Entrepreneuriat social voulu ou entrepreneuriat social de fait? L impact du genre et de l âge sur l entrepreneuriat social

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Entrepreneuriat social voulu ou entrepreneuriat social de fait? L impact du genre et de l âge sur l entrepreneuriat social"

Transcription

1 Entrepreneuriat social voulu ou entrepreneuriat social de fait? L impact du genre et de l âge sur l entrepreneuriat social Résumé : Cet article s intéresse aux «dessous» de l entrepreneuriat social tel qu il peut être développé par les femmes et les seniors. Se fondant sur l analyse de 27 entretiens compréhensifs menés avec des entrepreneurs féminins séniors ou non et des entrepreneurs masculins seniors, cette recherche permet de qualifier la nature de l entrepreneuriat social selon l âge et le genre et montre que l entrepreneuriat social est certes une spécificité féminine mais cette dernière cache en fait une démarche individualiste chez les femmes entrepreneurs jeune, contrairement aux seniors hommes comme femmes, qui privilégie volontairement une démarche sociale dans leur quête entrepreneuriale. Il conclue sur le rôle du concept de générativité pour expliquer la résilience des seniors entrepreneurs, en particulier les femmes, pour les questions sociales. Mots clés : Entrepreneuriat social, Entrepreneuriat féminin, Seniorpreneur, genre, âge. 1

2 Introduction Cet article a trait aux femmes seniors entrepreneurs et à leur propension à développer et gérer des activités sociales. Plus spécifiquement, nous nous penchons sur la spécificité des formes que peut prendre l entrepreneuriat social chez les femmes seniors, par opposition à l entrepreneuriat social développé par des hommes seniors et par des femmes plus jeunes. D une manière générale, les recherches menées sur l entrepreneuriat social s accordent sur le fait que, pris dans un sens large, cette activité est surtout la spécificité des femmes. Moins intéressées par des approches mercantiles et par la recherche de la maximisation du profit que l activité pourrait générer, les femmes disposeraient d un penchant naturel pour s intéresser aux bien être des autres et, de manière plus général, de la société dans laquelle elles évoluent. Cet intérêt pour un engagement social serait partagé par l intégralité des entrepreneurs seniors ou «seniorpreneurs» (Maalaoui et al., 2011, 2012) qui, déchargé des contraintes familiales et de l éducation des enfants, disposeraient du temps nécessaire pour mener à bien cette mission. En outre, ces derniers témoigneraient d une empathie et du besoin d aider les plus jeunes générations et de préserver une bonne qualité de vie dans la société et l environnement dans lesquels elles évoluent. Dès lors, l entrepreneuriat des seniors féminins présenterait un double intérêt pour la société : d une part, il permet à des femmes de créer un emploi et un débouché professionnel, motivation première des seniorpreneurs ; d autre part, il favorise le développement d un système de solidarité entre générations et entre membres d une même société. Néanmoins, aussi pertinent soit-il sur le papier, ce phénomène reste encore très peu méconnu. Cet article vise à dresser un premier model sur les représentations que les femmes seniorpreneurs se font de leur activité et sur la forme que prend l activité entrepreneuriale de cette catégorie de population. Par la conduite d une analyse qualitative multi-cas et d une analyse de contenu, nos résultats se révèlent ambigus. D une part, notre analyse rejoint les conclusions statistiquement démontrées dans les recherches mentionnées dans la revue de littérature : Les femmes seraient plus enclines à s impliquer dans l entrepreneuriat social que les hommes et les femmes séniors ne feraient pas exception. Pour autant, d autre part, les entretiens approfondis que nous avons menés tendraient à montrer que cette inclinaison chez 2

3 les femmes serait plus lié à de l opportunisme lié à la formation, à l éducation, et à l expérience qu à une réelle démarche altruiste, en particulier pour les femmes «juniors». Chez les seniors, la différence «homme femme» ne serait pas identifiable. Dès lors, notre recherche mettrait en évidence deux résultats saillants : d une part, sur un plan méthodologique, elle tend à confirmer la nécessité de combiner études quantitatives et études qualitatives dans les recherches en entrepreneuriat, et en particulier en entrepreneuriat social, démarche paradoxalement trop peu encore utilisée. Ensuite, elle soulève l hypothèse selon laquelle l entrepreneuriat social ne serait pas tant expliqué par la variable «genre» mais surtout par les variables «âge» et «formation» et «expériences». 1. Partie théorique : Entrepreneuriat social, genre et âge : quels liens? 1.1. L entrepreneuriat social et les femmes seniorpreneurs L entrepreneuriat social peut être compris selon deux acceptations : Dans un sens général, il renvoie à la création d une entreprise qui vise à initier une innovation et un changement social (Drucker, 1985 ; Leadbeater, 1997). En ce sens, ce terme désigne, en premier lieu, les entreprises qui ont une vocation sociale, comme Thompson et al. (2000) le définissent : «(L entrepreneur social est) une personne qui détecte une occasion de répondre à des besoins encore non remplis et que le système étatique ne peut ou n a pas encore satisfait et qui, par là même, rassemble les ressources nécessaires et les utilise à bon escient pour «faire la différence»» (p. 328). Dès lors, au sens strict, l entrepreneuriat social désigne tout processus de création et de gestion d une entreprise d économie sociale et solidaire telle que les organismes de charité, les entreprises d insertion, etc. Pour autant, dans la littérature, cette acceptation est abondamment discutée (Fayolle, 2010 ; Bacq, Janssen 2011a, 2011b), en particulier pour identifier ce qui relève de l entrepreneuriat social et de l entrepreneuriat dit «de business» (Thompson, 2002 ; Vega & Kidwell, 2007). Dès lors les recherches tendent à considérer l entrepreneuriat social dans une acceptation plus large qui intègre à la fois des entreprises de business «classique», dont la finalité repose sur le profit mais dont la stratégie ou les dons visent également à faire quelque chose de positif pour la société et l environnement, les entreprises à vocation sociale mais dont le fonctionnement repose sur l exploitation d une activité et, enfin, les activités humanitaires qui ne fonctionnent que sur la base du don et du volontariat (Levie & Hart, 2011). Dans cet article, nous considérons l entrepreneuriat social dans cette dernière acceptation. 3

4 Afin de traiter notre question de recherche, nous considérons successivement le lien entre entrepreneuriat social et genre, puis le lien entre entrepreneuriat social et âge pour formuler une série de propositions sur le lien entre âge et genre sur l entrepreneuriat social L entrepreneuriat social: une question de genre? A la question «qui crée et gère le plus d entreprises sociales», les recherches répondent de manière quasi unanimes : les femmes, plutôt que les hommes (Levie et al., 2006). Certes, sur un plan statistique, les femmes restent encore minoritaires dans la création d entreprise mais elles sont plus enclines à créer des entreprises sociales, comme le confirme une étude réalisée sur le panel GEM au Royaume Unis : 46 % des créateurs d entreprises sociales sont des femmes tandis qu elles ne représentent que 27% des entrepreneurs d activités dites «classiques» (Levie & Hart, 2011). En outre, cette même étude permettrait de dresser un portrait robot de la femme entrepreneur social, toujours au Royaume Unis : elle serait relativement jeune, c est à dire âgées de moins de 24 ans, diplômées, et résident dans la même région depuis plus de 10 ans, issus d une majorité ethnique et fille d un ou d une entrepreneur. Les auteurs relatent deux explications qui corroborent les résultats d autres travaux de recherche sur l entrepreneuriat féminin. Tout d abord, les caractéristiques intrinsèques des femmes pourraient expliquer ce phénomène : Selon les recherches, elles seraient moins tolérantes à la prise de risque (Jianakoplos & Bernasek, 1998). Or, les activités sociales seraient assimilées à des activités sans risque, moins stressantes (Fletcher, 1998). Ensuite, les femmes entrepreneurs, contrairement à leurs homologues masculins, seraient moins sensibles à la dimension lucrative associée à la gestion d une entreprise (Boden, 1999 ; Lombard, 2001 ; Burke et al., 2002). Au-delà de ces travaux, les raisons qui poussent les femmes à créer une entreprise à caractère social semblent encore obscures et incertaines : s agit-il d une volonté affichée et déterminée de s engager dans une activité sociale? S agit-il de la volonté de créer une activité et le déterminisme féminin conférerait à l activité un caractère social? 4

5 1.3. L entrepreneuriat social : une question d âge? L engouement pour l entrepreneuriat n a cessé de croitre durant les deux dernières décennies. Les entrepreneurs quelque soit leur âge entame de plus en plus tôt mais également de plus en plus tard l expérience de la création d entreprise. Qu ils soient jeunes et étudiants (Robinson et al, 1991, Fayolle 1999, Audet 2004, Janssen 2005, Boissin 2008), les entrepreneurs font de plus en plus appel à leur environnement, réseau et compétences pour s assurer le succès et surtout la rentabilité financière escomptée. Les seniors également s intéressent de plus en plus à l expérience entrepreneuriale et c est dans ce sens qu ils entreprennent au même titre que les plus jeunes. Le senior entrepreneur ou seniorpreneur est un individu qui a entamé une expérience entrepreneuriale postérieure à ses 50 ans. Il souhaite faire face au désengagement social et prolonger son activité professionnelle. Cette frange de la population ambitionne de transmettre aux générations futures ses connaissances, son expérience, son expertise et éventuellement un patrimoine. Le senior entrepreneur souhaite également générer des revenus pour assurer son quotidien ou un complément de salaire (Maalaoui et Al 2012). Selon une enquête menée par Dane Stangler en 2009 pour le compte de la «Ewing Marion Kauffman Foundation», il s avère par exemple qu aux USA, les seniors entreprennent plus que les ans. Encore mieux, les créations d entreprises par les ans sont 1/3 plus importantes que celles des ans. Cette enquête confirme également l engouement des seniors pour l entrepreneuriat puisque l âge moyen auquel les individus tentent l entrepreneuriat est fixé à 39 ans. Un constat qui met en avant le fait que «plus on est accompli professionnellement et libérer des engagements familiaux, plus facilement les individus se lancent dans l expérience de la création d entreprise». En Europe de manière générale et en France en particulier, les personnes âgées représentent un segment en forte croissance. En 2012, les ans représentaient ainsi 19,2 % en France, contre 19,1 % dans l Europe des 27 (Eurostat) et les ans 11,4 % en France, pour 12,7 dans la communauté européenne. Au 1er janvier 2000, plus de 100 millions d Européens ont plus de 50 ans, dont 19 millions de français. Toutes les 37 secondes, un Baby boomer franchit le cap des 50 ans. En 2020, ils atteindront les 25 millions et ils seront 30,5 millions en 2050 (Chevalier, 2000 in Safraou, 2009). Un panorama qui met en exergue le poids des seniors dans le paysage entrepreneurial contemporain. 5

6 Ceci dit, un engouement de cette catégorie bien particulière se fait ressentir à savoir un attrait bien particulier pour le social. Cette assertion prend tout son sens au travers des caractéristiques propres aux seniors à savoir : - un désir de continuité : Selon Safraou (2009), le senior cherche à maintenir un certain équilibre dans sa vie (Atchley (1989), et de disposer d activités qui lui permettent de se sentir important et faisant partie d une structure (Kim et Feldman, 2000) à l identique de son emplois précédent. - un désir de socialisation et d éviter le désengagement : Les seniors chercheront tout le long de leur vie à maintenir une appartenance à un groupe ou population leur permettant de s identifier (Rahtz, Sirgy et Meadow, 1988 in Safraou, 2009). Ce désir se met en avant dans le sens ou les seniors veulent éviter l isolement et souhaitent maintenir un dynamisme dans leur vie de tous les jours. - un désir d activité : Maintenir une activité et se sentir utile pour sa famille et la société constituent pour le seniors un vrai besoin (Havighurst et Albrecht, 1953). Le désir d activité permet selon de nombreuses études scientifiques de maintenir un état de santé (VISAT). Ceci dit, les seniors qu ils soient entrepreneurs ou non, ont tendance à considérer les générations futures. Un besoin qui s exprime au travers ce que l on appelle : la générativité. La générativité est définie comme: an interest inestablishing and guiding the next generation (Erikson, 1963). Aussi,, selon Lacroix (2006) :«La conceptualisation de la générativité proposée par Snarey (1993), qui fait la distinction entre la générativité parentale, caractérisée par la fonction éducative parentale proprement dite, et la générativité sociale». Pour mesurer la générativité chez les individus, nous pouvons faire appel à la Loyola Generativity Scale de McAdams et de St. Aubin (1992), qui fut réutilisée et améliorée par Giacolone et al en 2005 et de Urien et Kilbourne en Dès lors nous pouvons mettre en avant les traits de la générativité tel que : Demande culturelle, Désir intérieur, Préoccupation, Croyance, Engagement, Action et la Narration. C est dans ce sens que Maalaoui et al (2012), démontrent que «la générativité, chez les seniors entrepreneurs, les traits de la générativité liés à la préoccupation, l engagement et l action (éléments de la LGS) sont présents dans les trois piliers de la RSE». Ils affirment que 6

7 cela s explique par le fait que les seniors, en entamant une expérience entrepreneuriale, s engagent à un niveau social pour assurer une communion et une prospérité (Privat et Urien, 2010) de leurs actions envers la société mais également envers l environnement. La générativité est fortement présente chez les seniorpreneurs puisqu il s avère que : - les seniors se préoccupent des générations futures : ils souhaitent leur léguer un patrimoine et leur assurer un niveau de vie décent : c est une forme d entrepreneuriat social dite voulue - Les seniors en situation de perte d emploi, se dirigent plutôt vers la création de leur propre activité pour assurer le quotidien de leur famille (qui est à sa charge : femmes et enfants), c est un acte d entrepreneuriat social dit subit ou de fait. La générativité peut être considérée comme un levier ou un frein à l acte entrepreneurial social qu il soit voulu ou de fait. Il s avère aussi que cette variable permet d expliquer la présence et l affirmation d un acte d entrepreneuriat social. Mais il en résulte que ce dernier est plus présent chez les femmes seniorpreneurs que chez leurs homologues hommes? Ce constat s appuie sur les travaux développés par BORGES, et VAZ REBELO (2009) qui démontrent que «la moyenne de générativité étant supérieure pour le sexe féminin». Cette démarche va dans le sens d une réflexion à mener des différences hommes/femmes sur la question de la générativité mais également dans le sens de l entrepreneuriat social L entrepreneuriat social chez les femmes séniors : une double spécificité? Pour autant, en ce qui concerne les femmes entrepreneurs, les recherches constatent que l âge semble être corrélé avec la décision de créer une entreprise : les femmes auraient tendance à créer des entreprises une fois les enfants élevés, donc après ans environ. Néanmoins, la tendance serait différente dans le cadre de l entrepreneuriat social. Ainsi, la même étude menée sur le panel GEM, mentionné précédemment, montre que le temps consacré à la création et à la gestion de l entreprise à vocation sociale serait moindre pour son dirigeant créateur que dans le cas de l entreprise qui a uniquement pour vocation le profit. Les chercheurs expliquent donc ainsi pourquoi les jeunes femmes entrepreneurs, ayant certainement des enfants, se tourneraient d avantage vers la création d une activité sociale. Ainsi, plus âgées, c est à dire, au-delà de 45 ans, elles seraient plus attirées vers la création d entreprises «orientées business». 7

8 Dès lors, la revue de littérature nous incite à formuler plusieurs propositions de recherche que nous pourrions logiquement émettre, en ce qui concerne les femmes seniorpreneurs et leur appétence pour développer une démarche d entrepreneuriat social. D une part, de part le portrait robot de la femme entrepreneur sociale, nous pourrions déduire que la femme seniorpreneur serait plus enclin à s engager dans de l entrepreneuriat social que l homme seniorpreneur (Proporision1). En outre, conformément à la littérature, ces femmes seraient moins orientées que leurs homologues plus jeunes par l entrepreneuriat social (P2). Enfin, au regard du concept de générativité que nous avons présenté, nous pouvons émettre les deux dernières propositions : La générativité individuelle des femmes seniorpreneurs serait plus importante que chez leurs homologues plus jeunes (P3) et que chez les hommes seniorpreneurs (P4). Toutefois, au delà de ces propositions, la littérature ne nous permet pas de caractériser les différentes formes que pourraient prendre l entrepreneuriat social chez les femmes seniorpreneurs, par opposition à celles qu il pourrait avoir chez les hommes seniorpreneurs ou encore chez les femmes plus jeunes et, surtout, quels sont les moteurs et les motivations pour une telle démarche. Ainsi, selon une étude menée par l Union Européenne sur l Entrepreneuriat Féminin, on sait que les femmes sont généralement plus diplômées que les hommes, mais ayant moins d expérience professionnelle et ont fait des études plus orientées vers les sciences humaines telles que la psychologie. On pourrait donc s attendre qu elles exercent un métier et une activité entrepreneuriale qui s intéresse à l humain, pas uniquement par vocation mais par de part leur compétence et leur formation (P5). Néanmoins, où réside l implication sociale? Est-elle de fait? Désirée? En résume, le tableau 1suivant synthétise les cinq propositions affilées à notre recherche : Tableau 1 : les propositions de la recherche N Propositions 1 la femme seniorpreneur serait plus enclin à s engager dans de l entrepreneuriat social que l homme seniorpreneur 2 Les femmes seraient moins orientées que leurs homologues plus jeunes par l entrepreneuriat social 3 La générativité individuelle des femmes seniorpreneurs serait plus importante que chez leurs homologues plus jeunes 4 La générativité individuelle des femmes seniorpreneurs serait plus importante que chez leurs homologues hommes seniorprenurs 8

9 5 Les femmes de manière générale exercent un métier et une activité entrepreneuriale qui s intéresse à l humain, pas uniquement par vocation mais par et de part leur compétence et leur formation Les cinq propositions de recherche sont testées grâce au protocole que nous détaillons dans la partie suivante. 2. Etude terrain La revue de littérature permet de mettre en évidence des résultats qui témoignent du penchant féminin pour l entrepreneuriat social, dans les trois acceptations précédemment mentionnées. Elle met aussi en évidence le même penchant chez les seniors. Enfin, elle permet de formuler une série de propositions de recherche sur le sens de l entrepreneuriat social chez les femmes seniors. Aussi, afin de mieux appréhender le sens de l entrepreneuriat social pour cette catégorie de population et les motivations pour les formes que peuvent prendre cet entrepreneuriat social, nous avons eu recours à une démarche de recherche qualitative et compréhensive Design de la recherche Notre démarche se fonde sur l analyse d entretiens ouverts menés avec des entrepreneurs. Le choix des entrepreneurs, et en particulier l identification de la nature de l entrepreneuriat social par opposition à un entrepreneuriat «business» - a été fait par nos soins, en fonction de la connaissance que nous avions de l activité des entrepreneurs interrogés, de ce que les parties prenantes évoquaient sur ce sujet et, enfin, des définitions très précises données dans la revue de littérature (Levie et al., 2010). Cette démarche, en particulier l attribution du qualificatif de social à l entrepreneuriat nous permettra, par la suite, de comparer les définitions attribuées à l entrepreneuriat social à partir d études statistiques et la perception qu ont les entrepreneurs sociaux de la dimension sociale de leur travail. Ensuite, afin de mettre en valeur les deux dimensions que nous étudions, le genre et l âge, nous avons fait en sorte de constituer un échantillon comprenant trois populations homogènes : - Des femmes seniors impliquées dans une démarche d entrepreneuriat social, - Des femmes plus jeunes impliquées dans une démarche analogue, - Des hommes seniors impliqués dans une démarche analogue. Notre échantillon est donc composé de 27 personnes et est structuré comme suit (tableau 2) 9

10 Tableau 2 - Composition de l échantillon d entrepreneurs genre Date de créatio n Secteur ou activité Sous-catégorie entrepreneur 1 F 1987 Entreprise de distribution de produits bureautiques Femme - Junior 20 2 F Entreprise de traduction, de cours de langue par téléphone Femme - Junior et d aide à l accueil d expatriés 3 F 2006 Décoration d intérieur Femme - Junior 39 4 F Coaching de cadres et de dirigeants Femme - Junior Conseil en Communication pour PME 5 F 2007 Applications pour smartphones Femme - Junior 38 6 F 2000 Entreprise de portage salarial Femme - Senior 42 7 F 2007 Entreprise de portage salarial Femme - Senior F F F H Nov 2008 Sept 2010 Janv 2008 Sept 2009 Epicerie fine, salon de thé (restauration le midi) Conseil en entreprise liée au handicap Services (accueil et accompagnement clientèle très haut de gamme) Surveillance, gardiennage et sécurité Femme - Senior Femme - Senior Femme - Senior Homme Seniors 12 H 1983 Automatisme et pneumatique (Etude et réalisation) Homme Seniors H Janv Homme Seniors Distribution alimentaire (Superette, super et hyper marché) H Janv Homme Seniors Loisirs Homme Seniors 1984 Artisanat- Ferronnerie d art H H Déc Homme Seniors Conseil aux dirigeants H Mars Formation et conseil (management, ressources humaines, Homme Seniors 2011 coaching) F 1990 Café restauration Femme - Senior H Avril Homme Seniors Conseil en création d entreprise H Conseil en entreprise Homme Seniors H 2009 Conseil en entreprise Homme Seniors F 2009 Télé secrétariat Femme - Senior H Conseil en management de la qualité, sécurité et de Homme Seniors l'environnement 24 H 2009 Communication Homme Seniors F Fév Femme - Senior Services aux entreprises (Télé secrétariat, télé prospection) F 2010 Interprète de conférences Femme - Senior F 2006 Conseil dans la reprise d entreprises Femme - Senior 50 Age à la création Le matériau collecté auprès de cet échantillon consiste en un entretien en face-à-face réalisé par au moins un des auteurs, d une durée minimale de une heure trente et pouvant aller jusqu à trois heures. L entretien est volontairement ouvert et porte sur une présentation approfondie de l entrepreneur ses origines, son éducation, sa formation, les expériences professionnelles avant et lors de la création de l entreprise, du contexte personnel et professionnel lors de la création de l entreprise, des origines de cette création d où vient l idée, comment a-t-elle été exploitée, qui a financé la création de l entreprise et la gestion 10

11 de l entreprise au quotidien. Chaque entretien a été enregistré et retranscrit en intégralité par un assistant et vérifié par nos soins. Pour la réalisation de cette recherche sur l entrepreneuriat social, chaque personne interrogée a été recontactée une seconde fois et s est prêté au jeu d un second entretien téléphonique, d une durée minimale de vingt minutes, lui permettant de rebondir sur un aspect de l entretien initial et sur la retranscription de l entretien qui lui a été remise. En outre, la personne a été interrogée sur la dimension sociale qu elle donne à son activité. En complément des déclarations de l entrepreneur, nous avons également interviewé, selon le même protocole, certaines parties prenantes que l entrepreneur a jugé «clé» à interroger en fonction de la priorité et du sens qu il donne à l entrepreneuriat : le conjoint, l associé, l assistante, le financeur. Ce recours à un entretien que nous qualifions de secondaire a déjà été utilisé dans une recherche antérieure par un des auteurs de cet article 1. Ces entretiens ont été réalisés sans la présence de l entrepreneur et ont porté sur le récit de l expérience entrepreneuriale et sur l opinion qu à ce tiers sur le caractère social et les raisons d actions de l entrepreneur. La réalisation d un tel entretien permet à la fois de corroborer et de mieux comprendre les discours tenus par l entrepreneur. L intégralité du matériau recueilli a fait l objet d une analyse de contenu grâce au logiciel NVivo 7. La codification a été réalisée dans une démarche abductive (Weick, 1989). Elle n est pas fondée sur des items préétablis. Nous nous sommes toutefois intéressés à trois dimensions : (1) aux récits des motivations pour la création de l entreprise, (2) aux discours spontanément formulés sur le mode de gestion de l entreprise au quotidien et (3) aux discours assistés sur la dimension sociale perçue par l entrepreneur dans le cadre de la gestion de son activité Résultats & discussions Afin de mettre en évidence l éventuelle spécificité des femmes seniors entrepreneurs envers l entrepreneuriat social, nous présentons les résultats par catégorie de population analysée : les femmes seniors entrepreneurs, les femmes entrepreneurs plus jeunes et les hommes seniors entrepreneurs. Le tableau situé en annexe 1 relate à la fois les résultats du codage ainsi que le mode de codage utilisé selon quatre aspects : la caractérisation de la dimension sociale, les 1 Cet article devant être soumis à relecture, nous enlevons ici la référence de l article publié mais la reintégrerons en cas d acceptation du papier. 11

12 motivations pour l engagement entrepreneurial, les motivations pour le choix de l activité et, enfin, la formation et l expérience passée de l entrepreneur. L analyse ainsi présentée nous permet de dégager les résultats et éléments de réflexions suivants : Les formes d entrepreneuriat social : Entre l âge et le genre Dans la description formelle des activités développées par les différents entrepreneurs, nous constatons que les femmes tendraient, d une manière générale, plus à être des entrepreneurs sociaux que leur homologue masculin. D une manière générale, il est intéressant de noter que toutes les activités développées par les femmes renvoient à une dimension sociale. Cette dimension prend toutefois des formes différentes : Pour la majorité des femmes, en particulier des femmes âgées de moins de 45 ans, la dimension sociale est inhérente à toute activité entrepreneuriale qui implique la création d emplois : la prise de conscience, voire de la fierté de créer des emplois par le fait même d avoir créé et dirigé une activité. Pour autant, au-delà de cet aspect, la dimension sociale se retrouve aussi par le fait que les femmes créent surtout des entreprises en lien avec l emploi et l accompagnement de la personne en recherche d emplois ou qui cherchent à créer une entreprise : entreprise de portage salarial, accompagnement du salarié etc. Enfin, dernière forme d entrepreneuriat social chez une femme de notre échantillon, la protection et l engagement des petits actionnaires. Aussi, les hommes généralement paraissent moins enclins à entreprendre socialement, du moins c est ce que rapporte la littérature et notre recherche terrain. Ce pendant, nous observons à un niveau analytique que ce n est pas toujours le cas. Les hommes peuvent développer ex-post création un engouement pour les autres dès lors que leur situation financière et que la performance de l entreprise nouvellement créer est au rendez-vous. L analyse des nos entretiens nous démontre donc que notre première proposition n est pas évidente à valider. Cette situation démontre bien que ce soit chez les femmes ou leur homologues hommes, l intention d entreprendre socialement ex-anté création est quasiment absente si l on se prête à une analyse macro. Ce pendant, il y a dans les deux cas un attachement et une préoccupation des autres qui se fait ressentir dans l analyse des discours. Cette préoccupation est toute fois plus présente chez les femmes que chez les hommes, ce qui nous amène à valider partiellement et non définitivement notre première proposition. 12

13 Le second point saillant de notre étude a trait à la recherche du facteur âge dans l entrepreneuriat social et au moment de la création de l entreprise. L identification de l impact de ce facteur est permise chez la femme grâce à une comparaison entre l échantillon de femmes de moins de 50 ans et celles de plus de 50 ans, au moment de la création de l entreprise et au moment de la réalisation de l interview. Ce pendant, il est quasiment impossible de démontrer que les femmes seniors sont moins enclines à entreprendre socialement que les plus juniors ceci infirme notre deuxième proposition (P2 pareillement impossible à valider qualitativement) Entrepreneuriat social Humaniste ou Individualiste? Contrairement à ce que la revue de littérature aurait pu supposer, notre analyse complète les résultats mentionnés dans la revue de littérature : certes les femmes non seniors seraient plus enclines à créer de l entrepreneuriat social que leurs homologies seniors. Mais les verbatim recueillis, en particulier, ceux sur la motivation pour l activité et pour la démarche entrepreneuriales, laissent penser que cet attachement pour le social résulterait surtout d une opportunité. Aucune des femmes de notre échantillon ne mentionne de manière spontanée la recherche d une activité pour créer du social. A l exception du cas de Virginie, elle déclare avoir toujours été intéressée par le contact avec les autres et l aide aux autres. Pour autant, nous constatons que toutes les démarches entrepreneuriales relèvent d une volonté «égoïste», en particulier chez les femmes non seniors : l épanouissement personnel, la recherche d un challenge, ou d une dimension d aide aux proches, en particulier les enfants. Chez les femmes seniors, cette dimension semble moins prégnante. Chez les hommes, la question est plus complexe et ambiguë. Cette assertion émane du fait que l attrait pour l entrepreneuriat social n est pas toujours évident à mettre en avant. Nous observons plusieurs situations dans ce sens : - bon nombre d hommes seniorpreneurs développent l envie d aider leur prochain et de créer de l emploi. Mais il s avère après analyse, que ce constat est d autant plus présent lorsque l entreprise crée est performante et permet de dégager des bénéfices. Donc il est plus facile de 13

14 discuter l impact social des entreprises nouvellement créées lorsque ces dernières apportent réussite à leurs créateurs. - Dès le départ, ces seniorepeneurs hommes expriment clairement leur volonté de réaliser une action en faveur de la société. Le souci des générations futures est au centre de leurs préoccupations actuelles et futures. - Nous disposons également d une troisième catégorie, qui clairement, n exprime aucun attrait pour l entrepreneuriat social. Cette situation est assez souvent présente lorsqu il s agit d un individu homme en recherche d emploi et qui n a que pour seul alternative de créer son propre emploi. Ceci dit, malgrésmalgré cette affirmation, il est clair qu il existe bien une forme d entrepreneuriat dissimulée lorsque la personne en question a des enfants à charge. Le fait de rechercher des revenus et une situation confortable pour sa famille constitue en notre sens une forme d entrepreneuriat social. Ce qui nous amène à avancer la grille suivante qui nous permet de mettre en place une lecture singulière de l entrepreneuriat social Tableau 3 : L entrepreneuriat social : Individualisme Vs Humanisme Voulu De Fait Individualisme Humanisme - plus présent chez les femmes juniors entrepreneurs que chez leurs homologues seniors - Plus présent chez les femmes seniorpreneurs que chez leur homologues hommes - Plus présent chez les femmes seniorpreneurs que chez leur homologues juniors - Plus présent chez les hommes et femmes seniorprenurs que chez les femmes juniors - présent chez les différentes catégories étudiées : Homme, femme, femme junior L entrepreneuriat social chez les femmes : Une question de vécu! Les résultats observés, nous invite donc à nuancer l intérêt de la femme entrepreneuriale pour l activité sociale : surtout motivée par des démarches personnelles ou familiales, la dimension sociale est certes présente mais se retrouve surtout par opportunisme et parce que la femme 14

15 entrepreneur a tissé son activité à partir de son expérience passée (Proposition 5 Validée), qui est souvent en lien avec les ressources humaines, l accompagnement de l individu, la psychologie, etc. (Cas de notre échantillon féminin, à l exception de Rose-Marie qui souhaite exploiter une nouvelle dimension qu elle n avait jamais encore travaillée, à savoir l art et le design). Les femmes seniorpreneurs par exemple, ont pour la plus part d entre elles, mis entre parenthèse leur rêves et ambitions futures pour s occuper de leur familles ou d une carrière, non voulue, dans une entreprise. Dans le premier cas, les femmes seront plus apte à créer après avoir finaliser un autre type de travail à savoir élever et éduquer les enfants. Passé la cinquantaine, les préoccupations pour la famille se sentent moins importantes puisque dans la plus part des cas les enfants ont quitté la structure familiale pour s émanciper et s explorer ailleurs. A ce moment précis, la femme seniorprenurs va puiser dans ses compétences, ses expériences de femme au foyer et de sa formation pour mettre en place une structure qui est en parfaite adéquation avec ses propres besoins. Pour les plus jeunes d entre elles, les juniors, tout est question d opportunisme, d expérience professionnelle et de formation. Il s avère que les femmes juniors entrepreneurs vont créer car elles ont pressenti une opportunité d affaire mais qui est en parallèle en adéquation avec ses aspirations sociales et personnelles La générativité chez les femmes seniorpreneurs : une variable à explorer D après la littérature et les différentes études, les femmes seraient plus sensibles et plus enclines à la générativité que les hommes. Cette dimension permettrait d expliquer pourquoi les femmes sont plus orientées vers l entrepreneuriat social que les hommes. Cette assertion que nous avons du mal à établir (qualitativement et de part les entretiens réalisés) peut être résolue par le concept de générativité. Effectivement les femmes développent individuellement de la générativité vis à vis de leurs enfants, leurs familles et même la société. Le plus souvent la générativité est associée à la maturité et c est dans sens que les individus âgés, expriment une volonté de transmettre leurs savoirs, expériences, connaissances, compétences, réseaux, patrimoine, etc. Par exemple la générativité est fortement présente chez les prédécesseurs lors d un processus de transmission successorale dans les entreprises familiales. 15

16 C est dans ce sens que nous pouvons proposer de mettre en avant la relation âge, générativité et attrait pour l entrepreneuriat social. Nous pouvons affirmer que plus les individus sont âgés, plus ils sont dans une perspectives de générativité et donc plus sensibles à l entrepreneuriat social. Aussi, soutenant que les femmes sont plus «génératives» que les hommes, nous pouvons émettre le fait que les femmes pourraient être plus entrepreneurs sociales que les hommes (ceci nous donnerait une explication et validation partielle de la première proposition formulée lors de notre recherche, et qui conforterait notre point de vue au début de notre analyse des résultats). Figure 1 : Générativité & Entrepreneuriat social : Impact de l Age & du genre Femme Générativité & Entrepreneuriat Social Homme Junior Senior 3. Conclusion et directions pour de futures recherches Ce travail de recherche a trait à la qualification de l entrepreneuriat social en fonction du genre et de l âge de celui qui l initie. Notre analyse rejoint les conclusions de recherches préalablement menées : Les femmes seraient plus enclines à s impliquer dans l entrepreneuriat social que les hommes et les femmes séniors ne feraient pas exception. Pour autant, d autre part, les entretiens approfondis que nous avons menés tendraient à montrer que cette inclinaison chez les femmes serait plus lié à de l opportunisme, lié à la formation, à l éducation, et à l expérience qu à une réelle démarche altruiste, en particulier pour les femmes «juniors». Chez les seniors, la différence «homme femme» ne serait pas 16

17 identifiable. Dès lors, notre recherche mettrait en évidence deux résultats saillants : d une part, sur un plan méthodologique, elle tend à confirmer la nécessité de combiner études quantitatives et études qualitatives dans les recherches en entrepreneuriat, et en particulier en entrepreneuriat social, démarche paradoxalement trop peu encore utilisée. Ensuite, elle soulève l hypothèse selon laquelle l entrepreneuriat social ne serait pas tant expliqué par la variable «genre» mais surtout par les variables «âge» et «formation» et «expériences». Ces résultats invitent à la poursuite de travaux sur la question de l identification des motivations profondes qui se cachent derrière l entrepreneuriat social. D une part, ils questionnent l origine de l entrepreneuriat social : dans notre recherche, nous considérons que l entrepreneuriat est social dès lors que l entrepreneur le perçoit comme tel mais est-ce que le «bien fondé» perçu par l entrepreneur est réel? Nos résultats invitent donc à poursuivre le travail sur la qualification de l entrepreneuriat social en explorant de nouvelles méthodes, en particulier en intégrant les parties prenantes de l entrepreneur dans le protocole de recherche. En outré, nos résultats mettent en avant la pertinence du concept de générativité pour comprendre l entrepreneuriat social, en particulier chez les femmes. Ils invitent ainsi à une exploration plus precise de ce concept et de ses mécanismes de fonctionnement. Bibliographie Atchley R.C. (1989), «A Continuity Theory of Normal Aging», The Gerontologist, No29 N, p Bacq.S.A., F. Janssen (2011) : The multiple faces of social entrepreneurship: A review of definitional issues based on geographical and thematic criteria, Entrepreneurship & Regional Development, 23:5-6, Baron D.P. (2007), «Corporate social responsibility and social entrepreneurship, Journal of Economics & Management Strategy, No. 16, p Boissin J.P, Chollet B. and Emin S. (2007), «Les croyances des étudiants envers la création d'entreprise», Revue française de gestion, No 180, p Boulbry C. (2003), «L Impact du Vieillissement Cognitif sur l Efficacité Publicitaire: Le cas de la Publicité à Évocations Nostalgique», Thèse pour le Doctorat en Science de Gestion ; Université de Rennes 1. Boden, R.J. (1999), Gender Inequality in Wage Earnings and Female Self-Employment Selection, Journal of Socio Economics, 28, p

18 Burke, A.E., F. FitzRoy, M.A. Nolan (2002), Self-employment Wealth and Job Creation: The roles of Gender, non-pecuniary Motivation and Entrepreneurial Ability, Small Business Economics, 19, p Chevalier C. (2000), «Contribution à la Modélisation du Processus de Persuasion Publicitaire: Une Application aux Individus Âgés de 60 ans et plus», Thèse pour le Doctorat en Science de Gestion ; Université Paris I-Panthéon-Sorbonne. Dahlsrud A. (2008), «How corporate social responsibility is defined: An analysis of 37 definitions», Corp. Soc. Responsib. Environ. Mgmt., No. 15, p Dean, T.J. and McMullen J.S. (2007), «Toward a theory of sustainable entrepreneurship: Reducing environmental degradation through entrepreneurial action», Journal of Business Venturing, Vol. 22, p Dees G. (1998), «The meaning of social entrepreneurship», dernier accès : 1 janvier Drucker P. (1985), Innovation & Entrepreneurship, Heinemann, London Fayolle A., Matlay H., Handbook of Research in Social Entrepreneurship,Cheltenham (UK): Edward Elgar (2010). Fletcher JK (1998), Relational Practice. A Feminist Reconstruction of Work, Journal of Management Inquiry, Vol. 7, N 2, p Franco-Borges & Vaz-Rebelo (2009), Parent s Evaluation of Child s Conduct. Kautonen T. Luoto S. and Tornikoski E.(2010), «Influence of work history on entrepreneurial intentions in prime age and third age : A preliminary study», International Small Business Journal, No. 28, p , June. Kim S. and Feldman D C. (2000), «Working in Retirement: The Antecedents of Bridge Employment and its Consequences for Quality of Life in Retirement», Academy of Management Journal, No 6, p Kotre, J. (1984), Outliving the self. Baltimore, MD: Johns Hopkins University Press. Jianakoplos, N.A., A. Bernasek (1998), Are Women more Risk Averse?, Economic Inquiry, Vol. 36, N 4, p Lacroix, C. (2006) : la générativité du consommateur, these de doctorat, Université de Grenoble, pp.288. Leadbeater C. (1997), The rise of social entrepreneur, Demos, London Levie J., Harding R., Brooksbank D., Hart M., Jones-Evans D, O Reilly M. (2006), Measuring social entrepreneurship: Lessons from three years of experimentation by the UK GEM team, Babson Conference, Madrid, Spain 18

19 Levie J., M. Hart (2011), Business and Social Entrepreneurs in the UK: Gender, Context and Commitment, International Journal of Gender and Entrepreneurship, Vol. 33, N 3, p Lombard K. (2001), Female Self-Employment and Demand for Flexible, Nonstandard Work Schedules, Economic Inquiry, Vol. 39, N 2, p Maâlaoui A. Bourguiba M. and Safraou I. (2011), «L intention entrepreneuriale chez les seniors: Le cas français», Académie de l entrepreneuriat, Paris, Octobre. McAdams D.P. and Aubin E.S. (1992), «A Theory of Generativity and its Assessment Through Self-Report, Behavioral Acts, and Narrative Themes in Autobiography», Journal of Personality and Social Psychology, No. 62, p McAdams D.P., Aubin E.S. and Logan R.L. (1993), «Generativity Among Young, Midlife, and older Adults «, Psychology and Aging, No.8, p McAdams D. P., Hart H. M., and Maruna S. (1998), The anatomy of Generativity. In D. P. McAdams and E. de St. Aubin (Eds.), Generativity and adult development (p. 7 43).Washington, DC: American Psychological Association. Nikina A., L. Shelton, S. Le Loarne (2012), Does he have her back?: A look at how husbands support women entrepreneurs, The Entrepreneurial Practice Review, 12: 50. Thompson J., Alvy G., Lees A. (2000), Social Entrepreneurship A new look at the people and the potential, Vol 38, N 5, p Privat H. and Urien B. (2010), L influence de l expérience du vieillissement sur la consommation socialement responsable : Une étude empirique, Actes du 26e congrès de l Association Française de Marketing, Le Mans (6-7 mai). Thompson J. (2002), The World of a Social Entrepreneur, International Journal of Public Sector Management, Vol 15, N 4-5, p Safraou I. (2009), «étude de l efficacité des publicités intergénérationnelles à dominante émotionnelle positive auprès des personnes âgées : le cas du voyage», thèse pour le doctorat en sciences de gestion, Université Paris Dauphine, Juillet. Stangler.D (2009) : The coming Entrepreneurship Boom, Ewing Marion Kauffman Foundation, pp.6. Urien B. and Guiot D. (2007), «Attitude Face à la Mort et Comportement d Ajustement des Consommateurs Âgés : vers l Élaboration d une Réponse Marketing», Décisions Marketing, No. 46, p

20 Urien B. and Kilbourne W. (2011), «Generativity and Self-Enhancement Values in Eco- Friendly Behavioral Intentions and Environmentally Responsible Consumption Behavior», Psychology and Marketing, No.28, p Vega G., R.E. Kidwell (2007), Toward a typology of new venture creators: Similarities and contrasts between business and social entrepreneurs, New England Journal of Entrepreneurship, Vol. 10, N 2, p Weck K. (1989), Theory Construction as Disciplined Imagination, Academy of Management Review, 14(4),

Hommes / Femmes, vos stratégies de développement d entreprise.

Hommes / Femmes, vos stratégies de développement d entreprise. Hommes / Femmes, vos stratégies de développement d entreprise. Étude 2014 Synthèse des résultats de l étude réalisée par Réseau Entreprendre et Grenoble École de Management avec le soutien de Fédération

Plus en détail

PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS

PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS 2012 Indice BDC de la nouvelle activité entrepreneuriale PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS Résumé --------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

«L entraîneur médiocre parle, le bon explique, le super démontre et le meilleur inspire» John Kessel

«L entraîneur médiocre parle, le bon explique, le super démontre et le meilleur inspire» John Kessel «L entraîneur médiocre parle, le bon explique, le super démontre et le meilleur inspire» John Kessel Pascale JOLY, Fondatrice du Cabinet : COACHDAFFAIRES Entrepreneur, Executive & Business Coach AAA Autodidacte,

Plus en détail

Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie)

Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Commentaire du film d introduction de l intervention de Garth Larcen et son fils Max, entrepreneur aux U.S.A. Garth Larcen

Plus en détail

Sondage exclusif Les Français et l esprit d entreprise

Sondage exclusif Les Français et l esprit d entreprise Sondage exclusif Les Français et l esprit d entreprise Un sondage exclusif mené par l Ins6tut Think pour 29/01/13 - Sondage «Les Français & l esprit d entreprise» mené par l Institut Think pour l APCE

Plus en détail

Hommes et femmes au travail Ni tout à fait les mêmes, ni tout à fait des autres. Etude Ipsos pour ELLE

Hommes et femmes au travail Ni tout à fait les mêmes, ni tout à fait des autres. Etude Ipsos pour ELLE Hommes et femmes au travail Ni tout à fait les mêmes, ni tout à fait des autres Etude Ipsos pour ELLE Pourquoi cette étude? Croiser le regard des hommes et des femmes sur le travail aujourd hui Le travail

Plus en détail

L analyse de la gestion de la clientèle

L analyse de la gestion de la clientèle chapitre 1 - La connaissance du client * Techniques utilisées : observation, recherche documentaire, études de cas, études qualitatives (entretiens de groupes ou individuels, tests projectifs, analyses

Plus en détail

P résentation. L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines. La Gestion des Ressources Humaines (collection Les Zoom s)

P résentation. L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines. La Gestion des Ressources Humaines (collection Les Zoom s) P résentation L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines est développé dans le livre rédigé par Chloé Guillot-Soulez et publié dans la même collection : La Gestion des

Plus en détail

Enquête internationale 2013 sur le Travail Flexible

Enquête internationale 2013 sur le Travail Flexible Enquête internationale 2013 sur le Travail Flexible En octobre 2013, BakkerElkhuizen a mené une enquête en ligne parmi les professionnels RH en Allemagne, en Angleterre, en Belgique et aux Pays-Bas portant

Plus en détail

L art de la reconnaissance en gestion

L art de la reconnaissance en gestion L art de la reconnaissance en gestion Sophie Tremblay Coach & Stratège Dans votre parcours professionnel, quelle est la personne qui vous a offert la reconnaissance qui vous a le plus marqué? Quelles sont

Plus en détail

Etudiants et jeunes diplômés : les aspirations professionnelles

Etudiants et jeunes diplômés : les aspirations professionnelles et jeunes diplômés : les aspirations professionnelles Sondage de l Institut CSA pour LinkedIn Février 203 Sommaire Fiche technique du sondage p 3 Des jeunes optimistes pour eux-mêmes malgré un contexte

Plus en détail

La nuit des RH LIVRET TEMPS PARTAGÉ. Avril 2015 - Direction marketing & communication Groupe IGS. En partenariat avec

La nuit des RH LIVRET TEMPS PARTAGÉ. Avril 2015 - Direction marketing & communication Groupe IGS. En partenariat avec La nuit des RH LIVRET TEMPS PARTAGÉ En partenariat avec Avril 2015 - Direction marketing & communication Groupe IGS 4 MÉMENTO Dans le cadre d un projet d étude collectif, notre promotion a effectué un

Plus en détail

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants

Plus en détail

La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio

La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie et éducation Faculté des lettres et sciences humaines Espace Louis-Agassiz 1 CH-2000 Neuchâtel La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie

Plus en détail

renforcer votre jeune entreprise

renforcer votre jeune entreprise Parrainés Profitez de l expérience de chefs d entreprises aguerris pour renforcer votre jeune entreprise Pierre Grimaldi PARRAINÉ - Apéro Fiesta www.lyon-ville-entrepreneuriat.org par Lyon Ville de l Entrepreneuriat

Plus en détail

Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue

Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue Cette section vous propose une synthèse des questions les plus susceptibles d être posées en entrevue de sélection. Cette section peut vous aider lors de

Plus en détail

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège

Plus en détail

Un autre regard sur. Michel R. WALTHER. Directeur général de la Clinique de La Source 52 INSIDE

Un autre regard sur. Michel R. WALTHER. Directeur général de la Clinique de La Source 52 INSIDE 52 INSIDE Un autre regard sur Michel R. WALTHER Directeur général de la Clinique de La Source Directeur général de la Clinique de La Source, Michel R. Walther est né en 1949 au Maroc de parents suisses.

Plus en détail

UN MARCHE DU RECRUTEMENT DU MARCHE COMPTABLE

UN MARCHE DU RECRUTEMENT DU MARCHE COMPTABLE UN MARCHE DU RECRUTEMENT EN PHASE AVEC l EVOLUTION DU MARCHE COMPTABLE RECRUTEMENT 74% DES EMPLOYEURS ONT RECRUTE SUR L ANNEE 2013/2014 Raisons des recrutements quelles évolutions depuis 3 ans? Le recrutement

Plus en détail

LE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS

LE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS LE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS Introduction Objectifs de l étude Les Essenti Elles, le réseau des femmes managers de BPCE S.A., a souhaité lancer un nouveau Baromètre concernant les Femmes Managers en

Plus en détail

Regards croisés sur l auto-entrepreunariat

Regards croisés sur l auto-entrepreunariat Regards croisés sur l auto-entrepreunariat Septembre 2013 Toute publication totale ou partielle doit impérativement utiliser la mention complète suivante : «Sondage OpinionWay pour l Union des Auto-Entrepreneurs

Plus en détail

GUIDE POUR AGIR. Comment identifier ses. SAVOIR-FAIRE et. ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen

GUIDE POUR AGIR. Comment identifier ses. SAVOIR-FAIRE et. ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen GUIDE POUR AGIR Comment identifier ses SAVOIR-FAIRE et ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE Avec le soutien du Fonds social européen Identifier ses savoir-faire et ses qualités, pour quoi faire? Vous ne

Plus en détail

Women, Management and Leadership

Women, Management and Leadership Séminaire de formation pour les femmes en entreprise Feb 2010 Objectif : proposer un séminaire dédié aux femmes et leurs rapports complexes, souvent contradictoires, avec le travail, leurs carrières et

Plus en détail

Retenir les meilleurs talents

Retenir les meilleurs talents Adecco Finance Focus Retenir les meilleurs talents Lundi matin, 9 h Vous vous réjouissez de commencer une nouvelle semaine de travail productif. Vous êtes en pleine forme. Alors que vous entamez votre

Plus en détail

UFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées. Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS

UFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées. Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS UFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées Enquête sur le marché de la traduction Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS Méthodologie Les données de ce document sont issues

Plus en détail

Mon Odyssée Lean Startup

Mon Odyssée Lean Startup Mon Odyssée Lean Startup Qui n a jamais rêvé de lancer sa petite entreprise sans risques? Voici mon expérience grâce au Lean Startup. Nicolas Deverge This book is for sale at http://leanpub.com/myleanstartupjourney-fr

Plus en détail

Fidéliser = Développer l expérience employés. Lucie Morin Professeure

Fidéliser = Développer l expérience employés. Lucie Morin Professeure Fidéliser = Développer l expérience employés Lucie Morin Professeure Sommet 18 juin 2015 Fidéliser les employés, c'est la même chose que fidéliser les clients : on doit offrir un bon service après-vente!

Plus en détail

L auto-entrepreneuriat! Christophe Everaere Lyon 3!

L auto-entrepreneuriat! Christophe Everaere Lyon 3! L auto-entrepreneuriat! Christophe Everaere Lyon 3! 28/06/2012" www.aravis.aract.fr! 28/06/12! N 1! Entrepreneuriat : 2 visions contrastées"! Projet offensif de création : envie de réussir sans les contraintes

Plus en détail

") # /!"! ) )# ") / 1) )) -()#! "-) " ") 2) "! #" ). ") () ) )!. #) ()" #!0 ) () ))!)() -! () "!!""#!! 6) $ )7 )! " # )!"!! ) ) " #9# () () ") ") )

) # /!! ) )# ) / 1) )) -()#! -)  ) 2) ! # ). ) () ) )!. #) () #!0 ) () ))!)() -! () !!#!! 6) $ )7 )!  # )!!! ) )  #9# () () ) ) ) !"#! "# $$% #"%&&' & ()*()*!+,"!*!)!+!""")!,()!""#!)!-!#)."!/0, ) ") # /!"! ) )# ") / 1) )) -()#! "-) " ") 2) #!!!""))3)#"#!)"!!3 "- "! #" ). ") () ) )!. ()4)"!#5#")!)! #) ()" #!0 ) () ))!)() -! () "!!""#!!

Plus en détail

Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire -

Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Juin 2009 1 Objectifs Réalisée par CROP pour le compte de l Association québécoise d établissements

Plus en détail

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke

Plus en détail

Le financement de l apprentissage informel

Le financement de l apprentissage informel Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur

Plus en détail

Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines?

Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines? Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines? Chapitre 1 La gestion des ressources humaines (GRH) peut être définie comme la gestion des hommes au travail dans des organisations (Martory et Crozet,

Plus en détail

Les Français, leurs entrepreneurs et le crowdfunding

Les Français, leurs entrepreneurs et le crowdfunding Sondage exclusif Les Français, leurs entrepreneurs et le crowdfunding Un sondage exclusif mené par l Institut Think pour Sondage «Les Français, leurs entrepreneurs et le crowdfunding» mené par l Institut

Plus en détail

L entreprise idéale de demain Entre idéalisme et pragmatisme. 23 avril 2013 Hédiard Madeleine Petit-déjeuner Presse

L entreprise idéale de demain Entre idéalisme et pragmatisme. 23 avril 2013 Hédiard Madeleine Petit-déjeuner Presse L entreprise idéale de demain Entre idéalisme et pragmatisme 23 avril 2013 Hédiard Madeleine Petit-déjeuner Presse Méthodologie Etude réalisée du 11 mars au 7 avril 2013, au travers d un sondage en ligne.

Plus en détail

Frank LASCK. Courriel : f.lasch@montpellier-bs.com Fonction : Professeur. Biographie

Frank LASCK. Courriel : f.lasch@montpellier-bs.com Fonction : Professeur. Biographie Frank LASCK Courriel : f.lasch@montpellier-bs.com Fonction : Professeur Biographie Frank Lasch, professeur en entrepreneuriat, a rejoint le Groupe Sup de Co Montpellier Business School en septembre 2003

Plus en détail

Recruter et intégrer des seniors

Recruter et intégrer des seniors Recruter et intégrer des seniors Fiche 5 Enjeux Le recrutement de seniors correspond à des enjeux spécifiques pour les entreprises, que cette action relève d une politique affichée de lutte contre les

Plus en détail

Guide d entretien concernant les secrétaires de l IUT Guide d entretien concernant l assistante de direction

Guide d entretien concernant les secrétaires de l IUT Guide d entretien concernant l assistante de direction Années universitaires : 2006-2007 Introduction I- Présentation générale du métier Polyvalence du métier Qualités requises Avantages et inconvénients Féminisation du métier II- Comparaison secteur privé

Plus en détail

Observatoire de l Auto-Entrepreneur

Observatoire de l Auto-Entrepreneur Observatoire de l Auto-Entrepreneur La vision des Français sur l Auto-Entreprise 5 ème édition - Mai 2011 Nouveau Dispositif 2011/ 2012 Comprendre les auto-entrepreneurs comme un groupe social à part entière

Plus en détail

ACTIV EXPERTISE. La licence de marque selon le réseau Activ expertise. Nous tenons d abord à vous remercier et à vous féliciter d avoir

ACTIV EXPERTISE. La licence de marque selon le réseau Activ expertise. Nous tenons d abord à vous remercier et à vous féliciter d avoir contacté Activ Expertise Nous tenons d abord à vous remercier et à vous féliciter d avoir Vous allez comprendre à la lecture des pages suivantes pourquoi le métier formidable de diagnostiqueur immobilier

Plus en détail

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi?

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? Emploi 3 Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? François Brunet* Inévitablement les générations nombreuses du baby-boom nées entre 1946 et 1973 s approchent de l âge légal

Plus en détail

François Gremion Katja Vanini De Carlo. 5 Les besoins en matière de formation continue

François Gremion Katja Vanini De Carlo. 5 Les besoins en matière de formation continue François Gremion Katja Vanini De Carlo 5 Les besoins en matière de formation continue 105 Le développement professionnel de l enseignant ne se termine pas avec l obtention de son diplôme. Il est donc intéressant

Plus en détail

Nos clients une réussite!

Nos clients une réussite! BULLETIN SARCA Commission scolaire des Premières-Seigneuries Volume 4, n o 3 Juin 2014 CONTENU Au babillard... 1 Nos clients une réussite!... 1 Retourner en classe Moi?.. 2 Démystifier la formation professionnelle...

Plus en détail

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP.

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. MOBILIS PERFORMA PRÉSENTE LE PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN, UNE FORMATION ÉLABORÉE

Plus en détail

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation

Plus en détail

Projet éducatif vacances enfants et adolescents

Projet éducatif vacances enfants et adolescents Projet éducatif vacances enfants et adolescents SOMMAIRE 1- Présentation du mouvement 2- Valeurs et finalités 3- Nos objectifs 4- Nos orientations éducatives 5- L équipe d encadrement 6- Les activités

Plus en détail

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice. Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale

Plus en détail

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-* Note détaillée Baromètre européen du rapport aux paiements Des pratiques uniformisées en Europe? Sondage Harris Interactive pour Crédit Agricole Cards & Payments Enquête réalisée en ligne du 19 au 29 septembre

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

La pratique du coaching en France. Baromètre 2010

La pratique du coaching en France. Baromètre 2010 SFCoach : crée du lien entre le monde du travail et les professionnels de l accompagnement La pratique du coaching en France Baromètre 2010 Fondée en 1996 22, Bd Sébastopol 75004 Paris Association 1901

Plus en détail

ETUDE FUSACQ / Octobre 2011 LE PROFIL DES REPRENEURS D ENTREPRISE

ETUDE FUSACQ / Octobre 2011 LE PROFIL DES REPRENEURS D ENTREPRISE ETUDE FUSACQ / Octobre 2011 LE PROFIL DES REPRENEURS D ENTREPRISE Quel est leur profil (âge, localisation, situation familiale )? Quel est leur plan d action pour reprendre?... Quelles sont leurs motivations?

Plus en détail

Quelques réflexions introductives sur le rôle de la confiance dans le travail collaboratif

Quelques réflexions introductives sur le rôle de la confiance dans le travail collaboratif Quelques réflexions introductives sur le rôle de la confiance dans le travail collaboratif Laurent KARSENTY CRTD-CNAM (Paris) ErgoManagement (Toulouse) www.ergomanagement.fr Plan de la présentation 1.

Plus en détail

Les services à la personne : nouveaux marchés pour de nouveaux entrepreneurs

Les services à la personne : nouveaux marchés pour de nouveaux entrepreneurs C O L L E C T I O N F O C U S Les services à la personne : nouveaux marchés pour de nouveaux entrepreneurs C O L L E C T I O N F O C U S Les services à la personne : nouveaux marchés pour de nouveaux entrepreneurs

Plus en détail

Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49

Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,

Plus en détail

Stratégie d assurance retraite

Stratégie d assurance retraite Stratégie d assurance retraite Département de Formation INDUSTRIELLE ALLIANCE Page 1 Table des matières : Stratégie d assurance retraite Introduction et situation actuelle page 3 Fiscalité de la police

Plus en détail

Les enjeux existentiels du dirigeant

Les enjeux existentiels du dirigeant La complexité, tout simplement Les rencontres Trajectives Les enjeux existentiels du dirigeant S accomplir pour mieux diriger la transformation Qui sommes-nous? Un cabinet avec 10 années d expérience et

Plus en détail

Entreprendre Autrement

Entreprendre Autrement Intention de communication de Réseau Entreprendre Sur la duplication d entreprises sociales Mise à jour le 08/07/07 Présentée par Philippe Garcin, délégué régional au programme Entreprendre Autrement Réseau

Plus en détail

Accompagner les organisations dans la mise en place de modes collaboratifs pérennes, basés sur l engagement et la confiance. 2 POLES D EXPERTISE

Accompagner les organisations dans la mise en place de modes collaboratifs pérennes, basés sur l engagement et la confiance. 2 POLES D EXPERTISE O Reilly Consultants est un cabinet de conseil en gestion des ressources humaines, formation et coaching qui vise à réconcilier l épanouissement individuel : Accompagner les individus dans la réappropriation

Plus en détail

La mobilité professionnelle revêt

La mobilité professionnelle revêt Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension

Plus en détail

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements

Plus en détail

DOSSIER de présentation

DOSSIER de présentation Projet d Habitat Participatif intergénérationnel et écologique DOSSIER de présentation 2015 Sommaire Mots d Ecoravissants Présentation d Ecoravie Donnez du sens à votre argent Chiffres et dates Contact

Plus en détail

FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR

FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR Enquête sur la responsabilité sociale du scientifique Résultats détaillés Février 2007 Annexes La publication des données qui fondent

Plus en détail

Un autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU».

Un autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU». Le besoin de contrôler Le comportement compulsif de tout vouloir contrôler n est pas mauvais ou honteux, c est souvent un besoin d avoir plus de pouvoir. Il s agit aussi d un signe de détresse; les choses

Plus en détail

Implantée sur TOULOUGES, dans les Pyrénées Orientales, la société ACTIV PORTAGE vous apporte :

Implantée sur TOULOUGES, dans les Pyrénées Orientales, la société ACTIV PORTAGE vous apporte : 1/9 Implantée sur TOULOUGES, dans les Pyrénées Orientales, la société ACTIV PORTAGE vous apporte : - Pour vous tous : Devenez indépendant avec un statut salarié : Saisissez toutes les opportunités de mission

Plus en détail

Prisca CHABROLIN Année 2010-2011

Prisca CHABROLIN Année 2010-2011 Prisca CHABROLIN Année 2010-2011 I- Présentation de l entreprise A. Fonction B. Caractéristiques C. Tuteurs du stage II- Carnet de bord A. Horaires B. Activités III-Travaux A. Fiches de crédits à marge

Plus en détail

Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE

Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE MAEE RAPPORT FINAL Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale Résumé Agnès Lambert, Raphaël Beaujeu, Helena Stucky de Quay, Didier Beaufort, Moctar Ahmed, Riad Bensouiah, Ralison

Plus en détail

Les écoles de la CCI Réunion récompensent leurs lauréats

Les écoles de la CCI Réunion récompensent leurs lauréats Les écoles de la CCI Réunion récompensent leurs lauréats Dossier de presse Remise de diplômes EGC Réunion et Ecole d Ingénieurs BTP Vendredi 28 novembre 2014, Pôle Formation Nord de la CCI Réunion Les

Plus en détail

Nos propositions de coaching

Nos propositions de coaching 1 Nos propositions de coaching 1) Nous accompagnons nos clients sur des demandes opérationnelles très concrètes : Faire face à des difficultés personnelles et /ou professionnelles. Pour soi même, pour

Plus en détail

Un climat des affaires incertain

Un climat des affaires incertain AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.

Plus en détail

Le scoring est-il la nouvelle révolution du microcrédit?

Le scoring est-il la nouvelle révolution du microcrédit? Retour au sommaire Le scoring est-il la nouvelle révolution du microcrédit? BIM n 32-01 octobre 2002 Frédéric DE SOUSA-SANTOS Le BIM de cette semaine se propose de vous présenter un ouvrage de Mark Schreiner

Plus en détail

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI?

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI? LA GOUVERNANCE DES PME-PMI Gérard CHARREAUX Professeur de Sciences de Gestion à 1 Université de Bourgogne, Dijon PREAMBULE Il est probable que vous vous interrogez sur l'apport des recherches en matière

Plus en détail

L INTELLIGENCE COLLECTIVE ORIENTÉE PROJET

L INTELLIGENCE COLLECTIVE ORIENTÉE PROJET L INTELLIGENCE COLLECTIVE ORIENTÉE PROJET Il existe un certain type d intelligence collective qui est à la fois vertueuse pour le collaborateur et riche de promesse pour l organisation, c est l intelligence

Plus en détail

COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014. Ordre du jour

COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014. Ordre du jour COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION Présents : CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, GIM, UIMM 77 D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014 Ordre du jour 1. Adoption du compte-rendu de la séance du

Plus en détail

Etude nationale sur l audition Résultats

Etude nationale sur l audition Résultats Etude nationale sur l audition Résultats 18 février 2013 Partenaires de l étude: Contenu Résumé Introduction Objectif Méthodologie de l étude Raisons pour lesquelles aucun appareil auditif n a été porté

Plus en détail

TIM S.A., une aventure d Homme

TIM S.A., une aventure d Homme Comité d entreprise 1 Sommaire Edito de M. Hans-Jürgen Hellich, Directeur Général de Tim SA p. 9 Edito de Cyril Terrière, Secrétaire du Comité d Entreprise Tim SA p. 11 Itinéraires croisés d une entreprise

Plus en détail

Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011

Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011 Résultats du premier Observatoire des femmes et l assurance Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011 Fiche méthodologique Cible : Hommes et femmes âgés

Plus en détail

Jean-Pierre SOUTRIC Vice-Président Corporate and Travel Industry Sales, Europe Four Seasons Hotels and Resorts

Jean-Pierre SOUTRIC Vice-Président Corporate and Travel Industry Sales, Europe Four Seasons Hotels and Resorts L E S C O N F E R E N C E S D E L I R E S T CYCLE 2014-2015 L Institut de Recherche et d Etudes Supérieures du Tourisme (IREST) Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne a le plaisir de vous inviter à la conférence

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Entrepreneuriat de l Université Paris 13 - Paris-Nord Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section

Plus en détail

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009 REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.

Plus en détail

La réforme : une opportunité pour la fonction formation

La réforme : une opportunité pour la fonction formation Nombreux sont les articles concernant la réforme de la formation professionnelle. Grâce à ses experts qui récoltent l information législative et réglementaire à sa source, Demos fait un tour d horizon

Plus en détail

CONCEPT Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux

CONCEPT Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux new 3 12 2014 CONCEPT Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux est la déclinaison suisse du célèbre magazine français lancé en 1968. Alors précurseur sur la cible des 50 ans et plus, il est aujourd hui le

Plus en détail

La crise économique vue par les salariés français

La crise économique vue par les salariés français La crise économique vue par les salariés français Étude du lien entre la performance sociale et le contexte socioéconomique Baggio, S. et Sutter, P.-E. La présente étude s intéresse au lien entre cette

Plus en détail

Panorama sur les femmes entrepreneures et l assurance

Panorama sur les femmes entrepreneures et l assurance Panorama sur les femmes entrepreneures et l assurance 2013 Objectifs et méthodologie L'objectif de ce panorama est de mettre en évidence les différences de postures, de comportements et d'image entre hommes

Plus en détail

LIVRE BLANC 9 SEMAINES POUR PREPARER UN PROJET DE CRECHE EN FRANCHISE AVEC LA PART DE REVE

LIVRE BLANC 9 SEMAINES POUR PREPARER UN PROJET DE CRECHE EN FRANCHISE AVEC LA PART DE REVE LIVRE BLANC LA PART DE REVE - 9 SEMAINES POUR PREPARER UN PROJET DE CRECHE EN FRANCHISE AVEC LA PART DE REVE INTRODUCTION «Parce que créer une franchise, au- delà du projet professionnel, c est aussi un

Plus en détail

Formation certifiante au métier de coach scolaire

Formation certifiante au métier de coach scolaire Formation certifiante au métier de coach scolaire 1 Préambule CoachingMaestro est un portail de formations dédié à toute personne intéressée dans l accompagnement des jeunes. Préambule Ses missions sont

Plus en détail

LA LETTRE D UN COACH

LA LETTRE D UN COACH LA LETTRE D UN COACH COACH DIDIER GAGNANT KALIPE N 18 du Dimanche 04 Mai 2014 «Il fallait commencer un peu plutôt ; c'est-à-dire maintenant et résolument.» Un Coach vous enseigne la Méthode qui permet

Plus en détail

L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE

L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Définitions Un peu d histoire Quelques chiffres, les acteurs La finance solidaire Définitions L économie sociale et solidaire (ESS) rassemble deux concepts, rappelé dans

Plus en détail

Étude 2013 sur la. reconnaissance des bénévoles. Contenu. Comment les bénévoles canadiens souhaitent-ils que leurs contributions soient reconnues?

Étude 2013 sur la. reconnaissance des bénévoles. Contenu. Comment les bénévoles canadiens souhaitent-ils que leurs contributions soient reconnues? Étude 2013 sur la reconnaissance des bénévoles Contenu Objectifs et méthodologie de la 2 recherche 3 Principaux résultats 4 Engagement bénévole Reconnaissance des bénévoles 6 Comment les bénévoles canadiens

Plus en détail

aujourd hui et demain TRAINING RECRUITMENT RESEARCH www.cegos.com

aujourd hui et demain TRAINING RECRUITMENT RESEARCH www.cegos.com TRAINING La formation OPERATIONAL professionnelle CONSULTING aujourd hui et demain RECRUITMENT Points de vue comparés des salariés en Allemagne, Espagne, Italie, France et Grande Bretagne RESEARCH www.cegos.com

Plus en détail

Institut Pro-Actions. Valorisation du produit action

Institut Pro-Actions. Valorisation du produit action Institut Pro-Actions Valorisation du produit action Présentation des résultats BJ5780 De : Philippe Le Magueresse, Marc Rota, Laurent Gassie / OpinionWay A : Alain Metternich / Dominique Leblanc / Institut

Plus en détail

Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi

Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi Éléments principaux de Passeport pour ma réussite Passeport pour ma réussite

Plus en détail

EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI)

EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI) EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI) Note méthodologique relative à l outil de suivi en continu du projet de formation et du projet professionnel La direction

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

Sommaire. Recruter et intégrer des seniors

Sommaire. Recruter et intégrer des seniors Fiche 5 Bonnes pratiques des entreprises en matière de maintien et de retour en activité professionnelle des seniors. Guide pour l action Recruter et intégrer des seniors Recruter des seniors, c est d

Plus en détail

dossier de presse weforge [ 2015 ]

dossier de presse weforge [ 2015 ] dossier de presse weforge [ 2015 ] 2 SOMMAIRE weforge, c est quoi? Weforge, c est quoi?... p. 2 Une réponse aux nouvelles façons de travailler Weforge Office... p. 4 Investir au profit des dynamiques de

Plus en détail

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive

Plus en détail

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse CONSTRUCTION IDENTITAIRE DES ENSEIGNANTS EN FORMATION INTIALE : ENTRE REPRESENTATIONS PARTAGEES ET ELEMENTS DE DIFFERENCIATION DANS LE RAPPORT AU METIER 1. Problématique L étude

Plus en détail

RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES CRÉATEURS D'ENTREPRISE

RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES CRÉATEURS D'ENTREPRISE Les notes de l Juin 2007 OBSERVATOIRE PARTENARIAL LYONNAIS EN ECONOMIE RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES CRÉATEURS D'ENTREPRISE L entrepreneuriat est une priorité pour le développement économique de l

Plus en détail