LA MUTUALISATION DES EMPLOIS DANS LE SECTEUR ARTISTIQUE ET CULTUREL

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LA MUTUALISATION DES EMPLOIS DANS LE SECTEUR ARTISTIQUE ET CULTUREL"

Transcription

1 LA MUTUALISATION DES EMPLOIS DANS LE SECTEUR ARTISTIQUE ET CULTUREL La mutualisation des emplois dans le secteur artistique et culturel semble avoir acquis une importance certaine depuis quelques années déjà. Dans certains secteurs d activité qui restaient des cas isolés, les formes de mutualisation de matériel, de locaux ou de personnel sont appliquées depuis de nombreuses années. A l échelle nationale et internationale, les dirigeants d entreprises de toute sorte ont pris, ces dernières années, du recul par rapport au concept d hypercompétition et ont réalisé un arbitrage entre les dynamiques de lutte et de coopération au sein de leurs secteurs d activité. Prenant leurs distances avec les fusions-absorption, ils ont privilégiés les alliances et le rassemblement au sein de clusters (pôles de productivité). Dans le secteur artistique et culturel, les tenants de l économie sociale et solidaire prônaient depuis longtemps la logique de coopération mais la recomposition du secteur artistique et culturel qui est apparue à partir de 2003, et aujourd hui la crise que connait ce même secteur, invitent l ensemble des professionnels à mettre en question l économie de leurs projets et les conditions de mise en œuvre de ceux-ci. Confrontés à des difficultés économiques croissantes mais aussi à un besoin de personnel qualifié, les professionnels de la culture s interrogent davantage sur les périmètres de leurs entités, structures de création ou lieux de diffusion, lesquelles demeurent de très petites entreprises (TPE) ou des petites et moyennes entreprises (PME), et sur leurs rapports à leurs confrères. Le développement du nombre de réseaux en témoigne sans doute. Il semblerait que les collectivités publiques partenaires des entreprises culturelles et les dirigeants de ces mêmes entreprises aient d abord pensé que la mutualisation des emplois permettrait la réalisation d économies d échelle, à un moment où on parlait davantage d emplois permanents puisque le champ d application des annexes 8 et 10 relatives aux régimes d indemnisation des intermittents se restreignait et où le champ d application des conventions collectives s étendait. Dans le même temps, une partie croissante des salariés a cherché à sécuriser son parcours professionnel, c'est-à-dire à échapper à des emplois à temps très partiel, parfois au sein de TPE dont l économie est très fragile, dans un secteur qui recourt beaucoup plus que les autres au CDD (cf. travaux du Centre d études et de recherche sur les qualifications de 2005). La stabilisation et la pérennisation des emplois représentaient donc à nos yeux un enjeu réel pour favoriser le développement des projets artistiques et culturels. Aussi, nous semblait-il judicieux de concentrer nos efforts autour de la mutualisation des emplois bien que celle-ci soit clairement la mutualisation la plus délicate à opérer. Avec des membres du secteur culturel et d autres professionnels réalisant eux aussi de l appui et de l accompagnement des porteurs de projets, les salariés de la NACRe intervenant sur cette problématique se sont demandés si la mutualisation des emplois aboutirait, et sous quelles conditions, à : - stabiliser et à pérenniser les emplois, - accéder à des compétences jugées inaccessibles, - optimiser les effectifs, - utiliser chacun à sa juste qualification, - développer des projets de territoire, - retenir de nouvelles formes d organisation du travail et de gestion des temps de travail, - offrir aux salariés concernés des expériences professionnelles diversifiées,

2 - favoriser le départ en formation du personnel, en vue de développer les projets artistiques et culturels de manière plus pertinente et plus efficiente. Les outils au service de la mutualisation des emplois Comme toute logique de coopération, la mutualisation peut émerger spontanément, dans un cadre informel. Mais le formalisme s impose très rapidement dès lors que les parties prenantes ont le souci de définir ensemble l objet et les conditions de mise en œuvre de cette mutualisation. Il est donc opportun de porter une attention particulière aux formes de mutualisation. * Au préalable, nous remarquerons que les besoins ponctuels ou occasionnels des entreprises en personnel peuvent être couverts par le recours aux entreprises de travail temporaire (dites d intérim), aux entreprises de travail à temps partagé, aux entreprises de portage (qui bénéficient désormais d un statut juridique défini à l article L du code du travail). Toutefois, ces structures ne relèvent pas plus de la mutualisation des emplois que de simples contrats à temps partiels ou des contrats à durée déterminée. * Le propos est moins tranché en ce qui concerne les sociétés coopératives d intérêt collectif (90 SCIC étaient dénombré en France, fin 2006, tous secteurs confondus) : leur objet est avant tout de répondre à des besoins collectifs non satisfaits. Elles relèvent donc incontestablement de la logique de coopération mais pas de la mutualisation des emplois, sauf à considérer par exemple une coopérative ayant adopté ce statut pour créer quelques emplois stables afin de développer une activité économique qui était réalisée auparavant par des salariés à temps partiels au sein de plusieurs associations. Dans cet exemple précis, on pourra remarquer que la SCIC va au-delà de l outil de mutualisation des emplois : elle permet le développement d une activité économique en retenant un mode de gouvernance particulier qui implique une gestion par diverses catégories de partie prenante : à minima, les bénéficiaires des prestations et les salariés et éventuellement les collectivités publiques et les bénévoles. * La coopérative d activité et d emploi (CAE) trouve sa place dans ce document traitant de la mutualisation des emplois. Ce type de société coopérative est avant tout une alternative à la création d entreprise individuelle (ou de société unipersonnelle, voire de «fausse» association). Elle constitue un cadre juridique où le porteur de projet sera salarié et pourra tester un projet d activité, en réduire les coûts, les risques et les formalités de création. C est aussi un cadre pour soutenir le développement d un projet professionnel grâce à des services et des échanges mutualisés (gestion fiscale, sociale, administrative et budgétaire, logistique, matériels, locaux) moyennant le versement d un pourcentage du chiffre d affaires dégagé. C est aussi un lieu où les porteurs de projet travaillent en réseau et sont accompagnés par des professionnels de la création d entreprise. Au terme d une période de test «grandeur nature», le porteur de projet peut choisir entre abandonner celui-ci s il s avère non viable, créer sa propre entreprise ou poursuivre son activité professionnelle au sein de la CAE sous un statut de salarié associé de la coopérative. En 2006, on dénombrait 72 CAE en France, soit entrepreneurs salariés «porteurs de projet». Cela représentait un chiffre d affaires global de 21 millions d'euros. Début 2008, on a identifié trois CAE spécialisées dans le culturel. * La mutualisation d emplois en tant que processus encadré et formalisé ne passe cependant pas systématiquement par la création d une nouvelle entité. Ainsi, une note juridique du cabinet Delsol et associés rédigée pour le compte du CNAR culture en juin 2007 (mise en ligne sur le site d Opale) précise-t-elle les conditions dans lesquelles une association peut réaliser une mise à disposition de personnel sans encourir de risque pénal. Toute opération à but lucratif ayant pour objet exclusif le prêt de main-d œuvre est interdite, dès lors qu'elle n'est pas effectuée dans le cadre des dispositions du code du travail relatives au travail temporaire ou au portage salarial.

3 Sont présumés ne pas tomber sous l interdiction, les mises à disposition pour lesquelles l association employeur met un salarié à disposition et se fait rembourser les seules rémunérations et charges sociales qu elle assume au titre de la durée de la mise à disposition, éventuellement majorées des frais de gestion (si ceux-ci sont clairement identifiables). Pour justifier d'une démarche non lucrative, la rédaction d une convention (de partenariat) est fortement conseillée : elle permettra de mettre en avant l'esprit de coopération et de désintéressement qui anime les associations concernées. * L outil majeur au service de la mutualisation des emplois reste aujourd hui le groupement d employeurs (GE). L art. L 127-1, al. 1 er dispose que les groupements d'employeurs peuvent être constitués dans le but de mettre à la disposition de leurs membres des salariés liés à ces groupements par un contrat de travail. Depuis 2005, ils peuvent également apporter à leurs membres leur aide ou leur conseil en matière d'emploi ou de gestion des ressources humaines. Par contre, il ne permet normalement pas la mutualisation d autres objectifs (matériel, locaux, ). Un GE est donc une association ou une coopérative créée et dirigée par des employeurs d un même bassin d emploi, dans l'objectif de partager durablement du personnel. Parmi ces employeurs, moyennant le respect de conditions particulières, on peut compter des collectivités publiques. Le GE ne mettre ses salariés qu à disposition de structures adhérentes. Le Groupement d employeurs pour l insertion et la qualification (GEIQ) est un GE particulier, poursuivant des actions autour de l insertion et de la qualification. Le GE qui veut porter cette appellation doit répondre à des exigences définies dans un cahier des charges. C est un label non obligatoire. En 2007, on dénombrait 37 GE dans le culturel et 400 GE hors agriculture ( salariés environ). Le fonctionnement du GE Le salarié a un employeur unique, le GE, avec un contrat de travail écrit précis (liste des utilisateurs potentiels, lieux d'exécution du contrat ). Il exerce son activité professionnelle chez plusieurs membres du GE (en général, deux ou trois) soit sous la forme de temps partagé sur la journée ou sur la semaine, soit sous la forme de temps partagé sur l année. Il est sous la responsabilité opérationnelle des entreprises auprès desquelles il est mis à disposition et sous la responsabilité disciplinaire du GE. Il relève obligatoirement d'une convention collective. Le GE assume les obligations sociales (dont la médecine du travail ), et il facture à l entreprise la mise à disposition du ou des salariés, au prorata du temps de travail effectué (cette facturation est soumise à TVA si un membre au moins du GE l est). Cette facturation correspond à la contrepartie du salaire, des charges sociales et du coût de gestion du groupement. Les travaux autour des GE rapportent à titre indicatif, que le cout d un salarié mis à disposition correspond à environ 1,7 fois le salaire brut horaire de la personne. C est plus cher qu un salarié recruté en direct (entre 1,45 et 1,5 fois le salaire brut en TCC, compte non tenu des frais de gestion du personnel) mais aussi moins cher qu un intérimaire. Les membres sont solidairement responsables des dettes sociales : au-delà du risque économique potentiel que cette obligation représente, cette mesure législative invite à une gestion rigoureuse du GE, à des règles précises de cooptation des nouveaux adhérents et/ou de départ des membres du GE.

4 Les apports du GE Le GE concilie les besoins de flexibilité des entreprises et les besoins de sécurité des salariés, tout en permettant un développement des compétences individuelles. Le GE compte au moins trois grands avantages : - Une mutualisation des besoins en compétence des entreprises, qui n'auraient pas embauché à temps complet sans l'existence d'un GE, - Des effets positifs sur la gestion de l'emploi et la GRH sur un territoire : diffusion des bonnes pratiques, maintien des compétences, culture de coopération, - Une sécurisation professionnelle pour le salarié embauché en CDI. Outre celle-ci, les salariés bénéficient aussi d une diversité d activité qui évite la monotonie; d une pluri-activité qui développe leur capacité d adaptation, des actions de formation et de développement des compétences mises en œuvre par le GE pour ses salariés et d une plus grande forme de sécurité de l emploi, par le fait qu ils ne sont pas salariés d une entreprise mais d un collectif d entreprises du bassin d emploi. Bilan au niveau national : Trois conditions d émergence peuvent être mises en avant : - Des entreprises constituées en un réseau formel ou informel, - Une part de solidarité présente dans la culture des entreprises, - Une structure ou un expert qui soit en mesure d'accompagner le montage du projet Les enquêtes, et en particulier celle menée au sein de la NACRe par Leo Anselme, mettent en avant quatre points clés : 1. L implication du conseil d administration et du Président est très importante pour définir les orientations et/ou les règles internes et les faire respecter ; 2. Un vrai professionnalisme est nécessaire pour la conduite opérationnelle, c'est-àdire pour gérer la relation avec les salariés et les adhérents au quotidien ; 3. Les GE qui ont atteint une maturité font clairement la preuve de leur valeur ajoutée pour leurs membres, en terme de qualité des compétences mises à leur disposition. 4. Progressivement, sur leur territoire, ces GE sont connus et reconnus comme des employeurs attractifs. Le GE dans le secteur artistique et culturel Le secteur culturel s'oriente vers la spécialisation plutôt que vers des GE regroupant des entreprises appartenant à des secteurs économiques divers. Les GE culture semblent porteurs dans le secteur de la création du spectacle vivant (davantage autour de la création de spectacles), l'enseignement artistique et l'animation socioculturelle. Les postes mutualisés portent : soit sur des fonctions administratives de base (comptabilité, paie, secrétariat), soit, plus récemment, sur des fonctions de diffusion-production, soit, dans le cas particulier de l'enseignement artistique, sur la mise à disposition de professeurs. On tire quelques enseignements des GE créés dans le culturel : - Un GE doit s'appuyer au départ sur des connivences, des habitudes de travail, des identités de vue entre les adhérents, et doit émaner de ceux-ci. La mutualisation des emplois vients souvent après d autres formes de mutualisation. - Le bureau du CA, et surtout le président, ont un rôle majeur et moteur dans l'animation, le développement et la pédagogie du fonctionnement, d'autant plus que dans de petits GE la

5 fonction de direction n'a pas d'existence. Cela suppose donc que la question de la gouvernance ait été abordée au sein de chaque structure membre du GE. - La création d un GE suppose un travail de fond autour des modes de management de chaque structure, des besoins qualitatifs et quantitatifs en personnel au sein de chacune d entre elles, des calendriers de mise à disposition, ce qui ne correspond pas forcément aux approches habituelles de nos entités. - La formation des salariés et des adhérents, et la rencontre entre eux, ont un rôle essentiel dans la communauté de projet. - Les GE culture sont accompagnés par des cabinets ou des experts mais semblent guère s'appuyer sur les centres ressources régionaux, sans doute trop généralistes. - Les GE ne semblent viables qu'avec une aide des pouvoirs publics, en particulier pour financer l étude de faisabilité et l aide au démarrage. L'étude de faisabilité est capitale et sa durée doit être suffisamment longue (en général autour d un an) pour permettre d affiner toutes les dimensions du projet et de permettre une éventuelle évolution des représentations de chaque adhérent. - Les GE culture génèrent du développement d'activité chez les adhérents et de l'emploi sur le territoire, mais aussi de la qualification. Si le GE peut, sous certaines conditions, se révéler une bonne solution pour la mutualisation d'emplois administratifs, de médiation ou de formation culturelles, voire techniques, il semble plus difficile à mettre en œuvre pour ce qui est des emplois artistiques et des techniciens proches de l'artistique, comme le démontre l'étude de faisabilité réalisée par Temsis, Christophe Dubois et Vincent Bady en 2006 autour du projet porté par le Nouveau Théâtre du 8 ème de Lyon (financée par l Etat et la Région et supervisée par Aravis - La création d un tel GE se heurte notamment au fait que : -La liberté de distribution et du format de la pièce est en partie remise en cause du fait de l'obligation de donner du travail aux artistes engagés en CDI, - L'évaluation du temps de travail d'un artiste est difficile, - L'anticipation des activités est difficile car aléatoire, - Les périodes de production dans le spectacle vivant épousent à peu près le même rythme, - La viabilité du projet nécessiterait que les X % de revenus de substitution versés par les Assedic puissent être compensés par le GE, avec l aide de la collectivité, même si le passage de l'intermittence à la stabilité apportera des avantages au salarié : accès plus facile au logement et au crédit, une retraite plus importante, - Les comédiens et techniciens les plus intéressés ne sont pas les mieux insérés dans la profession et les plus «mutualisables» ; les plus matures, davantage sollicités, préfèrent l'intermittence ; - La récupération du régime intermittent sera difficile en cas de sortie du GE. Au terme de l étude de faisabilité, ces porteurs de projet examinent l intérêt respectif de trois scenarios : - La création d un groupement d employeurs classique - La création d un groupement d employeurs qui permette aussi aux membres de développer leurs propres projets, grâce à une association parallèle détentrice de la licence d entrepreneur de spectacles - La création d une coopérative d activité et d emploi (CAE).

6 L accompagnement des porteurs de projets de mutualisation par la NACRe Au terme d un travail de recensement des formes de mutualisation des emplois dans le secteur culturel présenté début 2006, la NACRe a réalisé un accompagnement de porteurs d un projet de GE. En parallèle, elle a travaillé avec d autres experts sur la question de la mutualisation et en particulier sur la dynamique de l accompagnement des porteurs de projet dans le secteur artistique et culturel. Membre du réseau AGEC, elle a participé au comité de pilotage de l étude commanditée par la DDAI du Ministère de la Culture et de la Communication à l INNEF et rendue en février L organisation de rencontres professionnelles consacrées à la thématique de la mutualisation en Rhône Alpes (octobre 2007 et avril 2008), ou la participation à l échelle nationale à de telles manifestations (Bordeaux en mars 2007 et Orléans en octobre 2008) ont permis de partager avec les professionnels de la culture les enseignements tirés de ces actions et les interrogations restées sans réponses. La réalisation d un accompagnement collectif dans le cadre des dispositifs locaux d insertion (DLA) a également permis ce partage d expériences auprès de porteurs de projet de mutualisation repérés sur un territoire (décembre 2008). La NACRe propose à chaque porteur de projet un appui en ce qui concerne la faisabilité ou la mise en place d un projet de mutualisation des emplois. Ce travail se fait généralement en réseau avec les DLA et les collectivités publiques, en particulier la Région Rhône-Alpes. Contact : David Berthelot, Coordinateur du pôle Conseil aux entreprises culturelles et aux collectivités publiques et responsable Recherche et Développement - d.berthelot@la-nacre.org La Région Rhône-Alpes et la mutualisation d emploi En adoptant en 2005 sa nouvelle politique régionale en faveur du spectacle vivant, la Région Rhône-Alpes a souhaité initier le principe d un soutien aux groupements d employeurs dans le champ culturel et à la mutualisation des emplois ainsi qu à des expériences innovantes de formation permanente dans le domaine du spectacle vivant. Suite aux travaux menés dans le cadre du Contrat d Objectifs Emploi Formation pour le spectacle vivant et l audiovisuel signé le 5 février 2007 par la Région, l Etat et les partenaires sociaux, ce soutien devient effectif et s étend aux entreprises du cinéma et de l audiovisuel. Le dispositif "Soutien à la mutualisation d emplois dans le secteur culturel" En quoi consiste cette aide? Il s agit d une aide incitative à la création ou au développement d emplois mutualisés. Elle est dégressive sur 3 ans et son montant est proportionnel au coût des emplois concernés (jusqu à 50% à la première année). L aide de la Région intervient à titre complémentaire des autres aides mobilisables (Direction Départementale du travail, Chambre régionale de l économie sociale et solidaire, etc.). Sont concernés : Toute structure, quelle que soit sa forme juridique, qui vise à mutualiser des emplois administratifs ou techniques au service de plusieurs collectifs artistiques ou entreprises du

7 cinéma et de l audiovisuel. Cette structure n a pas comme vocation première l émergence artistique, déjà soutenue par ailleurs, mais le développement de l activité d artistes déjà repérés. Conditions à remplir - Mettre en œuvre un principe de mutualisation d emplois, - Présenter une étude de faisabilité (accompagnement possible de la Région), - Traduire formellement ma volonté de coopération et de solidarité des différents membres, - Présenter un profil de poste qui vérifie l adéquation entre les missions confiées, le niveau de qualification et le niveau de rémunération des salariés dont l emploi est mutualisé, - Viser la création ou le développement d emplois durables (CDI, d un mi-temps minimum), - Prévoir un plan de formation et d accompagnement de ses salariés (aide possible de la Région). Contacts : Direction de la Culture Mission Emploi Formation. T / culture@rhonealpes.fr ou mrotterdam@rhonealpes.fr

Mutualisation des compétences

Mutualisation des compétences Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux

Plus en détail

ateliers Aravis - les ateliers Aravis - les ateliers Aravis les ateliers Aravis - les ateliers Aravis Formes d emploi et de travail atypiques

ateliers Aravis - les ateliers Aravis - les ateliers Aravis les ateliers Aravis - les ateliers Aravis Formes d emploi et de travail atypiques Formes d emploi et de travail atypiques GLOSSAIRE document de travail A------------------------------------------------------------------------------------------------------ Auto-entrepreneur DEFINITION

Plus en détail

Mutualisation, structuration et emploi dans le secteur culturel Rencontre le 15 janvier 2010 à Lyon

Mutualisation, structuration et emploi dans le secteur culturel Rencontre le 15 janvier 2010 à Lyon Mutualisation, structuration et emploi dans le secteur culturel Rencontre le 15 janvier 2010 à Lyon Modération par Gentiane Guillot (HorsLesMurs) et Christophe Dubois Intervention de Réjane Sourisseau/

Plus en détail

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant

Plus en détail

ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004

ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004 ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004 Préambule La Fédération des scènes de jazz et de musiques improvisées (FSJ) regroupe depuis 1996, des lieux

Plus en détail

La qualité de l emploi dans l économie sociale et solidaire: analyse et enjeux. une enquête en Alsace et en Lorraine

La qualité de l emploi dans l économie sociale et solidaire: analyse et enjeux. une enquête en Alsace et en Lorraine La qualité de l emploi dans l économie sociale et solidaire: analyse et enjeux Les associations et la question de la qualité de l emploi: une enquête en Alsace et en Lorraine Etude réalisée pour la DIIESES

Plus en détail

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions

Plus en détail

un Plan d Action Séniors un accord ou d entreprise Construire TRANSPORT & LOGISTIQUE Avec la participation de

un Plan d Action Séniors un accord ou d entreprise Construire TRANSPORT & LOGISTIQUE Avec la participation de Construire un accord ou d entreprise un Plan d Action Séniors TRANSPORT & LOGISTIQUE Direction régionale du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle Avec la participation de La loi, les

Plus en détail

Master Management PME - PMI

Master Management PME - PMI IUP Management et Gestion des Entreprises Master Management PME - PMI Lieu de formation : Clermont-Ferrand La situation générale des diplômés de la promotion 2007/2008 au er juillet 2009 (0 mois après

Plus en détail

L évolution des formes

L évolution des formes L évolution des formes d emploi 5 décembre 2014 Conseil d orientation pour l emploi Plan de la présenta-on I. Les formes d emploi: un paysage en évolution et de plus en plus complexe II. Les causes de

Plus en détail

1. Consolider l emploi dans les entreprises d insertion

1. Consolider l emploi dans les entreprises d insertion ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE SOUTIEN AUX EMPLOIS DE L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE ECONOMIE 17.12 DESCRIPTIF DE L'INTERVENTION OBJECTIFS Consolider l emploi des entreprises de l économie sociale et solidaire

Plus en détail

Groupements d employeurs

Groupements d employeurs Groupements d employeurs Rapport d étude Sommaire Objectifs de l étude.. Page 3 Déroulement de l étude. Page 4 Les 3 groupements.. Page 5 Méthodologie.. Page 6 Caractéristiques des 3 groupements.. Page

Plus en détail

DISPOSITIFS Accompagnement

DISPOSITIFS Accompagnement DISPOSITIFS Accompagnement JUILLET 2014 SOCIÉTÉ D'INVESTISSEMENT FRANCE ACTIVE /fr/outils/sifa.php Type d'aide : Accompagnement ; Prêt Financement remboursable /// Nature : prêt participatif ou compte

Plus en détail

Licence professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité développement d'applications Internet/Intranet

Licence professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité développement d'applications Internet/Intranet IUT - Institut Universitaire de Technologie Licence professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité développement d'applications Internet/Intranet / Objectifs de cette licence professionnelle

Plus en détail

Pour calculer les effectifs d une entreprise, il faut tenir compte de 3 paramètres.

Pour calculer les effectifs d une entreprise, il faut tenir compte de 3 paramètres. «Effectif de l entreprise CSA et FPC» Décompte des effectifs de l entreprise pour le calcul du taux de la Contribution supplémentaire à l apprentissage et de contribution Formation Professionnelle continue

Plus en détail

OUVRIR LES PORTES DE LA BANQUE AUX JEUNES ENTREPRENEURS

OUVRIR LES PORTES DE LA BANQUE AUX JEUNES ENTREPRENEURS Contexte général de lancement de l expérimentation Pour des raisons indépendantes de notre volonté et de notre implication, la convention avec le Ministère a été signée à la fin du mois de décembre 2010.

Plus en détail

éclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage

éclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires

Plus en détail

Les autres obligations :

Les autres obligations : COMITE D ENTREPRISE OBLIGATIONS liées à la CONSULTATION du COMITE D ENTREPRISE 2012 Les autres obligations : E g a l i t é p r o f e s s i o n n e l l e H a n d i c a p S é n i o r P é n i b i l i t é

Plus en détail

L organisation interne et la gestion des ressources humaines. Un outil d aide à la structuration

L organisation interne et la gestion des ressources humaines. Un outil d aide à la structuration L organisation interne et la gestion des ressources humaines Un outil d aide à la structuration Sommaire 1 L organisation interne de l association 2 1.1. Clarifier les rôles et missions de chacun 2 1.2.

Plus en détail

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 Février 2015 - N 15.004 L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 En résumé : En 2013, l emploi intermittent du spectacle concerne 254 000 salariés, 111 000 employeurs relevant du

Plus en détail

Licence professionnelle Administration et gestion des entreprises culturelles de la musique et du spectacle vivant

Licence professionnelle Administration et gestion des entreprises culturelles de la musique et du spectacle vivant Formations et diplômes Rapport d évaluation Licence professionnelle Administration et gestion des entreprises culturelles de la musique et du spectacle vivant Université Savoie Mont Blanc - USMB Campagne

Plus en détail

D o s s i e r D e P r e s s e

D o s s i e r D e P r e s s e D o s s i e r D e P r e s s e Ouverture à Lyon de la première Maison des Emplois de la Famille La Maison des Emplois de la Famille Le Groupe IRCEM La FEPEM IPERIA, l Institut Maison des Emplois de la Famille

Plus en détail

GESTION, ADMINISTRATION

GESTION, ADMINISTRATION GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique

Plus en détail

Effectif de l entreprise TA et FPC

Effectif de l entreprise TA et FPC Décompte des effectifs de l entreprise Contribution supplémentaire à l apprentissage et Formation Professionnelle continue Les effectifs des entreprise déterminent des obligations pour les entreprises

Plus en détail

Rendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.

Rendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch. Rendez-vous de l ESS régionale Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.org %! "! $!!" # % " Les entreprises d économie sociale et solidaire

Plus en détail

L économie sociale et solidaire

L économie sociale et solidaire L économie sociale et solidaire Traditionnellement le mois de novembre est le mois de l Economie Sociale et Solidaire. Cette année comme les années précédentes de nombreuses actions et rencontres ont eu

Plus en détail

www.jpad.fr.st JPAD portage - portage 1/5 Pour qui? Comment? Les avantages Portage - Pour qui?

www.jpad.fr.st JPAD portage - portage 1/5 Pour qui? Comment? Les avantages Portage - Pour qui? JPAD portage - portage 1/5 Pour qui? Comment? Les avantages Portage - Pour qui? Une nouvelle façon de travailler : le portage permet à des consultants (experts ou formateurs) d'être salariés pour une mission

Plus en détail

EXEMPLES DE STATUTS DE CONTEURS

EXEMPLES DE STATUTS DE CONTEURS 1 EXEMPLES DE STATUTS DE CONTEURS I/CONTEUR EMPLOYE et déclaré intermittent du spectacle : 1)Par une association non domiciliée à sa propre adresse dont il n est ni le président, ni le trésorier, ni le

Plus en détail

Entreprendre Autrement

Entreprendre Autrement Intention de communication de Réseau Entreprendre Sur la duplication d entreprises sociales Mise à jour le 08/07/07 Présentée par Philippe Garcin, délégué régional au programme Entreprendre Autrement Réseau

Plus en détail

ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE

ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE Préambule Considérant la situation économique et, notamment, l impact de celle ci sur le marché de l emploi et le

Plus en détail

Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE)

Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) Date de l ouverture de l appel à projets : Mi-juillet 2013 Date de clôture de l appel à projets : 31 octobre

Plus en détail

L intergénérationnel, un enjeu pour tous

L intergénérationnel, un enjeu pour tous www.limousin.gouv.fr 1 2 L intergénérationnel, un enjeu pour tous 3 SOMMAIRE COMMUNIQUE DE SYNTHESE page 4 CONTEXTE page 6 Le contrat de génération en Limousin L appui-conseil au contrat de génération

Plus en détail

LES PREMIÈRES ÉTAPES DU PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ EN SEINE-SAINT-DENIS

LES PREMIÈRES ÉTAPES DU PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ EN SEINE-SAINT-DENIS LES PREMIÈRES ÉTAPES DU PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ EN SEINE-SAINT-DENIS Edition 2014 SOMMAIRE Editorial de Monsieur le préfet. 1 Le pacte est au service des entreprises et des ménages 2-3

Plus en détail

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire Contexte régional Créé en 2010 par l Atelier Centre de ressources régional de l économie sociale et solidaire et la Chambre régionale

Plus en détail

Vers de nouvelles formes de travail

Vers de nouvelles formes de travail Grand Lyon les cahiers Vers de nouvelles formes de travail Expérimentations dans la région lyonnaise par Emile Hooge, consultant chez Tremplin. Cette contribution s appuie sur une étude réalisée à la demande

Plus en détail

PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE

PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE Un certain regard sur les résultats 2011 Ce guide est cofinancé par l Union Européenne Ce guide est cofinancé par l Union Européenne PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE

Plus en détail

Parcours Management de projet et innovation

Parcours Management de projet et innovation Promotion / Site : Clermont-Ferrand Master Pilotage des organisations Parcours Management de projet et innovation Ce parcours répond aux évolutions du fonctionnement des organisations actuelles au sein

Plus en détail

LE DEVENIR DES DIPLOMÉS

LE DEVENIR DES DIPLOMÉS LE DEVENIR DES DIPLOMÉS Finalité : Professionnelle Situation professionnelle deux ans après l obtention d un master 2 Les enquêtes sur le devenir des diplômés du master «management de la communication»,

Plus en détail

WAGRAM CONSULTING sarl. 5 rue Villaret de Joyeuse 75017 Paris. Tel : 01 80 87 44 24. www.wagram-portage.fr. contact@wagramconsulting.

WAGRAM CONSULTING sarl. 5 rue Villaret de Joyeuse 75017 Paris. Tel : 01 80 87 44 24. www.wagram-portage.fr. contact@wagramconsulting. Depuis 2008, Wagram Consulting offre aux consultants la possibilité d exercer leur activité en toute indépendance en les libérant des contraintes administratives. Le portage salarial est reconnu par les

Plus en détail

LMD. Expertise comptable COLLECTION. Le meilleur. du DCG 3. Droit social. 2 e ÉDITION. Marie-Paule Schneider Maryse Ravat.

LMD. Expertise comptable COLLECTION. Le meilleur. du DCG 3. Droit social. 2 e ÉDITION. Marie-Paule Schneider Maryse Ravat. LMD COLLECTION Expertise comptable Le meilleur du DCG 3 Droit social 2 e ÉDITION Marie-Paule Schneider Maryse Ravat Sup FOUCHER «Le photocopillage, c est l usage abusif et collectif de la photocopie sans

Plus en détail

Le cahier des charges du 2 ème appel à projets d Alter Incub Rhône-Alpes, l incubateur régional d entreprises sociales, précise le contexte dans

Le cahier des charges du 2 ème appel à projets d Alter Incub Rhône-Alpes, l incubateur régional d entreprises sociales, précise le contexte dans Le cahier des charges du 2 ème appel à projets d Alter Incub Rhône-Alpes, l incubateur régional d entreprises sociales, précise le contexte dans lequel s inscrit Alter Incub ainsi que les modalités et

Plus en détail

Livret 2. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire

Livret 2. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire Déterminer mes choix juridiques Livret 2 Les modes d hébergement aidés de l entreprise Mise à jour février 2008 Département Tertiaire Avertissement au lecteur Le présent fascicule fait l'objet d'une protection

Plus en détail

Compétences partagées, les règles à respecter

Compétences partagées, les règles à respecter Dossier Compétences partagées, les règles à respecter Les associations sont avides de moyens efficaces de mutualisation des ressources humaines et de partage des compétences. Les activités qu elles exercent

Plus en détail

Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs

Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie MARDI Contact presse Ministère de la Culture et de la Communication Délégation à l information et à

Plus en détail

I. Marché du travail et emploi salarié privé. Evolution du nombre de demandeurs d emploi (cat ABC) à fin octobre 2012. Oct. 2011 Oct.

I. Marché du travail et emploi salarié privé. Evolution du nombre de demandeurs d emploi (cat ABC) à fin octobre 2012. Oct. 2011 Oct. M a i s o n d e l E m p l o i L es Cahier s J a n v i e r 2 0 1 3 - N u m é r o 1 9 Avec la participation de : Ce cahier construit par et pour les acteurs de l Emploi, de la Formation et du Développement

Plus en détail

Édito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon

Édito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon Édito L année 2014 a constitué pour le Centre de gestion du Rhône et de la Métropole de Lyon une année forte d évolutions et de renouvellement avec en parallèle la poursuite des nombreuses activités qui

Plus en détail

Licence professionnelle Gestion de l'économie sociale et solidaire et entrepreneuriat

Licence professionnelle Gestion de l'économie sociale et solidaire et entrepreneuriat Promotion / Site : Clermont-Ferrand Licence professionnelle Gestion de l'économie sociale et solidaire et entrepreneuriat Objectif de cette licence professionnelle : Former des cadres intermédiaires du

Plus en détail

RENCONTRE TRIPARTITE DU 18 FEVRIER 2009 : 30 MESURES URGENTES POUR FAIRE FACE A LA CRISE

RENCONTRE TRIPARTITE DU 18 FEVRIER 2009 : 30 MESURES URGENTES POUR FAIRE FACE A LA CRISE RENCONTRE TRIPARTITE DU 18 FEVRIER 2009 : 30 MESURES URGENTES POUR FAIRE FACE A LA CRISE La CFTC demande l organisation d un marathon social. Il s agira d élaborer une liste lors de cette réunion du 18

Plus en détail

ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007

ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007 ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007 Préambule Dans le prolongement de la loi du 9 mai 2001 relative

Plus en détail

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Dares Analyses FÉVRIER 2014 N 016 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L EMPLOI DANS LES TRÈS PETITES ENTREPRISES EN DÉCEMBRE 2012 Les entreprises

Plus en détail

Section des Formations et des diplômes

Section des Formations et des diplômes Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence Arts du spectacle - Cinéma de l Université Paris 8 - Vincennes Saint-Denis Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte

Plus en détail

MONTAGE ET REALISATION DU PROGRAMME SOFT-WHERE EXPORT 2013 CAHIER DES CHARGES

MONTAGE ET REALISATION DU PROGRAMME SOFT-WHERE EXPORT 2013 CAHIER DES CHARGES MONTAGE ET REALISATION DU PROGRAMME SOFT-WHERE EXPORT 2013 CAHIER DES CHARGES 1) Introduction Dans le cadre de son PDI (Plan de Développement International), le Cluster EDIT a mis en place une action nommée

Plus en détail

Société de services en ressources humaines spécialisée dans le domaine de l énergie

Société de services en ressources humaines spécialisée dans le domaine de l énergie Société de services en ressources humaines spécialisée dans le domaine de l énergie Concept Autonomie, indépendance, flexibilité Le portage salarial est basé sur une relation tripartite entre une personne

Plus en détail

La mutualisation des emplois dans le spectacle vivant Bibliographie du mois de Janvier 2009

La mutualisation des emplois dans le spectacle vivant Bibliographie du mois de Janvier 2009 La mutualisation des emplois dans le spectacle vivant Bibliographie du mois de Janvier 2009 Vous trouverez dans ce document un ensemble de références sur la mutualisation des emplois dans le secteur culturel

Plus en détail

Groupements d employeurs, compétences en temps partagé, portage salarial : Une forme d emploi novatrice? Club RH 1 octobre 2009

Groupements d employeurs, compétences en temps partagé, portage salarial : Une forme d emploi novatrice? Club RH 1 octobre 2009 Groupements d employeurs, compétences en temps partagé, portage salarial : Une forme d emploi novatrice? Club RH 1 octobre 2009 Le portage salarial Isabelle DEJEAN, AGC Groupe PROMAN - Besançon Qui est

Plus en détail

Les grands centres ressources nationaux du spectacle vivant

Les grands centres ressources nationaux du spectacle vivant Fiche Mémo Ressources juridiques dans Ressources le spectacle vivant Vous travaillez dans le spectacle vivant et vous avez besoin d une information juridique? Voici une liste de ressources disponibles

Plus en détail

ALLOCATIONS POUR FRAIS D'EMPLOI

ALLOCATIONS POUR FRAIS D'EMPLOI 2041 GP N 50688#14 DOCUMENT POUR REMPLIR LA DÉCLARATION DES REVENUS DE 2012 Ce document n'a qu'une valeur indicative. Il ne se substitue pas à la documentation officielle de l'administration. ALLOCATIONS

Plus en détail

Implantée sur TOULOUGES, dans les Pyrénées Orientales, la société ACTIV PORTAGE vous apporte :

Implantée sur TOULOUGES, dans les Pyrénées Orientales, la société ACTIV PORTAGE vous apporte : 1/9 Implantée sur TOULOUGES, dans les Pyrénées Orientales, la société ACTIV PORTAGE vous apporte : - Pour vous tous : Devenez indépendant avec un statut salarié : Saisissez toutes les opportunités de mission

Plus en détail

CAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015

CAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015 CAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015 1 2 Période de professionnalisation 3 Tutorat 4 Compte Personnel de Formation ATTENTION : CES CRITÈRES SONT SUSCEPTIBLES D'ETRE MODIFIÉS

Plus en détail

Licence professionnelle Management des relations commerciales

Licence professionnelle Management des relations commerciales Promotion 29/2 Site : Clermont-Ferrand Licence professionnelle Management des relations commerciales Objectifs de cette licence professionnelle : D'une part, former des étudiants destinés à intégrer le

Plus en détail

2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays

2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays Module 2 : Services à la population 2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays réservée : 400 000 OBJECTIFS STRATÉGIQUES - Développer les solidarités locales et l'accessibilité de tous aux services (Axe

Plus en détail

Le Groupement d Employeurs

Le Groupement d Employeurs Le Groupement d Employeurs Une formule qui permet aux petites et moyennes entreprises de se regrouper pour employer une maind œuvre qu elles n auraient pas, seules les moyens de recruter Qu est-ce qu un

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Entrepreneuriat de l Université Paris 13 - Paris-Nord Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES

CONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES CONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES Le prêt de main d œuvre est pratiqué de longue date dans le secteur du Bâtiment. Il consiste, de la part d un entrepreneur,

Plus en détail

Le guide. juridique. www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN!

Le guide. juridique. www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN! Le guide juridique www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN! sommaire Contexte de l évolution de la «Loi Fillon»... 3 Comment bénéficier des avantages de la «Loi Fillon»?... La participation de

Plus en détail

APPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES. Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective

APPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES. Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective APPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective POEC CONSULTANT D ENTREPRISE EN PORTAGE SALARIAL Une opération cofinancée par le FPSPP Date

Plus en détail

LETTRE CIRCULAIRE N 2008-081

LETTRE CIRCULAIRE N 2008-081 Montreuil, le 16/10/2008 ACOSS DIRECTION DE LA REGLEMENTATION DU RECOUVREMENT ET DU SERVICE DIRRES LETTRE CIRCULAIRE N 2008-081 OBJET : Loi n 2008-596 du 25 juin 2008 portant modernisation du marché du

Plus en détail

11 juin 2014. Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014

11 juin 2014. Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014 11 juin 2014 Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014 - 2 - Sommaire Le Pacte de responsabilité et de solidarité pour la croissance et l emploi... 5 Les dates clés du pacte de responsabilité

Plus en détail

MANIFESTE POUR UN PORTAGE SALARIAL OUVERT AU PLUS GRAND NOMBRE : 600 000 EMPLOIS À LA CLÉ! DE LA FÉDÉRATION NATIONALE DU PORTAGE SALARIAL

MANIFESTE POUR UN PORTAGE SALARIAL OUVERT AU PLUS GRAND NOMBRE : 600 000 EMPLOIS À LA CLÉ! DE LA FÉDÉRATION NATIONALE DU PORTAGE SALARIAL MANIFESTE DE LA FÉDÉRATION NATIONALE DU PORTAGE SALARIAL POUR UN PORTAGE SALARIAL OUVERT AU PLUS GRAND NOMBRE : 600 000 EMPLOIS À LA CLÉ! POUR UN PORTAGE SALARIAL OUVERT AU PLUS GRAND NOMBRE : 600 000

Plus en détail

LETTRE CIRCULAIRE n 2015 0000045

LETTRE CIRCULAIRE n 2015 0000045 LETTRE CIRCULAIRE n 2015 0000045 GRANDE DIFFUSION Réf Classement 1;010;04 Montreuil, le 12/08/2015 12/08/2015 DIRECTION DE LA REGLEMENTATION DU RECOUVREMENT ET DU SERVICE SOUS DIRECTION REGLEMENTATION

Plus en détail

AG ECONOMIE, EMPLOI, INDUSTRIE Section Paris 2 ème 28/02/2013

AG ECONOMIE, EMPLOI, INDUSTRIE Section Paris 2 ème 28/02/2013 AG ECONOMIE, EMPLOI, INDUSTRIE Section Paris 2 ème 28/02/2013 Compte rendu Exposé sur les outils économiques de la région île de France Guillaume Balas (Président du groupe socialiste au Conseil régional

Plus en détail

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS N 5 DU 12 JANVIER 2010 DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES 7 S-1-10 INSTRUCTION DU 29 DECEMBRE 2009 IMPOT DE SOLIDARITE SUR LA FORTUNE. CALCUL DE L IMPOT. REDUCTION D

Plus en détail

Plateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010. Axe Emploi et Solidarité. PME - Indépendants

Plateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010. Axe Emploi et Solidarité. PME - Indépendants Plateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010 Axe Emploi et Solidarité PME - Indépendants Plateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010 PME - Indépendants Etat des lieux

Plus en détail

Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation

Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation Attention : Ce document a été établit en juin 2015. Les informations qu il contient peuvent avoir évoluées en fonction des lois

Plus en détail

Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines?

Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines? Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines? Chapitre 1 La gestion des ressources humaines (GRH) peut être définie comme la gestion des hommes au travail dans des organisations (Martory et Crozet,

Plus en détail

SE FORMER. une passerelle vers l emploi. Personnes Handicapées AIDES ET SERVICES DE L AGEFIPH NOVEMBRE 2014. l Les bonnes questions à se poser

SE FORMER. une passerelle vers l emploi. Personnes Handicapées AIDES ET SERVICES DE L AGEFIPH NOVEMBRE 2014. l Les bonnes questions à se poser Personnes Handicapées AIDES ET SERVICES DE L AGEFIPH NOVEMBRE 2014 SE FORMER une passerelle vers l emploi l Les bonnes questions à se poser l Quelles démarches? l Les aides de l Agefiph dont vous pouvez

Plus en détail

Licence professionnelle Assistant juridique

Licence professionnelle Assistant juridique Promotion / Site : Clermont-Ferrand Objectif de cette licence professionnelle : Licence professionnelle Assistant juridique La licence professionnelle assistant juridique offre aux étudiants qui ont acquis

Plus en détail

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,

Plus en détail

SEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION...

SEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION... P9703-F1/2 291 SEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION... 292 II. L URGENCE : LEGIFERER PAR ORDONNANCES... 295 III.

Plus en détail

FAQ sur le metteur en scène

FAQ sur le metteur en scène FAQ sur le metteur en scène I. LE STATUT SOCIAL DU METTEUR EN SCENE Le metteur en scène est-il juridiquement considéré comme un artiste? Oui. Le droit du travail donne une liste non exhaustive des artistes

Plus en détail

Un GSI plénier est prévu en juin 2001 au cours duquel devra être présenté un document élaboré à partir des travaux du groupe de travail.

Un GSI plénier est prévu en juin 2001 au cours duquel devra être présenté un document élaboré à partir des travaux du groupe de travail. Contrats éducatifs locaux missions et la formation des coordonnateurs de cel Réflexions du groupe de travail relevant du groupe de suivi interministériel des cel 1. Informations L'outil informatique de

Plus en détail

«Clé USB pour la promotion d'œuvres d'artistes (photographes, plasticiens...» Lycée La Découverte

«Clé USB pour la promotion d'œuvres d'artistes (photographes, plasticiens...» Lycée La Découverte Date de remise du rapport : 02 / 2014 «Clé USB pour la promotion d'œuvres d'artistes (photographes, plasticiens...» Lycée La Découverte NOTE DE RESTITUTION FINALE DU PORTEUR DE PROJET Ministère des Sports,

Plus en détail

Comment SE PRÉPARER. à la validation des acquis de son expérience

Comment SE PRÉPARER. à la validation des acquis de son expérience GUIDE POUR AGIR Comment SE PRÉPARER à la validation des acquis de son expérience JE BÂTIS MON PROJET PROFESSIONNEL Avec le soutien du Fonds social européen Pourquoi se préparer à la validation des acquis

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques La loi ESS, enjeux et opportunités (Dossier réalisé par Michèle Lorillon, In Extenso) La loi relative à l Economie Sociale et Solidaire (ESS), qui était tant attendue par

Plus en détail

Le Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI)

Le Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI) Le Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI) 1 Définition du CDDI un contrat de travail à durée déterminée dont le motif de recours est spécifique : favoriser le recrutement de certaines catégories

Plus en détail

LE CONTRAT D'APPRENTISSAGE POUR LES EMPLOYEURS

LE CONTRAT D'APPRENTISSAGE POUR LES EMPLOYEURS LE CONTRAT D'APPRENTISSAGE POUR LES EMPLOYEURS Quelle peut être la durée du contrat? La durée du contrat d apprentissage est au moins égale à celle du cycle de formation qui fait l objet du contrat et

Plus en détail

Schéma du Groupement d Employeurs

Schéma du Groupement d Employeurs Schéma du Groupement d Employeurs Groupement d Employeurs X... Président : Secrétaire : Trésorier : Conseil d Administration LE GROUPEMENT Statuts du GE Art 1... Art 2... Art 3... Club A Club B Club C

Plus en détail

LES RÈGLES D INDEMNISATION DE L ASSURANCE CHÔMAGE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE DU 14 MAI 2014

LES RÈGLES D INDEMNISATION DE L ASSURANCE CHÔMAGE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE DU 14 MAI 2014 LES RÈGLES D INDEMNISATION DE L ASSURANCE CHÔMAGE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE DU 14 MAI 2014 SOMMAIRE Page 04 QU EST-CE que l Assurance chômage? Page 06 QUI est assuré contre la perte d emploi? Page

Plus en détail

Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015

Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015 Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015 MAI 2011 1 Sommaire 1. Eléments de contexte... 3 1.1 L économie sociale et solidaire à Lille, Lomme et Hellemmes en quelques chiffres..4

Plus en détail

LE PRET DE MAIN D OEUVRE

LE PRET DE MAIN D OEUVRE LE PRET DE MAIN D OEUVRE CCI CHERBOURG-COTENTIN Marie-Laure LAURENT Avocat au Département Droit social Tel : 02.33.88.36.36 Mail : marie-laure.laurent@fidal.fr Mardi 25 juin 2013 1 Relation triangulaire

Plus en détail

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les

Plus en détail

Fiche n 1 : Personnel salarié Chargé d enseignement vacataire

Fiche n 1 : Personnel salarié Chargé d enseignement vacataire Fiche n 1 : Personnel salarié Chargé d enseignement vacataire I. Condition générale: Avoir une activité salariée d au moins 900h de travail, ou 300 heures d enseignement, par an II. Condition liée à l

Plus en détail

La Préparation Opérationnelle à l Emploi Collective

La Préparation Opérationnelle à l Emploi Collective Un appui au recrutement de vos futurs salariés intérimaires La Préparation L essentiel de la POEC A la différence de la POE Individuelle, la POE n est pas conditionnée au dépôt préalable d une offre d

Plus en détail

Appel à candidature. Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers

Appel à candidature. Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers Appel à candidature Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers Contexte La mobilité géographique est l un des sujets centraux lorsque l on aborde la question

Plus en détail

DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL

DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL REUNION DU 20 JUILLET 2012 DELIBERATION N CR-12/05.340 DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL SCHEMA REGIONAL DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET DE L'EMPLOI Stratégie régionale de développement de l'économie sociale

Plus en détail

Entreprendre autrement: Introduction à l économie sociale et solidaire et à l Entrepreneuriat social

Entreprendre autrement: Introduction à l économie sociale et solidaire et à l Entrepreneuriat social Entreprendre autrement: Introduction à l économie sociale et solidaire et à l Entrepreneuriat social Université de Caen - Master 2 : Entrepreneuriat UFR - Sciences Economiques et de Gestion Février 2009

Plus en détail

Licence professionnelle Génie logiciel, développement d'applications pour plateformes mobiles

Licence professionnelle Génie logiciel, développement d'applications pour plateformes mobiles Promotion 22/23 Situation au er mars 24 Site : Clermont-Ferrand / Aubière Licence professionnelle Génie logiciel, développement d'applications pour plateformes mobiles Objectif de cette licence professionnelle

Plus en détail