Description nouvelle d un corps noir

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Description nouvelle d un corps noir"

Transcription

1 Desription nouvelle d un orps noir Raoul Carreton Résumé On peut fonder une loi du rayonnement du orps noir sur l existene d une durée naturelle, une onstante de temps. Un orps d ypotèses suffisantes est préisé et la loi établie. Cette loi se onfond presque ave la loi de Plank dans tout le domaine des températures qui peut être ouvert assez failement par des vérifiations expérimentales mais elle s éarte légèrement de la loi de Plank à partir de un million de degrés environ et elle diverge profondément de la loi de Plank aux températures élevées telle que un milliard de degrés K. L existene d une durée naturelle aurait des onséquenes importantes en méanique et en pysique. 1 Introdution L expliation du rayonnement du orps noir est à l origine de la méanique quantique. La loi de Plank de e rayonnement est vérifiée ave préision dans le domaine des températures assez failement aessibles, disons bien inférieures à un million de degrés Kelvin. Je réponds dans e qui suit aux deux questions suivantes : Quel est un orps d ypotèses simples suffisantes pour établir la loi de Plank? Existe-t-il un orps d ypotèses simples différent onduisant à une loi du rayonnement pratiquement identique à la loi de Plank pour les températures inférieures à un million de degrés Kelvin et s éartant ensuite de plus en plus de ette loi pour les températures supérieures? La réponse, positive, à ette dernière question, suggère l existene d une durée naturelle et dégage des perspetives nouvelles d expliation, de développement, ou de renouvellement, de la méanique quantique. Nota : L existene d une durée naturelle implique elle d une longueur naturelle en vertu de l existene d une vitesse naturelle, elle des ondes életro-magnétiques dans le vide. 2 Les fondements de la loi de Plank Un orps noir est une eneinte fermée ; soit T la température des parois de ette eneinte. Il s établit à l intérieur de ette eneinte un rayonnement dont les propriétés ne dépendent que de la température T. Maxwell puis Boltzmann [1] ont étudié la distribution des vitesses ou énergies de partiules s entreoquant dans une eneinte fermée, les partiules n éangeant de l énergie qu à travers es os. Cette distribution tend vers une limite, toujours la même, quelque soit l état initial des partiules et don les vitesses initiales. Le deuxième prinipe de la termodynamique, est à dire la roissane de l entropie ou évolution naturelle vers le désordre sont de même nature que ette évolution de la distribution des vitesses. On sait par ailleurs, selon un téorème de Poinaré, qu un système dynamique, tel elui des partiules dans l eneinte fermée, retourne vers un état proe de son état initial. En dépit des apparenes, il n y a pas de ontradition entre e téorème de Poinaré et la roissane de l entropie, ar le délai éventuel avant e retour peut être si grand qu il éappe à toute observation expérimentale. Boltzmann propose la probabilité, non normalisée, p = exp w qu une partiule éange l énergie w, k étant une onstante universelle. 1

2 Un életron peut éanger de l énergie ave un rayonnement, disons ave un amp de potons, sans préjuger de la nature, orpusulaire ou ondulatoire, des potons. Soit la fréquene d un poton, inlus dans le rayonnement du orps noir. ypotèse n 1 : L énergie w éangée par un életron ave un poton de fréquene est de la forme w = n.., n = 0, 1, 2,... ; est un quantum d ation. ypotèse n 2 : La probabilité non normalisée que l énergie éangée soit w est p. Il résulte des ypotèses n 1 et n 2 que l énergie moyenne de w, est à dire l espérane matématique de w, est. w = exp.. 1 ypotèse n : Soit u, T la densité spetrale de la densité volumique d énergie du amp. L ypotèse n est une relation entre et w et u, T issue de l életromagnétisme lassique, i.e. antérieure à l invention des quanta, à savoir : u, T = 8.π.2.w, désignant la vitesse de la lumière dans le vide. Les ypotèses 1, 2 et sont suffisantes pour établir la loi de Plank, à savoir : u, T = exp 8.π... 1 Nota : pour une desription moderne du orps noir, [2]. les ypotèses d une loi nouvelle Soit, et m, respetivement, la onstante de Plank et la masse de l életron. Soit θ = m. = seondes. θ est un intervalle de temps que je retiens omme unité de temps. Soit ϕ un intervalle de temps, disons petit, d ordre de grandeur de θ. Cet intervalle ϕ sera interprété omme étant une onstante de temps, une durée naturelle au oeur de trés nombreux pénomènes. Hypotèse A : Il existe des ontats potons-életrons ; aun d eux est instantané à une date t. Soit δt la durée de l intervalle de temps entre deux ontats suessifs d un életron déterminé, le premier ontat ave un poton, le ontat suivant ave un autre poton. L énergie éangée entre et életron et le amp de potons, sur et intervalle de durée δt, énergie notée w 1 δt, est θ. 2.ϕ δt 2.ϕ. Hypotèse B : δt > 2.ϕ. Autrement dit, jamais un életron ne peut avoir deux ontats suessifs à intervalle de temps inférieur ou égal à 2.ϕ. Hypotèse C : Soit t o une date de ontat d un életron spéifié ave un poton quelonque ; soit t > t o ; soit j le nombre de ontats de et életron ave des potons quelonques sur l intervalle de temps allant de t o à t, non ompris le ontat en t o. Nota : le nombre de ontats sur l intervalle fermé t o à t, y ompris le ontat à la date t o, est j +1. L ypotèse C est la suivante : L énergie éangée entre et életron et le amp de potons, sur et intervalle de temps de durée δt = t t o, énergie notée w j δt, est θ. 2.j.ϕ δt 2.j.ϕ. En vertu de l ypotèse B préédente, j < δt δt 2.ϕ ; je retiens 0 j < 2.ϕ. Remarque : L ypotèse C pourrait être ontraditoire ave les ypotèses préédentes A et B, si on savait déduire l énergie w 2 δt éangée sur un intervalle de temps δt, somme de deux intervalles onséutifs a et b, des énergies w 1 a et w 1 b sur aun des intervalles a et b. Par exemple, en pondérant les énergies par le temps durant lequel aune a été observée, on obtient : w 2 a + b = a.w 1a+b.w 1b a+b ; en retenant, suivant l ypotèse A, w 1 a = θ. 2.ϕ a 2.ϕ et w 1 b = θ. 2.ϕ b 2.ϕ, on trouve w 2 a + b = θ. 2.ϕ.a a 2.ϕ + 2.ϕ.b b 2.ϕ a+b, et w 2 a + b est différent de l énergie posée par l ypotèse C, à savoir, dans le as onsidéré, w 2 a + b = 4.ϕ a+b 4.ϕ. L éart entre les deux énergies éangées obtenues ainsi 2

3 est faible si les intervalles de temps a et b sont d une part, du même ordre de grandeur et d autre part, beauoup plus grands que ϕ, mais il n est pas nul. L énergie moyenne posée selon l ypotèse C serait relativiste. En effet, soit τ le temps propre de l életron d énergie totale θ + w j t i. e. θ + θ. 2.j.ϕ δt 2.j.ϕ ave w j t onforme à l ypotèse C. Supposons τ = t 2.j.ϕ. L énergie moyenne éangée s exprime par w j t = θ. t τ τ et, sous ette forme, il apparaît que w 2 a + b, énergie éangée moyenne sur un intervalle de temps t formé de deux intervalles onséutifs a et b est alors la moyenne des énergies éangées, w 1 a et w 1 b sur aun des deux intervalles, pondérées par le temps propre τ de aque intervalle. Ces temps propres étant respetivement a 2.ϕ et b 2.ϕ, alors w 2 a + b = θ. 2.ϕ a 2.ϕ 2.ϕ.a 2.ϕ+ b 2.ϕ.b 2.ϕ a 2.ϕ+b 2.ϕ est w 2 a + b = θ. 4.ϕ a+b 4.ϕ. Le raisonnement s étend failement de w 2 t à w j t, j > 2. Voii maintenant pourquoi τ = t 2.j.ϕ me semble onforme à la définition du temps propre τ en méanique relativiste : Selon ette dernière, d une part τ 2 t = 1 v2 2, v désignant la vitesse de l életron par rapport à 2 l observateur ; d autre part, l énergie totale de l életron est θ. q 1. Cette énergie totale est la 1 v2 2 somme de l énergie au repos θ de l életron et de l énergie éangée W, don θ. q 1 = 1 v2 θ + W. 2 En remplaçant, dans ette relation, 1 v2 par τ 2 t et W par θ. 2.j.ϕ t 2.j.ϕ, on obtient θ. t τ = θ + θ. 2.j.ϕ t t 2.j.ϕ, don τ = t t 2.j.ϕet τ = t 2.j.ϕ. Quoiqu il en soit des prinipes méaniques qui peuvent la sous tendre, je pose l ypotèse C. Hypotèse D : Pour un intervalle de temps t fixé, l énergie éangée peut prendre diverses valeurs W j t en nombre fini ; la probabilité non normalisée que l énergie éangée soit W j t est p j = exp. Cette ypotèse est semblable à l ypotèse n 2. Wj t Hypotèse E : Soit W l espérane matématique de W 2.ϕ j. Je rappelle que θ = 1 ; en unités quelonques, 2.ϕ s exprimerait par 2.. φ θ. Soit U, T la densité spetrale de la densité volumique d énergie du amp. L ypotèse E est la relation suivante entre U, T et W : U, T = 8.π.2.W. Cette ypotèse se ompare à l ypotèse n. Nota : J ai noté ave des minusules l énergie w, l énergie moyenne w et la densité spetrale u, lorsqu elles sont onformes à la loi de Plank. Sinon, je les note ave des majusules. 4 nouvelle loi du rayonnement d un orps noir Les inq ypotèses A, B, C, D, E sont suffisantes pour établir une loi du rayonnement U, T. La fontion U, T ne peut pas être exprimée simplement à l aide des fontions matématiques usuelles omme peut l être u, T selon la loi de Plank. Le alul de W, T et don aussi elui de U, T est trés simple : = t t o, le nombre j de ontats est inférieur, en vertu de l ypotèse B, à t 2.ϕ = 1. Soit x réel ; soit E x = la partie entière de x si x n est pas un entier et soit E x = x 1 si x est un entier. En bref, 0 j E 1. Sur l intervalle de temps t = 2.ϕ, l énergie W j t, qui est égale à θ. 2.j.ϕ t 2.j.ϕ en vertu de l ypotèse C, s exprime par W 2.ϕ j = θ. j 1. On note qu elle est indépendante de ϕ j Nota : En unités quelonques, W 2.ϕ j.θ = θ. j 1 Sur l intervalle de temps ouvert en t o, fermé en t de durée t = 2.ϕ.θ j., id

4 En vertu de l ypotèse D, W, T = obtient : W, T = E1/ P W j 2.ϕ. exp W j 2.ϕ E1/ P. exp W j 2.ϕ! E1/ j. j. 1 j.. exp 1 j... E1/ j. 1 j. exp..!. En expliitant W j 2.ϕ, on, 0 < < En vertu de l ypotèse B, auun éange d énergie entre un életron et le rayonnement ne peut se produire sur un intervalle de temps t 2.ϕ. Il résulte des ypotèses A et B que, si 1, W, T = 0. W, T = 0, En vertu de l ypotèse E, U, T = 8.π.2.W. La loi du rayonnement issue des ypotèses A, B, C, D, E est don U, T = 8.π.2.W = ave W selon 4.1 et 4.2. Nota : Le alul de U, T est réalisable aisément à l aide d un petit ordinateur usuel du ommere. On doit remarquer que les relations 4.1 et 4.2 ont été établies à partir de l existene de la onstante de temps ϕ et sont ependant indépendantes de la valeur de ϕ. 4.1 Nota ajouté en 2002 Je propose une estimation de la onstante de temps naturelle, ϕ, dans mon mémoire intitulé Etats de l életron, daté du , revu le Soit r/ le temps de parours d un poton entre sa soure et un életron. Il existerait une borne inférieure ε de r/, la longueur.ε pouvant être interprétée omme étant un diamètre életronique. Soit m n la masse du neutrino, m elle de l életron. Dans e nota je retiens les unités naturelles ave = = m = 1. Une expression empirique approximative de ϕ r, ompte tenu des aratères observés de l atome d ydrogène et du neutrino, pourrait être : ϕ r = exp r/a b.r. max 0, 1 π.r.2 mn 1+π.r.m n + 1 exp r/a b. 1 2.π, a et b désignant deux paramètres à aler onvenablement, par exemple a = 1, i. e. a = m., et b. Le plus souvent, la fréquene observée du poton sera = 1 2.r, i. e. = 2.r. Ainsi, pour toute valeur de r nettement plus grande que a, ϕ serait sensiblement égal à 1 2.π. J ai pu relier la valeur de ε à elle des masses du neutrino, de l életron et du proton. Paris le 20 otobre Remarque La relation 4.2 est tout à fait nouvelle. Pour la situer, il faut relever l ordre de grandeur des fréquenes utiles du spetre d un orps noir, utiles au sens de voisines de la fréquene = R. pour laquelle u, T est maximum, à température T fixée. R 2.82 quelque soit T. Nota : R est tel que R = exp R. 4

5 La onstante de Boltzmann k Joules par degré Kelvin ; k unités θ par degré Kelvin. Si T = 10 β degrés Kelvin, 4.8 θ β et << 1 θ pour β < 4 ou 5. Par exemple, si T degrés, les fréquenes utiles sont d ordre 5 / θ, beauoup plus petites que 1 θ. Le orps noir dont les fréquenes utiles seraient d ordre 1 θ selon la loi de Plank est à la température d environ 2 milliard de degrés. Jamais, à ma onnaissane, de telles fréquenes n ont été véritablement observées. Nota : On peut envisager qu une interation entre un életron et un rayonnement de fréquene proe de 1/θ, ne réponde plus aux onditions de validité de l analyse de Boltzmann, par exemple pare que les os ne seraient plus élastiques. Il est faile de vérifier que W, T tend vers w, T =. exp. 1 lorsque T tend vers 0, quelque soit ϕ. Pour toute température T assez faible, au sens de inférieure à degrés Kelvin environ, les deux fontions U, T et u, T sont si proes l une de l autre, qu il me paraît exlu qu une validation expérimentale de l une par rapport à l autre soit réalisable dans e domaine des températures. Lorsque T augmente, l éart entre les deux fontions s amplifie ; à la température de un million de degrés, il serait peut être disernable expérimentalement, à la température de un milliard de degrés, il est onsidérable. 4. Remarque L existene d une onstante de temps, ϕ, disons d une durée naturelle, existene suggérée par l interprétation présentée ii de la loi du rayonnement d un orps noir, aurait des impliations onsidérables en méanique. Exemple : Soit N un entier plus grand que 1. Pour = 1/N, t = 2.ϕ = 2.N.ϕ, l ensemble fini des énergies éangées au sens strit, énergies > 0, exprimées en unités m. 2 1, s étend de N 1 à j N -1 ; aque énergie éangée est N j, j = 1, 2,..., N 1. Ainsi, le temps d observation néessaire pour repérer une énergie est d autant plus grand que ette énergie est plus faible. La durée naturelle apparaît là omme l expliation d une relation d inertitude d Heisenberg. De même, une énergie élevée, telle que 1, est repérable sur une durée d observation faible, par exemple, t = 8.ϕ ave N = 4, j = 2, mais ave une trés mauvaise préision puisque les énergies enadrantes les plus proes distintes, seront 1/ et. C est enore la même relation d inertitude. Paris le 9 mars 1999, révision minime le 20 otobre Post sriptum J ai présenté dans e qui préède la durée naturelle ϕ omme une onstante de temps. J interprète ϕ omme la persistane de l életron dans un état instable, état induit par un ontat életron-poton. L analyse des pénomènes gravitationnels m a onduit depuis à envisager l ypotèse suivante : ϕ serait sensiblement une onstante dans le domaine des fréquenes inférieures à un ertain seuil, disons pour fixer les idées les fréquenes utiles émises par des orps noirs de température inférieure à 500 millions de degrés Kelvin. Pour les fréquenes nettement plus fortes, le onept de orps noir en tant qu eneinte fermée par des parois à température déterminée devient inonsistant ou plus préisément, les neutrinos qui sont présents dans toute eneinte aux températures usuelles, tendent à se raréfier à aute tempéraure, disons supérieure à deux milliards de degrés K. Or la présene de neutrinos onditionne la validité de la loi du rayonnement que je viens de proposer. Paris le 2 otobre 200 5

6 5 Annexe Comparaison de u v et de U v pour T = degrés K et pour T = degrés K. soure : programme orps noir, version Les résultats sont exprimés en unités naturelles, θ pour l unité de temps,.θ pour l unité de longueur, /θ pour l unité d énergie, m pour l unité de masse. Constantes diverses rappelées pour mémoire : vitesse de la lumière dans le vide, = mètres par seonde ; onstante de Plank, E-4 unités S. I. ; onstante de Boltzmann, k E-2 unités S. I E-10 unité /θ d énergie par degré kelvin ; masse de l életron, m E-1 unités S.I. ou kilogramme ; θ E-21 seonde ;.θ E-12 mètre ; m. 2 ou /θ = E-14 joule. R ; ontrole : R R = ; exp R 1 = Comparaison de U et u sur le spetre utile retenu de 25 fréquenes enadrant = R. 1/2101 ; T = degrés Kelvin U u u est désigné par dans le tableau suivant j=1 ; 1/=10508 ; U= E-11 ; u= e-11 ; =-4.50E-04 j=2 ; 1/=9189 ; U= E-11 ; u= e-11 ; =-4.501E-04 j= ; 1/=806 ; U=4.4474E-11 ; u= e-11 ; =-4.680E-04 j=4 ; 1/=7027 ; U= E-11 ; u= e-11 ; =-4.892E-04 j=5 ; 1/=6145 ; U= E-11 ; u= e-11 ; =-5.149E-04 j=6 ; 1/= 574 ; U= E-11 ; u= e-11 ; =-5.462E-04 j=7 ; 1/=4699 ; U= E-11 ; u= e-11 ; =-5.851E-04 j=8 ; 1/=4109 ; U= E-10 ; u= e-10 ; =-6.4E-04 j=9 ; 1/=59 ; U= E-10 ; u= e-10 ; =-6.977E-04 j=10 ; 1/=142 ; U= E-10 ; u= e-10 ; =-7.810E-04 j=11 ; 1/=2748 ; U= E-10 ; u= e-10 ; =-8.924E-04 j=12 ; 1/=240 ; U= E-10 ; u= e-10 ; =-1.044E-0 j=1 ; 1/=2101 ; U= E-10 ; u= e-10 ; =-1.25E-0 j=14 ; 1/=187 ; U= E-10 ; u= e-10 ; =-1.542E-0 j=15 ; 1/=1607 ; U= E-10 ; u= e-10 ; =-1.941E-0 j=16 ; 1/=1405 ; U= E-10 ; u= e-10 ; =-2.496E-0 j=17 ; 1/=1229 ; U= E-10 ; u= e-10 ; =-.256E-0 j=18 ; 1/=1074 ; U= E-11 ; u= e-11 ; =-4.00E-0 j=19 ; 1/=99 ; U= E-11 ; u= e-11 ; =-5.707E-0 j=20 ; 1/=821 ; U= E-11 ; u=.1692e-11 ; =-7.590E-0 j=21 ; 1/=718 ; U= E-11 ; u= e-11 ; =-1.009E-02 j=22 ; 1/=628 ; U= E-12 ; u= e-12 ; =-1.8E-02 j=2 ; 1/=549 ; U=.09896E-12 ; u= e-12 ; =-1.77E-02 j=24 ; 1/=480 ; U= E-1 ; u= e-1 ; =-2.4E-02 j=25 ; 1/=420 ; U= E-1 ; u= e-1 ; =-.08E-02 - Comparaison de U v et u sur le spetre utile retenu de 25 fréquenes enadrant = R. 1/ ; T = degrés Kelvin 6

7 U u u est désigné par dans le tableau suivant j=1 ; 1/= ; U= E-17 ; u= e-17 ; =-4.60E-06 j=2 ; 1/= ; U=.57249E-17 ; u= e-17 ; =-4.510E-06 j= ; 1/=80616 ; U= E-17 ; u= e-17 ; =-4.688E-06 j=4 ; 1/= ; U= E-17 ; u= e-17 ; =-4.902E-06 j=5 ; 1/= ; U= E-17 ; u= e-17 ; =-5.15E-06 j=6 ; 1/=57410 ; U=8.0822E-17 ; u=8.0866e-17 ; =-5.461E-06 j=7 ; 1/= ; U= E-17 ; u= e-17 ; =-5.848E-06 j=8 ; 1/= ; U= E-16 ; u= e-16 ; =-6.59E-06 j=9 ; 1/=5988 ; U= E-16 ; u= e-16 ; =-6.994E-06 j=10 ; 1/=14279 ; U= E-16 ; u= e-16 ; =-7.824E-06 j=11 ; 1/=27482 ; U= E-16 ; u= e-16 ; =-8.954E-06 j=12 ; 1/=2407 ; U= E-16 ; u= e-16 ; =-1.04E-05 j=1 ; 1/= ; U= E-16 ; u= e-16 ; =-1.252E-05 j=14 ; 1/=18791 ; U= E-16 ; u= e-16 ; =-1.541E-05 j=15 ; 1/=16072 ; U= E-16 ; u= e-16 ; =-1.944E-05 j=16 ; 1/= ; U= E-16 ; u= e-16 ; =-2.497E-05 j=17 ; 1/= ; U= E-16 ; u= e-16 ; =-.257E-05 j=18 ; 1/= ; U= E-17 ; u= e-17 ; =-4.00E-05 j=19 ; 1/=9991 ; U= E-17 ; u= e-17 ; =-5.705E-05 j=20 ; 1/=82194 ; U=.2741E-17 ; u=.2994e-17 ; =-7.592E-05 j=21 ; 1/=71877 ; U= E-17 ; u= e-17 ; =-1.010E-04 j=22 ; 1/=62855 ; U= E-18 ; u= e-18 ; =-1.42E-04 j=2 ; 1/=54966 ; U=.1229E-18 ; u=.12885e-18 ; =-1.781E-04 j=24 ; 1/=48067 ; U= E-19 ; u= e-19 ; =-2.58E-04 j=25 ; 1/=4204 ; U= E-19 ; u= e-19 ; =-.12E-04 - Référenes [1] Boltzmann L., Leçons sur la téorie des gaz., tradution par A. Gallotti, Introdution et notes de M. Brillouin, Gautier-Villars, Paris. Reédité en 1987 par J. Gabay. [2] Diu, B., Gutmann, C., Lederer D. et Roulet, B Pysique Statistique., Capitre VI, page 77 à 82. Hermann, Paris raoul.arreton@mines-paris.org 7

1 Introduction à l effet Doppler.

1 Introduction à l effet Doppler. Introdution à l effet Doppler Ph. Ribière ribierep@orange.fr Merredi 9 Novembre 2011 1 Introdution à l effet Doppler. Vous avez tous fait l expériene de l effet Doppler dans la rue, lorsqu une ambulane,

Plus en détail

Nécessité de prendre en compte des termes d ordre G 3 pour mesurer γ à 10 8 près

Nécessité de prendre en compte des termes d ordre G 3 pour mesurer γ à 10 8 près Néessité de prendre en ompte des termes d ordre G 3 pour mesurer γ à 10 8 P. Teyssandier Observatoire de Paris Dépt SYRTE/CNRS-UMR 8630UPMC P. Teyssandier ( Observatoire de Paris Dépt SYRTE/CNRS-UMR Néessité

Plus en détail

Production statistique: passage d une démarche axée sur les domaines à une démarche axée sur les processus

Production statistique: passage d une démarche axée sur les domaines à une démarche axée sur les processus Nations Unies Conseil éonomique et soial Distr. générale 31 mars 2015 Français Original: anglais ECE/CES/2015/26 Commission éonomique pour l Europe Conférene des statistiiens européens Soixante-troisième

Plus en détail

Mesures du coefficient adiabatique γ de l air

Mesures du coefficient adiabatique γ de l air Mesures du oeffiient adiabatique γ de l air Introdution : γ est le rapport des apaités alorifiques massiques d un gaz : γ = p v Le gaz étudié est l air. La mesure de la haleur massique à pression onstante

Plus en détail

BAILLY-GRANDVAUX Mathieu ZANIOLO Guillaume Professeur : Mrs Portehault

BAILLY-GRANDVAUX Mathieu ZANIOLO Guillaume Professeur : Mrs Portehault BAILLY-GRANDVAUX Mathieu ZANIOLO Guillaume Professeur : Mrs Portehault 1 I. Introdution...3 II. Généralités...3 Caratéristiques ommunes aux deux phénomènes...3 La différene entre la phosphoresene et la

Plus en détail

Chapitre IV- Induction électromagnétique

Chapitre IV- Induction électromagnétique 37 Chapitre IV- Indution életromagnétique IV.- Les lois de l indution IV..- L approhe de Faraday Jusqu à maintenant, nous nous sommes intéressés essentiellement à la réation d un hamp magnétique à partir

Plus en détail

Comment évaluer la qualité d un résultat? Plan

Comment évaluer la qualité d un résultat? Plan Comment évaluer la qualité d un résultat? En sienes expérimentales, il n existe pas de mesures parfaites. Celles-i ne peuvent être qu entahées d erreurs plus ou moins importantes selon le protoole hoisi,

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

La protection différentielle dans les installations électriques basse tension

La protection différentielle dans les installations électriques basse tension Juin 2001 La protetion différentielle dans les installations életriques basse tension Ce guide tehnique a pour objetif de mettre en évidene les prinipes de fontionnement des protetions différentielles

Plus en détail

physique - chimie Livret de corrigés ministère de l éducation nationale Rédaction

physique - chimie Livret de corrigés ministère de l éducation nationale Rédaction ministère de l éduation nationale physique - himie 3e Livret de orrigés Rédation Wilfrid Férial Jean Jandaly Ce ours est la propriété du Cned. Les images et textes intégrés à e ours sont la propriété de

Plus en détail

DocumentHumain. Confidentiel. Disposition de fin de vie

DocumentHumain. Confidentiel. Disposition de fin de vie Confidentiel Disposition de fin de vie DoumentHumain Mes volontés juridiquement valables onernant ma vie, mes périodes de souffrane, les derniers moments de mon existene et ma mort Institut interdisiplinaire

Plus en détail

ETUDE COMPARATIVE RELATIVE AU SERTISSAGE DES CANALISATIONS EN CUIVRE DANS LE SECTEUR DE LA RENOVATION

ETUDE COMPARATIVE RELATIVE AU SERTISSAGE DES CANALISATIONS EN CUIVRE DANS LE SECTEUR DE LA RENOVATION - Février 2003 - ETUDE COMPARATIVE RELATIVE AU SERTISSAGE DES CANALISATIONS EN CUIVRE DANS LE SECTEUR DE LA RENOVATION Centre d Information du Cuivre 30, avenue Messine 75008 Paris HOLISUD Ingénierie 21,

Plus en détail

Professionnels de l art by Hiscox Questionnaire préalable d assurance

Professionnels de l art by Hiscox Questionnaire préalable d assurance Professionnels de l art by Hisox Questionnaire préalable d assurane Votre interlouteur: Buzz Assurane Servie lients - BP 105 83061 Toulon Cedex prodution@buzzassurane.om La ommunauté des olletionneurs

Plus en détail

Chapitre. Calculs financiers

Chapitre. Calculs financiers Chapitre Caluls finaniers 19 19-1 Avant d'effetuer des aluls finaniers 19-2 Caluls d'intérêts simples 19-3 Caluls d'intérêts omposés 19-4 Evaluation d'un investissement 19-5 Amortissement d'un emprunt

Plus en détail

Revue des Sciences et de la Technologie - RST- Volume 5 N 1 / janvier 2014

Revue des Sciences et de la Technologie - RST- Volume 5 N 1 / janvier 2014 Revue des Sienes et de la Tehnologie - RST- Volume 5 N 1 / janvier 214 L impat d une Charge Fortement Capaitive Sur la Qualité du Filtrage d un FAP Contrôlé Par un Filtre Multi-Variable Hautement Séletif

Plus en détail

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité

Plus en détail

LE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU

LE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU LE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU Mesures Interprétations - Appliations Doument rédigé par des ingénieurs géotehniiens de GINGER CEBTP sous la diretion de : Mihel KHATIB Comité de releture : Claude-Jaques

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

Le compte satellite des institutions sans but lucratif

Le compte satellite des institutions sans but lucratif Institut des omptes nationaux Le ompte satellite des institutions sans ut luratif 2000-2001 Contenu de la puliation Le ompte satellite des institutions sans ut luratif (ISBL) est élaoré d après les définitions

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

3. Veuillez indiquer votre effectif total :

3. Veuillez indiquer votre effectif total : 1 Métiers du marketing et de la ommuniation Questionnaire préalable d assurane Préambule Le présent questionnaire préalable d assurane Marketing et Communiation a pour objet de réunir des informations

Plus en détail

Équations différentielles et systèmes dynamiques. M. Jean-Christophe Yoccoz, membre de l'institut (Académie des Sciences), professeur

Équations différentielles et systèmes dynamiques. M. Jean-Christophe Yoccoz, membre de l'institut (Académie des Sciences), professeur Équations différentielles et systèmes dynamiques M. Jean-Christophe Yooz, membre de l'institut (Aadémie des Sienes), professeur La leçon inaugurale de la haire a eu lieu le 28 avril 1997. Le ours a ensuite

Plus en détail

NCCI : Calcul d'assemblages de pieds de poteaux encastrés

NCCI : Calcul d'assemblages de pieds de poteaux encastrés NCCI : Calul d'assemblages de pieds de poteaux enastrés Ce NCCI fournit les règles relatives au alul d'assemblages de pieds de poteaux enastrés. Ces règles se ontentent de ouvrir la oneption et le alul

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Problème 1 : applications du plan affine

Problème 1 : applications du plan affine Problème 1 : applications du plan affine Notations On désigne par GL 2 (R) l ensemble des matrices 2 2 inversibles à coefficients réels. Soit un plan affine P muni d un repère (O, I, J). Les coordonnées

Plus en détail

prix par consommateur identiques différents prix par identiques classique 3 unité différents 2 1

prix par consommateur identiques différents prix par identiques classique 3 unité différents 2 1 3- LE MONOOLE DISCRIMINANT Le monoole eut vendre ertaines unités de roduit à des rix différents. On arle de disrimination ar les rix. Selon une terminologie due à igou (The Eonomis of Welfare, 1920), on

Plus en détail

Projet INF242. Stéphane Devismes & Benjamin Wack. Pour ce projet les étudiants doivent former des groupes de 3 ou 4 étudiants.

Projet INF242. Stéphane Devismes & Benjamin Wack. Pour ce projet les étudiants doivent former des groupes de 3 ou 4 étudiants. Projet INF242 Stéphane Devismes & Benjamin Wak Pour e projet les étudiants doivent former des groupes de 3 ou 4 étudiants. 1 Planning Distribution du projet au premier ours. À la fin de la deuxième semaine

Plus en détail

Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé

Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.

Plus en détail

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****

Plus en détail

Guide pratique. L emploi des personnes handicapées

Guide pratique. L emploi des personnes handicapées Guide pratique L emploi des personnes handiapées Sommaire Guide pour les salariés p. 3 L'aès et le maintien dans l'emploi... 4 Les établissements et servies d aide par le travail (ÉSAT)... 10 Les entreprises

Plus en détail

Dérivation : cours. Dérivation dans R

Dérivation : cours. Dérivation dans R TS Dérivation dans R Dans tout le capitre, f désigne une fonction définie sur un intervalle I de R (non vide et non réduit à un élément) et à valeurs dans R. Petits rappels de première Téorème-définition

Plus en détail

intrication quantique corrélations à distance et instantanées

intrication quantique corrélations à distance et instantanées intrication quantique corrélations à distance et instantanées 1 Les corrélations quantiques à distance et instantanées Il existe des corrélations quantiques à distance et instantanées dans un système quantique

Plus en détail

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques

Plus en détail

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques

Plus en détail

Nombre dérivé et tangente

Nombre dérivé et tangente Nombre dérivé et tangente I) Interprétation graphique 1) Taux de variation d une fonction en un point. Soit une fonction définie sur un intervalle I contenant le nombre réel a, soit (C) sa courbe représentative

Plus en détail

PHYSIQUE Discipline fondamentale

PHYSIQUE Discipline fondamentale Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et

Plus en détail

Les Conditions aux limites

Les Conditions aux limites Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,

Plus en détail

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,

Plus en détail

Votre dossier d adhésion

Votre dossier d adhésion MSH INTERNATIONAL pour le ompte Votre dossier d adhésion Vous avez besoin d aide pour ompléter votre dossier d adhésion? Contatez-nous au +33 (0)1 44 20 48 77. Adhérent Bulletin d adhésion Titre : Mademoiselle

Plus en détail

Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable

Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable Avertissement! Dans tout ce chapître, I désigne un intervalle de IR. 4.1 Fonctions convexes d une variable Définition 9 Une fonction ϕ, partout définie

Plus en détail

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la

Plus en détail

TP Détection d intrusion Sommaire

TP Détection d intrusion Sommaire TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

CHAUFFE-EAU RÉSIDENTIELS ÉLECTRIQUES

CHAUFFE-EAU RÉSIDENTIELS ÉLECTRIQUES HUFFE-EU RÉSIDENTIELS ÉLETRIQUES hauffe-eau standards disponibles dans les modèles 30, 40 et 60 gallons hauffe-eau ascade et Super ascade 9 disponibles dans les modèles 40 et 60 gallons ONÇU POUR DURER

Plus en détail

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est

Plus en détail

Techniques d analyse de circuits

Techniques d analyse de circuits Chpitre 3 Tehniques d nlyse de iruits Ce hpitre présente différentes méthodes d nlyse de iruits. Ces méthodes permettent de simplifier l nlyse de iruits ontennt plusieurs éléments. Bien qu on peut résoudre

Plus en détail

CAISSE ENREGISTREUSE ELECTRONIQUE SE-G1

CAISSE ENREGISTREUSE ELECTRONIQUE SE-G1 AISSE ENREGISTREUSE ELETRONIQUE SE-G PROGRAMMATION SIMPLIFIEE 20/0/204 SOMMAIRE PROGRAMMATION SIMPLIFIEE.... Introduction... 2. Programmation... 4 Initialisation de la caisse :... 4 Programmation de base

Plus en détail

Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013

Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013 Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013 A. P. M. E. P. EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 5 points Une entreprise informatique produit et vend des clés USB. La vente de ces clés est réalisée

Plus en détail

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3

Plus en détail

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)

Plus en détail

Informatique III: Programmation en C++

Informatique III: Programmation en C++ Informatique III: Programmation en C++ Listes haînées Lundi 9 Janvier 2006 1 2 Introdution Les listes hainées permettent de stoker un nombre d objets qui n a pas besoin d être spéifié a priori. Rajouter

Plus en détail

Rapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS

Rapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS Rapport Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS A.AZOULAY T.LETERTRE R. DE LACERDA Convention AFSSET / Supélec 2009-1 - 1. Introduction Dans le

Plus en détail

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

Dérivation CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES

Dérivation CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Capitre 4 Dérivation Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Dérivation Nombre dérivé d une fonction en un point. Tangente à la courbe représentative d une fonction dérivable

Plus en détail

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours.

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours. Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I

Plus en détail

Cours d Acoustique. Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité

Cours d Acoustique. Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité 1 Cours d Acoustique Techniciens Supérieurs Son Ière année Aurélie Boudier, Emmanuelle Guibert 2006-2007 Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité 1 La puissance acoustique Définition La puissance

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA 3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre

Plus en détail

Exo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs

Exo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs Eo7 Limites de fonctions Théorie Eercice Montrer que toute fonction périodique et non constante n admet pas de ite en + Montrer que toute fonction croissante et majorée admet une ite finie en + Indication

Plus en détail

Exemples de solutions acoustiques

Exemples de solutions acoustiques Exemples de solutions aoustiques RÉGLEMENTATON ACOUSTQUE 2000 Janvier 2014 solement aux bruits aériens intérieurs et niveau de bruit de ho Traitement aoustique des parties ommunes Bruits d équipements

Plus en détail

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques

Plus en détail

Observer TP Ondes CELERITE DES ONDES SONORES

Observer TP Ondes CELERITE DES ONDES SONORES OBJECTIFS CELERITE DES ONDES SONORES Mesurer la célérité des ondes sonores dans l'air, à température ambiante. Utilisation d un oscilloscope en mode numérique Exploitation de l acquisition par régressif.

Plus en détail

Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés

Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés 2012-2013 1 Petites questions 1) Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? 2) Si F et G sont deux tribus, est-ce que F G est toujours une tribu?

Plus en détail

Chapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme

Chapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet

Plus en détail

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé

Plus en détail

Équivalence masse-énergie

Équivalence masse-énergie CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en

Plus en détail

Bilan Carbone des interventions viticoles

Bilan Carbone des interventions viticoles Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr

Plus en détail

Correction sujet machine à pain

Correction sujet machine à pain Correction sujet machine à pain 2 CHOIX DU MOTEUR ET DE SA TRANSMISSION DE PUISSANCE 2.1 ANALYSE FONCTIONNELLE PRELIMINAIRE Question N 1 : Mélangeage et pétrissage Composants de transmission par lesquels

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE

AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE Dans e hapire l'amplifiaeur différeniel inégré sera oujours onsidéré omme parfai, mais la ension de sorie ne pourra prendre que deux valeurs : V sa e V

Plus en détail

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29 Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel

Plus en détail

MÉCANIQUE DES FLUIDES TRAVAUX DIRIGÉS

MÉCANIQUE DES FLUIDES TRAVAUX DIRIGÉS MÉCANIQUE DES FLUIDES TRAVAUX DIRIGÉS PREMIÈRE ANNÉE - SÉRIE 1 STATIQUE DES FLUIDES PHÉNOMÈNES CAPILLAIRES RELATION DE BERNOULLI 2012-2013 groupe A : fatimata.sy@cea.fr, pantxo.diribarne@ujf-grenoble.fr

Plus en détail

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

Equations aux Dérivées Partielles

Equations aux Dérivées Partielles Equations aux Dérivées Partielles Tony Lelièvre 29-2 Après avoir considéré dans le capitre précédent des équations d évolution pour des fonctions ne dépendant que du paramètre temps, nous nous intéressons

Plus en détail

Mesurage en continu des flux polluants en MES et DCO en réseau d assainissement

Mesurage en continu des flux polluants en MES et DCO en réseau d assainissement MESURAGE EN CONTINU DES FLU POLLUANTS EN MES ET DCO EN RESEAU D ASSAINISSEMENT (M. LEPOT, 0) N d ordre 0ISAL0086 Année 0 Mesurage en ontinu des flux polluants en MES et DCO en réseau d assainissement Présenté

Plus en détail

Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?

Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université

Plus en détail

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation ) DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité

Plus en détail

L ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma

L ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma TP THÈME LUMIÈRES ARTIFICIELLES 1STD2A CHAP.VI. INSTALLATION D ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE SÉCURISÉE I. RISQUES D UNE ÉLECTROCUTION TP M 02 C PAGE 1 / 4 Courant Effets électriques 0,5 ma Seuil de perception -

Plus en détail

Théorie et Codage de l Information (IF01) exercices 2013-2014. Paul Honeine Université de technologie de Troyes France

Théorie et Codage de l Information (IF01) exercices 2013-2014. Paul Honeine Université de technologie de Troyes France Théorie et Codage de l Information (IF01) exercices 2013-2014 Paul Honeine Université de technologie de Troyes France TD-1 Rappels de calculs de probabilités Exercice 1. On dispose d un jeu de 52 cartes

Plus en détail

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une

Plus en détail

Simulation du transport de matière par diffusion surfacique à l aide d une approche Level-Set

Simulation du transport de matière par diffusion surfacique à l aide d une approche Level-Set Simulation du transport de matière par diffusion surfacique à l aide d une approce Level-Set J. Brucon 1, D. Pino-Munoz 1, S. Drapier 1, F. Valdivieso 2 Ecole Nationale Supérieure des Mines de Saint-Etienne

Plus en détail

Tests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles

Tests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles Tests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles Valentin Patilea 1 Cesar Sanchez-sellero 2 Matthieu Saumard 3 1 CREST-ENSAI et IRMAR 2 USC Espagne 3 IRMAR-INSA

Plus en détail

1 Systèmes triphasés symétriques

1 Systèmes triphasés symétriques 1 Systèmes triphasés symétriques 1.1 Introduction Un système triphasé est un ensemble de grandeurs (tensions ou courants) sinusoïdales de même fréquence, déphasées les unes par rapport aux autres. Le système

Plus en détail

Séquence 7. Séance 1 Histoire Regards sur l Afrique. Un empire africain, l empire du Ghana (VIII e -XII e siècle)

Séquence 7. Séance 1 Histoire Regards sur l Afrique. Un empire africain, l empire du Ghana (VIII e -XII e siècle) Séquene 7 Séquene 7 Séane 1 Histoire Regards sur l Afrique Un empire afriain, l empire du Ghana (VIII e -XII e sièle) A Un Empire présent sur un vaste territoire Exerie 1 : Loaliser l Empire du Ghana en

Plus en détail

TP 3 diffusion à travers une membrane

TP 3 diffusion à travers une membrane TP 3 diffusion à travers une membrane CONSIGNES DE SÉCURITÉ Ce TP nécessite la manipulation de liquides pouvant tacher les vêtements. Le port de la blouse est fortement conseillé. Les essuie tout en papier

Plus en détail

La prévention des intoxications dans les silos à fourrage

La prévention des intoxications dans les silos à fourrage La prévention des intoxications dans les silos à fourrage Ali Bahloul, Brigitte Roberge et Nicole Goyer / IRSST Mauricio Chavez et Marcelo Reggio / École polytechnique de Montréal Avec la collaboration

Plus en détail

I00 Éléments d architecture

I00 Éléments d architecture I00 I Exemples d ordinateur Pour les informaticiens, différentes machines de la vie courante sont des ordinateurs : par exemple les ordinateurs portables, les ordinateurs fixes, mais aussi les supercalculateurs,

Plus en détail

Continuité et dérivabilité d une fonction

Continuité et dérivabilité d une fonction DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

Texte Agrégation limitée par diffusion interne

Texte Agrégation limitée par diffusion interne Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires

Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires 25 Lechapitreprécédent avait pour objet l étude decircuitsrésistifsalimentéspar dessourcesde tension ou de courant continues. Par

Plus en détail

L exclusion mutuelle distribuée

L exclusion mutuelle distribuée L exclusion mutuelle distribuée L algorithme de L Amport L algorithme est basé sur 2 concepts : L estampillage des messages La distribution d une file d attente sur l ensemble des sites du système distribué

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4

Plus en détail

TD 11. Les trois montages fondamentaux E.C, B.C, C.C ; comparaisons et propriétés. Association d étages. *** :exercice traité en classe.

TD 11. Les trois montages fondamentaux E.C, B.C, C.C ; comparaisons et propriétés. Association d étages. *** :exercice traité en classe. TD 11 Les trois montages fondamentaux.,.,. ; comparaisons et propriétés. Association d étages. *** :exercice traité en classe ***exercice 11.1 On considère le montage ci-dessous : V = 10 V R 1 R s v e

Plus en détail