TRAFIC MEMBRANAIRE (SUITE)
|
|
- Didier Alarie
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 TRAFIC MEMBRANAIRE (SUITE) 2) Au-delà de l appareil de Golgi a) Tri moléculaire dans le réseau trans-golgien A la sortie de l appareil de Golgi, les molécules peuvent prendre différentes voies. Le réseau trans golgien a une fonction de tri des molécules (Cf. intro du cours) : La voie constitutive (vers la membrane plasmique), la voie régulée via les grains de sécrétions et une voie vers les endosomes et les lysosomes. Dans les cellules polarisées, il existe un dédoublement de certaines voies. b) Les grains de sécrétion Les grains de sécrétion sont reliés à l exocytose régulée. Ils bourgeonnent à partir du trans golgi grâce à la clathrine. Après bourgeonnement, on peut observer une maturation du grain de sécrétion : -la condensation Le contenu des grains de sécrétion peut être condensé jusqu à 200 fois. On obtient une structure cristalline tellement condensée qu elle est visible en ME (dense aux électrons). - la maturation protéolytique parfois (les protéines sont coupées en certains endroits). La maturation d une même chaîne peptidique peut être différente d un type cellulaire à l autre. Ex : la pro-opiocortine, précurseur de plusieurs médiateurs, est synthétisée au niveau de l hypophyse puis est découpée en : - ACTH (corticotropine) et β-lipotropine dans le lobe antérieur de l hypophyse, - α-msh, β-msh, β-endorphine et γ-lipotropine dans le lobe intermédiaire. Puis si ces grains de sécrétions reçoivent un signal (électrique, métabolique ou liaison du médiateur à son récepteur), ils fusionnent à la membrane plasmique. Ce signal est souvent un flux calcique = augmentation [Ca2+] cytosolique. Cette augmentation a une origine variée : stimulation électrique, liaison d un médiateur, etc La sécrétion régulée concerne les protéines solubles et les constituants membranaires : des constituants membranaires néo-synthétisés et des constituants membranaires internalisés à partir de la membrane (système de mise en réserve des récepteurs). On a alors des cycles endocytose/exocytose. L exocytose régulée fait intervenir les microfilaments d actine via la myosine I. c) La sécrétion constitutive C est la voie «normale» par défaut des protéines et des lipides. Elle ne nécessite pas de signal et se déroule perpétuellement. Des vésicules bourgeonnent à partir du réseau trans golgien (on ne sait comment) puis fusionnent avec la membrane plasmique. La sécrétion constitutive ou exocytose se fait pour les composés solubles. Dans les cellules épithéliales (qui sont polarisées), cette voie est dédoublée. d) Le récepteur au mannose-6-phosphate Le récepteur au m6p est lié à la voie qui se dirige vers les lysosomes.
2 UDP-GlcNac est ajouté dans l'appareil cis Golgi sur le mannose en 6. Cette modification ne s'effectue que sur certaines protéines. Puis il y a clivage entre les deux phosphates (en clair on obtient une protéine avec un Man qui porte un phosphate en position 6) L enzyme qui modifie le mannose, reconnaît la protéine dans sa globalité. Elle doit donc être correctement repliée pour qu il y ait modification. A partir du réseau trans golgien, il y a bourgeonnement de vésicules de clathrine qui portent des récepteurs au m6p (qui reconnaissent donc les protéines présentant le m6p). Les protéines qui vont être incorporées aux vésicules sont en fait des protéines lysosomiales. Les vésicules porteuses de protéines avec un mannose-6-phosphate (et les récepteurs associés) vont aller vers l'endosome tardif. L endosome tardif est un compartiment où se trouve une pompe à protons H + permettant d obtenir un ph=5. A ph 5, le récepteur au m6p n a plus d affinité avec le m6p ainsi il y a dissociation entre la protéine portant le m6p et le récepteur dans l endosome tardif. La protéine transportée reste dans l endosome mais perd son groupement phosphate : même si le ph change, la protéine ne sera plus reconnue par le récepteur au m6p. Le récepteur est recyclé dans une vésicule : il retourne au réseau trans golgien pour capturer de nouvelles protéines avec un résidu m6p. Ainsi, les vésicules ne contiendront que les protéines transportées : des hydrolases lysosomiales. e) Tri dans les cellules polarisées Il s'agit de cellules avec une membrane plasmique, séparée en 2 domaines par une jonction serrée. Elle empêche le mélange des protéines et des lipides entre les domaines baso-latéral qui fait face au milieu intérieur et le domaine apical qui fait face à la lumière de l organe. Virus de la grippe : se forme uniquement sur le domaine apical. Virus de la stomatite vésiculaire (virus vétérinaire) : se forme sur le domaine baso latéral mais il n y a pas de production virale au niveau du domaine apical. Il existe deux voies directes : Du réseau trans golgien au domaine apical Différents types de signaux permettent de récupérer les protéines : les ancres glypiées, les carbohydrates N-liés et O-liés (oligosaccharides), et des signaux peptidiques (dans le domaine cytoplasmique (réagit avec le CSQ), exoplasmique ou transmembranaire). Les vésicules se forment grâce à la cavéoline. Du réseau trans golgien au domaine baso latéral Les protéines présentes des signaux pour aller vers ce domaine. Ce sont de petits signaux peptidiques proches des signaux permettant l endocytose. Ils sont présents sur la partie cytoplasmique des protéines transmembranaire destinée à être incorporée dans les vésicules. Le manteau permettant la formation des vésicules n est pas identifié. Il existe une voie indirecte : des protéines, destinées au domaine apical, vont d'abord sur le domaine baso-latéral, y sont internalisées dans des vésicules puis sont transportées vers le domaine apical. Les grains de sécrétion fusionnent directement avec le domaine de destination finale : une fois fusionné, il n y a pas de récupération du contenu possible.
3 f) Le transport axonal Le neurone est une cellule polarisée très différente de la cellule épithéliale. La membrane du corps cellulaire et des dendrite présente beaucoup d homologies avec le domaine baso-latéral. La membrane de l axone est équivalente au domaine apical. Les axones peuvent être très long (>1m), la diffusion simple prendrait donc beaucoup de temps. Il existe un mode de transport actif qui se fait le long du cytosquelette de l axone : le transport axonal. Le transport de matériel du corps cellulaire vers la synapse est assuré par des vésicules le long des microtubules grâce à des kinésines (moteur protéique). C est le transport antérograde rapide : 3-4,5 µ/s = cm/jour. Il assure le transport de vésicules, de REL et de petits granules. Les vésicules finissent leur trajet sur des microfilaments d actine puis fusionnent avec la membrane synaptique. Le transport inverse est appelé rétrograde rapide, il est deux fois plus lent : 1,5-2,5 µ/s = 10-20cm/jour. Il se fait toujours sur les microtubules mais grâce à la dynéine et permet le transport de matériel pré lysosomial et de substances prêtes à être dégradées. Il existe une 3 e catégorie de transport : le transport axonal lent d éléments du cytosquelette mais il est mal connu. 3) L exocytose régulée a) Mise en réserve au niveau des neurones Elle concerne des constituants membranaires internalisés pour mise en réserve (récepteur, transporteur). Il existe un cas particulier d exocytose régulée : les vésicules synaptiques au niveau des synapses. Les protéines sont synthétisées au niveau du REG (dans le corps cellulaire) puis transportées à la synapse. Ces protéines membranaires sont surtout des pompes à neurotransmetteurs qui peuvent être endocytées et mises en réserve dans des vésicules. Une fois la vésicule pleine de neurotransmetteurs, elle sera utilisée en fusionnant avec la membrane synaptique grâce à un signal électrique. Le neurotransmetteur est alors libéré dans la fente synaptique. Les protéines vont à nouveau être endocytées pour former de nouvelles vésicules (recyclage). Il s agit d un recyclage efficace d éléments coûteux lors de leur synthèse et de leur transport. III. ENDOCYTOSE Membrane petites vésicules structures intermédiaires endosomes lysosomes 1) La pinocytose Parfois on parle d endocytose au lieu de dire pinocytose. La pinocytose est accomplie par tous les types cellulaires. C est l endocytose de petites vésicules qui contiennent du liquide, il s agit donc d une internalisation de liquide qu on appelle aussi «endocytose en phase fluide». Les vésicules sont recouvertes de clathrines dans la majorité des cas, mais il peut aussi s agir de cavéoles ou d autres mécanismes.
4 Une vésicule se forme depuis la membrane plasmique et s'en détache. Rapidement, elle fusionne avec un endosome précoce. L'endosome précoce présente une pompe à protons H+ donc le ph de cet endosome est abaissé à 5. A ph 5, il y a en général dissociation entre le récepteur et son ligand. Le ligand, libre dans la lumière de l'endosome, va être transporté vers l endosome tardif puis au lysosome où il sera dégradé. Le récepteur va être recyclé dans la membrane plasmique par le biais de vésicules La pinocytose est différente de «l endocytose par l intermédiaire de récepteurs» 2) Les endosomes précoces Des vésicules amènent les protéines aux endosomes précoces dans lesquels on a recyclage des récepteurs vers la membrane plasmique alors que les ligands dissociés continuent leur chemin vers les endosomes tardifs 1) Les récepteurs β-adrénergiques Ce sont des récepteurs à 7 domaines TM couplés à une protéine G hétérotrimérique. Le ligand, l adrénaline, se fixe sur le récepteur. Le récepteur ainsi activé, transmet le signal puis relargue le ligand. Il est phosphorylé puis mis en réserve dans des vésicules : ceci diminue le nombre de récepteurs β- adrénergique. La cellule est alors moins sensible à l adrénaline => C est la désensibilisation (adaptation négative). Grâce à l exocytose régulée, les récepteurs sont «remis» sur la membrane. 2) Le récepteur à l EGF Il est retrouvé sur la membrane. Lorsqu il se lie à l EGF, il est reconnu par des adaptines pour se rendre vers des puits de clathrines et être internalisé. 50% des récepteurs se séparent de l EGF dans l endosome précoce. 50% des récepteurs restent dans le lysosome et seront donc détruits en même temps que l EGF. Pour répondre à une nouvelle stimulation à l EGF, de nouveaux récepteurs sont synthétisés dans le RE puis transportés à la membrane. C est un système important : l EGF est un facteur de croissance, ces récepteurs sont donc impliqués dans les signaux de prolifération : si trop de signal => cancérisation 3) Le récepteur aux LDL (= lipoprotéine de faible densité) Il est tout le temps présent au niveau des puits recouverts de clathrines. Les LDL transportent le cholestérol dans le sang. Au cœur des LDL, on trouve des esters de cholestérol dont le groupement OH (partie hydrophile) est utilisé => molécule très hydrophobe. Autour de ce cœur : monocouche de phospholipides et de cholestérol. La particule devient soluble et transportable dans le sang. De plus une protéine organise la molécule et est reconnue par le récepteur au LDL. Après internalisation, récepteurs+ligands sont transférés vers l endosome où il y aura dissociation : le LDL continue dans le lysosome où il sera dégradé.
5 Les esters de cholestérol sont hydrolysés en cholestérol ( synthèse de membranes), et en acide gras ( synthèse de lipides). La présence de cholestérol contrôle la synthèse endogène de cholestérol et la synthèse des récepteurs au LDL. Il existe une maladie autosomique dominante rare, l'hypercholestérolémie familiale (taux de cholestérol x6 à x10). Les LDL ne sont pas capturées, restent dans le sang et s'accumulent sur la paroi des vaisseaux. On parle d athérosclérose : elle entraîne un infarctus du myocarde avant 20ans (dès 2ans). 3 raisons différentes de cette maladie : - Pas de récepteur au LDL. Forme la plus radicale. - Récepteurs présents mais ne reconnaissent pas les LDL. - Il y a les récepteurs et les LDL, mais il n y a pas internalisation car ils ne sont pas reconnus par les adaptines. Cela a permis de reconnaître la séquence particulière reconnue par les adaptines (Asp-Pro-X-Tyr) 4) Le récepteur à la transferrine Transferrine : protéine qui transporte le fer dans le sang Ferrotransferrine : transferrine associée à 3 ions Fe3+. A ph 7, la ferrotransferrine est reconnue par le récepteur à la transferrine. Le récepteur (lié à son ligand) est endocyté (puits de clathrines) puis est envoyé à l endosome précoce. Au niveau de l endosome, règne un ph faible grâce aux pompes à protons : il y a dissociation entre les ions fer et la transferrine, on obtient alors de l apotransferrine (=transferrine sans fer) qui reste associée au récepteur. Les ions Fe3+ passent dans le cytoplasme pour être utilisés par la cellule Le récepteur lié à l apotransferrine est renvoyé à la membrane où le ph=7 : à ph 7 l apotransferrine n est plus reconnu par le récepteur à la transferrine, elle se détache. L apotransferrine retourne capter des ions fer (recharge en fer au niveau du foie), le récepteur est prêt pour un 2 cycle.
6 3) Les endosomes tardifs Pour ce qui est du passage endosome précoce/ endosome tardif (on ne sait pas trop) : -soit l endosome précoce recycle les récepteurs vers la membrane plasmique, se déplace vers l intérieur de la cellule et il y a maturation en un endosome tardif -soit ce sont des compartiments stables : l endosome précoce est toujours précoce, l endosome tardif est toujours tardif et des vésicules circulent entre les deux. Les endosomes tardifs reçoivent des vésicules en provenance du Golgi et le récepteur au man6p. Une fois qu il n y a plus de récepteur au man6p, l endosome tardif devient lysosome 4) Les lysosomes Organite membranaire qui présente une pompe à protons. C est l organiste de destruction. Le ph 5 est proche du ph optimum des hydrolases contenues dans le lysosome ; ce sont des protéases, nucléases, lipase, glucosidase, sulfatase On trouve donc dans ces lysosomes du matériel capable de détruire toute la cellule 1) Fonctionnement normal Organite membranaire qui présente une pompe à protons. C est l organiste de destruction de la cellule contenant les enzymes lysosomiales. Le ph 5 est proche du ph optimum des hydrolases contenues dans le lysosome ; ce sont des protéases, nucléases, lipase, glucosidase, Les hydrolases peuvent donc dégradées toutes les structures biologiques en aa, sucres et AG pour être réutiliser. A ph 7, ces enzymes sont inactives = sécurité en cas de rupture du lysosome. De plus, la membrane du lysosome est particulière puisque insensible à l action de ces enzymes. 2) Les maladies de surcharge Dans les maladies de surcharge, il y a accumulation de substances dans le lysosome : les produits s accumulent, le lysosome se distend puis explose, la cellule souffre Il existe 2 types de maladies : soit une enzyme particulière est absente (c est le substrat de cette enzyme qui s accumule dans le lysosome), soit c est le système du récepteur au man6phosphate qui est défectueux. Ex : Mucopolysaccharidose de type 2 : maladie de surcharge dans la quelle le système du m6p est défectueux. Il y existe quand même un transport d hydrolases vers le lysosome (mécanisme de sauvetage) mais il est faible et peu efficace. L activité lysosomiale est donc très faible. On observe des retards mentaux, certains patients atteignent l âge adulte. Maladie de Tay-Sachs (récessive) : une glycosidase (censé agir sur des glycosphingolipides du cerveau) est inactive. On observe une accumulation de ces glycosphingolipides dans des vacuoles du cytoplasme du neurone. Le neurone devient inactif. La maladie entraîne un retard mental dès 6 mois et un décès vers 2 ans. Cependant à l état hétérozygote, cette maladie confère un avantage chez certaines populations : on s est aperçu que la présence d un allèle normal et d un allèle muté diminuait les risques de tuberculoses dans des populations exposées. Mais si la fréquence de l allèle augmente alors la fréquence de la maladie augmente aussi Maladie de Gaucher, etc 5) La phagocytose
7 La phagocytose est l endocytose de grosses particules à l échelle de la cellule (particules de charbon, cellule plus petite, bactérie, érythrocyte). Lors de la phagocytose, la membrane plasmique recouvre la particule à internaliser : les expansions émises par la membrane sont appelées pseudopodes et formés de microfilaments d actine. Les pseudopodes se referment l un sur l autre formant une vésicule : le phagosome. Ce dernier fusionne avec un lysosome primaire pour donner un lysosome secondaire dans lequel la particule va être dégradée. Ce processus permet de contrôler les infections bactériennes. L autophagie permet de se débarrasser d un organite. Un élément du RE entoure un organite. Il y a formation d un saccule qui se détache puis va fonctionner comme un phagosome mais on parle d autophagosome. 6) La transcytose Dans les cellules épithéliales, on trouve un endosome précoce apical (à partir du domaine apical) et un endosome précoce baso-latéral. Par contre les endosomes tardifs puis les lysosomes sont communs aux deux domaines. En fait, la transcytose est un transport trans cellulaire qui concerne : -un transport à partir de l'endosome apical vers la membrane baso-latérale. -le transport de l'endosome baso-latéral vers la membrane apicale. Au niveau de l intestin, il y a transport d anticorps particuliers vers la lumière du tube digestif. Dans le rein, la transcytose permet la capture de protéines (échappées dans l urine primitive) puis leur transport vers le milieu intérieur. Ce document, ainsi que l intégralité des cours de P1, sont disponibles gratuitement à l adresse suivante :
Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailAnnales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)
Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailLe trajet des aliments dans l appareil digestif.
La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailFonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailMorphogènes et endocytose
MEDECINE/SCIENCES 2003 ; 19 : 351-7 > Les protéines signalisatrices des familles Wingless/Wnt, Hedgehog et Decapentaplegic (Dpp)/Bone morphogenic protein (BMP) agissent comme des morphogènes au cours du
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailA B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent
1L : Physique et chimie dans la cuisine Chapitre.3 : Chimie et lavage I. Les savons et les détergents synthétiques 1. Propriétés détergentes des savons Le savon est un détergent naturel, les détergents
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailNEUROPHYSIOLOGIE (2)
NEUROPHYSIOLOGIE (2) B - LE SYSTEME NERVEUX (SUITE) - NEURONES ET GLIOCYTES IV - LES NEURONES ET LES GLIOCYTES 1) OBJET DE LEUR ETUDE La NEUROPHYSIOLOGIE est l étude du fonctionnement du système nerveux.
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailL univers vivant De la cellule à l être humain
L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres
Plus en détailTUTORAT UE spé MCF CORRECTION Concours 2012-2013
TUTORAT UE spé MCF CORRECTION Concours 2012-2013 réalisée par les tuteurs, non contrôlée par les professeurs de l'ue NON OFFICIELLE QCM n 1 : A, B, D, E L homéocode odontogénique regroupe 4 principaux
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailAvancées dans la maladie de Pompe
AVANCÉES DE LA RECHERCHE Avancées dans la maladie de Pompe > Glycogénose musculaire de type II > Déficit en alpha-glucosidase acide > Déficit en maltase acide > Maladie de Pompe à début tardif > Pompe
Plus en détailÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée
Plus en détailÉcole secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534
École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534 I. Rappel sur anatomie du système digestif Unité 3 La vie une question d adaptation 2 Unité 3 La vie une question d adaptation 3 Unité 3 La vie une
Plus en détailConception de Médicament
Conception de Médicament Approche classique HTS Chimie combinatoire Rational Drug Design Ligand based (QSAR) Structure based (ligand et ou macromolec.) 3DQSAR Docking Virtual screening Needle in a Haystack
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailLA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailLe grand écart de la recherche fondamentale vers l application biomédicale
Le grand écart de la recherche fondamentale vers l application biomédicale Ludger Johannes «Chemical Biology of Membranes and Therapeutic Delivery» unit U1143 INSERM UMR3666 CNRS «Endocytic Trafficking
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailLa reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006
La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailCommentaires sur les Épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre
Commentaires sur les Épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre Épreuve Écrite de Biologie A... 2 Épreuve Écrite de Biologie B... 8 Épreuve Orale de Biologie... 16 Annexe 1 : liste des sujets proposés
Plus en détailLa séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?
La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détailA. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire
Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.
Plus en détailTEST SUR LA CLASSIFICATION DES ANTIOXYDANTS. Répondez par oui ou non en cliquant sur la case correspondante :
TEST SUR LA CLASSIFICATION DES ANTIOXYDANTS Question 1 Les caroténoïdes : Ce sont des pigments végétaux Hydrophile contenant une chaîne centrale hautement polyinsaturée pouvant comporter une structure
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailUtilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements
Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailLes graisses dans l alimentation infantile
FAMIPED Familias, Pediatras y Adolescentes en la Red. Mejores padres, mejores hijos. Les graisses dans l alimentation infantile Autor/es: Ana Martínez Rubio. Pediatra de Atención Primaria. Centro de Salud
Plus en détailFORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER
FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER Date d'effet : Échéance Annuelle : Périodicité : Annuelle Semestrielle Durée : 1. LE PROPOSANT (sera le preneur
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailSéquence 10. Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire. Sommaire
Séquence 10 Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire Sommaire Chapitre 1. Pré-requis Chapitre 2. La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée Chapitre
Plus en détailSKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband
SKW Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband Association suisse des cosmétiques et des détergents The Swiss Cosmetic and Detergent Association Les enzymes dans la technologie des détergents Les enzymes
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailTD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT
TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT Daniela LENER IBMC Texte conseillé pour consultation : Biochimie, Voet & Voet, ed. De Boeck. Dosage des protéines Pendant une purification
Plus en détail1- LES FONDAMENTAUX DU JEU PAR LES COTES.
JEU PAR LES COTES Utilisation de la largeur. Fondamentaux tactiques >> Fondamentaux Offensifs >> Jeu par les côtés L e jeu actuel voit des équipes s affronter avec une grande densité de joueurs dans l
Plus en détailLa Plateforme GALA. Un projet régional structurant. avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique CPER 2007-2013
La Plateforme GALA Un projet régional structurant CPER 2007-2013 avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique Labellisé en avril 2009 Plateforme GALA : quel rôle? Principe
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailFormavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB...
Formavie 2010 Les fichiers PDB Les fichiers PDB contiennent les informations qui vont permettre à des logiciels de visualisation moléculaire (ex : RasTop ou Jmol) d afficher les molécules. Un fichier au
Plus en détailRespiration Mitochondriale
Université Pierre et Marie Curie Respiration Mitochondriale Objectifs au cours de Révisions Biochimie PCEM2 Révisions Biochimie Métabolique 2004-2005 Pr. A. Raisonnier (alain.raisonnier@upmc.fr) Mise à
Plus en détailExemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014
Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Commentaires pour l'évaluation Contenu du cahier de laboratoire Problématique : Le glucose est un nutriment particulièrement important pour le sportif.
Plus en détailLiquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions
Préparations pharmaceutique Cours de en 2ème petites Année quantités de Master en Pharmacie Liquides oraux : solutions, Préparation sirops pharmaceutique et suspensions en petites quantités Section des
Plus en détailCONTENU MISE EN PLACE. 1. Placez le plateau de jeu au centre de la table.
TM Pour voir une vidéo explicative du jeu, visitez www.stratusgames.com INTRODUCTION BUT DU JEU Les habitants des villages entourant un volcan dormant vivaient heureux et en paix jusqu au jour où BADABOUM
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailIsolement automatisé d ADN génomique à partir de culots de cellules sanguines à l aide de l appareil Tecan Freedom EVO -HSM Workstation
PROTOCOLE AUTOMATISÉ Isolement automatisé d ADN génomique à partir de culots de cellules sanguines à l aide de l appareil Tecan Freedom EVO -HSM Workstation Mode d emploi des produits A1751 et A2751 Réservé
Plus en détailtout-en-un BCPST 1 re année TOUT-EN-UN Sous la direction de P. Peycru, D. Grandperrin
TOUT-EN-UN BPST 1 re année Sous la direction de P. Peycru, D. Grandperrin et. Perrier : B. Augère, T. Darribère, J.-M. Dupin,. Escuyer, J.-F. Fogelgesang,. van der Rest Biologie tout-en-un Dunod, Paris,
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailSynthèse et propriétés des savons.
Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.
Plus en détailCommentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre
Commentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE A...2 Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE B...9 Épreuve ORALE de BIOLOGIE...13 ANNEXE 1 : LISTE DES SUJETS D ORAL PROPOSÉS
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailEpreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9
Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Travaux pratiques de biologie... 17 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 26 Travaux d initiative personnelle encadrés
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailContrôle et modulation de la réponse immunitaire par Brucella abortus
AIX-MARSEILLE UNIVERSITE Faculté des sciences de Luminy Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE DE DOCTORAT Biologie - Spécialité : Immunologie En vue d'obtenir le titre de DOCTEUR
Plus en détailDES de Pathologie AFIAP
DES de athologie AFIA 21 novembre 2009 J. Audouin,, S. ain IMMUNOHISTOCHIMIE Introduction I - Différentes méthodes AC conjugués Enzyme - anti-enzyme : A, AAA rotéine conjuguée : avidine, streptavidine
Plus en détail