Service d Aide à l Intégration
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- Christine Raymond
- il y a 7 ans
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1 Service d Aide à l Intégration Parcours Comm Un Province de Luxembourg Service Provincial Culture Accompagnement Enseignement et Formation Institut Médico-Pédagogique de Ethe Rue Nouvelle, ETHE AWIPH : MAH 422
2 L ORGANISATION DU SYSTÈME D INTÉGRATION AU SEIN DU SECTEUR SCOLAIRE. Quelle place, quel rôle pour un SAI? BISSOT MARIE-CLAIRE - BALON SEBASTIEN SAI Parcours Comm Un Séance du conseil du : Etat de la question de l enseignement en Province de Luxembourg.
3 UN SAI C EST QUOI? Un SAI, c est un Service d Aide à l Intégration Agréé et subsidié par l Agence Wallonne pour l Intégration des Personnes Handicapées. Il est défini par l arrêté du gouvernement wallon du relatif à l intégration des jeunes handicapés. Il existe 32 SAI à travers la Wallonie pour un total de 723 places agréées (2009) et 1383 bénéficiaires (2011).
4 LES SERVICES D ACCOMPAGNEMENT DE L AWIPH AU FIL DE LA VIE ans Les Services d Aide Précoce (SAP) de 0 à 8 ans Les Services d Aide à l Intégration (SAI) de 6 à 20 ans Projets Transition ans Les Services d Accompagnement (SAc) de 18 à + 65 ans 4
5 L AIDE A L INTEGRATION L aide à l intégration consiste à accompagner lejeune afinde favorisersa participationet sa socialisation dans ses milieux ordinaires de vie. Cet objectif est poursuivi principalement sur le plan familial, scolaire, social, des loisirs et, lecaséchéant,professionnel. 5
6 LES MISSIONS DES SAI Il accompagne individuellement le jeune en dehors du temps scolaire, Il accompagne le jeune pendant le temps scolaire au travers d activités individuelles ou de groupe, Il recherche des réponses collectives à des besoins individuels, Il travaille en réseau et développe un travail communautaire. 6
7 ELABORATION DU PROJET D ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUALISÉ JEUNE FAMILLE ENTOURAGE DONT ECOLE DEMANDES BESOINS PROJET D ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUALISÉ L intervention du SAI commence par l élaboration du PAI; celui-ci est l articulation entre des demandes et des besoins.
8 LA PLACE D UN SAI DANS LE SYSTEME DE L ENSEIGNEMENT INTERVENTIONS COMPLEMENTAIRES AUX ACTIONS DES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES AFIN DE MAINTENIR LE JEUNE DANS SON MILIEU SCOLAIRE Accompagnement individuel en classe Accompagnement individuel hors classe Il accompagne le jeune pendant le temps scolaire au travers d activités individuelles ou de groupe. Activités avec un groupe-classe Participation à des sorties de groupe(s) scolaire(s) Information(s) sur les pratiques pédagogiques Information(s) sur le handicap et l intégration Information(s) sur les adaptations liés au(x) handicap(s) du jeune Information(s) sur le décret des élèves à besoins spécifiques Coordination-rencontre avec le personnel enseignant Etc. 8
9 EXCLUSION SEGREGATION LES SCENARIOS DE L INTEGRATION SCOLAIRE Historique. INTEGRATION INCLUSION L inclusion de la personne handicapée - Thérèse KEMPENEERS-FOULON L Observatoire de l accueil et de l accompagnement de la personne handicapée en Région bruxelloise
10 L INTÉGRATION SCOLAIRE : UN BREF APERÇU EN WALLONIE EN SAP 225 SAI 266 SAP 81 SAI 159 SAP 17 SAI 27 Source : AWIPH, Grégory Béclin, Gestionnaire de projets, Direction des Services d'aide en Milieu de Vie.
11 LES SCENARIOS DE L INTEGRATION SCOLAIRE Intégration scolaire hors décret accord de coopération FWB/RW «soutien à la scolarité pour les jeunes présentant un handicap» (10/04/09) avec l utilisation d une convention de soutien à la scolaritétripartite (établissement scolaire/cpms/sai) Via l accord de coopération un SAI peut intervenir en complément du décret. Intégration scolaire avec le décret relatif aux «élèves à besoins spécifiques». (05/02/09) Collaboration entre Enseignement Ordinaire Et Enseignement Spécialisé Cf. Vadémécum de l intégration des élèves à besoins spécifiques. ( 11
12 L INTÉGRATION DES ÉLÈVES À BESOINS SPÉCIFIQUES PROGRESSE. En : 1619 élèves à besoins spécifiques ont été intégrés.
13 1313 L INTÉGRATION SCOLAIRE AVEC ACTIVATION DU DÉCRET DU 05/02/09. o u r s C o m m U n o u r s C o m m U n E c o l e s E O / E S E c o l e s E O / E S j e t d u j e u n e e t d e l a f a m i l l e j e t d u j e u n e e t d e l a f a m i l l e C P M S E O / E S C P M S E O / E S Autres Intervenants et
14 14 PRÉSENTATION DU SITE PROVINCIAL DE ETHE. COLLABORATIONS TRANSVERSALES S u r l e s i t e d e e n t s p é c i a l i s é T y p e 8 t i e l p o u r J e u n e s ( S R J ) a t i o n ( S A I ) «P a r c o u r s C o m Secrétariat Personnel d entretien et de cuisine IMP
15 BREF HISTORIQUE DU SERVICE. Le service existe depuis le 1 er septembre Le service est issu de la transformation d un Service d Accueil de Jour pour Jeunes (SAJJ) ou, plus connu précédemment sous le nom de «semi-internat». Parcours Comm Un est agréé pour un minimum de 12 dossiers par l AWIPH. 15
16 PUBLIC DE PARCOURS COMM UN Le service s adresse à des jeunes de 6 à 20 ans présentant un handicap reconnu par l AWIPH. Excepté les troubles de la sphère autistique et les handicaps de grande dépendance. Nombre de jeunes accompagnésau 01/11/13 Age Genre 28 De 8 à 16 ans. 20 garçons 8 filles 16
17 LA ZONE GÉOGRAPHIQUE D INTERVENTION DE PARCOURS COMM UN Le SAI Parcours Comm Un existe pour des jeunes résidant dans les communes de: Attert, Habay, Chiny, Florenville, Arlon, Etalle, Tintigny, Messancy, Saint-Léger, Messancy, Meix-devant-Virton, Aubange, Virton, Rouvroy, Musson. Province de Luxembourg 17
18 L INTÉGRATION SCOLAIRE A PARCOURS COMM UN 18 JEUNES 9 jeunes 9 jeunes Intégration scolaire hors décret En enseignement ordinaire Au 01/11/13 Intégration scolaire avec le décret 3 jeunes handicap auditif 3 TDA/H avec trouble(s) dys associé(s) 1 jeune dysphasique 1 jeune IMC 1 jeune avec handicap visuel 2 TDA/H avec trouble(s) dys associé(s) 1 jeune dyspraxique 1 jeune avec handicap visuel 3 jeunes avec handicap mental 1 jeune IMC 1 jeune diagnostic non précisé 18
19 LA MISSION D ACCOMPAGNEMENT PENDANT LE TEMPS SCOLAIRE : DE LA THÉORIE AUX ACTIONS DE TERRAIN 19
20 LES PROJETS D INTÉGRATION SCOLAIRE A PARCOURS COMM UN. Jeunes accompagnés hors décret(avec convention) Jeunes accompagnés avec décretrelatifaux élèves à besoins spécifiques Total des jeunes accompagnés par le service dans un projet d'intégration scolaire Pourcentagede la population du service concerné par un projet d'intégration scolaire % % % % %
21 LES PROJETS D INTÉGRATION SCOLAIRE A PARCOURS COMM UN Etablissements dans l enseignement ordinaire Etablissements dans l enseignement spécialisé Total des établissementsavec lesquelles le service collabore
22 CONCLUSIONS Présentation de Parcours Comm Un sous l angle de l intégration scolaire et particulièrement en référence à l accompagnement durant le temps scolaire. Parcours Comm Un a la réputation auprès des établissements scolaires et des familles de permettre l intégration scolaire et d avoir une expérience dans le domaine. Lors de la parution du décret d aide à l intégration dans l enseignement ordinaire d enfants à besoins spécifiques, l équipe s est informée et a dû se positionner par rapport à lui et cibler différemment les interventions pendant le temps scolaire. 22
23 Quelle place, quel rôle pour un SAI? Autres Intervenants et Parcours Comm Un CONCLUSIONS Information Conseil Appui Complément Autonomie du projet Mission hors temps scolaire renforcée Intégration/inclusion Aménagements raisonnables 23
24 LA SITUATION DES SAI EN PROVINCE DE LUXEMBOURG I-Mediat Le Soleil Bleu Le Val d Aisne? Autilux Parcours Comm Un
25 «Traitez les gens comme s ils étaient ce qu ils pourraient être, etvouslesaiderezàdevenircequ ilssontcapablesd être.» Goethe. 25
26 Merci de votre attention. 26
27 Service d Aide à l Intégration Editeur responsable : Pierre-Henry Goffinet, Directeur général Square Albert 1 er, 1 Arlon Parcours Comm Un Province de Luxembourg Nos coordonnées : SAI Parcours Comm Un Rue Nouvelle, ETHE Tél. : 063/ Fax : 063/ Courriel: parcours.commun@province.luxembourg.be
28 DIAS DE RESERVE EN FONCTION DES QUESTIONS 28
29 La province de Luxembourg : un territoire contrasté. Densité des populations communales au 1/1/2010 Part des moins de 20 ans dans la population des communes wallonnes au 1/1/2010 (en %) Institut wallon de l évaluation, de la prospective et de la statistique - Les chiffres-clés de la wallonie- N 12 Fév «La province de Luxembourg est un territoire étendu (4 440 km 2 ) mais peu peuplé ( habitants). la densité de population y est d ailleurs la plus faible de Wallonie (61 hab./km² contre 208 au niveau régional). c est néanmoins l une des région où l évolution démographique a été la plusélevéeaucoursdes10dernièresannées.» FOREM, état des lieux socio-économique 2011 de la province de Luxembourg - Type&blobwhere= &blobheadervalue1=application-pdf.pdf
30 Evolution de la population (en V.A et en %) par commune de 2001 à 2010.
31 L intégration scolaire avec activation du décret du 05/02/09. L intégration dans l enseignement ordinaire pour les élèves ayant des besoins spécifiques peut prendre trois formes différentes: - L intégration permanente totale; - L intégration permanente partielle; - L intégration temporaire partielle.
32 L intégration permanente totale L élève en intégration permanente totale poursuit toute sa scolarité dans l enseignement ordinaire. En fonction de ses besoins spécifiques, il peut bénéficier d un accompagnement assuré par l enseignement spécialisé et de la gratuité des transports scolaires vers l école d enseignement ordinaire. Etablissement d enseignement ordinaire Etablissement d enseignement spécialisé Personnel de l E.S.
33 L intégration permanente partielle L élève en intégration permanente partielle suit certains cours dans l enseignement ordinaire et les autres dans l enseignement spécialisé pendant toute l année scolaire concernée. Etablissement d enseignement ordinaire SEPTEMBRE JUIN Etablissement d enseignement spécialisé Personnel de l E.S.
34 L intégration temporaire partielle L élève en intégration temporaire partielle suit une partie des cours dans l enseignement ordinaire et les autres dans l enseignement spécialisé pour une partie définie de l année scolaire. Etablissement d enseignement ordinaire Etablissement d enseignement spécialisé DE A. Personnel de l E.S.
35 Le rapport établit également ce que sont devenus les élèves au terme de la première année d intégration temporaire totale. Sur 319 élèves intégrés, 196 ont continué en intégration permanente totale l année suivante, 30 sont maintenus en intégration temporaire et 93 élèves ont stoppé leur intégration.
36 Résultats de l évaluation du décret «Intégration» : Durant l année scolaire , 1201 intégrations ont été enregistrées soit une augmentation de 37% par rapport à l année précédente(877 intégrations). Plus de 95% des intégrations sont totales, avec respectivement 33,06% pour l intégration temporaire totale (ITT, 397 élèves) et 62,45% pour l intégration permanente totale(ipt, 750 élèves). Source:Didier DURAY, Conseiller Cellule Enseignement spécialisé Intégrations en Fédération Wallonie-Bruxelles, Statistiques intégrations pour l année scolaire
37 En , des intégrations ont été menées dans tous les types d enseignement. L enseignement de type 8 comptabilise 514 intégrations (43% de l ensemble des intégrations) contre un seul pour l enseignement de type 5. Les enseignements de type 4, 6 et 7, qui sont les plus anciens à pouvoir effectuer de l intégration ont accompagné 322 élèves, soit 27% du total. Ces trois types d enseignement représentaient 32% des intégrations en
38 Deux tendances principales déjà présentes en se confirment en : Le nombre d élèves en intégration permanente totale augmente plus rapidement que pour les autres types d intégration
39 Le nombre d élèves accompagnés par les enseignements de type 1 et 8 augmente plus rapidement que pour les autres types d enseignement.
40 Le taux de prolongation global est de 69,78%, ce qui signifie que sur les 877 élèves intégrés en , plus de deux tiers étaient à nouveau dans un projet d intégration en
41 Les services ambulatoires AWIPH en Province de Luxembourg [ ] ils représentent environ 160 emplois équivalents temps plein subventionnés par 'Agence wallonne pour l AWIPH. C'est le bureau régional (BR) de l'awiph de Libramont qui reçoit les demandes de prise en charge formulées par le grand public, instruit les dossiers et prend les décisions d'accord ou de refus. Les SAI Total des nouvelles décisions en service d aide a l'intégration prises par le bureau régional de l'awlph de Libramont. En les enfants et les jeunes ayant bénéficié de l'intervention d'un service d'aide a l'intégration sont majoritairement des garçons(57.0%). Le nombre de prises en charge agréées et subventionnées par l'awiph s'élève a 68. Le Réseau d Etudes et d Analyses de la province de Luxembourg (REAL), Chiffres et Réalités de la province de Luxembourg - Edition
42 Perspectives d avenir «Lestexteslégauxquiimposentles aménagements raisonnables ne sont pas assez connus des parents, des directions d écoles, des équipes éducatives et leur application concrète est encore souvent difficile.» Centre pour l égalité des Chances et la lutte Contre le racisme : «A l école de ton choix avec un handicap : Les aménagements raisonnables dans l enseignement.»
43 «Il semble préférable de favoriser les réponses plurielles, en gardant deux systèmes d enseignement d égale qualité d enseignement et de moyens, afin que le choix de l un ou l autre puisse se faire en fonction de la personne handicapée, de sa situation et de ses besoins uniquement.» Il ne s agit donc pas de nier la différence pour intégrer à tout crin, mais de respecter les besoins spécifiques et particuliers de chacun, en maintenant des milieux spécialisés de qualité tout en développant l inclusion en milieu «ordinaire» pour les personnes qui le souhaitent et dont ce choix s inscrit dans un projet de vie. L inclusion nécessite un «aménagement raisonnable» de la société pour répondre aux besoins particuliers des personnes handicapées. Il s agit de trouver des solutions permettant d adapter, dans une approche plutôt «sociale» du handicap, l environnement au handicap, et non plus tenter d adapter la personne handicapée à son environnement. PHARE - Une démarche inclusive pour construire le décret inclusion : Rapport final décembre Processus de concertation collective en vue de la proposition d un nouveau décret relatif à l inclusion des personnes handicapées en Région de Bruxelles-Capitale
44 «Par l intégration scolaire, il y a l espoir de changer les représentations négatives et exclusives que l on a de la personne handicapée pour qui bien des portes restent fermées. C est pourquoi, l intégration des élèves à besoins spécifiques représente un enjeu important de société qui va bien au-delà du domaine éducatif. En intégrant la personne handicapée dès le plus jeune âge, il y a l espoir et la volonté que le handicap soit démythifié.» Manifeste pour l intégration scolaire, [ ] le but de l intégration n est pas que tous les enfants atteignent les mêmes compétences à l issue de leur scolarité mais bien qu ils aient développé divers apprentissages au meilleur de leurs potentialités. L enseignement spécialisé : l élève et son projet de vie- p.19 - Etude UFAPEC 2011 n
45 Tant les témoignages des écoles ordinaires que la recherche attestent que les enfants relevant de l ordinaire ne sont pas freinés dans leurs apprentissages. Il y a même des bénéfices : le développement d attitudes plus positives vis-à-vis des personnes en situation de handicap et une plus grande tolérance aux différences. L intégration telle qu organisée par le décret va permettre également une valorisation des compétences et de l expérience des enseignants du spécialisé par la collaboration avec les enseignants de l ordinaire ainsi qu une approche pluridisciplinaire et une confrontation des pratiques. La recherche a aussi montré que les enseignants qui font de l intégration développent généralement des attitudes positives, spécialement lorsque celle-ci s accompagne d un système de soutien adéquat. [ ]difficultés à trouver des écoles partenaires et les difficultés liées aux déplacements. Le bilan global à tirer, c est que l intégration peut être une chance pour l élève à besoins spécifiques mais pas n importe comment ni à n importe quel prix. L intégration c est un projet personnalisé pour chaque élève. Elle ne peut pas être imposée. Elle nécessite la libre adhésion des différents partenaires l intégration scolaire est UNE des réponses possibles. Elle ne peut pas être généralisée à tous les enfants à besoins spécifiques et sur l entièreté de leur scolarité. Elle est un libre choix des parents dans l intérêt de l enfant et de son projet de vie ultérieur. L enseignement spécialisé : l élève et son projet de vie- p.19 - Etude UFAPEC 2011 n
46 Résultats de l évaluation du décret «Intégration» Source : Séance du de la Commission de l Education du Parlement de la Communauté Française. [ 428 écoles à avoir accompagné ou accueilli un élève intégré en , soit près de la moitié des établissements d enseignement spécialisé ] [ en ,plusde95%desintégrationssonttotales. Au niveau du primaire, 67 % des élèves du type 8 (troubles des apprentissages) ont été intégrés dans l enseignement ordinaire. Au niveau secondaire, ce sont les enseignements de type 1 (retard mental léger) (42 %) et de type 7 (26 %) qui accompagnent le plus d élèves ]
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