État des lieux des programmes Intégration- Cohabitation, Insertion-Sociale et Été-Jeunes

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1 Centre Bruxellois d Action Interculturelle État des lieux des programmes Intégration- Cohabitation, Insertion-Sociale et Été-Jeunes - Juillet Rapport rédigé par Rabah KADDOURI et Alexandre ANSAY, sous la direction scientifique d Andrea REA (GERME) Avenue Stalingrad Bruxelles

2 1 TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS... 3 INTRODUCTION. 4 1 ÈRE PARTIE PRÉSENTATIONS GRAPHIQUES ET COMMENTAIRES DES PROGRAMMES INTÉGRATION-COHABITATION, INSERTION-SOCIALE ET ÉTÉ-JEUNES A. REPRÉSENTATION DU PROGRAMME INTÉGRATION-COHABITATION B. REPRÉSENTATION DU PROGRAMME INSERTION-SOCIALE C. PROGRAMME ÉTÉ-JEUNES ème PARTIE PRÉSENTATION DESCRIPTIVE DES COORDINATIONS DU PIC A. ANDERLECHT. 50 B. AUDERGHEM.. 52 C. BRUXELLES-VILLE 53 D. ETTERBEEK 55 E. FOREST (MR-CDH) F. JETTE.. 60 G. IXELLES. 61 H. KOEKELBERG I. MOLENBEEK-SAINT-JEAN J. SAINT-GILLES 67 K. SAINT-JOSSE-TEN-NOODE 69 L. SCHAERBEEK ème PARTIE TENTATIVE DE CATÉGORISATION DU MODE D ORGANISATION DU PIC A. «Dispositif communal» ou «service-échevinal» 75 B. Implantation de la coordination : communale ou para communale C. Dispositif isolé ou intégré 77 D. La sélection des projets.. 77 E. Les modèles de concertation F. Les opérateurs G. L autonomie des partenaires H. La définition du contenu des actions I. Mode de gestion du programme PIC

3 2 4 ème PARTIE : ÉTUDE DE CAS 82 A. ANDERLECHT. 83 B. FOREST. 89 C. MOLENBEEK-SAINT-JEAN D. SAINT-GILLES 111 E. SCHAERBEEK ème PARTIE : ANALYSE RELATIVE À L ÉTUDE DE CAS A. Projet politique/projet pédagogique B. Particularité du PIC C. Lutte contre les discriminations ethniques. 123 D. La non-prise en compte des actions à caractère culturel CONCLUSION

4 3 AVANT-PROPOS Objectifs de la recherche : En vue du nouveau décret relatif à la «Cohésion Sociale», le Centre Bruxellois d Action Interculturelle (CBAI) a été chargé, selon les termes de la convention 1 de : - dresser un état des lieux des projets communaux et associatifs soutenus en 2001 dans le cadre du programme Intégration-Cohabitation (PIC), Insertion-sociale (IS) et Été-Jeunes. Cet état des lieux suppose l élaboration d une représentation des projets existants, des dysfonctionnements identifiés et des demandes formulées, en termes de formation, d accompagnement et/ou de supervision (en vue de la mission future du CBAI) ; - identifier des «types de pratiques» soutenues dans le cadre des programmes précités et leur articulation (ou non) avec d autres dispositifs. La recherche est commanditée et financée par le Cabinet d Alain HUTCHINSON, Secrétaire d'etat chargé du Logement et de l'energie à la Région de Bruxelles-Capitale et Ministre, Membre du Collège, chargé du Budget, de l'action sociale et de la Famille à la Commission Communautaire française (COCOF). Organisation de la recherche : - Chercheurs : Rabah KADDOURI (plein-temps), Alexandre ANSAY (mitemps). - Supervision scientifique : Andrea REA, Professeur à l Université Libre de Bruxelles et Directeur du Groupe d étude sur l Ethnicité, le Racisme, les Migrations et l Exclusion (GERME) de l Institut de sociologie. - Comité d accompagnement : trois membres de la direction du CBAI, soit Christine KULAKOWSKI, Françoise BERWART, Amidou SI M HAMMED, ainsi qu Hamel PUISSANT, Aziz ALBISHARI et Marc ANDRÉ. 1 Le CBAI a également été chargé, dans la convention, de dresser un cadastre de l emploi dans le secteur associatif. Ce travail a été confié à Madame Françoise BERWART, adjointe à la direction du CBAI.

5 4 INTRODUCTION Les programmes Intégration-Cohabitation (PIC), Insertion-Sociale (IS) et Été- Jeunes sont apparus à des moments différents et dans des institutions différentes. Un bref rappel historique, par conséquent, s impose. Le programme IS est le plus ancien parmi les trois. Il est apparu dans les années À cette époque, la Direction générale de la Jeunesse et des Loisirs décide de mettre sur pied des subventions à destination des associations qui organisent des activités avec les populations immigrées. Les activités soutenues par la Direction générale étaient : - la langue maternelle d origine enseignée aux enfants ; - les formations aux institutions des pays d accueil ; - les publications culturelles et tout ce qui supposait préserver l identité culturelle ; - l école de devoirs, en français. Dans le cadre de la mise en œuvre de cette politique, deux tendances s opposaient. Dune part, il y avait ceux qui défendaient l idée d organiser «les activités «en faveur des immigrés» et, d autre part, ceux qui privilégiaient les activités développées par les immigrés «eux-mêmes», favorisant ainsi leur autonomisation. Cette politique de financement des activités en faveur des immigrés, avec la fédéralisation de l État, a connu plusieurs évolutions. Au début des années 1980, suite à la création des Communautés, une série de matières des ministères nationaux sont transférées aux Communautés et notamment les matières gérées par le ministère de l emploi et du travail transférées à la Direction générale des Affaires sociales. Ces matières étaient les suivantes : - les cours de français à l usage des immigrés ; - une intervention dans les frais de voyage de la famille de l immigré en cas de regroupement familial (Arrêté abrogé depuis) ; - agrément de conseillers moraux et/ou religieux ; - alphabétisation/français deuxième langue ; - permanence d accueil juridique, social, administratif, - éducation à la santé ; - ateliers d initiation technique (plomberie, carrosserie, couture, ). En 1994, dans le cadre du transfert de compétences de la Communauté à la Région, les matières sociales sont transférées à l exception des budgets de la culture, appartenant à l éducation permanente, qui sont restés communautaires à la COCOF ou à la Région wallonne. À la suite de ce transfert, les aspects purement culturels sont exclus des subventions. Dès lors, ne sont plus financées la langue d origine, la culture

6 5 d origine, la recherche d identité culturelle «quand elle ne traduit pas une volonté d ouverture». Les ateliers techniques sont supprimés aussi. Les activités qui continuent à être soutenues sont : - l alphabétisation/français ; - les actions interculturelles ; - l aide aux devoirs ; - les permanences d accueil ; - les médiations avec les jeunes ; - les publications ; - les formations des formateurs dans le cadre interculturel. En 1988, l opération Été-Jeunes est lancée au niveau de la Communauté française par le Ministre chargé de l immigration, Philippe MOUREAU relayé par son successeur, le Ministre Valmy FÉAUX. L objectif de cette action est de «permettre à la jeunesse d éviter le désœuvrement, source de recrudescence de la petite délinquance pendant la période des vacances scolaires» 2. En 1994, la plus grande partie du subside Été-Jeunes est transférée à la COCOF, secteur Insertion Sociale. L autre partie est restée au niveau de la Communauté française au sein du Service Jeunesse et de l Aide à la Jeunesse. Le Programme PIC a débuté en Il s origine dans la Déclaration de l exécutif de la Région de Bruxelles-capitale du 18 octobre 1989, initiée par le Ministre Président Charles PIQUÉ. Extrait de la déclaration gouvernementale : «il est nécessaire d offrir des alternatives aux problèmes d intégration des immigrés et de développer des projets à destination des populations les plus défavorisées» Elle définissait quatre objectifs : - la lutte contre la formation des ghettos sociaux et culturels via l aménagement du territoire, l urbanisme et le développement social des quartiers ; - l ajustement de la politique économique en mettant l accent sur le maintien du secteur secondaire dans une région où l accroissement du tertiaire risque d exclure les jeunes Belges issus de l immigration, surtout représentés dans les formations de type professionnel ; - le lancement d un débat régional portant sur la politique globale en matière d intégration des immigrés, et ce tant avec les instances nationales qu avec les Communautés ; - la libération de fonds spéciaux en faveur des communes proposant des projets d intégration et de cohabitation ; 2 Communiqué de presse du Ministre-Président de la Communauté française de Belgique, septembre 1988.

7 6 Dans le quatrième objectif figure la mise à disposition de moyens financiers à des communes «particulièrement confrontées aux problématiques de l intégration des populations d origine étrangère et de la cohabitation harmonieuse des différentes communautés». Notons que la notion d «intégration», à côté des notions «cohabitation» et «insertion sociale», est au centre de la politique contenue dans ces trois programmes. Comme objet de politique publique, la notion d intégration apparaît pour la première fois dans un texte législatif en 1965, dans l arrêté royal qui institue le Conseil Consultatif de l Immigration. Cette notion est censée remplacer celle d adaptation. En 1989, le gouvernement crée le Commissariat Royal à la Politique des Immigrés (CRPI) 3. Ce dernier est chargé «de l examen et de la proposition des mesures qui s imposent à l égard de la problématique des immigrés», particulièrement dans les domaines de l emploi, du logement et de l enseignement. La mission confiée au CRPI consiste précisément en l identification de l analyse des problèmes relatifs aux communautés d origine immigrée et en la formulation de propositions concrètes au gouvernement qui iraient dans le sens de l intégration de ces populations. Dans son premier rapport, le CRPI propose une définition de l intégration. Cette définition oriente depuis les politiques d intégration et constitue l étalon à l aune duquel leur pertinence est évaluée : «Ce concept d intégration 1. part de la notion d insertion répondant aux critères suivants : a. assimilation là ou l ordre public l impose ; b. promotion conséquente d une insertion la plus poussée conformément aux principes sociaux fondamentaux soutenant la culture du pays d accueil et tenant à la modernité, à l émancipation et au pluralisme confirmé dans le sens donné à l Etat occidental moderne ; c. respect sans équivoque de la diversité culturelle en tant qu enrichissement réciproque dans les autres domaines. 2. va de pair avec une promotion de l implication structurelle des minorités aux activités et objectifs des Pouvoirs Publics» 4. La définition proposée veut se situer à mi-chemin entre deux positions extrêmes : l assimilation et le développement d une société pluriethnique. 3 Le CRPI, sa mission terminée, a donné naissance, avec la loi du 15 février1993, au Centre pour l'égalité des Chances et la Lutte Contre le Racisme (CECLCR). 4 CRPI, L intégration : une politique de longue haleine, volume I, Bruxelles, Inbel, novembre 1989, p. 65.

8 7 Cette définition est approuvée par la Conférence interministérielle du 29 janvier Dans ce premier Rapport du CRPI, «L intégration : une politique de longue haleine», on y trouve également une dénonciation de la politique de retour. Dans ce sens, l ordre du jour voté par les parlementaires de la majorité, le 17 janvier 1990, précise : - les immigrés sont et resteront en Belgique ; - les immigrés doivent pouvoir jouir de droits sociaux et économiques égaux ; - la participation politique implique la naturalisation ; - l existence des minorités d immigrés implique le respect de leur identité. Ces différents points sont largement partagés par le Nord et le Sud du pays pour les trois premiers points. Concernant le dernier, les francophones à l inverse des Flamands n entendent pas que les pouvoirs publics mettent en œuvre et financent des projets en matière d identité culturelle des étrangers. Deux principes contradictoires organisent ces politiques publiques : doiventelles être spécifiques aux immigrés ou générales à certaines populations? Au gré des changements institutionnels, les politiques publiques visant à l intégration des immigrés évoluent d une conception à l autre, particulièrement après leur communautarisation. Si les politiques généralistes sont acceptées par les deux communautés linguistiques et politiques, les politiques spécifiques se développent spécialement en Flandre. Cette différence entre la Flandre et le côté francophone s exprime par exemple, et tout particulièrement, au niveau de l enseignement. En Flandre, la politique de l enseignement repose sur trois volets : - l interculturalisme, - l enseignement de la langue et de la culture des étrangers, - l enseignement du néerlandais comme seconde langue. Les francophones, quant à eux, fortement inspirés par la France, adoptent, les discours et les politiques sociales françaises du gouvernement socialiste qu ils adaptent à la réalité institutionnelle belge. Leur analyse porte principalement sur le décrochage scolaire et les retards scolaires. Les actions destinées aux immigrés sont inclues dans des projets plus larges visant les populations dites défavorisées. Leur condition d étrangers est oubliée au profit de leur seule appartenance sociale. La circulaire PIC définit la notion d intégration ainsi que celle de cohabitation. La circulaire IS, quant à elle, donne une définition de la notion d insertion : 5 Dans le rapport final du CRPI, déposé en février 1993, des précisions sont apportées à la définition de l intégration ; notamment : la notion d intégration «n est pas valable seulement pour les immigrés mais aussi pour les Belges, qui eux aussi doivent respecter cet ordre public». (CRPI, Desseins d égalité, Bruxelles, Inbel, 1993, p.51).

9 8 Intégration : «dans la présente circulaire, on entend par «intégration sociale» toute action qui associe les populations locales, dont les communautés d origine étrangère, à tout type d activité qui vise la lutte contre l exclusion, sur le plan social et culturel». Cohabitation : «dans la présente circulaire, on entend par «cohabitation» l établissement de relations respectueuses et positives entre les différentes communautés locales. La cohabitation implique des échanges culturels et des actions communes afin de dépasser les phénomènes de cloisonnement et d incompréhension». Insertion : la COCOF comprend l insertion sociale comme «La possibilité donnée à chaque habitant de vivre une citoyenneté active et de contribuer au développement de la cité. Cela se traduit par la mise en place de dispositifs d éducation, de formation, d accès au travail, à la culture et à la jouissance de la ville, en vue de permettre aux personnes vivantes dans des quartiers fragilisés par un cumul de problèmes d être mieux intégrées dans la société et de devenir à leur tour multiplicateurs sociaux». Pour terminer, précisons que ce rapport est structuré en cinq parties. La première partie du rapport (page : 10 à 48) présente les résultats statistiques obtenus suite à l analyse des projets financés en 2001 dans le cadre du PIC, d IS et d Été-Jeunes. En ce qui concerne le PIC, nous avons réalisé divers graphiques à l échelle de la Région de Bruxelles-Capitale et à l échelle des communes. On constate à l issue de ces représentations, tant au niveau régional qu au niveau communal, une prédominance du secteur d activités «parascolaire et périscolaire». Au sein de ce secteur d activités, on remarque, parmi les actions développées, la prédominance de l activité «écoles de devoirs pour les enfants». Concernant IS, cette activité est également prédominante. Au sujet d Été-Jeunes, l analyse des projets confirme la tendance observée au niveau des programmes précédents. La deuxième partie (page : 49 à 73) contient le résultat des entretiens effectués, dans le cadre du PIC, auprès des coordinateurs du PIC 6. Nous avons interviewé 12 coordinateurs sur les 14 en fonction durant l année Les deux coordinateurs que nous n avons pas interviewés sont ceux d Evere et de Watermael-Boitsfort. Ces deux communes ont financé un seul projet et dans un seul secteur d activités, autre que le parascolaire et le périscolaire. 6 «Les communes sont chargées de mettre en place une structure de coordination du programme ( ), et de désigner un coordinateur, dont les tâches seront clairement définies par un cahier des charges ( ). Les coordinations sont chargées de mettre en œuvre tous les moyens nécessaires pour atteindre ces objetcifs.» (Circulaire aux communes, Programmes Cohabitation 2001, pp. 2-3).

10 9 Concernant les douze communes interviewées, nous avons dressé une fiche pour chacune d elle. Ces fiches comportent des informations au niveau : - 1) du responsable politique en charge du PIC ; - 2) de la coordination ; - 3) de la concertation ; - 4) et du processus d élection et de sélection des projets. La troisième partie (page : 74 à 81) résulte de la deuxième. À l issue de la présentation descriptive des coordinations du PIC, nous avons tenté en neuf points et sur base des interviews réalisées d identifier des catégories concernant le mode d organisation de la coordination du PIC, en fonction : de la politique communale, de l implantation de la coordination, de l articulation ou non du PIC avec d autres programmes, de la sélection des projets, de la concertation, du type d opérateur, etc. La quatrième partie (page : 82 à 120) du rapport est une étude de cas. Cinq communes ont été choisies, en concertation avec le cabinet du Ministre Alain HUTCHINSON (Comité d accompagnement, 9 avril 2003), pour approfondir la question des actions développées par les partenaires. Ces communes sont : Anderlecht, Forest, Molenbeek-Saint-Jean, Saint-Gilles et Schaerbeek. Nous avons, au sein de chacune de ces communes, interviewé : le responsable politique (à l exception de Molenbeek pour des raisons d agenda et de Saint-Gilles pour raison médicale), le coordinateur et deux partenaires (à l exception d Anderlecht et de Saint-Gilles, car le temps imparti était insuffisant). La dernière partie (page : 121 à 124) contient une analyse relative à l étude de cas, énoncée dans la quatrième partie.

11 10 1 ÈRE PARTIE PRÉSENTATIONS GRAPHIQUES ET COMMENTAIRES DES PROGRAMMES INTÉGRATION-COHABITATION, INSERTION-SOCIALE ET ÉTÉ-JEUNES

12 11 A. REPRÉSENTATION DU PROGRAMME INTÉGRATION- COHABITATION-2001 A.1. Programme Intégration-Cohabitation-2001 : projets communaux En 2001, le budget global du programme Intégration-Cohabitation (PIC) était de francs belges (Budget 2001, «Décret»). Les communes ont perçu fb. Elles ont alloué de francs belges aux projets communaux et associatifs. La différence a été affectée aux frais de fonctionnement de la coordination, aux projets PIC dits intercommunaux, ainsi qu aux projets FIPI dits communaux (Fonds d impulsion à la politique des immigrés). Au terme de la répartition du budget PIC s il subsiste une somme d argent, celle-ci est transférée vers le programme Insertion-Sociale (IS) (Article Budgétaire : 33.04). Répartition du budget PIC par commune en francs belges 7 Commune Budget alloué à la commune par la COCOF, en fb Nombre de projets financés par commune Budget alloué aux projets par la commune, en fb Anderlecht Auderghem Bruxelles-ville Etterbeek Evere Forest Ixelles Jette Koekelberg Molenbeek Saint-Gilles (+réserve communale : ) Saint-Josse Schaerbeek (+réserve communale : fb) Watermael-Boitsfort Total (+ réserve communale : fb 8 ) 7 Le budget alloué à la commune par la COCOF, le nombre de projets financés par commune et le budget alloué aux projets par la commune sont calculés sur base des «analyses-2001» que nous a communiqué l administration de la COCOF. 8 Les communes «peuvent choisir de réserver 5% du montant global de la subvention qui leur est octroyée pour renforcer les mesures d accompagnement et d évaluation des projets, ou pour financer des projets émergeant en cours d année et pour répondre à des urgences» (Circulaire aux Communes, Programme Cohabitation 2001, p. 4).

13 12 En 2001, quatorze communes 9 ont pu bénéficier du budget prévu pour les communes. Celles qui reçoivent le financement le plus important sont celles qui connaissent les proportions les plus élevées de populations étrangères, à savoir, Bruxelles, Schaerbeek, Molenbeek-Saint-Jean, Saint-Josse-Ten-Noode, Anderlecht. Ce sont aussi les communes (auxquelles s ajoutent Saint-Gilles et Forest) qui, il y a près de vingt ans, appliquaient l article 18bis qui a considérablement freiné la mobilité résidentielle à Bruxelles. Ce montant de plus de 105 millions finance 206 projets. Dans certaines communes, le budget est utilisé pour financer de très nombreux projets alors qu ailleurs un nombre restreint de projets reçoit une part plus importante du budget. On constate que Bruxelles-ville et Schaerbeek avec des montants similaires (respectivement : 16,1% et 16%) financent un nombre de projets sensiblement différents. La première finance 10,2% de projets et la seconde 26,2% de projets. C est aussi le cas entre Molenbeek et Saint-Josse. À Evere et à Watermael-Boitsfort, un seul projet est subsidié. Toutefois, les chiffres récoltés auprès de la COCOF ne reflètent qu une petite partie des actions communales pour l intégration des populations issues de l immigration. En fait, dans de nombreuses communes (Molenbeek, Anderlecht, Saint-Gilles, Forest, Etterbeek) s ajoute au budget du PIC la partie communale du FIPI, qui dépend du fédéral. Les actions éligibles dans cette politique publique sont très proches de celles du PIC. Au niveau communal, des associations peuvent être subsidiées pour des actions similaires soit par le PIC soit par le FIPI. On ne peut disposer d une vue complète que si on récolte et on fusionne les données des deux programmes. Ainsi, les données fournies exposent l usage qui est fait par les communes du budget régional mais elles n expriment nullement la politique communale, dans son exhaustivité envers les populations issues de l immigration. Pour avoir cette représentation, il conviendrait de procéder à une étude systématique, commune par commune, pour reconstituer cette politique. Néanmoins, ces données nous offrent quand même certaines indications. Nous allons examiner, à partir des catégories administratives tout d abord par axe et ensuite par secteur d activités divers éléments, telles les activités proposées et le public ciblé. 9 Anderlecht, Auderghem, Bruxelles-ville, Etterbeek, Evere, Forest, Ixelles, Jette, Koekelberg, Molenbeek-Saint-Jean, Saint-Gilles, Saint-Josse-Ten-Noode, Schaerbeek, Watermael-Boitsfort. Ganshoren est également une commune éligible, elle n a cependant pas introduit de projets en 2001.

14 13 A.1.1. Représentation par axe Dans la circulaire PIC et dans le questionnaire d introduction de demande de subsides figurent des orientations dans lesquelles doivent s inscrire les projets pour qu ils soient finançables. Ces orientations s expriment à travers trois axes : - «initiation à la citoyenneté» ; - «sensibilisation des acteurs» ; - «animation des espaces publics dans l optique de rencontres de publics socialement et culturellement différents.» Le graphique ci-dessous contient une représentation par axe, à l échelle de la Région de Bruxelles-Capitale, des projets financés dans le cadre du PIC en Représentation des projets et des subsides par axe à l échelle régionale PIC-2001 Région de Bruxelles-Capitale: 206 projets/ fb 60,00% 50,00% 40,00% Valeur en % 30,00% Projet Subside 20,00% 10,00% 0,00% Initiation à la citoyenneté Sensibilisation des acteurs Animation des espaces publics dans l'optique de rencontres de publics socialement et culturellement différents Axe Au niveau de la Région de Bruxelles-Capitale les projets et les subsides du programme PIC sont répartis entre les 3 axes, de la façon suivante : - Initiation à la citoyenneté : projets : 13,6%/subsides : 16,2% - Sensibilisation des acteurs : projets : 54,4%/subsides 47,6% - Animation des espaces publics dans l optique de rencontres de publics socialement et culturellement différents : projets : 32%/subsides : 36,2% À gauche (dans la colonne claire), figure la quantité des projets subsidiés et à droite (dans la colonne foncée) la quantité des subsides alloués à ces mêmes projets. On constate que l axe «sensibilisation des acteurs», au centre du

15 14 graphique, absorbe au niveau des projets 54,4%(112 projets) et au niveau des subsides alloués 47,6% ( fb). L axe «initiation à la citoyenneté», le moins important des trois, absorbe autour de 13% des projets et 16% des subsides. L axe «animation des espaces publics» occupe une position intermédiaire, il absorbe plus ou moins un tiers des projets et des subsides du programme. Nous remarquons, cependant, que la répartition par axe de ce programme donne une information qualitative assez limitée. Les trois axes ne nous informent pas quant au type d actions ou au type de pratiques contenues dans les projets introduits par les partenaires, mais uniquement sur les orientations dans lesquelles les actions sont censées s inscrire pour qu elles soient subventionnées. En conséquence, cette représentation par axe est peu significative. Nous n avons donc pas poursuivi cette représentation à l échelle communale. Pour obtenir une information plus complète sur le type d actions ou le type de pratiques subsidiées par le PIC en 2001, il est nécessaire de réaliser une représentation par secteur d activités et non pas par axe.

16 15 A.1.2. Représentation par secteur d activités A Quelques précisions méthodologiques La représentation par secteur d activités nous fournit des informations sur le type d actions subsidiées. Chaque axe contient plusieurs secteurs d activités, et ces derniers indiquent le type d action dans lequel le promoteur est invité à inscrire son projet. Mais avant d aller plus loin précisons que l intitulé des secteurs d activités est retranscrit sur le graphique en abrégé. L encadré ci-dessous présente l intitulé complet tel qu il figure au sein du questionnaire d introduction de demande de subsides et entre parenthèse nous avons reproduit l intitulé du secteur d activités en abrégé, tel qu il figure dans le graphique. Axes et secteurs d activités Axe 1 : initiation à la citoyenneté 1. Information concernant la naturalisation et les services communaux. (Information) 2. Pratiques des solidarités, notamment par l impulsion d actions d économie sociale de proximité. (P-solidarités) 3. Prévention des comportements asociaux notamment par le travail des éducateurs de rue. (Prévention) 4. Dialogue et reconnaissance entre les jeunes et la police, les commerçants, etc. (Dialogue). 5. La découverte et la ré-appropriation symbolique de l espace, notamment par l apprentissage de l histoire sociale des quartiers. (Découverte) Axe 2 : sensibilisation des acteurs 1. Sensibilisation et formation des acteurs aux questions liées à l intégration et à la cohabitation : intervenants sociaux, agents de police, agents de quartier, (Sensibilisat) 2. Information et formation du public et des responsables aux questions de sécurité et de salubrité de l habitat, action concernant tous les aspects culturels de la convivialité (y compris la lutte contre la création de quartier ghettos). (Inform-form) 3. Actions parascolaires et périscolaires : animation dans et autour de l école, école de devoirs, alphabétisation des parents en français, sensibilisation des enseignants et des parents à toutes les pratiques susceptibles d améliorer la réussite scolaire des enfants, promotion des associations de parents d élèves. (Para-périscol) Axe 3 : Animation des espaces publics dans l optique de rencontres de publics socialement et culturellement différents 1. Renforcement des animations existantes dans un objectif de participation du public bénéficiaire à l élaboration et à la gestion des activités. (Renforcement) 2. Animation des espaces publics extérieurs (plaines de jeux, stations de métro, ) par des éducateurs de rue, par des animateurs de plaines de jeux,. (Animation-pub) 3. Rencontres interculturelles. (Interculturel) 4. Rencontres intergénérationnelles. (Intergénérat) 5. Animations sportives. (Anim. sportive) 6. Projets d aménagement et d embellissement des locaux en collaboration avec le public bénéficiaire. (Aménagement)

17 16 Ceci étant dit, nous avons, pour l année 2001, répertorié 206 projets. Au total ils ont absorbé un montant de fb. Pour identifier ce que ces projets ont recouvert comme type d actions nous les avons classés dans des grilles selon un axe, un secteur d activités, le nom de l association qui le développe, l adresse de l association, son contenu, le subside alloué par la COCOF et la commune (sous forme de cofinancement), ce qui a été demandé, d une part, et reçu, d autre part, le type de convention (annuelle ou triennale), le public (le nombre et l âge), la transversalité : mixité et implication des parents et des personnes âgées. Exemple de la grille conçue pour catégoriser les projets PIC-2001 AXE PIC-2001 SENSIBILISATION DES ACTEURS Secteur d activité : Action parascolaire et périscolaire : améliorer la réussite scolaire des enfants ANDERLECHT Assoc. Quart. Cont. Bud. COCOF 2/Cactus 3/Casi-uo 16, rue Van Lint 211, rue Ad. Willemyns Relais parents-enfants-école. Projet développant un lieu de rencontre autour de thèmes liés à l éducation et à la scolarité, dans le but de sensibiliser les mamans et de les responsabiliser par rapport à leurs enfants. Réussir ensemble : aide aux devoirs ; gestion du travail scolaire ; visite de musées et expositions, atelier théâtre, Dem : fb Reçu : fb Dem : fb Reçu : fb Bud. Cofin. Conv. trien.ou ann. Nombre et âge des participants trien ans trien ans Mixité Implication des parents/ pers. âgées 100 % fê x x x 4/Cirqu Co nflex 5/Couleur Jeunes 18, rue Sergent De Bruyne 91, rue du Prétoire Les Petits Ménestrels : développement d activités liées aux techniques de Cirque dans les écoles et associations anderlechtoises. Lutte contre l échec scolaire et prévention du décrochage scolaire. Dem : fb Reçu : fb Dem : fb Reçu : fb trien ans trien ans Les informations tirées des questionnaires introduits par les partenaires ne nous ont pas permis de compléter la colonne «budget cofinancement». Concernant les deux dernières colonnes, presque tous les partenaires indiquent que leur public est mixte à l exception de ceux qui ne travaillent qu avec un public féminin et qu ils impliquent les parents et les personnes âgés. Après avoir classé les projets nous les avons représentés sous forme de graphiques à l échelle régionale et communale. x x x x

18 17 A Représentation des projets et des subsides par secteurs d activités à l échelle régionale PIC-2001 Région de Bruxelles-Capitale: 206 projets/ fb 50,00% 45,00% 40,00% 35,00% Valeur en % 30,00% 25,00% 20,00% Projet Subside 15,00% 10,00% 5,00% 0,00% information p-solidarités prévention dialogue découverte sensibilisat. inform-form. para-périscol renforcement animation-pub interculturel intergénérat. anim.sportive aménagement Axe Au niveau de la Région de Bruxelles-Capitale les projets et les subsides du programme PIC sont répartis entre 13 secteurs d activités : - Information : projet : 5,3%/subside : 7,1% - Pratiques des solidarités : projet : 2,4%/subside : 2,9% - Prévention : projet : 3,4%/subside : 4,6% - Dialogue : projet : 1%/subside : 0,8% - Découverte : projet : 1,5%/subside : 0,8% - Sensibilisation : projet : 4,4%/subside : 3,5% - Information et formation : projet : 2,4%/subside : 4,1% - Parascolaire et périscolaire : projet : 47,6%/subside : 39,9% - Renforcement : projet : 10,2%/subside : 12,9% - Animations des espaces publics : projet : 4,8%/subside : 5,4% - Rencontres interculturelles : projet : 4,8%/subside : 4% - Rencontres intergénérationnelles : projet : 2,4%/subside : 4,1% - Animations sportives : projet : 9,7%/subside : 9,7% - Aménagement : projet : 0,0%/subside : 0,0% Alors que le questionnaire n indique aucune priorité particulière au sujet de tel ou tel secteur d activités, on constate que le secteur parascolaire et périscolaire absorbe 47,6% des projets (98 projets sur un total de 206) et 39,9% du subside du PIC ( fb sur un total de fb).

19 18 A Représentation des projets et des subsides par secteur d activités à l échelle communale 1. Anderlecht PIC-2001 Anderlecht: 21 projets/ fb 35,00% 30,00% 25,00% Valeur en % 20,00% 15,00% Projet Subside 10,00% 5,00% 0,00% information p-solidarités prévention dialogue découverte sensibilisat. inform-form. para-périscol renforcement animation-pub interculturel intergénérat. anim.sportive aménagement Secteur d'activités À Anderlecht, les projets et les subsides du programme PIC sont répartis entre sept secteurs d activités : - Information : projet : 9,5%/subside : 4,1% - Pratiques des solidarités : projet : 4,8%/subside : 2,3% - Information et formation projet : 4,8%/subside : 27,3% - Parascolaire et périscolaire : projet : 28,6%/subside : 19,6% - Renforcement : projet : 14,3%/subside : 11,8% - Rencontres interculturelles projet : 14,3%/subside : 20,7% - Animations sportives projet : 23,8%/subside : 14,1% Dans cette répartition, on remarque une prédominance du secteur parascolaire et périscolaire confirmant la tendance observée à l échelle régionale. Derrière l importance du secteur «information et formation», il n y a qu un seul projet. Il s agit du projet de la Mission Locale d Anderlecht, qui a reçu en 2001 un montant de fb. Le renforcement, les rencontres interculturelles et les animations sportives sont aussi trois secteurs visiblement importants dans la répartition du PIC. Les secteurs information et pratique des solidarités sont nettement moins importants. Les deux réunis tournent autour de 13% des projets et 6% des subsides.

20 19 2. Auderghem PIC-2001 Auderghem: 6 projets/ fb 80,00% 70,00% 60,00% Valeur en % 50,00% 40,00% 30,00% Projet Subside 20,00% 10,00% 0,00% information p-solidarités prévention dialogue découverte sensibilisat. inform-form. para-périscol renforcement animation-pub interculturel intergénérat. anim.sportive aménagement Secteur d'activités À Auderghem, les projets et les subsides du programme PIC sont répartis entre cinq secteurs d activités : - Information : projet : 16,7%/subside : 7,1% - Pratiques des solidarités : projet : 16,7%/subside : 8,4% - Parascolaire et périscolaire : projet : 33,3%/subside : 76% - Rencontres interculturelles projet : 17,7%/subside : 4,3% - Rencontres intergénérationnelles : projet : 16,7%/subside : 4,2% Ici aussi, la répartition du subside PIC est principalement concentrée au niveau du parascolaire et du périscolaire. Les quatre autres secteurs totalisent seulement 24% des subsides mais financent plus de 65% des projets.

21 20 3. Bruxelles-ville PIC-2001 Bruxelles-ville: 21 projets/ fb 70,00% 60,00% 50,00% Valeur en % 40,00% 30,00% Projet Subside 20,00% 10,00% 0,00% information p-solidarités prévention dialogue découverte sensibilisat. inform-form. para-périscol renforcement animation-pub interculturel intergénérat. anim.sportive aménagement Secteur d'activités À Bruxelles-ville, les projets et les subsides du programme PIC sont répartis entre six secteurs d activités : - Information : projet : 4,8%/subside : 7,7% - Pratiques des solidarités : projet : 4,8%/subside : 8,3% - Dialogue: projet : 4,8%/subside : 4% - Parascolaire et périscolaire : projet : 61,9%/subside : 62,1% - Renforcement : projet : 19%/subside : 13,6% - Rencontres interculturelles :projet : 4,8%/subside : 4,3% Ici également, avec plus de 60% des projets et des subsides, le secteur d activités parascolaire et périscolaire est de loin le plus important.

22 21 4.Etterbeek PIC-2001 Etterbeek: 3 projets/ fb 80% 70% 66,70% 60% 52% 50% 48% Valeur en % 40% 30% 33,30% Projet Subside 20% 10% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% information p-solidarités prévention dialogue découverte sensibilisat. inform-form. para-périscol Secteur d'activité renforcement animation-pub interculturel intergénérat. 0% 0% 0% 0% 0% 0% anim.sportive aménagement À Etterbeek les projets et les subsides du programme PIC sont répartis entre deux secteurs d activités : - Parascolaire et périscolaire : projet : 66,7%/subside : 48% ; - Rencontres interculturelles projet : 33,3%/subside : 52%. Dans cette commune, la répartition est organisée entre deux secteurs. Remarquons, que le secteur parascolaire et périscolaire avec un budget légèrement inférieur, à celui des rencontres interculturelles, finance un peu plus du double des projets.

23 22 5. Evere PIC-2001 Evere: 1 projet/ fb 120% 100% 80% Valeur en % 60% 40% Projet Subside 20% 0% information p-solidarités prévention dialogue découverte sensibilisat. inform-form. para-périscol renforcement animation-pub interculturel intergénérat. anim.sportive aménagement Secteur d'activités À Evere, les projets et les subsides du programme PIC sont concentrés sur un seul secteur d activités : - Sensibilisation : projet : 100%/subside : 100% Le subside est utilisé par la commune pour financer le poste d un travailleur social chargé de venir en aide aux habitants dans leurs démarches administratives.

24 23 6. Forest PIC-2001 Forest: 7 projets/ fb 80% 70% 60% Valeur en % 50% 40% 30% Projet Subside 20% 10% 0% information p-solidarités prévention dialogue découverte sensibilisat. inform-form. para-périscol renforcement animation-pub interculturel intergénérat. anim.sportive aménagement Secteur d'activités À Forest, les projets et les subsides du programme PIC sont répartis entre quatre secteurs d activités : - Pratiques des solidarités : projet : 14,3%/subside : 15,1% - Parascolaire et périscolaire : projet : 14,3%/subside : 4,1% - Renforcement : projet : 57,1%/subside : 76% - Animations des espaces publics : projet : 14,3%/subside : 4,7% Le secteur renforcement est le principal bénéficiaire. L objectif de ce dernier est, comme son intitulé l indique, de renforcer des actions existantes. À l intérieur de ce secteur, on trouve différentes activités, comme par exemple des animations sportives, des rencontres interculturelles, ou encore de l école de devoirs, etc.

25 24 7. Ixelles PIC-2001 Ixelles: 12 projets/ fb 70% 60% 50% Valeur en % 40% 30% Projet Subside 20% 10% 0% information p-solidarités prévention dialogue découverte sensibilisat. inform-form. para-périscol renforcement animation-pub interculturel intergénérat. anim.sportive aménagement Secteur d'activités À Ixelles, les projets et les subsides du programme PIC sont répartis entre cinq secteurs d activités : - Prévention : projet : 8,3%/subside : 12,6% - Information et formation projet : 8,3%/subside : 0,8% - Parascolaire et périscolaire : projet : 58,3%/subside : 30,1% - Animations des espaces publics : projet : 8,3%/subside : 1,2% - Animations sportives : projet : 16,6%/subside : 55,3% Le subside est principalement affecté aux secteurs para et périscolaire et animations sportives. Ils absorbent à eux deux plus de 85% de la répartition du subside PIC.

26 25 8. Jette PIC-2001 Jette: 2 projets/ fb 70% 60% 50% Valeur en % 40% 30% Projet Subside 20% 10% 0% information p-solidarités prévention dialogue découverte sensibilisat. inform-form. para-périscol renforcement animation-pub interculturel intergénérat. anim.sportive aménagement Secteur d'activités À Jette, les projets et les subsides du programme PIC sont répartis entre deux secteurs d activités : - Parascolaire et périscolaire : projet : 50%/subside : 60,8% - Rencontres interculturelles : projet : 50%/subside : 39,2% Avec des budgets différents, on observe que les deux secteurs d activités absorbent une quantité de projets identiques.

27 26 9. Koekelberg PIC-2001 Koekelberg: 5 projets/ fb 70% 60% 50% Valeur en % 40% 30% Projet Subside 20% 10% 0% information p-solidarités prévention dialogue découverte sensibilisat. inform-form. para-périscol renforcement animation-pub interculturel intergénérat. anim.sportive aménagement Secteur d'activités À Koekelberg, les projets et les subsides du programme PIC sont répartis entre trois secteurs d activités : - Prévention : projet : 20%/subside : 28% - Parascolaire et périscolaire : projet : 60%/subside : 48,8% - Renforcement : projet : 20%/subside : 23,1% Le secteur parascolaire et périscolaire est prédominant. À l instar d Ixelles, de Molenbeek et de Schaerbeek, Koekelberg finance aussi le secteur d activité «prévention».

28 Molenbeek-Saint-Jean PIC-2001 Molenbeek: 13 projets/ fb 40,00% 35,00% 30,00% Valeur en % 25,00% 20,00% 15,00% Projet Subside 10,00% 5,00% 0,00% information p-solidarités prévention dialogue découverte sensibilisat. inform-form. para-périscol renforcement animation-pub interculturel intergénérat. anim.sportive aménagement Secteur d'activités À Molenbeek-Saint-Jean, les projets et les subsides du programme PIC sont répartis entre sept secteurs d activités : - Information : projet : 15,4%/subside : 34,7% - Prévention : projet : 7,7%/subside : 16,3% - Information et formation : projet : 7,7%/subside : 8% - Parascolaire et périscolaire : projet : 30,7%/subside : 15,8% - Renforcement : projet : 23%/subside : 15,5% - Animations des espaces publics : projet : 7,7%/subside : 6,6% - Rencontres interculturelles : projet : 7,7%/subside : 3,1% Le secteur information absorbe le subside le plus important, près de 35%, suivi par le secteur prévention qui concentre le deuxième subside le plus important, avec plus de 16%. Le parascolaire et périscolaire occupe également une place conséquente dans la répartition du PIC, puisqu il absorbe un subside plus ou moins équivalent à celui du secteur prévention et surtout une quantité de projets supérieurs à tous les autres secteurs. Le secteur renforcement est aussi non négligeable.

29 Saint-Gilles PIC-2001 Saint-Gilles: 18 projets/ fb 50% 45% 40% 35% Valeur en % 30% 25% 20% Projet Subside 15% 10% 5% 0% information p-solidarités prévention dialogue découverte sensibilisat. inform-form. para-périscol renforcement animation-pub interculturel intergénérat. anim.sportive aménagement Secteur d'actvités À Saint-Gilles, les projets et les subsides du programme PIC sont répartis entre sept secteurs d activités : - Dialogue : projet : 5,5%/subside : 2,5% - Découverte : projet : 11,1%/subside : 9,9% - Sensibilisation : projet : 11,1%/subside : 13,5% - Parascolaire et périscolaire : projet : 44,4%/subside : 34,7% - Renforcement : projet : 11,1%/subside : 12,3% - Animations des espaces publics : projet : 5,5%/subside : 16% - Animations sportives : projet : 11,1%/subside : 11,1% On remarque la nette prédominance, tant au niveau des projets que des subsides, du secteur para et périscolaire. Les secteurs : découverte, sensibilisation, renforcement et animations sportives absorbent une quantité de projets et de subsides plus ou moins similaire, approximativement entre 10% et 13%.

30 Saint-Josse-Ten-Noode PIC-2001 Saint-Josse-Ten-Noode: 42 projets/ fb 70,00% 60,00% 50,00% Valeur en % 40,00% 30,00% Projet Subside 20,00% 10,00% 0,00% information p-solidarités prévention dialogue découverte sensibilisat. inform-form. para-périscol renforcement animation-pub interculturel intergénérat. anim.sportive Secteur d'activités À Saint-Josse, les projets et les subsides du programme PIC sont répartis entre dix secteurs d activités : - Information : projet : 7,1%/subside : 5,6% - Pratiques des solidarités : projet : 2,4%/subside : 1,2% - Sensibilisation : projet : 4,8%/subside : 4,8% - Information et formation : projet : 4,8%/subside : 2% - Parascolaire et périscolaire : projet : 47,6%/subside : 57,9% - Renforcement : projet : 7,1%/subside : 5% - Animations des espaces publics : projet : 7,1%/subside : 13% - Rencontres interculturelles : projet : 4,8%/subside : 1,6% - Rencontres intergénérationnelles : projet : 2,4%/subside : 2,2% - Animations sportives : projet : 11,9%/subside : 6,5% Le secteur parascolaire et périscolaire absorbe près de la majorité des projets et plus de la moitié des subsides (respectivement 47,6% et 57,9%). Les neuf autres secteurs se partage les 42% du budget restant.

31 Schaerbeek PIC-2001 Schaerbeek: 54 projets/ fb 70,00% 60,00% 50,00% Valeur en % 40,00% 30,00% Projet Subside 20,00% 10,00% 0,00% information p-solidarités prévention dialogue découverte sensibilisat. inform-form. para-périscol renforcement animation-pub interculturel intergénérat. anim.sportive aménagement Secteur d'activités À Schaerbeek, les projets et les subsides du programme PIC sont répartis entre dix secteurs d activités : - Information : projet : 3,7%/subside : 2,5% - Prévention : projet : 7,4%/subside : 5,1% - Découverte : projet : 1,8%/subside : 0,3% - Sensibilisation : projet : 7,4%/subside : 5,9% - Parascolaire et périscolaire : projet : 57,4%/subside : : 58,3% - Renforcement : projet : 1,8%/subside : 1,2% - Animations des espaces publics : projet : 5,5%/subside : 9,5% - Rencontres interculturelles : projet : 1,8%/subside : 0,4% - Rencontres intergénérationnelles : projet : 1,8%/subside : 3,2% - Animations sportives : projet : 11,1%/subside : 13,6% La configuration schaerbeekoise ressemble à celle de Saint-Josse. Le PIC est réparti entre dix secteurs d activités dont un, le parascolaire et périscolaire, absorbe près de 60% des subside et des projets.

32 Watermael-Boitsfort PIC-2001 Watermael-Boitsfort: 1 projet/ fb 120% 100% 80% Valeur en % 60% 40% Projet Subside 20% 0% information p-solidarités prévention dialogue découverte sensibilisat. inform-form. para-périscol renforcement animation-pub interculturel intergénérat. anim.sportive aménagement Secteur d'activités À Watermael-Boitsfort, les projets et les subsides du programme PIC sont concentrés dans un seul secteur d activités : - Rencontres intergénérationnelles : projet : 100%/subside : 100% Dans cette commune à l instar de la commune d Evere le PIC est entièrement consacré pour le financement d un seul secteur d activités. Le subside est destiné à prolonger les activités de la Maison de Quartier, par exemple un espace de jeux pour adulte, une halte garderie, une chorale, etc.

33 32 A Analyse de l affectation du budget PIC 1. Prédominance du secteur parascolaire et périscolaire Au terme de la présentation des représentations graphiques, on constate une prédominance du secteur d activités «parascolaire et périscolaire», tant au niveau régional qu au niveau de la plupart des communes. À l exception des communes d Evere et de Watermael-Boitsfort, douze communes, subsidiées dans le cadre du PIC, développent des projets s inscrivant dans ce secteur d activités. Représentation du secteur d activités para et périscolaire dans chaque commune PIC 2001 Secteur d'activités parascolaire et périscolaire au sein des 14 communes : 98 projets/ fb 80,00% 70,00% 60,00% 50,00% Valeur en % 40,00% 30,00% Projet Subside 20,00% 10,00% 0,00% And Aud Bxl Ett Ev For Ix Jet Koe Mol St-G St-J Sch W-B Secteur d'activités - Anderlecht : 28,6% de projets et 19,6% de subsides - Auderghem : 33,3% de projets et 76% de subsides - Bruxelles-ville : 61,9% de projets et 62,1% de subsides - Etterbeek : 66,7% de projets et 48% de subsides - Forest : 14,3% de projets et 4,1% de subsides - Ixelles : 58,3% de projets et 16,2% de subsides - Jette : 50% de projets et 60,8% de subsides - Koekelberg : 60% de projets et 48,8% de subsides - Molenbeek-Saint-Jean : 30,7% de projets et 15,8% de subsides - Saint-Gilles : 44,4% de projets et 34,7% de subsides - Saint-Josse-Ten-Noode : 47,6% de projets et 57,9% de subsides - Schaerbeek : 57,4% de projets et 58,3% de subsides

34 33 Au regard de ce graphique, présentant le secteur para et périscolaire dans chaque commune, on constate que ce secteur se retrouve, à l exception de Watermael-Boitsfort et d Evere, dans toutes les communes. À Auderghem, Bruxelles-ville, Jette, Saint-Josse et Schaerbeek plus de la moitié du budget communal du PIC est consacré aux activités para et périscolaires. Ceci ne signifie nullement que les autres communes ne financent pas ces activités, peut-être le font-elles mais à partir d une autre source budgétaire. En allant plus profondeur dans la dissection de la représentation, nous avons représenté ce que le secteur d activités parascolaire et périscolaire contient comme type d actions. Ces actions sont les suivantes : écoles de devoirs pour les enfants (6-12ans) ; alphabétisation pour les adultes ; autres activités menées dans le cadre de l école, mais en dehors des heures scolaires (développement des relations entre les parents, les enfants et l école, etc.). Représentation du contenu du secteur d activités para et périscolaire à l échelle régionale PIC 2001 Région de Bruxelles-Capitale: 98 projets/ fb 80,00% 70,00% 60,00% 50,00% Valeur en % 40,00% 30,00% Projet Subside 20,00% 10,00% 0,00% École de devoirs pour les enfants (6-12ans) Alphabétisation pour les adultes Secteur d'activités École de devoirs pour les enfants et alphabétisation pour les adultes Autres activités Au niveau de la Région de Bruxelles-Capitale, les projets et les subsides du secteur d activités parascolaire et périscolaire sont principalement concentrés sur les activités «école de devoirs pour les enfants» et «alphabétisation pour les adultes» : - École de devoirs pour les enfants : projet : 74,5%/subside : 70,4% - Alphabétisation pour les adultes : projet : 16,3%/subside : 15,4% Par moment, lors de la catégorisation, il était impossible de ventiler les deux activités. Nous avons donc du les représenter ensemble :

35 34 - École de devoirs pour les enfants et alphabétisation pour les adultes : 6,1%/subside : 11,4% Il y a également eu quelques activités, assez différentes les unes des autres, et que nous avons regroupé sous les termes : «autres activités» : - Autres activités : projet : 3%/subside : 2,8% On observe sur cette représentation que l activité «école de devoirs pour les enfants», située à gauche du graphique, absorbe 74,5% des projets et 70,4% des subsides du secteur parascolaire et périscolaire. L alphabétisation pour les adultes, par contre, absorbe autour de 16% des projets et des subsides. La troisième paire de colonnes, en partant de la gauche, contient les deux activités précédentes pour la simple et unique raison que nous n avons pas pu, avec les informations dont nous disposions, les distinguer. Enfin, pour les colonnes «autres activités», il s agit d actions diverses inscrites dans le parascolaire et le périscolaire par le promoteur du projet. 2. Le PIC : un programme pour les jeunes Nous avons aussi souhaité découvrir les catégories d âges du public touché par le PIC. On remarque, au vu des graphiques, que la catégorie d âge, majoritairement touché, est celle des moins de 25 ans. Vu la prédominance du secteur parascolaire et périscolaire, celle de 6 à 12 ans constituent certainement la majorité du public. Représentation des catégories d âges à l échelle régionale PIC-2001 Région de Bruxelles-Capitale: 206 projets/ fb 60,00% 50,00% 40,00% Valeur en % 30,00% Projet Subside 20,00% 10,00% 0,00% (-)25ans (+)25ans (-/+)25ans Sans public Catégorie d'âge

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