PPRT- Acculturation notions générales. technologiques - Journée PPRT CETE de Aix en Provence

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PPRT- Acculturation notions générales. technologiques - Journée PPRT CETE de Aix en Provence"

Transcription

1 PPRT- Acculturation notions générales B. Le-Roux INERIS sur la vulnérabilité du bâti aux aléas technologiques - Journée PPRT CETE de Aix en Provence - 09/10/2012 DRA A 10223A

2 PPRT - Quelques notions générales Un phénomène dangereux: source potentielle de dommages libération d énergie ou de substance produisant des effets d une certaine intensité susceptibles d infliger un dommage à des enjeux vulnérables (vivants ou matériels). INCENDIE Effet: Thermique PHENOMENES DANGEREUX EXPLOSION Effet: Surpression DISPERSION ATMOSPHERIQUE Effet: Toxique

3 B. Le-Roux INERIS Vulnérabilité du bâti aux aléas technologiques Surpression - Journée PPRT CETE de Aix en Provence - 09/10/2012

4 Phénomène d Explosion Effets d une explosion: Onde de surpression Flamme / boule de feu dans des cas particuliers Projection Bruit => diminue lorsqu on s éloigne du centre de l explosion BLEVE sur un camion citerne: Belleville, Ontario, Canada, 2003

5 Dégâts provoqués par l onde de surpression Non tenue de la stabilité structurelle du bâtiment Effondrement global du bâtiment Non tenue des éléments de structures (parties d ouvrage): Apparition de moments de flexion, d efforts de traction, de compression Augmentation des contraintes internes et déformations des éléments de structure jusqu à éventuellement rupture

6 Dégâts provoqués par l onde de surpression Les dommages engendrés sur une structure dépendent : des caractéristiques de l onde de surpression incidente l intensité de l onde de surpression la durée du phénomène td La nature de l explosion => Fonction de la nature des produits et de la quantité mis en jeu Onde de choc: Explosion de bac d hydrocarbure BLEVE Déflagration: UVCE

7 Dégâts provoqués par l onde de surpression Les dommages engendrés sur une structure dépendent : De L orientation du bâtiment par l explosion: Interaction fluide structure rapport au centre de Explosion => formation d une onde de surpression qui se propage du centre d explosion vers l environnement: Onde de surpression incidente Rencontre avec la structure => Structure soumise à une onde de surpression réfléchie Préfl= C x Pinc avec C dépendant de l orientation de la structure par rapport à la direction de propagation de l onde de surpression incidente Déflagration Onde de choc P1/Pinc P2/Pinc P3/Pinc

8 Dégâts provoqués par l onde de surpression Les dommages engendrés sur une structure dépendent : Des caractéristiques géométriques des éléments: longueur, largeur, épaisseur Des conditions aux limites des éléments : fixation, liaisonnement Des propriétés mécaniques des matériaux Ductilité Domaine de déformation plastique Contrainte Rupture Domaine de déformation élastique Déformation Domaine de déformation plastique homogène Domaine de déformation élastique Contrainte Striction Rupture Déformation Comportement fragile Comportement plastique

9 Dégâts provoqués par l onde de surpression Les dommages engendrés sur une structure dépendent : Des caractéristiques géométriques des éléments: longueur, largeur, épaisseur Des conditions aux limites des éléments : fixation, liaisonnement Des propriétés mécaniques des matériaux Quelques exemples Contrainte 200 MPa Béton Acier Verre 20 MPa 2 MPa E=70GPa E=200GPa E=30GPa 30 MPa Déformation

10 Dégâts provoqués par l onde de surpression Les dommages engendrés sur une structure dépendent de: Du mode de réponse de l élément de structure soumis à un chargement dynamique Soumise à un effort soudain, une structure est accélérée et l effet de l inertie et des vibrations peut amener à une amplification ou une atténuation des contraintes internes par rapport à un chargement statique 3 modes de réponse: Quasi-statique statique: td >> T => facteur prépondérant = Intensité [modulo facteur d amplification (=2 pour une ODC par ex. et 1.6 pour une déflagration] Impulsionnel: td << T => facteur prépondérant=> impulsion Dynamique: mode de réponse intermédiaire => facteur prépondérant = intensité, durée, forme => complexe à analyser

11 Dégâts provoqués par l onde de souffle : outils Evaluer le comportement des structures aux effets de surpression 3 outils = 3 niveaux modélisation Outil 1 : méthodes forfaitaires surpression Outils simples mais incomplets => Non prise en compte de la durée du PhD Outil 2 : méthodes analytiques Outils simples, performants => Souvent pertinents et suffisants Outil 3 : méthodes numériques Outils complexes / performants à condition de porter une attention aux hypothèses de modélisation Guide: «Formalisation du savoir et des outils dans le domaine des risques majeurs (DRA-35). La résistance des structures aux actions accidentelles» - INERIS 2007

12 Outil 1 = Méthode forfaitaire: Ordres de grandeurs Pour la vie humaine Seuils réglementaires (arrêté du 29 septembre 2005): 20 mbar : seuil des effets indirects par bris de vitres 50 mbar : seuil des effets irréversibles (SEI), «zone des dangers significatifs pour la vie humaine» 140 mbar : seuil des effets létaux (SEL), «zone des dangers graves pour la vie humaine» 200 mbar : seuil des effets létaux significatifs (SELS), «zone des dangers très graves pour la vie humaine»

13 Outil 1 = Méthode forfaitaire: Ordres de grandeurs Pour la vie humaine Littérature (1) Surpression Effets 1 à 2 mbar bruit de fond (137 db, si basse fréquence 10-15Hz) 2 à 3 mbar grand bruit (143 db), "boum" sonique 20 mbar Blessures indirectes par bris de vitres 50 mbar Seuils des effets irréversibles (par effets indirects) 140 mbar Premiers effets létaux par effets indirects: 1% de létalité par effets indirects dans la population 200 mbar Effets létaux par effets directs: potentiellement 1% de létalité par effets directs dans la population (Hémorragie pulmonaire) mbar Effets directs: Probabilité de rupture des tympans = 1% 430 mbar Effets directs: Probabilité de rupture des tympans égale à 50 % 700 mbar Effets létaux par effets directs: potentiellement 99% de létalité (Hémorragie pulmonaire)

14 Outil 1 = Méthode forfaitaire: Ordres de grandeurs Pour les structures: Seuils réglementaires (arrêté du 29 septembre 2005): 20 mbar : seuil de destruction significative des vitres 50 mbar ; seuil des dégâts légers 140 mbar : seuil des dégâts graves 200 mbar : seuil des effets domino 300 mbar : seuil des dégâts très graves

15 Outil 1 = Méthode forfaitaire: Ordres de grandeurs Pour les structures (Littérature (1) Surpression Effets 1 à 2 mbar bruit de fond (137 db, si basse fréquence 10-15Hz) 2 à 3 mbar grand bruit (143 db), "boum" sonique 20 mbar 50 mbar (1) ) destruction de 10 % des vitres destruction de 75% des vitres 30 à 60 mbar Dégâts structurels mineurs, cloisons et éléments de menuiserie arrachés, tuiles soufflées 70 à 140 mbar Joints entre des tôles ondulées en acier ou en aluminium arrachés 140 mbar Effondrement partiel des murs des maisons 170 mbar Destruction à 50 % des maisons en briques mbar Murs en parpaings ou en béton non armé détruits 200 mbar Rupture des structures métalliques et déplacement des fondations 140 à 280 mbar Maisons inhabitables, effondrement partiel ou total de la toiture, démolition d 1 ou 2 murs extérieurs 350 à 500 mbar Maisons d habitation détruites

16 Ordre de grandeurs - illustrations Comparaison avec les effets du vent /ordre de grandeurs Onde de surpression Habitation Habitation soumise à 50 mbar ODC: Face1 (face perpendiculaire à la direction de propagation de l onde de surpression) Habitation soumise à 140 mbar ODC: Face1 (face perpendiculaire à la direction de propagation de l onde de surpression) Action équivalente à la pression dynamique 2000 kg/m kg/m2 Vent Habitation Habitation en zone 2 (Landes) - Paroi au vent Habitation en zone 4 (Bouche du Rhone) Paroi au vent Vitesse du vent (km/h) Action équivalente à la pression dynamique normale (Règle Neige et Vent NV65 ) kg/m kg/m2

17 REX accident: quelques illustrations Bâtiment à charpente métallique: 50 mbar Bâtiment à ossature métallique: 140 à 200 mbar Bâtiment à ossature métallique: mbar

18 REX accident: quelques illustrations Maison individuelle Maisons individuelles: 50 à 140 mbar Maisons individuelles: 200 mbar

19 Dégâts provoqués par l onde de souffle : outils 3 outils = 3 niveaux modélisation Evaluer le comportement des structures aux effets de surpression Analyser la stabilité globale de la structure soumis à l onde de surpression Analyser la tenue élémentaire (par élément de façade, par vitrage ou par porte). Méthodes analytiques : Analogie masse-ressort associée soit à un: Calcul statique linéaire équivalent (SDOF - DLF) Calcul dynamique non linéaire P P P (t ) Méthodes numériques Logiciel EF ABAQUS, ANSYS, NASTRAN / ASTER, CAST3M Logiciel EF intégrant des codes et règles de conception (ROBOT, HERCULE, SICAP ). Logiciel de dynamique rapide Logiciel de dynamique rapide AUTODYN, LS DYNA, ABAQUS EXPLICIT. Xm Xm Guide: «Formalisation du savoir et des outils dans le domaine des risques majeurs (DRA-35). La résistance des structures aux actions accidentelles».

20 B. Le-Roux INERIS Vulnérabilité du bâti aux aléas technologiques Thermique - Journée PPRT CETE de Aix en Provence - 09/10/2012

21 Effets thermiques Les effets thermiques peuvent résulter de trois modes de transmission: Convectif: chaleur transmise par circulation d air chaud Radiatif: chaleur transmise par rayonnement (soleil) Conductif: chaleur transmise par contact Quelques exemples d origines des effets thermiques:

22 Dégâts provoqués par les effets thermiques d un phd Dégâts sur les structures: Propagation d un incendie au bâtiment Inflammation/ auto-inflammation des matériaux => Combustibilité des matériaux Non tenue structurelle des bâtiments Affaissement/ Déformation ou rupture des éléments de structure engendrée par: une perte des propriétés mécaniques des matériaux l apparition d efforts, de contraintes internes ou de déplacements par dilatation thermique dégradation irréversible = changement de la composition chimique des matériaux

23 Dégâts provoqués par les effets thermiques d un phd Modification propriétés intrinsèques des matériaux Abaissement module de Young Abaissement limite élastique Abaissement résistance à la rupture f y,θ Contrainte σ (MPa) Froid f c,θ Contrainte σ (MPa) Froid Chaud Chaud α E a,θ = tan α ε p,θ ε y,θ Acier ε t,θ ε u,θ Déformati on ε (-) ε c1,θ Beton ε cu1,θ Déformati on ε (-) Acier/ Béton: résistance à la rupture /2 à 500 C

24 Dégâts provoqués par les effets thermiques d un phd Dilatation thermique Flambage Dilatation différentielle

25 Dégâts provoqués par les effets thermiques: outils 3 outils = 3 niveaux modélisation Outil 1 : méthodes forfaitaires thermique Outil 2 : méthodes simplifiées Outil 3 : méthodes avancées Guide: «Formalisation du savoir et des outils dans le domaine des risques majeurs (DRA-35). La résistance des structures aux actions accidentelles» - INERIS 2007

26 Outil 1 = Méthode forfaitaire: Ordres de grandeurs Pour la vie humaine: Seuils réglementaires (arrêté du 29 septembre 2005): 3 kw/m2 ou 600 [(kw/m2) 4/3 ].s: seuil des effets irréversibles (SEI), «zone des dangers significatifs pour la vie humaine» 5 kw/m2 ou [(kw/m2) 4/3 ].s: seuil des effets létaux (SEL), «zone des dangers graves pour la vie humaine» 8 kw/m2 ou [(kw/m2) 4/3 ].s: seuil des effets létaux significatifs (SELS), «zone des dangers très graves pour la vie humaine»

27 Outil 1 = Méthode forfaitaire: Ordres de grandeurs Pour la vie humaine Description Flux thermique Littérature (1) (kw/m²) Soleil à 12 h en été (Casablanca) 1 Douleur Effet Seuil brûlure 1 er degré Dose thermique ([kw/m²] 4/3.s) Gaz de france HSE 92 Seuil brûlure 2 ème degré (Hymes) 105 (HSE) 200 (Hymes) 700 Seuil brûlure 3 ème degré (HSE) 1000 Effets létaux (1%) (Baker et al.) 1000 Effets létaux (50%) 2000 Seuil admissible d'exposition du personnel 1,6 Seuil des blessures irréversibles (Baker et al.) 3 Intervention possible pendant quelques minutes pour des urgences de personnel sans protection, mais avec vêtements appropriés. (API) Seuil de létalité (Baker et al.) 5 Intervention possible pendant 1 minute pour des urgences de personnel sans protection, mais avec vêtements appropriés. (API) Seuil admissible d'intervention en tenue ignifuge 8 4,7 6,3 (1) Ministère de l écologie et du développement durable (MEDAD) Guide technique relatif aux valeurs de référence de seuils d effets des phénomènes accidentels des installations classées - Octobre 2004 Niveau possible pour du personnel pendant quelques secondes pour de l'évacuation seulement. (API) 9,5

28 Outil 1 = Méthode forfaitaire: Ordres de grandeurs Pour les structures: Seuils réglementaires (arrêté du 29 septembre 2005): 5 kw/m2 : seuil de destruction significative des vitres 8 kw/m2: seuil des effets dominos, seuil des dégâts graves sur les structures 16 kw/m2: seuil d exposition prolongée des structures et correspondant au seuil des dégâts très graves sur les structures, hors structures béton 20 kw/m2, seuil de tenue du béton pendant plusieurs heures et correspondant au seuil des dégâts très graves sur les structures béton 200 kw/m2: seuil de ruine du béton en quelques dizaines de minutes.

29 Outil 1 = Méthode forfaitaire: Ordres de grandeurs Pour les structures: Littérature (1) (1) INERIS - «Formalisation du savoir et des outils dans le domaine des risques majeurs (DRA-35). La résistance des structures aux actions accidentelles» Nature du dommage Flux critique (kw/m²) Déformations conséquentes des éléments en 2 matériaux synthétiques Affaissement et rupture des vitres 4-5 Apparition d un risque d inflammation pour les matériaux combustibles (tels que le bois) en présence d une source d ignition Inflammation du diesel en 120 s 10 Inflammation de la végétation Fonte des plastiques 12 Résistance supposée d'un immeuble normal 14 Inflammation des surfaces exposées au flux radiatif et 15 ainsi rupture et/ou destruction des éléments de structure en bois ou en matériaux synthétiques Flux limite de tenue des structures pour une 16 exposition prolongée, hors structures en béton Inflammation du diesel en 40 s 20 Déformations conséquentes de structures métalliques. 25 Inflammation spontanée du bois Affaissement ou rupture des structures en acier

30 Dégâts provoqués par les effets thermiques: outils Evaluer le comportement des structures aux effets de surpression 3 outils = 3 niveaux modélisation Outil 1 : méthodes forfaitaires thermique Outils simples mais incomplets => Non prise en compte de la durée du PhD Analyser la tenue élémentaire (par élément de façade, par vitrage ou par porte). Analyser la stabilité globale de la structure soumis aux effets thermiques Outil 2 : Méthode de calcul simplifié Outil 3: Méthode de calcul avancé Outil 3: Méthode de calcul avancé Guide: «Formalisation du savoir et des outils dans le domaine des risques majeurs (DRA-35). La résistance des structures aux actions accidentelles» - INERIS 2007

31 Outils 2: Méthodes simplifiées Sélection de modèles de développement de feu: Feu interne: Modèle feu simplifié - courbe normalisée Calcul de la température des gaz Feu externe ThC ou ThT BF: Modèle de rayonnement Calcul des flux thermique de surface ou dose thermique Modèles de feu simplifiées ou avancées Modèle thermique dans la structure Calcul du champs de température dans l élément de structure Modèle de structure avancé avec correction du comportement des matériaux en fonction de l évolution de la température -Calcul des déplacements et des contraintes - Comparaison avec les critères de vulnérabilité retenus

32 Merci pour votre attention Ref: Ministère de l écologie et du développement durable (MEDAD) Guide technique relatif aux valeurs de référence de seuils d effets des phénomènes accidentels des installations classées - Octobre 2004 INERIS - «Formalisation du savoir et des outils dans le domaine des risques majeurs (DRA-35 35). La résistance des structures aux actions accidentelles» Methods for the determination of possible damage to people and objects resulting from releases of hazardous materials. TNO Green book CPR 16E, 1stedition, The Netherlands Organisation of applied scientific research

33

Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques :

Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : ANNEXE 7 Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : 1 carte est fournie pour l effet toxique : Carte N 1 «Taux

Plus en détail

Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée

Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée P. Schaumann, T. Trautmann University of Hannover Institute for Steel Construction, Hannover, Germany 1 OBJECTIF

Plus en détail

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm

Plus en détail

Guide de conception. Sécurité incendie des halls industriels

Guide de conception. Sécurité incendie des halls industriels Projet mené grâce au financement du programme de recherche Research Fund for Coal & Steel RFS2 CR 2007 00032 Sécurité incendie des halls industriels Guide de conception Sommaire 1. Introduction... 2 2.

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Phénomènes dangereux et modélisation des effets

Phénomènes dangereux et modélisation des effets Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE

Plus en détail

Colle époxydique multi usages, à 2 composants

Colle époxydique multi usages, à 2 composants Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail

Prédiction des effets des explosions et de réponse des structures pyrotechniques

Prédiction des effets des explosions et de réponse des structures pyrotechniques Prédiction des effets des explosions et de réponse des structures pyrotechniques Jean-Pierre Languy, TECHNIP 1. INTRODUCTION La prédiction des effets des explosifs intéresse en premier lieu le chimiste

Plus en détail

5 Applications. Isolation intérieure des murs de fondation. ISOFOIL est un panneau isolant rigide laminé d un pare-vapeur d aluminium réfléchissant.

5 Applications. Isolation intérieure des murs de fondation. ISOFOIL est un panneau isolant rigide laminé d un pare-vapeur d aluminium réfléchissant. FICHE TECHNIQUE 120-1.4 07.21.13.13 1 Nom du produit ISOFOIL 2 Manufacturier ISOFOIL est fabriqué par Groupe Isolofoam, entreprise québécoise et important manufacturier de produits isolants depuis plus

Plus en détail

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce

Plus en détail

Conseils en Ingénierie mécanique

Conseils en Ingénierie mécanique Conseils en Ingénierie mécanique contact@solsi-cad.fr +33 (0)3 87 60 34 49 CONCEVOIR OPTIMISER Metz INNOVER VALIDER Historique 1985 1992 1996 2003 2013 2014 Solsi : Calculs des Structures - FEA Création

Plus en détail

1 Mise en application

1 Mise en application Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau

Plus en détail

SSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité :

SSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité : Titre : SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre [...] Date : 15/1/011 Page : 1/6 Responsable : Nicolas GREFFET Clé : V6.0.16 Révision : 8101 SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite

Plus en détail

CARNET DE SANTE LYCEE COLBERT A MARSEILLE. Destinataires : AREA M. SIRON

CARNET DE SANTE LYCEE COLBERT A MARSEILLE. Destinataires : AREA M. SIRON AGENCE DE MARSEILLE CONTROLE TECHNIQUE DE CONSTRUCTION 8 RUE JEAN JACQUES VERNAZZA BP 193 13322 MARSEILLE CEDEX 16 04.96.15.22.60 04.96.15.23.96 CARNET DE SANTE LYCEE COLBERT A MARSEILLE Destinataires

Plus en détail

Canalisations de transport

Canalisations de transport janvier 2014 DRA - 13-133665-09977B Canalisations de transport Guide de détermination des mesures de protection propres aux bâtiments Version 1 janvier 2014 Canalisations de transport - Guide de détermination

Plus en détail

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE

Plus en détail

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale

Plus en détail

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers

Plus en détail

Partie 5 : Outils de calcul informatiques. Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46

Partie 5 : Outils de calcul informatiques. Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46 Partie 5 : Outils de calcul informatiques Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46 Objectif du calcul au feu R Résistance de la structure soumise au feu R req Résistance requise pour la tenue au

Plus en détail

De La Terre Au Soleil

De La Terre Au Soleil De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,

Plus en détail

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY

Plus en détail

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent

Plus en détail

Cours de Structures en béton

Cours de Structures en béton Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur

Plus en détail

Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO <jiayin.gao@univ-paris3.fr> 20 mars 2014

Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO <jiayin.gao@univ-paris3.fr> 20 mars 2014 Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO 20 mars 2014 La phonétique acoustique La phonétique acoustique étudie les propriétés physiques du signal

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une

Plus en détail

SOMMAIRE Thématique : Matériaux

SOMMAIRE Thématique : Matériaux SOMMAIRE Thématique : Matériaux Rubrique : Connaissances - Conception... 2 Rubrique : Essais... 7 Rubrique : Matériaux...11 1 SOMMAIRE Rubrique : Connaissances - Conception Connaître les matières plastiques...

Plus en détail

LA CAMÉRA THERMIQUE GUIDE PRATIQUE DE. pour les activités du bâtiment 4SOMMAIRE

LA CAMÉRA THERMIQUE GUIDE PRATIQUE DE. pour les activités du bâtiment 4SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE DE LA CAMÉRA THERMIQUE pour les activités du bâtiment SOMMAIRE 1. DÉFINIR SA MISSION 2 2. CHOISIR SA CAMÉRA THERMIQUE 3 3. PROPOSER UNE INSPECTION AVEC CAMÉRA THERMIQUE À SON CLIENT 5. ANTICIPER

Plus en détail

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships. les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans

Plus en détail

Rt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats

Rt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats 6. 0. L isolant Thermo-réfléchissant Rt 5 m²k/w (Rapport CIM 0/007) Système de recouvrements plats Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! www.thermosulit.be Découvrez Thermosulit Thermosulit 6. et 0.

Plus en détail

Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Sur bac acier, bois ou dérivés du bois.

Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Sur bac acier, bois ou dérivés du bois. Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Sur bac acier, bois ou dérivés du bois. Isolation thermique support d étanchéité sur bac acier ou bois

Plus en détail

Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses.

Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Sur bac acier, bois ou dérivés du bois. isolation thermique support d étanchéité sur bac acier ou bois

Plus en détail

Chauffage individuel FICHE TECHNIQUE

Chauffage individuel FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Chauffage individuel 2 9 10 CONNAÎTRE > Chauffage central à eau > Chauffage par pièce > Autres systèmes REGARDER > Energies utilisées > Consommations > Inconforts ENTRETENIR > Contrat de

Plus en détail

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL 1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE TERTIAIRE

DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE TERTIAIRE DATE : 14/02/2011 N AFFAIRE : 003387/2255629/1/1 ANNEE DE CONSTRUCTION : NON COMMUNIQUE SURFACE UTILE : 489.44 TYPE DE BATIMENT : IMMEUBLE D HABITATION + BUREAUX TYPE D ACTIVITES : ADMINISTRATION - BUREAUX

Plus en détail

SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE

SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE

Plus en détail

LE GÉNIE PARASISMIQUE

LE GÉNIE PARASISMIQUE LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège

Plus en détail

2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid

2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur

Plus en détail

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181

Plus en détail

C0nstruire une mais0n. Sommaire

C0nstruire une mais0n. Sommaire Sommaire Page 2 : Le terrain Page 3 : Les raccordements Page 4 : Les fondations Page 5 : La chape Page 6 : Les murs Page 8 : Les planchers Page 9 : Le toit Page 10 : La charpente Page 12 : Les tuiles C0nstruire

Plus en détail

L HABITAT. Technologie 5ème

L HABITAT. Technologie 5ème L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,

Plus en détail

Information. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?

Information. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges? Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

Construction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests

Construction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests Notice Produit Edition 09.2012 Identification no4794 Version no. 2012-208 Sarnavap 5000E SA Pare-vapeur Description du produit Sarnavap 5000E SA est un pare-vapeur auto-adhésif pour système en adhérence

Plus en détail

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 Plancher collaborant Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 V1/2011 caractéristiques du profil DÉTAIL GÉOMÉTRIQUE DU 22 728 104 épaisseur (mm) 0,5 0,7 poids (dan/m 2 ) 5,3 7,4 APPLICATION CONSEILLÉE

Plus en détail

Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage»

Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage» Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage» Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité des constructions. Il a été rédigé

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

Présentation renouveau école Georges Pamart

Présentation renouveau école Georges Pamart MAIRIE DE QUERENAING DEPARTEMENT DU NORD REPUBLIQUE FRANCAISE LIBERTE EGALITE FRATERNITE Arrondissement de Valenciennes - Canton de Valenciennes Sud www.querenaing.fr Présentation renouveau école Georges

Plus en détail

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s) Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS

Plus en détail

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS

Plus en détail

Contenu de la présentation Programme 28.10.2010

Contenu de la présentation Programme 28.10.2010 Fire Safety Day 2010 28 octobre 2010 - Leuven Note d information technique NIT 238 L application de systèmes de peinture intumescente sur structures en acier Source: Leighs Paints ir. Y. Martin CSTC/WTCB

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Etude de faisabilité

Etude de faisabilité Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE

FICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE CEL FRANCE Sarl au capital de 40 000E RC Alès 97RM 300 SIRET 410 748 875 00011 TVA CEE FR56410748875 NAF 316D Tableaux HTA Transformateur HTA Postes de transformation TGBT Disjoncteur BT www.cel france.com

Plus en détail

ESSOURCES PÉDAGOGIQUES

ESSOURCES PÉDAGOGIQUES 2015 MATERNELLES CYCLE I / PS - MS ESSOURCES PÉDAGOGIQUES Introduction Je découvre par les sens MODULES À DÉCOUVRIR PENDANT LA VISITE La Cité des enfants de Vulcania est un lieu d éveil, de découvertes

Plus en détail

Filtres pour gaz et air. GF/1: Rp 1/2 - Rp 2 GF/3: DN 40 GF/4: DN 50 - DN 100 GF: DN 125 - DN 200

Filtres pour gaz et air. GF/1: Rp 1/2 - Rp 2 GF/3: DN 40 GF/4: DN 50 - DN 100 GF: DN 125 - DN 200 Filtres pour gaz et air GF/1: Rp 1/2 - Rp 2 GF/3: DN 40 GF/4: DN 50 - DN 100 GF: DN 125 - DN 200 11.02 Printed in Germany Edition 02.13 Nr. 225 676 1 8 Technique Filtres pour l'alimentation en gaz dans

Plus en détail

Vade-mecum Règles Pratiques

Vade-mecum Règles Pratiques Vade-mecum Règles Pratiques En matière de sécurité incendie conformément à la réglementation belge Arrêté royal (normes de base 994-997 - 2003-2007 - 2009) Et nouvelles annexes, 2, 3, 4 et 6 approuvées

Plus en détail

Parc Valentine Vallée Verte

Parc Valentine Vallée Verte Le Bourbon 10.300 m² de bureaux neufs à louer Parc Valentine Vallée Verte un parc d affaires unique Au cœur d un parc d affaires unique Choisissez pour votre entreprise des bureaux dans un bâtiment historique

Plus en détail

A apposer sur tout produit mis sur le marché européen. A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive

A apposer sur tout produit mis sur le marché européen. A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive Le marquage proprement dit A apposer sur tout produit mis sur le marché européen A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive N est pas une marque de qualité Obligatoire!

Plus en détail

SURFACES ET EFFECTIFS

SURFACES ET EFFECTIFS 2,91 m 3,50 m 6 m 3,50 m 3,50 m 5,80 m 3,50 m 3 m 3,50 m rue des Sablons COUPE RESTRUCTURATION D'UN ENSEMBLE IMMOBILIER 29-31 rue des Sablons - Impasse des prêtres 75016 PARIS COMMERCIALISATION COUPE COMMERCIALISATION

Plus en détail

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les

Plus en détail

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE , ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.

Plus en détail

RELAIS STATIQUE. Tension commutée

RELAIS STATIQUE. Tension commutée RELAIS STATIQUE Nouveau Relais Statique Monophasé de forme compacte et économique Coût réduit pour une construction modulaire Modèles disponibles de 15 à 45 A Modèles de faible encombrement, avec une épaisseur

Plus en détail

Cours d Acoustique. Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité

Cours d Acoustique. Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité 1 Cours d Acoustique Techniciens Supérieurs Son Ière année Aurélie Boudier, Emmanuelle Guibert 2006-2007 Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité 1 La puissance acoustique Définition La puissance

Plus en détail

INSTRUCTIONS POSE ET FINITION DES PANNEAUX DE GYPSE GA-216-2013

INSTRUCTIONS POSE ET FINITION DES PANNEAUX DE GYPSE GA-216-2013 INSTRUCTIONS POSE ET FINITION DES PANNEAUX DE GYPSE GA-216-2013 Ce document est susceptible d être révisé ou retiré de la circulation en tout temps. L état du document devra être vérifié par l utilisateur

Plus en détail

ACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS

ACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS ACOUSTIQUE REGLEMENTATION Dans les exigences réglementaires, on distingue l isolement aux bruits aériens (voix, télévision, chaîne-hifi...) et l isolement aux bruits d impact (chocs). ISOLEMENT AUX BRUITS

Plus en détail

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions

Plus en détail

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des

Plus en détail

Sertissage Aciers COMAP,

Sertissage Aciers COMAP, Sertissage Aciers COMAP, passez à la vitesse supérieure! Jean Vasseur Communication - Photo : Domino Pascal P. Plombier (Lyon) XPress aciers Carbone XPress aciers Inox RAPIDITÉ Réalisez vos installations

Plus en détail

Le Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT

Le Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?

Plus en détail

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................

Plus en détail

Etude de dangers Zone De stockage emballage carton

Etude de dangers Zone De stockage emballage carton O. Chaqchaq, S. Genouiz, A. Nakib, H. Ammar, H. Mbarek Etude de dangers Zone de stockage carton Etude de dangers Zone De stockage emballage carton Mission réalisée 8-9 /12/2010 8/12/2010 Décembre 2010

Plus en détail

6150, 6166 Route 112, Ascot Corner, Qc., J0B 1A0

6150, 6166 Route 112, Ascot Corner, Qc., J0B 1A0 6150, 6166 Route 112, Ascot Corner, Qc., J0B 1A0 Les renseignements qui sont au dossier sont issus de documents appartenant au propriétaire vendeur. Le propriétaire vendeur atteste la conformité des données

Plus en détail

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception

Plus en détail

Normes CE Equipements de Protection Individuelle

Normes CE Equipements de Protection Individuelle E. P. I D O C U M E N T D I N F O R M A T I O N Normes CE Equipements de Protection Individuelle Normes CE EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE Définitions : E.P.I : Tout dispositif ou moyen destiné

Plus en détail

Point n 3 de l ordre du jour. Monsieur le président, Mesdames et Messieurs les Conseillers généraux,

Point n 3 de l ordre du jour. Monsieur le président, Mesdames et Messieurs les Conseillers généraux, Point n 3 de l ordre du jour Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit de Fr. 111'456.- pour la réfection des pieux du débarcadère d Auvernier Monsieur le président,

Plus en détail

Energie solaire www.euroclima.fr

Energie solaire www.euroclima.fr Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des

Plus en détail

modèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE

modèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE modèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE à partir du tableau SIMDUT et des fiches signalétiques Les commissions scolaires, les experts de la formation en entreprise. Durée : 3 heures Les étapes de l atelier

Plus en détail

RISQUES CHIMIQUES Niveau 2 Agrément UIC n 01/95

RISQUES CHIMIQUES Niveau 2 Agrément UIC n 01/95 RISQUES CHIMIQUES Niveau 2 Agrément UIC n 01/95 PUBLIC CONCERNE Responsables, cadres technico-commerciaux, chefs de chantier «preneurs de permis» et chefs d équipe des entreprises ayant à intervenir dans

Plus en détail

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation 4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température

Plus en détail

Systèmes de canalisations

Systèmes de canalisations Systèmes de canalisations link-seal NOUVEAU! Le modèle PYRO-PAC: un passage offrant 3 heures de protection contre l incendie. REFERENCE DE LA PUBLICATION : 158004 (2003) (03) 829 28 80 (03) 828 39 59 ERIKS

Plus en détail

Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA

Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Cet Audit de l existant a été effectué suite à la visite du 17/02/2014. Il prend en considération tous les points ayant un rattachement à la thermique

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS

Plus en détail

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?

Plus en détail

Environnement Contrôlé. Nos solutions. Systèmes de Cloisons de Salles Propres. Construire Votre Environnement. A division of Dagard SAS

Environnement Contrôlé. Nos solutions. Systèmes de Cloisons de Salles Propres. Construire Votre Environnement. A division of Dagard SAS Ultra Propre Environnement Contrôlé High Tech Nos solutions Systèmes de Cloisons de Salles Propres A division of Dagard SAS Construire Votre Environnement Gamme Ultra Propre Les surfaces lisses et bi-affleurantes

Plus en détail

Quelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé

Quelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé Quelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé éée e en 1963 1976 : achat de Transports Trainpo 1979 :Construction des premiers entrepôts 3000 m2 1979 à 1988 : Construction de 18000 m2

Plus en détail

1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h)

1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h) Problèmes IPhO 2012 1 NOM : PRENOM : LYCEE : 1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h) Nous souhaitons dans ce problème aborder quelques aspects de la conception d un avion solaire autonome. Les

Plus en détail

«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux. Date d édition : 1 septembre 2014

«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux. Date d édition : 1 septembre 2014 «RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux Ce document présente : Date d édition : 1 septembre 2014 Les qualifications et certifications «RGE»

Plus en détail

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux. Date d édition : Janvier 2014

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux. Date d édition : Janvier 2014 «RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux Date d édition : Janvier 2014 Ce document présente la liste des qualifications et certifications«rge» classées par domaine

Plus en détail

STEAMY MINI. Nous vous félicitons pour l acquisition de l appareil «STEAMY - MINI», un appareil de grande qualité.

STEAMY MINI. Nous vous félicitons pour l acquisition de l appareil «STEAMY - MINI», un appareil de grande qualité. REITEL Feinwerktechnik GmbH Senfdamm 20 D 49152 Bad Essen Allemagne Tel. (++49) 5472/94 32-0 Fax: (++49) 5472/9432-40 Mode d emploi STEAMY MINI Cher client, Nous vous félicitons pour l acquisition de l

Plus en détail

Le réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity)

Le réseau sans fil Wi - Fi (Wireless Fidelity) Professionnel Page 282 à 291 Accessoires Page 294 TPE / Soho Page 292 à 293 Le réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity) Le a été défini par le Groupe de travail WECA (Wireless Ethernet Compatibility

Plus en détail

Application du Règlement Européen des Produits de Construction (RPC) à des produits de terre cuite

Application du Règlement Européen des Produits de Construction (RPC) à des produits de terre cuite Application du Règlement Européen des Produits de Construction (RPC) à des produits de terre cuite Mars 2013 Introduction Objectifs de ce livret A compter du 1 er juillet 2013, le marquage CE des produits

Plus en détail

Adhésif structural pour le collage de renforts

Adhésif structural pour le collage de renforts Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE SikaLatex

FICHE TECHNIQUE SikaLatex FICHE TECHNIQUE SikaLatex RÉSINE À MÉLANGER À L'EAU DE GÂCHAGE DES MORTIERS DESCRIPTION DU PRODUIT Le SikaLatex est une dispersion aqueuse de résine synthétique qui se présente sous la forme d un liquide

Plus en détail

POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST)

POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST) POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST) Etapes Actions Pilote de l action Description et type de documents 1 Définition d une politique Santé Sécurité au Travail Top Management + externe

Plus en détail

Zone Industrielle. Kehlen... 1

Zone Industrielle. Kehlen... 1 Zone Industrielle Kehlen VALERES Konstruktioun SA 1 L o c a l i s a t i o n Le terrain se situe dans la zone industrielle de et à 8287 Kehlen Parcelle no 2946/5744 lot 1 La superficie du terrain sur lequel

Plus en détail

COFFRETS EXTINCTEURS. Gamme tertiaire / esthétique. Coffret IRYS : le design au service de la sécurité. Caractéristiques :

COFFRETS EXTINCTEURS. Gamme tertiaire / esthétique. Coffret IRYS : le design au service de la sécurité. Caractéristiques : Extinction - Extincteurs COFFRETS EXTINCTEURS Dans tous les lieux où l extincteur peut être exposé à des intempéries, soumis à des milieux agressifs ou utilisation abusive, les coffrets et les housses

Plus en détail