Évaluation du métabolisme cérébral. DESC Réanimation médicale
|
|
- Pierre-Louis Desmarais
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Évaluation du métabolisme cérébral DESC Réanimation médicale
2 Introduction 2 % du poids corporel 15 % du débit cardiaque 20 % de l oxygène de l organisme et 25 % du glucose d un sujet au repos CMRO2 3 à 6 ml.100g-1.min-1 60 % fonction; 40 % intégrité cellulaire Le métabolisme d activation correspond à % de la consommation globale d énergie ; il assure la transmission synaptique et la génération des signaux électriques indispensables à la fonction neuronale. Triple caractéristique: Convertir, Consommer, Epargner l énergie. P. J. Magistretti, in Fundamental Neuroscience, L. Squire et al., Eds. (Elsevier, Amsterdam, ed. 3, 2008), p. 271
3 Couplage activité neuronalemétabolisme Pellerin L, Bouzier-Sore AK, Aubert A et al. (2007) Activity-dependent regulation of energy metabolism by astrocytes: an update. Glia 55:
4 À l état basal Le lactate systémique ne représente que 8 % de la dépense énergétique cérébrale % lors de l exercice. van Hall G, Stromstad M, Rasmussen P et al. (2009) Blood lactate is an important energy source for the human brain. J Cereb Blood Flow Metab 29: Le niveau métabolique nécessaire à l activation cérébrale obéit à un phénomène de tout ou rien stabilité de la consommation énergétique cérébrale absence de variation importante du métabolisme cérébral lors de diverses activités mentales
5 Utilisation du lactate Journal of Cerebral Blood Flow & Metabolism (2009) 29,
6 Le lactate: un neuroprotecteur?
7 Couplage oxygénation métabolisme J. Neurosci., September 21, (38):
8 Couplage débit métabolisme Extraction cérébrale en oxygène de l ordre de % uniforme et cte quelques soit DSC Nécessité une régulation très précise du DSC Lors de taches cognitives, les variations locales du DSC ne dépassent pas 5 % 22 ml/100 g/min=seuil ischémique 8 ml/100 g/min = seuil zone penombre AVC Traumatisé cranien: 15 ml.100 g-1.min-1, 36,7 mmol.100 g-1.min- 1, et de 25,9 %
9 Couplage débit-métabolisme -Haute activité synaptique: diffusion de glutamate sur la membrane astrocytaire -Activation des mglur: signal calcique qui s étend aux dendrites - Augmentation du Ca: libération d un vasodilatateur (PGI) nature neuroscience volume 6 no 1 january 2003
10 Autorégulation du débit sanguin cérébral Régulation neurogenique: la stimulation sympathique intense diminue le DSC ( choc hémorragique Vs HypoTA pharmacologique).
11 Débit cardiaque et circulation cérébrale C.M. Brown et al. / Journal of the Neurological Sciences 208 (2003) 71 78
12 C.M. Brown et al. / Journal of the Neurological Sciences 208 (2003) 71 78
13 Au cours de l agression cérébrale Up-regulation des récepteurs (GLUT-1 dans l astrocyte et GLUT-3 dans les neurones) Entrée plus importante du glucose Hyperglycolyse focale ou globale est retrouvée dans plus de la moitié des cas au cours de la première semaine post-traumatique chez le traumatisé crânien ou en post AVC Bergsneider M. J Neurosurg 86: Altération du fonctionnement mitochondrial qui ne permettrait pas une utilisation de l oxygène, même en quantité suffisante (TC, AVCH) Signoretti S. J Neurosurg 108: Il existe à la fois des régions cérébrales ou des périodes post-agression pouvant se trouver dans un état d hyper- ou d hypométabolisme, ce qui complique l interprétation fournie par le monitorage clinique
14 Chez le traumatisé crânien Le DSC évolue dans plusieurs sens: Phase oligémique: 6 premières heures post-traumatiques, le DSC est bas avec un risque élevé d ischémie cérébrale 24 à 72 premières heures, une phase hyperhémique, marquée par une augmentation du DSC et une diminution de la différence artério-veineuse cérébrale en oxygène le DSC diminue à nouveau en raison de l apparition d un vasospasme, qui n est hémodynamiquement significatif que dans 45 % des cas Martin NA, Patwardhan RV, Alexander MJ et al. (1997) Characterization of cerebral hemodynamic phases following severe head trauma: hypoperfusion, hyperemia, and vasospasm. J Neurosurg 87: 9-19
15 Journal of Cerebral Blood Flow & Metabolism (2009) 29
16 Monitorer? Le monitorage de l hémodynamique cérébral, couplé au monitorage systémique, s efforce d éviter les agressions cérébrales secondaires. Dépister les situations à risque de bas debit cérébral et donc détecter l ischémie Évaluer le retentissement sur le métabolisme cérébral Prendre les mesures thérapeutiques appropriées pour éviter les lésions ischémiques secondaires Évaluer et obtenir une adéquation du débit sanguin cérébral et de la consommation en oxygène
17 L évaluation du métabolisme cérébral prend en considération l apport des substrats Energétiques disponibles et leur utilisation. Dans cette perspective, les principales techniques accessibles: Monitorage du sang veineux dans le golf de la veine jugulaire interne, Microdialyse cérébrale, Oxymétrie cérébrale par spectroscopie proche infrarouge, Oxymétrie cérébrale invasive par microélectrodes tissulaires, Tomographie à émission de positons, Imagerie par résonance magnétique fonctionnelle.
18 MONITORAGE DU SANG VEINEUX JUGULAIRE SvjO2(saturation veineuse jugulaire en oxygène) Reflet global de l oxygénation cérébrale, Elle peut traduire: 1. Des modifications du débit sanguin, 2. Du contenu artériel en Ou du métabolisme cérébral. La survenue d épisodes de désaturation du sang veineux jugulaire a été corrélé avec une évolution défavorable après un traumatisme crânien Acta Neurochirurgica 1995, Volume 134, Issue 1-2, pp 71-75
19 Paramètres dérivés La différence arterio-jugulaire (DAj) du contenu en O2, couplée à la mesure du débit sanguin cérébral, permet de calculer la consommation cérébrale en O2 (CMRO2): CMRO2, inferieure a 0,8 ml/100g/min évolution défavorable chez les traumatisés crâniens sévères. Acta Neurochir (Wien) 1997 ; 139 : L extraction d oxygène (DAjSO,) permet de déterminer des situations de couplage débit sanguin-métabolisme, d hypoperfusion ou d hyperhémie, et de guider le traitement de l hypertension intracrânienne. Crit Care Med 1998 ; 26 : 344-S I.
20 Indications: Le monitorage de la SjO2, peut être utilisé chez les patients a risque d ischémie cérébrale: En traumatologie crânienne (TC grave) Dans certaines affections neurochirurgicales Au cours de la chirurgie cardiaque sous circulation extracorporelle. objectif: détecter une ischémie cérébrale GLOBALE accessible à une adaptation thérapeutique simple Limites: Paramètre peu sensible pour la détection d une ischémie régionale Erreurs d interprétation liées à des artefacts techniques.
21 causes extra-cardiaques causes cérébrales SvjO2 < 50-55% CMRO > apport anémie hypoxie SaO2 hypoperfusion cérébrale relative =DSC insuffisant -hypoco2 -HTIC -Vasospasme -Hypermétabolisme -Fièvre -Commitialité SvjO2 > 75 % CRMO < apport - Hyperhémie - infarctus cérébral - Contamination - mort encéphalique PEC OSMOTHERAPIE HVENTILLATION / BARBITURIQUES
22 SPECTROSCOPIE PROCHE INFRAROUGE Fondée sur la différence d absorption de l oxyhemoglobine et de l'hémoglobine totale L appareil comporte une sonde émettrice et deux sondes détectrices placées à distance l une de l autre, pour éliminer une contamination extra crânienne Certains appareils mesurent l état d oxydoréduction du cytochrome aa3 dont l augmentation permet d identifier précocement une déplétion énergétique cérébrale
23 Indications: Le traumatisme crânien, l implantation de défibrillateurs cardiaques, la chirurgie carotidienne, La chirurgie cardiaque sous circulation extracorporelle Limites : Le seuil d ischémie n est pas clairement défini Il n existe pas de technique standard de comparaison.
24 Oxymétrie Cérébrale Invasive L intérêt de cette technique résulte de la difficulté de détecter une ischémie régionale par SjO2, et des problèmes non encore résolus que pose la spectroscopie infrarouge. La PO2 tissulaire traduit la balance entre l apport et la demande en O2 Une réduction de la PO2 tissulaire résulte d une diminution de l apport en O2 ou d une augmentation du métabolisme Le seuil d hypoxie cérébral se situe en dessous de mmhg Technique plus fiable que la mesure de la SjO2 pour un monitorage prolongé de l oxygénation cérébrale Mais il existe une hypothèse de dysfonction mitochondriale
25 Crit Care Med 2009 Vol. 37, No. 6
26 Limites
27 Microdialyse cérébrale Mise au point initiale chez l animal dans les années 1960 La microdialyse permet la mesure de concentrations dans le milieu extracellulaire sans recours à une extraction tissulaire Membrane semi-perméable à l eau et aux petites molécules La membrane est perfusée en permanence avec une solution équilibré ( LCR artificiel) La direction des mouvements de diffusion dépend quasi exclusivement du gradient de concentration de part et d autre de la membrane
28
29 Intérêt de la microdialyse dans le monitorage cérébral Infarctus sylvien malin: Libération massive de glutamate Élévation du rapport lactate/pyruvate pourraient être mesurées dans la période d ischémie réversible précédant l infarctus, permettant alors l institution d un traitement. Hémorragie sous-arachnoïdienne: Augmentation taux d aspartate et de glutamate l élévation du rapport lactate/pyruvate au-delà de 25 suivi d un pic de glutamate (marqueur spécifique d ischémie) Traumatisme crânien grave: Il s agit à ce jour de la seule indication dans laquelle la microdialyse est approuvée par la FDA aux États-Unis et a le marquage CE en Europe la persistance d un glucose bas associé à une élévation du lactate et du rapport lactate/pyruvate est prédictive d une mauvaise évolution le glutamate est souvent élevé en phase aiguë avec une décroissance dans les premiers jours la persistance à des valeurs élevées ou la ré ascension des taux est péjorative
30 Intérêt de la microdialyse comme évaluation de l efficacité thérapeutique Évaluation des effets de l hyperoxie: Chez 25 à 30 % des traumatisés crâniens graves, PtiO2, corrélé à une baisse de débit sanguin cérébral régional. L hyperoxie pourrait être une voie thérapeutique. FiO2 1 la PtiO2 était multipliée par trois, du lactate de 40 % Évaluation des effets de l hypocapnie: L hyperventilation augmenterait de plus de 10 % les taux des marqueurs de l ischémie tissulaire (lactate, lactate/pyruvate) ainsi que le taux de glutamate
31 Évaluation des effets de l hypothermie: Diminution du taux des acides aminés excitateurs (glutamate et aspartate) ainsi qu une augmentation de la PPC et de la SjO2 lors des épisodes d hypothermie Série de 12 patients présentant un accident vasculaire cérébral ischémique malin par thrombose de l artère sylvienne: Tissu sain, taux significativement inférieur en période d hypothermie. Dans la zone de pénombre, les taux de glutamate sont trois à quatre fois plus importants qu en zone saine et diminuent jusqu à atteindre les taux de bases durant la phase d hypothermie. Au sein du tissu ischémique, les taux de glutamate atteignent des niveaux très élevés même pendant l hypothermie
32 J Neurotrauma 21: The percentage of time of elevated lactate/pyruvate ratio correlated with the extent of frontal lobe brain atrophy (r = -.56, p < 0.01), but not global brain atrophy (r = -.31, p = 0.20). The predictive effect of lactate/pyruvate ratio was independent of patient age, Glasgow Coma Scale score, and volume of frontal lobe contusion Crit Care Med Oct;36(10):2952-3
33 Tomographie par émission de positons Un positon entre en collision avec un électron chargé négativement, ce qui résulte dans la libération de deux rayonnements gamma qui s écartent à 180 l un de l autre. La TEP utilise des traceurs radioactifs, principalement du (F18)-fluorodésoxyglucose (FDG, demi-vie 110 min) ou de l O2 ou du CO2 marqué à l oxygène 15 (demi-vie 2 min). Cette technique permet une évaluation directe du métabolisme et du débit sanguin cérébral régional a partir de l administration de traceurs radioactifs: Métabolisme de l oxygène Métabolisme du glucose Étude des récepteurs Cartographies fonctionnelles image métabolique quantitative à un instant donné
34 Les inconvénients de cette technique: 1. un cout élevé, 2. une résolution spatiale assez faible, 3. l exposition à des radiations ionisantes, 4. la difficulté de répéter les examens pour comparer deux états
35 Tomographie d émission monophotonique (SPECT) Les isotopes utilisés dans cette technique ( que le technétium99, le xénon 133, l iode 123) ont une demi-vie plus longue, évitant d avoir à les produire sur place, n émettent qu un seul rayonnement gamma, Résolution spatiale plus faible La tomographie d émission monophotonique renseigne seulement sur le DSC Étude de la réserve vasculaire, avant et 25 min après injection 1 g diamox
36
37 Imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) Mesure les différences d oxygénation locale par le biais de l effet BOLD (blood oxygenation level dependent) L Effet BOLD est basé sur l'utilisation de deux principes : La désoxyhémoglobine est paramagnétique L'activité cérébrale entraîne des modifications hémodynamiques Les limites de cet examen: Durée La difficulté de définir un état de repos, La difficulté d interprétation en fonction du stimulus appliqué Indications: Bilan pré op d une exérèse chirurgicale des tumeurs cérébrales en région fonctionnelle dans le cadre de la neurochirurgie éveillée. Surtout domaine de la recherche clinique
38 homme âgé de 29 ans victime d'un grave accident de la route. Il est sorti rapidement de son coma et considéré «végétatif»
39 Conclusion Il n existe pas de technique idéale d évaluation du métabolisme cérébral. Le choix d une technique dépend a la fois des questions posées et du contexte clinique. L évaluation multimodale du métabolisme cérébral permet une meilleure compréhension de la physiopathologie et une thérapeutique appropriée En pratique clinique: 1. La saturation veineuse jugulaire, et l Oxymétrie Cérébrale Invasive les 2 techniques les plus accessible. 2. La microdialyse permet un véritable monitorage biochimique du métabolisme cérébral de la zone d insertion du cathéter mais la lourdeur et le cout de la méthode limite son utilisation. 3. L Imagerie du métabolisme cérébral; ces explorations sont encore, en majeure partie, du domaine de la recherche clinique
Les mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES TRAUMATISÉS CRÂNIENS GRAVES À LA PHASE PRÉCOCE. Service Recommandations et Références Professionnelles
PRISE EN CHARGE DES TRAUMATISÉS CRÂNIENS GRAVES À LA PHASE PRÉCOCE Service Recommandations et Références Professionnelles Recommandations pour la pratique clinique PRISE EN CHARGE DES TRAUMATISES CRANIENS
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailRéférentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :
Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : ANESTHESIOLOGIE - REANIMATION CHIRURGICALE ADA - Acte d'anesthésie AFLB010 4 (7, F, S, U) 0 Anesthésie rachidienne au cours d'un
Plus en détailMonitorage de la température. Dr Th. DEPRET Clinique d Anesthésie réanimation Hôpital Jeanne de Flandre
Monitorage de la température Dr Th. DEPRET Clinique d Anesthésie réanimation Hôpital Jeanne de Flandre Galilée, 1597 - Thermoscope. Santorio de padoue, 1612 - Thermomètre. Fahrenheit, 1717 Premier thermomètre
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailRééducation des accidents vasculaires cérébraux
Module «Système nerveux central et MPR» Septembre 2008 Rééducation des accidents vasculaires cérébraux G. Rode, S. Jacquin-Courtois, A. Yelnik Ce document est le support des cours «AVC» faits lors de la
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailHospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Plus en détailglycémique en réanimation
Les techniques de surveillance glycémique en réanimation M. Kopff-Uberall, M. Hasselmann Service de Réanimation Médicale, Hôpitaux Universitaires Université Louis Pasteur - Strasbourg Les Hôpitaux Universitaires
Plus en détailLe patient ouvre les yeux et regarde dans. Les yeux ouverts, mais l esprit absent. Médecine
NEUROBIOLOGIE «Il faut parler à une personne dans le coma» entend-on souvent dans les films.tout dépend de ce qu on appelle coma. Entre l état végétatif, où le patient peut encore remuer, sourire ou sursauter
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailNAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.
NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailMonitoring non invasif dans l état de choc
Monitoring non invasif dans l état de choc Congrès AER - Lyon 2013 Pr Carole SCHWEBEL Réanimation Médicale - CHU Grenoble Inserm 1039 Radiopharmaceutiques Biocliniques mon intervention ne présente aucun
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailObjectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS
Objectifs et Modalités Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs du projet Identifier les facteurs pronostiques de handicap et/ou de mauvaise réinsertion des victimes d accidents de la circulation Sous-
Plus en détailAPERÇU TECHNIQUE DE L ageloc Vitality APERÇU DU PRODUIT
APERÇU TECHNIQUE DE L ageloc Vitality APERÇU DU PRODUIT Qu est-ce que l ageloc Vitality? L ageloc Vitality est un complément alimentaire dont la formule cible les sources de la vitalité. En stimulant le
Plus en détailUn guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE
Un guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE Table des matières Introduction...2 Qu est-ce que la conscience?...3 Comment la conscience
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailAspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat
Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailMonitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD
Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD Emergency and Pre-Hospital divisions SAMU 74 INSERM UMR 955 Eq13 REVA: European Network on Mechanical Ventilation CONFLICTS OF
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailda Vinci Pontage gastrique
da Vinci Pontage gastrique Une nouvelle approche de la chirurgie bariatrique Êtes-vous intéressé par la dernière option de traitement de l'obésité? Votre docteur peut vous proposer une nouvelle procédure
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailLes maladies vasculaires cérébrales
Les maladies vasculaires cérébrales Zlokovic et Apuzzo. Neurosurgery 1998; 43(4): 877-78 cité sur http://www.ohsu.edu/bbb/forprof_program.html Centre Mont-Royal, 5 juin 2014 Dr Yan Deschaintre Présentateur
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailMarche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica)
December 1, 2010 Klick Inc. Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) Les utilisateurs de l application Guide santé CV MC qui souhaitent
Plus en détailChambres à cathéter implantables
Chambres à cathéter implantables Pas de conflits d intérêt avec le sujet traité APHAL Formation PPH Jeudi 19 mars 2015 Sébastien GEORGET Pharmacie Centre Psychothérapique de Nancy Définition (1) Définition
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailBienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques
SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p
Plus en détail1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin
La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin Pour mieux connaître l état de votre cœur, votre médecin vous a demandé de passer une scintigraphie myocardique au Persantin. Cette fiche explique
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailHypertension intracrânienne
ENCYCLOPÉDIE MÉDICO-CHIRURGICALE 17-035-N-10 B Irthum JJ Lemaire Hypertension intracrânienne 17-035-N-10 Résumé. L hypertension intracrânienne (HIC) est définie par l existence d une pression intracrânienne
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailNouvelles problématiques liées à l hypothermie thérapeutique après arrêt cardiaque
Réanimation (2009) 18, 223 238 MISE AU POINT Nouvelles problématiques liées à l hypothermie thérapeutique après arrêt cardiaque Rising questions related to therapeutic hypothermia after cardiac arrest
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie MC Votre assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailINTERET DE LA SEQUENCE 3D ASL (ARTERIAL SPIN LABELING) CHEZ L ENFANT PRESENTANT UN DEFICIT NEUROLOGIQUE AIGU
Société de Médecine de Franche-Comté INTERET DE LA SEQUENCE 3D ASL (ARTERIAL SPIN LABELING) CHEZ L ENFANT PRESENTANT UN DEFICIT NEUROLOGIQUE AIGU SOCIETE DE MEDECINE DE FRANCHE-COMTE SEANCE D IMAGERIE
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailInformations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )
Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailMonitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille
Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive C Decoene PH CHRU Lille objectif Le taux d hémoglobine intervient dans : Le transport d O2 L hémostase L équilibre
Plus en détailProgramme de rétention et d excellence (Re-Excel) en soins critiques
Programme de rétention et d excellence (Re-Excel) en soins critiques Présentation de Mylène Arsenault, inf., soins intensifs, CSI(c), CSI(c)Nadine Montreuil, inf., soins intensifs 28 Septembre 2012 Agenda
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détail