L'ÉCONOMIE LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 25 JANVIER La crise pétrolière à l'envers

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1 L'ÉCONOMIE Pour votre régime d'épargne retraite Tasse & Associes. Limitée LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 25 JANIER 1986 La crise pétrolière à l'envers D'abord en 1973, et ensuite en le monde a tremble parce que les membres de l'organisation des pays exportateurs de pétrole ont fait grimper le prix du baril du brut. Six ans plus tard, le phénomène inverse est en Irain de se produire. Les prix chutent, niais au lieu de se réjouir, le inonde tremble a nouveau. Y a-l-il une logique la-dedans? Les baisses spectaculaires des prix pétroliers, surtout cette semaine, ont provoque la panique sur les places boursières, au siège social de bien des banques et dans de nombreux pays. Pourtant, en loule logique, le fait que le prix du pétrole brut ait chute de 25 p. cent depuis quelques mois devrait cire une excellente nouvelle. Mais ce qui fait le plus mal à une économie, ce sont les mouvements brusques el incontrôlables, quels qu'ils soient. Ce n'est pas tant la baisse des prix du brut qui provoque une crise, mais la façon sauvage et imprévisible dont ça s'est fait. Deux mois de remue-ménage Les jeux de prix qui font le plus les manchettes sont ceux du marche «spot». Le baril de brut s'y transigeait a plus de $^1 en novembre. eudi. il a frôlé la marque des $15. Mais c'est un marche jusqu'à un point marginal, par où ne passe pas le gros tie la production mondiale. Il est donc beaucoup plus spéculatif et suscite des comportements un peu semblables a ceux que l'on retrouve sur le marche des changes. Sur les marches a terme, des marches «de papier» ou l'on acheté du pétrole pour livraison dans quelques mois, dont les mouvements sont beaucoup plus significatifs, les prix ont luise la barrière des $20 mercredi et jeudi, mais ils se sont stabilises hier. Par exemple, pour le brut-étalon américain, le West Texas Intermediate, le prix pour livraison en mars est tombé a $19.70 pour remonter légèrement à $ 19,76 hier. Tous ces prix sont en dollars US. Quant aux producteurs canadiens, ils ont eux aussi annonce des coupures de prix, la quatrième depuis le debut décembre, ce qui porte le baril à environ $21. Cela est toutefois spectaculaire quand on pense qu'en on prévoyait que le baril de brut atteindrait $50 au milieu de la décennie. Mais les mouvements de cette semaine étaient prévisibles depuis décembre dernier, au moment où les marchés se sont mis à s'agiter. Le ministre saoudien du pétrole, le cheik Yamani, avait alors prédit que les prix risquaient de s'effondrer bien en dessous de la marque des $20 le baril. Le retour du balancier Tout cela est la deuxième inanche de la guerre qui a oppose les pays producteurs de pétrole aux pays consommateurs au cours des années 70. Mais l'arme a change. Il y a dix ans, la meilleure façon d'établir un rapport de forces avec les pays industrialisés consistait a faire grimper les prix. Maintenant, on fait le contraire. les treize pays de l'ep. dont l'arabie Seoudite, l'iran, l'iraq, la Lybie et le enezuela ont porte, en le prix du brut d'environ $4 à $ 16 le baril; en 1980, ils l'ont encore double. Ce fut un choc douloureux pour les pays consommateurs, qui ont alors connu un ralentissement économique et une inflation galopante. Mais ils se sont ajustes. Tout d'abord, en prenant les grands moyens pour réduire la consommation : économies d'énergies, petites voilures, passage à d'autres sources d'énergie, procédés moins energivores dans les entreprises. Cela a réduit la demande. Par ailleurs, d'importantes reserves de pétrole qui n'étaient pas rentables lorsque le brut se transigeait à $4 sont tout a coup devenues fort lucratives. La crise de l'ep a ainsi favorisé l'avènement de nouveaux producteurs pétroliers, comme la Norvège et l'angleterre, ou le Canada. L'ep a ainsi perdu une bonne partie de son monopole. De 70 p. cent, la part du marché mondial qu'elle contrôlait est tombée à moins de 40 p. cent. Ses membres ont tant bien que mal tenté de restreindre leur production pour éviter un effondrement des prix. Mais c'était particulièrement pénible pour les producteurs les plus fragiles, qui comptaient sur l'afflux des petrodollars pour survivre. On a maintenant adopté la stratégie inverse: une guerre de prix par laquelle ces pays tentent de reconquérir leur part du marché et de mettre au pas leurs nouveaux concurrents, surtout ceux de la Mer du Nord, en les forçant à accepter une production moindre assortie de prix plus élevés. Le tout a été amplifié par l'hiver doux que connaît l'kurope, qui a fait chuter la consommation. Les pays de l'ep produisent actuellement 18 millions de barils par jour quand, en fait, leur marche n'est que de 16,5 millions. Ainsi, parce que plusieurs pays industrialisés sont devenus d'importants producteurs, on les attaque maintenant là ont ils sont vulnérables, en menaçant la santé de leurs industries pétrolières. Reste a savoir si cela va durer. On ne doit pas bâtir de théorie a partir de quelques jours de panique dans un marché spéculatif. Sauf quelques pays, comme l'arabie Saoudite, dont les prix de production sont très faibles, la plupart des producteurs auront du mal a tenir longtemps le coup si les prix restent trop très bas. Plusieurs analystes estiment que la situation actuelle est temporaire. Le World Oil Magazine, par exemple, estime que les prix se fixeront dans la fourchette des $ 22$ 24 en Les gagnants et les perdants La crise que cela provoque a des conséquences qui varient selon le cote de la barrière où l'on se trouve. Les victimes se trouvent du côté des producteurs et les gagnants du côté des consommateurs. Par exemple, le Mexique, le deuxième pays le plus endetté du Tiers-Monde, compte sur le pétrole pour rembourser sa dette de $96 milliards. Le pétrole représente 62 p. cent de ses exportations. Si le prix du brut est trop bas, cela annonce une nouvelle crise financière, qui aura des conséquences en cascade, notamment sur les banques américaines qui ont généreusement prêté a ce pays. L'URSS, le plus gros producteur au monde, souffrira du fait que le pétrole est sa principale source de devises fortes. La Grande-Bretagne compte sur le pétrole de la Mer du Nord pour son développement. Les prix actuels ramèneraient sa croissance à 1,5 p. cent. Ouant au Canada, qui a investi massivement dans des ressources pétrolières coûteuses, comme Hibernia dans l'atlantique et la Mer de Beaufort, il perdrait l'un de ses seuls éléments dynamiques. Au Quebec, la deuxième Baie lames de M. Bourassa serait tout simplement non rentable. Mais les pays consommateurs, comme la France, l'allemagne, le lapon, seront les grands gagnants. C'est aussi vrai de plusieurs pays du Tiers- Monde, dont le Brésil et les economies montantes du Pacifique. Il faut noter que des prix pétroliers faibles auraient un effet salutaire sur l'inflation. À $20 le baril, l'inflation serait negative au lapon, tandis qu'elle pourrait baisser de un a 1.5 p. cent au Canada! Les consommateurs canadiens sont les dindons de la farce m Le prix à la pompe n'a jamais été aussi élevé à Montréal, au moment même où les prix mondiaux retrouvent presque leur niveau d'il y a dix ans. Aux États-Unis, on trouve de l'essence à 35 cents le litre, tandis qu'ici, Il faut payer 61 cents. Cette situation anormale décrit en un coup d'oeil l'absurdité de la politique énergétique canadienne et l'incroyable marge de manoeuvre dont jouissent les pétrolières établies au Canada. Deux obstacles empêchent les consommateurs canadiens de respirer un peu quand Ils font le plein d'essence. Tout d'abord les taxes. Dans un litre s'essence, ta part que prend le prix du baril de pétrole est minime. On ne peut donc pas s'attendre à ce que la baisse de 39 p. cent survenue depuis trois mois permette une chute similaire à la pompe. Un baril contient 159 litres. C'est donc dire que la valeur du pétrole dans un litre d'essence était d'environ 20 cents lorsque le brut valait S 31. A S19 le baril, le part du pétrole dans un litre tombe à 12 cents. Sur papier, on pourrait donc s'attendre à une baisse de 8 cents, soit une réduction de 13 p. cent. Mais dans les faits, on parle plus modestement d'une baisse d'au plus cinq cents. Cela s'explique par le fait que les taxes comptent pour plus de 40 p. cent du prix du litre, les frais de raffinage et de distribution pour un autre 27 p. cent. Ainsi, les pétrolières canadiennes ont baissé le prix de leur brut en décembre, mais cela ne s'est jamais rendu au consommateur en raison de la hausse de la taxe d'accise le premier janvier. Le deuxième obstacle vient des pétrolières, selon qui une baisse du prix du brut prend d'un à deux mois avant d'affecter le prix à la pompe, notamment parce qu'elles disposent de stocks de pétrole qu'elles ont acheté à prix élevé. L'argument n'est pas convaincant, parce que l'approvisionnement qui garnit les réserves est continu et que les stocks des pétrolières sont composés de brut acheté à différents prix. En outre, les jeux du marché peuvent nuire au consommateur. Si la demande pour les prix pétroliers est forte au printemps, rien n'obligera les raffineurs à couper leurs prix. Enfin, à la décharge des pétrolières, il faut noter que les compagnies peuvent difficilement ajuster leurs prix aux mouvements fous du marché mondial. D'une part, ces prix sont trop instables, et d'autre part, les pétrolières s'approvisionnent sur des marchés où les prix sont plus élevés que ceux qui ont fait les manchettes cette semaine. Mais cela ne justifie pas le fait que nos prix ne bougent pas ^ Jlj ^ i (+160) ( ) ( ) [ MONTRÉAL TORONTO DOW JONES Raffineries: le Québec au dernier rang jm Au premier rang des quatre ^ regions canadiennes de raffinage de pétrole jusqu'en 1977, le Québec est tombe en dernière place depuis la fermeture de la raffinerie de Gulf. MICHEL GIRARD La capacité nominale de raffinage du Québec n'est plus que de barils par jour, comparativement à pour les provinces atlantiques et un peu plus de pour chacune des deux autres régions, les provinces de l'ouest el l'ontario. De premier centre de raffinage au Canada, Montréal n'est plus aujourd'hui qu'un sous-centre régional. Elle a perdu son titre aux mains de Sarnia (Ontario) et Edmonton, ces villes ayant largement profité de la dégringolade que Montréal a enregistrée dans le secteur du raffinage. «La question fondamentale à se poser est la suivante: est-ce que le gouvernement fédéral considère Montréal comme un centre majeur de pétrochimie et de raffinage au Canada, au même titre que Sarnia et Edmonton? À mon avis, la réponse est non», de dire l'économiste Antoine Ayoub, directeur du GREEN, le groupe de recherche en économie de l'énergie de l'université Laval. $ (+6 60) L'OR (New York) Et c'est ce qui expliquerait, à son avis, pourquoi le gouvernement Mulroney n'a pas voulu empêcher la vente des actifs québécois de Gulf à Ultramar, sachant fort bien que cela entraînerait la fermeture d'une quatrième raffinerie à Montréal. Pour justifier la fermet 're des raffineries, les multinationales du pétrole évoquent toujours la traditionnelle rationalisation des opérations. Prétexte: la baisse de la demande. Tous les spécialistes interrogés concèdent que la forte baisse de consommation de produits pétroliers enregistrée au Québec depuis 10 ans a forcé les pétrolières à réviser leur production. «Les politiques gouvernementales visant à promouvoir la conversion au gaz ou à l'électricité des systèmes de chauffage, l'achat de plus petites voitures... ont eu pour effet au Québec d'entrainer une forte chute de la consommation des produits pétroliers», d'ajouter le responsable de la recherche et spécialiste en pétrole chez Tassé et associés, Pierre Ouimct. Chute Ainsi la part du pétrole dans le bilan énergétique du Québec est passé 70,6 p. cent en 1975 à seulement 45 p. cent en En contrepartie, l'électricité a gagné 17 points pour atteindre les 38,5 p. cent tandis que le gaz naturel voyait sa part augmenter de 6,3 à 15 p. cent. «Il est vrai que la demande pour les produits a fortement baissé au Québec -depuis 10 ans... mais pas au point où cela nécessitait la fermeture de la raffinerie de Gulf. À preuve, notre capacité de raffinage est maintenant inférieure à nos besoins en pétrole», souligne le nouveau ministre de l'énergie et des Res- CANADIEN -40/ sources du Quebec, John Ciaccia. «D'un point de vue québécois, la fermeture de la raffinerie de Gulf n'a absolument pas sa raison d'être. C'est pourquoi nous avons appuyé le projet de Gaz Métropolitain visant à l'acheter. Mais vu sous un angle canadien, la fermeture de Gulf fait évidemment l'affaire des provinces atlantiques et de l'ontario, qui pourront écouler une partie de leurs produits au Québec», explique pour sa part le président desoquip, Richard Pouliot. Au cours des cinq dernières années, le Quebec a perdu 50 p. cent de sa capacité de raffinage. Durant cette même période, l'ontario ne perdait que 18 p. cent, les provinces de l'atlantique connaissaient un fléchissement de 8 p. cent tandis que l'ouest enregistrait une augmentation de 15 p. cent. Depuis I983, les multinationales du pétrole ont fermé quatre des sept raffineries québécoises, celles de Texaco, BP, Esso et Gulf, toutes à Montréal. Il ne reste plus que les raffineries montréalaises de Petro-Canada et Shell, et celle de Ultramar, à Saint-Romuald, prés de Québec. Des statistiques recueillies auprès de SOQUIP et des ministères de l'énergie et des Ressources du Québec et de l'énergie, des Mines et des Ressources (fédéral), il ressort également que, de toutes les provinces, c'est le Québec qui a été le plus lourdement touché par les fermetures. Le Québec a vu en effet sa part de capacité de raffinage au Canada subir une forte diminution, passant de 27,2 p. cent à seulement 16,5 p. cent avec la fermeture de la raffinerie de Gulf. L'Ontario a réussi à maintenir sa part au même niveau (33 p. cent) alors que celle des provinces de l'atlantiques grimpait de deux points de pourcentage pour atteindre 18 p. cent et celle de l'ouest passait de 23,4 à 32,5 p. cent. Paradoxalement, c'est au Quebec que. depuis 1980, les raffineries ont toujours opère à leur plus haut niveau de capacité, soit près de 80 p. cent. La moyenne canadienne du taux d'utilisation de la capacité de raffinage se situait l'an dernier autour de 70 p. cent. Avec la fermeture de la raffinerie de Gulf à Montréal-Est. le Québec souffre maintenant d'une sous-capacité de raffinage évaluée à quelque barils par jour, selon une étude publiée par l'hebdomadaire américain Oil Buyers Guide. Cette évaluation lient compte du marché de l'outouais, lequel est traditionnellement desservi par les raffineries montréalaises. Contrairement au premier ministre Brian Mulroney qui conteste cette evaluation, le ministre de l'energie el des Ressources, ohn Ciaccia, l'approuve. Il en est de même du président de la société d'état SOQUIP. Richard Pouliot et de l'économiste Antoine Ayoub, directeur du Groupe de recherche en économie de l'énergie, de l'université Laval. La chute des prix mondiaux du pétrole rend la fermeture de la raffinerie de Gulf encore plus déplorable pour le Québec. En raison de ses intallations portuaires, indique M. Ayoub, Montreal est facilement accessible aux pétroliers en provenance des pays producteurs. Si la chute des prix se maintient, cela signifie qu'il deviendra plus rentable pour une pétrolière d'acheter son pétrole brut de l'étranger que de l'ouest canadien. On aurait même pu redevenir exporteur de pétrole raffiné. Mais avec la fermeture de la raffinerie de Gulf, cela ne sera pas possible puisque nous ne sommes même plus capables de repondre à nos besoins actuels. Lt ENRICHISSEZ OTRE TRU tt * T GENERAL REER DEPOTS GARANTIS 1fl'/2% if! Û 5ANS IU > IU»«v INTÉRÊT ANNUEL,l Taux sujets à confirmation "",r ' ANNUEL 1 AN INTÉRÊT ANNUEL REER FONDS DE PLACEMENT* Actions canadiennes: 22,3% Obligations: 23,8% Hypothèques : 15 % iujbt! 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2 C 2 LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 25 JANIER 1986 ITT-RAYONIER DE PORT-CARTIER La réouverture de l'usine chaleureusement accueillie mm PORT-CARTIER Les Port-cartois ont accueilli avec un rare enthousiasme, hier, une nouvelle attendue depuis CAROLE THIBAUDEAU plusieurs jours: la reouverture de l'usine ITT-Rayonicr, close depuis sept ans. L'usine devrait être en état de fonctionner dans deux ans. Ce projet de $102 millions, auxquels s'ajoutent $5.2 millions à dépenser en infrastructures routières, est promu a parts égales par Cascades et Rexfor avec l'aide du gouvernement provincial mais pratiquement sans aucun apport financier du fédéral. Ottawa aurait promis en revanche de contribuer par d'autres programmes à l'économie québécoise. «oilà qui devrait redresser en partie l'économie de la Cote Nord, si durement éprouvée ces dernières années», a déclaré le ministre de l'énergie et des Ressources, M. John Ciaccia, devant 450 personnes réunies au Centre d'éducation de Port-Catrier. Le projet, que le président de Cascades, M. Bernard Lemairc, caressait depuis cinq ans, consiste a convertir l'ancienne papeterie en usine de pâte chimico-thermomecanique blanchie, «la paie du futur» selon lui, car elle produit deux fois plus de papier que la pâte traditionnelle. Les sociétés Cascades et Rexfor fournissent chacune $5 millions en actions ordinaires. Québec, probablement par l'intermédiaire de la SDI, consentira un prêt sans intérêts de $21,3 millions, de même qu'un prêt bancaire de $40 millions. ITT et Rexfor apportent respectivement $12,5 millions et $17 millions sous forme d'actions privilégiées rachetablcs. Le gouvernement fédéral accorde un crédit d'impôt sur l'investissement d'une valeur de $1,2 million. Les fonds nécessaires à l'amélioration des accès aux forêts seront assumés par le gouvernement du Québec. Le ministre Ciaccia s'est déclaré satisfait de l'entente conclue 250 contrats d'or négociés en 20 minutes n ( PC ) C'est par la négo- ciation de 250 contrats dans les premières vingt minutes, pour une considération totale de SUS 7 millions, que la Bourse de Montreal a inaugure hier les transactions sur l'or dans son marche a terme. M. Sam Luft. directeur des contrats a terme et des options à la Bourse a dit qu'il s'agissait d'une «autre grande étape de franchie en vue de faire de Montreal la capitale de l'or au Canada». Pour les trois compagnies américaines qui se chargeront de maintenir le marché : Refco, Republic National Bank et Merril Lynch, l'objectif est d'aller chercher une nouvelle clientele canadienne, qui jusqu'à récemment, a négligé la couverture de risque offerte par le marche à terme, ou osé spéculer sur les gains que l'on peut y réaliser. Ce n'est que graduellement que pourront s'y ajouter des ordres en provenance des États-Unis ou d'ailleurs dans le monde. M. Andre Saumier, président de la Bourse, a déclaré que l'industrie minière est traditionnellement très conservatrice, probablement en réaction aux très grands risques auxquels elle doit faire face, mais que ces dernières années, elje a commencé à réaliser les avantages qu'il y a à protéger ses revenus futurs avec les contrats à terme. Le nouveau contrat à terme sur l'or est un contrat standard de 100 onces, avec règlement en espèces plutôt qu'avec la livraison physique de l'or, comme c'est le cas à New York sur le Comex. Le règlement a la fin du mois sera base sur le second prix fixé par le marche de Londres. La particularité du règlement devrait aider a diminuer les coûts et les restrictions liées à un contrat prévoyant la livraison physique de l'or, même si de façon générale, seulement 1 pour cent des clients s'en prévalent. avec Ottawa. «Il existe plusieurs ententes entre le gouvernement fédéral et le notre et nous n'en demandons pas plus». a-t-il succinctement commenté. Le ministre a ajouté qu'il considérait l'investissement de Port-Cartier non seulement comme un geste socialement important mais aussi comme «un bon placement» pour le gouvernement du Québec, avec un rendement de 12 p. cent. Les coûts du projet se répartissent comme suit: $17,5 millions pour le rachat de l'usine aux Industries ITT-Canada, $b0 millions pour les modifications à l'usine, $9,5 millions en coûts de pré-produciton et $15 millions de fonds de roulement. Rexfor obtient pour les sept prochaines années le contrat d'approvisionnement en matières ligneuses, soit annuellement tonnes de copeaux et metres cubes de bois rond. La mise en marché sera confiée à ITT. La révouverture de l'ancienne usine, dont on ignore encore quel sera le nouveau nom, créera 385 emplois permanents, apport non négligeable dans cette petite ville de b 000 habitants (la moitié de ce qu'elle a été), où une personne sur deux ne trouve pas d'emploi. NIM à $67,78 ng La valeur des actifs de la so- ciéte NIM. un groupe de fonds mutuels, se situait à $b7.78 l'unité au 21 janvier, a fait savoir un porte-parole de la compagnie. Toutefois, les unités de NIM- Quebec atteignaient, à la même date, une valeur unitaire de Sb4,l6. LA BOURSE Pertes effacées mm Suivant la tendance de Wall Street, les bourses de Toronto * et Montréal ont rebondi hier et effacé en bonne partie les pertes importantes subies au début de la semaine. À Toronto, l'indice TSE 300 a gagné à 2 810,14. Tous les indices secondaires étaient en hausse, les aurifères faisant le bond le plus important grâce à un prix de l'or en hausse. La journée a été active avec 23,6 millions d'actions échangées. Les ventes massives de pétrolières ont cessé et Imperial Oil a monté de A à 47 A. Campbell Red Lake a gagné I A à 32 '/«et Lcho Bay 1 '/«à 21 %. Par contre Gulf Canada a perdu /& à 20 % et Mitel i à 6 %. À Montréal, l'indice général a monté de façon substantielle, gagnant 1,60 à 137, 67. Tous les secteurs étaient en hausse, surtout les produits forestiers. La journée a été très active, avec un volume de 8,5 millions d'actions. New York a connu une excellente journée, les investisseurs délaissant les pétrolières pour se tourner vers des secteurs qui bénéficieront de la baisse du prix du pétrole, comme les sociétés aériennes. L'indice Dow lones des industrielles a gagné 18,69 à I 529,93, alors que 129,5 millions d'actions changeaient de mains. Republic a gagné I A à 15 A, mais NWA a perdu 7 /«a 47. federal Express a gagné 1 '/ià6l 7 /i. Pepsi achète Seven-Up mm NEW YORK Pepsico Inc.. le deuxième fabricant américain de boissons non-alcoolisées, va acheter Seven-Up Co., situé au troisième rang de ce secteur, à Philip Morris pour $380 millions, a annoncé, hier, la direction de la firme. L'annonce de ce rachat vient confirmer les informations de presse qui circulaient ces derniers jours et faisaient état de cet accord d'acquisition. En absorbant Seven-Up, Pepsico fait passer sa part du marché américain des boissons non-alcoolisées de 29 a 35 p.c, renforçant ainsi sa position face à son concurrent Coca-Cola, premier fabricant aux Etats-Unis avec près de 40 p.c. des ventes totales. De son coté, Coca-Cola vient d'annoncer le lancement d'une nouvelle gamme de sodas fruités et vitamines pour tenter à son tour de se placer sur ce créneau qui selon les analystes est appelé à ce développer. Il vise également à entamer les positions déjà prises par Pepsico sur ce marché. Pepsico avait été le premier en 1984 à lancer des sodas contenant 10 p.c. de jus de fruits, répondant ainsi à une nouvelle demande des consommateurs américains pour des boissons gazeuses plus nutritives. Philip Morris, un des principaux fabricants américains de cigarettes, avait acheté Seven- Up en 1978 pour $520 millions afin de diversifier ses activités.' Mais, au cours de ces dernières. années, Seven-Up a vu ses résultats se dégrader en raison de la forte concurrence de Coca-Cola et de Pepsico. Ces mauvaises performances ont incite Philip Morris à chercher a revendre Seven-Up depuis plus d'un an, ont indiqué des analystes. LOPTÎONS TRANS-CANAM(transigees) F*fm ùv M ol «iron. Tittt tai i H CH. kl» ol CH ^m Ton ijmc E» S7I Bit K M» t P et 88 : içric E v, :: S24 6» IN F !SS0! : -r/nc E A«!! B. Mtl ft 30 p 200 lilt AiCrjr] ft 3S 13.4,1 $/', 542-, t> km ft *5 2SI tcon F6 JS P s un s I42S Bk ft 32 ip 10 3k6 19 8)2 : ft m ss W>. Bk M*.» ! 832'; UOfi n v P».«73 10 S4!>. Bk. 3! IS : iléon fit) 5 H StPi Bk Mil» 32 ;P S 2* Slcon ft 40 P 135 MO S B- Mil H, lleon rt n 104 t !'. 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4 LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 25 JANIER 1986 LLÂ bourse en olume: Faits MONTRÉAL endredi saillants: endredi Actions trans Gains Pertes Inchangées Hauts Bas aleurs les plus actives olume aleurs Ferm GulfCda American Res. 3, Bell Enterp. 38< Norcen -A- 14 s /i B.NatduCda 24 Juniors -' Mines et pétroles olume en cents Ferm Oasis 1,15 Wnghtbar 1.90 Yorbeau,75 WrightbarWts,55 Ad Mêlais Wis,16 l TORONTO suite de la page C8 olume* Haul 6a «Clot ol ar. -% +,15 olume: Faits endredi Actions trans Gains Perles Inchangées Hauts 86 Bas 86 TORONTO saillants: endredi aleurs les plus actives olumes aleurs GuHCda Mitel 6% Ferm Can.Pacifie 17i -% I Bell Enterp 38',. +tt TD Bank -C 25.! Mines et pétroles ar. I olumes en cents Ferm. inch Lochtel -A-, NumacOil 11 +, Amer.Barrick 10. -, Sonora 5. inch Seabnght-A- 3, Houl Bot LS Steei lo 115 llt'l 35'. 2S\ 'i 2»'. 34». Un Tire IS IMOI 6,P : 14 34': 14', 11 vs Setv 11'0 sir S 71 alut In» > i - S 11». 1'. alut p >.il5 517'. IIS alut S'. 160 cn [1er S 175 -S ?ar»n o e'sti A IIS r. 305 enn Ci a « «10 i US ^ er St' Cor p ' l?>. 11 ' i ïe-si! " 25' 25' 32'. 30 etst' l"is0 105 It 104 IS Çes'g'on « s uicon mo « NIC g i 67»0 51'. 1 : 11 10', IS - A lit 10S ISS 73 Wolai i 1000 Sit. 11 It - S 17 I0S Àaioi Hi I'OO 511 3?' , 74 wa'.et ft 6SII43 SUS 2»'. 301 S 34 25'. ' i It'll S 21S 7t>. US - ' 11'. 24'. ««'1er ; 21 >«t 52». 21'. it. 30-, 77 <W ", 77. >. 21 ; 77.'.oner '.665 ;os ISO A'.r 111! «5564» 4)5 345 vt - 43» S.,vc liana ISM no I'S 3' Ui «oi».n S iorsor SU It'. I7'i 'i 21', 12S arren » ; 77 21': 34 IS Aorington IC' Aosoo SS 55-14»S 20..eio«5« '. 20 >. '«27 12». Aesiar» p '. 24 \ - S 77'. 23S AstSume SI7 1 If. 17 '. IIS 13 ACOO't 1 I4»13l 11» 11. 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S'. - ' Wifanour «166] Il so wileo o wilsrtir E o t' «in-eh o SS ii Aooflod A 5111» SIS»'e 7S S 1«S SS AEate A t 5151 I I. ' '. 'S 7». AEaute 1 « II ) «Eau n» ISO no Ce' o «1 SI «Co> « S'> 14'i 14', s.eroi '. 11'. 21'. 4lS 71'. 17'7 'eroi « II! 210 « >Pl IS SI ««/Pi SO ik seat 2l«'e S!. rs 1 14'. S Yksn.re Sic. 73' S 20'i 11.'o.iii 141S0 uo HO no Porliolly Pom Shores B'Tel oor Sit i 1.'. 14' CDC i R «415 S 5'. IIS Piocei i» SIS'. ll'i 12S -». 14 Porlnership Umis O'i LennOortf S 7S 7S 9. 6 S P Storaoe IS IS IS 32 Storoa II » Lepog t 100 S >5 14, I4S - ', I6S 14'i t) Lepog 2400 IS SS 35 Trusl Units C incame u nos 10S ICS 10'. 10'. C Perm un SIOS loi 10',- ', 10». IS OstPr Ti u SI'S 17 «ne Gam u » I7S '. 17': II' ar. 1-2, , J( Traded in US Funds «lum B ', 26'. _ i 27», 24'. Aliffl d pr ii 1. 25'. 'i 76 S 74 isomtro 7300 SIS IS IS S 1». IS 8o«ly S 2«S _ i, 21 32', C orconi 600 S S 11', 14 Ch'rSler 4100 S41S 4IS 41S 11'. 33 C Both SSI. sss 55', ', 51': SI imp Oil 7100 SI. 32S 12S -1 1»S 32S iev 14» SHI: 141', 141', S 111 Mercntl 1 1SI00 5)9 21', 21». 31 IIS Osbn Chop a II S S 190 Ronger p : 25',!!'. _ 2»'. 22'. RiTrco 0 p : 21 21'. : »'. Sect 3 33 p IOOC : 11 S 31', 21'. Minbg lit' 27', 21 3«26.,'ORATI MARCHÉ DE WINNIPEG Cotes des contrats a terme de I or. en dollars américains, a la [i des denrées de Winnipeg Contrats de 20 onces Ouv Haul Mats 86 Jiwi 86 - Sep'86 Dec Mars 87 - olume 06 nef CONTRATS OE 20O ONCES D ARGENT Ouv Haul Jan, 86 A,rii86 M 86 Oct Jan. 87 l/ohjif-e de n,i i? suite de la page C6 Ctl di. oloum onlol Hovl Bel F Nd oloun v.rm Haul tat Ft rm N.I i-toc- 1 \m M Wort rei 10ÎWO 121 IX Tremmco \m grilgr Tri sasin m IN 101 -S Woinlx i Tri poc m m 31 Wet Knap 100 MS MS I0S Triockr a SS 17 rwotcti Trorxono 1 7J Wexan i S Trumpri 700C «2 Wni nar MS » TugoM m Wnt nars S TurMro gld S1«M m Ji WH annoee 2* NO 200 Tumtotl 1 iwos «S Wjttn (On «-5 Tyloi rei 1SO «4 Weil pot no 1SS III 73 Unkotn rs ) «Wit trofy « UK) CamM SS Wifn Warn 2000 IS 15 IS Utd 9WMI « H W«no»t i 10» «4 utd CaM J70C M W «mit» i ? >JW HMrro » 715 m «s WeMunn i SI SS St -3 UM Koarr i 6000 SS SO SS «10 West»* i 5100 NI 725 m Ut) l*tt< 1000» n w «1 Wilcfie i M 76?soo «i -1 Amdorro 7550 a 51 SI 1 Uiiv. rwri I 1500 N H as -5 Wmftliw Uoivei 1 m 57 S? s: «2 Wintlman 2000 ao 76 N ; ««tout SI? 400 SI! 32 Winston rs ITS ITS I2S OWvOU «00 M 13 M WiSCO t»j M vomtotn i TSW ta Wrta cmrrl j ontmo ÎSO0 IS II ai -i WrM cm r isoooo vortei 1 \ax ITS US 117 «i? 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No 92. $4.909 le kg; No 93 $4 929 le kg: prix moyen du grossiste au détaillant $5412 le kg Fromage Cheddar au kilo blanc. $5009 colore $ Produits concentres lait en poudre ecreme No 1, sac de 25 kg, $2 926 le kg. lait ecreme destine a l alimentation $ petit lait en poudre comestible. $0 478 le kg. petit lait destine a l alimentation. $0 395 le kg lait de beurre pulverise $2177 le kg Oeu/s prix de gros aux detarllants. en carrons dune do* A-extra-gros $ A-gros A-moyens. $ ; A-petits Prix de gros aux producteurs, établis par la Federation des producteurs avicoles du Quebec A- exlra-gros ; A-gros. $0.99. A-moyens 50 92; A-petits. $0 55 A-peewee Pommes de terre, prix de gros: Quebec. SO 45 a $0 55 le 10 lb. $0 80 a $0 90 le 20 Ib: $1 65 a e 50 lb. IPE. $0 70a $0 75 le 10lb. $1 35 a SI 40 le 20 lb a $285 le 50 lb OUTILPOUR COUPER lû owi antm Haut Bo. F-n, di N*t atrun. r>t*l Haut Bai Sn Not A i l «no 100 SIS S S Kntri IIS IX «S Am chr M -S loti res ai Am chr b A OOkoO 1I0O Modsn Madré Andre* 20CO X McnN 6500 M H 10 Argus « Aew 17.( IX its 40 Art kl ti 1500 IS Motrli 3S0O 75 7S 75 Aurun a a Med res FjncOr 2H700 M M M M M Barron h » tfilner IN -1 Bov res OS II 1 «1 Mstnejo H -1 Btrt en HO Mite» 6100 « BM pel b 300 7M 7K 710 Neiimd SS SS -4 Btkxe IS ts N impôt IN IN Brtec en J IS IS «4 Ne* cln 'ck gld 500 N N M S Mw mem H.5 Boreols N Jt ne*pss S s S Cdo n« Nthgn « M X -i C rjosho 1300 SI SS SS.2 IIRT rsr M TOO -10 C enter '0 70 Orme! II X C omner IS 10 Penont Mil >» 1» lit S Choog Pere pet '- Ht ll'l '«J Clnccr Felrhnt tl 15 M Clou* Ht» a 370 Ht -5 Pomoc Cocn'n Prarl Pc 1* H 1 Corfo. ' /c. 37 Probe d M Cart e n Oumlko Cq»!» R i on X X C gscom m Rvmr Cons m Rensnc 250 Con im g II» S i s eipl n X Coït», M 15 Son ont IX 1» Cuttus S S 1 San poui 000 « Cypres a II Savono N IN.15 Deb 71 un ': US ll'l Seadrtt X IX.43 Bervyn Seagull X.1 Des*n SI 41 a -t Shogh X X Eden toc ? Shngtte 1700» M i:.4 Ekaton )S 140 Slvr ent SMO 100 IN m -10 Enercn SU hrl o 1600 nos 10S 10» '. Ermos 500 7S Slt.irrd s 1st cdn 200 r i 110 S Smond SS -15 Ftog rs Sprngk Fmg IN a Stockm FregH now 7» 71 IB 71 «s SuM IX Gkm str n.10 Sumrt » M 7 Grt env «090 :y X Sunstr a S Grsmrt 1250 D5 IDS MS -25 Tonner IS -1 HoUmc «60C ti Tti us 4000 (S Hecn-^i 3750 m :;: -25 Traopr X :: Homstk IS Tromtn XI Ml -.1 md Twin o titnsit, Urvrs ei i: Hier ttd m 'IS vencap IS m «4.!-! Si Kl 35 N «1 2enmc 1200 UO M 140 'K JOSS 2S X 130 m -10 TOTAL OLUf IJS6JS1 LjTOBONTQ tuite de lo page C 5 en alour. ont*. Haut 6a«Font. N*t en. alour..nto. Haut Ba. Form. Not Tir-tma Uim» C S16». 26'. 26'. 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Cal taui sont qualifiât da nomimaui parce qu'ils fluctuent durant la joumee at qu'il» varient d'una banque i l'autre i-taui mensuel fixa: Atnque du S. AII«matjno O Ar. Saoudite Auttralte Aulne lu- Bahamas Bahrain Baroada Belgique Oermudes Brésil.Bulgaria CaraitMB Chine Colombie Coim Oanemark EAU. Espagne Liais unis FM Finlande France Grèce Guyane Hong kong Hongrie Inde Indonésie Irak Irlande larael Italie Jamaïque Japon Kenya Koweït Liban Malays* Mexique Norvège NZ6lande Pakistan Pays Bas Philippines Pologne Portugal Roumanie Royaume U Singapour Suide Sunae Tan.anta «Tchecosl Tnnided T. URSS ene.uela Yougoslave Lo. col*,.ont Rand Mark Rial Schilling Dinar Franc Cruleiro L«v Renminbi Peao Mon Couronna Dirham PeMta Dallai Mark Franc Drachme Forint Roupie Rupiah Dînai Livra Shekel Lire «n Shilling Dinar Livra Ringget Peao Couronne Roupie Flonn (Peto) Zloty Etcudo Leu Livre Couronne Franc Schilling Couronne Rouble Bolivar Dinar an davi»*i U-'ARfflllL 50, ,5150 $ , , (975 50, , , , , , SO.1B , S0.06S O.0O9642 SO.009O29 50, car.*di*nn*. Les courtiers londoniens ont hausse nier le prix de l'argent de $0 082 cents américains par rapport a I ouverture de la veille endredi S MONTRÉAL Handy & Harman évaluait le prix de l argent canadien à S8 752 l once troy NEW YORK Handy & Harman s évaluait le prix de i argent américain a $6 190 I once troy WEou n 5900 IX I5S IX 3 Xeroi xero* * MO SU». 11'. IIS I H RI 1>. vrl SS n eeor SIX Si. 7'. I vksi»e IX', NX X. Z«rti t'00 IX 125 IX PcrMIy Po,d Shorts BrTr odr» 600 $3«S 3.'. ].». 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