La filière laitière en Champagne-Ardenne

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1 Agreste hors-série - Juin 28 La filière laitière en MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE Direction régionale et départementale de l agriculture et de la forêt Service régional de l information statistique et économique

2 La production laitière En, le nombre de vaches laitières baisse fortement : près d un tiers des effectifs a disparu depuis Cette évolution est supérieure de 3 points à celle observée au niveau national. En, les effectifs champardennais atteignent vaches laitières. Ils représentent à peine 3 % du cheptel national, proportion stable depuis Evolution de la production traite de lait de vache (base 1 : 1989) métropolitaine Source : Agreste, Statistique agricole annuelle 1989 à 27 Evolution de l effectif des vaches laitières (base 1 : 1989) Source : Agreste, Enquête annuelle laitière de 1989 à Production de lait en 27 De même, la production de lait avec 677 millions de litres représente 3 % de la production nationale. La région se situe au 14 ème rang national, assez loin devant les régions Centre et Bourgogne. 95 % de la production de lait champardennaise est livrée à l industrie laitière, soit 1 point de plus que la moyenne française. Production laitière annuelle (millions de litres) BD CARTO IGBN-Paris Source : Agreste, Enquête annuelle laitière 2/13

3 Les exploitations En, la Champagne- Ardenne compte 2 53 exploitations ayant des vaches laitières, soit près d un quart des exploitations professionnelles non viticoles de la région. Ces exploitations se situent principalement dans les Ardennes et la Haute-Marne. Les exploitations spécialisées en bovins lait, c est-à-dire celles dont les deux tiers de la MBS (marge brute standard) proviennent des vaches laitières, ne représentent qu un quart des exploitations ayant des vaches laitières. Entre 1988 et, la région champardennaise a perdu près de 3 36 exploitations ayant des vaches laitières soit - 57 %. Sur la période 1988-, le rythme annuel de disparition est de - 5,3 % par an (- 3 % par an pour l ensemble des exploitations professionnelles non viticoles). Depuis, ce rythme s est ralenti, passant à - 3,7 % par an, mais il reste toujours supérieur au taux annuel de disparition de l ensemble des exploitations non viticoles de la région (- 2 %). En 1988, les exploitations spécialisées en lait détenaient 4 % du cheptel de vaches laitières, les exploitations spécialisées en grandes cultures et herbivores 34 %. En, la situation a changé. Les vaches laitières se trouvent pour 43 % dans les exploitations spécialisées Répartition des exploitations et des vaches laitières par OTEX 1988 Exploitations ayant des vaches laitières Vaches laitières OTEX bovins lait Exploitations Cheptel OTEX Bovins lait et viande Exploitations Cheptel OTEX Grandes cultures et herbivores Exploitations Cheptel Source : Agreste, Recensements de l agriculture 1988 et et enquête structure en grandes cultures et herbivores. Leur part dans les exploitations spécialisées en lait n est plus que de 27 %. La part de vaches laitières a progressé de 2 points dans les exploitations spécialisées bovins lait-viande. Cela reflète l agrandissement des exploitations avec le passage à des exploitations combinant élevages et grandes cultures sur de grandes surfaces. 3/13

4 Les exploitations La moitié du cheptel champardennais se concentre dans un tiers des exploitations, celles ayant des troupeaux de plus de 5 vaches. Un tiers du cheptel se situe dans des troupeaux de moins de 4 têtes, appartenant à 45 % des exploitations. La proportion d exploitations individuelles est élevée pour les exploitations ayant des vaches laitières. En moyenne, 46 % ont ce statut. L association en GAEC a la préférence des statuts sociétaires (31 %). La forme EARL est aussi bien présente avec 22 %. Deux exploitants sur cinq ayant des vaches laitières sont âgés de 5 ans et plus. La proportion d exploitants de moins de 4 ans est plus faible dans les exploitations spécialisées «bovins lait» que dans les autres exploitations ayant des vaches laitières. 6 ans et plus 5 à 59 ans 4 à 49 ans Exploitations laitières selon l âge du chef d exploitation en 3,7,6 7 vaches et plus de 5 à 69 vaches de 4 à 49 vaches de 29 à 3 vaches de 2 à 29 vaches de 1 à 19 vaches Exploitations et vaches laitières selon la taille du troupeau en 2 5 Source : Agreste, Enquête structure des exploitations 7 1 Effectifs vaches laitières Exploitations ,6 31,4 35, , en % Moins de 4 ans 27,9 26,2 en % Exploitations ayant des vaches laitières Exploitations spécialisées lait Source : Agreste, Enquête structure des exploitations 4/13

5 Livraisons de lait Les livraisons des producteurs champardennais s élèvent en à 645 millions de litres, soit 2,9 % de la collecte nationale Avec 45 vaches en moyenne par livreur, la région champardennaise se situe au dessus de la moyenne nationale (41 vaches). Les livraisons par vache sont de litres, soit 19 litres de plus que la moyenne française. Les livraisons par livreur sont d environ litres, la moyenne française est de litres. Bien que le nombre de livreurs soit le plus élevé dans les Ardennes (41 %), c est le département de la Haute-Marne qui livre la plus grande quantité de lait à l industrie (4 %) Par ailleurs, les livraisons de lait sont marquées par la saisonnalité de la production. Ainsi, en 27, les mois à fortes livraisons ont été janvier, avril et mai avec plus de 615 hectolitres de lait par mois. Juillet, août et septembre sont les mois à faibles livraisons, en dessous de 47 hectolitres de lait par mois. Cette saisonnalité s explique notamment par le regroupement des vêlages à certaines périodes (automne le plus souvent) et par l amélioration de l alimentation lors de la mise à l herbe au printemps. Evolution des livraisons de lait de vache à l industrie (base 1 : 1989) Source : Agreste, Statistique agricole annuelle 1989 à De 199 à 1993, les livraisons de lait ont fortement diminué. Les livraisons deviennent très irrégulières jusqu en. Les livraisons de lait de sont les plus faibles depuis L année 27 enregistre une hausse des livraisons. De même, la production de lait avec 677 millions de litres représente 3 % de la production nationale. La région se situe au 14 ème rang national, assez loin devant les régions Centre et Bourgogne. 95 % de la production de lait champardennaise est livrée à l industrie laitière, soit 1 point de plus que la moyenne française. métropolitaine Saisonnalité des livraisons de lait en en 27 7 en hl Source : Agreste, SMlait /13

6 Livraisons de lait La composition du lait en matière grasse et en matière protéique s est nettement améliorée depuis Induite par l augmentation du prix du gramme de matière protéique, la teneur en protéines du lait a gagné 1,5 point entre 199 et, pour atteindre 33 g/l. Elle s est légèrement repliée en et. La teneur en matière grasse s est élevée au début de la période mais la prise en compte de celleci dans le contingentement de la production laitière à partir de la campagne a conduit à sa stabilisation autour de 41 g/l dès. Elle a également chuté (-,5g/l) au cours des deux dernières années. Aussi bien pour la matière protéique que pour la matière grasse, la qualité du lait dans la région se situe en dessous de la moyenne nationale. La race des vaches laitières majoritairement présentes (Prim Holstein) en est sans doute la principale cause. Teneur en matière protéique du lait 34, g/litre 33,5 33, 32,5 32, 31,5 31, 3,5 3, Source : Agreste, Statistique agricole annuelle 1989 à 43 g/litre Teneur en matière grasse du lait Source : Agreste, Statistique agricole annuelle 1989 à /13

7 La collecte de lait En, la compte producteurs de lait livrant à l industrie laitière. Leur nombre a baissé d un tiers depuis, soit une diminution annuelle de 3,6 %. C est un peu moins élevé qu au niveau national, - 3,9 % par an Source : Agreste, Enquête annuelle laitière à Effectif des producteurs de lait livrant à l industrie laitière (base 1 : ) Effectif des producteurs de lait livrant à l industrie laitière Source : Agreste, Enquête annuelle laitière à Peu de lait bio En, sept producteurs champardennais livrent du lait de vache biologique sur les 1 2 que compte la. La collecte de lait de vache biologique demeure faible,,2 % de la collecte totale de lait de vache. C est nettement inférieur à la moyenne nationale (1 %). L Alsace et la Franche-Comté sont les deux régions françaises où la collecte de lait biologique est importante, respectivement 3,3 % et 2,5 % de leur collecte totale. 7/13

8 La collecte de lait Les producteurs livrent environ les deux-tiers du lait produit en dans les établissements champardennais et ensuite par ordre d importance en Lorraine, en Bourgogne et en Picardie. Cependant, des producteurs d autres régions livrent du lait dans les établissements champardennais. Ils se situent en grande majorité en Lorraine puis en Franche-Comté et en Bourgogne. Ainsi, la collecte des établissements champardennais atteindrait plus de 5 millions de litres, en retrait cependant par rapport à la production 12 établissements transforment le lait en, soit 1,5 % des établissements français. Ils sont principalement localisés en Haute-Marne puis dans l Aube. La principale production régionale est de celle de fromages de vache (fondus exclus). En, elle atteint 33 tonnes mais ne représente que 2 % de la production nationale. La moitié de ce tonnage est issu de la fabrication de fromages à pâte molle. Sites de collecte du lait champardennais en BD CARTO IGBN-Paris Source : Agreste, SM Lait D où vient le lait collecté en Champagne-Adenne? (milliers de litres) Lorraine Franche-Comté Bourgogne Ile-de Picardie Source : Agreste, Enquête annuelle laitière 8/13

9 Références laitières Les livraisons de lait à l industrie sont inférieures de 5,5 % aux références laitières en 27. En, elles atteignaient 93,2 % de la référence laitière régionale, soit 1,3 points de moins qu en 27. C est dans l Aube que la différence entre quotas laitiers et livraisons de lait est la plus forte. Près de 9 % des quotas laitiers aubois ne sont pas réalisés en 27 contre 6,3 % en. Dans les autres départements champardennais, cette différence s est atténuée en 27 par rapport à l année en hl Références laitières et livraisons de lait Références laitières précédente, sans doute sous l influence de l augmentation du prix du lait à partir du deuxième semestre 27. Ainsi, en Haute- Marne, près de 5 % des quotas ne sont pas réalisés contre 7,1 % en. Dans les Ardennes, second département de la région pour les quantités livrées, l écart s est réduit, passant de 7,3 % à 5,4 %. Dans la Marne, l écart entre livraisons et références est stable ces deux dernières années et se situe à 4,7 %. 27 Livraisons Références laitières Livraisons Ardennes Aube Marne Haute-Marne Source : Agreste, Quotas laitiers et EAL et 27 8 % du volume des références laitières se situe au dessus de 2 litres par producteur et concerne 58 % des producteurs. Les moyennes par livreur sont élevées. Ainsi, entre 3 et 5 litres, la moyenne par producteur est de litres et au dessus de 5 litres, cette moyenne est de 657 litres. Répartition des producteurs et des références laitières par classe de référence en litres plus de 5 3 à 5 2 à 3 15 à 2 1 à 15 moins de 1 Références laitières Producteurs en % Source : Agreste, Quotas laitiers en 27 9/13

10 Références laitières Les formes sociétaires représentent 54 % des producteurs et concentrent 72 % des références laitières totales de la région. Parmi celles-ci, les GAEC sont largement prédominants : ils détiennent 46 % des références laitières totales régionales. Plus de la moitié des GAEC se trouvent dans les tranches supérieures à 3 litres de quotas. Un GAEC sur cinq est dans la tranche supérieure à 5 litres. Les EARL détiennent 23 % des références laitières régionales mais leur référence moyenne est faible : 38 % ont une référence comprise entre 2 et 3 litres et 35 % une référence supérieure à 3 litres. 8 en % Source : Agreste, Quotas laitiers en 27 6 en % Répartition des références laitières par statut juridique et classe de référence moins de 1 Individuelle GAEC EARL Autres 1 à à 2 Source : Agreste, Quotas laitiers en 27 Répartition des références laitières par âge et classe de référence Producteurs individuels seulement moins de 1 1 à à 2 Moins de 35 ans de 35 à 44 ans de 45 à 54 ans de 55 à 64 ans 65 ans et plus 2 à 3 3 à 5 plus de 5 en l 2 à 3 3 à 5 en l plus de 5 Les producteurs en exploitation individuelle sont majoritairement présents dans les tranches inférieures ou égales à 3 litres. Dans l ensemble des exploitants individuels, les producteurs âgés de 45 à 54 ans sont majoritaires. La moitié de ceux-ci détiennent des références laitières comprises entre 15 et 3 litres. Les producteurs les plus âgés ont les références laitières les plus faibles. En dessous de 1 litres, 73 % des producteurs sont âgés de 65 ans et plus et 35 % de 55 à 64 ans. Un tiers des producteurs indépendants âgés de moins de 35 ans a une référence laitière comprise entre 2 et 3 litres. 1/13

11 Prix du lait Le prix du lait connaît une certaine saisonnalité en comme en. Le lait produit en mars, avril, mai et juin est le moins rémunéré, le lait produit d août à novembre est le plus valorisé. L écart atteint une moyenne sur 4 années de,5 /l entre les mois les mieux rémunérés et les moins bien payés. La saisonnalité du prix du lait, établie par les industriels, vise à mieux équilibrer l offre et la demande, plus forte à l automne et en hiver.,32 /litre,31,3,29,28,27,26,25,24 Source : Agreste, SM Lait 1993 à 27,35 /litre,3,25,2,15,1,5 Saisonnalité du prix du lait (prix standard) Source : Agreste, SM Lait Saisonnalité du prix du lait (prix standard) Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre De 1993 à, le prix du lait standard dans la région, c est-àdire de composition et qualité prédéfinie par l interprofession, a connu une certaine stabilité. Après une hausse de 2 cts/l en, le prix chute de plus de 4 cts/l jusqu en. Il enregistre une augmentation notable en 27. Cette augmentation du prix en 27 a été motivée par une hausse de la demande mondiale de produits laitiers frais et fromages et dans un contexte de baisse de la collecte de lait en Europe. Malgré cette augmentation, le prix 27 est quasi-équivalent au prix de. 9/13

12 Résultats économiques Centre Lorraine Pays-de-la-Loire Poitou-Charentes Franche-Comté Bretagne Basse-Normandie Limousin entière Rhône-Alpes Nord-Pas de Calais Haute-Normandie Midi-Pyrénées Auvergne En, le résultat courant avant impôts (RCAI) des exploitations professionnelles champardennaises atteint 28 1 euros par exploitation spécialisée en lait et 37 6 euros par exploitation mixte lait et viande, soit respectivement 19 6 euros et 21 6 euros par actif familial. Ce RCAI est inférieur à celui des autres exploitations de la région. Ainsi, pour l ensemble des grandes cultures, le RCAI est de 55 4 euros par exploitation, soit 4 2 euros par actif familial, le double du revenu par actif des exploitations laitières. L écart entre OTEX bovins et grandes cultures a toujours été du même ordre, voire nettement plus élevé. Le revenu des exploitations spécialisées en grandes cultures et herbivores, qui combinent l élevage et les productions végétales, avec 29 3 euros par actif familial, est intermédiaire. Le taux d endettement est assez important et très supérieur à la moyenne régionale. Depuis, la part des subventions dans le RCAI continue de progresser dans la filière laitière. Le montant des primes dépasse le RCAI depuis pour les bovins mixtes lait-viande et en pour les bovins laitiers spécialisés. Au niveau national, le RCAI des exploitations spécialisées bovins-lait atteint en moyenne euros. Le RCAI champardennais très proche de cette moyenne, se classe en neuvième position, assez loin de la région Centre (41 18 euros). Par contre, le RCAI champardennais des exploitations mixte lait et viande est nettement mieux positionné au niveau national, occupant la quatrième place alors que la moyenne française est de 28 6 euros par exploitation. Résultat courant avant impôt des exploitations spécialisées bovins-lait milliers d euros Source : Agreste, RICA 1/13

13 Résultats économiques Répartition des exploitations et des vaches laitières par OTEX Bovins Lait Bovins Lait Viande Herbivores agriculture SAU (ha) 95,3 149,7 161,7 SFP (ha) 81,8 134,3 146,1 UGB (animaux) 115,4 17, 115,8 dont UGB bovins 18,3 169,4 116, UTA total 1,5 1,9 2, (en milliers d euros par exploitation) Production de l exercice 126,1 163,6 163, Charges approvisionnement et charges externes 81,1 111,1 11,3 Valeur ajoutée hors fermage 45,1 52,8 53,5 Subventions d exploitation 32,4 51,1 56,5 Fermage, impôts et taxes et charges de personnel 12,8 21, 23,4 Excédent brut d exploitation 64,7 82,9 86,5 Dotation aux amortissements 31,8 39,5 39,6 Résultat courant avant impôts 28,1 37,6 41,3 Taux d endettement,42,4,39 Taux subventions/rcai* 1,12 1,29 1,32 * Part des subventions d exploitation dans le résultat courant avant impôt Source : Agreste, RICA Agreste hors-série - Juin 28 MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE Direction régionale de l agriculture et de la forêt Service régional de l information statistique et économique Complexe agricole Mont-Bernard - Rte de Suippes 5137 Châlons-en-Champagne cedex Tél : Fax : srise.draf-champagne-ardenne@agriculture.gouv.fr Directeur de publication : J-P Alloy Rédacteur en chef : O. Colin-Schoellen Rédaction : N. Viatte Composition : M. Lallement Dépôt légal : à parution ISSN : Prix : 2,5 euros Agreste 28

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