Distribution. d une eau potable
|
|
- Marie-Anne Bonin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La réglementation en eau potable et les parcs immobiliers institutionnels Patrice Murray, ing. Ministère du Développement durable, de l Environnement, de la Faune et des Parcs Direction des politiques de l eau Vers une saine gestion de l eau potable AGPI 12 et 14 mars 2013 Avertissement Cette présentation n est qu un survol, une initiation au Règlement sur la qualité de l eau potable (RQEP) L application du Règlement peut comporter beaucoup de subtilités s appliquant à plusieurs cas particuliers On ne pourra les couvrir tous aujourd hui, mais nos bureaux régionaux ont l habitude et la compétence pour examiner les situations très particulières 1
2 Règlement sur la qualité de l eau potable Adopté en juin 2001 A remplacé le Règlement sur l eau potable (1984) Analyses régulières de la qualité de l eau et gestion des résultats Source d approvisionnement utilisée, traitement appliqué Distribution et suivi de l efficacité d une eau potable Qualification des opérateurs des installations de captage, de traitement et du réseau Règlement sur la qualité de l eau potable Suivi en continu et alarmes Laboratoires accrédités Exigences de traitement Transmission des résultats Qualification des opérateurs Normes de qualité Exigences de contrôle Gestion des non-conformités 2
3 Cadre réglementaire Règlement sur la qualité de l eau potable Adopté en 2001, modifié en 2002, 2004, 2005, 2008 et 2012 Systèmes municipaux >20 personnes desservies Systèmes non municipaux >20 personnes desservies sidentiel Ré résidentiel Non Saisonnier À l année Institutions touristiques Plus de 4000 systèmes de distribution visés Responsabilités des principaux acteurs en vertu de la réglementation Acteur Responsable du système de distribution Laboratoire accrédité Responsabilités - Mettre en place les traitements et équipements - Disposer d opérateurs qualifiés - Réaliser des contrôles de qualité - Réagir en cas de non-respect d une norme - Réaliser les analyses de qualité - Transmettre les résultats d analyse Ministère du Développement durable, de l Environnement de la Faune et des Parcs Directions de la santé publique - Élaborer et mettre à jour le règlement - Contrôler les actions des responsables de systèmes et des laboratoires et les supporter au besoin - Recevoir les communications des responsables lors de situations de non-conformité et les supporter au besoin 3
4 Les systèmes de distribution visés par le règlement Captage Traitement Distribution Captage Traitement Captage Traitement Les systèmes de distribution visés par le règlement Captage Traitement Distribution Distribution 1 Distribution 3 2 4
5 Les systèmes de distribution visés par le règlement Captage Traitement Distribution 2 Distribution 1 Principales exigences applicables aux systèmes de distribution possédant leur PROPRE CAPTAGE Analyses régulières de la qualité de l eau et gestion des résultats Source d approvisionnement utilisée, traitement appliqué Distribution et suivi de l efficacité d une eau potable Qualification des opérateurs des installations de captage, de traitement et du réseau 5
6 Exigences de qualification des opérateurs Vise à s assurer que les tâches liées à la production et à la distribution d eau potable dans les réseaux visés soient réalisées par des personnes qualifiées Incluant la prise de mesures sur place et le prélèvement d échantillons sur le réseau Deux voies possibles de qualification: Programmes de formation technique et professionnelle reconnus par le ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport Programme de qualification des opérateurs en eau potable d Emploi-Québec Exigences de qualification des opérateurs NOUVEAUTÉ 8 MARS 2013 Pour les systèmes de distribution NON MUNICIPAUX, l opération et le suivi du fonctionnement d une installation de captage, de traitement ou de distribution (incluant l échantillonnage) pourront être effectués sous la SUPERVISION d un opérateur reconnu compétent 6
7 Exigences de traitement Eau souterraine Contamination fécale? Non Oui Aucun traitement requis Désinfection et suivi en continu Eau de surface et Eau souterraine sous influence directe d eau de surface Filtration, désinfection et suivi en continu Exclusion de filtration mais double désinfection Contrôles réguliers de la qualité de l eau Station de traitement Réseau de distribution Figure adaptée de: A Guide to the Ministry of Health Drinking-water Standards for New Zealand. 7
8 Contrôles réguliers de la qualité de l eau Domaine Microbiologique Substances inorganiques Paramètres Coliformes fécaux/escherichia coli Coliformes totaux Entérocoques, coliphages F-spécif. Turbidité, nitrites-nitrates As, Ba, Cd, Cu, F, Pb, U, etc. Substances organiques 31 pesticides, 17 autres substances Trihalométhanes totaux Paramètres de contrôle du procédé Turbidité, ph, température, débit chlore résiduel libre Contrôles réguliers de la qualité de l eau Pour les systèmes de distribution en captage autonome Un exemple concret du resserrement d une norme de qualité de l eau, depuis le 8 mars 2012: La norme pour l arsenic est passée de 0,025 à 0,010 mg/l 8
9 Gestion des résultats Laboratoire accrédité Ministère du Développement durable, de l Environnement, de la Faune et des Parcs Responsable du système de distribution Direction de santé publique Avis aux utilisateurs (si applicable) Les systèmes «appendices» Captage Traitement Distribution 2 Distribution 1 9
10 Cadre réglementaire particulier applicable à certains systèmes «appendices» Pour être visé par le nouveau cadre réglementaire particulier, un système de distribution «appendice» doit avoir toutes les caractéristiques suivantes: Le responsable est non municipal Le système est entièrement alimenté en eau par un système de distribution municipal Il dessert moins de 500 personnes Il est ouvert à l année ou de façon saisonnière Ce cadre réglementaire particulier est entré en vigueur le 8 mars 2013 Cadre réglementaire particulier applicable à certains systèmes «appendices» Responsable de l appendice Municipalité qui alimente Contrôles Est exclu des exigences de contrôle Doit rendre disponible à la municipalité, sur demande, un point de prélèvement adéquat Doit additionner la population desservie par l appendice à sa population aux fins d application des articles suivants: Gestion des dépassements Doit fournir au responsable municipal ses coordonnées En cas de non conformité, est informé par le responsable municipal et doit prendre les mesures requises: Contacter le MDDEFP et la DSP Avis d ébullition si requis par l article 36 Doit transmettre sans délai tout résultat d analyse montrant t un dépassement de norme au responsable de l appendice (eau prélevée dans l eau de l appendice) Une fois les mesures correctrices prises par le responsable de l appendice, doit prélever les échantillons de retour à la conformité 10
11 Exigences réglementaires de gestion des résultats d analyse (appendices) Laboratoire accrédité Ministère du Développement durable, de l Environnement, de la Faune et des Parcs Responsable du système de distribution municipal Direction de santé publique Responsable du système de distribution «appendice» Avis aux utilisateurs (si applicable) Exigences applicables aux «appendices» de 500 personnes et plus Obligation de transmettre au Ministère une déclaration du responsable Obligation de se conformer aux exigences de contrôle de la qualité applicables, dont: Contrôles microbiologiques mensuels Contrôle(s) annuel(s) du plomb et du cuivre Contrôle mensuel de la turbidité Contrôle trimestriel ou annuel des trihalométhanes totaux Actions requises en cas de non-respect d une norme 11
12 Autre situation (la plus simple) Et maintenant, si mon établissement n est qu un bâtiment raccordé au réseau municipal, ai-je des obligations en vertu du RQEP? Autrement dit, mon établissement ne constitue pas un «système de distribution» au sens du RQEP, i.e. pas un système en captage autonome, ni un appendice au réseau municipal La réponse est OUI, vous êtes tout de même concerné par l ARTICLE 38 du RQEP Article 38 du RQEP Le responsable d'un établissement d'enseignement ou d'un établissement de santé et de services sociaux qui est alimenté par un système de distribution faisant l'objet d'un avis d ébullition suite à une contamination fécale doit, dès qu'il est informé que l'eau mise à la disposition des utilisateurs est impropre à la consommation, placer une affiche indiquant ce fait à chaque endroit de l'établissement où l'eau est rendue disponible pour fins de consommation, et interrompre tout t service d'eau effectué à partir de fontaines alimentées avec l'eau de ce système de distribution. (reproduction adaptée et non intégrale de l article 38) 12
13 Affiche/Pictogramme «eau non potable» suggéré par le MDDEFP Disponible sur le site Internet: touris/nonpotable.jpg Dernier bref sujet l autorisation des équipements de traitement d eau potable S applique: Si l établissement est en captage d eau autonome; ET Si l établissement dessert plus de 20 personnes; Dans ce cas, l implantation des équipements de traitement d eau potable doit être PRÉALABLEMENT autorisée par la direction régionale du MDDEFP, en vertu de l art. 32 de la Loi sur la qualité de l environnement (LQE) 13
14 Dernier bref sujet l autorisation des équipements de traitement d eau potable Si les équipements sont installés à l intérieur du bâtiment, ils sont sous la juridiction du Chapitre Plomberie du Code de construction du Québec (communément appelé «Code de plomberie») - RBQ Dans ce cas, les équipements/appareils doivent se conformer à l art du chap. Plomberie Ceci implique la conformité des équipements à diverses normes NSF ou à la norme CSA B483.1 Exemples d équipements visés: réacteurs UV, osmose inverse, distillateur, filtration membranaire, adoucisseur L autorisation des équipements de traitement d eau potable Si le projet de traitement d eau potable est assujetti à l autorisation du MDDEFP (ou en cas de doute), contactez le bureau régional du MDDEFP de votre région administrative Coordonnées de nos directions régionales sur le site web du MDDEFP: m 14
15 Beaucoup d information disponible en eau potable Règlementation Outils de support à la mise en oeuvre Guides de conception Avis d ébullition et de non-consommation en vigueur Rapports Questions? 15
Centre d expertise en analyse environnementale du Québec GRILLE D ÉVALUATION SYSTÈME DE MANAGEMENT
Centre d expertise en analyse environnementale du Québec Programme d accréditation des laboratoires d analyse GRILLE D ÉVALUATION SYSTÈME DE MANAGEMENT Nom du laboratoire : N o du laboratoire : Date de
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailL eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires
L eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires 01 La règlementation concernant la qualité des eaux destinées à la consommation humaine s applique sans restriction aux installations d eau à l
Plus en détailEst-elle bonne à boire?
Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent
Plus en détailPrésentation de l entreprise. Des entreprises d ici. Une offre de services sur mesure. .com
1 Présentation de l entreprise Des entreprises d ici Depuis 1979, l entreprise Les Puits Deux-Montagnes s est bâti une réputation enviable qui s étend bien au-delà de la région des Basses-Laurentides.
Plus en détailPour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l
Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,
Plus en détailRapport de stage. «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain»
GRAPE-CEEP Rapport de stage «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain» Vallette Jean-Vincent Master II Gestion des Ressources Naturelles
Plus en détailDélégation du Service Public de l Eau Potable
DEPARTEMENT DU RHONE Délégation du Service Public de l Eau Potable Dossier de Consultation des Entreprises Pièce n 2 Mémoire Explicatif 1 PRESENTATION DU SERVICE 1.1 Les ressources 1.1.1 Origine de l eau
Plus en détailLa qualité de l eau utilisée dans les entreprises alimentaires. Guide d application de la réglementation
La qualité de l eau utilisée dans les entreprises alimentaires Guide d application de la réglementation Service public fédéral Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement Direction
Plus en détailJournée «Eau et Assainissement
Journée «Eau et Assainissement Enjeux et qualité de l eau sur le territoire du SAGE ATG Véronique GONZALEZ 23/01/2014 2 Agence Régionale de Santé Bretagne Origine des ARS : créées par l article 118 de
Plus en détailVotre installation septique l essentiel à savoir!
Votre installation septique l essentiel à savoir! Saviez-vous que... les eaux usées des résidences non raccordées à un réseau d égout doivent être évacuées et traitées par une instal lation septique aussi
Plus en détailRAPPORT ANNUEL 2013. Réseaux d eau potable Règlement de l Ontario 170/03. Table 1Information du système d eau potable
RAPPORT ANNUEL 2013 Table 1Information du système d eau potable Numéro du réseau d eau potable : 220003207 Nom du réseau d eau potable : Propriétaire du réseau d eau potable : Catégorie de réseau d eau
Plus en détailRèglement sur la qualité de l eau potable
Règlement sur la qualité de l eau potable Guide destiné aux établissements touristiques ÉDITION 2012 Dépôt légal Bibliothèque nationale du Québec, 2010 ISBN : 978-2-550-58228-1 (PDF) (2 e édition, 2010)
Plus en détailLaboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche
Laboratoire Eau de Paris Analyses et Recherche L eau, un aliment sous contrôle public Pour Eau de Paris, approvisionner la capitale en eau, c est garantir à ses 3 millions d usagers une ressource de qualité,
Plus en détailBLUBOX Système de récupération des eaux de pluie
BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.
Plus en détailVERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE
VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE Agro-alimentaire et Environnement SOMMAIRE Page Introduction 1 Analyses microbiologiques 5 Microbiologie des aliments 6 Microbiologie des eaux 7 Microbiologie
Plus en détail- - - - - - - - - - - - - - - o o o o - - - - - - - - - P (mm) 140 120 100 80 60 40 20 0 Janvier Février Diagramme ombrothermique sur la vallée de la Bresle Mars Avril Mai Juin Hauteur moyenne des
Plus en détailVILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES
VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES Avis de motion donné le 18 août 2003 Adopté le 2 septembre 2003 En vigueur le 6 août 2004 NOTES EXPLICATIVES
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailBulletin du Programme des permis de réseaux municipaux d'eau potable
Ministère de l Environnement Bulletin du Programme des permis de réseaux municipaux d'eau potable Direction du contrôle de la qualité de l eau potable Bulletin à l intention des propriétaires et exploitants
Plus en détailUNEP /UNESCO /UNCH / ECA
UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailPuissant et écologique à la fois
Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une
Plus en détailCaractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire
Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire DANGERS Cette fiche ne prétend pas être exhaustive. Elle vise à enrichir (et non limiter) la réflexion des professionnels sur le sujet des
Plus en détailMunicipalité de la paroisse de Saint-Lazare
Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE LA PAROISSE DE SAINT-LAZARE M.R.C. DE VAUDREUIL-SOULANGES RÈGLEMENT NUMÉRO 627 RÈGLEMENT VISANT À INTERDIRE L UTILISATION
Plus en détail2.1 Tarifs... 6 2.2 Délibérations... 7 2.3 Facture d eau type pour une consommation de 120 m³... 7 2.4 Recettes d exploitation...
Exercice 2012 Rapport annuel sur le Prix et la Qualité du Service Public de l Eau potable Eau du robinet : source de minéraux Des contrôles pour une eau sûre L exigence de qualité Syndicat des Eaux de
Plus en détailLe monitoring de la qualité
SÉDIMENTS RIVES RESSOURCES BIOLOGIQUES 3 e édition Le monitoring de la qualité des eaux marines dans les secteurs coquilliers Cap Piailleur, Îles-de-la-Madeleine Photo : Martin Rodrigue, Environnement
Plus en détailÉtape 1 : Balancer la chimie de l'eau
Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau Au printemps surtout et durant l'été, il sera important de contrôler et d'ajuster certain paramètres qui constituent la chimie de l'eau. Cet étape est bien souvent
Plus en détailLES CARACTÉRISTIQUES DU LAC DE GRAND- LIEU
Panneau réalisé par Chloé, Antoine et Mounir. 1 LES CARACTÉRISTIQUES DU LAC DE GRAND- LIEU Situé au Sud- Ouest de Nantes, à une dizaine de kilomètres au Sud de la Loire. Entouré de plusieurs petites communes
Plus en détailLes Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire
Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire 1- Hygiène du personnel Lors de l'embauche à l entreprise, toute personne affectée au travail et à la manipulation des produits est soumise
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour le bassin Rhône Méditerranée,
Plus en détailACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard
Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailCARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU
CARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU (Indiquer le nom de l installation) Directions Régionale et Départementales des Affaires Sanitaires et Sociales du Nord-Pas-de-Calais Ministère de l emploi,
Plus en détailUne solution parfaitement adaptée
INFORMATIONS ANALYSE EN CONTINU DES NITRATES NISE SC / NITRATAX SC NOUVEAU! ME SU RE DES N I T R AT ES EN LIGNE Une solution parfaitement adaptée Sondes de nitrate utilisant les technologies UV et électrodes
Plus en détailCONTRÔLES D HYGIèNE ET DE QUALITÉ D HÔTELLERIE ET DE RESTAURATION
CONTRÔLES D HYGIèNE ET DE QUALITÉ DANS LES établissements D HÔTELLERIE ET DE RESTAURATION 2 Table des matières 4-5 Présentation de SGS 6-7 Renforcez votre réputation 8-9 Programme d évaluation: «Hygiene
Plus en détailÉVALUATION DE L EXPOSITION DU CONSOMMATEUR AU PLOMB DANS L EAU DU ROBINET ET IDENTIFICATION DE MESURES CORRECTIVES
ÉVALUATION DE L EXPOSITION DU CONSOMMATEUR AU PLOMB DANS L EAU DU ROBINET ET IDENTIFICATION DE MESURES CORRECTIVES MICHÈLE PRÉVOST, ÉCOLE POLYTECHNIQUE DE MONTRÉAL Publié avril 2015 POURQUOI AVONS-NOUS
Plus en détailCanada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson
Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson RÈGLEMENT # 72-2013 Règlement concernant l utilisation des pesticides et des engrais sur le territoire de la Ville de Sainte- Marguerite-du-Lac-Masson.
Plus en détailRégion du lac de Gras
E. Davey and W. Puznicki le 3 août 1997 Division de la gestion des eaux Affaires indiennes et du Nord canadien, Yellowknife (T. N.-O.) Résumé Dans ce rapport, on présente les résultats d'une étude sur
Plus en détailinspection, nettoyage et désinfection
Réservoirs et canalisations d eau destinée à la consommation humaine : inspection, nettoyage et désinfection GUIDE TECHNIQUE Ce guide a été réalisé à l initiative du ministère chargé de la santé MINISTÈRE
Plus en détailAVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale. LIENS
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailSolutions pour le calibrage et l entretien Gamme complète d accessoires indispensables
Solutions laboratoires Solutions pour les laboratoires Tampons ph Étalons de conductivité Solutions de mesure redox et O 2 dissous Solutions de mesure ISE Solutions de maintenance Solutions pour le calibrage
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailChapitre Bâtiment du Code de sécurité (CBCS) Association Canadienne Alarme Incendie (ACAI) 14 novembre 2013
Chapitre Bâtiment du Code de sécurité (CBCS) Association Canadienne Alarme Incendie (ACAI) 14 novembre 2013 Plan de la présentation 1. Mandat de la Régie du bâtiment- secteur bâtiment 2. Législation antérieure
Plus en détailCONVENTION POUR LE RACCORDEMENT DES INDUSTRIELS DE SAINT-BRIEUC AU RESEAU D'ASSAINISSEMENT. Mesdames, Messieurs,
Ville de SAINT-BRIEUC ------------------------------- Conseil Municipal ---------------------- Séance du 8 décembre 2000 ----------------- Rapporteur : M. MANGOLD ----------------- N 10 CONVENTION POUR
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailBonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire
1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,
Plus en détailPREAMBULE. Le réseau d Alimentation en Eau Potable (A.E.P.) de la commune de SAINT- SAUVEUR est exploité en régie communale.
1 PREAMBULE Le réseau d Alimentation en Eau Potable (A.E.P.) de la commune de SAINT- SAUVEUR est exploité en régie communale. Les élus souhaitent disposer d'une analyse exacte de la situation actuelle,
Plus en détailProjet de règlement modifiant le Règlement sur la protection et la réhabilitation des terrains 28 novembre 2011
Direction de l analyse et des instruments économiques AVIS ÉCONOMIQUE Projet de règlement modifiant le Règlement sur la protection et la réhabilitation des terrains 28 novembre 2011 Règles sur l allégement
Plus en détailSûre fiable économique : La Distribution d eau dans votre commune INFORMATION
Schweizerischer Verein des Gas- und Wasserfaches Société Suisse de l Industrie du Gaz et des Eaux Società Svizzera dell Industria del Gas e delle Acque Swiss Gas and Water Industry Association SVGW SSIGE
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour
Plus en détailLes piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif
Déclaration d ouverture La déclaration d ouverture d une piscine (accompagnée d un dossier justificatif) est à adresser en 3 exemplaires à la mairie d implantation de l établissement et un exemplaire en
Plus en détailLa Télégestion au service de la performance des infrastructures d eau
La Télégestion au service de la performance des infrastructures d eau Carrefour des Gestions Locales de l Eau Nancy -19 Juin2012 Georges Saccani- Chargé de Clientèle georges.saccani@schneider-electric.com
Plus en détailDISTRIBUTION D EAU POTABLE
Département du LOT SYNDICAT D ADDUCTION D EAU POTABLE ET ASSAINISSEMENT DE SARRAZAC CRESSENSAC S/Préfecture de GOURDON Mairie de SARRAZAC 466OO DISTRIBUTION D EAU POTABLE RAPPORT ANNUEL PRIX QUALITE TRANSPARENCE
Plus en détailRÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE
RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous
Plus en détailBrest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012
Conclusions Projet Aquamanche Aquatic management of catchments for health and environment Gestion des eaux des bassin versants pour la santé et l environnement Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Les
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailCOMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE SANTÉ ET PROTECTION DES CONSOMMATEURS RAPPORT D UNE MISSION EFFECTUEE EN TUNISIE DU 4 AU 8 MARS 2002
COMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE SANTÉ ET PROTECTION DES CONSOMMATEURS Direction F - Office alimentaire et vétérinaire, Dublin Le Directeur DG (SANCO)/8622/2002- MR Final RAPPORT D UNE MISSION
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailATTENDU QU un montant de 43 543 $ est à pourvoir pour l année 2015, par l ensemble des contribuables de la Municipalité pour la solidarité sociale;
PROVINCE DE QUÉBEC MRC DE MEMPHRÉMAGOG MUNICIPALITÉ D EASTMAN RÈGLEMENT 2015-01 FIXANT, POUR L ANNÉE 2015, LES TAUX DE TAXES, DE TARIFICATION POUR LES SERVICES, LES MODALITÉS DE PAIEMENT DES TAXES ET DES
Plus en détailLe régime de l auto entrepreneur. Propositions des CCI de France
Le régime de l auto entrepreneur Propositions des CCI de France Décembre 2012 1 Les Chambres de Commerce et d Industrie soutiennent le régime de l auto entrepreneur, écoutent et accompagnent les auto entrepreneurs
Plus en détailLoi concernant l inspection environnementale des véhicules automobiles
DEUXIÈME SESSION TRENTE-NEUVIÈME LéGISLATURE Projet de loi n o 48 Loi concernant l inspection environnementale des véhicules automobiles Présentation Présenté par M. Pierre Arcand Ministre du Développement
Plus en détailGestion de l assainissement et qualité des eaux de baignade à Marseille
Gestion de l assainissement et qualité des eaux de baignade à Marseille Sewer network management and the quality of bathing water in Marseille Laplace D.* Garro Y.* Rovera A.* Jiannetti S. ** Guivarch
Plus en détailLe point en recherche
Le point en recherche Octobre 2005 Série technique 05-110 Télésurveillance et commande à distance des installations sur place de traitement et de recyclage des eaux usées, et de réutilisation de l eau
Plus en détailRECERTIFICATION OBLIGATOIRE
2011-2013 RECERTIFICATION OBLIGATOIRE APPLICATION DES PESTICIDES CATÉGORIES CD ET CD4 En horticulture ornementale Programme de préparation aux examens OBLIGATOIRES pour les membres de l ASGQ Selon information
Plus en détailSéparateurs d huile/eau
Les Systèmes Customeng, Conception, R&D et manufacturier d équipements spécialisés 10717 Rue Waverly, Montréal, Québec, H3L 2W7, T : 514331-5121, F : 514-331-5292 Séparateurs d huile/eau Préparé par: Gilles
Plus en détailSécurité limitée QUAND LES CLIENTS SONT PEU INFORMÉS ET LES SYSTÈMES MAL INSTALLÉS, PEUT-ON VRAIMENT PARLER DE SÉCURITÉ?
EN COUVERTURE Sécurité limitée QUAND LES CLIENTS SONT PEU INFORMÉS ET LES SYSTÈMES MAL INSTALLÉS, PEUT-ON VRAIMENT PARLER DE SÉCURITÉ? par Chantal Gagnon Photo: Getty Images Du mois d avril 2004 au mois
Plus en détailSystèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage
Systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage Les objectifs d'apprentissage: Cet exposé vous informera au sujet des systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage (SRCED) et: Comment
Plus en détailDECLARATION ATTESTANT L'ACHEVEMENT ET LA CONFORMITE DES TRAVAUX (DAACT) et RECOLEMENT
DECLARATION ATTESTANT L'ACHEVEMENT ET LA CONFORMITE DES TRAVAUX (DAACT) et RECOLEMENT GENERALITES La DAACT est obligatoire (R 462-1 du CU) pour : Les permis de construire Les permis d'aménager Les déclarations
Plus en détailDroits et obligations des travailleurs et des employeurs
Droits et obligations des travailleurs et des employeurs La Loi sur la santé et la sécurité du travail (LSST) vise à assurer des conditions de santé et de sécurité minimales dans les entreprises québécoises.
Plus en détailJournal of Applied Biosciences 75:6272 6281 ISSN 1997 5902
Journal of Applied Biosciences 75:6272 6281 ISSN 1997 5902 Impact de la demande en chlore et de la chloration sur la désinfection des eaux de puits des quartiers de Lomé : cas des quartiers de Démakpoé
Plus en détailPrésentation : A. A. TOSSA
LA BANQUE DE DONNEES INTEGREE (BDI) DE LA DIRECTION GENERALE DE L HYDRAULIQUE Un Outil pour la Gestion des ressources en eau Présentation : A. A. TOSSA 1- Le Service de la Banque de Données Intégrée (SBDI)
Plus en détailPROFIL DE COMPÉTENCES
Q UALIFICATION PROFESSIONNELLE DES ENTREPRENEURS DE CONSTRUCTION PROFIL DE COMPÉTENCES 13.2 - Entrepreneur en systèmes d alarme incendie DES MODIFICATIONS AU CONTENU PEUVENT ÊTRE APPORTÉES EN TOUT TEMPS
Plus en détailDU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ELECTRICITE, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION
RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ELECTRICITE, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION Mise en œuvre du dispositif CATEC : Certificat d aptitude à travailler
Plus en détailLa réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat
La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4
Plus en détailUne production économique! Echangeur d ions TKA
Une eau totalement déminéralisée Une production économique! Echangeur d ions TKA Eau déminéralisée pour autoclaves, laveurs, analyseurs automatiques, appareils d'eau ultra pure... SYSTÈMES DE PURIFICATION
Plus en détailGlossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance
Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Au sens des fiches de définition des indicateurs de performance : 1. Parties prenantes Autorité organisatrice
Plus en détailTAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes
TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailListe des recommandations
RECOMMANDATIONS À TOUS LES MINISTÈRES ET ORGANISMES L EXERCICE DES POUVOIRS DISCRÉTIONNAIRES DE L ADMINISTRATION: Que lorsque, dans l exercice de ses pouvoirs discrétionnaires, l Administration prend une
Plus en détailVision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire
Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailEAU TECHNOLOGIE SANS FILS CYCLE INTÉGRAL DE L EAU Optimisation des processus. et surveillance DÉBIT NIVEAU VOLUME PRESSION QUALITÉ DE L EAU www.balmart.es www.rfreenet.com SYSTÈME / RFREENET Solution de
Plus en détailRAPPORT ANNUEL 2013. sur le prix et la qualité du service public d eau potable COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DE LA RÉGION DE MOLSHEIM-MUTZIG
RAPPORT ANNUEL 201 sur le prix et la qualité du service public d eau potable COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DE LA RÉGION DE MOLSHEIM-MUTZIG Communauté de Communes de La Région de Molsheim-Mutzig Syndicat des Eaux
Plus en détaildes réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires w w w. s o g o b a. c o m
Equilibrage & Maintenance des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires G R K N E T E v o l u t i o n La solution
Plus en détailÉvaluation des terrains contaminés et des milieux humides par Me Luc Villiard
PRÉSENTÉ AU CONGRÈS DE L ASSOCIATION DES ÉVALUATEURS MUNICIPAUX DU QUÉBEC, LE 28 MAI 2011 Évaluation des terrains contaminés et des milieux humides par Me Luc Villiard Terrains contaminés 2 Terrains contaminés
Plus en détailChoisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos.
entreposage Choisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos. Un détecteur de gaz contribue à déterminer les mesures de prévention et l équipement de protection nécessaires dans le
Plus en détailPrésenté par Stéphane Hurens
Présenté par Stéphane Hurens Le 7 octobre 2013 annonce du gouvernement du Québec Politique économique Priorité emploi avec 2 milliards de dollars en fonds publics : 43 000 nouveaux emplois d ici 2017.
Plus en détailLa baignade en piscine est un plaisir
La baignade en piscine est un plaisir et doit le rester. C est également un facteur d attrait touristique dans notre région. Cependant une piscine mal gérée et mal entretenue peut être la source d inconfort
Plus en détailLe Plan Départemental de l Eau
de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailNOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C
REPUBLIQUE FRANCAISE MINISTERE DE L ECOLOGIE, DE L ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DIRECTION DE L'EAU Sous-Direction de l'action territoriale, De la directive cadre
Plus en détailDétermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon
Centre d'expertise en analyse environnementale du Québec MA. 200 Mét. 1.2 Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon 2014-05-09 (révision 5) Comment
Plus en détailLa mise en oeuvre de la réforme du droit des sols. Laurent LEBON DDE 59 SUCT/ADS 1
La mise en oeuvre de la réforme du droit des sols Laurent LEBON DDE 59 SUCT/ADS 1 Les textes de référence : ordonnance n 2005-1527 du 8 décembre 2005 relative au permis de construire et aux autorisations
Plus en détailRAPPORT ANNUEL 2013. sur le prix et la qualité du service public d eau potable SYNDICAT INTERCOMMUNAL D ADDUCTION D EAU DE STRASBOURG-NORD
RAPPORT ANNUEL 201 sur le prix et la qualité du service public d eau potable SYNDICAT INTERCOMMUNAL D ADDUCTION D EAU DE STRASBOURG-NORD Syndicat des Eaux de Strasbourg- Nord Syndicat des Eaux et de l
Plus en détailSECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR
SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises
Plus en détailEnjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise
Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Journées d échanges franco-suisses sur la gestion des sites et sols pollués 14 15 juin 2012 Hans-Jürg Reinhart Carine
Plus en détail