La politique monétaire de l'eurosystème : une vue d'ensemble. Generation uro Students' Award
|
|
- Pierre-Yves Olivier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1 La politique monétaire de l'eurosystème : une vue d'ensemble Generation uro Students' Award
2 Aperçu de l'exposé Qui fait quoi au sein de l'eurosystème? (Aspects institutionnels) Comment le cap de la politique monétaire est-il défini? (La stratégie de politique monétaire) Comment la politique monétaire influence-t-elle l'économie? (Mécanisme de transmission) IIlustration des récentes décisions de politique monétaire I : Évaluation de la situation macroéconomique en septembre 1 IIlustration des récentes décisions de politique monétaire II : Principales mesures adoptées depuis juillet 13 Baisse des taux Orientations prospectives TLTROs Achats d ABS et d obligations sécurisées
3 3 QUI FAIT QUOI AU SEIN DE L EUROSYSTÈME? (Aspects institutionnels)
4 Union européenne : 8 pays Union monétaire depuis 1999 (zone euro) : monnaie unique dans pays et 19 à partir de janvier 15, avec l'entrée de la Lituanie Pays membres de l'ue et de la zone euro Pays membres de l'ue Informations complémentaires :
5 Eurosystème/Système européen de banques centrales SEBC Eurosystème Banque centrale européenne Banques centrales nationales de la zone euro Conseil des gouverneurs de la BCE Directoire de la BCE Conseil général de la BCE Banques centrales nationales des pays de l'ue non membres de la zone euro 5 Informations complémentaires :
6 Un système fédéral Décisions de politique monétaire adoptées de manière centralisée par le Conseil des gouverneurs de la BCE Conseil des gouverneurs Mais: Préparation des décisions en collaboration avec les banques centrales nationales Mise en œuvre décentralisée de la politique monétaire 6 Directoire 18 Autonomie plus ou moins importante des banques centrales nationales dans d'autres domaines 18 BCN instructions représentation 6 Informations complémentaires :
7 Un système indépendant Indépendance vis-à-vis des autorités politiques Interdiction d'accepter ou de solliciter des instructions Indépendance personnelle Interdiction du financement monétaire des pouvoirs publics Mission clairement définie : stabilité des prix Obligation de rendre des comptes quant à la politique monétaire menée Auditions au Parlement européen Publications, exposés, conférences de presse Dialogue avec les autorités politiques Eurogroupe, Commission européenne Politique de change 7 Informations complémentaires :
8 Missions principales de l'eurosystème Politique monétaire Objectif principal : stabilité des prix Opérations de change et gestion des réserves de change des États membres Systèmes de paiement Stabilité financière Billets 8 Informations complémentaires:
9 Objectif fixé par le Traité L'objectif principal de l'eurosystème est de maintenir la stabilité des prix Sans préjudice de cet objectif, l'eurosystème soutient la politique économique générale au sein de l'ue Pourquoi la stabilité des prix? Éviter de perturber l'information issue des variations des prix relatifs Éviter une redistribution aveugle des revenus et du patrimoine Réduire l'incertitude et les primes de risque contenues dans les taux d'intérêt Conséquences de la stabilité des prix pour l'économie réelle Allocation efficace des ressources et confiance, profitables aux investissements, à une croissance durable et à l'emploi Expériences négatives en matière de stabilité des prix au XX e siècle Hyperinflation en Allemagne en 19-3, déflation durant les années 193, inflation/stagflation au cours des années Informations complémentaires :
10 Définition quantitative de la stabilité des prix Le Traité ne fournit aucune définition précise de la stabilité des prix Le Conseil des gouverneurs de la BCE l'a defini comme suit : Indice des prix à la consommation harmonisés La zone euro dans son ensemble ; des écarts entre pays étant inévitables "Une hausse annuelle de l'ipch dans la zone euro inférieure à, mais proche de, % à moyen terme." Protection contre le risque de déflation Erreurs de calcul de l'ipch Écarts d'inflation entre pays de la zone Permet une approche graduelle : évite une volatilité excessive de l'activité économique et des taux d'intérêt (p.ex. après un choc pétrolier) Ancrage nominal des anticipations d'inflation 1 Informations complémentaires :
11 COMMENT LE CAP DE LA POLITIQUE MONÉTAIRE EST-IL DÉFINI? (La stratégie de politique monétaire) 11 Informations complémentaires: et
12 1 Approche monétaire (simplifiée) de la transmission de la politique monétaire : accent sur la masse monétaire (M) Banque centrale Or et devises Prêts aux banques Autres actifs Billets Dépôts des banques (réserves) Autres passifs Base monétaire (B) Dépôts auprès de la banque centrale Crédits aux banques commerciales Crédits à la clientèle Autres actifs Banques commerciales Prêts contractés auprès de la banque centrale Dépôts des banques commerciales Dépôts de la clientèle Obligations Autres passifs Base monétaire B Masse monétaire M Niveau des prix P Masse monétaire (définition large) (M) M=bB P=MV/Y Instabilité de b (multiplicateur monétaire) et de V (vitesse de circulation de la monnaie)
13 13 Approche de la transmission de la politique monétaire via le taux d'intérêt : accent sur le taux de la banque centrale et sur les anticipations Taux de la banque centrale i Taux du marché monétaire Demande de biens et services et anticipations i est sous le contrôle de la banque centrale et constitue généralement le principal instrument de politique monétaire la base monétaire (B) devient une variable endogène Niveau des prix P la masse monétaire (M) est un indicateur important permettant d'apprécier les risques pour la stabilité des prix à moyen et long termes
14 Stratégie de politique monétaire de l'eurosystème : une synthèse pragmatique des deux approches Définition quantitative de la stabilité des prix : ancrage des anticipations d'inflation Cadre analytique basé sur l'analyse économique et monétaire Analyse économique (AE) Indicateurs conjoncturels, indicateurs de prix et de coûts, projections macroéconomiques, etc. Informations sur la stabilité des prix à court et moyen termes Analyse monétaire (AM) Masse monétaire et octroi de crédit Implications à plus long terme pour la stabilité des prix, mais également pour la stabilité financière Recoupement des résultats des analyses (AE+AM) => évaluation des risques pour la stabilité des prix => décision de politique monétaire Dans des circonstances normales, cette décision porte sur le taux directeur (i) et non sur l'ampleur de la base monétaire (B). 1 Informations complémentaires :
15 15 COMMENT LA POLITIQUE MONÉTAIRE INFLUENCE-T-ELLE L'ÉCONOMIE? (Mécanisme de transmission)
16 Transmission des impulsions de politique monétaire 16 Informations complémentaires :
17 Des taux directeurs aux taux à plus long terme Taux directeur et taux du marché monétaire,5% Courbe des rendements ,5% Taux central Taux du marché monétaire au jour le jour (eonia) Août 1 En modifiant ses taux directeurs la banque centrale affecte les taux à plus long terme de l économie 17 Informations pertinentes : et
18 ... et aux taux pratiqués par les banques 7 Taux sur les prêts à court terme (pourcentages) 7 Taux sur les dépôts (pourcentages) 7 Taux sur les prêts à long terme (pourcentages) Taux directeur central Ménages, logement, variable Entreprises Taux directeur central Dépôts d'épargne Dépôts à terme, 1 an Taux directeur central Ménages, logement Entreprises 18 Informations pertinentes : et
19 Perturbation actuelle dans la transmission de la politique monétaire 1 Prêts aux sociétés non financières (SNF) (Taux de croissance annuelle) 1 Prêts aux ménages (Taux de croissance annuelle) Allemagne France Belgique Italie Espagne Portugal Grèce Irlande Zone euro En dépit de taux d intérêt directeurs à des niveaux plancher, la croissance des prêts bancaires à l économie réelle est très faible, en particulier pour ce qui concerne les prêts aux entreprises 19 Informations pertinentes :
20 Taux à court terme et cours de change ,6 1,5 1, 1,3 1, 1,1 1,9,8 Différentiel de taux zone euro/états-unis (échelle de gauche) Taux de change EUR/USD (échelle de droite) Informations pertinentes : et
21 1 ILLUSTRATION DES RÉCENTES DÉCISIONS DE POLITIQUE MONÉTAIRE I : ÉVALUATION DE LA SITUATION MACROÉCONOMIQUE EN SEPTEMBRE 1 (VOIR CONFÉRENCE DE PRESSE DE SEPTEMBRE 1) Les vidéos des conférences de presse qui ont suivi les Conseils des gouverneurs sont disponibles sur (EN) et les textes se trouvent dans leur intégralité sur (EN)
22 Analyse économique : évolution de l'activité économique le PIB en volume est resté inchangé au deuxième trimestre de 1 S agissant du troisième trimestre, les données d enquêtes disponibles jusqu en août font état d un ralentissement de la dynamique de la croissance La demande intérieure devrait être soutenue par notre arsenal de mesures de politique monétaire, l amélioration en cours des conditions de financement la reprise pourrait continuer d être freinée par le chômage élevé, l importance des capacités de production inutilisées, la croissance toujours négative des prêts bancaires au secteur privé...les risques pesant sur les perspectives économiques de la zone euro sont orientés à la baisse.
23 L'orientation de la politique monétaire et les évolutions réelles Croissance du PIB en volume Taux directeur central Baromètre de conjoncture CE (échelle de droite) 3 Informations pertinentes :
24 Projections successives de l'eurosystème relatives à la croissance annuelle du PIB PIB 3, ,5 Déc. Mars Juin Sept.,6 1,5 Déc. Mars Juin 1,5 Sept. 1,1,7,6 Informations complémentaires :
25 5 Analyse économique : évolution des prix Selon l estimation rapide d Eurostat, la hausse annuelle de l IPCH dans la zone euro s est établie à,3% en août, après,% en juillet. Les taux d inflation sont désormais restés faibles sur une très longue période la progression annuelle de l IPCH devrait se maintenir à des niveaux faibles au cours des prochains mois, avant de s accélérer graduellement en 15 et 16. les décisions d aujourd hui, ainsi que les autres mesures en place, ont été prises pour conforter l ancrage solide des anticipations d inflation à moyen et à long terme, à un niveau compatible avec notre objectif de maintenir l inflation à des taux inférieurs à, mais proches de %....nous surveillerons plus particulièrement les éventuelles répercussions du manque de dynamisme de la croissance, des évolutions géopolitiques, des mouvements des taux de change et la transmission de nos mesures de politique monétaire.
26 L'orientation de la politique monétaire et l'évolution des prix Taux directeur central IPCH IPCH à l'excl. des produits alimentaires et de l'énergie IPCH à taux de taxation constant Taux directeur central Prix à la production industrielle (à l'excl. de la construction) Prix du Brent en EUR (éch. de droite) 6 Informations pertinentes:
27 Projections successives de l'eurosystème relatives à l'inflation (IPCH) IPCH 3, ,5 1,5 Déc. Mars Déc. Mars Juin Sept. 1,7 1,5 Juin Sept.,7,5,5 7 Informations complémentaires:
28 Risques d une période prolongée de faible inflation et d un désancrage des anticipations d'inflation 3,5 Inflation et anticipations d inflation à court terme 3,5 Anticipations d'inflation à long terme 3 3,5,5 1,5 1,5 1 1,5, IPCH déc-13 mars-1 juin-1 sept Swaps d'inflation à cinq ans dans cinq ans Prévisions d'inflation dans cinq ans, enquête trimestrielle menée par la BCE auprès de prévisionnistes pofessionnels 8 Informations pertinentes: et
29 9 L'analyse monétaire... Les données relatives à juillet 1 continuent d indiquer une expansion sousjacente atone de la monnaie au sens large (M3)... le taux de croissance annuel étant ressorti à 1,8% en juillet, contre 1,6% en juin. Le taux de variation annuel des prêts aux sociétés non financières est demeuré négatif, à -,% en juillet L activité de prêt aux sociétés non financières continue de refléter le décalage avec le cycle économique, le risque de crédit, des facteurs liés à l offre de crédit ainsi que l ajustement en cours des bilans dans les secteurs financiers et non financier. la BCE finalise actuellement l évaluation complète des bilans des banques, qui revêt une importance primordiale pour surmonter les contraintes pesant sur l offre de crédit.
30 L'orientation de la politique monétaire et les évolutions monétaires Taux directeur central Taux de croissance de M3 Taux de croissance des prêts au secteur privé Informations pertinentes :
31 31 Recoupement entre les deux piliers et décision un recoupement des résultats de l analyse économique avec les signaux provenant de l analyse monétaire a conduit le Conseil des gouverneurs à décider de mesures permettant d accentuer l orientation accommodante de la politique monétaire et de favoriser l octroi de crédits à l économie réelle. Le Conseil des gouverneur a décidé : D abaisser le taux d intérêt des opérations principales de refinancement de l Eurosystème de 1 points de base, à,5% et de réduire le taux d intérêt de la facilité de prêt marginal de 1 points de base, à,3%. Le taux de la facilité de dépôt a été abaissé de 1 points de base, à -,%. De procéder à des achats d actifs du secteur privé non financier : Des Asset Backed Securities (ABS) Des obligations sécurisées (covered bonds) Les mesures nouvellement décidées auront une incidence notable sur le bilan de la BCE. Elles viennent s ajouter à l arsenal des mesures prises ces derniers mois (réductions de taux, orientations prospectives & TLTROs).
32 3 ILLUSTRATION DES RÉCENTES DÉCISIONS DE POLITIQUE MONÉTAIRE II : PRINCIPALES MESURES ADOPTÉES DEPUIS JUILLET 13 BAISSES DE TAUX (NOVEMBRE 13, JUIN 1 & SEPTEMBRE 1) ORIENTATIONS PROSPECTIVES (DEPUIS JUILLET 13) TARGETED LONG-TERM REFINANCING OPERATIONS (TLTROS) (JUIN 1) ACHATS D ABS & D OBLIGATIONS SÉCURISÉES (SEPTEMBRE 1) Les vidéos des conférences de presse qui ont suivi les Conseils des gouverneurs sont disponibles sur (EN) et les textes se trouvent dans leur intégralité sur (EN)
33 Taux d'intérêt directeurs de l'eurosystème (pourcentages) Taux de la facilité de dépôt Taux central Taux de la facilité de prêt marginal Taux du marché monétaire au jour le jour (eonia) Informations pertinentes : et
34 3 Alors que les taux directeurs approchaient puis atteignaient leur limite inférieure, il a été fait appel aux instruments alternatifs de la politique monétaire dite non conventionnelle Orientations prospectives (forward guidance) : Introduites en juillet 13 Toujours en cours à l heure actuelle, bien que le biais à la baisse ait été supprimé «S agissant de nos indications sur la trajectoire future des taux directeurs de la BCE,, ces taux resteront à leurs niveaux actuels pendant une période prolongée» Lancement des TLTROs en juin 1 : Opérations de prêts conditionnels à long terme aux banques commerciales, avec pour objectif de soutenir l octroi de crédit au secteur privé 8 opérations au total sont prévues sur la période sept. 1 - juin 16 Annonce d un programme d achat d ABS et d obligations sécurisées en septembre 1 : ABS : crédits transformés en titres négociables et qui peuvent dès lors être revendus Obligations sécurisées : obligations garanties par des créances et qui jouent un rôle significatif dans le financement des banques de la zone euro.
35 35 Les baisses de taux directeurs et les orientations prospectives se sont traduites par un nouvel applatissement de la courbe des rendements mois 1 an ans 3 ans ans 5 ans 6 ans 7 ans 8 ans 9 ans 1 ans 15/7/8 3/7/13 /7/13 7/11/13 5/6/1 /9/1 Informations pertinentes : Période d orientations prospectives
36 36 Comment les récentes mesures soutiennent-elles l octroi de crédit par les banques commerciales? La banque commerciale est à chaque fois incitée à accroître ses prêts à l économie réelle En achetant des ABS, la banque centrale libère de la marge pour l octroi de crédits sur le bilan de la banque commerciale Actif Bilan d une banque commerciale de la zone euro Dépôts auprès de la banque centrale Crédits aux clients Autres actifs (obligations, ABS, actions ) Emprunts auprès de la banque centrale Dépôts des clients Obligations Autres passifs Fonds propres Passif Les achats d obligations sécurisées par la banque centrale facilitent les émissions de celles-ci et réduisent les coûts de financement Les prêts à long terme octroyés par la banque centrale à travers les TLTROs facilitent le refinancement de la banque commerciale À travers les TLTROs, la banque centrale facilite le refinancement de la banque commerciale ; à travers les achats d obligations sécurisées, elle en facilite l émission et réduit les coûts de financement ; et à travers les achats d ABS, elle libère de la marge pour l octroi de crédits sur le bilan de la banque commerciale. De cette manière, la banque centrale permet à la banque commerciale - et incite cette dernière - à octroyer davantage de crédits aux ménages et aux entreprises. La hausse du crédit induit une hausse des dépenses qui soutient les prix de manière à maintenir l inflation à un niveau proche de la cible de %.
37 37 Practice makes perfect! À vous de jouer... Faites le quiz sur Sur vous pouvez vous glisser dans la peau d'un membre du Conseil des gouverneurs.
38 38 Merci et bonne chance!
Quel rôle pour la Banque de France depuis l avènement de l euro?
Florian Colas Conférence d économie approfondie Note sur un point technique, élaborée à partir d un entretien avec Madame Claudine Cortet, Conseiller auprès du Directeur général des Etudes et Relations
Plus en détailLes crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014
Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression
Plus en détailLa politique monétaire. Lionel Artige HEC Université de Liège
La politique monétaire Lionel Artige HEC Université de Liège La politique monétaire d hier et d aujourd hui Hier Autrefois, les Etats battaient monnaie et les banques centrales dépendaient directement
Plus en détailLA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS
LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS Fabrice LENGLART INSEE Comptes nationaux Bruno LONGET - Banque de France - SESOF CNIS 22 juin 2009 Plan I Place des activités
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailBienvenue dans votre FIBENligne
Bienvenue dans votre FIBENligne Retrouvez dans votre FIBENligne toutes les nouveautés FIBEN et l ensemble des services que la Banque de France met à votre disposition pour vous aider dans votre maîtrise
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailLes mécanismes de transmission de la politique monétaire
Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailEditorial. Chère lectrice, cher lecteur,
Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée
Plus en détailLa stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves
La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves Que peut-on acheter pour dix euros? Et si, avec cet argent, vous pouviez acheter deux maxi CD
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détailmai COMMENTAIRE DE MARCHÉ
mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident
Plus en détail12. Le système monétaire
12. Le système monétaire Le rôle de la monnaie est fondamental. Imaginez une situation où aucun moyen de paiement ne ferait l unanimité : - Economie de «troc». - On échange des biens et services contre
Plus en détailRapport annuel 2014 3,5E 7,5E
Rapport annuel 2014 30 6E E 3,5E 6E E 80 E 100% 53% E 6E 7,5E Banque centrale européenne, 2015 Adresse postale : 60640 Francfort-sur-le-Main, Allemagne Téléphone : +49 69 1344 0 Internet : www.ecb.europa.eu
Plus en détailPARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES
SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie II. 1. La création monétaire A. Comment
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailSO00BM24 Introduction aux politiques économiques
SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie 1. La création monétaire A. Comment
Plus en détailCrédit hypothécaire : croissance durable
Union Professionnelle du Crédit Communiqué de presse Crédit hypothécaire : croissance durable Bruxelles, le 6 mai 2011 Au cours du premier trimestre de 2011, 24 % de crédits hypothécaires de plus ont été
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailZone euro Indicateur d impact du QE
N 1/263 1 er septembre 21 Zone euro Indicateur d impact du Avec l annonce d un programme étendu d achats d actifs non stérilisés (quantitative easing, ), portant essentiellement sur des titres souverains,
Plus en détailChapitre III : Qui gère la monnaie? Le cas de la France
Chapitre III : Qui gère la monnaie? Le cas de la France I. Les acteurs du circuit monétaire A) Les détenteurs de monnaie : les ANFR AIF ANFR = agents non financiers résidents AIF = autres intermédiaires
Plus en détailLe crédit bancaire au secteur privé
Le crédit bancaire au secteur privé en Belgique M. Hradisky * Après des taux de croissance de plus de 1 p.c. en rythme annuel au cours de l année, la progression des crédits au secteur privé en Belgique
Plus en détailIncidence du bas niveau des taux d intérêt sur le comportement financier des ménages
Incidence du bas niveau des taux d intérêt sur le comportement financier des ménages P. Stinglhamber Ch. Van Nieuwenhuyze M.-D. Zachary Introduction Le présent article analyse, au moyen des comptes financiers
Plus en détailLa situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux
La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des
Plus en détailBanque nationale suisse
IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et
Plus en détailSOMMAIRE DU LIVRET PLAN ET MINUTAGE DU PROGRAMME
2 PLAN ET MINUTAGE DU PROGRAMME SOMMAIRE DU LIVRET 3 Ce film est conçu pour être visionné dans son ensemble, mais aussi pour être utilisé sous forme de chapitres permettant une utilisation pédagogique
Plus en détailAnnexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif
Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailPrésentation Salle des marchés. Centrale Lille Octobre 2007. Contacts: Matthieu MONLUN Responsable de la salle des marchés
Présentation Salle des marchés Centrale Lille Octobre 2007 Contacts: Matthieu MONLUN Responsable de la salle des marchés Jérôme CHANE Sales Fixed Income Tel: 03.20.57.50.00 Email: prenom.nom@calyon.com
Plus en détailRéseau de formateurs : Denis Ducamp, Vincent Michecoppin, Marie-Line Zanon
ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS BACCALAURÉAT STG ÉCONOMIE-DROIT PROPOSITION D ÉVALUATION TYPE SUJET BAC AVRIL 2006 Période d évaluation : premier trimestre année de terminale STG. Points du programme testés :
Plus en détailMacroéconomie. Monnaie et taux de change
Macroéconomie Monnaie et taux de change Marché des changes Le taux de change de en $ correspond au nombre de $ que l on peut acheter avec un exemple: 1 = 1,25 $ (1 $ = 0,8 ) Une appréciation du taux de
Plus en détailCe document constitue un outil de documentation et n engage pas la responsabilité des institutions
2011O0014 FR 03.01.2013 001.001 1 Ce document constitue un outil de documentation et n engage pas la responsabilité des institutions B ORIENTATION DE LA BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE du 20 septembre 2011
Plus en détailCrises financières et de la dette
Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-2 Crises financières
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailRèglement interne de la Société suisse de crédit hôtelier
Règlement interne de la Société suisse de crédit hôtelier (Règlement interne de la SCH) du 26 février 2015 Approuvé par le Conseil fédéral le 18 février 2015 L administration de la Société suisse de crédit
Plus en détailBAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois
BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique
Plus en détailRapport S 1.5 «Taux d'intérêt en EUR»
Rapport S 1.5 «Taux d'intérêt en EUR» Banque centrale du Luxembourg Sommaire 1 Introduction...4 1.1 Population déclarante...4 1.2 Périodicité et délai de communication...4 1.3 Les sous-tableaux...5 2 Les
Plus en détailFormation «Comptabilité bancaire : cycle long»
Formation «Comptabilité bancaire : cycle long» REFERENCE : 202 1. Objectif général Situer l'activité bancaire dans son environnement économique et réglementaire. Souligner les aspects techniques et économiques
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailDépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3
Chiffres clés pour l'économie belge Pourcentages de variation en volume - sauf indications contraires Dépenses de consommation finale des particuliers 2.0 2.6 1.4 Dépenses de consommation finale des pouvoirs
Plus en détailLES EXPLICATIONS METHODOLOGIQUES SUR LES STATISTIQUES PUBLIEES PAR LA BANQUE CENTRALE DU LUXEMBOURG
LES EXPLICATIONS METHODOLOGIQUES SUR LES STATISTIQUES PUBLIEES PAR LA BANQUE CENTRALE DU LUXEMBOURG 1 Les statistiques de politique monétaire 5 1.1 La situation financière consolidée de l'eurosystème 5
Plus en détailLa confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai
25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de
Plus en détailOBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE
Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.
Plus en détailProblèmes de crédit et coûts de financement
Chapitre 9 Problèmes de crédit et coûts de financement Ce chapitre aborde un ensemble de préoccupations devenues essentielles sur les marchés dedérivésdecréditdepuislacriseducréditde2007.lapremièredecespréoccupations
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailRAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE
2014 RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE Rapport adressé à Monsieur le Président de la République et au Parlement par Christian Noyer, gouverneur Sommaire La Banque de France a fait appel à des métiers
Plus en détailCONSERVATEUR OPPORTUNITÉ TAUX US 2
Placements financiers CONSERVATEUR OPPORTUNITÉ TAUX US 2 Profitez de la hausse potentielle des taux de l économie américaine et d une possible appréciation du dollar américain (1). (1) Le support Conservateur
Plus en détailLE CONTRAT DE CAPITALISATION Une opportunité de placement financier
Conférence ATEL - 11 décembre 2012 LE CONTRAT DE CAPITALISATION Une opportunité de placement financier Marc-Antoine DOLFI, associé 1 PLAN DE PRESENTATION Le contrat de capitalisation 1. Description 2.
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détailECONOTE Société Générale Département des études économiques et sectorielles
N 24 MAI 214 ECONOTE Société Générale Département des études économiques et sectorielles ZONE EURO : FINANCEMENT DES ENTREPRISES PAR LES MARCHÉS : UN DÉVELOPPEMENT INÉGAL AU SEIN DE LA ZONE EURO Les entreprises
Plus en détailCalcul et gestion de taux
Calcul et gestion de taux Chapitre 1 : la gestion du risque obligataire... 2 1. Caractéristique d une obligation (Bond/ Bund / Gilt)... 2 2. Typologie... 4 3. Cotation d une obligation à taux fixe... 4
Plus en détailDans quelle mesure la baisse des taux d intérêt permet-elle de relancer la croissance?
Dans quelle mesure la baisse des taux d intérêt permet-elle de relancer la croissance? BIEN COMPRENDRE LES DOCUMENTS Document 1 m Mots clés bandes centrales baisse des taux politique monétaire lutte contre
Plus en détailEPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER
EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système
Plus en détail2 LES MARCHÉS FINANCIERS : ÉVOLUTIONS RÉCENTES ET PERSPECTIVES
LES MARCHÉS FINANCIERS : LES MARCHÉS FINANCIERS : 1. Le marché de la dette souveraine 4. Risque de refinancement des banques 7 3. Les marchés actions 3 4. Les marchés de matières premières 33 5. Les marchés
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée
Plus en détailLes comptes de la Banque de France
1 Le rapport sur la situation patrimoniale et les résultats Le Conseil général a arrêté les comptes de l exercice 2012 au cours de la séance du 28 mars 2013. Le résultat net s établit à 3 146 millions
Plus en détailLe système bancaire dans la crise de la zone euro. par Michel Fried* (Synthèse de l exposé fait au CA de Lasaire du 21/06/2012)
Le système bancaire dans la crise de la zone euro par Michel Fried* (Synthèse de l exposé fait au CA de Lasaire du 21/06/2012) La crise de la zone euro a mis en évidence les liens étroits qui relient la
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailANANTA PATRIMOINE PRESENTATION
ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION ANNEE 2011 1 ANANTA PATRIMOINE S.A. (Genève) est une société de gestion affiliée à l O.A.R.G. (Organisme d Autorégulation des Gérants de patrimoine) sous le numéro d agrément
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.2 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Enquête triennale sur le marché des changes et le marché des produits dérivés: résultats pour la Belgique.
Bruxelles, le 25 septembre 2007. COMMUNIQUÉ DE PRESSE Enquête triennale sur le marché des changes et le marché des produits dérivés: résultats pour la Belgique. En avril 2007, cinquante-quatre banques
Plus en détailCompétitivité française : Quelques constats
Compétitivité française : Quelques constats Gilbert Cette Banque de France et Université d Aix-Marseille Gilbert Cette 1 Sommaire 1.1 Dégradation alarmante 1.2 Dégradation stoppée 1.3 En particulier vis-à-vis
Plus en détailETABLISSEMENT DE CREDIT AGREE EN QUALI TE DE SOCI ETE FINANCIERE Société Anonym e à Directoire et Conseil de Surveillance au capital de ¼175 000 000
qph 75,0(675( 5$33257'8',5(&72,5( $8&216(,/'(6859(,//$1&( &2037(675,0(675,(/6 ETABLISSEMENT DE CREDIT AGREE EN QUALI TE DE SOCI ETE FINANCIERE Société Anonym e à Directoire et Conseil de Surveillance au
Plus en détailDécryptage des méthodes modernes de la création monétaire
Décryptage des méthodes modernes de la création monétaire Nikolay Gertchev Deuxième Université d automne de l économie autrichienne 5-7 Octobre 212, Troyes Eléments essentiels des systèmes bancaires contemporains
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailPerspectives économiques 2013-2014
Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:
Plus en détailCOMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE REGLEMENT N 2007-01 DU 14 DECEMBRE 2007
COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE REGLEMENT N 2007-01 DU 14 DECEMBRE 2007 relatif à la comptabilisation des comptes et plans d'épargne-logement dans les établissements habilités à recevoir des dépôts
Plus en détailPréambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique :
Préambule Nous vous proposons en préambule d estimer votre niveau de connaissances bancaires et financières en répondant à cet auto diagnostic. Que celui-ci vous soit prétexte à valider et à approfondir
Plus en détail1 LA SITUATION ECONOMIQUE ET FINANCIERE
LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE LA SITUATION ECONOMIQUE ET FINANCIERE. La situation économique dans la zone euro 0 0.. Les décisions de politique monétaire 0..2 Les marchés obligataires..3 Le marché
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailLe rôle du secteur bancaire suisse dans la transformation de l épargne en investissements réels
Le rôle du secteur bancaire suisse dans la transformation de l épargne en investissements réels Dans la théorie de l intermédiation financière, un système bancaire fonctionne correctement s il favorise
Plus en détailDORVAL FLEXIBLE MONDE
DORVAL FLEXIBLE MONDE Rapport de gestion 2014 Catégorie : Diversifié International/Gestion flexible Objectif de gestion : L objectif de gestion consiste à participer à la hausse des marchés de taux et
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailCirculaire NBB_2012_12 - Annexe 4
Politique prudentielle et stabilité financière boulevard de Berlaimont 14 BE-1000 Bruxelles Tél. +32 2 221 35 88 Fax + 32 2 221 31 04 numéro d entreprise: 0203.201.340 RPM Bruxelles www.bnb.be Circulaire
Plus en détailPrésentation du projet de jumelage
MISE EN PLACE D UN CADRE DE POLITIQUE MONÉTAIRE AXÉ SUR LE CIBLAGE D INFLATION À LA BANQUE CENTRALE DE TUNISIE Présentation du projet de jumelage Mohamed Salah SOUILEM Directeur Général de la Politique
Plus en détailLa Banque de France. 1- Les activités de la Banque de France p. 3. 2- Le système européen de banques centrales (SEBC) p. 4
La Banque de France Sommaire 1- Les activités de la Banque de France p. 3 2- Le système européen de banques centrales (SEBC) p. 4 3- Les activités de la Banque et son organisation territoriale p. 5 4-
Plus en détailIndications méthodologiques pour compléter les
Indications méthodologiques pour compléter les l annexes sur l état de la dette figurant sur les instructions budgétaires et comptables relatives à l exercice 2013 SOMMAIRE Sommaire 2 Documents de référence
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques
Ministère de l Égalité des territoires et du Logement Ministère de l Économie et des Finances GUIDE PRATIQUE Du provisionnement des emprunts à risques Application aux Offices Publics de l Habitat à comptabilité
Plus en détailDESS INGENIERIE FINANCIERE
DESS INGENIERIE FINANCIERE Mercredi 27 mars 2005 Philippe TESTIER - CFCM Brest 1 SOMMAIRE Le Change au comptant (spot) ; Le Change à Terme (termes secs, swaps de change) ; Les Options de Change ; Les Options
Plus en détailRAPPORT SUR LA CONVERGENCE
FR RAPPORT SUR LA CONVERGENCE juin 2014 En 2014, toutes les publications de la comportent un motif figurant sur le billet de 20 euros. RAPPORT SUR LA CONVERGENCE juin 2014 Banque centrale européenne, 2014
Plus en détailLa mise en œuvre de la politique monétaire suisse
La mise en œuvre de la politique monétaire suisse La Banque nationale suisse (BNS) dispose aujourd hui d instruments efficaces et souples pour mettre en œuvre sa politique monétaire. Depuis l an 2000,
Plus en détailTrès légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février
25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre
Plus en détailLe mot du Gouverneur. Photo: Timo Porthan.
Suomen Pankki (Banque de Finlande) Snellmaninaukio BP 160, FI-00101 Helsinki, Finlande Téléphone +358 10 8311 (standard) Téléphone +358 10 195 701 (communication) www.suomenpankki.fi www.rahamuseo.fi www.euro.fi
Plus en détail