Djimadoum MANDEKOR Directeur du Crédit, des Marchés de Capitaux et du Contrôle Bancaire-BEAC
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- Damien Crevier
- il y a 8 ans
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1 REGULER L ECONOMIE SOUS-REGIONALE : QUELS PRODUITS FINANCIERS ADAPTES POUR REDUIRE LA SITUATION DE SURLIQUIDITE ET DRAINER L EPARGNE INTERIEURE? FONDS SOUVERAINS, OPCVM,. Djimadoum MANDEKOR Directeur du Crédit, des Marchés de Capitaux et du Contrôle Bancaire-BEAC
2 Plan 2 I. II. III. IV. Introduction Contraintes relatives au financement des économies de la CEMAC Pistes de solutions pour l accroissement du financement des économies de la CEMAC Conclusion
3 I. INTRODUCTION 3 La sous-région CEMAC se caractérise par un niveau de financement faible contrastant avec une surliquidité globale, alors qu elle continue d enregistrer des besoins d investissements considérables En effet, le ratio Crédits à l économie/pib est de 10,% dans la CEMAC (dont 14,3% au Cameroun et 10,% en RCA) alors qu il s élève à 23,1% en Afrique et à 46,1% dans les autres pays en développement selon l étude de NFW4A De nombreuses contraintes structurelles entravent le financement de ces économies Quelles peuvent être les pistes de solutions envisageables pour y remédier et améliorer ainsi la qualité et le volume de financement de nos économies?
4 II. CONTRAINTES QUI ENTRAVENT LE FINANCEMENT DES ECONOMIES DE LA CEMAC 4 Les contraintes qui limitent l éclosion du financement des économies de la CEMAC peuvent être appréhendées sous deux angles : Du côté de l offre de financement Du côté de la demande de financement
5 II.1. CONTRAINTES LIEES A L OFFRE DE FINANCEMENT 5 1. L étroitesse du système financier: une forte concentration des banques dans les zones urbaines (en moyenne 1,5 agence bancaire pour personnes dans la CEMAC, quatre fois moins qu en Egypte). Prédominance du financement bancaire qui représente 75% des sources de financement contre 12% provenant des autres institutions financières (dont la BDEAC) et le reste, des autres sources (marché financier, etc.) Produits financiers peu diversifiés avec une prédominance des produits bancaires à court terme, suivi des titres publics (BTA, OTA) avec l institution récemment d un marché régional de la dette publique 2. Gouvernance économique et climat des affaires: faible niveau de confiance entre les établissements de crédits et leur potentielle clientèle, lié à l incertitude sur le dénouement juridique des contrats (introduction récente des tribunaux de commerce vise à y remédier, ), faible efficacité du système juridique et niveau élevé de perception de la corruption Absence de dynamisme sur le marché interbancaire de la CEMAC 3. L asymétrie d information financière: le manque d informations fiables sur les demandeurs de financement Renchérissement du coût de crédit Rationnement du crédit
6 II.2. CONTRAINTES LIEES A LA DEMANDE DE FINANCEMENT 6 1. Le coût élevé du crédit bancaire: le taux débiteur moyen est de 17% contrairement à l espace UEMOA où il s élève à12% Taux anormalement élevé, alors que le taux directeur de la BEAC (TIAO) est de 3,25% actuellement Prime de risque très élevée, du fait de la perception du niveau du risque, notamment le risque de crédit Faiblesse du revenu Faible densité de la population (par ailleurs très jeune, environ 46% de la population a moins de 15 ans) 2. Culture financière limitée L émergence de la finance informelle (tontine) L émergence de la microfinance 3. La taille et le secteur d activité du demandeur du crédit: Faible accès au crédit des PME/PMI et porteurs de projets due notamment au manque de garantie, absence des états financiers fiables 76,% des PME en zone CEMAC n ont pas accès au crédit à cause de leur taille contrairement à la moyenne africaine, qui est de 53,%.
7 II.2. CONTRAINTES LIEES A LA DEMANDE DE FINANCEMENT (Suite) 7 4. Importance du secteur informel, par ailleurs mal organisé: le financement du secteur informel (75% d activités économiques de la CEMAC) provient de la finance informelle et de la microfinance 5. Barrières géographiques: accès difficile des zones rurales au financement bancaire. Faible taux de bancarisation (environ 8% dans la CEMAC) et faible connaissance financière Prépondérance des activités agricoles mais rareté des crédits adaptés, car le secteur est jugé trop risqué
8 III. PISTES DE SOLUTIONS POUR L ACCROISSEMENT DU FINANCEMENT DES ECONOMIES DE LA CEMAC 8 Pour identifier les mécanismes et les instruments de financement adaptés aux caractéristiques et besoins des économies de la CEMAC, l implication de tous les acteurs concernés par cette problématique est indispensable : 1.Les innovations financières nécessaires 2. Le rôle des acteurs institutionnels
9 III.1. LES INNOVATIONS FINANCIERES NECESSAIRES Compte tenu de leur place dans le système financier de la sous-région, les banques ont un rôle clé à jouer dans les innovations pour le développement du système financier : 1. Mobilisation et transformation de l épargne domestique à vue en ressources longues, à travers: Les OPCVM (Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières) qui sont en général de deux catégories à caractéristiques similaires : les Fonds Communs de Placement (FCP) Les Sociétés d Investissement à Capital Variable (SICAV) Ils peuvent être des véhicules de mobilisation de l épargne pour le financement des investissement Mobilisation des fonds de retraite, dépôts des professions juridiques, livrets d épargne Cas du Maroc où les OPCVM représentent 5% de l épargne domestique et de la Côte d Ivoire avec les Sociétés de Gestion et d Investissements (SGI)
10 III.1. LES INNOVATIONS FINANCIERES NECESSAIRES (Suite 1) 10 Les Fonds d Investissement (à capitaux privés ou mixtes) 2. Techniques financières innovantes pour un système financier inclusif Le système de «Agency Banking»: c est un système qui permet d offrir des services financiers à des populations exclues du système formel par l intermédiaire d un agent non financier (supers marchés, stations services, etc.). Au Ghana, ce système fonctionne à travers les agents «susu» et au Kenya plus de 10 banques pratiquent ce système avec détaillants bancaires Au niveau de la CEMAC, on peut l adapter par le biais des tontines, GICs, associations, etc. De manière générale, développer des synergies et des échanges entre les Banques et les EMF à travers des partenariats gagnant-gagnant (exemple d Orabank et Finnader, etc.)
11 III.1. LES INNOVATIONS FINANCIERES NECESSAIRES (Suite 2) 11 Ouverture de compte avec «zéro dépôt» : il s agit d une facilité qui permet d accorder des petits prêts à des populations non bancarisées. Cette technique a permis à UBA Ghana d accorder des petits crédits à la clientèle du secteur informel 3. Diversification de l offre de financement pour les PME et les porteurs de projet, à travers: Le système de petits prêts sans garanties: il a permis à la Gramen Bank au Bangladesh et la Banco Solidaridad au Pérou d octroyer de petits prêts (à partir de 40 dollars) sans garanties à des porteurs de projets de dimension limitée, notamment des femmes, en zones rurales.
12 III.1. LES INNOVATIONS FINANCIERES NECESSAIRES (Suite 3) 12 le système de prêts solidaires: les membres d une solidarité garantissent eux-mêmes les crédits de l un de leur membre (garantie croisée). Ce système fonctionne en Ouganda et au Kenya sous le nom de système «Faulu». Les banques de la sous-région peuvent l expérimenter avec les tontines, Le financement à travers la chaine de valeurs: il permet de surmonter les limites de l asymétrie d information et de manque de garanties.
13 III.1. LES INNOVATIONS FINANCIERES NECESSAIRES (Suite 4) 13 Les sociétés intermédiaires (acheteurs ou vendeurs) servent d écran aux agriculteurs pour l obtention des crédits afin de développement leurs activités. L acheteur s engageant à acheter toute la récolte à un prix convenu. Le succès en la matière vient du Ghana et du Mozambique. L offre de la finance islamique: les produits financiers islamiques peuvent être proposés par les banques conventionnelles
14 III.1. LES INNOVATIONS FINANCIERES NECESSAIRES (Suite 5) 14 Toutefois, Le développement d une infrastructure financière stable et équilibrée est crucial : Déséquilibre actuel du système financier (85% des actifs et passifs financiers sont gérés par les banques dans la sousrégion) Nécessité de développer d autres institutions financières telles que les sociétés de capital risque, les sociétés de garanties financières, Nécessité de dynamiser nos marchés des capitaux Forum International de la Finance en Afrique Subsaharienne, Douala 20-22
15 III.2. LE ROLE DES ACTEURS INSTITUTIONNELS 15 Trois acteurs institutionnels ont un rôle capital à jouer dans l amélioration du financement des économies de la CEMAC : Les Etats La BDEAC La BEAC A- ROLE DES ETATS 1- Renforcement de la gouvernance économique et de la culture financière: Développement des programmes d imprégnation et de capacité financière Actions d information à travers des médias de masse (exemple du Kenya) Programmes éducatifs ciblés Elimination des arriérés internes Respect des autres critères de convergence afin d améliorer la crédibilité des Etats Stimulation et appui à la fourniture de services d aide à la gestion des entreprises
16 III.2. LE ROLE DES ACTEURS INSTITUTIONNELS (Suite 1) 16 A- ROLE DES ETATS (Suite) - L intégration des deux bourses de valeurs (BVMAC et DSX) et de leur superviseur, qui permettra: De réduire les coûts de sortie D améliorer leur crédibilité et accroitre les volumes de cotations dans la CEMAC - Favoriser la circulation des capitaux, des biens et des personnes dans l espace communautaire, pour développer les échanges, la diversification, accroitre les revenus, l épargne et in fine les investissements. 2- Mise en place des fonds souverains nationaux (expériences en cours du Gabon et du Congo) ou d un fonds souverain régional: Véhicules d investissements dans les projets structurants, Compatibilité avec le principe de centralisation des réserves de changes, Expériences réussies de l Autoritéd Investissement Libyenne (Fonds souverains libyen, LIA) et le Fonds algérien de régulation des recettes (fonds souverain algérien) qui comptent parmi les quinze plus grands fonds souverains au monde de par leur taille et réalisent des investissements dans divers secteurs partout en Afrique. Expériences réussies du Pula Fund (Botswana) et du Minerals Development Fund (Ghana), créés en 13
17 III.2. LE ROLE DES ACTEURS INSTITUTIONNELS (Suite 2) 17 B- ROLE DE LA BDEAC: - Renforcement de sa capacité d intervention dans le financement des projets structurants: Renforcement de sa gouvernance Réaffirmation par ses actionnaires de son rôle clé dans le financement des projets structurants Emissions des emprunts obligataires pour le financement des projets d investissement L augmentation du capital (souscription prioritaire des Etats directement ou par l intermédiaire des bénéfices à y consacrer) C- ROLE DE LA BEAC: Veiller à l efficacité de la fonction d intermédiation bancaire: Renforcement de la qualité des informations financières (Centrales des risques, de bilans, des incidents de paiements et Bureaux d information sur le crédit) Amélioration et diversification du système des garanties bancaires, à travers le développement d un Registre des sûretés à l échelle de la sous-région Redynamisation du marché interbancaire sous régional
18 III.2. LE ROLE DES ACTEURS INSTITUTIONNELS (Suite 3) 18 - C- ROLE DE LA BEAC (suite): Développer des mécanismes financiers permettant le recyclage des excédents de ressources : Adoption de la décision relative à l admission des titres émis par les Etats de la CEMAC, comme collatéral des opérations de politique monétaire, y compris ceux émis par syndication et échangés sur le marché boursier (garanties exigées aux établissements de crédit pour bénéficier du refinancement de la BEAC, en plus des effets privés) Mécanisme incitant les Etats à acquérir les titres émis par les autres Etats, Institution d un Marché régional des Titres de Créances Négociables (TCN), qui permettra aux établissements de crédits et autres agents économiques non financiers (notamment les entreprises non financières) d émettre et d échanger : Des billets de trésorerie (Entreprises non financières), Des certificats de dépôts (Etablissements de crédits), Des Bons des Institutions et Sociétés Financières (BISF): Bons à moyen terme négociables, etc.
19 IV. CONCLUSION Trois principales leçons : Les contraintes d offre et de demande de financement contribuent au maintien de la surliquidité globale et à la faiblesse du financement des économies de la CEMAC Les institutions financières (établissements de crédits et autres institutions financières) devraient jouer un rôle important à travers le développement des techniques financières implémentées avec succès ailleurs, Les acteurs institutionnels (Etats, BDEAC et BEAC) devraient contribuer fondamentalement à l amélioration de la fonction d intermédiation bancaire, à l approfondissement des marchés de capitaux, à la facilitation de l innovation financière et au recyclage des excédents budgétaires et de la liquidité bancaire dans la CEMAC.
20 Forum International de la Finance en Afrique Subsaharienne 20 Merci pour votre aimable attention!!!
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