Quelles évolutions futures au niveau des conditions environnementales dans les régions herbagères?
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- Quentin Alexis Leroy
- il y a 7 ans
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1 Quelles évolutions futures au niveau des conditions environnementales dans les régions herbagères? Richard LAMBERT Directeur du Centre de Michamps Chargé de cours-ucl Introduction Fonction première de l agriculture = produire la nourriture Impacts sur l environnement Positifs : paysages, habitats, C Négatifs: nitrate, phyto, GES, NH3, 1
2 Regard en arrière 1957 : Traité de Rome : soutien des prix et mesures structurelles (FIA, remembrements ) pour produire plus 1992: Réforme Mac Sharry - Produisez moins, produisez mieux. Aides directes avec conditions (charge, jachère ) et Mesures Agri-environnementales Agenda 2000: Développement rural 2003: Mid Term Review : Découplage et conditionnalité 2005: Renforcement du Développement rural (MAE) 2008 : Bilan de santé : définition de nouvelles priorités 2009 : plan stratégique national révisé Constat : Importance croissante de la prise en compte de l environnement 4 nouvelles priorités définies par Bilan de santé Changements climatiques Bio-énergies Gestion de l eau Biodiversité A partir du 1 janvier 2010, les Etats Membres devront fournir un soutien à différents types d opération se rapportant à ces nouveaux défis dans le cadre leurs programmes de développement rural en adéquation avec leurs besoins spécifiques 2
3 Les outils Eco-Conditionnalité Principe : pour bénéficier d aides directes, l agriculteur doit respecter des exigences réglementaires en matière de gestion (ERMG) et de bonnes conditions agricoles et environnementales (BCAE) Obligatoire Développement rural Renforcement des mesures agrienvironnementales Incitatif Exigences réglementaires en matière de gestion (ERMG) Concernent l environnement, le bien-être animal, la santé (19 actes législatifs) Environnement : Natura 2000 Eaux souterraines (nitrates et pesticides) 3
4 Bonnes conditions agricoles et environnementales (BCAE) Exigences définies par Etats Membres, mais cadre commun Protection des sols contre érosion Maintien matière organique des sols Maintien structure des sols Entretien minimal et éviter destruction des habitats Obligation de maintenir les prairies permanentes Agriculture Environnement -Eau - Sol - Air -Biodiversité-Paysages -Modification PAC -Directives Priorités environnementales 4
5 Prairies et priorités environnementales 4 priorités du bilan de santé Changements climatiques Gestion de l eau Bio-énergies Biodiversité Changements climatiques, gestion de l eau, biodiversité Des effets de l agriculture liés aux cycles des éléments (C, N et P) climat Eau Biodiversité C CO2, CH4, Humus N N2O NO3 NH3 NH3 NO3 P P P 5
6 Exemple : le cycle de l azote Exemple : carbone 6
7 Gaz à effet de serre Emissions de GES Déchets et autres Agriculture 3% 9% Energie (centrales électriques) 8% Résidentiel et tertiaire 16% Industrie (combustion) 28% Transport 20% Industrie (procédés) 16% 7
8 Emissions de GES CO2 86% des émissions totales de GES Combustion d énergie fossile (chauffage, transport, industrie) CH4 24x pouvoir de réchauffement du CO2 5% des émissions totales dont 80% provient de l agriculture Ruminants, déchets, combustion N2O 290x pouvoir de réchauffement de CO2 8% des émissions totales dont 62 % provient de l agriculture (sols) Agriculture, industrie chimique, transport Evolution des émissions de GES ( ) Global Objectif kyoto (2005): 7.5% par rapport à 1990 Résultat en Wallonie : 15% (diminution générale sauf transport) Remplacement d énergies fossiles par gaz naturel et bois, fermeture d entreprises, amélioration de procédés, hivers doux En agriculture Pas de mesures spécifiques prises jusqu à présent, mais certaines mesures (permis d environnement, PGDA et MAE) ont des effets indirects sur réduction GES Diminution 12 % du CH4 et N2O Réduction du cheptel bovins (surtout VL) Réduction engrais et effluents 8
9 Quelle évolution pour demain? Objectifs de Copenhague? Limiter à 2 C l augmentation globale de T Période Réduction GES : EU 4%. DK 50% Quels moyens d actions en agriculture Réduire le CH4?Moins de viande = moins de bovins = moins de méthane? Autres voies Alimentation : réduire la part de fourrages et donc augmenter les cc? Biotechnologies (modifications de la flore du rumen) Vaccin anti-méthanogène, probiotique, élimination des protozoaires, acides organiques (malates dans luzerne), extraits de plantes, lipides Augmenter la productivité et l efficience alimentaire par la génétique la nutrition Sélection (différences de production de méthane de 40% au sein d un troupeau) Gestion des effluents (méthanisation, compostage) Ne pas perdre de vue les autres rôles de l agriculture et analyser le bilan global Quels autres issues proposer dans les régions herbagères? Moins d herbe et plus de cc, est-ce durable? (bilan C, bilan N, ) 9
10 Réduire le N2O Améliorer le bilan N des exploitations Maximiser l efficience d utilisation de N Diminuer l utilisation d engrais chimique mieux valoriser les engrais organiques légumineuses dans les prairies Stocker du C Transformer des terres de culture en prairies Mais plus d herbe = plus de CH4 Contenus approximatifs en carbone (tonnes par hectare) de divers types d'écosystèmes. Source : GIEC, 2001 Contenu en C de parcelles adjacentes maintenue pendant 20 ans en culture arable (A) et en prairie pâturée (B) (Garwood et al., 1977) 10
11 Maintenir les prairies permanentes Destruction de prairies Minéralisation Humus Production CO2, N2O et NO3 Gaz acidifiants 11
12 Oxydes d azote 46% des émissions en RW combustion Oxydes de soufre 25% des émissions Combustibles riches en S (charbon, pétrole) NH3 29% des émissions dont 93% provient de l agriculture Stockage et épandage des engrais de ferme et minéraux Problème majeur en RW Dommages aux sols et végétaux Dégradation des édifices Eutrophisation des eaux et zones naturelles Santé humaine Réduction de 35 % entre 1990 et 2005 mais ralentissement de la réduction de 10 % de NH3 car moins d engrais minéraux et production moindre d engrais de ferme La directive européenne 2001/81/CE (directive NEC - National Emission Ceilings) fixe des plafonds d émissions pour certains polluants atmosphériques (SO2, NOx, COV et NH3) que chaque Etat membre est tenu de respecter à l horizon L objectif ne sera vraisemblablement pas atteint 12
13 Quels moyens d action en agriculture? Gestion des engrais de ferme Diminution des rejets N (alimentation équilibrée) Reduire les pertes gazeuses (injection, pendillards, couverture des fosses et lagunes, raclage fréquent ) Historique Protection de l eau 1991 : Directive nitrates 2002 : mise en place du PGDA 2005: code de l eau 2007 : PGDA 2 suite à la condamnation par l Europe 13
14 PGDA en bref Conditions générales Quantité d N produite par catégorie animale et LS Conditions de stockage des engrais de ferme Conditions d épandage (quantité max, calendrier, cours d eau, pentes ) Conditions particulières aux zones vulnérables Quantité max et conditions d épandage plus strictes CIPAN : couverture 75% Conditions pour retournement de prairies Contrôle APL Evolution qualité de l eau 14
15 Evaluation après 4 ans Evolution du PGDA Prospositions de mesures complémentaires (site internet de la Directive cadre eau) Interdiction d'épandage de fertilisants organiques rapidement minéralisés après cultures laissant un reliquat d'azote élevé dans les sols (maïs, pomme de terre, lin, ). Imposition d'une culture de céréales après la culture de pommes de terre. Imposition pour chaque exploitation concernée et au moins une fois tous les 4 ans, d une analyse de tous les effluents d'élevage stockés au sein de l'exploitation et, si le fumier est compris dans ceux-ci, une pesée du dispositif d'épandage de fumier, à vide et en charge. Imposition de l analyse du profil azoté ainsi que des principaux paramètres du sol (ph, éléments majeurs, matière organique, ) au début de chaque année pour au moins 2 parcelles de chaque exploitation concernée. Instruments législatifs, réglementaires ou financiers Implanter une bande enherbée permanente à proximité des crêtes de berges le long des cours d eau et fossés Prévoir des paiements "Directive-cadre" (éventuellement sous la forme d'aides à l hectare) pour les agriculteurs dont les parcelles sont situées en zone de surveillance ou dans d autres zones où les eaux doivent être protégées (aides dégressives dans le temps visant à inciter les agriculteurs à appliquer progressivement des mesures au départ volontaires mais qui deviendront obligatoires ). Instaurer une méthode d évaluation chiffrée de la production d'azote par les vaches laitières, basée sur des normes sous-régionales I et laissant la possibilité d'une comptabilisation à l'échelle de l'exploitation agricole. m p l a n t e 15
16 Etudes, inventaires Amélioration de la connaissance du taux de saturation des sols agricoles en phosphore (sous toutes ses formes) Encourager un plan de gestion et registre des épandages d'engrais et d'amendements organiques et minéraux sur la base du logiciel mis à disposition ou de la fiche "fertilisation raisonnée" Améliorer l analyse des risques de non-atteinte du bon état des masses d eau souterraines et de surface, ainsi que l'évaluation de l efficacité des mesures contenues dans le PGDA-2 -renforcement du "Survey Surfaces agricoles" (fixation de l'apl de référence) ; -amélioration de la modélisation des pressions agricoles ; -meilleure connaissance du lien entre l APL mesuré et la quantité d azote réellement entraînée vers les eaux souterraines et de surface ; -étude des successions culturales à risque environnemental en vue de réglementer le recours à de telles successions ; -développement et suivi d'indicateurs performants de la contamination des eaux par l'azote et le phosphore, en complément des mesures d'apl ; -fixation de seuils acceptables d apports totaux d azote, de phosphore et d APL en relation avec les seuils critiques de concentration dans les masses d eau à risque (normes de qualité) Sensibilisation et bonnes pratiques Harmoniser les conseils de fertilisation émanant des 6 laboratoires provinciaux du réseau REQUASUD (sur la base d analyses de sols), en privilégiant les doses les plus basses. Via une structure d encadrement (NitraWal), -sensibiliser les agriculteurs aux méthodes de bonnes pratiques culturales ; -prévoir des entretiens individuels avec les agriculteurs; -sensibiliser les agriculteurs à l'intérêt du compostage du fumier et du lisier pour d'une part, favoriser la réduction des apports diffus d'azote et de phosphore et d'autre part, améliorer la structure et la fertilité des sols ; -sensibilisation à l'érosion ; -informer les agriculteurs des résultats des travaux cartographiques relatifs aux pentes et aux longueurs de pente de leurs parcelles afin de les aider à respecter les règles établies dans le cadre de la conditionnalité. 16
17 Révision de la norme de production N de la vache laitière Pourquoi? En RW, 1 VL = 90 kg N/an Valeur fortement critiquée par la CE lors des négociations avant PGDA2 Flandre:97 Danemark: 127 Allemagne:115 Pays-Bas: VL = 90 kg N Justification 1 VL en RW produit en moyenne 5750 l/an Neffluents = Nexcrété N pertes Nexcrété = Nration N production (lait et viande) Pertes = 30% de N excrété pendant période de stabulation et 0 % au pâturage 17
18 Mais Excrétion = fonction de la production Perte mesurée en stabulation = 15% (et pas 30 %) Quelle norme demain? Une norme unique, par région agricole ou par exploitation? Quelle norme? Perte 15 % au lieu de 30 % = norme de 94 kg Par région agricole ou par exploitation, en fct de la production moyenne et du taux d urée moyen 18
19 «Norme» production N de la vache laitière production laitière Taux d'urée (mg/kg) (kg/vache/an) < «Norme» production N de la vache laitière par région agricole Sablo- limoneus e Jurassique Ardenne Limoneuse Condroz Prod.lait (litre/an) Taux d urée (mg/l) Rejet (kgn/an) Herbagère fagne Sablo-limoneuse Jurassique Ardenne Limoneuse Condroz Famenne Haute Ardenne Herbagère liégeoise Famenne Haute Ardenne prod. Lait tx urée 19
20 Biodiversité Natura 2000 Directive 79/409 «Oiseaux» Directive 92/43 «Habitats» Zone de Protection Spéciale Zone Spéciale de Conservation Site d Importance Communautaire = Réseau Natura
21 Implications pour l agriculture Mesures à respecter Mesures générales d application dans chaque site Mesures spécifiques de protection détaillées dans les arrêtés de désignation Le réseau r Natura 2000 en Région R wallonne : ha (240 sites) 21
22 Croisement SAU Natura2000 SAU Ha Natura % dans Natura Prairies cultures Nombre d exploitations concernées % Nbre expl. Cumul Nbre expl. Superficie Superficie cumulée > 80 % à 80 % à 50 % à 30 % à 10 % < 2 %
23 Natura 2000 Seulement 3.7 % de la SAU, et surtout des prairies moins productives, donc pas une problématique majeure pour l agriculture Mais problématique majeure pour quelques exploitations très concernées, surtout en région herbagère Conclusion De nombreux défis environnementaux GES : objectifs fixés par Copenhague? Mais cette fois, l agriculture ne sera pobablement pas épargnée. Danger car élevage bovin montré du doigt et pas de solution miracle Gaz acides : des efforts à poursuivre Eau : pas encore d effets nets sur la qualité des eaux. PGDA3 (norme vache laitière et prise en compte du P?) Natura 2000: peu d impact sur l agriculture en général, mais quelques exploitations herbagères fortement concernées 23
24 Quelques pistes de solution Une agriculture plus liée au sol (plus autonome) Valorisation et utilisation maximale des fourrages produits dans l exploitation Favoriser l élevage bovin dans les régions herbagères Maintien des prairies permanentes Valorisation efficace des engrais de ferme Intérêt des légumineuses fourragères 24
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