Annexe 11 Modélisation des scénarios accidentels et dimensionnement des besoins en eau

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Annexe 11 Modélisation des scénarios accidentels et dimensionnement des besoins en eau"

Transcription

1 Annexe 11 Modélisation des scénarios accidentels et dimensionnement des besoins en eau Page 1 sur 17 Annexe 11

2 Sommaire 1/ Objet du dossier 2/ Méthode utilisée 3/ Cas étudié 4/Moyens de luttes contre incendie 5/ Dimensionnement des besoins en eau pour la défense contre l incendie 6/ Dimensionnement des moyens de rétention 7/ Modifications apportées à ce document suite aux préconisations de la SDIS84 8/ Maitrise des effets dominos Page 2 sur 17 Annexe 11

3 1/ Objet du dossier Dans le cadre du projet de construction d un entrepôt, la société PROVOTRANS souhaite connaitre les distances d effets associées au scénario suivant : -Cas de l incendie de l entrepôt pour lesquels des effets thermiques sont susceptibles d être générés. Le dimensionnement des besoins en eau pour la défense contre l incendie et le dimensionnement du bassin de rétention des eaux d extinction incendie seront également présentés. Ce document est constitué : -d une description sommaire des installations projetées, -d une présentation des résultats de modélisation des effets thermiques, -d une présentation de dimensionnement des besoins en eau et du volume de rétention des eaux d incendie. 2/ Méthode 2-1/ Méthode utilisée Incendie de matière combustible Le rayonnement thermique émis en cas d incendie de matières combustibles a été évalué en utilisant l application FLUMilog. Le projet FLUMilog a été élaboré en associant tous les acteurs de la logistique. Le développement de la méthode a plus particulièrement impliqué les trois centres techniques (INERSI, CTICM et CNPP) auxquels sont venus ensuite s associer l IRSN et Efectis France. Les flux de rayonnement thermique sont calculés en prenant en compte les caractéristiques de constructions des bâtiments. L application FLUMilog restitue les résultats de flux thermique sous forme graphique, à partir des parois d une cellule de stockage de forme simple. Les rapports FLUMilog sont donnés en annexe. Page 3 sur 17 Annexe 11

4 2.2/ Valeurs de références relatives aux seuils thermiques Effets sur les structures Effets l homme sur 5 KW/m² seuil des destructions de vitres significatives 8 KW/m² seuil des effets domino et correspondant au seuil des dégâts graves sur les structures 16 KW/m² seuil d exposition prolongée des structures et correspondant au seuil des dégâts très graves sur les structures, hors structures béton 20 KW/m² seuil de tenue du béton pendant plusieurs heures et correspondant au seuil des dégâts très graves sur les structures béton 2000 KW/m² seuil de ruine du béton en quelques dizaines de minutes 3 KW/m² ou 600[(KW/m²) 4/3 ].s seuil des effets irréversibles 5 KW/m² ou 1000[(KW/m²) 4/3 ].s seuil des effets létaux 8 KW/m² ou 1800[(KW/m²) 4/3 ].s seuil des effets létaux significatifs 3/ Cas étudiés 3.1/ Bâtiments existants 3.1.1/Dimensions des cellules : Les dimensions des cellules de stockage ainsi que le volume des produits stockés sont rappelés dans le tableau cidessous : Cellule 1 Cellule 2 Largeur Max 92 m 92 m Longueur Max m Nombre de niveau de stockage 6 6 Hauteur totale de stockage 7.6 m 7.6 m Hauteur du bâtiment (faitage) 9.4 m 9.4 m Pour l étude nous prenons la palette type : / Caractéristiques des cellules Poutres : 15 minutes Pannes : 15 minutes Murs périphériques : 15 minutes (bardage métallique double peau) Mur de séparation entre cellule 1 et cellule 2 : CF 2h Couverture : La couverture du bâtiment est un bac en acier Résultats Page 4 sur 17 Annexe 11

5 Les résultats de la modélisation de flux thermiques sont présentés en annexe Le flux thermique atteint le seuil de 3 kw/m² jusqu à une distance de 30 m des parois extérieures. Le flux thermique atteint le seuil de 5 Kw/m² jusqu à une distance de 20 m des parois extérieures. (Effets létaux) Le flux thermique atteint le seuil de 16 Kw/m² jusqu à une distance de 10 m des parois extérieures. 3.2 Bâtiments en projet 3.2.1/Dimensions des cellules : Les dimensions des cellules de stockage ainsi que le volume des produits stockés sont rappelés dans le tableau cidessous : Cellule 1 Cellule 2 Largeur Max 64.8 m 64.8 m Page 5 sur 17 Annexe 11

6 Longueur Max 42.1m 42.1 m Nombre de niveau de stockage 4 4 Hauteur totale de stockage 7.6 m 7.6 m Hauteur du bâtiment (faitage) 10.9 m 10.9 m Pour l étude nous prenons la palette type : / Caractéristiques des cellules Poutres : 15 minutes Pannes : 15 minutes Murs périphériques : 15 minutes (bardage métallique double peau) Mur de séparation entre cellule 1 et cellule 2 : CF 2h Mur P1 (séparation des bureaux): CF 2h Couverture : La couverture du bâtiment est un bac en acier Résultats Les résultats de la modélisation de flux thermiques sont présentés en annexe Page 6 sur 17 Annexe 11

7 Le flux thermique atteint le seuil de 3 kw/m² jusqu à une distance de 30 m des parois extérieures. Le flux thermique atteint le seuil de 5 Kw/m² jusqu à une distance de 20 m des parois extérieures. (Effets létaux) Le flux thermique atteint le seuil de 16 Kw/m² jusqu à une distance de 16 m des parois extérieures. Page 7 sur 17 Annexe 11

8 4/Moyens de luttes contre incendie : -1 Réserve d eau de 120 m 3-3 poteau incendie dont un situé à moins de 100 m du bâtiment existant et un a moins de 150m (de 125, 125 et 160 m 3 ) pour 410m 3 /h au total Soit 940 m 3 pour 2 heures. STOCKAGE ACTUEL 6000 m² EXTENSION 5400 m² TOTAL m² Volume total de stockage de l ensemble : m 3 Le site actuel comporte 11 RIA et 26 extincteurs disposés de manière appropriée. Le projet d extension comportera 7 RIA et un nombre d extincteur approprié. Page 8 sur 17 Annexe 11

9 5/Calcul besoin en eau Modélisation des scénarios accidentels et dimensionnement des besoins en eau 5.1/Dimensionnement des moyens en eau du projet d extension Le calcul majorant est réalisé pour la cellule 1 (ou 2) avec la répartition suivante : m² de stockage. DESCRIPTION SOMMAIRE DU RISQUE Cellule de produit sec d une surface de m² sur de haut-absence de sprinklage CRITERE Coefficients additionnels Coefficients retenus pour le calcul Activité Stockage Commentaire HAUTEUR DE STOCKAGE (1) -Jusqu à 3 m -Jusqu à 8 m -Jusqu à 12 m -Au-delà de 12 m TYPE DE CONSTRUCTION (2) -Ossature stable au feu à1 h - Ossature stable au feu à 30 min - Ossature stable au feu <à 30 min Stockage uniquement Stockage uniquement ,1 Hauteur de stockage 7m60 -Résistance au feu des poutres 120 min. TYPES D INTERVENTIONS INTERNES -Accueil 24h/24 (présence permanente à l entrée) -DAI généralise reportée 24h/24 7j/7 en télésurveillance ou au poste de secours 24h/24 lorsqu il existe, avec des consignes d appels. -Service de sécurité incendie 24h/24 avec moyens appropriés, équipe de seconde intervention, en mesure d intervenir 24h/ (3) -0,1 DAI et suivi 24h24 7j/7 par une société de sécurité. Somme des coefficients -0.1 Somme des coefficients +1 +0,9 Surface de référence (S en m²) Qi=30xS/500 x (1+somme des coefficients) (4) 0 145,8 Catégorie du risque (5) Risque 1 : Q1= Qi x 1 Risque 2 : Q2= Qi x 1.5 Risque 3 : Q3= Qi x ,7 Fascicule R16 Risque 2 Risque sprinklé : Q1, Q2 ou Q3/2 (6) DEBIT REQUIS (Q en m 3 /h) (7-8) 218,7 210 (1)Sans autre précision la hauteur de stockage doit être considérée comme étant égale à la hauteur du bâtiment moins 1 m (cas des bâtiments de stockage) (2) Pour ce coefficient ne pas tenir compte du sprinkleur (3) si ce coefficient est retenu ne pas prendre en compte celui de l accueil 24h/24 (4) Qi : débit intermédiaire du calcul en m3/h (5) La catégorie du risque est fonction du classement des activités de stockages (6) Un risque est considéré comme sprinklé si : -protection autonome, complète et dimensionnée en fonction de la nature du stockage et de l activité réellement présente en exploitation, en fonction des règles de l art et des référentiels existants ; -installation entretenue et vérifiée régulièrement -installation en service en permanence (7) Aucun débit ne peut être inférieur à 60 m3/h (8) La quantité d eau nécessaire sur les réseaux sous pression doit être distribuée par des hydrants situés à moins de 100 m des entrées de chacune des cellules du bâtiment et distant entre eux de 150 m maximum. Valeur arrondie au multiple de 30 le plus proche Page 9 sur 17 Annexe 11

10 5.2/Dimensionnement des moyens en eau du bâtiment actuel Le calcul majorant est réalisé pour la cellule 1 avec la répartition suivante : 4000 m² de stockage. DESCRIPTION SOMMAIRE DU RISQUE Cellule de produit sec d une surface de 4000 m² sur 9.40 de haut-absence de sprinklage CRITERE Coefficients additionnels Coefficients retenus pour le calcul Activité Stockage Commentaire HAUTEUR DE STOCKAGE (1) -Jusqu à 3 m -Jusqu à 8 m -Jusqu à 12 m -Au-delà de 12 m TYPE DE CONSTRUCTION (2) -Ossature stable au feu à1 h - Ossature stable au feu à 30 min - Ossature stable au feu <à 30 min Stockage uniquement Stockage uniquement ,1 Hauteur de stockage 7m60 -Résistance au feu de la structure 15 min. TYPES D INTERVENTIONS INTERNES -Accueil 24h/24 (présence permanente à l entrée) -DAI généralise reportée 24h/24 7j/7 en télésurveillance ou au poste de secours 24h/24 lorsqu il existe, avec des consignes d appels. -Service de sécurité incendie 24h/24 avec moyens appropriés, équipe de seconde intervention, en mesure d intervenir 24h/ (3) Somme des coefficients +0,2 Somme des coefficients +1 +1,2 Surface de référence (S en m²) Qi=30xS/500 x (1+somme des coefficients) (4) Catégorie du risque (5) Risque 1 : Q1= Qi x 1 Risque 2 : Q2= Qi x 1.5 Risque 3 : Q3= Qi x Fascicule R16 Risque 2 Risque sprinklé : Q1, Q2 ou Q3/2 (6) DEBIT REQUIS (Q en m 3 /h) (7-8) (1)Sans autre précision la hauteur de stockage doit être considérée comme étant égale à la hauteur du bâtiment moins 1 m (cas des bâtiments de stockage) (2) Pour ce coefficient ne pas tenir compte du sprinkleur (3) si ce coefficient est retenu ne pas prendre en compte celui de l accueil 24h/24 (4) Qi : débit intermédiaire du calcul en m3/h (5) La catégorie du risque est fonction du classement des activités de stockages (6) Un risque est considéré comme sprinklé si : -protection autonome, complète et dimensionnée en fonction de la nature du stockage et de l activité réellement présente en exploitation, en fonction des règles de l art et des référentiels existants ; -installation entretenue et vérifiée régulièrement -installation en service en permanence (7) Aucun débit ne peut être inférieur à 60 m3/h (8) La quantité d eau nécessaire sur les réseaux sous pression doit être distribuée par des hydrants situés à moins de 100 m des entrées de chacune des cellules du bâtiment et distant entre eux de 150 m maximum. Valeur arrondie au multiple de 30 le plus proche Page 10 sur 17 Annexe 11

11 6/Calcul dimensionnement des moyens de rétention des eaux d extinctions 6.1/ Dimensionnement des moyens de rétention des eaux d extinctions du projet d extension Volumes concernés Quantité à prendre en compte Besoins pour la lutte extérieure Résultat document D9 (besoins x 2 heures au minimum) Moyens lutte intérieure contre l incendie de Brouillard d eau et autres systèmes Volumes liés aux intempéries Sprinkler Volume réserve intégrale de la source principale ou besoins x durée théorique Quantité pour le site Résultat 420 m 3 0 m 3 maxi de fonctionnement Rideau d eau Besoins x 90 min 0 m 3 RIA A négliger 0 m 3 Mousse HF et 0 m 3 MF Débit de solution moussante X temps de noyage (en général min) Débit x temps de fonctionnement requis 10 l/m² de surface de drainage Présence stock de liquide 20% du volume contenu dans le local contenant le plus grand volume Volume total de liquide à mettre en rétention 559,5 m 3 - Commentaires m m 2 de surface de drainage 0 m 3 Page 11 sur 17 Annexe 11

12 6.2/ Dimensionnement des moyens de rétention des eaux d extinctions du bâtiment actuel Volumes concernés Quantité à prendre en compte Besoins pour la lutte extérieure Résultat document D9 (besoins x 2 heures au minimum) Sprinkler Volume réserve intégrale de la Moyens de source principale ou lutte besoins x durée intérieure théorique maxi de contre fonctionnement l incendie Brouillard d eau et autres systèmes Volumes liés aux intempéries Quantité pour le site Résultat 840m 3 0 m 3 Rideau d eau Besoins x 90 min 0 m 3 RIA A négliger 0 m 3 Mousse HF et MF 0 m 3 Débit de solution moussante X temps de noyage (en général min) Débit x temps de fonctionnement requis 10 l/m² de surface de drainage Présence stock de liquide 20% du volume contenu dans le local contenant le plus grand volume Volume total de liquide à mettre en rétention 981 m 3 - Commentaires 141 m m 2 de surface de drainage 0 m 3 Capacité de rétention : 910m 3 pour le projet d extension, dans son quai de chargement. 1010m 3 pour l existant Dans ses quais (340 et 80m 3 ) et ses bassins de rétention (360 et 230m 3 ) 7/ Modifications apportées à ce document suite aux préconisations de la SDIS84 : -Préconisation : mettre mur coupe-feu entre le bâtiment en projet et la station-service Fait (voir plan de masse annexe 5) -Passage bâtiment en projet mettre 1 voie de 6 mètres - Fait (voir plan de masse annexe 5) -Ouvrir le grillage entre les 2 bâtiments aux niveaux de la réserve d eau de 120 m3 - Fait (voir plan de masse annexe 5) -Bâtiments projet : remplacer les Issues de secours par des Portails ou des portes de 1m80 mini de large - Fait (voir plan de masse annexe 5) Page 12 sur 17 Annexe 11

13 -Le besoin en eau nécessaire n est pas suffisant pour combattre le feu. ACTIONS A REALISER POUR CE POINT -Prendre contact avec la SDEI pour obtenir le débit des bouches incendies proches (débit simultané de 2 ou 3 poteaux) - Fait : Etude sur débit simultané de 3 bouches, total de 940 m 3 disponible sur 2h en comptant le bassin de 120 m 3 (voir Etude poteaux incendie ci dessous), informations mises à jour précédemment dans cet annexe. Les distance des poteaux par rapports aux bâtiments, calculée par voie carrossable et par voie directe sont montrées dans le plan de masse à la fin de cette étude. -Bâtiment prendre en considération le volume d eau disponible au MISTRAL et intégré la distance : pas nécessaire, le volume disponible sur la zone PROVOTRANS est suffisant. A noter qu il y a une des bornes à incendie accessible sur leur site. -Faire un plan métré avec les distances entre les bouches incendies et les cellules - Fait (voir plan de masse annexe 5) -Bâtiment en projet : Bassin enterré mettre prise d aspiration poteau bleu (bouche à clef) - Fait (voir plan de masse annexe 5). Le bassin est un puit alimenté automatiquement dont le niveau est mesuré continuellement par un flotteur. Maitrise de l effet du croisement de flux de deux bâtiments SI nous superposons les études de flux des deux entrepôts, nous constatons que le chevauchement de ces flux ne se fait que sur des valeurs comprises entre 3 et 5 kw. Cela signifie après addition un flux total compris entre 6 et 10 kw au croisement des flux. Ces valeurs constitue des effets allant de létaux à significativement létaux, mais sont en deçà des valeurs «rouges» fixées à 16 kw. Voir plan ci-après. Etude poteaux incendie : Plan de masse avec poteaux incendies avec distances par voies carrossées, et intégration de calques Flumilog des deux bâtiments superposés pour le croisement. Page 13 sur 17 Annexe 11

14 Page 14 sur 17 Annexe 11

15 Page 15 sur 17 Annexe 11

16 Page 16 sur 17 Annexe 11

17 besoins en eau Modélisation des scénarios accidentels et dimensionnement des Page 17 sur 17 Annexe 11

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL 1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers

Plus en détail

ASSURANCES DE DOMMAGES INCENDIE DE L ANALYSE AU COÛT DU RISQUE

ASSURANCES DE DOMMAGES INCENDIE DE L ANALYSE AU COÛT DU RISQUE ASSURANCES DE DOMMAGES INCENDIE DE L ANALYSE AU COÛT DU RISQUE 25 septembre 2013 Patrick Biot - agréé CNPP 1 AGREPI? ASSOCIATION DES INGÉNIEURS & CADRES SPÉCIALISTES DE LA MAÎTRISE DES RISQUES INCENDIE

Plus en détail

Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE

Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE ETUDE DE L EXISTANT CONSTRUCTION STRUCTURE (Références photos du chantier- 1960) LA GRANDE COURONNE

Plus en détail

QUESTIONNAIRE PARTICULIER POUR DEMANDE D'AUTORISATION. BATIMENT SIS : Commune : Localité : Article cadastral : Rue et n : Affectation de l'ouvrage :

QUESTIONNAIRE PARTICULIER POUR DEMANDE D'AUTORISATION. BATIMENT SIS : Commune : Localité : Article cadastral : Rue et n : Affectation de l'ouvrage : Secteur prévention Etablissement cantonal d'assurance et de prévention Place de la Gare 4, Case postale, 2002 Neuchâtel Tél. 032 889 62 22 www.ecap-ne.ch Fax 032 889 62 33 ecap.prevention@ne.ch QUESTIONNAIRE

Plus en détail

Quels sont les leviers efficaces pour réduire le risque d incendie, limiter ses conséquences et optimiser la tarification assurance?

Quels sont les leviers efficaces pour réduire le risque d incendie, limiter ses conséquences et optimiser la tarification assurance? Quels sont les leviers efficaces pour réduire le risque d incendie, limiter ses conséquences et optimiser la tarification assurance? En matière d'incendie, les moyens de prévention réelle et de protection

Plus en détail

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin

Plus en détail

Eau chaude Eau glacée

Eau chaude Eau glacée Chauffage de Grands Volumes Aérothermes Eau chaude Eau glacée AZN AZN-X Carrosserie Inox AZN Aérotherme EAU CHAUDE AZN AZN-X inox Avantages Caractéristiques Carrosserie laquée ou inox Installation en hauteur

Plus en détail

Extinction. Choisissez votre système d extinction. Qu'est-ce qu'un système d extinction? Les principes du feu

Extinction. Choisissez votre système d extinction. Qu'est-ce qu'un système d extinction? Les principes du feu Extinction Choisissez votre système d extinction Qu'est-ce qu'un système d extinction? Dans un système de protection incendie, il ne suffit pas de détecter et de mettre en sécurité. Il est souvent nécessaire

Plus en détail

"MULTIRISQUE INDUSTRIELLE" ALLIAGE FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE

MULTIRISQUE INDUSTRIELLE ALLIAGE FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE "MULTIRISQUE INDUSTRIELLE" ALLIAGE FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE Nom, Prénom, Adresse du Proposant *:... ALLO ASSURANCES BP 30018 26958 VALENCE CEDEX 9 www.alloassurances.com AN AVT REMPT Date d'effet

Plus en détail

REGLEMENT SECURITE INCENDIE ERP. DISPOSITIONS ARCHITECTURALES LES DEGAGEMENTS : couloirs,escaliers,sorties,portes

REGLEMENT SECURITE INCENDIE ERP. DISPOSITIONS ARCHITECTURALES LES DEGAGEMENTS : couloirs,escaliers,sorties,portes REGLEMENT SECURITE INCENDIE ERP DISPOSITIONS ARCHITECTURALES LES DEGAGEMENTS : couloirs,escaliers,sorties,portes REG 4-21 Vous trouverez l'ensemble des textes et réglementation ici : http://www.sitesecurite.com/portail/

Plus en détail

Vade-mecum Règles Pratiques

Vade-mecum Règles Pratiques Vade-mecum Règles Pratiques En matière de sécurité incendie conformément à la réglementation belge Arrêté royal (normes de base 994-997 - 2003-2007 - 2009) Et nouvelles annexes, 2, 3, 4 et 6 approuvées

Plus en détail

Quelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé

Quelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé Quelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé éée e en 1963 1976 : achat de Transports Trainpo 1979 :Construction des premiers entrepôts 3000 m2 1979 à 1988 : Construction de 18000 m2

Plus en détail

Le pétitionnaire pourra remplir une notice par établissement isolé les uns des autres au sens de l article GN 3.

Le pétitionnaire pourra remplir une notice par établissement isolé les uns des autres au sens de l article GN 3. NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE Pour tous les ERP du 1er groupe et les ERP du 2ème groupe (5ème catégorie) Avec locaux à sommeil. (Arrêté du 25/06/1980 modifié Arrêté du 22/06/1990 modifié) La présente

Plus en détail

Injection intempestive de mousse dans un entrepôt de produits phytosanitaires 30 avril 2012 Ludres (Meurthe-et-Moselle) France

Injection intempestive de mousse dans un entrepôt de produits phytosanitaires 30 avril 2012 Ludres (Meurthe-et-Moselle) France IMPEL - Ministère du Développement durable - DREAL Lorraine / UT 54/55 Injection intempestive de mousse dans un entrepôt de produits phytosanitaires 30 avril 2012 Ludres (Meurthe-et-Moselle) France Communication

Plus en détail

LOCAL A LOUER : Réf TS3

LOCAL A LOUER : Réf TS3 LOCAL A LOUER : Réf TS3 A usage Commercial Artisanal Industriel ou Logistique Directement au propriétaire : Groupe Omerin Zone industrielle 63600 AMBERT Contacts : Sylvie PERET - Tél. 06 77 85 88 59 e-mail

Plus en détail

Etude de dangers Zone De stockage emballage carton

Etude de dangers Zone De stockage emballage carton O. Chaqchaq, S. Genouiz, A. Nakib, H. Ammar, H. Mbarek Etude de dangers Zone de stockage carton Etude de dangers Zone De stockage emballage carton Mission réalisée 8-9 /12/2010 8/12/2010 Décembre 2010

Plus en détail

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY

Plus en détail

Fonction Publique Territoriale

Fonction Publique Territoriale Fonction Publique Territoriale CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE TERRITORIAL PRINCIPAL DE 2EME CLASSE DES ETABLISSEMENTS D ENSEIGNEMENT SPECIALITE : MAGASINAGE DES ATELIERS MERCREDI 17 SEPTEMBRE 2008 EPREUVE

Plus en détail

NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE

NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE MODELE N 2 Document disponible sur http://www.auvergne.pref.gouv.fr/protection_civile/etablissements _recevant_public/sec_incendie_erp/procedure.php NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE Etablissement Recevant

Plus en détail

Guide de conception. Sécurité incendie des halls industriels

Guide de conception. Sécurité incendie des halls industriels Projet mené grâce au financement du programme de recherche Research Fund for Coal & Steel RFS2 CR 2007 00032 Sécurité incendie des halls industriels Guide de conception Sommaire 1. Introduction... 2 2.

Plus en détail

Partie 5 : Outils de calcul informatiques. Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46

Partie 5 : Outils de calcul informatiques. Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46 Partie 5 : Outils de calcul informatiques Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46 Objectif du calcul au feu R Résistance de la structure soumise au feu R req Résistance requise pour la tenue au

Plus en détail

L opération étudiée : le SDEF

L opération étudiée : le SDEF L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3

Plus en détail

Les solutions support d enduit mince avec isolation

Les solutions support d enduit mince avec isolation Les solutions support d enduit avec isolation Th38 SE Th38 SE FM+ Dimensions : Th38 SE : 1200 x 600 x épaisseurs 20 à 300 mm Th38 SE FM+ : 500 x 500 x épaisseurs 60 à 120 mm (autres dimensions sur consultation)

Plus en détail

BADORIS - Document de synthèse relatif à une Barrière Technique de Sécurité (B.T.S.)

BADORIS - Document de synthèse relatif à une Barrière Technique de Sécurité (B.T.S.) BADORIS - Document de synthèse relatif à une Barrière Technique de Sécurité (B.T.S.) Mur coupe-feu DRA-09-103202-10009A Juillet 2010 Document de sy nthèse relatif à une Barrière Technique de Sécurité

Plus en détail

Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques :

Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : ANNEXE 7 Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : 1 carte est fournie pour l effet toxique : Carte N 1 «Taux

Plus en détail

NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP

NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH) NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP 1 1 Quel classement pour les ERP? Le classement

Plus en détail

IRVE et Hybrides Rechargeables dans les ERP et les IGH - Cahier des Charges de la Commission Centrale de Sécurité (Ministère de l Intérieur) SOMMAIRE

IRVE et Hybrides Rechargeables dans les ERP et les IGH - Cahier des Charges de la Commission Centrale de Sécurité (Ministère de l Intérieur) SOMMAIRE NOTEC N 544 L E S N O T E S T E C H N I Q U E S DE LA F F I E 1 5 J A N V I E R 2 0 1 3 IRVE et Hybrides Rechargeables dans les ERP et les IGH - Cahier des Charges de la Commission Centrale de Sécurité

Plus en détail

PRÉFÈTE DU CHER. La Préfète du Cher, Chevalier de la Légion d Honneur,

PRÉFÈTE DU CHER. La Préfète du Cher, Chevalier de la Légion d Honneur, Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations Pôle de la Protection des Populations Service de la Protection de l Environnement Installation classée soumise à autorisation

Plus en détail

Objet du document CAHIER DES CHARGES PRESTATION DE NETTOYAGE. Type de document : CDC. Cahier des charges pour la fourniture de prestation de nettoyage

Objet du document CAHIER DES CHARGES PRESTATION DE NETTOYAGE. Type de document : CDC. Cahier des charges pour la fourniture de prestation de nettoyage Type de document : CDC Cahier des charges auteur HC Objet du document Cahier des charges pour la fourniture de prestation de nettoyage 1 de 11 CDC nettoyage.docx TABLE DES MATIERES 1 PRESENTATION DE CAP

Plus en détail

Réglementation ERP et IGH

Réglementation ERP et IGH PENSE Bête : Réglementation ERP et IGH Réalisé par Alexandre MOREAU 01.69.45.73.06 06.99.44.60.36 Mail : securiteincendie.idf@gmail.com Site : securiteincendie-idf.com A) DEFINITION : (R 123.2) 1 ) Définition

Plus en détail

MARCHE A PROCEDURE ADAPTEE

MARCHE A PROCEDURE ADAPTEE MARCHE A PROCEDURE ADAPTEE Pouvoir adjudicateur : Centre Hospitalier de Béziers 2 rue Valentin Haüy BP 740 34525 BEZIERS Libellé de la consultation* : SITE MONTIMARAN SERVICE RADIOLOGIE (objet du marché)

Plus en détail

CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases

CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h Conf 1 : WIFI, les bases 1) Principes de fonctionnement (antennes, fréquences, emetteurs/recepteurs, point d'accés) a) Les grandes classes de fréquences HF, 300 Khz

Plus en détail

NOTICE DE SECURITE. SANS LOCAUX A SOMMEIL (Effectif reçu supérieur à 19 personnes) Arrêté du 22/06/1990

NOTICE DE SECURITE. SANS LOCAUX A SOMMEIL (Effectif reçu supérieur à 19 personnes) Arrêté du 22/06/1990 NOTICE DE SECURITE POUR LES ERP DE 5 E CATEGORIE SANS LOCAUX A SOMMEIL (Effectif reçu supérieur à 19 personnes) Arrêté du 22/06/1990 Documents obligatoires à joindre à cette notice de sécurité pour le

Plus en détail

Palais des Congrès 1 er étage Les Goudes

Palais des Congrès 1 er étage Les Goudes Palais des Congrès 1 er étage Les Goudes 5 6 7 3 8 2 1 Palais des Congrès Palais des Arts A. Présentation salle Les Goudes Avec une surface de 1045 m 2 sans piliers et une hauteur sous plafond de 6,30

Plus en détail

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un

Plus en détail

CONSTRUIRE VOTRE EVENEMENT

CONSTRUIRE VOTRE EVENEMENT CONSTRUIRE VOTRE EVENEMENT 15 DOCUMENTATION TECHNIQUE PARIS www.jaulin.com +33 (0)1 69 79 20 20 commercial@jaulin.com Du rêve à la réalité, De la conception à la réalisation Conception et production Auditoire

Plus en détail

PROGRAMME D INVESTISSEMENT * * *

PROGRAMME D INVESTISSEMENT * * * PROGRAMME D INVESTISSEMENT * * * PALAIS ACROPOLIS 1 PRESENTATION DU PROGRAMME Généralités : Le programme d investissement concerne la réalisation de travaux permettant de garantir la pérennité des ouvrages,

Plus en détail

STOCKAGE SOUTERRAIN. Gestion de l élimination en Europe toute entière Sécurité à long terme Solutions répondant aux besoins de nos clients

STOCKAGE SOUTERRAIN. Gestion de l élimination en Europe toute entière Sécurité à long terme Solutions répondant aux besoins de nos clients STOCKAGE SOUTERRAIN Gestion de l élimination en Europe toute entière Sécurité à long terme Solutions répondant aux besoins de nos clients Prestations de service complètes à l échelle européenne Gestion

Plus en détail

Bienvenue au Club Logistique! Jeudi 05 décembre 2013

Bienvenue au Club Logistique! Jeudi 05 décembre 2013 Bienvenue au Club Logistique! Jeudi 05 décembre 2013 Le Groupe SIGMA Le Pôle Transport Energies Logistique L innovation dans la Supply Chain Le Groupe SIGMA Implantations & Chiffres Clés CA 2012 69,5 M

Plus en détail

protection incendie Ouvrant de façade : Orcades

protection incendie Ouvrant de façade : Orcades protection incendie Ouvrant de façade : Orcades FTE 502 130 D Mai 2011 Orcades ouvrant de façade d amenée d air Avantages Esthétique soignée (grille Cyclades en façade intérieure en option). Bonne isolation

Plus en détail

Fuites d ammoniac gazeux et liquéfié sous pression : Résultats préliminaires issus des essais à moyenne échelle de l INERIS

Fuites d ammoniac gazeux et liquéfié sous pression : Résultats préliminaires issus des essais à moyenne échelle de l INERIS Fuites d ammoniac gazeux et liquéfié sous pression : Résultats préliminaires issus des essais à moyenne échelle de l INERIS 6 septembre 2011 Contact presse Aurélie PREVOT Tél: 03 44 55 63 01 Mob: 06 20

Plus en détail

NOM équipement. Notice accessibilité pour les établissements recevant du public

NOM équipement. Notice accessibilité pour les établissements recevant du public NOM équipement Notice accessibilité pour les établissements recevant du public Textes de référence : Loi n 2005-102 du 11 février 2005 Décret n 2006-555 du 17 mai 2006 Arrêté du 1er Règles en vigueur considérées

Plus en détail

Document n 5 : Résumés Non Techniques DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION BORDERES-SUR-L ECHEZ (65)

Document n 5 : Résumés Non Techniques DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION BORDERES-SUR-L ECHEZ (65) DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER POUR LA CREATION D UNE UNITE DE VALORISATION DE DECHETS NON DANGEREUX BORDERES-SUR-L ECHEZ (65) Document n 5 : Résumés Non Techniques A2/C/VBBO Mars 2014 Syndicat

Plus en détail

Le réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity)

Le réseau sans fil Wi - Fi (Wireless Fidelity) Professionnel Page 282 à 291 Accessoires Page 294 TPE / Soho Page 292 à 293 Le réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity) Le a été défini par le Groupe de travail WECA (Wireless Ethernet Compatibility

Plus en détail

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2 1. CLASSEMENT ET GENERALITES : 1.1. Classement Sont classées dans la 3ème famille les habitations collectives dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à 28 mètres au plus au-dessus du sol

Plus en détail

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Correction des ponts thermiques Maçonnerie de type a RT 2012 Mur Hybride R = 1,45 Pose rapide Porotherm GF R20 Th+ Mur Hybride énergie économie écologie émotion

Plus en détail

Carport Evolution 1 Voiture Adossant - 710470 -

Carport Evolution 1 Voiture Adossant - 710470 - Carport Evolution 1 Voiture Adossant - 710470-1 N O T I C E D E M O N T A G E du Carport Evolution 1 Voiture Adossant Après l ouverture du colis de votre Carport, n exposez pas les panneaux au rayonnement

Plus en détail

Collimateur universel de réglage laser

Collimateur universel de réglage laser Collimateur universel de réglage laser Manuel de l utilisateur Réf. WG-840 Mise à jour 27.08.2013 En projetant un rayon laser dans l axe du canon de votre arme à feu, ce collimateur universel de réglage

Plus en détail

Phénomènes dangereux et modélisation des effets

Phénomènes dangereux et modélisation des effets Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE

Plus en détail

Zone Industrielle. Kehlen... 1

Zone Industrielle. Kehlen... 1 Zone Industrielle Kehlen VALERES Konstruktioun SA 1 L o c a l i s a t i o n Le terrain se situe dans la zone industrielle de et à 8287 Kehlen Parcelle no 2946/5744 lot 1 La superficie du terrain sur lequel

Plus en détail

RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS

RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS a RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS Synthèse de l'inventaire des accidents pour le secteur d'activité de la société MARIE DIDIER AUTOMOBILES Il ressort de l inventaire des accidents technologiques

Plus en détail

PLAN DE LA PRESENTATION

PLAN DE LA PRESENTATION Présenté par: MAILELE Djibril Amadou, Directeur Production & Transport - NIGELEC PLAN DE LA PRESENTATION 1. CONTEXTE 2. AVENNEMENT DE LA PANNE 3. CONSEQUENCES DE LA PANNE 4. SOLUTION DU DEPANNAGE DEFINITIF

Plus en détail

A. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES.

A. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES. Page : 2 A. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES. A.1. VUE D ENSEMBLE A.2. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT!" #! $! %&' ( ) * µ +, µ $# (& % ± -. /01)0$ ' &%(% 2 3,)/4 $ A.3. CARACTERISTIQUES MECANIQUES. PARAMETRES Valeur

Plus en détail

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L

Plus en détail

ROTOLINE NOTICE DE POSE

ROTOLINE NOTICE DE POSE ROTOLINE NOTICE DE POSE Nous vous remercions d avoir choisi le Système ROTOLINE pour ouvrir votre portail. Veuillez lire attentivement cette notice, vous serez à même de faire fonctionner ce système correctement.

Plus en détail

Réglementation et attestations thermique

Réglementation et attestations thermique Réglementation et attestations thermique Réunions d échanges ADS des 25 novembre et 2 décembre 2014 DDT 38 - SLC- QC 1 réglementation thermique attestations -... 1 la réglementation thermique 2 les attestations

Plus en détail

Présentation : Notre équipe se compose :

Présentation : Notre équipe se compose : SUEUR CONSTRUCTION BOIS 6, route de Haute-Avesnes 62 144 ACQ Téléphone : 03 21 59 05 40 Fax : 03 21 59 17 01 www.sueur-construction-bois.fr sueurconstructionbois@wanadoo.fr Présentation : La Société SUEUR

Plus en détail

CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE

CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE S O M M A I R E CHAPITRE 1 - PRÉSENTATION GÉNÉRALE... 2 CHAPITRE 2 - SÉCURITÉ DES PERSONNES VIS A VIS

Plus en détail

La volonté de la sécurité civile: rapprocher acteurs du secours, industriels et scientifiques : COMETIC

La volonté de la sécurité civile: rapprocher acteurs du secours, industriels et scientifiques : COMETIC Projet de Plateforme Mutualisée d Innovation Incendie: Institut National des Technologies et de l Ingénierie Incendie 06/01/2012 1 Préambule: qu est ce que plateforme mutualisée d innovation? Une plateforme

Plus en détail

Baccalauréat Professionnel SYSTÈMES ÉLECTRONIQUES NUMÉRIQUES. Champ professionnel : Alarme Sécurité Incendie EPREUVE E2

Baccalauréat Professionnel SYSTÈMES ÉLECTRONIQUES NUMÉRIQUES. Champ professionnel : Alarme Sécurité Incendie EPREUVE E2 Baccalauréat Professionnel SYSTÈMES ÉLECTRONIQUES NUMÉRIQUES Champ professionnel : Alarme Sécurité Incendie EPREUVE E2 ANALYSE D UN SYSTÈME ÉLECTRONIQUE Durée 4 heures coefficient 5 Page 1/ 30 EXTRAIT

Plus en détail

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE

Plus en détail

Cetaf. Salles de réunion, formation et conférence. Location. Guide. 67/69 Avenue de Rochetaillée 42100 Saint-Etienne

Cetaf. Salles de réunion, formation et conférence. Location. Guide. 67/69 Avenue de Rochetaillée 42100 Saint-Etienne Guide Cetaf Location Salles de réunion, formation et conférence Contact : Olivier Bresson - 04 77 81 63 58 - Fax. 04 77 81 17 18 - olivier.bresson@cetaf.cnamts.fr 67/69 Avenue de Rochetaillée 42100 Saint-Etienne

Plus en détail

Chantier I.F.P.E.C. / Lille. Trophées de la Construction Bois 2009 CNDB Nord BAT Région Nord Pas de calais Picardie U.E.F.E.D.R.

Chantier I.F.P.E.C. / Lille. Trophées de la Construction Bois 2009 CNDB Nord BAT Région Nord Pas de calais Picardie U.E.F.E.D.R. Chantier I.F.P.E.C. / Lille Trophées de la Construction Bois 2009 CNDB Nord BAT Région Nord Pas de calais Picardie U.E.F.E.D.R. Présentation du Projet Extension d un bâtiment tertiaire existant sur 4 niveaux

Plus en détail

L'immobilier professionnel

L'immobilier professionnel Commune: Rieutort Sur Randon Ensemble industriel de 900 m2 Descriptif: Ensemble industriel composé d'un entrepôt de 450 m2, d'un atelier de 350 m2 et de 100 m2 de bureaux. Surface bâtie: 900 Commune: Rieutort

Plus en détail

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 Plancher collaborant Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 V1/2011 caractéristiques du profil DÉTAIL GÉOMÉTRIQUE DU 22 728 104 épaisseur (mm) 0,5 0,7 poids (dan/m 2 ) 5,3 7,4 APPLICATION CONSEILLÉE

Plus en détail

Contenu de la présentation Programme 28.10.2010

Contenu de la présentation Programme 28.10.2010 Fire Safety Day 2010 28 octobre 2010 - Leuven Note d information technique NIT 238 L application de systèmes de peinture intumescente sur structures en acier Source: Leighs Paints ir. Y. Martin CSTC/WTCB

Plus en détail

Concevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois

Concevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois Concevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois Cette vous permettra d appréhender les principes fondamentaux du système constructif ossature bois selon les normes et DTU en vigueur. Elle

Plus en détail

NOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES

NOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES NOUVELLES RÈGLES SOMMAIRES POUR LE STOCKAGE DES PRODUITS PÉTROLIERS Depuis septembre 2006, suivant le décret de Juillet 2004 STOCKAGE AU REZ-DE-CHAUSSEE OU EN SOUS-SOL D'UN BATIMENT Les réservoirs et équipements

Plus en détail

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers

Plus en détail

ASHRAE Montréal STM Construction du centre de transport Stinson. 16 mars 2015

ASHRAE Montréal STM Construction du centre de transport Stinson. 16 mars 2015 ASHRAE Montréal STM Construction du centre de transport Stinson 16 mars 2015 Plan de présentation Présentation générale du projet Par M. Jocelyn Leblanc, directeur de projets STM Lignes directrices conception

Plus en détail

LES POSTES DE TRAVAIL : DESCRIPTIF / GENERALITES / LOTS

LES POSTES DE TRAVAIL : DESCRIPTIF / GENERALITES / LOTS LES POSTES DE TRAVAIL : DESCRIPTIF / GENERALITES / LOTS LOT 1 - X ET RANGEMENTS ATTENTION : Une visite des lieux est conseillée afin que les proposants prennent en compte les accès, les dimensions, les

Plus en détail

REGLEMENT D ARCHITECTURE ET DE DECORATION

REGLEMENT D ARCHITECTURE ET DE DECORATION 8-12 MARS 2014 Paris Nord Villepinte France REGLEMENT D ARCHITECTURE ET DE DECORATION CABINET DECO PLUS 1 Rue Paul Delaroche 75116 Paris France Tél + 33 (0) 1 47 63 94 84 - Fax + 33 (0) 1 43 80 59 63 europainarchi@free.fr

Plus en détail

Société française du pipeline du Jura

Société française du pipeline du Jura GENNES Société française du pipeline du Jura C.L.I.C. du 16.10 2007, rév.: 1.2 1 L environnement immédiat du dépôt de Gennes C.L.I.C. du 16.10 2007, rév.: 1.2 2 L environnement du dépôt Pipeline SPSE Fos-Strasbourg

Plus en détail

Réduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de. l architecture

Réduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de. l architecture Réduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de Orange Labs l architecture David Nörtershäuser, Recherche & Développement Stéphane Le Masson,

Plus en détail

LA RUBRIQUE «SUR MESURE»

LA RUBRIQUE «SUR MESURE» LA RUBRIQUE «SUR MESURE» MOYENS D ACCÈS EN HAUTEUR NOS EXPERTS ONT IMAGINÉ VOS SOLUTIONS. Maintenance industrielle, aéronautique, agro-alimentaire, logistique, transport, btp, entretien de mobilier urbain

Plus en détail

25/11/2010. La nouvelle réglementation des distributeurs de carburants. Réunion d information. Sommaire. 1 Nouvelle rubrique ICPE

25/11/2010. La nouvelle réglementation des distributeurs de carburants. Réunion d information. Sommaire. 1 Nouvelle rubrique ICPE La nouvelle réglementation des installations de distribution de carburants & les aides financières du CPDC Véronique Poutas Responsable Environnement pour les 2 CCI de l Aude Pierre Vicart Secrétaire Général

Plus en détail

Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments

Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Thème Pourquoi isoler? Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Les indications, illustrations, informations

Plus en détail

Communication-Négociation

Communication-Négociation Communication-Négociation Évaluation écrite n 1 Sujet : ULTRAFLUX Durée : 2 h L établissement de devis relevant dans votre entreprise d un système CRM, vous vous êtes engagé à l issue de votre entretien

Plus en détail

D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS

D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS Les incendies de forêts ou les inondations sont les principaux risques majeurs qui peuvent

Plus en détail

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports

Plus en détail

Le pétitionnaire veillera à remplir une notice par établissement utilisé et isolé l'un de l'autre.

Le pétitionnaire veillera à remplir une notice par établissement utilisé et isolé l'un de l'autre. NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE pour les ERP du 1er groupe ou établissement du 2ème groupe (5ème catégorie) avec locaux à sommeil. Arrêté du 25/06/1980 Rappel: art R123-2 du CCH: constituent des établissements

Plus en détail

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation

Plus en détail

Des solutions intelligentes pour la construction de bâtiments industriels et utilitaires

Des solutions intelligentes pour la construction de bâtiments industriels et utilitaires Des solutions intelligentes pour la construction de bâtiments industriels et utilitaires Le béton cellulaire HEBEL dans la voie du succès international Xella Aircrete Systems représente le plus grand fournisseur

Plus en détail

ENTREPOTS / BUREAUX à louer

ENTREPOTS / BUREAUX à louer ENTREPOTS / BUREAUX à louer Bâtiment indépendant 2 380 m² de locaux d Activités (entrepôts / bureaux) Zone d Activités du Pérou MASSY (91) 10 mail Atlantis 91300 MASSY 01 64 47 07 19 info@fimmconseil.com

Plus en détail

CARNET DE SANTE LYCEE COLBERT A MARSEILLE. Destinataires : AREA M. SIRON

CARNET DE SANTE LYCEE COLBERT A MARSEILLE. Destinataires : AREA M. SIRON AGENCE DE MARSEILLE CONTROLE TECHNIQUE DE CONSTRUCTION 8 RUE JEAN JACQUES VERNAZZA BP 193 13322 MARSEILLE CEDEX 16 04.96.15.22.60 04.96.15.23.96 CARNET DE SANTE LYCEE COLBERT A MARSEILLE Destinataires

Plus en détail

Document Technique d Application

Document Technique d Application Document Technique d Application Référence Avis Technique 5/12-2304 Annule et remplace l Avis Technique 5/09-2066 Système d isolation composée (EPS + MW) non porteur support d étanchéité Isolant thermique

Plus en détail

Les normes du bâtiment pour l'installation d'un escalier intérieur Définition des termes techniques pour les escaliers : Escalier : Volée :

Les normes du bâtiment pour l'installation d'un escalier intérieur Définition des termes techniques pour les escaliers : Escalier : Volée : Accueil Diapo FAQ Instal. escalier Photo Les normes du bâtiment pour l'installation d'un escalier intérieur 1. Définition des termes techniques pour les escaliers. 2. Normes élémentaires des marches d'escaliers.

Plus en détail

CATALOGUE Tarifs UNE MOTORISATION EXTERIEURE POUR L ENSEMBLE DE NOTRE GAMME. BORNES ESCAMOTABLES Accès

CATALOGUE Tarifs UNE MOTORISATION EXTERIEURE POUR L ENSEMBLE DE NOTRE GAMME. BORNES ESCAMOTABLES Accès CATALOGUE Tarifs 2007 UNE MOTORISATION EXTERIEURE POUR L ENSEMBLE DE NOTRE GAMME BORNES ESCAMOTABLES Accès Borne mécanique MAHAUT Pièces en acier peintes : Ø 245 mm Tête de borne Collier guide Pièces en

Plus en détail

ETUDE DE SCENARIOS DANGEREUX EN STATIONS-SERVICE

ETUDE DE SCENARIOS DANGEREUX EN STATIONS-SERVICE ETUDE DE SCENARIOS DANGEREUX EN STATIONS-SERVICE Rapport final Direction des Risques Accidentels Octobre 2002 PREAMBULE Le présent document a été établi : au vu des données scientifiques et techniques

Plus en détail

accessibilité des maisons individuelles neuves

accessibilité des maisons individuelles neuves accessibilité des maisons individuelles neuves Conseil d Architecture, d urbanisme et de l environnement du Gard 2012 Depuis la loi de Février 2005, toutes les constructions neuves de type logement individuel

Plus en détail

Informations sur la NFS 61-933

Informations sur la NFS 61-933 Les évolutions apportées par la nouvelle norme NFS 61-933 relative à l exploitation et la maintenance des systèmes de sécurité incendie. Intervention Olivier BUFFET Ingénieur sécurité CHU ANGERS Sommaire

Plus en détail

Prévention du risque d incendie dans les entreprises. Conseils pratiques

Prévention du risque d incendie dans les entreprises. Conseils pratiques Prévention du risque d incendie dans les entreprises Conseils pratiques Les dégâts causés par les incendies se chiffrent chaque année à plusieurs dizaines de millions d euro. Plus de 50 entreprises sont

Plus en détail

NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE ERP de 5 ème catégorie sans fonction sommeil

NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE ERP de 5 ème catégorie sans fonction sommeil NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE ERP de 5 ème catégorie sans fonction sommeil 1/9 A. PROCEDURE L article L.111-8 du code de la construction et de l'habitation pose le principe d une vérification du respect

Plus en détail

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol :

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Page : 1 de 6 Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Référence article 058.01.250: VX18 Référence article 058.01.251: VX20 Référence article 058.01.252: VX30 Chaudière spéciale à gazéification

Plus en détail

TACHES N 1. Escalier : Taper des pieds en faisant le crocodile, souffler, immerger le visage... S asseoir au fond de l eau, tête hors de l eau

TACHES N 1. Escalier : Taper des pieds en faisant le crocodile, souffler, immerger le visage... S asseoir au fond de l eau, tête hors de l eau Taper des pieds en faisant le crocodile, souffler, immerger le visage... S asseoir au fond de l eau, tête hors de l eau TACHES N 1 Descendre les marches Marcher le long de la ligne S appuyer sur les deux

Plus en détail

Le Conseil Municipal,

Le Conseil Municipal, MF/EG SEANCE DU 13 FÉVRIER 2006 2006/6197 - INSTALLATION CLASSÉE POUR L'ENVIRONNEMENT SOUMISE À AUTORISATION - DEMANDE D'AUTORISATION PRÉSENTÉE PAR LA SOCIÉTÉ OMNITHERM EN VUE DE MODIFIER LES INSTALLATIONS

Plus en détail

Outil d autodiagnostic du niveau d accessibilité - Les cabinets médicaux -

Outil d autodiagnostic du niveau d accessibilité - Les cabinets médicaux - Outil d autodiagnostic du niveau d accessibilité - Les cabinets médicaux - 17 septembre 2014 (mis à jour le 31 octobre 2014) Afin d avoir une idée du niveau d accessibilité de son cabinet et des principales

Plus en détail

Un métier pas comme les autres. DES SOLUTIONS INDIVIDUELLES DES SOLUTIONS INDIVIDUELLES. 20 Exemples Des solutions individuelles.

Un métier pas comme les autres. DES SOLUTIONS INDIVIDUELLES DES SOLUTIONS INDIVIDUELLES. 20 Exemples Des solutions individuelles. 8 DES SOLUTIONS INDIVIDUELLES 20 Exemples Des solutions individuelles Un métier pas comme les autres. DES SOLUTIONS INDIVIDUELLES Pièces techniques Des solutions individuelles Caissespalettes Bacs pour

Plus en détail