Melon. Lutte biologique contre les acariens tétranyques

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1 Melon Lutte biologique contre les acariens tétranyques 212 Laurent CAMOIN, Chambre d agriculture des Bouches-du-Rhône Claire GOILLON, Anthony GINEZ, APREL Anne-Isabelle LACORDAIRE, Marion GUILLOT, Julien CARLET, Koppert Objectif Le travail réalisé consiste à mesurer l efficacité de la protection contre les acariens tétranyques (Tetranychus urticae) en utilisant l auxiliaire Neoseiulus californicus en culture de melon tardif sous tunnel plastique. Les essais antérieurs (Aprel, 21) ont mis en avant une efficacité intéressante avec cet auxiliaire mais non suffisante. Le conditionnement ayant changé, les acariens prédateurs sont maintenant disponibles en sachet et leur dispersion semble être améliorée. L objectif est d utiliser cet auxiliaire contre acariens tétranyques et d évaluer son efficacité technique et économique selon deux stratégies au sein d une protection biologique globale en conditions de production. 1 Protocole 1.1 Site étudié Lieu de l essai : Tarascon (Nord 13) sur une exploitation conduite en agriculture biologique Abri : deux tunnels plastique non chauffés de 64m² Dans chaque tunnel, les melons de variété Osiris non greffée (résistance partielle aux pucerons grâce au gène VAT, Nunhems) sont plantés avec une densité de 1 plant/m² (espacés de 4 cm sur 3 lignes simples). 1.2 Modalités comparées Les s de N. californicus ont été réalisés lors de la floraison mâle en une seule fois selon deux modalités. Chaque modalité à été suivie dans un tunnel entier. Modalité 1 Tunnel en protection biologique avec les doses préconisées : de N. californicus à la dose 1 sachet/4 plantes (environ 23 individus/m²). Apport complémentaire de Phytoseiulus persimilis sur foyer si nécessaire. Modalité 2 Tunnel en protection biologique à dose réduite : de N. californicus à une dose moyenne de 1 sachet/7 plantes (environ 13 individus/m²). Le est plus dense dans les zones sensibles (1 sachet/5 plantes) et allégé ailleurs (1 sachet/13 plantes). Apports complémentaires de Phytoseiulus persimilis sur foyer si nécessaire. Figure 1 : Schéma de répartition des sachets de N. californicus dans les 2 modalités 1

2 1.3 Observations Contrôle à la plantation : 6 plantes entières ont été observées pour mettre en évidence tous les ravageurs et auxiliaires présents. Contrôle général de la parcelle sur 5 feuilles prises au hasard (25 feuilles proches de l apex + 25 feuilles adultes). Ces observations ont été réalisées toutes les semaines du 25/4 au 2/6. Sur chaque feuille, notation : - de la présence/absence de N. californicus, formes mobiles (adulte + nymphe). Chaque feuille est séparée en 6 parties délimitées par les nervures. La présence/absence de N. californicus est notée dans chaque partie. - de l estimation de la population de formes mobiles (nymphe + adulte) d acariens tétranyques par classes : o classe = pas d acariens o classe 1 = moins de 1 acariens o classe 2 = 11 à 5 acariens o classe 3 = plus de 5 acariens o classe 4 = présence de toiles - de la présence/absence de la population de pucerons et de momies et description en classes : o classe = pas de pucerons o classe 1 = moins de 1 pucerons o classe 2 = 11 à 25 pucerons o classe 3 = 26 à 5 pucerons o classe 4 = plus de 5 pucerons - de la présence/absence d oïdium - de la présence/absence d autres auxiliaires naturels contre acariens tétranyques. Repérage des foyers : les premières apparitions d acariens ont été identifiées et définies comme foyer. Contrôle sur foyers d acariens : Trois foyers maximum par tunnel ont été observés avec pour chacun 1 feuilles prises au hasard. Les notations concernent la population d acariens tétranyques notée par classe, la présence/absence de N. californicus formes mobiles (nymphe + adulte) et autres auxiliaires. Notation des interventions de protection sanitaires réalisées par le producteur. Les conditions climatiques de l abri ont été enregistrées toutes les heures par un capteur de température et d hygrométrie relative (Hobo) placé dans la culture. 2 Déroulement de la culture Plantation : 1 er avril 212 Densité : 1 plant/m² Protection par un voile non tissé de la plantation au 23 avril Début floraison : 18 avril Récoltes : du 6 juin à fin juin 1 Conditions climatiques : Elles sont identiques dans les deux tunnels et illustrées par les graphiques ci dessous : 5 6% C /4 25/4 2/5 9/5 16/5 23/5 3/5 6/6 13/6 2/6 27/6 Figure 2 : Evolution de l hygrométrie moyenne au sein des tunnels Lâchers d auxiliaires : 1 C /4 25/4 2/5 9/5 16/5 23/5 3/5 6/6 13/6 2/6 27/6 Figure 3 : Evolution de la température moyenne au sein des tunnels 2

3 Auxiliaires contre acariens Tableau 1 : Répartition, dose et coût des s d auxiliaires sur la culture Dates de s N. californicus 24-avr Phytoseiulus persimilis Modalité 1 Dose préconisée Coût HT/m² Modalité 2 Dose réduite 1 sachet/4 plantes 23 individus/m²,8 1 sachet/7 plantes 13 individus/m² Coût HT/m²,5 3-mai 1,8/m²,1 1,8/m²,1 Coût total,9 Coût total,6 Auxiliaires contre pucerons Dates de s Modalité 1 Dose préconisée Coût HT/m² Modalité 2 Dose réduite Coût HT/m² Aphidius colemani 24-avr,2/m²,7,2/m²,7 9-mai,2/m²,7,2/m²,7 Adalia bipunctata 23-mai,25/m²,3,33/m²,4 Coût total.4 Coût total.5 Coût total des auxiliaires :,13 HT/m²,11 HT/m² Traitements : Début juin un anti-pucerons et un anti-oïdium autorisés en agriculture biologique ont été effectués dans les 2 tunnels. 3 Résultats 3.1 Observations avant le de N. californicus Tableau 2 : Occupation des acariens tétranyques après la plantation acariens tétranyques Modalité Nb. d'individus % plantes par plante (/6) occupées Dose réduite 1,2 12% Dose préconisée 1,92 17% Au 18 avril, lors du premier contrôle après la plantation, des acariens tétranyques étaient présents dans les deux tunnels avec une plus forte présence dans l un d eux qui a comptabilisé presque deux fois plus d individus par plante en moyenne (tableau 2). La modalité avec la dose plus élevée de N. californicus a donc été mise en place dans ce tunnel. Il s agit de la modalité «dose préconisée» (1 sachet/4 plantes). 3.2 Observations pendant la culture Neoseiulus californicus s est très bien installé sur la culture. Pour son développement il a besoin d une température minimale avoisinant les 1 C. De plus, une humidité relative inférieure à 6% ralentit son développement et provoque entre autre un taux de mortalité des œufs plus important. La figure 2 montre que l hygrométrie relative moyenne dans les tunnels de l essai est favorable au bon développement de N. californicus sur la période de production sous abri. Les températures moyennes sous abris qui oscillent entre 17 et 3 C sont également favorables au développement de N. californicus puisqu il peut se développer à des températures atteignant 33 C (figure 3). 3

4 N. californicus Acariens tétranyques N. californicus Acariens tétranyques 1% 9% 8% 7% 6% 5% 4% 3% 2% 1% % N. californicus Modalité "dose réduite" 25/4 2/5 9/5 16/5 23/5 3/5 6/6 13/6 2/6 intensité occupation des feuilles (sur feuilles totales en %) Du 2 au 16 mai, la population d acariens tétranyques a été faible. Ils étaient présents sur 1 à 15% des feuilles (en majorité classe 1) pour les deux modalités (figures 4 et 5). La population de N. californicus sur cette même période est restée stable, environ 3% de feuilles occupées, avec une augmentation plus rapide dans la modalité «dose préconisée» qui a été davantage touchée par les acariens tétranyques. 1% 9% 8% 7% 6% 5% 4% 3% 2% 1% % N. californicus Modalité "dose préconisée" 25/4 2/5 9/5 16/5 23/5 3/5 6/6 16/6 2/6 intensité occupation des feuilles (sur feuilles totales en %) Figures 4 et 5 : Evolution des acariens tétranyques et N. californicus sur la culture Dans la modalité «dose réduite» (figure 4), la population de tétranyques a augmenté fortement en fréquence et en intensité à partir du 3 mai. A cette date, plus de 3% de feuilles étaient attaquées et les premières feuilles occupées par plus de 5 acariens (classe 3) ont été observées. Les acariens prédateurs ont évolué de la même manière avec un pic de présence à la même période (6% de feuilles occupées). Après l observation de l augmentation de la population d acariens tétranyques, un de a été réalisé. La semaine suivante (le 6 juin) la fréquence d attaque a été réduite de moitié mais l intensité a continué à croître avec l apparition de toiles (classe 4). La situation est restée stable jusqu à la fin de la culture. Dans la modalité «dose préconisée», la population d acariens tétranyques a augmenté à partir du 23 mai avec environ 14% de feuilles occupées et présence de feuilles touchées par une intensité de classe 3. N. californicus s est très bien développé et sa population à augmenté jusqu à occuper près de 9% des feuilles et 45% de surface foliaire début juin. Un de a également été réalisé dans ce tunnel après l augmentation de la population d acariens tétranyques. Ces derniers sont restés stables jusqu au début du mois de juin. Après cette date le ravageur a été quasiment absent et au moment de l arrachage la culture était propre. Le 6 juin un aphicide a été réalisé. Il semble avoir eu un effet secondaire sur les acariens tétranyques en réduisant leur population. Dans la modalité «dose réduite» la population de N. californicus a freiné le développement des acariens tétranyques mais sans les contenir. A contrario, la population plus importante de N. californicus pour la modalité «dose préconisée» a permis de maintenir à un niveau faible la population de tétranyques (1% de feuilles occupées) et de terminer la culture sensiblement plus propre. Par ailleurs, des cécidomyies prédatrices d acariens tétranyques (type Feltiella sp.) naturellement présentes ont été observées ponctuellement. 4

5 Acariens tétranyques N. californicus N. californicus Acariens tétranyques 3.3 Suivi des foyers d acariens tétranyques Dès le 25 avril, des foyers ont été observés dans les tunnels. Trois d entre eux ont été repérés pour chaque modalité à partir du 9 mai et suivis jusqu à la fin de la culture (figure 6). Figure 6 : Répartition des foyers suivis au sein des tunnels Modalité "dose préconisée" 9/5 16/5 23/5 3/5 6/6 13/6 2/6 Modalité "dose réduite" 9/5 16/5 23/5 3/5 6/6 13/6 2/6 intensité d'occupation (sur feuilles totales en %) intensité d'occupation (sur feuilles totales en %) Figures 7 et 8 : Evolution des acariens tétranyques et N. californicus sur foyers Dans la modalité «dose réduite», la fréquence d attaque des acariens tétranyques a été élevée du repérage des foyers à la fin de la culture (entre 4 et 8% de feuilles occupées). De plus l a été forte sur cette même période puisque des feuilles ont présenté d importantes attaques d acariens tétranyques (classe 4). N. californicus était bien présent mais la population est restée faible et son pic de présence est apparu tardivement. Ainsi les foyers d acariens tétranyques n ont pas été maitrisés. A la fin de la culture, de nombreux autres foyers ont été observés notamment sur le rang de plantation central puisqu il a reçu une dose de N. californicus faible (1sac/13 plantes). Les foyers de la modalité «dose préconisée» ont également été très attaqués jusqu au 6 juin (jusqu à 8% de feuilles occupées avec une de classe 4). La population d acariens tétranyques a été fortement réduite dès le 13 juin avec seulement 1% de feuilles occupées par le ravageur. De plus, certains foyers ont été totalement «nettoyés» et au moment de l arrachage très peu de foyers étaient encore «actifs». Cette évolution s explique par la présence importante de N. californicus. En effet toutes les feuilles étaient occupées dès le 3 mai avec une intensité de couverture foliaire de près de 6%. Par ailleurs, dans les deux modalités le du 6 juin semble avoir eu un effet secondaire sur la population d acariens tétranyques et de N. californicus dans les foyers comme sur l ensemble de la culture. 5

6 classe moyenne % de plantes occupées 3.4 Observations de la population de pucerons 2 1,8 1,6 1,4 1,2 1,8,6,4,2 A. colemani A. colemani A. colemani Dès le début de la culture, des pucerons (Aphis gossypii) ont été observés dans les deux tunnels (figure 9). A partir du 16 mai la population a augmenté jusqu à occuper la totalité des feuilles observées au 6 juin. Dès le 9 mai des momies d Aphidius colemani ont été repérées et leur nombre a commencé à croître à partir de fin mai pour occuper environ 1% des feuilles à la mi juin. Des auxiliaires naturels étaient présents dans la culture : coccinelles, syrphes, chrysopes, Figure 9 : Evolution des pucerons et momies dans les deux modalités cécidomyies. Les s d auxiliaires et les auxiliaires naturels ont été insuffisants pour contrôler le ravageur. Ainsi, le 6 juin un a été nécessaire pour réduire la pression. Ces résultats montrent que le contrôle des pucerons est dépendant de s importants d auxiliaires puisque la tolérance de la variété limite le développement des pucerons mais n est pas suffisante. 4 Analyse économique Les rendements n ont pas été quantifiés pour les tunnels de l essai. Le producteur n a pas récolté les fruits présents dans les foyers d acariens tétranyques. A ces endroits des fleurs ont avorté et les fruits étaient de mauvaise qualité. La modalité «dose préconisée» de N. californicus (1 sac/4 plantes) a coûté au producteur,8 HT/m² (tableau 1), soit,3 HT/m² supplémentaires par rapport à la dose réduite pour une meilleure maîtrise des acariens tétranyques. 5 Conclusion A. colemani A. bipunctata A. bipunctata aphicide 25/4 2/5 9/5 16/5 23/5 3/5 6/6 13/6 2/6 Modalité dose réduite : Classe moyenne Modalité dose réduite : %de feuilles occupées par pucerons Modalité dose réduite : %de feuilles occupées par momies Modalité dose préconisée : Classe moyenne Les conditions climatiques de l année ont été très favorables au développement des acariens tétranyques sur melon sous abri puisque les attaques ont débuté quelques jours après la plantation (1 er avril 212). Le climat dans les tunnels de l essai a favorisé le développement de Neoseiulus californicus durant la période de culture. Compte-tenu de la progression rapide des acariens tétranyques, la répartition homogène dans l abri à la dose de 1 sachet pour 4 plantes paraît la plus adaptée. La modalité «dose réduite» (1 sac/7 plantes) les a freinés mais n a pas suffi. Les résultats montrent que Neoseiulus californicus est une solution possible pour la maîtrise biologique des acariens tétranyques en culture de melon sous abri dans les conditions climatiques de l essai et dans le créneau de production. Neoseiulus californicus conditionné en sachet semble plus performant que les s en vrac utilisés dans les essais précédents. Il reste néanmoins le contrôle du puceron Aphis gossypii à maîtriser dans une stratégie globale de protection intégrée. 1% 9% 8% 7% 6% 5% 4% 3% 2% 1% % Modalité dose préconisée : %de feuilles occupées par pucerons Modalité dose préconisée : %de feuilles occupées par momies Renseignements complémentaires auprès de : Action A51 L. CAMOIN, CA 13, Aix-en-Provence, tél , l.camoin@bouches-du-rhone.chambagri.fr C. GOILLON et A. GINEZ, APREL, 1321 St Rémy de Provence, tél , aprel@aprel.fr Mots clés : melon, lutte biologique intégrée, Neoseiulus californicus, Tetranychus urticae N action :

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