Le changement climatique et ses. impacts sur l eau
|
|
- Albert Félix Lamothe
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le changement climatique et ses Cliquez pour modifier le style du titre impacts sur l eau Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque Olivier Rivière olivier.riviere@meteo.fr Niort 04/12/2012
2 Mise en évidence du changement climatique Définition internationale du changement climatique (GIEC 2007): variation de l état du climat que l on peut déceler par des modifications de la moyenne et/ou de la variabilité de ses propriétés qui persiste pendant une longue période (quelques décennies ou plus) Besoin de longues séries de données
3 Cliquez pour modifier le style du titre Changement climatique: ce que nous disent les observations à l échelle globale Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque
4 Au niveau global: un réchauffement incontesté Mise en évidence à l échelle de la planète au moyen d indicateurs variés (températures, niveau de la mer ) «Probablement du à l accroissement de la concentration de GES» (GIEC 2007) Concordance entre évolution des systèmes physiques et biologiques et le réchauffement observé
5 Écarts de température ( C) par rapport à la moyenne relevée entre 1961 et 1990 Le réchauffement climatique : La température augmente à l échelle du globe 0.73 C Depuis un millénaire dans l hémisphère Nord (température moyenne de surface) (GIEC, 2007)
6 Le réchauffement climatique : La température depuis ans Température ( C) et concentration de gaz à effet de serre en Antarctique : dioxyde de carbone (CO 2 ) en ppmv, méthane (CH 4 ) en ppbv Source : Petit et al, 1999
7 Changement climatique: ce que nous disent les observations à l échelle régionale
8 Homogénéisation : pourquoi!? Hier Aujourd hui Homogénéisation: correction statistique des séries de données pour éliminer les ruptures liés à l «l effet de poste» (changement de capteur, déplacement de la station, ) Objectif: créer des séries de référence permettant la mise en évidence du changement climatique
9 Un réchauffement mis en évidence par les indicateurs thermiques Augmentation observée des températures de l ordre de 1 C sur un siècle sur le grand Sud-Ouest
10 Tendances des températures minimales et maximales (en /siècle) Minimales (Tn) Maximales (Tx)
11 Anomalie C, ref= Evolution des températures à Niort depuis 1959 Série de T Niort année Réchauffement d environ 0.06 C/an sur
12 Une réalité observable: évolution des précipitations observée depuis un siècle PRINTEMPS ETE HIVER Tendance (%/siècle) des précipitations annuelles AUTOMNE
13 Des précipitations annuelles en légère hausse sur le XXème siècle à Niort RR Précipitations annuelles (Niort)
14 RR RR RR RR mais des inégalités selon les saisons Hiver: ~0.7mm/an Précipitations DJF (Niort) Précipitations MAM (Niort) Printemps: ~0.25mm/an Précipitations JJA (Niort) Précipitations SON (Niort) Ete: ~-0.1mm/an Automne: ~0.3mm/an
15 SWI Des sols de plus en plus secs Calcul de l humidité des sols grâce à la chaîne de modélisation hydro-météorologique SIM Humidité des sols (SWI) sur les Deux-Sèvres SWI: indice d humidité des sols =1 si besoin en eau satisfait =0 au point de flétrissement Les sols sont en moyenne de plus en plus secs sur le territoire d où des sécheresses agricoles (édaphiques) plus fréquentes
16 des sécheresses agricoles plus fréquentes et plus intenses en Poitou-Charentes On parle de sécheresse lorsque le niveau de la ressource en eau est inférieur aux normales climatologiques (ici ) du lieu considéré Sécheresses modérées Sécheresses sévères Sécheresses extrêmes
17 Un réchauffement qui impacte également plusieurs systèmes biologiques et physiques
18 Date des premières vendanges à Cognac Source: Snakkers G Evolution des stades phénologiques et des caractéristiques de la production constatées pendant les dernières décennies. Journée technique Station Viticole BNIC 2007.
19 Apparition de la première feuille de marronnier à Genève (Suisse) Source: MeteoSuisse Plus longue série phénologique de Suisse (1808->) Nette tendance à la précocité de ce stade phénologique
20 Observations ichtyologiques: exemple du Saint- Pierre N Saint-Pierre Quéro et al., 1998, Ifremer S Migration vers le Nord d espèces de poissons à affinités tropicales
21 Impact du CC sur les migrations des oiseaux Impacts difficile à évaluer et variable selon les espèces: Modifications des dates et stratégies de migration différentes suivant les espèces (hibernation dans le Sud de la France plutôt qu en Afrique, migration estivale avancée, ) Hivers plus cléments pour espèces sédentaires
22 Les causes du changement climatique
23 Les causes du changement climatique : Le forçage naturel : les paramètres orbitaux (Milankovitch, 1920) Précession Inclinaison Excentricité
24 Les causes du changement climatique : Le forçage naturel : la variabilité solaire
25 Les causes du changement climatique : Le forçage naturel : l activité volcanique Refroidissement en surface : entre 0,2 et 0,4 pendant 1 à 2 ans
26 Les causes du changement climatique : Le forçage naturel et anthropique : l effet de serre H20 + CO2 + CH4 existent naturellement dans l atmosphère et ont un effet bénéfique sur le climat : Température de 15 C en moyenne sur le globe, qui serait inférieure à 18 C sans leur présence Source: Météo-France
27 principalement d origine anthropique Variations de la température moyenne globale en surface simulées et observées (GIEC 2007) Simulations avec forçages naturels Simulations avec forçages naturels et anthropiques
28 Que nous prédisent les modèles de climat?
29 Comment modéliser le climat futur? Le système climatique Variabilité Solaire Atmosphère Gaz à effet de serre (H 2 O, CO 2, CH 4, N 2 O, CFC, ) Aérosols Volcanisme Glaciers Calottes Banquise Océans Activités Humaines Biosphère Rivières et lacs Surfaces continentales
30 Les modèles de climat U t 2 U. Source: IPSL A partir d hypothèses sur nos émissions futures de GES (scénarios A1B ), les modèles proposent des projections (et non pas des prévisions) climatiques.
31 Impact des différents scénarios sur le réchauffement global (source GIEC, 2007) -de 2000 à 2100 : +1.1 à +6.4 C selon les modèles et les scénarios -B1 = estimation la plus probable : +1,8 C -A2 = estimation la plus probable : + 3,6 C -Avant 2030: peu de différences entre le scénarii => futur inévitable (importance de l adaptation)
32 Une idée du changement climatique Température moyenne d été Observations et scénario A
33 Nécessité d une descente d échelle Scénarios climatiques globaux ~ 300km Scénarios climatiques régionaux ~ km Modèles d impacts ~qq m - qq km
34 Climat futur: moyenne annuelle des températures moyennes (écart en C à la référence ) 5.5 C 5.5 C 5.5 C 5.0 C 5.0 C 4.5 C 4.0 C 5.0 C 4.0 C 3.5 C 5.5 C 4.5 C 4.5 C 3.5 C 4.0 C 3.0 C 3.0 C 2.5 C 2.5 C 3.5 C 3.0 C 2.2 C 2.2 C 2.5 C 2.0 C 2.0 C 1.8 C 2.2 C 1.8 C 1.6 C 2.0 C 1.6 C 1.4 C 1.4 C 1.2 C 1.6 C 1.4 C 1.0 C 0.8 C 1.2 C 0.8 C 1.0 C 0.6 C 1.8 C 1.0 C 1.2 C 0.6 C 0.8 C 0.6 C 0.6 C 5.5 C 5.0 C 5.5 C 5.5 C 4.5 C 5.0 C 5.0 C 4.0 C 4.5 C 3.5 C 4.0 C 4.5 C 4.0 C 3.0 C 3.5 C 3.5 C 2.5 C 3.0 C 2.2 C 2.5 C 3.0 C 2.0 C 2.5 C 2.2 C 1.8 C 2.2 C 2.0 C 1.6 C 2.0 C 1.8 C 1.4 C 1.6 C 1.6 C 1.4 C 1.0 C 1.4 C 1.2 C 1.2 C 0.8 C 1.0 C 1.0 C 0.6 C 1.8 C 1.2 C 0.8 C 0.8 C 0.6 C 0.6 C 2030 (Météo-France/Datar)
35 Climat futur: moyenne annuelle des températures moyennes (écart en C à la référence ) 5.5 C 5.5 C 5.5 C 5.0 C 5.0 C 4.5 C 4.0 C 5.0 C 4.0 C 3.5 C 5.5 C 4.5 C 4.5 C 3.5 C 4.0 C 3.0 C 3.0 C 2.5 C 2.5 C 3.5 C 3.0 C 2.2 C 2.2 C 2.5 C 2.0 C 2.0 C 1.8 C 1.6 C 2.2 C 1.8 C 2.0 C 1.6 C 1.8 C 1.4 C 1.4 C 1.2 C 1.6 C 1.4 C 1.0 C 1.0 C 0.8 C 1.2 C 1.2 C 0.8 C 1.0 C 0.6 C 0.6 C 0.8 C 0.6 C 0.6 C 5.5 C 5.0 C 5.5 C 4.5 C 5.5 C 4.0 C 5.0 C 5.0 C 4.5 C 3.5 C 4.5 C 4.0 C 3.0 C 2.5 C 4.0 C 3.5 C 3.5 C 2.2 C 3.0 C 2.0 C 2.5 C 3.0 C 1.8 C 2.2 C 1.6 C 2.0 C 1.4 C 2.5 C 2.2 C 2.0 C 1.8 C 1.2 C 1.6 C 1.8 C 1.6 C 1.2 C 0.8 C 1.4 C 1.0 C 1.4 C 1.0 C 0.6 C 1.2 C 0.8 C 1.0 C 0.6 C 0.8 C 0.6 C 2030 (Météo-France/Datar)
36 Climat futur: moyenne annuelle des températures estivales (écart en C à la référence ) 5.5 C% 5.5 C 5.5 C 4.5 C 3.5 C 3.5 C 3.0 C 3.0 C 2.0 C 1.8 C 1.6 C 2.2 C 1.8 C 2.0 C 1.6 C 1.4 C 1.4 C 1.2 C 1.4 C 1.0 C 1.0 C 1.2 C 0.8 C 0.8 C 0.6 C 0.6 C 1.8 C 1.6 C 1.2 C 2.5 C 3.0 C 2.2 C 2.0 C 2.2 C 3.5 C 2.5 C 2.5 C 4.0 C 4.5 C 4.0 C 4.0 C 5.0 C 4.5 C 5.5 C 5.0 C 5.0 C 1.0 C 0.8 C 0.6 C 0.6 C 5.5 C 5.5 C 5.5 C 5.0 C 5.0 C 5.0 C 4.5 C 4.5 C 3.0 C 3.0 C 2.2 C 2.0 C 2.0 C 1.8 C 1.6 C 2.0 C 1.2 C 1.6 C 1.4 C 1.0 C 1.0 C 1.2 C 0.8 C 1.8 C 0.8 C 2.2 C 1.6 C 1.4 C 1.4 C 1.2 C 1.8 C 2.5 C 2.2 C 3.0 C 3.5 C 2.5 C 2.5 C 4.0 C 3.5 C 3.5 C 4.5 C 4.0 C 4.0 C 1.0 C 0.6 C 0.6 C 0.8 C 0.6 C 2030 (Météo-France/Datar)
37 Climat futur: moyenne annuelle des précipitations (écart en % à la référence ) 130% 125% 130% 130% 130% 125% 125% 120% 120% 120% 115% 115% 115% 110% 110% 105% 105% 95% 90% 85% 85% 85% 80% 80% 80% 75% 75% 75% 70% 70% 90% 95% 90% 100% 95% 100% 100% 105% 110% 70% 65% 65% 65% 65% 130% 130% 125% 130% 125% 120% 120% 125% 115% 115% 120% 110% 110% 115% 105% 105% 110% 100% 105% 100% 95% 95% 100% 90% 95% 85% 90% 85% 85% 75% 75% 80% 70% 75% 70% 80% 80% 90% 65% 70% 65% 65% 2030 (Météo-France/Datar)
38 Climat futur: moyenne annuelle des précipitations estivales (écart en % à la référence ) 130% 130% 130% 125% 120% 125% 120% 120% 115% 115% 115% 110% 130% 125% 110% 110% 105% 105% 105% 100% 100% 95% 100% 90% 95% 95% 90% 90% 85% 80% 85% 85% 80% 75% 70% 80% 75% 75% 70% 65% 65% 70% 65% 65% 130% 130% 125% 130% 125% 120% 120% 125% 115% 105% 95% 90% 90% 85% 85% 80% 80% 75% 75% 70% 85% 80% 75% 90% 95% 100% 95% 100% 105% 105% 110% 110% 115% 110% 100% 115% 120% 70% 70% 65% 65% 65% 2030 (Météo-France/Datar)
39 Des conséquences sur l évolution de la ressource en eau: l exemple des sécheresses agricoles Intensité moyenne des sécheresses agricoles aux horizons 2050 et 2080 Probabilité actuelle <20% <10% <4% Impacts: Aggravation généralisée des sécheresses agricoles (déficit en eau du sol) en toute saison sur la quasi-totalité du territoire dès le milieu du siècle Mesures possibles d adaptation: Choix de nouvelles variétés/espèces moins consommatrices d eau Adaptation des calendriers culturaux (pour éviter sécheresse estivale) Irrigation des cultures (sous réserve de disponibilité en eau) Horizon 2080: la ressource en eau dans le sol «normale» correspondra à une sécheresse comme on en connaît actuellement tous les 15 ans environ Source: projet Climsec
40 Des impacts inévitables sur l évolution de la répartition des espèces Fin du XXI ème siècle (données ARPEGE-Climat scénario B2)
41 Adaptation par déplacement géographique?
42 Enjeux agricoles du CC Climat + chaud Climat + sec Des effets positifs Augmentation photosynthèse Croissance + rapide Hivers + courts + de CO 2 Des effets négatifs! Trop chaud! (échaudage) Manque d eau Augmentation des volumes d irrigation nécessaires (augmentation de l évapo-transpiration)
43 L Observatoire Régional Changement Climatique et Agriculture en Poitou-Charentes (ORACLE) Observatoire à destination de l ensemble des acteurs de la sphère agricole régionale Objectifs: Objectiver les trajectoires climatiques en cours Identifier les évolutions agricoles liées au changement climatique Fournir au monde agricole des éléments d aide à la décision (adaptation, atténuation) Thèmes : Le changement climatique en région Le changement climatique en région relu pour l agriculture Impacts agricoles régionaux du changement climatique Adaptations agricoles régionales au changement climatique Atténuation du changement climatique par l agriculture régionale Etude de préfiguration faite en 2012 sous le pilotage de la CRA-PC et l ADEME, avec les contributions de Météo-France, l INRA, ARVALIS
44 RR Conclusion: évolutions observée et attendue du climat picto-charentais HIER DEMAIN ~ +1 C /siècle Précipitations annuelles (Niort) Des incertitudes de modélisation et sur nos émissions futures de GES mais paraissent très probables: Une hausse généralisée des températures (de l ordre de 2 C en 2050 et jusqu à 4 C en 2080), Une explosion des situations caniculaires (10 jours/an en 2050, jusqu à 30 en 2080) Une diminution modérée des précipitations annuelles jusqu en 2030 (de 5 à 10%) qui s aggrave ensuite (baisse de 10 à 30% en 2080) surtout l été Augmentation généralisée des sécheresses agricoles Pas de certitudes relatives à l évolution des vents forts (tempêtes) et des précipitations fortes
45 Développer et diffuser les connaissances Mieux connaître le climat passé pour situer le présent et appréhender l avenir Effort important de collecte, de qualification et de numérisation dans toutes les régions de données météorologiques anciennes (datarescue) Projet AAA de collecte et de mise à disposition d archives météorologiques conservées à Fontainebleau à désamianter (mécénat BNP Paribas) Participation à des réanalyses du climat passé sur le XXème siècle et même au-delà (Projet ERA-Clim ) Mise à disposition depuis Juin 2012 des produits des simulations climatiques via le portail DRIAS à l attention du grand public et des collectivités: appui à la réalisation de PCET
46 DRIAS: projections climatiques pour l adaptation de nos sociétés Site de mise à disposition des projections climatiques régionalisées des laboratoires français de modélisation du climat Il propose: De l accompagnement autour des données mises à disposition Un outil de cartographie d indicateurs élaborés à partir des projections régionalisées (ex: nombre de jours de pluie ) Les données brutes (création d un login nécessaire) Accès libre et gratuit Enrichissement prévu du contenu en : Séries homogénéisées Données CLIMSEC
47 Portail web DRIAS: Portail DRIAS Espace Accompagnement Espace Découverte Espace Commande Données & produits
48 Se préparer à l avenir : adaptation et atténuation D ici à à cause l inertie du système climatique, l évolution du climat va peu dépendre des émissions déjà effectuées d où la nécessité de stratégies d adaptation locales Exemple de stratégies d adaptation: Agriculture: recours à semis précoces, chgt d espèces, de semis Ville: végétalisation des villes, construction de bâtiments aérés Risques naturels: renforcement des digues, mise en place de stratégies de résilience Plan national d adaptation au chgt climatique En même temps, il est urgent de mettre en œuvre une politique d atténuation pour contenir l amplitude du changement climatique sur la 2 nde moitie du 21ème siècle
49 Quelques liens autour du climat Le site de Météo-France: Le site DRIAS pour accéder aux simulations climatiques régionalisées: Pour contribuer depuis chez soi à la recherche sur le climat par des actions de data-rescue, deux sites ludiques: Le 4 ème rapport du GIEC: Le site de l ONERC: Changement climatique et agriculture: Une compilation de liens sur le climat sur le site du Laboratoire de Météorologie Dynamique:
50 Merci pour votre attention
51 Mesures du niveau de la mer Carte de l'évolution du niveau moyen des océans par altimétrie satellite Hausse moyenne globale d environ 3mm/an sur du niveau des océans Anomalies du niveau de la mer mesurées par le marégraphe de Brest
Le projet DRIAS : premières études et documents
Le projet DRIAS : premières études et documents Julien Lémond CNRM / GAME, Météo-France, CNRS Direction de la Climatologie Réunion Comité Utilisateurs, le 29 juin 2010 Plan de la présentation 1 ) Les services
Plus en détailInfluence du changement. agronomiques de la vigne
Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailLa modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation
La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation Quels rôles jouent les surfaces continentales dans le système climatique? Nathalie de Noblet-Ducoudré nathalie.de-noblet@lsce.ipsl.fr
Plus en détailPROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale
Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE
Plus en détailRoyaume du Maroc Secrétariat d État auprès du Ministère de l Énergie, des Mines, de l Eau et de l Environnement, Chargé de l Eau et de l Environnement Direction de la Météorologie Nationale Variabilité
Plus en détailLa gestion opérationnelle de la météosensibilité. La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société
La gestion opérationnelle de la météosensibilité La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société La société METNEXT METNEXT en bref Notre métier : L assistance aux entreprises
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailPrésentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013
COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI
Plus en détailRôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe
Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):
Plus en détailCHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013
CHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013 Les éléments scientifiques Résumé à l intention des décideurs GT I CONTRIBUTION DU GROUPE DE TRAVAIL I AU CINQUIÈME RAPPORT D ÉVALUATION DU GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL
Plus en détailIV.1 Descente d échelle dynamique... 11 IV.2 Descente d échelle statistique... 14
Table des matières Rapport de l étude «Evaluation des changements climatiques futurs au niveau des zones oasiennes marocaines»... 1 élaborée pour le projet... 1 «Adaptation aux changements climatiques
Plus en détailRégionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détailChangement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est?
Dossier pédagogique 3 Langues, géographie, sciences, histoire Changement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est? plus de 100 ans de recherches scientifiques Changement climatique, Effet de serre, gaz à
Plus en détailOléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière
L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement
Plus en détailClimat : vers le point de rupture?
Climat : vers le point de rupture? Nouvelles données scientifiques sur la crise climatique BRIEFING Avril 2009 Climat : vers le point de rupture? Nouvelles données scientifiques sur la crise climatique
Plus en détailUn nouveau modèle régional à Ouranos : défis et opportunités
Consor&um sur la climatologie régionale et l adapta&on aux changements clima&ques Un nouveau modèle régional à Ouranos : défis et opportunités Sébas&en Biner Groupe Simula&ons et analyses clima&ques Ouranos
Plus en détailLa diversité des climats
Les interactions entre l océan et l atmosphère Chaque jour, la météorologie occupe une place importante (voire le devant de la scène), lorsque surviennent tempêtes, vagues de chaleur ou de froid, ou inondations.
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailQuestions fréquentes. Citations des présentes questions : Lors de la citation d un groupe de questions, donner la référence suivante :
Extraits du Rapport accepté par le Groupe de travail I du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat mais non approuvé dans les détails Questions fréquentes Citations des présentes
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailBilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton
Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France Olivier Laguitton Saint Etienne, le 18 février 2013 Contenu de la présentation Le contexte du développement durable Passage en revue de la législation
Plus en détailM. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica.
Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application au bassin du Guadalquivir (sudo-uest de l Espagne). En: Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application
Plus en détailChangements Climatiques 2007
Changements Climatiques 2007 R apport de sy nthèse OMM Un rapport du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat PNUE Bilan 2007 des changements climatiques : Rapport de synthèse Publié
Plus en détailCONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP)
Repère à reporter sur la copie SESSION DE 28 CONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP) Section : SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE COMPOSITION
Plus en détailLSCE Laboratoire des sciences du climat et de l environnement
LSCE Laboratoire des sciences du climat et de l environnement octobre 2011 CONTACTS PRESSE : Service de presse de CEA - Tél : 01 64 50 16 49 presse@ceafr Service de presse du CNRS - Tél : 01 44 96 51 51
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailModèle de Climat de Titan
Planétologie - GSMA - Université de Reims Champagne-Ardenne Modèle de Climat de Titan Le contexte général : Titan, le plus gros satellite de Saturne, possède une atmosphère dense de 1.4 bar essentiellement
Plus en détailSynthèse des travaux réalisés par la DMN dans le cadre du projet ACCMA
Synthèse des travaux réalisés par la DMN dans le cadre du projet ACCMA Fatima Driouech et Atika Kasmi Le travail effectué par l équipe de la DMN, dans le cadre du projet et durant cette première période,
Plus en détailBilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
Plus en détailPerspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest
Perspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest Jean-François DEJOUX CESBIO & Luc CHAMPOLIVIER CETIOM Télédétection en agriculture : nouveau
Plus en détailExpertise INRA Stocker du carbone dans les sols agricoles? Préface
2 2 Expertise INRA Stocker du carbone dans les sols agricoles? Préface Mettre à disposition du ministère chargé de l environnement et des acteurs de l environnement des références de recherche et d observation,
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailRéunion de lancement du projet LEFE DEPHY2
Réunion de lancement du projet LEFE DEPHY2 Développement et Evaluation des PHYsiques des modèles atmosphériques BILAN 45 participants 25 CNRM, 12 LMD, 4 LGGE, 2LA, 1 LSCE, 1 GET 8-9-10 septembre 2014 Observatoire
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailVITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détailProjet ClimSec. Impact du changement climatique en France sur la sécheresse et l eau du sol
Projet ClimSec Impact du changement climatique en France sur la sécheresse et l eau du sol Rapport final du projet Mai 2011 Réalisé par la Direction de la Climatologie de Météo-France (1) En partenariat
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailElodie Briche *, Gérard Beltrando *, Claude Kergomard **, Hervé Quénol ***
N e uv iè m e s Re nc o n t re s d e T hé o Q ua n t Besa nç o n, 4-6 ma rs 2 0 09 h t tp : // t h e ma. u n i v- fc o m te.f r / Utilisation des sorties du modèle numérique ARPEGE-Climat pour la simulation
Plus en détailDeuxième rapport national du Canada. climatiques
Deuxième rapport national du Canada sur les changements climatiques Mesures prises en vertu de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques 1997 Mise à jour novembre 1997 DEUXIÈME
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailPlan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011
Plan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011 D.D.T.M de la Somme SOMMAIRE Les risques majeurs sur le littoral
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailQue sont les sources d énergie renouvelable?
Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailBILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE.
Résumé Des travaux de recherches combinant les précipitations annuelles et les températures, classent la zone d étude dans le climat méditerranéen de l étage semi-aride (Seltzer, 1949; Emberger, 1955).
Plus en détailRISQUES MAJEURS. www.vivre-a-niort.com. Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT. Toutes les informations sur
LES RISQUES MAJEURS Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT Toutes les informations sur Définition des Risques majeurs Quels risques à Niort? Le territoire de la commune se trouve
Plus en détailNadine Brisson et Frédéric Levrault LIVRE VERT DU PROJET
O Nadine Brisson et Frédéric Levrault LIVRE VERT DU PROJET O R Changement climatique, agriculture et forêt en France : simulations d impacts sur les principales espèces 2007-2010 Changement climatique,
Plus en détailRéseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château
Réseau de chaleur Cantagrelh Commune d Onet-le-Château Maître d ouvrage : Mairie d Onet-le-château 12, rue des Coquelicots BP 5-12850 Onet le Château Télécopie : 05 65 78 00 91 - www.onet-le-chateau.fr
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailRédaction générale et coordination. Claude DesJarlais, Anne Blondlot. Auteurs principaux par section
Rédaction générale et coordination Claude DesJarlais, Anne Blondlot Auteurs principaux par section Michel Allard : le Nord Alain Bourque : sommaire et conclusion Diane Chaumont : le climat du Québec et
Plus en détailCONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières
CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailGlobal Monitoring Emergency Services
Global Monitoring Emergency Services Christelle BOSC Olivier POCHARD 22/05/2012 Pôle Applications Satellitaires et Télécommunicaton CETE Sud-Ou LE PROGRAMME GMES Global Monitoring for Environment and Security
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailDISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)
DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailAteliers 2011. Energie et territoires Vers des réseaux intelligents?
Ateliers 2011 Energie et territoires Vers des réseaux intelligents? ENERGIE ET TERRITOIRES : VERS DES RESEAUX INTELLIGENTS? Atelier Promotion 2011 - IHEDATE CONTEXTE : Dérèglements climatiques et énergie
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailNous avons soumis la question au (( Bureau sur les changements climatiques du ministère de l'environnement D qui nous a fait la réponse suivante :
Première question de la Commission 180 DB26 Dragage d'entretien du chenal entre Hudson et Oka Lac des Deux-Montagnes 6211.02-104 c Est-ce que vous savez si les gouvernements, provincial et fédéral, ont
Plus en détailChangements climatiques 2001: Rapport de synthèse
Changements climatiques 2001: Rapport de synthèse Rapport de synthèse Evaluation du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Ce résumé, intégralement approuvé à la XVIII e session
Plus en détailLa place du charbon dans le mix électrique
La place du charbon dans le mix électrique Présentation au colloque 7 février 2008 Gérard Mestrallet, PDG de SUEZ «Les nouveaux débouchés du charbon : quels risques pour le changement climatique?» Outline
Plus en détailLE POINT DE VUE DE FNE
LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés
Plus en détailProjets en cours sur l archivage et la diffusion des simulations climatiques et de leurs produits, en liaison avec le projet DRIAS
Projets en cours sur l archivage et la diffusion des simulations climatiques et de leurs produits, en liaison avec le projet DRIAS Serge Planton (MF/CNRM-GAME), Robert Vautard (IPSL), Maryvonne Kerdoncuff,
Plus en détailPlan Climat Énergie. Territorial
Plan Climat Énergie Territorial Avril 2014 Rédaction : Anne LASTMANN, Gilles GRANDVAL, Gaël LAMBERTHOD Mosaïque Environnement Contribution et Rédaction : l ensemble des services du Conseil général de la
Plus en détailEfficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar
Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et
Plus en détailLes outils de simulation. Myriam HUMBERT CETE Ouest
Les outils de simulation Myriam HUMBERT CETE Ouest Outils de simulation pour la GPE Objectif Ø Recommandations pour la mise en œuvre des calculs dans le cadre d une GPE ü Analyse qualitative des outils
Plus en détailLe Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé. Introduction
OMM GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL SUR L ÉVOLUTION DU CLIMAT PNUE Introduction Le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé Les activités humaines
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailLa base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace
3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de
Plus en détailBilan décennal des catastrophes naturelles en France
Bilan décennal des catastrophes naturelles en France SOMMAIRE BILAN DÉCENNAL EN TERMES DE NOMBRE ET DE TYPE DE CATASTROPHES NATURELLES BILAN EN TERME DE VICTIMES.. 2 5 BILAN DÉCENNAL EN TERMES ÉCONOMIQUES
Plus en détailLa gestion du risque chez AXA
Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La
Plus en détailDésherbage maïs. Synthèse 2014. Présentation des essais. Le protocole
Désherbage maïs Synthèse 2014 Cette synthèse regroupe les résultats de 9 essais du réseau de désherbage maïs Poitou-Charentes Vendée. L animation du réseau et la synthèse des données brutes sont assurés
Plus en détailÉconomisons l énergie! 11
Économisons l énergie! 11 Objectifs Prendre conscience de sa consommation d énergie. Maîtriser sa consommation d énergie afin de réduire l émission de gaz à effet de serre (mettre en place gestes et actions).
Plus en détailLa Terre mise en scène
Objectif La pièce peut servir d «évaluation des performances» et offrir aux élèves la possibilité de montrer de manière créative ce qu ils ont appris sur la Terre en tant que système. Vue d ensemble La
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détailSystèmes sylvopastoraux. Pour un environnement, une agriculture et une économie durables
Caractérisation morphobiologique écologique d'une espèce pastorale de Tunisie présaharienne (Periploca angustifolia Labill.). Implications pour l'amélioration pastorale Ferchichi A. Systèmes sylvopastoraux.
Plus en détailTransition énergétique Les enjeux pour les entreprises
Transition énergétique Les enjeux pour les entreprises Alain Grandjean Le 26 novembre 2014 Contact : alain.grandjean@carbone4.com Le menu du jour L énergie dans l économie : quelques rappels Les scénarios
Plus en détailBilan Carbone des interventions viticoles
Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en
ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,
Plus en détailLes Technologies de l Information et de la Communication et leurs impacts sur l environnement
Les Technologies de l Information et de la Communication et leurs impacts sur l environnement Selon le rapport "Impacts of Information and Communication Technologies on EnergyEfficiency", réalisé par BIOIS
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détailModélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Plus en détailRapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6)
Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) ler semestre 2002 Renault O. Juiilei ZOO2 Ri-51786 Rapport de suivi du système de
Plus en détailUNE REFLEXION PREALBLE
UNE REFLEXION PREALBLE NOUS N AVONS JAMAIS ETE AUSSI RICHES IL N Y A JAMAIS EU AUTANT DE PAUVRES QUI GERE LA REPARTITION? 1 ÉNERGIE ET TRANSITION Comprendre la situation est facile Ce qu il faut faire
Plus en détailComprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012)
Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012) Sommaire 1 Un engagement fort du Grenelle de l environnement 1 Calendrier et champ d application 2 Les nouveautés 3 Les exigences 9 Les quatre niveaux
Plus en détailGUIDE de L ÉCO CITOYEN. au BUREAU
GUIDE de L ÉCO CITOYEN au BUREAU SUIVEZ LE GUIDE...................................................................... p.03 QUELS BESOINS, QUELS IMPACTS? ce qui est consommé ce qui est rejeté > Transport
Plus en détailMETEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM
METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air
Plus en détailMODÉLISATION NUMÉRIQUE DANS LE BÂTIMENT
MODÉLISATION NUMÉRIQUE DANS LE BÂTIMENT Perrenoud, Pléiades et Design Builder Francesco Formica Grontmij BEFS SOMMAIRE I. Périmètre II. Entrées : acquisition et temps de mise en œuvre III. Sorties : résultats
Plus en détailPlan d action de réduction du Bilan GES de l entité BNP PARIBAS ASSET MANAGEMENT du Groupe BNP Paribas
Novembre 2012 Plan d action de réduction du Bilan GES de l entité BNP PARIBAS ASSET MANAGEMENT du Groupe BNP Paribas 1. LA MESURE DE NOTRE BILAN D EMISSION DE GES Notre Bilan GES repose sur une conversion
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailLes exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?
Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détail