail : données détaillées de l'enquête Conditions de vie des étudiants
32 RICHESSE ET PAUVRETÉ ÉTUDIANTES (en un tableau) Approche «absolue» Fraction Approches «relatives» Seuils monétaires Conditions de vie Approche «administrative» Approches «ressenties» Pauvres Ne pas pouvoir étudier, se nourrir convenablement, se loger Les x % les plus pauvres De quel foyer? Privations de certains biens et services Boursiers. Bénéficiaires d aides sociales Part de la population s estimant pauvre, en difficulté Riches Fils à papa (mais comment mesurer?) Les x % les plus riches Abondance de tous ces mêmes biens et services? Dans des foyers ISF etc. Part de la population s estimant riche
33 À RETENIR - OBLIGATOIREMENT 1. Inscription à l agenda politique 2. Rajeunissement de la pauvreté 3. Urbanisation de la pauvreté 4. «Monoparentalisation» de la pauvreté 5. Féminisation 6. Budgets davantage contraints 7. Davantage de travailleurs pauvres 8. Dépendance accrue aux prestations 9. Question migratoire 10. Priorité de politique publique
34
SOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur "Logement" métropole... 4
SOMMAIRE I - Synthèse de l'activité 2014... 2 II - Secteur "Logement" métropole... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS + EXISTANTS... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS... 9 ACTIVITE LOGEMENTS EXISTANTS... 13 ACTIVITE
Plus en détailQuelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation
1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus
Plus en détailL état de la pauvreté en France
Notes de l Observatoire N 1, octobre 2013 L état de la pauvreté en France Combien compte-t-on de pauvres en France? Comment évolue leur nombre? Qui est le plus concerné par la crise? A l heure où une partie
Plus en détailLe baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale
Le baromètre Dauphine-Crédit Foncier de l immobilier résidentiel Tendance globale N. 3 Juin 2011 Kevin Beaubrun-Diant, co-responsable de la chaire «Ville et Immobilier», Université Paris-Dauphine. Cette
Plus en détailCompas études. compas. Les enjeux du vieillissement. n 7 - juin 2013
n 7 - juin 2013 Compas études compas Au service du sens Les enjeux du vieillissement La population française vieillit. Ce phénomène n est pas nouveau mais le processus va s accélérer dans les années à
Plus en détailMarché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015
Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Logements neufs / logements d occasion 7 700 logements d occasion vendus en 2013 dans l aire urbaine
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détail5 Avril 2013. Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône Avignon Vaucluse AURAV LES PUBLICATIONS DE L AGENCE
LES PUBLICATIONS DE L AGENCE Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône-Avignon-Vaucluse La n de l «âge d or» de la maison individuelle? aurav agence d'urbanisme Rhône Avignon Vaucluse 5 Avril
Plus en détailListe des laboratoires agréés pour la réalisation des analyses officielles dans le domaine de la microbiologie alimentaire
A - Dénombrement des micro-organismes aérobies à 30 C (= colonies aérobies = flore aérobie mésophile), Il regroupe les essais - Dénombrement des entérobactéries, suivants: - Dénombrement des Escherichia
Plus en détailIntroduction de la couverture maladie universelle (CMU) en France
Conférence internationale de recherche en sécurité sociale an 2000 Helsinki, 25-27 septembre 2000 La sécurité sociale dans le village global Introduction de la couverture maladie universelle (CMU) en France
Plus en détailL Agence MD vous présente
L Agence MD vous présente 4 Millions d emails BtoB disponibles Focus sur les professions libérales Mise à jour de septembre 2014 1 La Meg@baseB2B 4 Millions d emails de décideurs disponibles L Agence MD
Plus en détailPrêts bonifiés à l agriculture
MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ALIMENTATION, DE LA PECHE ET DES AFFAIRES RURALES Direction des affaires financières Sous-direction du financement de l agriculture Bureau du crédit Adresse : 78 bis, rue
Plus en détailLes parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005
Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme
Plus en détailAssurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014
Assurances de biens et de responsabilité Etude Mars 2014 Tempêtes, grêle et neige : Résultats de l année 2012 Ce document est la propriété exclusive de la FFSA et du GEMA et est protégé par le droit d'auteur.
Plus en détailDroits d enregistrement et taxe de publicité foncière sur les mutations à titre onéreux d immeubles et de droits immobiliers.
DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES Droits d enregistrement et taxe de publicité foncière sur les mutations à titre onéreux d immeubles et de droits immobiliers. Taux, abattements et exonérations
Plus en détailLA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/
LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits
Plus en détailLA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/
LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en
Plus en détailConseil national de l information statistique
Conseil national de l information statistique Commission Système financier et financement de l économie Accessibilité et inclusion bancaire 25 septembre 2014 1 Pourquoi la Croix-Rouge française s occupe-t-elle
Plus en détailPOUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs
POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient
Plus en détailProtection individuelle
Protection individuelle Franchise annuelle Ce plan n'est plus offert 200 $ 900 $ depuis le 1er mars 2015 1 006 $ / / 18-24 87,88 $ 71,71 $ - 39,35 $ 37,08 $ 63,91 $ 25-29 91,38 $ 74,47 $ - 41,04 $ 38,86
Plus en détailLES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2
LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations
Plus en détailRevenu national avant impôts: 2 800 (100%) Revenu disponible: 2 100 (74%) Revenu après impôts: 1 500 (51%)
Séance n 8. TD Tableau n 1. La décomposition du revenu national en 2009 Montant (milliards d euros) Part (%) Revenus d activité salariaux 1014,3 73% Revenus de la propriété 281,1 20% Revenu d activité
Plus en détailChaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial
Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Dossier de presse Contact Chaire : Joël Gayet Mobile : 00 33 6 09 51 15 70 Jgayet.chaire anmt@sciencespo aix.fr Contact Sciences Po Aix : Noëlline Souris
Plus en détailY:\AVE 2010\Jou... Nationale...
De l analyse des marchés de la Construction Durable au diagnostic de la montée en compétence dans les métiers du Bâtiment et des ENR à l horizon 2014 sur 30 territoires 13 es Assises de l énergie Dunkerque
Plus en détailLES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ
LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ Rapport réalisé par le CRÉDOC pour le Comité consultatif du secteur financier Département Évaluation des politiques
Plus en détailDescription des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population
Description des variables de la base de données a. Attractivité démographique pour les différents types de population Sources : Recensements de 1962 à 2006 et Clap 2007 - a01_popmoy62, a01_popmoy68, a01_popmoy75,
Plus en détailREGLEMENT CHALLENGE LEGRAND VDI Février 2014
REGLEMENT CHALLENGE LEGRAND VDI Février 2014 Article 1. ORGANISATEUR La société LEGRAND SNC, au capital social de 6 200 000, immatriculée au RCS de LIMOGES, sous le numéro 389 290 586, dont le siège social
Plus en détailIndicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains
Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Contexte Les communes littorales métropolitaines hébergent plus de 6 millions d habitants et ont
Plus en détailAvoir un emploi rend la pauvreté plus difficile à vivre
ISSN 029-997 N 2 avril 07 Avoir un emploi rend la pauvreté plus difficile à vivre Marie-Odile Simon, Christine Olm, Élodie Alberola L emploi ne protège plus de la pauvreté, même la plus extrême: 28% des
Plus en détail1. Les comptes de dépôt et d épargne
1. Les comptes de dépôt et d épargne 1.1 Les comptes de dépôt 1.1.1 Le taux de possession d un compte de dépôt Le premier constat est celui d un accès important aux comptes de dépôt, quelle que soit la
Plus en détailL ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS
ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN
Plus en détailLa Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -
La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITÉ FONDS DE FINANCEMENT DE LA PROTECTION COMPLÉMENTAIRE DE LA COUVERTURE UNIVERSELLE DU RISQUE MALADIE
RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 FONDS DE FINANCEMENT DE LA PROTECTION COMPLÉMENTAIRE DE LA COUVERTURE UNIVERSELLE DU RISQUE MALADIE Sommaire AVANT-PROPOS 02 ÉDITO 04 1. Des effectifs en constante évolution mais
Plus en détailFiches thématiques. Revenus
Fiches thématiques Revenus Avertissement Les sites internet www.insee.fr et http://epp.eurostat.ec.europa.eu pour les données internationales mettent en ligne des actualisations pour les chiffres essentiels.
Plus en détailDes solutions pour les seniors à revenus insuffisants
Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.
Plus en détailDébat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»
Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français
Plus en détailLa mobilité. Au service des Outre-mer
La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première
Plus en détailEnjeux et. perspectives sociales. Observer pour agir. Parution de la Plate-forme d observation sociale et sanitaire du Languedoc-Roussillon
Enjeux et perspectives sociales Parution de la Plate-forme d observation sociale et sanitaire du Languedoc-Roussillon Observer pour agir N 1 juin 2014 Edition réalisée dans le cadre du partenariat de la
Plus en détail!"#$%&'(#)*"&+,' &+'",)--.+&'-/01#."&'
!"#$%&'(#)*"&+,' &+'",)--.+&'-/01#."&' ' 2&'/30.4'%&'1#'-01.%#".+,' (0)"'1#'",)--.+&'%&'+0)-' ' 5&#$67#)1'8&1#3#9&' :$-(&/+&)"';,$,"#1'%&'1
Plus en détailLes élèves du premier degré à la rentrée 2012 dans les écoles publiques et privées
note d informationdécembre 12.24 À la rentrée 2012, 6 718 900 élèves sont accueillis publiques et privées du premier degré de métropolitaine et des DOM (y compris Mayotte), dont 2 557 000 élèves l enseignement
Plus en détailI. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant. II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les ADIL
LA REFORME DE L AIDE A L ACCESSION Un premier bilan Résumé I. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les
Plus en détailRAPPORT FINAL ETUDE SUR LA DENSITE REGIONALE DES TPE. Direction du Commerce, de l Artisanat, des Services et des Professions Libérales
CNRS Université Lyon2 RAPPORT FINAL ETUDE SUR LA DENSITE REGIONALE DES TPE Direction du Commerce, de l Artisanat, des Services et des Professions Libérales Septembre 2006 SOMMAIRE AVANT PROPOS MÉTHODOLOGIQUE...
Plus en détailTaux de risque de pauvreté ou d exclusion sociale le plus élevé en Bulgarie, le plus faible en République tchèque
168/2014-4 Novembre 2014 Risque de pauvreté ou d'exclusion sociale dans l'ue28 Plus de 120 millions de personnes menacées de pauvreté ou d exclusion sociale en 2013 Soit près d une personne sur quatre
Plus en détailAvertissement. Signes conventionnels utilisés
Avertissement Sauf mention contraire, les données «France» concernent la France métropolitaine et les départements d outre-mer hors Mayotte. Sur les sites Internet de l Insee (www.insee.fr) et d Eurostat
Plus en détailMENTION ADMINISTRATION DES TERRITOIRES ET DES ENTREPRISES
MENTION ADMINISTRATION DES TERRITOIRES ET DES ENTREPRISES Les spécialités : MASTER PROFESSIONNEL 00 Management des activités tertiaires () Management public : métiers de l administration territoriale ()
Plus en détailProjet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss
Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss Modalités d attribution des droits connexes au RSA Instaurer une automaticité de fait et non de droit
Plus en détailN 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI
N 13 S É N A T SESSION ORDINAIRE DE 2014-2015 30 octobre 2014 PROJET DE LOI relatif à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral. (procédure
Plus en détailBREST LILLE LYON NICE ROUEN
BORDE BREST AUX IS D PAR GRAN BLE GRENO LILLE LYON EILLE MARS ER PELLI T N O M ES NANT NICE ES RENN ROUEN BOURG STRAS USE TOULO COMMUNIQUÉ DE PRESSE SIMI 2014 L immobilier de bureaux et l attractivité
Plus en détailCHARTE D ACCESSIBILITÉ POUR RENFORCER L EFFECTIVITÉ DU DROIT AU COMPTE. Procédure d ouverture d un compte dans le cadre du droit au compte
CHARTE D ACCESSIBILITÉ POUR RENFORCER L EFFECTIVITÉ DU DROIT AU COMPTE Préambule Le droit au compte figure dans la législation française comme un principe fondamental. Le code monétaire et financier (article
Plus en détailBase de données sociales sur Paris
Base de données sociales sur Paris Fiches d identité sociale des 20 arrondissements - 2012 Apur - David Boureau Étude réalisée en collaboration avec le Centre d Action Sociale de la Ville de Paris (CASVP)
Plus en détailGarder et faire garder son enfant
Garder et faire garder son enfant Nathalie Blanpain* L arrivée d un enfant au sein d un foyer est pour ses parents un événement majeur générateur de changements en termes de rythme de vie et d organisation,
Plus en détailcahier thématique revenu précarité
CAHIER thématique kiux cahier thématique Revenu précarité 2 préambule «Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bienêtre et ceux de sa famille, notamment pour l alimentation,
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailLa diffusion des résultats statistiques du recensement de la population
La diffusion des résultats statistiques du recensement de la population Le cadre juridique La diffusion des résultats statistiques est encadrée par l arrêté du 19 juillet 2007 mis au point en liaison avec
Plus en détailIdentification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14
3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7
Plus en détailPrévenir les nuisances futures
4877 Prévenir les nuisances futures BILAN D ACTIVITÉ 2000 q 2005 50 51 52 53 54 Sensibiliser les professionnels aux nuisances sonores Réviser les Plans d Exposition au Bruit (PEB) Créer une zone D Réfléchir
Plus en détailLe niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france
Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Jean-Paul Guthmann, Pierre Chauvin, Yann Le Strat, Marion Soler,
Plus en détailHéritages, donations et aides aux ascendants et descendants
Dossier Héritages, donations et aides aux ascendants et descendants Bertrand Garbinti, Pierre Lamarche, Laurianne Salembier* Le patrimoine d un ménage est constitué par la somme de tous les biens qu il
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détail21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5
21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent
Plus en détailPopulation active et pauvreté en région Centre
Population active et pauvreté en région Centre Conseil Economique et Social Régional du Centre Janvier 2010 Partie I. Périmètre de l étude quatre ménages touchant le SMIC ou le RSA Nombre potentiel de
Plus en détailENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE
DOSSIER DE PRESSE 18 AOÛT 2014 ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE CONTACT PRESSE LISA RIBEAUD 06 15 86 43 41 lribeaud@unef.fr presse@unef.fr 2 Rentrée 2014 SOMMAIRE Les principaux chiffres 5 Edito
Plus en détailLa Caisse d Epargne affirme ses ambitions sur le marché de la gestion privée en lançant des espaces Gestion Privée en régions.
La Caisse d Epargne affirme ses ambitions sur le marché de la gestion privée en lançant des espaces Gestion Privée en régions. Paris, le 4 Février 2013 La Caisse d Epargne dispose depuis plus de vingt
Plus en détailBaromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011
Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre établi à partir des sources suivantes: 2010 - Données transmises par la Direction
Plus en détailFonds de Dotation L observatoire Deloitte. N 20 31 décembre 2011
Fonds de Dotation L observatoire Deloitte N 20 31 décembre 2011 Éditorial L année vient de s achever avec 863 fonds de dotation enregistrés au 31 décembre 2011. C est une année record car pas moins de
Plus en détailLundi 8 octobre 2007. Nancy. Comment optimiser l organisation de votre patrimoine grâce à la loi TEPA et au projet de Loi de Finances 2008?
Lundi 8 octobre 2007 Nancy Comment optimiser l organisation de votre patrimoine grâce à la loi TEPA et au projet de Loi de Finances 2008? Frédéric Gros Directeur Nancy Élise Moras Ingénieur patrimonial
Plus en détailLe marché locatif privé sur Lille et la métropole lilloise Les loyers de marché à fin novembre 2014
Le marché locatif privé sur Lille et la métropole lilloise Les loyers de marché à fin novembre 214 par Michel MOUILLART, Professeur d'economie à l'université Paris Ouest, FRICS CLAMEUR analyse chaque année
Plus en détailLes ressources de cohésion sociale
Les ressources de cohésion sociale ALLER AU DEVANT DES PLUS DÉMUNIS Commission Sanitaire et Social Rapporteur : M me Nicole NOLAND 1 - "Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés" Notre région
Plus en détailEvaluation de la 2 ème année de mise en œuvre du plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l'inclusion sociale
Inspection générale des affaires sociales Evaluation de la 2 ème année de mise en œuvre du plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l'inclusion sociale TOME I RAPPORT Établi par François CHEREQUE Christine
Plus en détailLes seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement
Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement
Plus en détailSynthèse territoriale Emploi Formation. Zone d emploi Montpellier. Dynamiques socio-démographiques
Edition juillet 2014 Synthèse territoriale Emploi Formation Méthodologie : ce portrait met en avant les traits saillants de la zone au regard de l ensemble régional et hiérarchise ainsi les zones les unes
Plus en détailLa Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013
CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale
Plus en détailLes relations au bureau Baptiste Coulmont, Université Paris 8, CRESPPA baptiste.coulmont@univ-paris8.fr
Les relations au bureau Baptiste Coulmont, Université Paris 8, CRESPPA baptiste.coulmont@univ-paris8.fr Version de travail, 25 mai 2015 Ma communication s inscrit dans un travail pour l instant exploratoire
Plus en détailAFFIRMATION DES METROPOLES ET GRAND PARIS
AFFIRMATION DES METROPOLES ET GRAND PARIS A PROPOS DE LA LOI DU 27 JANVIER 2014 DE MODERNISATION DE L ACTION PUBLIQUE TERRITORIALE ET D AFFIRMATION DES METROPOLES DROIT PUBLIC IMMOBILIER Premier volet
Plus en détailMesurer la pauvreté : l apport de l approche par les capabilités. L exemple de l aire urbaine parisienne en 2010
Nombre de signes : 19.984 Mesurer la pauvreté : l apport de l approche par les capabilités L exemple de l aire urbaine parisienne en 2010 TOVAR Élisabeth, maître de conférences, Université Paris Ouest
Plus en détailL évolution de l illettrisme en France
une comparaison dans le temps établie avec les mêmes outils de mesure L évolution de l illettrisme en France Agence Nationale de Lutte Contre l Illettrisme Pour l accès de tous à la lecture, à l écriture
Plus en détailFIP Avantage ISF F O N D S D I N V E S T I S S E M E N T D E P R OX I M I T E (F I P)
FIP Avantage ISF F O N D S D I N V E S T I S S E M E N T D E P R OX I M I T E (F I P) Un Placement sur 8 ans minimum, Dynamique et Diversifié La réduction d ISF dépend du quota d investissement dans les
Plus en détailLE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU
LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU RÉSUMÉ Une étude de Tristat Resources commandée par l Institut Broadbent démontre que la majorité des
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION Arrêté du 21 décembre 2012 relatif au tarif annuel et aux modalités de publication des annonces judiciaires
Plus en détailQuelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013
Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats
Plus en détailInfos, Intox et Alternative pour le financement des retraites et de la protection sociale et la compétitivité
Infos, Intox et Alternative pour le financement des retraites et de la protection sociale et la compétitivité Contribution au débat Daniel SANCHIS Paris mai 2010 La part de la richesse nationale produite
Plus en détailLes banques en ligne et les services bancaires par internet modèle économique et évolution des plaintes de consommateurs de 2008 à 2012
N 15 Juin 2013 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Les banques en ligne et les services bancaires
Plus en détailSaint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud
PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR 17 rue Menpenti 13387 MARSEILLE CEDEX 1 Tél. : 4 91 17 57 57 Fax : 4 91 17 59 59 http://www.insee.fr TERRITOIRE CA POLE AZUR PROVENCE 5 communes, 2 chefs lieux de cantons, unité
Plus en détailMarché de l épargne-retraite en France : état des lieux, perspectives et enjeux
Marché de l épargne-retraite en France : état des lieux, perspectives et enjeux Décembre 2003 Etude disponible le 15 décembre 2003 Les objectifs Traiter les questions de fond -réglementation, fiscalité,
Plus en détailREGLEMENT DU JEU «Bien-être et prévention»
REGLEMENT DU JEU «Bien-être et prévention» Art. 1 : ORGANISATION La Mutuelle Nationale Territoriale, mutuelle régie par le livre II du Code de la Mutualité, enregistrée au Registre National des Mutuelles
Plus en détailCOUT DE LA VIE ETUDIANTE SELON LES VILLES UNIVERSITAIRES
DOSSIER DE PRESSE 17 AOÛT 2015 COUT DE LA VIE ETUDIANTE SELON LES VILLES UNIVERSITAIRES Cout de la vie étudiante selon les villes universitaires CONTACT PRESSE Pauline Collet 06 88 27 92 59 pcollet@unef.fr
Plus en détailACCUEIL DES JEUNES ENFANTS ET OFFRE DE LOISIRS ET D ACCUEIL DES ENFANTS ET DES ADOLESCENTS AUTOUR DU TEMPS SCOLAIRE :
ACCUEIL DES JEUNES ENFANTS ET OFFRE DE LOISIRS ET D ACCUEIL DES ENFANTS ET DES ADOLESCENTS AUTOUR DU TEMPS SCOLAIRE : LA DIVERSITE DE L OFFRE ET LES DISPARITES D ACCES SELON LES TERRITOIRES Note d'analyse
Plus en détailLes actifs financiers les plus couramment
2.1 Performance des placements à rendements réglementés Les actifs financiers les plus couramment détenus par les ménages sont les comptes ou livrets d épargne dont les revenus sont exonérés d impôt et
Plus en détailMaster 2 Juriste d'affaires. Master 2 Juriste d'affaires Internationales Master 2 Droit de l'entreprise spécialité Droit des Affaires et Fiscalité
Nom de l'établissement UNIVERSITE PAUL CEZANNE UNIVERSITE DE PICARDIE UNIVERSITE D'ANGERS - UFR de Droit UNIVERSITE DE BOURGOGNE UNIVERSITE PIERRE MENDES France UNIVERSITE DE VERSAILLES SAINT QUENTIN EN
Plus en détailAssurances de biens et de responsabilité. Etude Avril 2013
Assurances de biens et de responsabilité Etude Avril 2013 L assurance des catastrophes naturelles en 2011 Ce document est la propriété exclusive de la FFSA et du GEMA et est protégé par le droit d'auteur.
Plus en détailBilan de l année 2011
LE PERMIS A POINTS Bilan de l année DIRECTION DE LA MODERNISATION ET DE L ACTION TERRITORIALE SOUS-DIRECTION DE LA CIRCULATION ET DE LA SECURITE ROUTIERES BUREAU DE LA SECURITE ET DE LA REGLEMENTATION
Plus en détailMarketing territorial et veille
Marketing territorial et veille Sciences-Po Formation continue, 11 juin 2008 David Cousquer Marketing territorial et veille 1. La photo initiale : déterminer le positionnement marketing d une collectivité
Plus en détail- Éléments de référence 2013 pour 2014 -
- Éléments de référence 2013 pour 2014 - I - TAXE FONCIÈRE DÉPARTEMENTALE SUR LES PROPRIÉTÉS BÂTIES moyen de 2013 L article 1636B septies VI du CGI indique que le taux de la taxe foncière sur les propriétés
Plus en détailMesure du surendettement en Europe
Mesure du surendettement en Europe Conférence du 24 juin 2008 Didier Davydoff, Directeur de l OEE 0EE - Observatoire de l'épargne européenne 1 Introduction: l augmentation des encours de crédit aux ménages
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013
12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015
02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES
ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES N 202 AOUT 2003 SOMMAIRE 1. PRESENTATION p.3 2. SYNTHESE DE L ENQUETE p.4 3. LES REPONSES DES VILLES ET AGGLOMERATIONS
Plus en détailDépendance et rayonnement. des établissements franciliens
ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France
Plus en détailSécuriser les parcours d insertion des jeunes
LES AVIS DU CONSEIL ÉCONOMIQUE, SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL Sécuriser les parcours d insertion des jeunes (avis de suite) Antoine Dulin Mars 2015 2015-08 NOR : CESL1100008X Mardi 7 avril 2015 JOURNAL OFFICIEL
Plus en détail