ÉCHANGES EN VALEUR AJOUTÉE : SUISSE

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1 ÉCHANGES EN VALEUR AJOUTÉE : SUISSE Le fractionnement international de la production dans les chaînes de valeur mondiales (CVM) remet en question notre manière de considérer l économie mondiale. Aujourd hui, la croissance et l emploi dépendent moins de ce que l on vend (les produits finals vendus ou exportés) que de ce que l on fait (les activités menées par une entreprise ou un pays). Il est essentiel de comprendre le fonctionnement des CVM et leur incidence sur la performance économique et de déterminer quelles politiques permettent d en tirer le meilleur profit et de réduire les risques. La base de données OCDE-OMC sur les échanges en valeur ajoutée (TiVA) facilite l analyse des CVM en mesurant les échanges en valeur ajoutée et aborde sous un nouvel angle les relations commerciales entre les économies et le processus de création de valeur. Cette note, qui s appuie sur la troisième version de la base de données TiVA, décrit la structure des échanges en valeur ajoutée de la Suisse et contribue à alimenter les débats dans différents domaines comme les échanges, l innovation et l investissement. Cette note s accompagne d un guide d'utilisation destiné à faciliter l interprétation des indicateurs présentés et à en fournir le cadre : Principales conclusions En 2011, les exportations de la Suisse comportaient à peine plus d un cinquième (21.7 %) d intrants étrangers, soit l une des plus faibles proportions observées parmi les économies de taille comparable, qui s explique en grande partie par une spécialisation relativement forte dans les services, dont le contenu étranger est généralement faible. En 2011, la Suisse occupait le neuvième rang pour la part des services dans ses exportations totales (62.5%), mais se hissait à la cinquième place pour ce qui est de la part des services dans ses exportations de produits manufacturés (43.2%). En valeur brute, l Allemagne (19. des exportations totales) est la première destination des exportations suisses, alors qu en valeur ajoutée, ce sont les États-Unis (16.1%, contre 15.3% pour l Allemagne) qui occupent la première place.

2 Part de la valeur ajoutée étrangère et locale dans les exportations Le contenu étranger dans les exportations suisses s établissait à 21.7 % en 2011, un pourcentage en légère hausse par rapport à 2009 (21.3 %), mais inférieur à celui de 2008 (22.7 %) (graphique 1), et, en particulier, de 2005 ; il a augmenté de 4.2 points depuis Graphique 1. Part de la valeur ajoutée étrangère dans les exportations brutes par pays en %, 2008, 2009 et 2011 (encart à droite = série chronologique de la Suisse) Les exportations totales de valeur ajoutée nationale de la Suisse en 2011 étaient composées à 60.3 % de biens et services intermédiaires, soit un niveau plus élevé qu en 2009 (56.0 %) qui s explique en partie par le redressement observé dans les CVM particulièrement touchées par la crise, et qu en 1995 (55.8 %) (graphique 2). La part des intrants intermédiaires est légèrement inférieure à la moyenne de l OCDE (61.5 %). Graphique 2. Part de la valeur ajoutée nationale dans les exportations brutes, par catégorie d utilisation finale et par pays en %, 1995 et Biens et services intermédiaires 2011 Biens et services finals 2011 Total 1995 Biens et services intermédiaires

3 Agriculture Textiles et vêtements Bois et papier Produits Véhicules automobiles Electricité, gaz et distribution d'eau Commerce et hôtellerie Transports et télécom Finance et assurance Services aux entreprises Autres services Agriculture Textiles et vêtements Bois et papier Produits Véhicules automobiles Electricité, gaz et distribution d'eau Commerce et hôtellerie Transports et télécom Finance et assurance Services aux entreprises Les exportations directes du secteur des constituaient en 2011 la principale source (directe et en amont) de valeur ajoutée nationale et représentaient 16.9 % de la valeur ajoutée totale des exportations. Venaient ensuite les secteurs Finance et assurance (16.0 %), Commerce de gros et de détail et hôtellerie (11.3 %, correspondant en partie au tourisme et, en amont, aux services de distributions) et TCI et électronique (7.9 %) (graphique 3a). Pour ce qui est de la valeur ajoutée étrangère, les contributions les plus importantes aux exportations totales de la Suisse étaient celles des secteurs des et TCI et électronique, qui représentaient à eux deux 8.1 %. De 1995 à 2011, la part d intrants étrangers a augmenté dans presque tous les secteurs. Les trois secteurs dans lesquels les exportations suisses présentaient la plus forte teneur en valeur ajoutée étrangère en 2011 étaient les, les Véhicules automobiles et les, avec des pourcentages respectifs de 46.2 % 44.6 % et 43.1 % contre 31.8 %, 32.5 % et 34.8 % en 1995 (graphique 3b). Graphique 3a. Contribution sectorielle à la part de valeur ajoutée nationale et étrangère dans les exportations brutes de la Suisse en % des exportations brutes totales, 2011 Contribution de la VA nationale aux exportations brutes, 2011 Contribution de la VA étrangère aux exportations brutes, % 2 15% 1 5% Graphique 3b. Part de la valeur ajoutée étrangère dans les exportations brutes de la Suisse 1995 et Part de la VA étrangère dans les exportations brutes, 2011 Part de la VA étrangère dans les exportations brutes,

4 Agriculture Textiles et vêtements Bois et papier Produits Véhicules automobiles Electricité, gaz et distribution d'eau Commerce et hôtellerie Transports et télécom Finance et assurance Services aux entreprises Autres services Total Sur la valeur totale des importations de produits et services intermédiaires de la Suisse, 51.6 % est ensuite incorporé dans les exportations, un niveau supérieur à la moyenne de l OCDE (39.3 %) et à la part mesurée en 2009 (50.8 %) (graphique 4). Les secteurs qui présentent les pourcentages les plus élevés d intrants intermédiaires importés sont les Services aux entreprises (65.2 %), les (64.4 %) et les (62.8 %). Graphique 4. Intrants intermédiaires importés contenus dans les exportations de la Suisse, par catégorie d intrants En % des importations d intrants intermédiaires, 2008, 2009 et Destination de la valeur ajoutée nationale produite en Suisse En 2011, la demande finale étrangère représentait 64.8 % de la valeur ajoutée nationale totale produite par le secteur manufacturier en Suisse, soit plus qu en 2009 (64.6 %) et que la moyenne de l OCDE (41.9 %), mais moins qu en 2008 (68.8 %) (graphique 5). Graphique 5. Part de la valeur ajoutée nationale du secteur manufacturier contenue dans la demande finale étrangère par pays en % de la valeur ajoutée totale du secteur manufacturier, 2008, 2009 et 2011 (encart à gauche = série chronologique de la Suisse) Note : La demande finale exclut les stocks : Voir aussi 3

5 Agriculture Textiles et vêtements Bois et papier Produits Véhicules automobiles Commerce et hôtellerie Transports et télécom Finance et assurance Services aux entreprises Total Manufacturier Total Dans l ensemble de l économie, 39.4 % de la valeur ajoutée nationale de la Suisse est déterminé par la demande finale étrangère, mais la situation varie beaucoup d un secteur à l autre. Les secteurs Métaux de base (93.1 %) et (87.2 %) sont les plus tournés vers l exportation, tandis que l Agriculture (21.3 %) et les affichent les pourcentages les plus faibles (27.4 %), (graphique 6). Graphique 6. Part de la valeur ajoutée nationale de la Suisse contenue dans la demande finale étrangère en % de la valeur ajoutée par secteur, 2008, 2009 et Note : La demande finale exclut les stocks : Voir aussi En valeur brute, l Allemagne (19.0 %), les États-Unis (13.2 %) et la France (7.0 %) sont les trois principales destinations des exportations de la Suisse. En valeur ajoutée, les États-Unis (16.1 %) supplantent l Allemagne (15.3 %) à la première place (graphique 7, en haut). En ce qui concerne les importations, les trois principaux partenaires de la Suisse sont l Allemagne (28.4 %), l Italie (10.4 %) et la France (9.0 %), alors qu en valeur ajoutée, ce sont l Allemagne (22.5 %), l Italie (8.9 %) et les États- Unis (8.7 %) (graphique 7, en bas). Graphique 7. Exportations et importations de la Suisse à destination et en provenance de ses principaux partenaires en % des exportations et des importations en valeur brute et en valeur ajoutée, Exportations brutes Valeur ajoutée nationale dans la demande étrangère finale 15% 1 5% 3 25% 2 15% 1 5% Importations brutes Valeur ajoutée étrangère dans la demande nationale finale 4

6 Si l on considère uniquement les exportations de biens et services intermédiaires en valeur ajoutée, les principaux marchés de destination de la Suisse en 2011 étaient l Allemagne (17.5 %), les États- Unis (12.1 %), la Chine (7.3 %) et l Italie (5.9 %) (graphique 8). Graphique 8. Part de la valeur ajoutée nationale contenue dans les exportations de biens et services intermédiaires de la Suisse vers ses principaux pays partenaires en % des exportations totales de biens et services intermédiaires, en valeur ajoutée, 2008, 2009 et % 16% 14% 12% 1 8% 6% 4% 2% Importance des services En 2011, la part des services dans les exportations totales de la Suisse s établissait à 62.5 %, au-dessus de la moyenne de l OCDE (54.3 %) (graphique 9). Graphique 9. Part des services dans les exportations brutes par pays, en valeur brute et en valeur ajoutée en % des exportations brutes totales, Part de la valeur ajoutée nationale Moyenne OCDE Part de la valeur ajoutée étrangère Part des exportations de services, chiffres du SNC Note : Les chiffres du SNC relatifs aux exportations de services incluent les réexportations dans le dénominateur, et comprennent les éventuelles différences effectives entre prix franco à bord et prix de base des marchandises (marge de distribution fournie par les distributeurs résidents aux exportateurs résidents). 5

7 Agriculture Textile et vêtements Production du bois Papier, imprimerie et édition Produits Véhicules automobiles Si l on considère uniquement les exportations de produits manufacturés, 43.2 % de la valeur totale correspond à la valeur ajoutée des services, un niveau supérieur à la moyenne de l OCDE (36,9 %). Les Services aux entreprises représentent 21.7 % des exportations brutes totales, les secteurs Commerce de gros et de détail et hôtellerie et les Transports et télécommunications y contribuant respectivement à hauteur de 10.7 % et 4.7 % (graphique 10). Graphique 10. Valeur ajoutée des services incorporée dans les exportations de produits manufacturés, par pays en % des exportations brutes totales, 1995 et Construction Commerce et hôtellerie Transports et télécom Finance et assurance Services aux entreprises Autres services Total % 4 35% 3 25% 2 15% 1 5% Au niveau sectoriel, la part des services dans les exportations est la plus élevées dans les secteurs Cokéfaction et produits pétroliers (63.5 %), (55.5 %) et (41.6 %) (graphique 11). Graphique 11. Part des services dans les exportations brutes de la Suisse, par secteur exportateur et par catégorie de services en % des exportations brutes par secteur, 2011 Construction Commerce et hôtellerie Transports et télécom Finance et assurance Services aux entreprises Autres services Moyenne OCDE

8 Origine de la consommation nationale En 2011, la part de contenu étranger dans la consommation finale nationale totale de la Suisse s établissait à 26,5 %, l Europe contribuant à ce pourcentage pour 18.2 points, l ALENA pour 2,9 points, l Asie de l Est et du Sud-Est pour 2,4 points, l Amérique du Sud et centrale pour 0,4 point et les autres régions pour 2,7 points (graphique 12). Graphique 12. Part de la valeur ajoutée étrangère dans la consommation nationale, par pays selon la région d origine, Europe ALENA Asie de l Est et du Sud-Est Amérique du Sud et centrale Autres régions Informations complémentaires Les informations présentées dans cette note sont tirées de la version 2015 de la base de données sur les échanges en valeur ajoutée (TiVA).» Accès à la base de données : Pour plus d informations : tiva.contact@oecd.org 7

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