L ACCUEIL FAMILIAL DOCUMENT DE TRAVAIL MARS 2011 ABPE. Définition
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- Auguste Paul
- il y a 7 ans
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1 L ACCUEIL FAMILIAL Définition L œuvre dans le cadre de sa double habilitation et accompagne les enfants et adolescents confiés : Au titre d un placement administratif : articles du Code de l Action Sociale et des Familles : Accueil provisoire (contrat passé entre un représentant de l Aide Sociale à l Enfance et les parents), Contrat jeune majeur, Tutelles, DAP, Pupilles de l Etat - Au titre d un placement judiciaire : Assistance Educative (article et suivants du Code Civil) Ordonnance de 1945 (enfance délinquante); Le Service de Placement Familial poursuit les objectifs suivants : - Assurer la protection des mineurs confiés en conformité avec la décision du magistrat ou de l aide sociale à l enfance, - Rétablir les liens entre parents et enfants, avec le souci permanent, autant que faire se peut, de préparer un retour, - Assurer l accompagnement des parents en les associant à la prise en charge de leur enfant, - Aider les familles d accueil dans leurs tâches éducatives quotidiennes. Public concerné : Jeunes de 0 à 18 ans, voire 21 ans dans le cadre de contrat jeune majeur. Capacité d accueil et origine géographique Capacité d accueil : 188 mineurs et jeunes majeurs. Le Service est ouvert 365 jours par an 24 heures sur 24. Une permanence éducative est également assurée chaque samedi au Service. 1
2 L accueil d urgence : Par protocole signé entre les établissements habilités, la Protection Judiciaire de la Jeunesse, le Conseil Général et les Magistrats pour Enfants, obligation est faite de réserver, sur l effectif de L, deux places destinées à l accueil d urgence, pour une période de 15 jours, éventuellement renouvelable une fois. La double habilitation de l lui permet d accueillir des jeunes en placement directe (OPP) mais également relevant de l Ordonnance de 45. A ce titre, il est possible que l accueille deux jeunes simultanément au maximum dans ce cadre, au-delà de la capacité d accueil accordée par le Conseil Général de Côte d Or, sans pour autant avoir besoin d une dérogation. Les objectifs poursuivis : 1) UN ACCOMPAGNEMENT SPECIFIQUE RENFORCE PAR UNE REORGANISATION AUTOUR DU PROJET DE L ENFANT Le service de placement familial de l a choisi d engager un accompagnement spécifique qu est celui de la double référence, à savoir deux travailleurs sociauxpour une même situation familiale, l un en direction de l enfant dans sa famille d accueil, l autre en direction des parents. Au sein d un même service, des professionnels assurent des fonctions différentes mais complémentaires et participent communément au débat et à la réflexion autour de la problématique familiale. Les parents semblent tirer bénéfice de cet accompagnement au sens où ils se sentent davantage pris en considération même s il leur est parfois difficile d aborder leur propre problématique et les motifs qui ont conduit au placement de leur enfant. Il s agit néanmoins de ne pas systématiser ce dispositif à chaque nouvelle situation, mais bien de pouvoir l adapter en fonction des besoins et du projet personnalisé de l enfant. Ainsi, et dans ce même état d esprit, le service de placement familial s est interrogé sur son organisation, en adaptant au mieux le fonctionnement institutionnel au service du projet singulier de l enfant. Par conséquent, en lien avec un processus administratif de prise en charge, le service a souhaité favoriser la responsabilité et l implication de chaque acteur du dispositif en faisant appel notamment à son rôle d expert dans le cadre d une commission d admission. Par expert, l Association Beaunoise de Protection de l Enfance entend non pas tendre vers une exhaustivité et une exclusivité de savoir, mais bien une expertise basée sur l expérience dans ses missions, soutenue par une réflexion permanente, au service d une mise en pratique. 2) L ACCOMPAGNEMENT DES RENCONTRES PARENTS/ENFANTS ET LES VISITES MEDIATISEES. En choisissant d instaurer une double référence dans la majorité des mesures qui lui sont confiées, le service de placement familial souhaite conforter sa spécificité qui est celle du soutien 2
3 à la parentalité. Sa volonté est celle de favoriser le maintien du lien parents/enfants en tenant compte de la problématique parentale tout en assurant un accompagnement rassurant et sécurisé pour l enfant. Pour cela, le service se dote d outils permettant d évaluer la qualité et le potentiel de la relation parents-enfants. Basiquement, ceci se traduit tout d abord par l aménagement des locaux où des studios sont mis à disposition offrant les conditions nécessaires à la mise en place de visites. Au-delà de ces conditions matérielles, le service a choisi d être ouvert le samedi afin de donner la possibilité, notamment aux parents qui travaillent, de pouvoir rencontrer leurs enfants dans ses locaux. 3) LES SEJOURS PARENTS/ENFANTS ET SEJOURS DE FRATRIES. Dans le cadre du soutien à la parentalité, le service de placement familial de l poursuit la mise en place de séjours parents-enfants. Ces séjours ont lieu deux fois par an, sur des périodes de cinq jours, avec un accompagnement de quatre travailleurs sociaux compte tenu du nombre de participants (4 à 5 familles regroupant une vingtaine de personnes). Ce temps de travail, riche en observation, favorise une meilleure compréhension des problématiques parentale et familiale. Parallèlement à ces séjours, le service de placement familial poursuit aussi la mise en place de séjours de fratries. Ces séjours peuvent avoir lieu deux fois par an, sur une période de trois jours, avec un accompagnement de trois travailleurs sociaux regroupant une dizaine d enfants. Parce que le placement familial ne permet pas toujours de maintenir des frères et sœurs au sein d une même famille d accueil, ce temps de recomposition fraternelle permet simplement à des enfants d une même famille de se retrouver, d évoquer leurs parents et de préserver le lien qui les unit. 4) LES MESURES DE SUITE. Ce mode d intervention va faire l objet d une demande de service en tant que tel dans le cadre du CPOM, (voir fiche jointe) Lorsque le retour de l enfant auprès de ses parents est décidé par le Juge des Enfants, une mesure de suite exercée par le service peut être mise en œuvre. Il est important pour les parents et l enfant de ne pas être réorientés vers un service extérieur, qu ils ne connaissent pas, et qui parfois est à l origine du placement. Les parents sont bien souvent attachés lors des retours à préserver la relation avec l institution, lien symbolique qui, lors de ces retours, devient de fait le «bon objet». De cette façon, le service assure une continuité dans le travail mis en place avec les objectifs de : * Soutenir et rassurer l enfant et ses parents, jusqu à la fin de la période «idyllique» des retrouvailles car on observe presque toujours qu il peut, par la suite, survenir des moments de 3
4 tension voire des conflits où chaque protagoniste viendra tester la réorganisation familiale. Cette méthode de travail possède d autres intérêts comme : * Aider les parents à «accepter» le bagage rapporté par l enfant de sa famille d accueil, qui viendra enrichir et modifier la nouvelle dynamique familiale. * Mettre en lien la famille avec les différents partenaires (école, centre de loisirs, de soins, service social, ) nécessaires à l intégration de l enfant dans son nouvel environnement. * Etablir avec la famille la carte de «leur personne ressource». * Contrôler les conditions de prise en charge de l enfant. A l articulation des différents services de l, un service de placement et de suivi à domicile semblerait être un moyen de prise en charge, d accompagnement et de travail de proximité susceptible de compléter les services existants. 5) DISPOSITIF D ACCUEIL RELAIS FAMILIAL. Ce dispositif hors protection de l enfance doit faire l objet d une réflexion sur la base de la fiche jointe Ce dispositif d Accueil Relais Familial, émanant d une convention entre l Association et le Conseil Général et hors du champ de la protection de l enfance, vient soutenir des parents dans l impossibilité temporaire d assurer la prise en charge matérielle et éducative de leurs enfants. Pour des raisons médicales, professionnelles ou administratives, ces parents qui vivent bien souvent dans une grande solitude ont besoin d une disponibilité qui les amène à solliciter nos services afin de trouver une solution relais pour leurs enfants. La particularité de ce dispositif réside dans le fait que l accueil de l enfant s effectue à proximité de son cadre habituel de vie. La demande, portée le plus souvent par un travailleur social du secteur, est conjointement évaluée par le cadre DSI de Beaune et un responsable du service de placement familial. Cette évaluation nécessite plusieurs échanges téléphoniques afin de clarifier le projet pour préciser qu il ne s agit en aucun cas d un tremplin pour un futur accueil (accueil provisoire ou ordonnance de placement provisoire). Par ailleurs, et même si ce type de demande requiert une certaine réactivité, ce dispositif ne relève pas du cadre de l urgence. A partir de là, un cadre du service de placement familial s engage à proposer un assistant familial pouvant répondre à cette demande. Bien que la convention, dans son article 3, précise que l Association doit s engager à rechercher une solution d accueil et assurer la gestion administrative, il n en demeure pas moins que très souvent il est nécessaire que les responsables du service de placement familial rencontrent les parents demandeurs afin de leur expliquer le fonctionnement de ce dispositif et de les rassurer sur l accueil proposé à leur enfant. Ceci représente un temps de travail non négligeable des cadres du 4
5 service d autant qu il y eu une recrudescence des demandes d accueil relais familial en cette année 2010 et essentiellement sur ces derniers mois. (19 accueils dont 12 entre juillet 2010 et novembre 2010 ce qui représente 27 enfants accueillis). Ceci témoigne de l isolement social de certaines familles d où l importance d un tel dispositif. Malheureusement, cet outil, bien qu existant depuis plusieurs années, est encore mal connu et mériterait d être développé au-delà du sud Côte d Or par convention avec d autres associations ou tout naturellement au sein du Conseil Général lui-même. En effet, du fait de notre situation géographique, nous ne sommes pas à même de pouvoir répondre à toutes les demandes sur le département dans la mesure où nous n avons pas nécessairement d assistants familiaux sur tous les secteurs de la Côte d Or. 6) LES NOUVEAUX DISPOSITIFS. Le service de placement familial spécialisé. Ce mode d intervention va faire l objet d une demande de service en tant que tel dans le cadre du CPOM, (voir fiche jointe) Dans sa réflexion pour optimiser la qualité de l accompagnement de l enfant, le service de placement familial de l s est interrogé sur les difficultés de prise en charge que représentaient les enfants en grandes difficultés psychiques ou médicales. En effet, trop souvent ces jeunes ont été orientés par défaut en famille d accueil en raison des refus des établissements sociaux ou médico-sociaux à les recevoir, compte-tenu de la complexité de leurs problématiques (souffrance psychique, carences éducatives associées à une nécessité de soins, ) Dans ces conditions, l souhaite développer une nouvelle activité de type placement familial spécialisé dont le projet est actuellement à l étude auprès des autorités de tutelles (ARS, CG). Au cours de l année , à titre expérimental et grâce à la mise à disposition de temps éducatif supplémentaire, le service de placement familial a admis au sein de son service deux jeunes en grandes difficultés et un troisième à la mi-octobre Après plusieurs mois de fonctionnement, les moyens développés par l équipe de ce service spécialisé (assistants familiaux, éducateurs spécialisés, psychologue et cadres) ont permis d engager un partenariat non négligeable (éducation nationale, MDPH, établissements médicosociaux, services de pédopsychiatrie, ) favorisant un accompagnement serré de l enfant tenant compte de ses besoins et de ses fragilités. Ce travail soutenu aboutit à une prise en charge de l enfant non plus par défaut mais en lien réel avec sa problématique dans l objectif, si cela paraît souhaitable et possible, que ce jeune puisse sortir du dispositif de l accueil spécialisé à moyen terme. Nous souhaitons nous engager pour que ce service existe à part entière pour le dispositif de protection de l enfance. Néanmoins, pour qu il trouve toute sa pertinence et son efficience, il doit être mis en place selon une conception pérenne en termes de postes de travail. Ce service mis en œuvre permettrait qu il ait une réelle identité ancrée sur cette compétence spécifique et repéré dans l action sociale globale. 5
6 Mise en place de séjours de loisirs adaptés En dehors de ces accompagnements spécifiques, le service de placement familial de l s est aussi intéressé aux jeunes dont la problématique ne permet pas leur inscription en séjours de vacances de droit commun. Ainsi, sous la responsabilité d une assistante familiale initiatrice du projet, le service de placement familial de l a organisé, au sein d un centre équestre, un séjour visant un public d enfants âgés de 6 à 15 ans, qui ne s inscrivent ni dans un dispositif ordinaire, ni dans un dispositif de loisirs spécialisés. Pour des enfants trop insécurisés par un vécu traumatique ayant entraîné un placement en famille d accueil, les séjours proposés par une équipe plus spécialisée relevant du dispositif de la protection de l enfance peuvent servir de «passerelle» pour qu ils puissent ensuite intégrer les dispositifs de droit commun en ayant bénéficié de l expérimentation proposée par le séjour de l. La singularité de chaque enfant a été très fortement prise en compte (situation, problématique) ne serait-ce que pour déterminer la durée de son séjour. Cette souplesse a été indispensable pour réellement s adapter aux besoins de l enfant tout en respectant la vie de groupe. 7) L ACCOMPAGNEMENT DES ASSISTANTS FAMILIAUX Formation obligatoire La loi du 27 juin 2005 est venue renforcer la professionnalisation des assistants familiaux avec, pour les nouveaux embauchés, une formation obligatoire de 240 heures. Pour les assistants familiaux en activité, certains d entre eux expriment le souhait de s inscrire dans une démarche de Validation des Acquis de l Expérience. L analyse de la pratique Ce travail correspond à la nécessité pour chacun de clarifier et d analyser ses propres valeurs pour ne pas se laisser envahir par sa propre histoire. Eduquer un enfant fait surgir chez chaque professionnel ses identifications, ses conflits non résolus, ce que l on appelle la résonnance émotionnelle. Celle-ci doit être élaborée à partir d une interrogation collective sur la pratique.les professionnels, dans le cadre des groupes de travail mis en place par notre institution, ont là, la possibilité de donner du sens aux émotions qui pourraient les déborder. Des groupes de parole (10 groupes de 10 à 12 assistants familiaux) Animés par une éducatrice spécialisée, cet espace permet la confrontation d expériences individuelles, dans un contexte collectif, où le sentiment d appartenance à un Service et de reconnaissance par ses pairs aide à mieux vivre le quotidien. 6
7 Pour résumé, l ensemble des professionnels, assistants familiaux, éducateurs spécialisés, psychologue, apportent leurs réflexions à différents types de réunion contribuant ainsi à mener à son terme le projet de l enfant : bilan d admission, synthèse, réflexion avec les intervenants thérapeutiques, commission technique (avec nos partenaires de l ASE, synthèse dans le cadre des établissements spécialisés (IME, ITEP), réunion d équipe liée à l organisation du service La collaboration avec l ASE service gardien Lorsque le service Aide Sociale à l Enfance est le prescripteur des demandes d admission, il est informé et valide tout mouvement des jeunes au sein des différentes structures de l Association. Les établissements doivent motiver par écrit leur refus d admission. Il a été convenu, à titre expérimental, que seul le délégué de l ASE demeurait notre interlocuteur concernant le suivi des enfants confiés au service Dans les situations où des référents ASE interviennent, le rôle de chacun dans les situations est déterminé en commission et articulera le projet pour l enfant au projet personnalisé. Un échéancier nommé «le parcours administratif» de l enfant existe à l et prend en compte la trajectoire institutionnelle de l enfant en collaboration avec le service gardien (voir document joint). 7
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